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Tout est bon dans... Témoignages pois 1) cidoipranen VAMOUR AU TEL SANDRA au 06 66 13 69 69 Accés sans CB 0895 02 03 40 sous fo» EN DIRECT |= J avecune petite vicieuse! neo0s e050 720 os err t ow : | VA TIRER TON COUP | \ i, rapide avec Eire Deed GILLES GA ans et + enw manque de bite | Oe eel O895 50 08 55 A“ envoie SOA au Choisis ta cochonne au. 0895 895 975 Rejoins notro club libertin 0895 895 980 Jeunes étudiantes bien chauudes 0895 895 985 Ces Ecoute-les baiser Sarre “a Testé pour vous Hot Zapping 8 scénarlos pour Ja Salnt-Valentin a Récit Mustré Sexo news Consells du mois ‘A ms lectours: On rs a signalé que ~ otarmat rion parsionns at en Suisse - des inpostaus prétendont Aro charg par Union lector ane aqua comportement srw ayoun ha Nous prisons anos tours gu mais (ons ees aucune qu de ce genre, ue ls parsonnas quis ecommsndet abusiemant Union nous sent (Dtlomert ranges on vado1méne ‘arent, qua 20 pitendant rn vous téiiphonat oor vous proposer mor dos Snes X dns Pun de nos OVD. Msn cotacons jana ms ackurs cb cet spon. Tu avais parié que je ne serai pas capable d'envoyer cette photo a notre mag préféré. Tu vois, tu étai un peu trop sur de toi Jattends de voir la téte | que tu vas faire en nous découvrant ainsi et espére bien que tu tiendras parole... Gg | Coco, 29 ans, Dijon E i Ne Ki ba OTS PAR.UN COUPLE oe Prénom : nie a = 9.906 | MOE DE RtcLeMenr Acmoene: O1DvD= 9,9 | caer Ban COONEOLE (A LURDRE Je CONFI WO) CIMACT Code postal Ville Email Je sais mon voisin abonné & votre magazine. Jespére done quil me reconnaitra et, quenfin, il cessera de regarder ses pompes en me croisant dans lascenseur et trouvera le courage de venir maborder ! Lifou, 24 ans, région parisienne ae saves the queen ! A ma reine qui adore profiter de ce gros gode que je bi lui ai offert et qui vient si bien remplir sa petite chatte avant que jene my glisse. Fifi, 42 ans, Amiens 8 Se Petit souvenir de nos vacances & Argelés ! Jadore quand tu te laisses aller et que tu deviens coquine pour mon plus grand plaisir. Ton bébé qui taime. Sylvére, Ain Ma chérie, Anna, a envie de découvrir les plaisirs de la sodomie. Alors, pour bien débuter, je lui ai offert ce joli plug anal quelle se plait porfois & porter méme au restaurant. La semaine prochaine, ‘on passe 4 laction ! Ma femme et moi aimons - nous accorder des pauses sur les aires dautoroute. Je prends alors plaisir 6 la voir soffrir aux regards des voyeurs dent certains, plus téméraires que dautres, n'hésitent pas a venir profiter de ses charmes. Si Jomais vous croisez notre rovte.. Alain, 57 ans, Roubaix Ce soir, ma chérie m’a fait une belle surprise avec cette tenve qui a donné lieu & un corps a corps pour le moins torride que nous souhaitions partager avec vous. Christian, 47 ans, Nord Quand je te tiens le manche comme ¢a et que je te dis plein de mots coquins, jaime voir en toi monter excitation avant que ton sperme tiéde ne se répande sur mes mains. Hummmm ! Cindy, 32 ans, Bretagne TEn espérant que cette photo prise au printemps dernier vous réchavffe les sens... Marie-Anne, 34 ans, Narbonne Ls shopping de OONIA La marque Paris Hollywood est en train de conquérir une belle place sur le marché de la lingerie sexy et érotique féminine. Nous avons choisi de vous présenter ce culotte opaque qui souligne joli- ment les hanches et les fesses. La légére dentelle a cils est barrée de renforts accueillant le faux lagage qui souligne le décolleté largement ouvert. Les bonnets possédent une découpe sous le sein pour mettre en valeur les courbes de la poi- trine. Les fines bretelles réglables permettent d’ajuster parfaitement . le body a l'anatomie de celle qui Hi le porte. Avec son gousset @ pres- sions a |'entre-jambes, ce body est une lingerie de charme ainsi qu'une invitation aux caresses les plus folles. 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Lavis de Sonia: Voici \e sextoy ludique par excellence. || est congu pour une utilisation en couple mais reste trés efficace pour des jeux en solo. light, 59,99 €, en vente sur http://boutique. union. fr, Tielaee Sextoys, sous rubrique 0 Gufs vibrants vat varker indépondammest do notre volon Les massages érotiques sont bien plus qu'un simple préliminaire. Ils éveillent la sensualité, exacerbent les sens et vous ouvrent les portes de la jouissance. Fruits de traditions millénaires, ils ont subi des influences chinoises, indiennes, japonaises... méme du Cachemire. C'est le désir avant le plaisir. Et ce coffret Geisha coquine sera l'objet idéal pour ‘libérer les chakras” et mettre votre corps dans un total abandon de soi. Lubrifiant intime, gel clitoridien, créme point G, créme pour couple, sextoy vibrant... 5 produits destinés a stimuler votre libido pendant ces soirées d'hiver. avis de Sonia: En ce mois de février, je ne pouvais pas terminer cette rubrique sans vous inviter aux délices d’une soirée “Yin et Yang” grace a ce petit coffret stimulateur d’énergie sexuelle. Coffret Geisha coquine de Shunga, 39,95 €, en vente sur http://boutique.union.tr, rubrique Sextoys, sous rubrique Coffrets plai Cinquante ans de carriére Aussi a l'aise comme dessinateur que scénariste, Milo Manara s'est imposé au 4 fil des ans comme un grand maitre de la bande dessinée internationale. Outre des ceuvres devenues cultes comme Le Déclic, Giuseppe Bergman ou, plus récemment, Le Caravage, son talent s'est également exprimé a travers t} de prestigieuses collaborations: avec \ ‘ aA Jodorowsky, Hugo Pratt ou Federico tm | W « Fellin. En résulte une ceuvre somp- I tueuse et prolifique, aujourd'hui mise a I’honneur dans un ouvrage revenant en détail sur les 50 ans de carriére de Milo Manara, premiére véritable monographie de |’auteur a x paraitre en France. Une iconographie dense et de qualité y offre w-¥ un panorama complet de |’ceuvre du maitre, auquel la plume d'ex- perts, triés sur le volet, vient apporter une lecture passionnante de ™ sa portée esthétique et de sa démarche artistique. Manara, Sublimer le réel, Editions Glenat, 49 € s a : _- SS. Les éditions Reuss nous proposent de fi retrouver le photographe scandaleux, Luis Durante, et sa non moins scanda- } leuse muse et compagne Idoia. Pour & le couple trés complice, les supermar- y chés sont remplis d'objets sexuels qui les inspirent beaucoup plus que ceux qui pourraient étre trouvés dans un sex-shop. Et c'est Idoia elle-méme - qui choisit les “sextoys” qui oe ag) 7 au service de ! Iba a sa _jouissance devant |'objectif de son partenaire et photographe carottes, bananes, épis de mais, courge butternut, concombre, cerve- ~ las, aubergine, fouet de cuisine, etc... Mais aussi des godes géants dans son vagin ‘ou son anus dilaté. Amateurs d’insertions volumineuses, vous ne serez pas dégus ! a puss} Luis Durante, éditions Reuss, 60 €. Papy fait Les prix commaniqués dans les pages = Sex world » Perea tee Peter teics ee ee eeevceece Candaulisme, eoose de la résistance libertinage, = "=" Les seniors d'aujourd’hui naturisme, ont dansé sur la vague de - la Révolution : celle de 68 exhibition... A ot de la liberté sexuelle. —crivaine, blogueuse et } Comment _ pourraient-ils l'oublier ? Vivre, pour eux, - c'est jouir. De tout, et en + ™ particulier des choses de ™ l'amour et du sexe. Alors, ce n’est pas quelques rides qui vont chan- ger leur état d'esprit. N’allez donc pas croire qu'avoir 60 ans sonne le glas des galipettes | Idem pour 70. Ce petit guide du “vieillissement joyeux” vous donne plein de conseils et d’astuces : comment séduire encore et toujours, comment lut- ter contre tous les désagréments, et com- ment bien faire l'amour, différemment, mais avec toujours autant de plaisir. Osez le sexe 4 tout 4ge, Roselyne Madelénat, éditions La Musardine, 8 € libertine, Eve de Candaulie a souvent été citée dans les pages d'UNION, notamment pour nous parler du can- a, daulisme. Aujourd’hui, elle revient avec un nouvel ouvrage, Troublante excitation, qui est le premier opus de ses chroniques érotiques, un préquel a Linfidélité promise. Avec authenticité, Eve de Candaulie dévoile dans ce roman ini- tiatique sa découverte du candaulisme et du libertinage par la méme occasion. De Paris & Rome, elle nous embarque avec elle dans des scénes d’orgies vécues de Vintérieur. Troublant itation, Eve de Candaulie, éditions Tabou, 16 € eae Le Jardin confidentiel - Var eT ay aia Cad Pe Franck pour passer quelques jours de vacances tota- Pa CRMC Ce en OR OR se eR ae Cc a OR EM era ites situées 4 moins de 30 minutes de la mer. La maison, entiérement dédiée aux plaisirs et SO ee ee et ec ae ee rd “intimistes", le célébre club varois La Chrysalide & Toulon et le 2003 Hyéres se trouvent 4 moins d'une demi-heure du gite. Lieu convivial et coquin, le Jardin confidentiel est aussi un lieu gourmand Cae ee Ma ee nC es oa Isabel et Franck ont limité volontairement le nombre des chambres pour mettre l'accent sur la