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Sommaire.............................................................................................................ii
Remerciements....................................................................................................iii
Introduction..........................................................................................................1
Contexte.................................................................................................................................1
Objectifs.................................................................................................................................1
Méthodologie.........................................................................................................................1
Résultats.................................................................................................................................1
Structure du mémoire.............................................................................................................1
Chapitre 2...........................................................................................................20
Conclusion..........................................................................................................30
ii
Contributions........................................................................................................................30
Critique du travail................................................................................................................30
Travaux futurs de recherche.................................................................................................30
Perspective...........................................................................................................................30
Annexe A Démonstrations.................................................................................31
A.1 Ordre d'application des définitions............................................................................31
A.1.1 Cas de base.............................................................................................................31
A.1.1.1 Sous-cas..............................................................................................................31
A.1.1.1.1 Sous-sous-cas.................................................................................................31
A.2 Récursivité mutuelle de "ERA" et "AddDefinition".................................................31
A.3 Quantificateurs dans "ComputeSolution"..................................................................31
Bibliographie......................................................................................................33
iii
Liste des abréviations
iv
Liste des tableaux
Tableau 1 : Critères du seuil de potentiel de protection selon la norme EBS 736Tiré de NACE
(2007)...............................................................................................................................11
Tableau 2 : Critères du seuil de potentiel de protection selon la norme DIN 30676Tiré de
NACE (2007)...................................................................................................................12
Tableau 3 : Comparaison des éléments de systèmes P.C [9]..................................................17
Tableau 4 : Comparaison des différents types d'anodes sacrificielles...................................19
Tableau 5 - Liste des styles définis pour les mémoires et thèses.............................................28
v
Liste des figures
Figure 1 : Exemple de revêtement blessé sans toutefois aucune trace de corrosion après........4
Figure 2 : Anode sacrificielle placée sur la coque d’un bateau..................................................5
Figure 3 : Pipelines connecté a une anode sacrificielle..............................................................5
Figure 4 : Courbes de réaction anodique et cathodique [5]........................................................7
Figure 5 : Influence de changement de diffusion d’oxygène sur les paramètres de protection. 8
Figure 6 : de la protection par anodes sacrificielles.................................................................15
Figure 7 : Principe de la protection par courant imposé [8].....................................................16
Figure 8 - Algorithme A*.........................................................................................................22
Figure 9 - Menu pour l'insertion d'une figure...........................................................................26
Figure 10 - Menu pour l'insertion d'une légende d'une figure..................................................26
Figure 11 - Menu pour l'insertion d'un renvoi à une figure......................................................27
Figure 12 - Fenêtre permettant de choisir le type de renvoi.....................................................27
Figure 13 - Définition d'un signet pour une entrée de la bibliographie...................................29
Figure 14 - Insertion d'un renvoi à une entrée de la bibliographie...........................................29
vi
Introduction
Contexte
Objectifs
Méthodologie
Résultats
Structure du mémoire
1
Chapitre 1
Protection cathodique
Le développement le plus rapide des systèmes de protection cathodique a été effectué aux
Etats-Unis d'Amérique afin de répondre aux exigences de l'industrie du pétrole et du gaz
naturel. L’objectif était de bénéficier des avantages liés à l'utilisation de tuyaux en acier à
parois minces pour la transmission souterraine. Dans ce but, la méthode était bien établie aux
Etats-Unis dès 1945.
Au Royaume Uni, où des tuyaux basse-pression ont été intensivement utilisés, la protection
cathodique a été très peu appliquée jusqu'au début des années 50. L'utilisation croissante de la
protection cathodique a résulté du succès de la méthode employée à compter de 1952 pour
protéger environ 1000 miles de réseau de carburant-ligne qui avaient été endommagés entre
1940 et 1944. La méthode est maintenant bien établie. Elle est connue pour être fiable et peu
coûteuse par rapport aux risques encourus.
La protection cathodique permet de protéger un métal contre la corrosion. Le principe de base
est de porter le potentiel d'un métal à un niveau dit de passivation. Pour modifier le potentiel
du métal à protéger catholiquement, on utilise une anode installée dans le même électrolyte.
Les anodes peuvent être soit des anodes ayant un potentiel plus électronégatif que le métal à
protéger (anode sacrificielle), soit des anodes couplées à un générateur de tension continue
imposant une différence de potentiel entre les deux métaux (méthode à courant imposé).
La protection cathodique peut, en principe, être appliquée à n'importe quelle structure
métallique en contact avec un électrolyte. Dans la pratique son utilisation principale est de
2
protéger les structures métalliques enterrées dans le sol ou immergées dans l’eau. Elle ne peut
pas être employée pour empêcher la corrosion atmosphérique.
