':
^. ^.(0-i/É^
Saint Ambroise
MÊME COLLECTION
franco 3 fr. 50
Du même auteur. Nevinuan La Psychologie de la Foi, 4« édit.,
l volume, 3 Ir. 50; franco 4 fr,
Iju même auteur. Ne'wman, La Vie chrétienne, 5« édition,
1 volume, 3 fr. 50 franco
; 4 fr.
Ces 3 ouvrages ont été couronnés par l'Académie française (1906).
Du même auteur. Gerbet, 2« édition, i volume, 3 Ir. 50 ;
franco 4 fr.
Brune iiÈKK (Ferdinand de l'Académie française) et De
,
franco 3 fr. 50
GoYAU (Georges). Moehler, 2^ édition, i volume, 3 fr. 50 ;
franco 4 fr*
Du même auteur. Ketteler, 1 vol., 3 fr. 50; franco. 4 fr.
MicHKLET (G.), Maine de Biran, 2« édit. 1 vol.. 3 fr. ;
franco 3 fr. 50
Prat (F ), Secrétaire de la Commission biblique. Oiigène,
2e édit., i vol 3 fr. 50; franco
, 4 fr.
Rivière (Jean) Saint Justin et les Apologistes du second
siècle. Introduction par Pierre Batiffol, 1 vol., 3 fr. 50;
franio 4 fr.
Strowski (Fortunat), Professeur à l'Université de Bordeaux.
Saint François de Sales, 1 vol., 3 fr. 50; franco. 4 fr.
Ti'RMEL (J.). Saint Jérôme, 2« édition, i volume, 3 fr. ;
franco 3 Ir. 50
Du même auteur. Tertullien, 3« édition, i volume, 3 Ir. 50;
franco 4 fr.
Vaoandahd (E ), Saint-Bernard, 2« édition, i volume, 3 fr. ;
franco 3 Ir. 50
LA PENSÉE CHRÉTCENNE
Textes et Etudes
Saint Ambroise
p. DE LABRIOLLE
Professeur de littérature latine à l'Université de Fribourg (Suisse)
PARIS
LIBRAIRIE BLOUD & G'^
1908
Reproduction et tradu'-lion interdites
^ ff
SAINT AMBROISE
INTRODUCTION
^
I. — En dehors des indications fournies par les
écrivains ecclésiastiques
contemporains d'Am-
broise, spécialement par saint
Augustin (i), nos
sources principales pour connaître son
caractère et
sa vie sont la biographie écrite par le diacre Paulin
et les œuvres d'Ambroise lui-même (2).
Ce fut vingt-cinq ans seulement après la
(3)
Paulin entreprit, la
moit d'Ambroise que à
i-iiort.
—
L'ambition de Paulin, telle qu'il l'avoue
significatifs
(i) On trouvera un grand nombre d'exemples
dans l'article de M. C. Weyman, Arcliiv. f. lateinische Lexico-
graphie, 1905, I, p. 51 et suiv.
Kîassische Philologie,
(2) Voy. Ihm, dans les Jahrbncher f.
Siippleiiie,itbJ,x\'n (1890) p. 82 et suiv. —
Il ne cite textuelle-
ment Virgile que trois fois [De Abraham, I, ix, 82; II., i,
1.) ;
Êtiarr. in Ps., XLIII, xvii) : mais il insère nombre
d'expressions virgiliennes dans sa prose sans tenir compte de
la forme métrique.
(5) Voy. plus loin, p.
228.
8 SAINT AMBROISE
22 (SCHENKL, I, p. 59).
12 SAINT AMBROISE
(i) i""^ Ep. aux Corinthiens, vi, 1-4. Le texte est rappelé par
saint Ambroise, Ep. lxxxii, 3 (P. L., xvi, 1332).
(2) Cf. CuQ^, Les Institutions juridiques des Romains, t. 11
(1902), p. 886.