convivialité et la tranquillité. Il est donc préférable & ben je de réserver plusieurs semaines a l'avance BIUOS * Bulddoys™ CMR lee CMC Sa) internet : https://www.lejardinconfidentiel.com Comme il se doit, la maison Dorcel vient de féter son 40° an: niversaire en grande “pompe”. Pour cette occasion, c'est la célébre réalisatrice américaine, Kay Brandt, qui a été sollici- tée. Son réle : réunir les plus grandes stars doutre-manche actuelles et filmer l'une des plus belles et plus grandes orgies de l'histoire du porno. Ce sont les actrices Avi Love, Angela White, Jane Wild, India Summer, Britney Amber et Whitney Wright qui ont été sélectionnées pour cette nouvelle super production. Avec de telles créatures, le tournage fut trés chaud ! Kay Brandt nous entraine dans un club échangiste ultra sélect of tous les membres peuvent y vivre leurs fantasmes en toute liberté jusqu’a leurs désirs les plus secrets. Au cours d'une soirée mémorable, toutes les barriéres et les interdits sautent. Chaque participante repousse ses propres limites et se livre corps et ame a tous les sexes virils qui se présentent a elles. Mais les jeux entre filles sont également au programme et si on sait que pour elles, aucune voie n'est impénétrable, on imagine trés bien les chemins empruntés qui les enverront au 7° ciel ! Climax de Kay Brandt, Marc Dorcel, en VPC sur www.dorcel.com, 34,99 € Porno et cerveaut Des études scientifiques Ri es ets a Tapportent que le hommes, Avec un taux de succés gaye | Pas vraiment... Une étude fluence notre cerveau. Par (2 973% sans aucune deb encTechUnverstya | example reyarder {S| secondaire, cette contraception é que 2/3 des sextos du porno déréglerait le circuit de découvert, (is) sera peut-étre mise en vente sur envoyésn‘avaient rien @voiravec — récompense. Résultat, un lemarché mondial d'ici fin 2020. du sexe. Leurs buts étaient de se © consommateur ira davantage FENIMES FACILES A CHOPER AU TELEPHONE tl Mikes 838, : ‘a : ( { om das, " aie > 06 227602 91k A 07 63 260102 AUCE, 06 21 68 94778 ‘ uenascora hd Zi, [059912209 30 asTIne Pd wairnesse DOUNATRICE PHOTOS MARTINE au 62123 =a @ GUAGE ra TEGOResorsP 5 on a) OEE Osostsostyo , \ ¥ 07 60210307 CEEBEEBUD 4/7 01.72:715 710))) 24 ses CHANTAL aeagae 4 conversation achetée nin ot sy «GRATUITE wie Ca eine crccne 07 61 0031 64 > ELISA au 67248 06 11615183 ‘il Pr )) EVA au 62626 Ae Eeoute leurs expériences les plus ORL ETO EEE Pr TRAV/TRANS eye Oe STWR parol hee SS Beaucoup de sextoys, y compris pa “luxueuses”, par exemple Lelo, son! sextoys Made in France existent, et me, mais parce qu’acheter un jouet it que les personnes qui ont contribué 4 sa la peine. Non pas par chauvi érotique local vous garai ni les marques qua es de jabriqués en Chine. Mais les attarder en vaut largement conception ont travaillé dans de bonnes conditions, avec un salaire correct, et, souvent, avec amour, car il s’agit principalement de créa- tions artisanales. Rosebuds Vous avez peut-étre déja entendu parler des Rosebuds, ces petits plugs anaux ornementaux en acier. Avec une partie insérable de dimen- sions généralement assez modestes, iis peuvent étre portés contortablement sur une longue durée, Pendant ce temps, la base du plug, qui dépasse de volre anus, |'orne d'un cristal, ou encore d’une sculpture en bronze, d'une chai- ne ou d'un anneau. On parle alors de bijou anal. On trouve aussi des Rosebuds aux connotations plus diverses, comme le Tailbud. Ce plug est pourvu d'une = “queue” en crin, dépassant ee ce votre postériour. II per- met ainsi de s‘adonner a des jeux de “pet play” (qui consistent ‘se comporter comme un animal et a se faire ainsi dresser ou chouchouter par son ou sa partenaire, le temps d'un moment torride). La marque fabrique éga- Jement des cockrings, ainsi que divers bijoux pouvant étre portés sur le pénis. Idée du Désir idée du Desir est un ébéniste qui, depuis quelques années, a laissé les meubles de obté Pour se consacrer 4 la sculpture de sextoys. Et le résultat est un véritable éveil des sens, avec des objets magnifiques, en bois, sculptés a la main. Parmises creations, on trouvera des godes aux formes étudiées pour le plaisir féminin, comme |'Orchidée ou |'Adam, qui s'avérent redouta- blement efficaces pour stimuler 'e point G. Mais on s'attardera aussi sur ses plugs vaginaux, le Désir Papillon, que l'on porte en marchant, et le Nunky, un plug accompagné d'un galet de massage aimanté, qui permet c'effectuer des exercices de Kegel, ou encore de jouer sur |'attraction entre le galet et une bille métallique inteme pour obtenir un mouvement naturel, Les sensations procurées par le bois sont tres différentes de celles que |'on obtiendrait avec un autre matériau ou avec un sextoy vibrant, en douceur, mais néanmoins intenses. Bois d’Amour La marque Bois d'Amour se monire un peu plus discrete. On sait seulement que tous ses pro- duits sont fabriqués en France. Avec des formes plus rectilignes que celles des sextoys Idée du Désir, ces godes en bois sont néanmoins assez sympathiques, et méritent que |'on y jette un petit coup d’ceil. mo Sylvie M Sylvie Monthulé est une créatrice francaise de bjoux érotiques, des objets jouant sur les limites entre sous-vétement, bijou et sextoy. La marque fabrique des bijoux pour clitoris, des strings pénétrants, ainsi que des ceufs anaux et vaginaux. Sa création la plus remarquable, 2 mon goiit du moins, est le Double Secret Pénétrant, un sextoy-bijou qui se compose de deux ceufs en résine, reliés entre eux par une chainette en or omée d'un pendentif. Lun des ceufs s'insére dans le vagin, l'autre dans l'anus, pour une double stimulation et une sensation de pléni- tude. A effet physique, s’ajoute une fonction omementale qui apportera sa dose d'excitation lors de jeux érotiques a deux. Conclusion Si tous les types de sextoys n'y sont pas repré- sentés, le Made in France comporte tout de méme son lot d'objets de plaisir qui valent le détour. Ce sont des accessoires dotés d'une personnalité marquée, qui apportent chacun leur propre vision de |’érotisme, et qui prouvent quill n'est pas indispensable de chercher a |’autre bout du monde pour grimper aux rideaux. Ma premiere f Claire: ta premiere fois Claire se définissait un peu comme “ma- dame-tout4e-monde”. Elle aimait faire l'amour mais n’avait pas de fantasmes particuliers. Parfois elle prenait du plai- sir, parfois non. Cette vie sexuelle lui convenait tout a fait, jusqu’au jour oil. un exemplaire d'UNION lui est passé dans les doigts. C’était, il y a une vingtaine d’années. Claire et Julien, son mari, vivaient a Limoges. Le couple s’entendait bien, sexuellement, méme si les désirs de Julien étaient plus fréquents et plus variés que ceux de son épouse. Par- fois, il lui reprochait une sexualité un peu trop “classique”. Et puis un jour: « i! a débarqué a la maison avec le magazine UNION. Il m'a dit que c’était trés soft et intéressant, avec beaucoup de témoignages et m’a conseillé dele lire. » Claire connaissait le petit penchant de son mari pour la pornographie. C’était un habi- tué du film du premier samedi du mois sur Canal +. La couverture d’UNION par contre n’avait rien de hard. Deux ou trois jours plus tard, elle s'est mise a feuilleter le magazine alors qu'elle était seule a la maison: « Je suis vite passée sur les photos et j'ai lu une premiére confession. Puis une seconde. J'ai ressenti quelque chose d’étrange en moi. Coupable, honteuse, un peu comme si j’étais voyeuse des scénes que jétais en train de lire, comme si je m’introduisais dans la vie privée et intime de certaines personnes. En méme temps, j’étais de plus en plus curieuse de savoir comment les choses se passaient chez les autres. Que faisaient-ils d'autre que Ta Lil moi? Jusqu’ol) pouvaient-ils aller dans leur sexualité ? » Elle se rend compte, finalement que son trouble, c'est aussi de |'excitation. Elle lit tous les témoignages sans en parler son mari. Par bonheur, son mari achéte de nouveau le magazine le mois d'aprés. Peu a peu, elle découvre et s’ouvre 4 une nouvelle sexualité plus diversifiée, plus surprenante. Certains récits l'excitent plus que d'autres. C'est elle qui finit par demander son mari d'acheter réguligrement la revue: « Julien a sdrement senti que quelque chose changeait en moi. Sans UNION, je crois que je n’aurais jamais accepté sa proposition de faire des photos intimes avec son appareil numérique. La premiére séance m’a terriblement excitée. Au bout d'un moment, je lui ai demandé de laisser tomber son appareil et de me faire l'amour. J'ai joui trés vite. » A partir de la, la sexualité du couple s'est progressivement transformée: achats de sextoys, lingerie coquine, culottes fendues, accessoires érotiques, épilation intime, sexe et photos dans la nature, etc. lls vont vivre des moments trés intenses en grande partie grace & UNION et vont jusqu’a ouvrir un petit blog gratuit sur Internet. Hélas pour nous, il ne reste que trés