Actuellement, cette technique est utilisée sur de nombreux réseaux transportant de l’eau,
même si elle n’est pas encore généralisée.
Les surfaces métalliques exposées à un électrolyte ont une multitude de sites anodiques et
cathodiques microscopiques. Lorsque les anodes sont plus électronégatives que les cathodes, une
différence de potentiel est créée entre elles, ce qui permet à la corrosion de se produire.
La fonction de la protection cathodique est de réduire la différence du potentiel entre les anodes
et les cathodes à une valeur suffisamment basse ou négligée. De cette manière, le courant de
corrosion est atténué selon la loi d'Ohm.[1]
Le métal qui a été extrait à partir de son minerai primaire (des oxydes de métal ou d'autres
radicaux libres) a une tendance normale à retourner à cet état sous l'action de l'oxygène et de
l'eau. Cette action s'appelle la corrosion et l'exemple le plus commun est la rouille de l'acier.
Comme on l’a vu, la corrosion est un processus électrochimique qui implique le passage des
courants électriques sur une échelle micro ou macro. L'anode et la cathode dans un processus
de corrosion peuvent être sur deux métaux différents reliés ensemble en formant un couple
bimétallique, ou, comme avec la rouille de l'acier, elles peuvent être ensemble sur la même
surface du métal.
Le principe de la protection cathodique est de relier une anode externe au métal à protéger et
de faire passer un courant électrique continu de manière que tous les secteurs de la surface en
métal deviennent cathodiques et donc ne se corrodent pas. L'anode externe peut être une
anode galvanique, où le courant est un résultat de la différence de potentiel entre les deux
métaux, ou une anode inerte, avec un système de courant imposé utilisant une alimentation de
courant continu.
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En terme électrochimique, la corrosion de l’acier suppose la formation de zones anodiques et
cathodiques à partir desquelles des courants de corrosion sont générés. Ces principes peuvent
être exprimés d'une façon plus quantitative en traçant le potentiel du métal en fonction du
logarithme des taux de réactions anodiques et cathodiques exprimées comme des densités de
courant.
Des courbes anodiques et cathodiques typiques sont illustrées dans la Figure 4.
Le courant de corrosion, Icorr, et le potentiel de corrosion, Ecorr, correspondent au point
d’intersection entre la courbe anodique et la courbe cathodique, c'est-à-dire au moment où les
taux de réactions anodiques et cathodiques sont égaux. Si des électrons sont « pompés » dans
le métal pour le rendre plus négatif la dissolution anodique du fer diminuera à un taux non
négligeable à un potentiel E1, tandis que le taux du courant cathodique est monté jusqu'à I1.
Par conséquent, un courant I1 doit être fourni à partir d'une source extérieure pour maintenir
le potentiel à E1 où le taux de dissolution du fer est à une valeur basse. Si le potentiel est
réduit à E2, le courant exigé de la source extérieure montera jusqu’au niveau I2. Dans ce cas,
on dit que le métal protégé est en surprotection.
4
Dans le cas de corrosion atmosphérique ou dans les solutions alcalines, le processus de
corrosion est celui de la réduction de l’oxygène. La cinétique de ce processus cathodique est
contrôlée par le taux de diffusion de l’oxygène à la surface du métal, qui est plus lent que le
taux de consommation de l'oxygène par la réaction cathodique. Ainsi, le taux de cette réaction
n'augmente pas même si le potentiel du métal est rendu plus négatif, il reste constant à moins
que le taux d'approvisionnement en oxygène sur la surface du métal soit augmenté.
La Figure 5 montre l'influence de changement de diffusion d’oxygène sur les paramètres de
protection cathodiques. Un courant initial I1 est exigé pour maintenir le métal au potentiel de
protection E1.
Figure 2 : Influence de changement de diffusion d’oxygène sur les paramètres de protection
Cathodique [5].
Cependant, si le taux de diffusion augmente, le courant nécessaire pour la réduction de
L’oxygène augmente (ligne pointillée) et le courant exigé pour maintenir le métal au potentiel
De protection augmente de _I. Ainsi, la densité de courant exigée pour maintenir la valeur
Correcte de potentiel de protection changera avec les conditions de service. Clairement, la
densité de courant cathodique n'est pas un bon guide pour savoir si une structure est
Cathodiquement protégée.
Si la structure était au-dessus de la protection et le potentiel a été réduit à des valeurs où la
5
réduction de l'eau (la réaction 3) peut avoir lieu (en diminuant le potentiel de E1 à E2), le
courant exigé de la source extérieure augmentera de I1 à I2 en raison de l’augmentation du
taux de réduction d’eau.