(3) Sur la compétence civile des évéques, cf. une brève
note de M. Edouard Cuq., lue au Congrès de Rome en 1903
{Atti del Congresso di science storiche, ix, 345).
(4) Code T/ieod,. i, xxvii, i (éd. Mommsen et Meyer, I, 11,
p. 62) « Judex pro sua sollicitudine observare debebit ut, si
:
de lui.
(i) Cf. De Fide, n, 136 et suiv. {P. L., xvi, 6n). Il est —
intéressant d'observer que, malgré son hostilité contre le prin-
cipe même de l'usure, Ambroise admet qu'on l'exerce, comme
une des formes du droit de la guerre, contre un ennemi vaincu,
mais à condition que ce ne un chrétien, ni un Romain.
soit ni
Cf. De Johia, xv, 31 (Schenkl, ^48) « ... frater autem tuus
ii,
(i) De Fide, ii, 139 : a ... ut ibi priiiiuiu fides Roiuano im-
perio frangeretur, usbi fracta est Deo. »
(2) P. Z,, xvr, 1463.
18 SAINT AMBROISE
(i) Ep, XXI, 4](P. Z., XVI, 1046). Cf. ici, p. 83.
iO SAINT AMIJROIbE
cations.
Ambroise était peu favorable à Priscillien et à
(i) K Devios licet a fide. » Ep. xxiv, 12 {P. Z., xvi, 1083).
(a) Ibid.
(3) A. Régnier, Saint Martin, Paris 1907, p. 153 et s.
(4) Le rhéteur gaulois, Latinus Drepanius Pacatus, flétrit
dans son Panégyrique de Théodose (B.ïhrens, Panegyri,:i ia-
tini, p. 2(7 et suiv.) ces évoques bourreaux « qui assistaient
euxniêines aux tortures, qui s'en allaient repaître leurs yeux et
leurs orjilles des souffrances et des gémissements des accusés ».
(^) § 3 (P. Z., XVI, 10S6).
* INTRODUCTION 2
disent que les criminels doivent être punis selon les lois
de l'Etat, et qu'en conséquence il fallait bien que des
évoques rnème accusassent devant les tribunaux de
l'Etat ces gens qui devaient, déclarent-ils, être punis
;
(.)) du 8 mai 381 (C. T., xvi, v, 7) du 23 juillet et 3 sept.
;
10) ; du 10 mars 5S8 (C. T., xvi, v. 14) ; du 11 juin ?88(C. T.,
XVI, V, is) ;du 20 mai 391 (C. T., xvi, v, 20) ; du 9 juillet 394
(C. 7., XVI, V, 24).
du 19 juillet 381 {Code Thêod., xvi, v, 8).
(i)'Loi
(2) Lois du 2 et 8 mai 318 [Code Théod., xvi, vu, i et V, 7) ;
(C. T., XVI, V, 17); du 17 juin 389 (C. T., xvi, v, 18).
(3) Lois du 20 décembre 381 {Code Théod., xvi, x, 12) loi ;
(i) Cf. plus loin, p. 163. — Sur les progrès réalisés par
Schenkl au point de vue de la constitution du texte, voy.
JiiLiCHER, dans la Theol. Litteratitr^eitung, iSijS, p. \s et s.
INTRODUCTION 3l
8
3i SAINT AMRROISE
à mort.
Or. au moment de partir pour l'Orient, Gralien s'était
ties.
RAPPORT DE SYMMAQUE
(i) Il porte dans une inscription (C. I. L., vi, 1778) les titres
suivants : Pontifici Vestce, pontifici Solis, quindecin:viro, au-
guri, tauroboliato... hierofantac. Macrobe l'appelle « sacrorum
ouiniuiii prœsul » et « princeps religiosorum » [Saturnaîia, I,
4
50 SAINT AMBROISE
tieux.
leurs immunités. » —
Voilà bien le langage des
gens incapables de penser qu'il puisse y avoir une
virginité gratuite. Se défiant de la vertu, ils se
servent de Tappât du gain. Et combien de vierges
groupe-t-on avec les primes promises ? C'est à
peine si sept jeunes filles, sept vestales, s'y laissent
prendre. Tel est le chiffre de celles que les bande-
lettes, les robes de pourpre, le faste d'une litière
dernier à mûrir.
moin oculaire...
est ille partibiis suis pro studio et cultu suo ; utique etiain
ego episcopus partes ineas debui recognoscere. »
réactionnaire (1) ».
