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D’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•1
•Qui est le professeur? Comment et où le contacter?
•2
•Le professeur
•Coordonnées
pascalmasilya@yahoo.fr
0992969148
•3
OBJECTIF
•5
•Autoécologie
•Facteurs abiotiques
–Facteurs édaphiques (liés au substrat)
–Facteurs climatiques (macro-, méso-
et microclimat)
•Facteurs biotiques
•Valence écologique d’une espèce
•Etudes in situ
•Autoécologie d’une espèce (3)
•Démographie
–Analyse quantitative de la structure d’une population par l’évaluation de
ses principaux paramètres
Effectifs, Densité
Natalité, Mortalité
Sex-ratio
Structure d’âge,…
400
(0, C1)
Valeurs successives des
300
•= nombre de captur
captures
(C1, C2)
200 •b N estimé
•maximum = -a/b
(C1+C2, C3)
100 (C1+C2+C3, C4)
0
0 100 200 300 400 500 600 700 800
capture
–La capturabilité doit être suffisante, càd p > 0,5
•1. Efforts successifs de capture (3)
1600
Valeurs successives des captures
N = (M*n)/r
•Conditions
–Le marquage ne doit pas être handicapant, càd que la
probabilité de capture des marqués doit être la même que celle
des non-marqués
–La population doit rester stable au cours de la période
d’estimation
•3. Quadrats
successifs de capture
marquage-recapture
= effet de lisière
succession écologique
•Equilibre biologique
•Ses prédateurs
•Chaîne alimentaire
•Vertebrate Planktivore •Invertebrate Planktivore
•Large zooplankton
•Nutrients (P and N)
•Relations interspécifiques
•Compétition
•…
•5 Basic types of species interactions
•Relation proie-prédateur
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•L’objectif peut être de définir les lieux de présence d’un taxon (inventaire de distribution)
ou de lister les espèces observables dans le périmètre (inventaire de site).
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
Ex 3. The new technique of fishing with lighted gillnets in Lake Kivu: panacea
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for the fishermen, Pandora’s Box for the environment of the lake!
•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Un protocole est défini comme le plan d’étude détaillé expliquant comment les données
doivent être collectées afin de répondre à la question posée. Le protocole détermine les
règles d’échantillonnage, les techniques de collecte à mettre en oeuvre et les règles
complémentaires d’application : période de mise en oeuvre, effort, etc.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•En effet, si grâce aux suivis, des évolutions et des changements peuvent être détectés
(ex : évolution des effectifs d’une population), il n’est pas possible d’en comprendre
les processus sous-jacents et encore moins les causes, sauf dans certains cas
particuliers de suivis scientifiques élaborés.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
d’identifier les facteurs qui engendrent les variations observées de la biodiversité pour
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Etudes descriptives et études expérimentales
•
•Etudes descriptives (ou « observationnelles »): n’effectuent aucune
expérimentation.
•L’observateur va procéder à des mesures d’un paramètre qu’il souhaite étudier, dans
des contextes différents, mais sans maitriser lui-même ce paramètre. Ces études, qui
des corrélations car, souvent, le facteur étudié ne peut pas être isolé d’autres variables
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potentiellement influentes sur la population considérée.
•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Etudes descriptives et études expérimentales
•
•Etudes expérimentales (encore appelées « démonstratives » ou encore «
•Ces études cherchent à définir des liens de causes à effets. En écologie appliquée,
(anthropique ou non) sur la biodiversité. Elles sont largement répandues dans le champ
de la recherche fondamentale, chaque fois que l’on cherche à mettre en évidence des
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processus écologiques.
•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Etudes descriptives et études expérimentales
•Une étude expérimentale est souvent plus lourde (en temps et en moyens) et plus
beaucoup plus puissant car elle peut mettre en évidence une causalité (plus ou moins
statistiquement significative).
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Etudes descriptives et études expérimentales
•Etude observatoire versus étude manipulatoire.
•
Deux types d’étude possibles - descriptives (observatoires) et expérimentales (manipulatoires) -
envisagées ici pour mesurer l’effet de la lumière artificielle sur des mammifères.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•2. Mésocosme = dispositif expérimental clos de taille moyenne destinés à l’étude des
polluants sur les écosystèmes (ils sont plus réalistes et représentatives des conditions
écologiques réelles car le nbre d’sp est relativement grand, la taille et la complexité sont
aussi bonnes)
•
•3. Microcosme = unité expérimentale de petite dimension où le milieu physique essaie
de représenter la complexité de la nature (les aquarium sont des microcosmes pour les
organismes aquatiques à partir du moment où ils sont remplis d’eau naturelle et avec
des organismes présents suffisamment nombreux pour représenter la biodiversité
naturelle. Dans le cas où une seule espèce est élevée en aquarium, ceci se rapproche
plus des bioessais).