peu de clichés de leurs nombreuses séances photos : « Aun moment, j'ai eu trés peur que notre ordinateur soit piraté ou que les photos soient découvertes par nos enfants et j'ai demandé 4 mon mari de tout détruire. » \\ I'a fait. Du moins, en partie... ll a conservé quelques cli- chés, parmi lesquels deux de Claire... oes 0005 SE ~ ~~ / 5 8 Ea | 0895 WWW.DIAL-PRIVE.FR » «40 cots das anges Service de dialogue coquin 24h /24 complétement anonyme eee a iets rid 1) | 77 62 TA 74 oonmect Tiina coments vec pote ss olde] ootcno lg aa | 6h Vi brante) Comme beaucoup de couples amoureux, S. et moi avons décidé de nous faire un petit resto pour la Saint-Valentin, et pour profiter de |'aprés-midi tous les deux, S a privilégié le déjeuner au diner. Nous aimons beaucoup Capbreton, nous y avons acheté un studio ol! nous adorons passer du temps et éga- lement coquiner. Ce jour-la, j’avais apporté ‘Nos jouets et comptais bien me servir de l'un d'eux en particulier, notre nouvel csuf vibrant. Nous avons convenu de boire notre premier verre de vin a l'appart, dans une ambiance sensuelle et chaude qui n'a pas tardé a em- plir le studio. J'ai embrassé S. tendrement Toutefois, j ai posé mon verre et me suis saisi de notre petit sac a sextoys. S. s'est installée confortable- ment sur le canapé, elle a écarté les cuisses et relevé les fesses pour que je retire son string, ce que j'ai fait sans attendre, l'objet entre mes mains. Puis je me suis agenouillé entre ses jambes et j'ai entrepris de lécher sa fente de bas en haut, commengant par son petit trou et remontant jusqu’a son clito. Je sentais ses petites levres gonfler sous la pression de ma langue et son jus salé enva- hir son entrejambe. S. était fin préte @ recevoir l’ceuf dans sa minette. J'ai enclenché la vibration et j'ai parcouru sa fente sur toute la longueur. J'ai fait tourer I'ceuf sur lui-méme en poussant, et l'objet est entré dans son intimité, littérale- ment happé. Elle a poussé un rale de plaisir. J'ai joué un peu avec l'anneau de récupéra- tion de I'ceuf, poussant le jouet, le faisant en- trer et sortir tour a tour. Jai senti ma queue se raidir, il fallait que je me calme. J'ai coupé fa __ vibration et ai réintro- duit le sextoy bien au fond du minou de ma _ chérie. Je l'ai aidée a remettre son string et nous avons fini notre verre avant de partir au resto. Dans la rue, nous marchions main dans la main, tandis que mon autre main, dans ma poche avec la télécommande de I'ceuf, s'amusait a déclen- cher des vibrations lorsque nous croisions des passants ou lorsque nous descendions kes trottoirs. ‘A chaque secousse, S. se redressait avec un_sourire. Nous sommes arrivés au restaurant qui se situe au bord de l’océan. Le personnel a di nous trouver étrange car je m’amusais a déclencher le jouet a chaque choix des mets. S m'a supplié d’arréter, car elle sentait son entrecuisse trempé de désir et ne voulait pas jouir en plein resto. Aprés un déjeuner exquis, nous nous sommes retrouvés dans notre petit 20m? ol) nous avions pris soin de laisser le chauffage. Nous nous sommes retrouvés en sous- vétements en un éclair. Son ensemble noir et bleu lui allait 4 ravir et le désir dessinait une jolie bosse dans mon calegon. S. s'est empressée de me libérer et mon érection ne mentait pas, j'avais terriblement envie celle, trempé. Je I'ai alors glissé a |'intérieur de ma chérie pour m’occuper de son petit trou. Ses fesses écartées, j'ai enfoui ma langue dans son intimit, puis j'ai SMO en eM Je les ai insérées une @ une dans son anus, puis les ai retirées et faites entrer a nouveau. mais je voulais prendre mon temps, jouer et l'explorer. Nous avons ouvert le canapé du petit salon. ma caressé ses jambes en remon- tant jusqu’a ses Sogo fesses, S. s'est cambrée pour que je puisse retirer son string. J'ai pris ses fesses dans mes mains et les ai écartées, ses _effluves de désir m’en- volitaient, sa minette luisante S. était tellement chaude et offerte que |'ceuf est tombé tout seul de sa minette. Elle était préte 4 me recevoir, mais S. ma invité dans sa bouche et m’a sucé divinement bien pour me remercier a son tour. Je me suis retenu pour ne pas finir au fond de sa gorge. Je n’en pouvais plus, il fallait que je la prenne et elle aussi me désirait plus que tout. Je I'ai fait encore laissait entre- —_un peu patienter en prenant le temps de voir l'ceuf. Je — goditer son abricot, un vrai délice. Elle Vai retiré, il était —m’apressé de laprencre, elle était super ( excitée et je nageais presque dans son minou. On entendait des “flop” 4 cha- cun de mes allers-retours tellement elle mouillait, mais elle et moi savions oii je serais un peu plus a l'étroit. S. s'est mise en levrette pour m’offrir son bouquet final, & ce stade, j'allais exploser rapide- ment dans son petit trou. J'ai écarté une demiére fois ses fesses et le petit plug bleu en a été expulsé, faisant une jolie courbe avant de tomber sur le drap. J'ai posé mon gland sur sa petite rondelle et S., me sentant a l'entrée, s'est reculée vers moi pour |'engloutir. SERTWERS? (TSC Le STU AReMbeU bite 4 chaque fois un peu plus loin et, une Cresta ce moment-la que j'ai commencé mes va-et-vient. S. se caressait le clito et glis- sait parfois un ou deux doigts dans son minou. J'ai commencé doucement pour ne pas lui faire mal et, sentant son petit trou se détendre & chacun de mes coups de reins, j'ai accéléré et I'ai pénétrée le plus profondément possible. Je I'ai sen- tie s'abandonner complétement @ moi, Me concentrant pour attendre S., nous avons fini par jouir en méme temps, Nous adorons finir ensemble. S. je t'aime passionnément, tu es la femme de ma vie. M&S, 40 et 38 ans Makcousine) atime Iles (filles) J'ai 23 ans et bien que ma vie sexuelle n'at débuté que depuis quelques années, je crois que j'ai déja connu la scéne la plus érotique de mon existence. ~~ a =. Ma cousine, dont les parents habitent un petit village perdu, est venue passer un week-end a la maison, a Bordeaux, la ol nous habitons avec ma mére. J'adore ma cousine, elle est compléte- ment folle, elle a quelques années de moins que moi, posséde une voix qui porte et un sens de I'humour assez dé- veloppé. J'ai toujours l'impression d’étre avec un pote, mais version hyper sexy. Et surtout, elle fait craquer tous les mecs. Elle le sait et elle en joue un peu, quand elle a envie de s'amuser. Comme elle est d'une nature hyper sociable, j'ai orga- nisé une sortie en club le samedi soir. Ma mére était ravie, elle avait envie de rester seule devant sa série préférée. Bref, je l'ai emmenée dans la boite de nuit ob j'ai quelques habitudes. J'avais égale- ment invité quelques-uns de mes potes, mais je les avais prévenus:: « pas touche 4 ma cousine». \ls se sont tenus & car- reau toute la soirée sans oser presque lui adresser la parole. Et pourtant la cousine était déchainée. pour la faire bouger. Elle a fini ~~ cher une minette de son age, en cuis- sarde et jupette - et elles se sont roulées des pelles devant tout le monde. Une meute de mecs a commencé les coller en jouant des coudes. Trés rapidement, je suis intervenu avant que ga ne dégé- nére et j'ai ramené les deux nanas, un peu éméchées, en sécurité a la maison. Heureusement, ma mére dormait dans sa chambre et le salon était libre. Ma cousine et son inconnue ont commencé a se déshabiller mutuellement, en rigo- lant doucement, sur le canapé en cuir terriblement bandante. La brune a sorti soudainement un mini vibro de son sac @ main qu'elle a tendu a ma cousine pour qu'elle la masturbe. « Je ne peux pas jouir sans Ga» a-t-elle simplement laché, Les nanas sont tellement chaudes aujourd'hui qu'elles se baladent caré- ment avec leur vibro sur elle! CTD Le PAW ae quette vibrante le clito de l'inconnue sans} La brune commen- Git a couiner, je lui ai rapidement mis une main sur la bouche pour qu'elle se taise. Si ma mére entrait dans le salon, blanc de ma mére. J'hallucinais totale- ment. J'ai pris quelques photos pour les potes qui me harcelaient de messages en me demandant ce quill ease files ont terminé en sous-vétement, et je ne savais pas qui était la plus belle entre ma cousine (plutét bien foutu et blonde) et son amie inconnue, brune et on était morts! Ma cousine lui a ensuite \éché le minou, puis elles ont inversé les réles, dans une danse trés érotique, c'était archi bandant. Ma bite était gon- flée @ bloc, mais je n'osais pas me mas- turber, j'avais un peu honte - c'était ma cousine, tout de méme! Alors je touchais mon pantalon d'une main, discrétement, j'essayais de remettre mon chibre en place, il me démangeait et les deux filles en rajoutaient une couche! Elles écartaient encore plus grand leurs lévres, poussaient des soupirs dignes de film porno et se regardaient fixement. Au bout de quelques minutes, alors que { LABO INTEXTONIC Eng SPECIALISTE FRANCAIS DANS LA RECHERCHE ET LA MISE SUR LE MARCHE DE NUTRIMENTS A BASE DE PRINCIPES ACTIFS NATURELS. 