II
(i) Compétentes =
Candidats au baptême (en grec Wwxti^oj-
uîvoi). Cf. FuNK., Kirchengesclt. Ahhandl. u. Unters., i, 224
et 228.
(2) Les decani faisaient partie de la milice palatine et rem-
plissaient des offices assez analogues à ceux des licteurs de la
République,
(3) Ces vêla indiquaient que le bâtiment devait être consi-
déré comme propriété de l'Empereur.
(4) Mtssam facere cœpi. C'est le premier
exemple du mot
niissa pour désigner le sacrifice liturgique. Cf. Revue d'Hist.
et de Littér. relig., 1897, p. 287. —
M. Kellner estime pour-
tant que dans ce passage le mot signifie simplement le con-
gédiement des compétentes. D'où une polémique dont on
trouvera les principaux épisodes dans Funk, Kirchengesch.
Ahhandl. 11. Untersuck,, m, 134-143 Hugo Koch, der
;
toute sa compagnie.
6
82 SAINT AMBROISE
contre moi.
suiv.
(i) Cf. SocRATE, H. E., VI, 8; Théodoret, //. E., 11, 24; et
III
broisty p. 107.
LE POLITIQUE 97
avait donné.
4. A la fin il ne se contint plus : « Oui, s'é-
cria-t-il, vous m'avez joué, vous et ce Bauton(i)
qui a voulu, sous le nom d'un enfant, se ménager
le suprême pouvoir, et qui a envoyé contre moi
les barbares, — comme si je n'en avais pas, moi
aussi, à lui opposer, qui combattent pour moi et
lui-même ?
bérer.
vit avec toutes ses troupes, franchit les Alpes sans ren-
contrer de résistance, et descendit sur l'Italie. Justine
et Valentinien s'enfuirent à Aquilée, puis à Thessalo-
nique. En janvier 388, Rome tombait au. pouvoir de
Maxime.
Tout eût été perdu sans l'énergique intervention de
Théodose qui, depuis longtemps déjà, voyait venir les
IV
L'AFFAIRE DE (:\LLINICUM
203,
(3) II y passa les six premiers mois de l'année 380 et on l'y
l:2tj SAINT AMBROISE
times (2).
de mon attitude.
[E:(ech., m, i8].
9
130 SAINT AMBROISE
MÈNE, vil, 25; P. G., Lxvii, 1493 (entre 443 et 450) Théodo- ;
II
LE POLITIQUE 139
broise lui fit signifier par un diacre que ce lieu était ré-
à 390.
On peut l'excuser en une certaine mesure, si l'on
ne dit nulle part qu'il ait hésité, qu'il ail eu besoin d'un
long effort pour se vaincre lui-même.
Et plus loin :
la même discrétion.
On en vient à se demander si toute cette mise en
scène à grand spectacle n'a pas été inventée par Théo-
doret, qui aurait fécondé une brève indication de Sozo-
§ 34 (P. Z
(2) XVI, 1306).
,
(3) De
Civ. Dei, v, 26. Le duc de Bboglie, art. cité, p.
661, traduit la phrase dWugustin : fcclesiastica coercitiia dis-
ciplina sic egit pdcuitenti.im ut, etc., par « 11 trouve une
justice sainte qui l'arrête au seuil de l Eglise, etc. » (sic).
LE POLITIQUE 1^5
10
146 SAINT AMBROISE
VI
(3) En 388.
