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CC D’ELECTRONIQUE 2011-2012
EXERCICE I :
PROBLEME :
EXERCICE I :
Fonction de transfert = ( )
Les états (bloqués et passants) des diodes D et D’ dépendent des valeurs que peut prendre la
source . Toutes les éventualités sont regroupées dans le tableau suivant :
| | D et D’
1
> 0,7 Une seule diode est passante = ( 0,7)
2 2
PROBLEME:
A. Expression de en fonction des
Emetteur commun
11 12 (1) 11 12 (3)
21 22 (2) 21 22 (4)
De (1) on a :
11 12
11 ( ) 12 ( + ) = ( )+ (5)
1+ 12 1+ 12
De (2) on a :
21 22
21 ( ) 22 ( + ) = + ( )(6)
1+ 21 1+ 21
21 22 11 12
= + + ( )+
1+ 21 1+ 21 12 12
22 11 21 11 22 22 12
D’où 1 + (1+ = + (1+ + 1+
21 )( 12 ) 1+ 21 21 )( 12 ) 1+ 21 12
(1+ 21 )( 12 ) 21 ( 12 ) 11 22 22
On a donc = (1+ × + (1+
21 )( 12 ) 22 11 (1+ 21 )( 12 ) 21 )( 12 )
21 ( 12 ) 11 22 22
Et donc = (1+ 21 )(
+
12 ) 22 11 (1+ 21 )( 12 ) 22 11
Par identification, on a :
21 ( 12 ) 11 22 22
21 = 22 =
(1 + 21 )( 12 ) 22 11 (1 + 21 )( 12 ) 22 11
11 21 22 12
= + ( ) +
1+ 12 1+ 21 1+ 21 1+ 12
11 22
1+ .
1+ 12 1+ 21
11 21 11 22 12
= + +
1+ 12 1+ 21 1+ 12 1+ 21 1+ 12
( 1+ 12 )(1+ 21 ) 11 11 22 12 ( 1+ 21 )
D’où =( 1+ 12 )(1+ 21 ) 11 22
[( 1+ 12 )(1+ 21 )
+ ( 1+ 12 )(1+ 21 )
11 12 ( 1 + 21 ) 11 22
= +
( 12 )(1 + 21 ) 11 22 ( 12 )(1 + 21 ) 11 22
11 12 ( 1+ 21 ) 11 22
11 = 12 =
( 12 )(1 + 21 ) 11 22 ( 12 )(1 + 21 ) 11 22
B. Schéma équivalent
1) Calcul de /
( ) + ( + )
On a : = . + = +
0 0
+
D’où 1 + =
0 0
Et donc,
0 0
= + = ×
1+ 1+ 1+ + 0
0 0
2) Calcul de /
On a :
= +( + )
= ( + )+( + )
= +( + + )
+
1+
0
= +( + + )
0
+
1+
0
= +( + + )
0
D’où
= +
1+
+( + + ) 0
0
= = +
1+
0
Pour = 0, 0 = D’où
1 +
0
1 + 1+
0 0 0 0
= + × = ×
0 1+ 1+ +
0 0 0
0
=
1+ + 0
= = +
1+
+( + + ) 0
Pour = 0, = où
( + ) +
+
= ×
0 1+
+
. 0
+( + + ) 0
0
( + ) + 0
= .
+( + + ) 0+ + . . 0
0
0
( + ) + 0
= ×
( + ) + + 0
+ (1 + ) 0
+ 0
0
= (1+ ) 0+ + +
où
1+ ( + ) + 0
.
0
= 0. (1+ ) + + +
< 0 donc < 0
1 + ( + 0) + 0
.
EXERCICE I :
EXERCICE I :
EXERCICE I :
(1) =0 =
(2) + =0
×
Or = = = +
Donc = = ( )( )
(1 + ) +2
+2
2) Limites de | |
=
1+
3) Valeur de pour =
Valeur de
On obtient donc : =0 =
1
=
Valeur de
( ) = =
1+
1
=
1+1
1
=
2
1
=
2
4) Calcul de vs
= = =
+ 10
10 10
= =
( 10 )
=
( + 10 )
A.N. :
EXERCICE 3
1)
- Cet amplificateur possède 2 étages
- Le type de montage utilisé est un montage émetteur commun.