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(Cire uniquement soot par correspondance a France Métopottae- Pour yore santé pte une acids phyioue regulre - new nsnperboupe Javais déja pris une dizaine de photos, ma cousine m’a demandé de les laisser seules et de m'éclipser. Elle a ajouté qu'elle ne tarderait pas a virer 'inconnue de la maison. Je lui ai fait confiance et lui ai laissé gérer les derniéres minutes de cette folle aventure lesbienne. En remontant dans ma chambre, je me suis masturbé frénétiquement sur cha- cune des photos. Je m'imaginais la suite de l'histoire, je me voyais les rejoindre, les prendre chacune a leur tour. Jai éjaculé, puis j'ai entendu ma cousine remonter les escaliers et fermer la porte de sa chambre. Jamais je n’aurai osé la rejoindre. Mais j'ai attendu toute la nuit, en vain, qu’elle fasse le premier pas. . Mat, 23 ans, Bordeaux Batser & Bésiors Nous sommes un couple de quadragé- naires libertins depuis plus de vingt ans dans la région de Béziers, ouverts a de multiples jeux coquins. L'été, nous ai- mons nous rendre au Cap d'Adge et 'hi- ver, nous nous rabattons sur la chaleur des saunas. Nous apprécions notam- ment les trios et la pluralité masculine. Flora, ma femme, aime que plusieurs hommes s'occupent d'elle. Pour ma part, j'apprécie l'exhibe et le candaulisme. Ma femme est bisexuelle et moi, je pensais tre 100 % hétéro, jusqu'a récemment. L'autre jour, nous sommes allés dans un de ces saunas a I'ancienne avec une ambiance trés libertine. Ce soir-la, nous sommes partis pour Béziers dans un établissement oi) nous avons nos habitudes. Lorsque nous sommes arrivés sur place, nous avons eu la surprise de voir une petite affiche annoncant: Fanaa ornate fos _ vendre: dis soir 100% bi!" Cela ne nous a pas} Aprés avoir sonné, le patron nous a salués en nous demandant si nous avions vu le nouveau théme du soir. « Qui, oui», a répondu Flora avec un sourire. Nous sommes entrés, direction les vestiaires, puis nous Nous sommes retrouvés dans la moi- teur des bains. Face & nous, un couple et trois messieurs qui nous observaient. Hora s'est mise 4 me caresser et j'en ai fait de méme. Nos deux sexes se prépa- raient au plaisir, tout en baignant dans l'eau tiéde. C'est 4 ce moment-la qu'un homme de 40 ans environ s'est appro- ché de ma femme. Il a commencé a la caresser. Flora s'est retrouvée les mains bien occupées, une queue dans chaque. La température du bassin et de nos corps a grimpé de quelques degrés. J'ai alors senti une poigne bien masculine prendre mon sexe. EERIE C était la main de notre compa- gnon qui s’était égarée pendant qu’il se faisait astiquer par mon épouse. Ensuite, lui et moi nous sommes hissés sur les rebords du bassin et ora s'est mise a nous sucer chacun notre tour. Puis la coquine a réuni nos deux queues pour les frotter l'une contre l'autre, comme deux bouts de bois destinés a allumer un grand feu de joie... C'était rare de la part de ma femme de jouer de cette maniére- la, mais cela semblait 'amuser, alors je lai laissé faire et, ma foi, ce n'était pas La coquine a alors proposé que nous montions dans un coin célin. Sur place, c'était reparti! J'ai d'abord commencé par lécher son sexe inondé. Je suis plu- t6t un bon lécheur, alors elle s'est rapi- dement mise a gémir, avant de se mettre sur moi pour un petit_69, son cul en direction de ma téte. Mises mire See La belle avait droit A deux langues bien gourmandes dans chacun de ses orifices. La chanceuse! Puis, je me suis mis a doigter sa minette bri- lante, tandis que l'homme lui a enfoncé un doigt dans |'anus. Elle montait dans les tours, se cambrait en feulant de plai- sir. Notre complice coquin a alors pré- senté sa queue a l'entrée de ses fesses. Jai dit: « Stop, capote obligatoire », ce a quoi il a répondu: « Oui bien sdr, je me frotte juste partout. » Puis: « Prends ma queue et guide la.» Et me voila en 69 avec ma femme, une queue d'homme dans la main, que je proméne sur les {EPH Pendant ce temps, je frottais le gland du troisiéme larron entre ses deux globes généreux et sur sa chatoune. Je trouvais cette situation torride! Plus tard, \'homme a demandé a échanger les roles et il s'est retrouvé a son tour en 69, sous Flora. C'est alors lui qui m’a attrapé la queue pour la frotter a l'entrée de l'anus de ma femme, pour la promener de son anus a sa vulve et pour en branler les deux entrées. Il me faisait pénétrer son sexe, m'y aidant avec la pression de sa main, ressortait ma queue puis, d'un coup, s'est mis a me sucer. A ma grande surprise, c'était trés bon et il sugait divi- nement bien! Puis il a repris ma queue pour la re- mettre dans ma femme, si je puis dire. J'ai mis quelques coups de reins, et il a ressorti ma bite pour |'engouffrer a nouveau dans sa bouche et me sucer encore, avec avidité. Je n'en pouvais ( plus, tant cette excitation inédite stimu- laittous mes sens... Je ne me serais pas cru capable d'un tel laisser-aller! Pen- dant que je pénétrais ma femme de plus belle, il continuait a lécher ma queue qui allait et venait en elle. Plus je lui mettais des coups de reins par-derriére et plus il accentuait ses caresses et accompa- gnait nos sexes de ses propres coups de ... WEI Soudain, il a prévenu quil allait jouir. Flora, qui était en train de le sucer avi- dement, I'a fini @ la main et il a éjaculé tout droit sur ses seins et son corps. M'incitant a venir également, j'ai joui au- dessus de lui et, quand je me suis retiré de Flora, il m’a caressé et embrassé la queue de méme que les pourtours de la chatte crémeuse de ma femme. C’était une expérience inoubliable et, en sortant, ma belle, a qui je disais 4 quel point j'avais apprécié, m'a répondu: « Vendredi prochain, 4 ton tour d'éire une bouche gourmande. » Je suis prét a relever le défi! Merci a notre ami coquin, et merci au sauna, dont le theme nous arégalés. Fabrice, Hérault, 45 ans ue suis prof de boxe depuis prés de trente ans maintenant. J'ai 50 ans et je suis passionné par mon métier qui a aussi le mérite de me tenir en forme! Je suis aussi un homme marié épanoui, méme si je m'autorise quelques écarts de temps en temps (et je crois que ma com- pagne en fait autant!). Au club de boxe, j‘entraine le plus souvent des hommes désireux de se dépenser tout en jouant les gros bras. J'aime leur compagnie et l'esprit de camaraderie dans mes cours. Je l'ai acceptée car elle a la niaque, je sens que la petite en veut. Elle venait de perdre un proche et avait besoin de se vider la téte. Je |'ai tout de suite prise sous mon aile car elle se débrouiliait bien et avait a coeur de s‘améliorer. Elle était aussi trés assi- due. Son entétement me séduisait. Je me mettais souvent en duo avec elle Pour qu'elle s'entraine du mieux possible tout en lui donnant mes instructions. Elle Cognait contre mes gants avec tellement de ténacité et de passion, son corps Iui- sant dans sa petite brassiére de sport, que je pensais encore a elle le soir venu, quand je rentrais chez moi auprés de mon épouse. Un soir, elle m'a demandé de travailler un mouvement avec moi apres I'entrai- nement. Les autres étaient partis se thabiller et nous étions restés tous les deux a cogner dans la salle de sport, tout en discutant. Elle mia parle d'elle et de ses difficultés, de la raison pour laquelle elle avait tant besoin de ant, elle s'est mise a donner des coups} poing « Oh 44, attends, tu vas t'épuiser! Doucement! » \'ai-je tempé- rée. Hors d'haleine, elle a cessé et m'est presque tombée dans les bras, sans un. mot, nos peaux moites collées |'une a ('autre. A mon tour de vriler, au contact de son corps... Elle m'a serré contre elle, puis a profits de notre proximité pour embrasser mon cou et le couvrir de bai- sers. Quelques minutes plus tard, elle était califourchon sur moi, a terre, dans son petit legging moulant, et nous partagions @ présent notre salive avec fougue... Lila m’a proposé de la suivre chez elle - c'est ce que nous avons fait. Je dépassais clai- rement mes prérogatives de prof, mais la tentation était trop forte. J'avais déja trop godité a elle pour m’en détourner. Dans son petit studio, nous sommes tombés sur son lit moelleux. La jeune femme s'est effeuillée en se contorsion- nant, retirant ses vétements humides de sueur. Son corps était magnifique, par- faitement dessiné, ses petits seins ronds etfermes. La boxe avait déja dessiné ses jolies épaules. Elle a pris les devants, a tiré mon pantalon sur mes chevilles. Puis elle s'est mise a me sucer langou- reusement. Sa langue m'enveloppait d'un mouvement ample, sa bouche me tenait tout entier. Mon éléve me rendait dingue! Cette fois, c'était moi qui me laissais instruire... Elle s'est allongée et m’a dit de venir sur elle, plus haut, vers son buste. Elle a accueilli ma queue entre ses nichons et j'ai pu faire coulis- ser mon membre entre ses deux miches bien chaudes. J’étais en fusion! Quand ma bite remontait vers son visage, elle embrassait mon