(4) Cf. Df obitH Val, § 17 (P. £., xvi, 1424).
LE POLITIQUE 149
(«
Je ressens, je l'avoue, écrivait-il à Théo-
dore (2), en face de mort prématurée de l'au- la
(i) Arbogast.
LE POLITIQUE 153
*
* *
avait cessé.
11
L'EXEGÈTE
gines et le développement.
(l) Cf. Ep. VI, VIT, VIIT, XIX, XXVII à XXX III, XIIII, XUV. XLV
L, LVIII, LXIV à LXX, LXXII.
(3) Vol. XXXII, pars I, II, IV.
164 SAINT AMBROISE
P- 315-347-
166 SAINT AMBROISE
clairs en apparence.
t
l'exégêtb 167
II, 256.
(3) Cf. \e Philon, de l'abbé Martin, Paris, 1907, p. 24 et suiv.
(4) Ibid., p. 24.
168 SAINT AMBROISE
lui qui bat le grain dans l'espérance d'y avoir part (3). »
prend à la lettre.
Ps. CXVIII, IV, 16 £/>., Lxxv, i) ; une seule fois Philon (De
;
gorique (1).
SCHENKL.
(2) Il remarque {Ps. CXVIII, xvi, 28) que l'Ecriture, surtout
l'Ancien Testament, a parfois des rudesses qui en rendent
l'absorption malaisée « nisi fuerit spiritali dente resolutus. »
176 SAINT AMBROISE
l.XiQ).
après 386 de Helia et jcjiinio (7).
12
178 SAINT AMBROISE
De patriarchis (4).
Exameron (o).
De intcrpellatione Job et David (6).
•
(i) De Isaac vel anim.u iv, ai {Schexkl,!, p. 636).
l'exégète 187
est notre paix, lui qui des deux choses (Juifs et Gentils) en a
fait une seule, détruisant dans sa chair le mur de séparation,
leurs inimitiés. »
188 SAINT AMBROISE
(i) De
bouo inorlis, 43 ; Scuenkl, I, 741.
In Ps. I Exp., Liv. (P. L, XIV, 994).
(2) Voir aussi In —
Ps. cxvin, III, 16. {P. L., XV, 1293).
(3) Exaineron, III, I, i et 4 (Schenkl, I, p. 59 et 60).
13
194 SAINT AMBROISE
l'herbe ;
plante, poisson, animal domestique, je prends
les choses telles qu'elles sont dites (-.zi^j-za cl; zipr^-zoa o-j-
(i) Cf. Origène, r. Celse, iv, 38 (P. G., xi, 1085). Origèue
Yoxxîûaavcii;...
(3) Voir Athénagore, IloEj^s'a, § 22 iP. G., vi, 936) ;
LE DE OFFICIIS MINISTRORUM
(i) Cf. ScULLARD, Early Christian Elhics iji the W est. from
Clément to Aiiibrose, London, 1907.
(2) L'ouvrage est certainenieut postérieur à 586, comme le
prouve l'allusion faite (1, xvni, 72) à la persécution arienne
(exercée par Justine contre les catholiques en 385 et 386).
14
210 SAINT AMBROISE
(i) Cf. De
I, vn, 24 I, xxx, 150
Off., II, vi, 25, etc.
; ;
et l'utile.
(3) Ex. : Cic, I, 8, « et mé- Ambr., I, XI, 36, « officium
dium quoddam officium dici- autem omne aut médium aut
tur et perfectum ». perfectum est ».
Cic, I, nostro quidem
129, « Ambr., I, xviii, 79, « mos
more cum parentibus pubères vêtus fuit, ut filii pubères cum
filii, cum soceris generi non parentibus vel generi cum so-
lavantur» . ceris non lavarent ».
Cic , I, 21, « fundamentum Ambr., I, xxix, 142, « fun-
autem est justitiae fides », etc. damentum ergo est justitias
fides ».