D’un point de vue thermodynamique, la protection cathodique est basée sur l’existence d’un
potentiel thermodynamique et d’un zone dite « d’immunité » visible sur le diagramme de
stabilité thermique de Pourbaix (Figure 5). Le principe de cette technique est donc de
diminuer le potentiel thermodynamique de l’acier jusqu’à ce qu’il prenne une valeur placée
dans la zone d’immunité en faisant passer un courant électrique entre une anode et
l’armature.
L’intensité de ce courant est fonction de la surface d’acier à protéger et est généralement de
l’ordre de 1 à 20 mA/m2 d’acier à protéger.
Critères de la protection cathodique :
Les critères de la protection cathodique pour une structure d’acier enterrée dans le sol ou
submergée sont déterminés par le standard de la « NACE » et définis en particulier par la
norme « SP0169 » (NACE SP0169, 2007). Cette norme énonce ce qui suit:
Le seuil de potentiel de protection cathodique relevé sur la structure d’acier par
l’intermédiaire d’une électrode de référence en cuivre-sulfate de cuivre doit atteindre la
valeur de -850 mV. Cette valeur est le critère le plus souvent utilisé pour accepter le
niveau de protection cathodique.
La valeur du seuil de potentiel de -850 mV représente le potentiel de polarisation de
la structure qui peut être réduit par la chute Ohmique créée entre l’électrode de
mesure et la structure mesurée. Pour cela, l’électrode doit être toute proche de la
structure pour réduire la chute Ohmique durant le relevé de potentiel.
Une différence de polarisation (niveau de polarisation) de 100 mV peut être
également utilisée comme un critère de protection pour une structure métallique
soumise à une protection cathodique. Ce critère s’applique souvent sur une structure
nue ou avec un revêtement endommagé où il est impossible d’atteindre le seuil de
-850 mV.
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1.5 FACTEURS AFFECTANT LA VALIDITE DES CRITERES :
Les critères de la protection cathodique peuvent être affectés par de nombreux paramètres
environnementaux et structuraux tels que la température, la bactérie, l’influence du courant
alternatif (AC) et la qualité du métal de la structure (Peabody, 1976).
1.5.1 TEMPERATURE :
Pour un acier enterré dans un sol sous une température ambiante allant de 20 à 25 oC, les
critères de protection de -850 mV (Cu/CuSO4) et une polarisation de 100 mV restent
valables. Cependant, à une température de 60C°, ces critères ne sont plus jugés satisfaisants
et auquel cas le seuil de protection doit être ajusté à -950 mV (Cu/CuSO4) et le niveau de
polarisation de 150 à 250 mV au lieu de 100 mV (Barlo et Berry, 1984).
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1.5.4 TYPE DE METAL :
Chaque métal est défini par son propre potentiel de corrosion. Ainsi, les seuils de protection
sont ajustés convenablement à chaque type de métal. Comme montré dans les tableaux ci
dessous(1) et (2), des ajustements ont été portés sur le seuil de potentiel de protection de
certains métaux dans le standard British standard «BS 7361» et Germain standard «DIN
30676».
Material Potential, CSE soil and fresh Potential, Silver-silver
water Chloride Seawater
Tableau 1 : Critères du seuil de potentiel de protection selon la norme EBS 736Tiré de NACE
(2007)
8
Material Temperature,C° Potential V cse
Or Electrolyte
Lead -650mV
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Tableau 2 : Critères du seuil de potentiel de protection selon la norme DIN 30676Tiré de
NACE (2007)
11
Figure 3 : de la protection par anodes sacrificielles.
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Nombre d’anode Important Faible
Facilité d’adapter le Adaptation possible a travers Adaptation facile
courant consommé en une liaison résistante
fonction de la demande
Risque de surprotection Pratiquement aucune Passible
Interférence avec d’autre Non Passible
structure
Risque humains Non Possible
Surveillance Aisée et occasionnelle Surveillance fréquente
requise pas un spécialiste
Les anodes galvaniques sont soumises à l'auto-corrosion qui utilise une partie de leur
Capacité. L’efficacité de l’anode est alors conditionnée par le rapport poids de l'anode
/capacité du matériau effectivement consommé. Pour cette raison, l’efficacité est inférieure à
100% [10].
Il existe plusieurs types d'anodes comme
ANODE A BASE DE ZINC :
1- Les revêtement métallique projetés a chaud
2- Les anodes en tôle de zinc adhésive
3- Treillis en zinc
4- Anodes individuelles
ANODE A BASE D’ALUMINIUM A L'INDIUM
ANODE A BASE DE MAGNESIUM
ANODE EN FONTE A HAUTE TENEUR EN SILICIUM
BARRE D’ARMATURE EN ACIER REVETU D’EPOXY
ANTICORROSION BANDES
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dont les caractéristiques et les applications sont différentes. Le tableau résume les principales
caractéristiques (valeurs typiques) des anodes les plus utilisées, avec les avantages et
inconvénients de chacune [1].
