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Correction 

1. Le poète porte son attention sur le ciel et les nuages, il les observe :

« Oh ! regardez le ciel ! cent nuages mouvants,


Amoncelés là-haut sous le souffle des vents,
Groupent leurs formes inconnue »

2. Le poète a l’impression de voir, dans les formes des nuages, des créatures
extraordinaires :
→ un géant :«  quelque géant de l’air/Tirait son glaive dans les nues »
→ un crocodile : «voilà qu’on croit voir, dans le ciel balayé,
Pendre un grand crocodile au dos large et rayé,
Aux trois rangs de dents acérées » 
Il laisse son imagination « décoder » les formes des nuages qui se modifient au grès du
vent.

3. Le champ lexical de la lumière présent dans le poème :


«flamboie, éclair, rayon, luisent, dorées»

4 Sur l’écriture du poème :

-Les vers possèdent douze syllabes (hors vers tronqués) : on nomme ce type de vers un
alexandrin (vers très utilisé en poésie mais aussi dans le théâtre classique du XVIIème
siècle).

-Les rimes suivies :

→ exemple : au premier et au second vers avec « mouvants » et « vents »

-Les rimes embrassées :

« Groupent leurs formes inconnues ; (a)


Sous leurs flots par moments flamboie un pâle éclair, (b)
Comme si tout à coup quelque géant de l’air (b)
Tirait son glaive dans les nues. » (a)

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