(4) En particulier, par Saint Ambroise et la
R. Thamin,
morale chrétienne au iv« siècle. Etude comparée des traités des
Devoirs de Cicéron et de saint Ambroise, Paris, 189^.
212 SAINT AMBttOISli
de tout (i).
connaît bien. »
Il en connaît quelques autres aussi, ce me semble,
et il est telle page, dans le de Officiis même, où le re-
gard de Cicéron porte plus baut et plus loin que
l'intérêt de la rcs iiublica et que les frontières de la
15
226 SAINT AMBROISE
complété et couronné. »
part, son bon sens pratique, son intuition juste des réa-
lités le préservaient des exagérations de langage par où
saint Jérôme, sans sortir des strictes limites de l'ortho-
doxie, devait, quelques années plus tard (1), contrister
tant d'càmes pourtant excellentes (2).
*
* *
Et ailleurs (2).
(i) Ibid.
(2) De Virginitate, vi, 27 {P. Z., xvi, 386).
2i0 SAINT AMBROISE
c ni uni) (i).
16
242 SAINT AMBROISE
responsabilité.
Avant tout jugement vous vous êtes formé une
idée préconçue contre une fille à qui Zenon de
sainte mémoire (i) avait accordé son estime et
vaincu... (i)
SPÉCULATEURS ET USlJRllRS
(i) De
Offuiis, III, vi, 57 et ^i.
(î) Cette distinction n'a jamais été faite nettement par les
écrivains ecclésiastiques des premiers siècles. Voir les textes
dans Seipel, Die icirtsckaftselhischen Lehren der Kirchenvd-
ter, Wien, 1907, p. 162 et suiv. —
On trouvera une assez
vive critique de l'économie politique des « Pères » dans
L. Brentano, die wirlschafllichen Lehren des ckristlichen
Altertunis, Sitz.-Ber. der philos. -philol. u. d. hist. Klasse der
K. b. Acad. d. Wiss. zû Mùnchen, 1902, p. 141-193.
266 SAINT AMBROISE
de procurer.
I
LES SERMONS ET LES TRAITÉS DOGMATIQUES 269
LE COMMUNISME ORIGINEL
(l; Cf. I, 3.
18
274 SAINT AMBROISE
{Gen., vi, 3). Par ces mots Dieu nous révèle que
278 SAINT AMBROISE
bonne garde.
de ses servi-
par céder aux avis et aux exhortations
teurs, et il se baigna. Du coup il fut purifié, et il
qu'est cette
18. Comprends maintenant ce
le type du sacrement ?
{Jean, y, 37).
19
290 SAINT AMBROISE
de gloire ? demandaient-ils. »
On voit dans Isaïe que les Puissances des cieux
doutèrent et dirent : « Quel est celui-ci qui monte
d'Edom ? la pourpre de ses vêtements vient de
Bosor. Il est prestigieux dans sa blanche robe »
AMBROISE ET SATYRUS(2)
20
306 SAINT AMBROISK
(3) Cf. De Fide, 11, xv, 129. « Haec ego, Iiuperator auguste,
carptim ac breviter iuipolita magis proposui, quam euodata
digessi,
XIII, 32].
porten
infiA
D'abord les anciens manuscrits grecs ne
« ni le Fils ». Rien
d'étonnant à c
pas les mots
passage n'ont-ils p
qu'ils aient falsifié aussi ce
:
^
Fils de l'homme .,
quelque sorte. Jésus est appelé «
rapport, en raison de 1 igno-
et il peut, sous ce
qu'il avait prise, paraître
rance propre à la nature
venir. Mais
avoir ignoré le jour du jugement à
tant que Fils de Dieu, ignorerait- il
comment, en
t. I (1904), p. 44-
LES SERMONS ET LES TRAITÉS DOGMATIQUES 309
ROME ET LE CHRISTIANISME
gence...
LES SERMONS ET LES TRAITÉS DOGMATIQUES 31"
LA PENITENCE PRIVEE
(i) II,
5 {P.. £., XVI, 517).
