Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
y'a toujours quelqu'un assis La vie c’est ainsi Y’en a toujours qui s’effacent
au dernier banc de la vie la vie c’est ainsi préférant laisser leur place
y'a toujours quelqu'un devant de la boue et ces arrivés prétentieux
c'est marrant c'est marrant de la crème les moi-je les moi-je
y'a toujours quelqu'un qui pleure la vie c’est ainsi y'a toujours quelqu'un qui perd
toutes les larmes de son cœur la vie c’est ainsi un pari ou une guerre
y'a toujours quelqu'un qui rit qu’on s’en fout et toujours un qui s'en sort
c'est ainsi c'est ainsi qu’on s’en peine le plus fort le plus fort
la vie c’est ainsi
Y'en a toujours qu'on oublie la vie c’est ainsi Y'en a toujours qui se perdent
sans doute un peu moins jolies du dégoût qui se les mêlent et qui gerbent
il y a celles qu'on invite de la veine d'autres s'en tirent haut la main
Il y a toujours un regard la vie c’est ainsi ceux qui restent ceux qui meurent
qui se retrouve à l'écart la vie c’est ainsi la détresse et le bonheur
la roue du meilleur ami tu la boudes on y passerait la nuit
tourne tourne ou tu l’aimes en vain
La mort, la vilaine bête c’est que tout ça m’embête chez le Diable ou chez Dieu
est passée en courant j’avais des trucs à faire voudra-t-il que l’on danse
prendre ma vie secrète devenir une vedette le maître de ces lieux
sans me laisser le temps aligner les concerts
de prévenir ma femme je suis seul en coulisse si je deviens un ange
d’embrasser mes enfants et ce théâtre est vide j’reviendrai mon amour
ce que devient mon âme j’n’ai vu aucune affiche émailler tes dimanches
est le moins mon tourment je vais me prendre un bide monter la terre au tour
j’voulais me pincer d’abord j’me rappelle plus de rien j’n’ai pas peur de l’enfer
parfois un mauvais rêve j’sais pas c’qui m’a tué mais je crains le jugement
mais je n’ai plus de corps j’me sens r’lativement bien leurs prisons comme sur terre
plus d’avant plus de siège mais j’ignore où je vais sont remplies d’innocents…
j’avais d’mandé qu’on m’brûle ceux qui y sont déjà
ça semble avoir marché savent-ils que j’arrive Suis-je dans la salle d’attente
j’suis plus qu’une particule et ceux qui restent en bas chez le Diable ou chez Dieu
un rond bleu de fumée vont-ils un jour me suivre verra-t-il que je tremble
Suis-je dans la salle d’attente
Suis-je dans la salle d’attente là dans la salle d’attente chez le Diable ou chez Dieu
chez le Diable ou chez Dieu chez le Diable ou chez Dieu verra-t-il que je tremble
voudra-t-il que je chante voudra-t-il que l’on danse le maître de ces lieux
Suis-je dans la salle d’attente là dans la salle d’attente le maître de ces lieux
chez le Diable ou chez Dieu
voudra-t-il que je chante
le maître de ces lieux
Couvre-toi bien
il pleut tant de bêtises
d’hommes soldats
de détectives
chiens de mafia
chasseurs de grives
comment est celui
dont tu repasses
les chemises
Que vous ayez mes fées gâteaux glace au café les mots sont mesurés
été mannequin chez Dior et l’amour pour finir tout est dans le visage
défilé pour Gaultier si un homme vous lâche le charme le message
qui sait plus mince encore pour plus jeune ou moins ronde disons qu’ j’aime mon prochain
quand je vois ces plates-formes après la mise au monde surtout quand elle est bien…
je donne sans soucis les génisses deviennent des vaches
ma préférence aux formes
d’une tuile arrondie Les collections d’ été
Que vous ayez plutôt chaque année vous invitent
les allures d’ une amphore à diminuer les frites
l’enrobé cacao avant chaque pesée
d’un caramel Côte-d’Or les régimes ont la cote
dans le respect des normes une semaine ou deux
je ne compterai pas vos plis le temps que les biscottes
car je sais que bonhomme vous sortent par les yeux
en a pas mal aussi Avec les heures de vol
on sait que les humains
Femme globe où fluette un peu comme les bagnoles
la beauté est secrète demandent plus d’entretien
cachée à l’intérieur et si rien ne se gomme
ménagère ou athlète dessous les aquarelles
l’harmonie c’est la tête les rides gardent belle
et le corps et le cœur une jolie personne
Et si le flou a l'avantage
J'attends que tu m'invites dans ta vie Je sais qu'on ne peut être sûr
comme l'ombre attend midi qu'il ne faut jurer de rien
pour revenir à la lumière que trop nombreux sont les chemins
j'attends qu'il y ait place dans ton lit je veux en avoir le cœur clair
comme le chien attend assis et si j'avais raison d'y croire
un regard qui le libère et si enfin tu m'aperçois
je donnerai tout pour un égard
je ne vis que pour ça
Je sais les mots que tu ne dis pas
ma peau connaît tout de tes mains
tu es l'absence de mes matins
le feu de mes nuits solitaires
et si la peine a ses raisons
et si le chagrin s'installe
je ferai que la chanson
ne finisse pas mal
Sa peau café
dans le satin
ses yeux ses seins
je suis cassé
je m’imagine
être la brise
le vent qui chine
sous sa chemise
S'il pleut
devant le soleil ‘’Iyo invura iguye, urindira gato kugirango
attends un peu izuga ritange umuco mwiza’’
que se colorie le ciel
Prononciation : Iyo invoura igouyé ourindira gäto
kougirango izuga ritangué oumoucho mwiza
L'horizon sert d'écran aux images
le projecteur est dans les nuages
Traduction du Kirundi: ‘’Quand la pluie tombe, il
le temps d'un clap moteur on tourne faut attendre un petit moment pour que le soleil
ce sera trop tard si tu te retournes donne le bon temps’’
je ne sais rien de toi de ton être
un seul désir mieux te connaître
je cherche mille et une raisons
pour éviter que tu dises non