gland tout en me regar- dant de ses grands yeux déconcertants d'assurance. Je fondais dans ce regard et entre ses lévres ouvertes. ETE ese ine ral Siredess Elle a gémi en écartant davantage les cuisses, de sorte que je n'ai eu qu’a pousser légérement entre ses lévres - toutes aussi délicieuses, celles-la - poury entrer, Elle était rempée etson fourreau me contenait a la perfec- tion... Je me délectais du spectacle de son corps si jeune a la peau éclatante, tout en coulissant en elle. Ses soupirs se faisaient plus intenses. Puis elle a voulu se retourner et m'a présenté son cul re- bondi, a quatre pattes, face contre le lit. J'ai pris quelques photos pour me souve- nir de ce moment et me convaincre, plus tard, que je n'avais pas révé. Je regar- dais son cul et sa chatte qui s'ouvraient, imberbes, Iuisants, comme un animal @ deux bouches prét a m’engloutir, a Mesure que ses jambes s'ouvraient de part et d'autre du lit. Je n'avais plus qu’a | y plonger, a pénétrer dans la moiteur de ses entrailles.,. C’était si bon! Son dos s'arquait sous mes coups de bite et elle laissait échapper des petits "encore" qui me rendaient fou. Elle a voulu que je la prenne dans son fondement et, a l'aide de lubrifiant, je m'y suis enfoncé tandis qu'elle cambrait les hanches au maximum. CTT se CHEMI uscMm nema lem SETr iii Je la baisais par ce trou que je convoitais tant, avec précaution. L'as- pirante boxeuse avait la souplesse d'un chat et se laissait envahir en soupirant. Pour la remercier de sa générosité, j'ai Glissé une main vers sa chatte en entou- rant son ventre etj'ai atteint son petit cli- toris dur et frémissant tout en continuant pousser ma bite dans son cul. Elle tremblait, transpirait, comme a la boxe, jusqu'a se tendre sous mes assauts et hurler de plaisir pendant que j'éjaculais moi-méme dans la capote... J'étais aux anges! Puis elle a roulé dans mes bras, et m'a confié qu'elle avait adoré cette forme-la de "combat". Aldo, 50 ans, Annecy Greciton am pare dPatiraciions Elle rugissait comme une tigresse, Chloé! ailleurs, c’était son réle de faire ga toute la journée. Moulée dans son costume 4 l'effigie de la mascotte du parc d'attractions dans lequel nous tavaillions pour nos vacances, elle ru- gissait toute la journée pour attirer les passants. Elle était sur toutes les photos ~~ a =. et on devinait son _soufire, son magnifique sourire, derriére un maquillage surchargé. C'est dans les loges que jai réussi a la séduire. Je lui faisais_ un petit massage du dos aprés ses longues journées. pas- sées debout. Comme j’étais le seul mec mignon du parc, issue de notre relation était assez prévisible: nous avons fini dans son pieu. (Ene de lit d'un mauvais goit absurde STS en avons beaucoup ri tous les deux puis je lui ai proposé un massage, a nouveau, autour de la mienne. Elle améme osé un petit morcillement de la lévre inférieure, ce qui m’a fait doucement sourire. Nous 6tions totalement connectés, sur la méme longueur d’onde. On s'est foutu intégralement @ poil, je n’avais méme pas commence mon massage. (TEIIIE Ca sentait bon pour une vaginale et une sodomie en bonus! Comme elle mouillait & mort, j'ai voulu sauter rapidement la case “pré minaires”, mais la miss en avait sur le lit... qu'elle s'est empressée d’accepter en fuyant mon regard. La tension sexuelle était clairement pal- pable entre nous deux, nous savions que nous allions baiser, nous ne savions juste pas qu’elles en seraient les modalités pratiques. GPIETEn jarretelles sous sa jupe, je me suis pel Crest si, elle voulait du sexe! Je l’'ai embras- sée, collée contre |oreiller, la bouche déformée par le tissu, le poids de mon Corps sur le sien, Elle m’a accueilli trés autrement. Elle s'est mise 4 me lécher chaleureusementen enroulant salangue —_la bite avidement, tout en gobant mes couilles! Ah, la botte secréte! Com- ment a-t-elle su que j’étais @ ce point sensible des couilles ? Elle mettait suc- cessivement la droite puis la gauche dans sa bouche et faisait des petits bruits adorables en les aspirant. Je l’ai ensuite prise dans tous les sens, les jambes en lair, en levrette, en sodo- mie. Elle se laissait faire, me regardait avec des petits yeux enthousiastes a chacune de mes suggestions et pre- nait des initiatives bienvenues en ru- gissant comme une sacrée cochonne. Comme je savais qu'elle avait |'habi- tude d’étre photographiée, j’en ai pris quelques-unes pour vous. Pour que vous puissiez repartir vous aussi, cher lecteur, avec des souvenirs pleins les yeux de ces deux semaines de travail saisonnier. Eee Si j'ai revu Chloé? Toujours pas, mais Nous nous envoyons des messages torrides en repensant a notre partie de la premiére d'une longue série) qui s'est déroulée avec une rere fluidité. Et pour ma part, j'espére vrai- ment la revoir bientit. .. Pat, 28 ans, Saint-Germain-en-Laye RACONTEZ-NOUS! Vous sovhaitex nous ENVOYER vos aventures? Retrouver toutes nos coordonnées postales ef e-mail en p.97. *1 Uncucentiensteetlenet ma) bee er elle os Je m’occupe 4s de toi ? \ 30 Viens me baiser au” 02 34 30 \WENS WITE LA FAIRE JOUIR It ELLE W'ATTEND QUE CA... RCS 344 256 854 x = (ayal > (4h) US eTalate DE NUIT O4) 72 8S 2s bs Pour passer in publiclté de votre expace ibertn, contacter WPP ou 01. 47 57 80 00 ou emvoyer un mall 8 unlonwrod ELLES NE PENSENT QU'A CA, APPELLLES VITE ! tay partir de iAnarttce a FILMS 100% : ie pe {85 HARDCORE GT 076 69 bg 1 Se 2 i Lou } ated tl i ! BON DE COMMANDE a retourner 4 AMCALINE + 1 BPN°10156-75562PARISCEDEX12 | 1 Oui, veullez me faire parvenir sous pli discret mes DVD. Je rouble pasde {coches es cases des ms choi {ejains mon glen {ante bancaiten*: PE xplration.. Jnanou Clyptogramme sat sudsdecte tom2050 NOM et PHENOM. ennrnn orn T Adresse: ms $ Code Pastal ox eter ra ie Pour passer la publicté de votre espace Hhertn, cortacter WPP au Of 47 57 80 00 ou envoyer un mail unionSwpat Mon mec et moi avons 25 ans. Nous avons convenu de ne pas trop nous prendre la téte avec certaines “normes sexuelles”, par ‘exemple en ce qui conceme la fidélité. Nous sommes bien trop jeunes pour nous ennuyer avec cela! Pendant des mois, Lucas m'a méme parié d'un plan a trois avec son meil- leur pote, Vincent, qui devait revenir bientot d'un long séjour a l'étranger. II m'avait mon- tré des photos de son ami et m’avait méme invitée lui parler sur les réseaux sociaux, pour nous chauffer mutuellement. On peut dire qu'il est partageur! Du coup, je me suis mise adiscuter réguliérement avec le fameux Vincent et nous nous sommes trouvés plein de points communs, notamment un godt pour les “nudes”, les photos de nus. Je lui envoyais les cli- chés, assortis de messages trés chauds du type: « J'ai hate que tu puisses enfin cares- ser cette partie-la de mon corps. » Quand Vincent est finalement arrivé dans l'appartement de Lucas et que nous nous sommes vus pour la premiére fois en vrai, javais l'impression de le connaitre déja, comme si je retrouvais moi aussi un ami perdu de vue depuis trop longtemps. II était grand et mince, le corps bien dessiné, le vi- sage juvénile. Nous avons vite brisé la glace en prenant |'apéro et en nous mettant au défi de réaliser notre fantasme. Au bout de deux heures a flirter, Lucas, pointant du doigt son ami, lui a lancé: « Pourquoi tu ne te rap- proches pas d’elle?» Et alors, timidement, Vincent s'est décalé vers moi sur le canapé. J'avoue que, depuis le temps, je n’attendais moi aussi que ga... Il a caressé ma main, et soudainement, sans prévenir, il s'est rué sur ma bouche. Nous nous sommes retrouvés & Nous rouler des pelles humides sur le cana- pé. Lucas avait toute confiance en son meil- leur ami et il voulait partager avec lui ce qu'il avait de plus cher - moi - tout en immortali- sant ce souvenir en prenant des photos. Pour nous exhiber du mieux possible, Vin- cent m’a assise sur la petite table. Trés vite, je me suis retrouvée en sous-vétements, Choisis pour l'occasion. Je I’ai branié tout en le regardant, le sentant palpiter sous mes doigts, ses yeux plantés dans les miens avec un petit sourire en coin. Lui aussi avait attendu ce moment avec impatience. Son visage a plongé vers ma poitrine. Il a criblé le galbe de mes seins de baisers furieux et im- pétueux. Je sentais mes tétons durcir, mon Corps se tendre vers sa bouche. Une fois que ma poitrine a été dégagée, il a de nou- veau plongé dessus, léchantles auréoles. de mes seins, frottant son visage contre leurs rondeurs, embrassant mon cou avec fiévre. Pendant ce temps, Lucas profitait de la scéne et nous mitraillait avec l'appareil photo de son téléphone portable. Ce fut ensuite au tour de ma culotte de sauter. Vincent I’a fait glisser le long de mes jambes tout en venant m’embras- ser entre les cuisses, respirant l’odeur de ma chatte et y déposant, la aussi, quelques baisers furtifs. Chaque contact de sa bouche provoquait une décharge de plaisir: je sentais sa hate, son envie de moi, et cela m'excitait