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Microcosme •Mésocosme
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Écologie et mésocosmes
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Écologie et mésocosmes
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Écologie et mésocosmes
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Écologie et mésocosmes
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Écologie et mésocosmes
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
1) la formulation de l’hypothèse,
2) le protocole expérimental,
3) l’exécution de l’expérience,
5) l’interprétation
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
l’expérience.
associée à l’expérience.
•Parfois, le manque d’information touche à des aspects de l’étude aussi essentiels que
intervention (sur la biodiversité). Par exemple : quel est l’effet d’une fauche biannuelle
•Le fait de disposer d’un état initial et post-traitement permet une comparaison
temporelle (avant et après) par rapport au moment de l’intervention. Un autre type de
comparaison existe, la comparaison spatiale (site traité/site témoin) ainsi qu’une
combinaison des deux types de comparaisons (avant/après + témoin).
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Les deux grands types de phénomènes étudiés en écologie : l’intervention et
l’exposition
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Les deux grands types de phénomènes étudiés en écologie : l’intervention et
l’exposition
•Toute intervention n’est pas une expérience. En effet, pour qu’une intervention soit
une expérience elle nécessite d’être parfaitement contrôlée et donc idéalement
réalisée par les observateurs eux-mêmes. Dans le cas contraire cela revient
logiquement à une étude descriptive.
•Ex.: Si l’objectif est de mesurer l’effet de l’éclairage nocturne sur des chauves-
souris, l’expérience idéale est celle où l’observateur maitrise lui-même
l’éclairage des sites d’études ; néanmoins, si le choix des sites d’études est
bien pensé en fonction des modalités de gestion de leur éclairage, l’étude est
envisageable sans que l’observateur n’intervienne lui-même sur l’éclairage.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Les premières étapes avant le montage du protocole expérimental
•Utiliser la méthode du PICO/PECO selon que l’on étudie une intervention ou une
exposition.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•la méthode du PICO/PECO
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Les premières étapes avant le montage du protocole expérimental
•Dans une expérience, il faut maintenir constants tous les facteurs autres que celui
dont on cherche à mesurer l’influence sur la population étudiée, que l’on appelle
la « variable d’intérêt ». Les autres paramètres doivent parfois non seulement être
constants mais aussi « satisfaits ». Par exemple, si je souhaite étudier de manière
contrôlée l’effet de la quantité d’eau apportée sur la croissance de la végétation mais
que sur mon site d’étude le niveau de fertilité du sol est non constant mais nul (non «
satisfait »), de fait, aucune croissance végétative n’aura lieu quelle que soit la quantité
d’eau, donc l’expérience est ici compromise.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Les premières étapes avant le montage du protocole expérimental
•Par exemple, si une expérience vise à étudier l’effet de l’éclairage nocturne sur des
chauves-souris et que l’étude est menée en ville, de nombreux paramètres interfèreront
avec l’éclairage artificiel car la ville comprend du bruit, des sols imperméabilisés, une
structure de végétation particulière.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Les premières étapes avant le montage du protocole expérimental
•Le problème apparait si ces facteurs varient avec le facteur d’intérêt (par exemple
ici si le bruit et l’imperméabilisation des sols sont statistiquement plus forts en zones
éclairées que non éclairées). Il sera alors très difficile d’attribuer avec certitude les
résultats de l’étude précisément à l’éclairage nocturne même si les observateurs
contrôlent l’allumage/extinction de l’éclairage (étude expérimentale).
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Les premières étapes avant le montage du protocole expérimental
•Il est primordial dès le départ de bien identifier les facteurs susceptibles de faire
varier le résultat. Le protocole expérimental, et en particulier l’échantillonnage, auront
ensuite pour but de sélectionner des sites qui ne contiennent aucune forme de
perturbation ou de carence de manière à pouvoir faire varier par manipulation le
paramètre à étudier (ex : ajout ou non de lumière artificielle).