Av2 =
En utilisant la maille 1, on a :
Us1 – rib2 – RE(1 + )ib2 = 0
Us1 = [r + RE(1 + )]ib2 (a)
Us = RU.is (b)
Noeud (1) is = ib2 + ic or ic =
is = ib2 + or Us = RU.is
is = ib2 (c)
Us = Ru.is = ib2
Av2 = [ ( )]
Av2 =
[ ( )]( )
Ie1 = ib2 + ia
Dans la maille (1) R .ia – rib2 – RE(1 + )ib2 = 0
( )
ia = ib2
( )
Ainsi ie1 = (1 + )ib2
[ ( )]
D’où Re2 = ( )
( )
[ ( )]
Re2 = ( )
EXERCICE I :
Soit un transistor à jonction en emetteur commun. Ses paramètres hybrides sont alors h11E,
h12E, h21E, h22E. si le même transistor est monté en émetteur collecteur commun, ses
paramètres hybrides sont alors h11C, h12C, h21C, h22C. ces paramètres deviennent h11B,
h11B, h21B et h22B s’il est monté en base commune.
1. Etablir les expressions de h11C, h12C, h21C, h22C en fonction de h11E, h12E ,
h21E, h22E
2. Trouver les expressions de h11B, h11B, h21B et h22B en fonction de h11E, h12E,
h21E, h22E
EXERCICE II :
Soit l’amplificateur à deux étapes de la figure E.6.14. Les deux transistors sont identiques par
leurs paramètres hybrides en émetteur commun.
H11E = r ; h12E = 0 ; h21E = ; h22E = 0
Pour les applications numériques o, donne les valeurs suivantes : RC = 1 k ; r = 1 k ; =
150
C = 0,5 F C’ = 1 F ; RU = 50 Rg = 50
R’ et R’’ très grands n’interviendront pas dans les calculs
EXERCICE I :
= +
h11C = h11E
* h12E = =
= +
= - + 1
h12C = 1 – h12E
* h21C = =
= 1 +
h21C = 1 + h21E
2. Etablirh11B, h11B, h21B et h22B = f(h11E, h12E, h21E, h22E)
En base commune les relations E/S sont les suivantes :
v = h i + h v
i = h i + h v
* h11B =
vBE h11E
ie v = 0
= (1 + h21E ) + h11E h22E
or h12E 0
CB
d’où h11B = ( )
ic
* h22B = vCB i = 0
= 0
b
D’où : h22B = ( )
h21B = ( )
EXERCICE II :
b) AV2 = ?
V’e= h11 ib
( // )
AV2 =
c) Re2 = ?
Re2 = =
d) Re1 = ?
Re1 = Re2
Re1 = r // R’ // R ’’ // RC
e) AV1 = ?
AV1 =
Ve = h11 ib
// //
AV1 =
f) AV0= ?
AV0 =
=A U
US = AV2 AV1Ue
U = A
( // ) // //
AV0 =
( // // // )
AV0 = ²
-Basses fréquences
CC D’ELECTRONIQUE 2010
EXERCICE I :
EXERCICE II :
Dans chacun des trois circuits de la figure 2, déterminer l’état (passant ou bloqué) de la diode.
Si oui déterminer le courant qui traverse la diode. Les diodes sont considérées idéales,
VD = 0,7 V
(on pourra calculer les tensions entre les points A et C pour conclure sur l’état de la diode)
EXERCICE III :
Dans le montage de la figure trios les deux transistors sont supposes identiques et possèdent le
même gain .