d’autant plus que je savais que cela faisait des mois qu'il se branlait en pensant au jour oi il pourrait me baiser. Vincent a saisi sa queue fermement pour laposer al'entrée de ma vulve. II |'a agitée contre ma peau, branlant son membre et ma chatte au passage, en préparant l'entrée avec application. J'étais préte & le recevoir, trépignant dans |'attente qu'il mienvahisse. J'ai écarté plus grand les cuisses, posé les pieds sur les rebords et donné des petits mouvements de bas- sin pour |’attirer dans mon sexe. Alors, tout doucement, il a pénétré en moi, guettant la moindre réaction de mon visage, le moindre frémissement de mon corps nu. J’écartais les jambes le plus possible en agrippant son cul nu, pour accompagner ses mouvements et qu'il s'empale au plus profond de moi. Lui Daa 6 TC CC6RDl UR me tenait par les jambes pour mieux me posséder. Son bassin bougeait contre la table et le mien venait sa rencontre: nos sexes pulsaient et s’emboitaient de plus en plus furieusement. Lucas avait déboutonné son pantalon et s’était mis @ se masturber tout en nous regardant faire. « Vas-y, prends la», commentait-il de temps a autre. J'ai posé le buste sur la table, de sorte qu'il ait complétement accés 4 ma chatte. Lucas continuait de nous photographier, hypno- tisé. Je lui jetais, de temps un temps, un regard fiévreux pendant que je me fai- sais pilonner par son meilleur pote... La situation était grisante. J'aimais apparte- nir a cet homme devant le regard captive de mon chéri! Peu @ peu mon partenaire a semblé perdre pied, comme envoiité, il est de- venu plus furieux. II a saisi mes fesses, planté ses ongles dedans pour me tenir comme une proie et s'enfoncer d’autant plus en moi. Puis il prenait mon cou, mes cheveux, tirait dessus, mettait des doigts dans ma bouche, claquait ma peau de sa main ferme. Il me malmenait et j'adorais ca. Ses doigts se mouillaient de ma salive puis disparaissaient dans mes cheveux, avant de titiller mon cul qu'il écartait d'une main. J'étais comme un animal, Concentrée sur mes plus bas instincts, en train de me dissoudre dans la sensa- tion de brilure agréable qui s'emparait de mon sexe en fusion. II s'est terminé en me bourrant de coups de bite, a en faire trembler la table pen- dant que je contractais mon périnée. Je n’ai eu qu’a serrer quelques secondes Pour que j’éclate en méme temps qu'il répandait son sperme sur mon cul et la chute de mes reins. Lucas avait tout pho- tographié et il avait joui lui aussi. En me prenant dans ses bras, il m’a dit: « merci pour le spectacle.» Depuis, nous vivons tous les trois, Vincent, Lucas et moi. Amina, 27 ans, Villeurbanne Lalmontagney ca me gagned Aprés mon divorce, je me suis fait le ca- deau d'une semaine de randonnée dans les Alpes. Comme je n’aime pas vraiment étre seule, je me suis aussi offert les services d'un guide de montagne pour m'accompagner sur les deux journées de mon périple, qui ne serait certes pas trop difficile vu mes 55 ans, mais que je voulais 6tre encadré d'un professionnel. Au bureau des guides, il y avait Eric, un homme de mon age au visage buriné par le soleil oe f J étais ts fbr & @/'idée de me retrouver seule avec lui dans la nature et cela m’aidait oublier, pour un temps, mes difficultés de femme divorcée. J'ai commencé mon ascension toute seule et la solitude m’a vite pesé. Le jour ot nous devions nous retrouver, j'ai at- tendu Eric dans un refuge accessible par la route oi! il devait me rejoindre. Il est arrivé, tout pimpant, bronzé et équipé. Je Ne pensais pas que mon univers fantas- matique pourrait se porter sur les guides de montagne, mais son corps vigoureux et son visage @ la fois usé et plein de force me séduisaient beaucoup. J’avais impression d’avoir 20 ans a nouveau ‘et une furieuse envie de baiser avec le moniteur de ski. J’étais donc regontlée @ bloc pour marcher dans la montagne et, de joie, je gambadais comme un cabri devant lui. La montagne est propice aux confidences, je lui confiai donc mon his- toire et lui, en retour, m'apprit qu'il était célibataire depuis plusieurs années. A la fin de la journée, j'avais l’impression de le connaitre. Comme il faisait encore chaud a cette période de I’année, nous avons bivoua- qué au grand air quand le jour est tombé. Nous étions dans nos sacs de couchage l'un prés de l'autre a regarder les étoiles et a disserter encore sur la vie. C’était trés doux et j'avais envie de me rouler en boule contre lui. uh i C'était trés_sen- suel et tout mon cuir chevelu picotait de plaisir sous ses doigts, en méme temps que des frissons me parcouraient tout le corps. Peu @ peu ses caresses sont passées sur mon bras, sorti du sac de couchage puis sur ma nuque, lieu si sensible et érogéne. J'ai relevé la téte pour ren- contrer sa bouche et nos langues se sont mélées sensuellement, comme j'en avais révé. Lair de la montagne caressait Nos visages et la sensation était vertigi- neuse. Le silence et limmensité autour de nous donnaient encore plus d’inten- sité @ oe moment. J'ai pris les devants et me suis glissée dans son sac de cou- chage aprés m’étre extitpée du mien. Je me suis contorsionnée pour baisser mon short et il m’a doigtée dans notre cocon qui devenait de plus en plus chaud, sous les étoiles. Ma lourde poitrine s'écrasait contre lui, Nos corps étaient l'un contre Vautre et se frottaient. Lui aussi avait baissé son short et mon clito parcourait $a queue toute dure, engendrant des petites décharges de plaisir. Je ne me génais pas pour gémir et mes bruits ré- sonnaient dans le silence. Je le branlais mon tour et la chaleur de sa queue se diffusait dans ma main tandis qu'il jouait avec mon clito de ses doigts rapeux qui m’électrisaient de leurs caresses. C’était la foumaise dans le sac de couchage, nos peaux collaient de sueur et nous haletions comme de jeunes amants. J'ai grimpé sur lui et je me suis fondue sur sa bite bandée. Elle est entrée en moi et a diffusé sa fougue dans mon sexe béant de désir, dégoulinant sur sa tige, pendant que lair extérieur séchait la peau de mon décolleté. J'enserrais mon guide de mes jambes de part et d'autre de lui, je pressais ma poitrine contre son visage et il l'enduisait de ca- resses et de salive. Sa large queue emplissait tout mon vagin et sti- mulait mon point G. Je le tenais par les 6paules pour le baiser, pour a la fois me frotter et étre branlée de l'intérieur, téte en arriére, sans prononcer un mot. Lui se laissait faire, se laissait happer par ma chatte furieuse. Jusqu’a oe que je me torde sous l'orgasme qui était né entre mes Cuisses et me transpergait de sa se puissance. Cri dans la montagne. Surpris par la force de mon orgasme, il est resté {a bite tendue ne sachant plus que faire. J'ai regu son foutre avec joie, heureuse de le sentir, gluant et brilant, dans ma bouche asséchée par lair de la montagne. Céleste, 55 ans, Rhéne-Alpes Walco! T gia col Avec mon coloc, nous venions d’emmé- nager dans un grand appartement du Centre-ville quand il s'est passé un truc un peu génant au premier abord, mais qui nous a permis de nous rapprocher par la suite. C’était un lundi, je suis rentrée du boulot et j'ai vu un colis sur la table de la salle 4 manger qui était @ mon nom et 4 moitié déballé. Mon coloc, Charles, est venu a ma rencontre lair tout penaud. « Je suis désoke jai ouvert tout le courrier machinalement en pensant que tout était pour moi. Je suis vraiment contus. » || était tout rouge et a moitié bégayant. J'étais a la fois morti- fiée et trés amusée. Car ce colis n’était autre que ma demiére commande de sextoy, un gros gode rose de belle taille, dont j'avais bien besoin pour me récon- forter aprés une rupture. Ga avait quelque chose de rigolo malgré tout, et méme d’émoustillant. J'ai tourné la chose de maniére ironique et tenté de faire de I'humour. Il faut dire que nous avions déja, en quelques semaines, gagné en complicité tous les deux et je dois admettre qu'il m’était arrivé plusieurs fois de me sentir attirée par lui. Le soir méme, nous avons essayé oe - aa | d'oublier cet Episode en dinant tous les deux. Au cours du repas, nous nous sommes subrepticement rapprochés et ce qui devait arriver, arriva, typiquement la chose @ ne pas faire aprés une rup- ture: se taper son coloc. Aprés avoir ri et bu du vin pendant des heures, nous nous sommes retrouvés sur le canapé a nous embrasser et nous tripoter. Il n’était subitement plus un jeune homme timide a rougir devant un sextoy, mais un homme pétri de désir qui voulait me sauter. Tout en rigolant de la situation, je lui ai fait une proposition: « Et si on jouaitavec ma nouvelle acquisition?» \l a rougi a Nouveau et a dit qu'il était d’accord. Quitte 4 créer de l'intimité entre nous, autant y aller & fond... J'ai filé dans ma chambre et je suis revenue toute nue dans notre piéce a vivre avec mon gode massif que Charles a fixé timidement. Je a me suis étendue devant lui sur le canapé et j'ai commencé a m’amuser