Pour la deuxième fois depuis que notre/votre blog existe, je vous propose un article hors-série.

Le premier avait été consacré à un épisode malheureux qui mettait en vedette un confrère
QHSE en Sierra Leone, vous vous en souvenez certainement. Sinon vous pouvez le lire en
cliquant ici. Ce type d’article a pour objectif de marquer un temps d’arrêt sur des sujets qui
n’entrent pas forcément dans notre ligne éditoriale, mais dont la pertinence mérite qu’on s’y
attarde. C’est le cas de la Cameroon Leadership Academy (CLA), une initiative que j’ai
découvert il y a quelques temps et à laquelle j’ai choisi d’ouvrir cette tribune.

Selon le Coordonnateur de la Cameroon Leadership Academy 2021, « La Cameroon

Leadership Academy est un programme de leadership annuel exceptionnel axé sur la
formation et la mise en place d’une plateforme de réseautage et d’échange d’expériences
pour 100 leaders et entrepreneurs dynamiques/actifs âgés de 18 à 35 ans. Ces participants
sont sélectionnés en fonction de leur engagement civique, l’esprit patriotique et
l’accomplissement professionnel. L’objectif de la CLA est de construire une nouvelle race de
jeunes leaders et entrepreneurs dynamiques qui sont maîtres de leurs destins et engagés à
servir l’émergence de notre pays bien-aimé, le Cameroun, et le continent dans son
ensemble  ».

La Cameroon Leadership Aacademy a été lancée en 2012, et en est à sa neuvième édition

cette année après le temps d’arrêt marqué en 2020 suite à la pandémie de la COVID 19. Le
spectre de cette pandémie planant toujours, ce sont donc 50 jeunes équitablement répartis
entre la gent masculine et a gent féminine ainsi qu’un participant venant de la France, qui
seront regroupés du 15 au 21 Août 2021 dans la ville d’Edéa au Cameroun autour du thème :
« Abnormal, the New Normal : Comment se réinventer afin de créer de l’Impact en période
d’incertitude ».

Portée par la PANAFRICAN LEADERSHIP FOUNDATION (PLF), elle-même fondée par le

Cabinet GO AHEAD AFRICA, la Cameroon Leadership Academy a vu défiler de nombreux
profils QHSE au fil des éditions, et nul doute que cette année ne dérogera pas à la règle. Si
tant il est que le métier de QHSE exige un minimum de leadership de la part des personnes
qui l’exercent afin de pouvoir influencer positivement les comportements dans le cadre
professionnel et même au-delà, je ne peux que me réjouir de ce que sortiront de là de
véritables leaders qui contribueront à leurs niveaux à Améliorer La Culture QHSE.