1. Déterminer et représenter la droite de charge statique pour un des transistors
2. Calculer le courant IB qui entre dans la base de chaque transistor.
3. Calculer le courant IC et en déduire les tensions VE et VCE
4. calculer la puissance dissipée dans chaque transistor
= 100 ; V E = 0,7 V
Figure 3
EXERCICE I :
1. forme de u(t)
40 2
URmoy = E 2 sint dt
URmoy 0,90 E
A.N. URmoy = 0,90(40)
URmoy= 36 V
* Courant continu de charge
IRmoy =
,
IRmoy =
, ( )
A.N. IRmoy =
IRmoy = 0,12 A
Emax = E 2 = 40 2 = 56,56 V
2 Emax = 2( 56,56)
2 Emax = 113,13 V
4. PIV
PIV = Vinv = VC - VA
= Ue – (-Ue)
PIV = 2 Ue
PIV = 113, 13 V
5. EDmoy
IDmoy =
IDmoy = 0,06 A
URmoy = E 2 sin t dt
URmoy = 0,45 E
IRmoy =
IRmoy = = 0,06 A
EXERCICE II :
Etat des diodes
Cas 1
D est passant
- Courant de diode
Eth = E = 2,86 V
Rth = R1//R2 =
Rth = 28,6
Finalement on obtient
ID =
, ,
A.N. ID = ,
ID = 75,5 mA
Cas 2
VAC = Vth = E - E
= E
= E E
Cas 3
VAC = VA - VC
= E – R1I – E
= -R1I < 0
VAC< 0,7 V
Diode bloquée.
EXERCICE III :
D’où ( ) : IC =
A.N. IC =
IC = ,
[ Points principaux : A 0, , B (V , 0) ]
Représentation
2. Courant de base IB
IB =
,
A.N. IB =
3.
IC = IB
A.N.
VE = 2 x 6,87 = 13,74 V
4. puissance dissipée
P = VCEIC
A.N. P = 2,17 x 6,87.10-3 = 14,9.10-3 W d’où
P = 14,90 mW
EXERCICE I :
Dans le Montage ci-dessous, les amplificateurs opérationnels sot considérés comme idéaux
1. Calculer les tensions VS1 et VS2 à la sortie des amplificateurs A01 et AO2+.
2. Quelle fonction réalise l’amplificateur AO1 ?
3. Calculer la tension VS en fonction de VS1 et VS2, puis en fonction de V1 et V2.
4. quelle relation doit exister entre Re, R0, R et R’ pour que le montage représenté à la figure 1
soit un montage additionneur de tension c’est-à-dire Vs = A(V1 + V2) où A est une constante
que l’on déterminera.
Figure 1
EXERCICE II :
1.Soit le circuit de la figure a), on donne VZ = 18 V, ZZ = 2 , RS = 68 et S = 27 V.
Calculer le courant Zener et trouver la variation de la tension de charge VR si VS augmente
jusqu’à 40V
2. On suppose que la tension au secondaire du transformateur représenté à la figure b) est de
60 V.
a) Calculer la tension continue de charge et en déduire le courant moyen qui parcourt chaque
diode.
b) Calculer la PIV entre les bornes de chaque diode.
PROBLEME :
Soit le circuit du montage représenté par la figure ci-contre
1. Etude statique
1) Donner l’expression de l’équation de la droite de charge et représenter la.
2) Calculer le courant IB en fonction de R1, R2, RE, RC, VBE et VCC et en déduire IC
3) Donner les expressions de la tension émetteur et collecteur par rapport à la masse
2. Etude dynamique
Le transistor est caractérisé par les paramètres hybrides hij
h11E = r h12E = 0 h21E = h22E = -1
Le montage fonctionne en régime de petits signaux et la fréquence de travail es telle que l’on
peut considérer les découplages et liaisons comme parfaits.
1) Donner le schéma équivalent du circuit pour le régime de variations
2) Préciser le type de montage du transistor T.
3) calculer le gain en tension AV et le gain en courant AI du montage.
4) Calculer l’impédance d’entrée du montage.
5) Donner le principe (schéma à l’appui) de la détermination de l’impédance de sortie du
circuit.
Calculer l’impédance de sortie du montage pour une attaque en tension d’entrée avec un
générateur de résistance interne rg.