avec, en le collant, tout vibrant, sur mon clito et en me |'enfongant délicatement dans la chatte tout en poussant des petits gémissements. Mon coloc me regar- dait faire avec fascination, suspendu au moindre de mes gestes. J'avais les jambes repliées avec les pieds prés de mes fesses et il avait acoés & ma fente et & mon cul, que je fouillais doucement €l'aide du gode. Mais il restait comme pétrifié, Peu a peu, lui aussi s'est mis a se faire du bien devant moi en se masturbant. Sa bite mattirait, alors j'ai abandonné un temps mon jouet pour goiter 4 sa queue, moi 4 quatre pattes sur le canapé et lui debout devant moi. J'ai enfoumé son bel engin dans ma bouche jusqu’ala garde, me laissant envahir par la saveur de sa peau et |'épaisseur de sa chair, Sa queue n’était pas d'une aussi belle dimension que le gode, mais cela faisait bien l'affaire. Je I'ai fait asseoir dans le fauteuil en face du canapé et je |’ai esca- ladé pour m’enfiler sur sa bite. Celle-ci a frémi en mon intérieur et je menais fa danse de la baise en ondulant des hanches frénétiquement sur son corps, pendant qu'il pétrissait mes fesses de ses mains puissantes. Lui me fixait, la téte relevée vers moi, sur le bord de jouir, pendant que je le chevauchais, se lais- sant envahir d'un désir impétueux. Puis, s'enhardissant, il m’a soulevée pour me prendre contre le rebord du canapé et donner des coups de reins puissants afin de me pilonner la chatte. Pendant qu'on s’attrapait comme des lapins, j'ai saisi mon sextoy et je me le suis collé sur le clito, Uorgasme m’a prise toute entiére et m'a arraché des cris, qu'il cherchait a étouffer de sa main, pendant que lui-méme laissait échapper un rale de plaisir alors qu'il jouissait en Lhistoire nous avait permis de faire plus ample connaissance et, depuis, il est, lui aussi, devenu mon nouveau joujou. Kim, 30 ans, La Rochelle Je suis une jolie brunette de 23 ans et j'ai eu envie de raconter ma premiére fois avec une fille... et un mec. C’était l'année demiére. Avant ga, je n’avais jamais fait l'amour. Je n’avais pas rencontré de personne qui me plai- sait suffisamment et franchement, ga ne me manquait pas spécialement. Et puis j'ai connu Maroussia dans un cours de poterie. Je sais, dit comme ga, ga fait naze... Mais ma grand-mére m’avait offert une initiation pour mon anniversaire (une série de 8 cours d'une heure, dans un atelier pas loin de chez moi). On était cing ou six éléves en plus du prof, Abel. || avait une trentaine d’années, blond, mince et pas immense, trés sympa. Ma- roussia était la seule personne de mon Age et elle m’a fait flasher tout de suite. Grande, rousse avec les cheveux bouclés et les yeux bleu bell tankée, une belle poe. mi pe On parlait beaucoup, comme si on était copines depuis longtemps. On se textait méme en dehors du cours. Avec Abel, le courant passait bien aussi. Notre derniére séance de poterie a eu lieu le vendredi juste avant les vacances de la Toussaint. Abel, Maroussia et moi, on s'est retrouvés seulement a trois. Notre prof avait amené du vin et des trucs & grignoter pour la fin du cours, mais, comme on était en tout petit comité, on a pris l'apéro avant la legon. Ma pote et moi, on avait décidé de faire un vase en- semble, On était un peu pétées quand on s'est installées face a face, avec la terre glaise sur le tour entre nous. Abel aussi était joyeux. II s'est assis sur un tabouret @ cété de ma chaise et a parlé de nous deux. Il disait qu’on était trés belles, qu’on ferait un beau couple... Avec ma pote, on rigolait mais on était troublées. Je sentais que je rougissais. Abel s'est calé derriére moi. II respirait vite. Maroussia et moi, on faisait toujours toumer la glaise. Nos doigts n’arrétaient pas de se toucher, ga me faisait chaud dans le ventre. Notre prof regardait par- dessus mon épaule, en respirant de plus ‘en plus fort. ll m’a embrassée dans le cou et j'ai poussé un gémissement. Il est remonté le long de ma nuque. J'ai fermé les yeux. Il a passé un long moment a m’embrasser comme ga, en mettant en méme temps ses mains sous mon pull. Je ne portais pas de soutif... Quand j'ai rouvert les yeux, Maroussia était debout devant moi. Elle me regar- dait haleter pendant qu’ Abel m'embras- sait. Je n'ai pas réussi a parler, j'étais tellement excitée par ses baisers et ses mains qui caressaient mes seins... Ma copine n'a rien dit non plus. Elle s'est juste agenouillée entre mes jambes et elle a glissé ses mains sous ma jupe. J'ai fermé de nouveau les yeux. C’était trop de sensations et de senate emmélés..._ [iy Les mains d’Abel sont descendues de ma poitrine & ma jupe, qu'il a remontée. Ma chatte était sous le nez de ma co- pine. J’étais un peu génée car je n’étais pas épilée. Ma touffe était épaisse... Maroussia n’a pas eu l’air embétée. Elle m’a regardée droit dans les yeux, puis elle a mis sa téte entre mes cuisses. Le prof a plaqué sa main gauche sur mes seins, en me maintenant bien contre lui, et il a enfoneé l'autre dans son pantalon. J'ai senti qu'll sortait sa bite. Elle était dure contre mes reins. Abel a mis sa téte dans le creux de mon épaule, dans une position parfaite pour se branler contre moi tout en matant ce que Maroussia me faisait. C’était tellement excitant que j'ai dG me cramponner au bord de ma chaise. Mes cuisses tremblaient. Au bout de quelques minutes, j'ai cru que j'allais jouir mais elle s'est arrétée pile a ce moment-la. Elle a changé de technique : elle a aspiré mon clitoris et j'ai crié de plaisir... J'ai senti le prof se tendre derriére moi. Il a blotti son visage dans mon cou et a calé sa respiration sur la mienne. Maroussia sucait maintenant mon clito comme un bonbon. Mes doigts tenaient si fort la chaise que le bois a craqué. Une décharge électrique m’a traversée. Maroussia a posé fermement ses mains sur le haut de mes cuisses et a donné des grands coups sur ma chatte avec le plat de sa langue. Un hurlement incon- tdlable est sorti de ma gorge. Au méme moment, j'ai senti Abel pousser un réle. Il a Gaculé contre mes reins en se collant amd. J'étais trempée quand je me suis rele- vée. Mes jambes tremblaient a mort. Maroussia et moi, on s'est retrouvées face a face et on s'est embrassées sans un mot. On avait eu besoin d’Abel pour sauter le pas, mais maintenant, on est ensemble, rien que toutes les deux. Elise, 23 ans, Lausanne YT veTTmMasS Avec mon chéri, on s'est récemment retrouvés coincés dans |'ascenseur de mon immeuble. 'appareil s'est arété entre deux étages. Nous avons appelé le service d'aide, cela durait et le répa- rateur nous a finalement annoncé qu’il ne pourrait intervenir que dans une tren- taine de minutes. Comme nous nous en- nuyions ferme et que nous n’avions rien d’autre a faire, nous nous sommes dit que nous pourrions mettre a profit cette demi-heure pour nous détendre... C’est la que j'ai eu I’idée de faire des petites cochonneries et de nous photographier. Voyez plutét le résultat! (a a beaucoup plu a mon mec qui aime bien quand j'ai ce genre d’idées. J'ai alors déboutonné son pantalon et baissé son calegon pour le sucer, seins nus, @ genoux dans la cabine. Il bandait bien raide déja et i j'étais moi-méme bien échauffée par la situation. J'ai consciencieusement passé ma langue sur sa queue, histoire de bien l'astiquer et de le faire languir avant de l'engloutir au fond de ma bouche. C'est en général a ce moment-la qu'il gémit et qu'il me regarde amoureusement. Mon amant nous admirait dans le miroir de l'ascenseur et bandait de plus belle en posant son regard tantét entre ses jambes, observant ma bouche en train de le travailler au corps, tantét sur l'image plus globale de lui en train de se faire “honorer”. Puis ce fut 4 son tour de me faire plaisir. Il a retiré ma culotte, a écarté les levres de mon sexe et s'est mis & en caresser lintérieur et le pourtour du clitoris, pas directement dessus car il sait que cela m’excite et me fait le désirer encore plus. Ensuite, il s'est assis sur le sol de l'ascenseur et m’a fait mettre @ califourchon sur Iui, de dos, le buste penché en avant, pour explorer mes trous. Sans le voir, sentant seulement ses ca- fesses, sachant que lui voyait ma chatte et mon cul écartés, je bougeais les reins de plus belle pour qu'il s'enfonce encore plus fort dans mes orifices. Comme des pinces qui me réchauffaient de l'intérieur, ses doigts réveillaient mes deux trous offerts & ses ardeurs et je n’avais qu’a cambrer les reins dans un sens ou dans l'autre pour sentir leur pression dans mon vagin ou dans mon cul. II baladait sa bite a leur entrée et les titilait avec, sans me pénétrer pour autant. Quant & moi, je frottais et balangais mon cul en m= . amére pour sentir la bosse de sa queue entre mes cuisses et la promesse de la pénétration a venir. ll me faisait couiner de plaisir. Je me tenais ‘sur le sol avec les coudes pour qu'il tape bien au fond de ma chatte, par-derriére. J'étais moitié a quatre pattes, moitié couchée sur