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•Les premières étapes avant le montage du protocole expérimental
•S’ils ne peuvent être maitrisés, l’important est avant tout de connaître ces facteurs
confondants et de les mesurer au cours de l’expérimentation pour pouvoir les
intégrer à l’analyse. A l’aide d’analyses statistiques multicritères il est en effet possible
de connaître l’influence de chaque facteur (et donc du facteur d’intérêt) tout en prenant
en compte l’effet des autres facteurs.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Une expérience peut être menée in-situ (sur le terrain) ou ex-situ (laboratoire)
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Plan d’échantillonnage
•Plan d’échantillonnage
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Plan d’échantillonnage
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Plan d’échantillonnage
•Echantillonnage dirigé
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Plan d’échantillonnage
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Les sites-replicats doivent, autant que de possible, être indépendants les uns
des autres, tout en conservant les mêmes caractéristiques environnementales
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Le choix de la période de l’année à laquelle l’expérimentation doit être menée est
évidemment fondamental et doit être en lien avec l’activité de l’espèce ou des espèces
étudiées.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
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•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Dans le vivant, il existe différents cycles temporels et cette variabilité peut influencer
fortement les résultats de l’expérience sans rapport avec l’expérience elle-même
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
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•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Il est donc nécessaire de répéter les mesures dans le temps pour couvrir toute la
phénologie de l’espèce étudiée (ou en tous cas la part de phénologie pertinente pour la
question traitée), sans quoi l’étude ne pourra conclure que dans la fenêtre temporelle
précisément étudiée (ex : période de reproduction, période de dispersion…).
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Les principaux types de plans expérimentaux
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Des indices plus complexes peuvent être calculés pour décrire la diversité de la
communauté étudiée, par exemple :
•- L’indice de Shannon qui mesure l’hétérogénéité au sein de la communauté étudiée,
•- L’indice de Simpson : c'est la probabilité que deux individus sélectionnés au hasard
dans une communauté appartiennent à la même espèce.
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•TRAVAIL A FAIRE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Parfois, il n’est pas possible de mesurer directement la variable d’intérêt. Il est alors
envisageable de passer par un « proxy » c’est-à-dire une mesure de substitution
permettant de mesurer indirectement ce que l’on souhaite observer (ex : le nombre de
fourmilières comme proxy de l’abondance des fourmis, le nombre de terriers de mulots
comme proxy de l’abondance des mulots, le nombre de familles d’invertébrés comme
proxy de la richesse spécifique en invertébrés…)
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Le fait de disposer d’un protocole robuste est une condition déterminante pour la
réussite d’une étude. Il est donc impératif de prendre le temps de monter ce protocole, si
besoin en effectuant des « pré-expériences » pour le tester et l’ajuster.
•L’analyse des résultats sera également une étape primordiale pour que l’étude reste
fiable et crédible. Le choix des modèles statistiques à utiliser est intimement lié au
protocole de terrain. La taille d’échantillon doit également être suffisante pour
permettre des analyses statistiques
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•DE L’INVENTAIRE DE TERRAIN A L’ECOLOGIE
EXPERIMENTALE
•LES PRINCIPAUX POINTS CLEFS D’UN PROTOCOLE EXPERIMENTAL EN
ECOLOGIE
•Il est donc nécessaire de réfléchir aussi aux traitements statistiques dès le
montage du protocole expérimental. Par exemple, le choix des sites doit aussi
permettre d’atteindre la taille d’échantillon suffisante.
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•A CHERCHER ET A LIRE OBLIGATOIREMENT
•1. Besnard, A. & Salles, J.M. 2010. Suivi scientifique d’espèces animales
Aspects méthodologiques essentiels pour l'élaboration de protocoles de suivis.
Note méthodologique à l'usage des gestionnaires de sites Natura 2000. DREAL
PACA – Pôle Natura 2000. 62pp.
•2. Bouget, C. & Nagelesein, L.M. 2009. Les études des insectes en forêt :
méthodes et techniques, éléments essentiels pour une standardisation.
Synthèse des réflexions menées par le groupe de travail « Inventaires
entomologies en forêt ». Les dossiers forestiers. 19. 144pp.
http://www1.onf.fr/outils/medias/20100517-145700-588403/++files++/1
•3. Coe, R. 2008. Designing ecological and biodiversity sampling strategies.
Working Paper n°66. 33p.
•4. Fadel, D. & Meddad-Hamza, A. 2014. Stratégies d'échantillonnages des
peuplements. Editions Al-Djazair. ISBN : 978994789
•5. Stephen R. Carpenter," Sallie W. Chisholm, Charles J. Krebs, David W.
Schindler, Richard F. Wright (1995) Ecosystem experiments. Science (269):
324-327
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EXPERIMENTALE
•TRAVAIL 2 A FAIRE
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