EXERCICE 1:
1) Calcul des tensions à sortie des amplificateurs
D’après millmann
= = =0
+ =0
= =
+
= = 1+
2) L’AO réalise la fonction d’amplificateur inverseur
3) Calcul de = , ( , )
+
=
+
+
=
+
=
+
AOP ideal = + = ù
+
= = +
4) Relation entre , , = ( + )
Il faut que = ( + )=
D’où = =
EXERCICE 2 :
Soit le circuit de la figure a)
= 18 , =2 ; = 68 = 27
Dans la maille ( + ) =0
= : = 128,57.10
+
Variation de la tension de charge [27,40 ]
= + = = =
+ +
= 0,371
= 60 ; = 400
Calcul de la tension continu de charge et le courant moen de chaque diode
1
=
2
= 2 sin( )
Pour = =
À = 0, = 0, = , = =
2 2
= 2 sin( ) = 2
2
2 2 2
= [ ] =
2 2
= : = 54
= = : = 67,5
2 2
a) = 2 : = 60 2 = 87,85
PROBLEME :
A- Etude statique
1) Expression de l’équation de la droite de charge
1
= + + = + + 1+
= +( + )
ù =
+ +
Calculons = ( , , , , , )
=
+
=
+
D’où le schema equivalent
D’après la maille d’entrée, on a :
= + + (1)
1; =
(1) devient =( + )
= =
+ +
( + )
=
+ ( + )
( + )
= = .
+ ( + )
= =
B- Etude dynamique
= , =0, = =
Par la maille : + + =0
+
( + ) =( + ) =
+
( + )
+
+
=
+
+ + = = ( + )
+
= + +1
+
+
=
+
=
+ +1
( + )
( + )( + )+ ( + )
= ;
=
+ +1
( + )
=
( + ) + ( + )( + )
Principe de la determination de l’impédance de sortie du circuit
Déconnecter l’impédance de sortie (si elle existe ) supprimer tous les générateurs autonomes
ou indépendantes connecter un générateur de tension à la sortie du circuit qui débite un
courant mesuré à l’aide d’un amperemetre
Effectuer le rapport =
On a = \\ \\ ; = = (2)
La maille on a : + + + =0
+ + =0 (3)
+ +
EXERCICE I :
Soit un amplificateur opérationnel idéal (AOP). Etablir la relation entre VS et Ve sous la forme
VS = f(Ve)
EXERCICE II :
EXERCICE III :
I. Dans le montage ci-dessous le courant collecteur et le courant de base sont liés par a
relation ic = sib
Avec s 60.
On done U0 = 12 V, R0 = 60 k , Rb = 60 k , RE = 1 k , RC = 1 k .
II. Dans le montage amplificateur de la figure ci-dessous, le transistor est caractérisé par ses
paramètres hybrides en émetteur commun : h11E = r = 1 k , h12E = 0, h21E = = 150, h22E = 0
fig III.2
EXERCICE 1:
- détermination de = ( )
figure 1
Figure 2
( + + + )
+ + +
Figure 1.3
1
=
EXERCICE 2:
= diviseur de tension
1
=
1+
1
=
1+( )
arctan( )
1 ( )
=
1+( )
1
= arctan ( )
1+( )
- Allure de la courbe ( ) = 20
1
( ) = 20 log = 10 log(1 + ( ) )
1+( )
lim ( ) = 0, lim ( ) =
10(2( ) )
( ) 0 0
1+( )
W 0 +
( ) 0
0
( )
EXERCICE 3:
I) = , 60
( )
=
+ 1+
12
= = 5,65 0,496
10 + 10 1+
On donne
= =0 = =0
C D’ELECTRONIQUE 2003
QUESTIONS :
On applique une tension de 15 V entres les bornes d’une diode Zener et un courant de 20 mA
la traverse. Calculer le puissance dissipée.
La puissance limite et tension d’une diode zener sont respectivement 5W et 20V. Calculer
IZmax.
Suppose qu’une variation de 2mA du courant qui traverse une diode Zener produit une
variation de tension de 15mA et calculer la résistance Zener.