I,
LES SERMONS ET LES TRAITÉS DOGMATIQUES 321
21
LNDEX DES PASSAGES TRADUITS
Cyrille de Jérusalem, 9;
71-73; 76 79 ; 87 — ; ; 307.
romaine, 93).
Batiffol (Mgr), 296 n. Damase (pape), 30.
Baunard(Mgr) 30, 124 2jo. ; Didyme, 9 26 307.
; ;
broise, 2o9 ;
— des Pères, Homicide (pénalités ecclé-
265). siastiques contre 1'
y
Editions d'A., 28. 127).
Eleuze (évèque), 10. 1 Honoratiis, 74.
Elvire (Concile d'), 127. Honorius, 157.
Empire chréiien (1'), 16; Ilydatius, 21.
23; 160. Hygin, 106.
Emprunts (païens à la Hymnes d'Ambroise, 87.
Bible, 8; 212; de la —
philo, laïque au Ciiiis- Indicia (la vierge), 243.
tianisme, 212). Irénée (saint). 169 ; 191.
Epiphane (saint;, 9; 307. Itacius, 21, 106.
Eschatolof^ie d'A., 190.
Esdras (le IVe livre d'— et Jean Chrysostome (saint),
A.), 192. 209.
Eugène (empereur), 68 ;
Jérôme (saint et — Am-
153 ; lo6. broise), 26; 207; 312.
Eusèbe (évèque de Bolo- Josèphe, 6.
gne). 229. Juifs (et Ambroise, 121; —
Eustatlie d'Antioclie, 205. et la loi romaine, 110;
Evèque (l' — au ,iv^ siècle), 125 ; — alexandrins et
13; 84. l'allégorie, 166).
Evodius, 106. Julien (empereur), 46 ;
I. — Introduction 1
IL — Le Politique 35
[L'Affaire de l'Autel de la Victoire, p. 3o Les ;
p. Massacre de Thessalonique et la
109 ; le
Pénitence de Théodose, p. 125; les derniers
jours de Valentinien II et de Théodose,
p. 147].
O. BARDENHE'WER
Professeur à l'Université de Munich
VHisloire des dogmes, dont chaque phase s'y trouve rattachée aux
personnalités qui ont le plus contribué au développement doctrinal.
J. M. BESSE, Bénédictin
ANDRÉ BAUDRILLART
ApréKé de l'Université,
ancien membre de l'Ecole Française de Rome
J.-M. BESSE
D*où viennent les Moines ?
Etude hi^tnrique (160) 1 vol.
DU MEME AUTEUR
LES MOINES DE L'AFRIQUE ROMAINE
llJe et lye sJAcles, 2 vol. (^0:^-203) Prix 1 IV. 20
V. ERMONI
LES PREMIERS OUVRIERS DE L'ÊVAXGILE
1. ~ Les Apôtres, les Evangélistes,
les Prophètes, les Docteurs {344} i vol.
"
DU MÊME AUTEUR
LES PREMIERS OUVRIERS DE L'ÉVANGILE
II. — Les Diacres, les Higoumènes,
les Liturgistes, les Pasteurs,
les Prohigouménes. le s Préposés (etc. 345) 1 vol.
JEAN RIVIÈRE
Professeur d'Ecriture sainti'
LA PROPAGATION
DANS LES TROIS PREMIERS SIÈCLES
(454-405) 2 vol. 1 fr. 20
GASTON SORTAIS
VALEUR APOLOGÉTIQUE DU MARTYRE
(340) l vol.
I. « Nuée de témoins ». H. Le martyre cl le fanatisme, lll. l a
miracle dans l'ordre moral. IV. Signalement du trai martyre.
Au Colysée. VI. Appendice. Note.
5(10 •
•;":::::'..;-rrV;,:,tj-i'
•'
- .-•..•^i-.-.iît
- ; ' - • :i; '"*.:.,
— f^f.jîWj