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Une grande partie de ces violences est encore banalisée en France. On assiste à un
phénomène de déni de ces violences et de minimisation de leur impact. Pourtant, ces
violences sont interdites par la loi(…) La prise de conscience chez les parents est
rendue difficile par l’absence de communication sur la violence éducative ordinaire.
Pour les parents qui en ont eux-mêmes été victimes, il est difficile de se départir de la
violence. Certains parents vont dire : « J’ai reçu des claques et des fessées, et je n’en
suis pas mort ! Au contraire, ça m’a fait devenir quelqu’un de bien ». D’autres disent
qu’ils « ne savent pas faire autrement ».
Mais l’enfant est un être humain à part entière qui a les mêmes droits que tout
adulte.
J’appelle les parents à être attentifs aux besoins de l’enfant et à éviter tout ce qui
altère sa sécurité. Il est aussi important de lui faire confiance.
Vous pouvez autoriser vos enfants à vous dire si ce que vous dites ou vous faites
leur fait mal.
Il faut sans doute dépasser cette peur qui consiste à penser qu’en faisant tout ça,
les enfants vont prendre le pouvoir, qu’il n’y aura plus aucun cadre. C’est faux ! Il y a
un cadre, mais un cadre rassurant et pas un cadre terrorisant.
https://lespetitscitoyens.com/
Texte :
Agissons vite, très vite, notre solidarité est vitale, soutenons l’effort national, sauvons
la vie de nos compatriotes, ils nous le demandent
L’Algérie suffoque…
Les hôpitaux sont très pris par les malades de la COVID-19, ils sont chargés. Les
malades ont besoin de nous, ont besoin de matériel, de concentrateurs d’oxygène… il
y a un besoin de matériel
Notre alerte est d’une extrême urgence. De suite, agissons tous ensemble face à cette
hécatombe de COVID-19 qui compte les centaines de morts par jours en Algérie
Texte :
Appel à un cessez-le-feu immédiat
Le Secrétaire général des Nations Unies a réitéré son appel à un cessez-
le-feu mondial vendredi, lors de la commémoration de la Journée
internationale de la non-violence, qui se déroule cette année dans
l'ombre des impacts humains et socio-économiques dévastateurs
résultant de la pandémie de coronavirus.
Cette année, nous avons un devoir particulier : mettre fin aux combats pour se
consacrer à notre ennemi commun : la COVID-19. Le seul vainqueur, au cours d'un
conflit en pleine pandémie, c'est le virus.
L'orque la pandémie a été confirmé, j'ai appelé à un cessez-le-feu mondial.
Aujourd'hui, il nous faut redoubler d'efforts pour que ce cessez-le-feu mondial
devienne une réalité d'ici à la fin de l'année, ce qui atténuerait d'immenses
souffrances, réduirait les risques de famine et créerait des espaces de négociation en
vue de la paix.
Il nous faut pour cela surmonter une profonde méfiance. Pourtant, j'entrevois des
lueurs d'espoir, dans certaines régions, la violence a cessé
Un grand nombre d'États Membres, de chefs religieux de réseaux de la société civile
et d'autres entités soutiennent mon appel
Le moment est venu d'intensifier nos efforts Inspirons-nous de l’esprit de Gandhi et
des principes immuables de la Charte des Nations Unies
António Guterres(le Secrétaire général des Nations Unies )
https://news.un.org/fr/ 02/10/2020