PROBLEME :
Amplificateur à transistor : base commune
Polarisation
En déduire un condition sur les résistances pour que la polarisation soit peu dépendante des
variations du du transistor.
avec rB =
Et VT 25 mA à jonction 25°C
e. fréquence de coupure : fCB. On suppose que les condensateurs c1 et C2 n’intervient pas pour
la fréquence de coupure basse. Déterminer l’expression de fCB et en déduire la valeur de CB
pour obtenir fCB = 1,5 kHz
EXERCICE I :
Répondre par vrai (V) ou faux (F) aux déclarations dans l’exercice.
a) on applique une tension constante à l’entrée du circuit, soit Ve = 5V. n obtient en régime
statique Vs = 5V
e) Si la fréquence du signal de l’unité est très supérieure à (1/2 R1C1) alors al tension V(t) est
en quadrature retard par rapport à VR(t)
PROBLEME :
Le circuit est alimenté par une source de tension sinusoïdale. Le circuit n’est pas chargé, la
sortie est à vide
En appliquant la loi des nœuds aux points A, B, et D calculer la fonction de transfert T(jw) =
V2/V1 et la mettre sous la forme canonique du rejecteur de bande
Déterminer l’expression de w0 et la valeur de m
(1 x)Ru
xRu avec 0 x 1
EXERCICE I :
+ =0
1+
+ =0
= (1 + )
c) On a , = , =
Au noeud E, on a = +
= +
d) Au noeud E, on a on a = +
= +
( ) cos( ) ù =
5
2(sin( ) + cos( )) 2 2 sin + = 2 2 sin +
4 4
5
= 2 2 sin +
4
e) D’après b) = +
Or =
3
= + =
2 2
PROBLEME
1) Expression de et valeur de m
Noeud D: = + = 0 or pas de charge =0
Recherche de : Pour cela on trouve d’abord puisque on a =
et =
Théorème de millman aux points (noeuds) A et B
+ +
= =
+2 2(1 + )
+ + +
= = =
2 + 2 1+ 2(1 + )
Alors:
+
= =
2(1 + )
2(1 + )
=
2(1 + )
= [(2 + ) ](1)
2(1 + )
1 + 1
= = = [ 2(1 + ) ]
2(1 + ) 2 (1 + )
1
= [(1 + 2 ) ] (2)
2 (1 + )
(1) (2)
+ =0
1
[(2 + ) ]+ [(1 + 2 ) ]
2(1 + ) 2 (1 + )
1 1
(2 + ) . + (1 + 2 ) =0
[2 +( ) +1+2 ] +[ ( ) 1] =0
D’où on a :
1+( )
= = ( )
1+4 +( )
1+ 1+
( )= =
1+2×2× + 1+ +
1
= =2
1
=
2
+
1
=
2
+
1 1
=
2
1+
=2 1
2
1=0
2 2
+1 1 =0
1 4
| ( )| = ( ) =
1+ ( )
| ( )| = 20
0
( ) 0°
| ( )| = 3
= ,
( )
| ( )| = 3
= ,
( ) =+
| ( )| = 0
= ,
( ) =
+
On a un suiveur de tension réalise par l’AOP (1) d’où = et la charge place en D par
rapport à la masse est infini. De meme l’AOP (2) est un suiveur
= = =
+( )
+ =0
+ +
+ + 2
= =
+ + 2(1 + )
+ + + +2
= =
2 + 2(1 + )
+ (2 + )
= =
2(1 + )
= [(2 + 2 2 ) ]
2(1 + )
1 ( + +2 )
= =
2(1 + )
1 1
= . [(2 + 2 2 ) ]
2(1 + )
Alors + =0
[(2( )+ ) ]
2( + )
1 1
+ . [(1 + 2( ) ) =0
2(1 + )
[ 2( ) +( ) + 1 + 2( ) ] +[ ( ) 1] =0
[1 + 4( ) +( ) ] [1 + ( ) ] =0
1+( )
( )= =
1 + 4( ) +( )
1
= = 2(1 )
2
: = ( 9,9) = 3978,87
EXERCICE I :
1N4002 1A 105Mv
4. Représenter sur un même graphe les courbes de la tension de secondaire et celle aux
bornes de la charge
EXERCICE II :
Soit le stabilisateur Zéner de l figure 2, la diodeséner est caractérisées par VZ=3V, Izmin=5mA,
Izmax=433mA. La résistance = 5 et la tension de source varie entre 4,5V et 5,5V.