Anode a base de zinc Anode a base Anode a base de
d’aluminium a l’indium magnésium
Potentiel en charge (V) -1 a -1.05 en eau de mer -1.05 -1.4 à -1.5 type standard
-1.10 V a terre -1.6 à -1.7 type haut
potentiel
Capacité pratique 780 en eau de mer 2600 1100 type standard
( Ah/Kg) 740 a terre 1230 type HP
Consommation pratique 11.2 en eau de mer 3.4 6.5 à 8
(kg/A.an) 11.9 a terre
Rendement 95 en eau mer 87 55
électrochimique (%) 90 a terre
Application *Conduite enterrées de * plates-formes offshore *conduites enterrées sur
faibles longueurs *conduite offshore de faibles longueurs
*capacités métalliques chaude *conduites offshore sur
( intérieur ou extérieur ) *capacité plusieurs Km à partir des
métallique(intérieur ) plate-forme
*réservoirs sous talus
Avantages *excellent rendement *coût de l A/an le plus *portée élevée ( fort
*peu sensibles aux faible (forte capacité potentiel )
salissures marines pratique) *plarisation rapide de la
*comportement sûr dans *potentiel bien adapté a structure ( précipitation
les conditions diverses de la protection des du dépôt calco-
fonctionnement ( sol, eau structures complexe en magnésien en eau de
de mer , vase ) eau de mer mer)
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*Utilisation possible dans Faible poids spécifique
les citernes des tankers
Inconvénients *portée limitées ( faible *moins adaptée dans ls *force électromotrice
potentiel ) milieux faiblement parfois surabondante
*température d’utilisation renouvelés ( chute de pour la protection en eau
limitée à 60 C° rendement en ca salée
*coût A/an d’acidification du milieu) *faible durée de vie
*poids spécifique élevé *Vulnérable aux (remplacement fréquents
salissures marines nécessaires )
*rendement médiocre en
eau de mer
Coût de l’A/a le plus
élevé
Bibliographie
Il est préférable d'éviter les références à des documents du Web quand cela est possible (à
cause de leur instabilité). On peut trier la bibliographie par auteur. Cette bibliographie
comprend des exemples de livre, chapitre de livre, article de revue, article de conférence,
rapport technique, document web.
Livre, monographie
[1] Abrial, J.-R. : The B-Book. Cambridge University Press, 1996.
Article d'actes de conférence
[2] Bherer, H., Desharnais, J., Frappier, M., St. Denis, R.: Investigating Discrete
Controllability with Kleene Algebra, in Relational and Kleene-Algebraic Methods in
Computer Science (7th International Seminar on Relational Methods in Computer
16
Science / 2nd International Workshop on Applications of Kleene Algebra),
Berghammer, R.; Möller, B.; Struth, G. (Eds.), Lecture Notes in Computer Science
3051, Springer-Verlag, 2004, pp 74-85.
Articles de revue
[3] Evans, N., Treharne, H., Laleau, R., Frappier, M.: Applying CSP||B to Information
Systems, Software and Systems Modeling, 17 pages, à paraître.
[4] Fraikin, B., Frappier, M., Laleau, R.: State-Based versus Event-Based Specifications
for Information Systems: a Comparison of B and EB3, Software and Systems
Modeling, 4(3), July 2005, pp 236-257.
Ouvrage colectif
[5] Frappier, M., Habrias, H. (Eds) : Software Specification Methods : An Overview
Using a Case Study, Hermes Science Publishing, London, England, 2006.
Rapport Technique
[6] Frappier, M., Laleau, R.: Proving the Refinement of Scenarios into Object-Oriented
Models. Rapport technique CEDRIC n°277, Institut d'Informatique d'Entreprise,
Conservatoire National des Arts et Métiers, Évry, et Rapport technique n° 272,
Département de mathématiques et d'informatique, Université de Sherbrooke, Québec,
Canada, août 2001.
Article d'un ouvrage collectif
[7] Gervais, F., Frappier, M., St-Denis, R.: EB3. in Software Specification Methods: An
Overview Using a Case Study, M. Frappier, H. Habrias, Eds., Hermes Science
Publishing, London, England, avril 2006.
Livre (autre exemple)
[8] Hoare, C.A.R. : Communicating Sequential Processes, Prentice-Hall, Englewood
Cliffs, NJ, 1985.
Documents web
[9] JUnit.org. http://www.junit.org.
[10] Object Management Group: Unified Modeling Language: Superstructure v. 2.1.1,
http://www.omg.org/cgi-bin/apps/doc?formal/07-02-03.pdf
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