le sol et je sentais alors sa bite me ramoner comme jamais. Je me suis retournée pour me retrouver en amazone, cette fois face a lui. J'ai pris sa queue dans ma main pour me la fourrer hativement dans la chatte, et ce contact si intime m’envoyait des ondes de jouissance dans tout le corps. Nos bustes collants de sueur se frottaient lun @ l'autre, mes hanches remuaient pour mieux sentir sa queue au coeur de mes entrailles, nos bouches se fondaient l'une dans |'autre, liées par un baiser sauvage. Nous nous sommes relevés dans la cabine. Ga puait le sexe, mais au moins, nous n'avions pas perdu notre temps.. r | Ln Gn aadboikied J'ai 51 ans et je suis mariée a un homme de 63 ans. Je suis bien avec mon mari qui me satisfait mais j'ai, de temps en temps, en cachette, une petite aven- ture sans lendemain avec des jeunes hommes qui me font beaucoup de bien. Je pratique depuis toujours la marche & pied rapide pour me tenir en forme, c'est une drogue pour moi. Mon parcours est toujours le méme, sur le bord de mer dans notre ville de la Cote d'Azur. Le mois dernier, en fin de course, j'ai senti quelqu’un dans mon dos qui mar- chait a la méme vitesse que moi, Je me suis retournée avec colére pour exiger de latranquillité. C'était un grand homme de couleur, trés noir et trés grand, presque un géant. II a affiché un beau sourire en s'excusant de m'avoir dérangée dans mon effort. Il était aimable, beau et res- Pectueux. Il s'est présenté comme un. membre de la célébre équipe de basket de {a ville et m'a avoué qu'il m‘observait depuis quelque temps sans oser m'abor- der. Nous avons fini le parcours en par lantet en marchant. lI avait 23 ans. Nous parlions sport, course et respiration. J'ai accepté en toute simplicité en me disant qu'il allait continuer a me donner des conseils de course. Son appartement 6tait bien entretenu. Il m’a donné une serviette et m’a préparé une délicieuse boisson rafraichissante et vitaminée. Il a retiré son maillot de course et est resté en face de moi avec son buste musclé et trempé de sueur sur sa peau luisante, {I était magnifique. Mon verre terminé, je me suis levée pour partir en le remer- ciant, mais il m‘a pris doucement fa main en me disant qu'il me trouvait trés belle et qu'il avait trés envie de m’embrasser. J'ai eu un sursaut etje lui ai rappelé que j'avais trente ans de plus que lui. II m’a répondu qu'il s’en fichait et que seul \'élan amoureux était important. Je me suis approchée en lui faisant promettre de respecter ma liberté. Il me I’a promis. avec un grand sounre. Il m’a enlacée dans ses bras puissants en m'embras- sant doucement dans le cou, sur les joues et finalement sur mes lévres. Sa langue est entrée dans ma bouche avec délicatesse. Sans transition, il m’a portée jusqu’a son lit ot ii m’a allongée sur le dos. rm Il m'a posé un oreiller sous les fesses et a commencé a m’em- brasser et @ me caresser partout. Ses grandes mains me malaxaient et me pin- Gaient délicatement la peau et les seins. Trés vite, sa bouche est arrivée sur mon sexe et j'ai cru mourir. Sa langue, ses doigts, ses dents, son odeur et la mienne, tout était bon. J'ai crié ma jouissance en tenant 4 deux mains cette t8te entre mes cuisses. ll s'est alors mis debout devant mai. II Gtait complétement nu avec son sexe long et épais qui pointait de son ventre plat et musclé. Il ressemblait a une sta- tue. Il est venu sur moi et m’a pénétrée doucement et profondément. Trés vite, il apris mes jambes dans le pli de ses bras et a commence a me pistonner de plus en plus fort en m'embrassant de toute sa langue. Je tenais ses fesses mus- clées en plantant mes ongles dedans, Je 2 A ad criais sans arrét et il me répondait que j'étais belle et bonne. Au bout d’un long moment de piston, il s'est redressé en me portant. Je me suis accrochée a son cou et il s'est mis debout! ll me portait comme une poupée empalée sur lui. II était telle- ment fort, avec un corps dur de muscles, qu'il pouvait rester ainsi, juste avec une main dans mon dos et l'autre sous mes fesses, le tout en me glissant un doigt ou deux dans |’anus. Il a continué son piston de plus belle dans un bruit incroyable, €n me secouant dans tous les sens. Nos transpirations se mélangeaient. Je ne sentais plus mon vagin et je tremblais de jouissance. an Il m'a reposée doucement sur le lit et nous sommes restés ainsi de longues minutes en nous caressant mutuelle- ment pour reprendre notre souffle. J'ai mis ma téte sur son ventre plat et je me suis mise & embrasser ce sexe noir qui m’avait fait tant jouir. Son odeur était trés forte et j'aimais cela. Je |'ai pris dans ma bouche avec passion. C’était beau et trés excitant. Je le sentais vibrer encore et durcir de plus en plus. Je |'ai mis tout au fond de ma gorge avec délice. ll était heureux et m’a alors retoumée sur le lit pour me caresser les fesses en me disant tout naturellement qu'il avait tres envie de mon cul. Je n’étais pas contre, € condition d'étre prise doucement parce que cela faisait assez longtemps que mon mari ne m’avait sodomisée. II s'est mis entre mes jambes écartées et m’a embrassé |'anus de sa langue puis- sante. Avec une huile, il a lubrifié mon petit trou, abondamment et longtemps, de ses longs doigts et je me détendais complétement. ll est venu délicatement et progressivement enfiler son gros sexe dans mon cul en me pistonnant lentement. Au bout d'un petit moment, il m’a prise par les hanches pour me mettre debout, toujours enculée jusqu’a la garde. Il a mis son bras gauche sous mes seins et sa main droite est venue me prendre le pubis a pleine paume avec force, en mettant ses doigts dans mon vagin ruisselant. Il s’est redressé et m’a soulevée de terre comme une plume, en continuant & me pilonner les fesses. Je ne touchais plus le sol. Je me coingais les pieds sur ses mollets et je m’agrippais tant bien que mal a sa téte en levant mes bras en arriére, ce qui me faisait cambrer et accentuait la sen- sation de ses coups de boutoir. Je n'avais jamais été prise de cette maniére. Il me faisait monter et descendre sur son sexe avec mes seins qui sautaient sur son bras. La paume de sa main écrasait mon Clitoris et tous ses doigts pénétraient mon vagin inondé, i t Je Criais encore ma jouissance pendant qu'il miinondait le fondement de son foutre. Il m’a finalement allongée en me caressant le visage et les cheveux de sa main trempée. Mon aventure prouve que nous pouvons plaire tout Age et exciter sans probleme des petits jeunes. Je vous embrasse tous. Coco, 51 ans, sudestaplusO6@gmail.com A e flashing est une exhibition tres _—rapide en public ou dans un lieu public, le temps d'une photo. Rapide, comme le déclenchement d’un flash ! Tout se joue en quelques secondes avec, en prime, une montée d’adréna- garantie! Ensuite, l'agréable sen- timent d’avoir réussi quelque chose d'un peu fou, d'un peu risqué toujours accompagné d’une douce excitation, un jeu dont Laura et Fred, entre autres, ne se lassent pas. Pour certains, la recherche d'émotions passe par le saut a |'élastique, le parapente, les sports a risques... Pour d'autres, c'est donc ce fameux flashing. Seul risque: se retrouver au poste de police pour attentat 4 la pudeur (‘exhibition sexuelle imposée a la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d'un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d'amende, article 22-32 du code pénal. Cette pratique est née avec l'eyplosion du numérique et des sites Internet pour adultes. Le plaisir consiste ensuite a montrer ses clichés (ses exploits) sur le Net. Le premier lieu de prédilection pour s’adonner au flashing, c’est la rue, la ville. On retrouve des thémes récurrents: cabines télépho- niques, exhibe dans sa voiture, distributeurs automatiques des banques, photos prises dans |'autobus, au restaurant, dans des bou- le flashing, il faut Etre trés complice avec son partenaire. Tout se joue dans le timing et la bonne synchronisation! Et comme il faut faire vite, évitons tout ce qui est soutien-gorge ou petite culotte... La jupe, le simple t-shirt ou l'imperméable sont les meilleurs outils. A condition d’étre nue par-dessous, ou en bas et porte-jarretelles pour varier un peu. Parfois, quelques regards échangés suffisent. On scrute autour de soi, l'appareil photo est prét, on attend le moment opportun et hop! Madame ouvre son manteau ou remonte son t-shirt, monsieur cadre rapidement, appuie sur le déclencheur et le tour est joué. Puis ouf! Un demier regard autour de soi et c'est gagné! Et a ce petit jeu-la, certains sont capables de véritables exploits... Laura et Fred, par exemple, ont trouvé dans cette pra- tique le moyen de mettre un peu de fantaisie dans leur sexualité. Tout a débuté, il y a une diaine d’années. Le couple vit dans la Dréme et recherche aujourd’hui en permanence des lieux insolites ou atypiques pour faire des photos coquines: « C'est un jeu pour .

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