EXERCICE III :
EXERCICE I :
1. Représenter sur un même graphique pour chacun des cas les courbes de la tension du
secondare du transformateur et la tension aux bornes de la charge.
2. Etablir l’expression de la tension continue de charge dans chaque cas.
3. Calculer dans chaque cas la tension continue de charge et le courant moyen qui
parcourt chaque diode
4. Calculer dans la PIV de diodes.
5. En se basant sur les résultats des calculs obtenus précédemment dire en quoi ces deux
circuits sont identiques et donner l’importance du redressemnt double alternance sur le
mono alternance dans chaque cas.
Figure 2
EXERCICE II :
EXERCICE III :
Etant donné un montage émetteur commun, le transistor est caractérisé par ses
parametershybrids en émetteur commun. = = 0, = =
EXERCICE I :
Ve
Vs
EXERCICE II :
Soit le filtre suivant:
EXERCICE III :
Etant donné le montage émetteur commun stabilize en temperature ci-dessous. Le transistor
est caractérisé par ses paramètres hybrides en émétteur commun : = = 0; =
=
EXERCICE I :
A- Vous disposez d’une diode 1N4001 dont la tension inverse limite de crête est de 50V
et le courant limite 1A. Vous désirez réaliser le redresseur de la figure 1.
1) Écrire les équation que doit satisfaire pour que la diode puisse être monté dans le
circuit sans danger.
2) Supposer à présent que = 20
a) Calculer la tension moyenne
b) Calculer le courant moyen qui circule dans la résistance de charge
B- Deux diode du type ci dessus sont placées dans le circuit de la figure 2
EXERCICE II :
Soit une diode zener . Une variation de 2mA du courant qui la traverse produit une variation
de la tension de 15mV.
a) Quelle doit être la valeur minimale de pour que cette diode fonctionne dans la
région de braquage
b) On fixe = 40 . Calculer le courant Zener de la diode
EXERCICE III :
Soit l’amplificateur représenté par le figure 5 suivante,
EXERCICE IV :
Soit le montage de la figure 6
Le transistore est caractérisé par ses paramètres hybrides en émetteur commun
= = 0; = =0
1) Etablir le schéma equivalent en regime de variation
2) Calculer l’amplification complexe = . On négligera 1 devant
3) Quelle est la limite lorsque la pulsation w tend vers l’infini
EXERCICE I :
PROBLEME :
EXERCICE I :
1. ( ), infT et inversible / =
2. Sous la contrainte que ses coefficients diagonaux soient strictement positifs, la
matrice vérifiant (1) est unique.
3. Avec cette contrainte sur L, (1) est appelée factorisation de Cholesky de la
matrice S.D.P.
3) Grandes lignes de la méthode
= )
= 2(1) , =
= 1(1) , = =
= + 1(1) , = .
2) Utilité
Elle réduit la propagation des erreurs d’arrondie.
3) Procédure PIVOT_PARTIEL
Procédure PIVOT_PARTIEL (var A :matrice, var b :vecteur, k :entier)
(*Objectif : choix et positionnement d’un pivot en (k,k) supérieur en valeur absolue à tous les
autres éléments de la colonne k*)
(*données : - ), telle qu’issue après l’élimination des colonnes 1à k-1, ie sup.T
jusqu’à la colonne k-1
- , 2nd membre après l’élimination des colonnes 1 à k-1
- [1(1) 1] indice de la colonne sur laquelle on doit
maintenant éliminer*)
(*Résultat : A et b éventuellement modifiées par le positionnement du pivot*)
Variables locales : i, j, imax : entier ;
Aux :réel ;
Début(*PIVOT_PARTIEL*)
i k;
imax i ;
pour i=k+1(1)n faire
si(|A(i,k)|>|A(imax,k)|)faire
imax i ;
finsi
finpour
(*permutation des équations i et k si i k*)
Si (imax k)alors
Pour j=k(1)n faire
Aux A(k,j) ;A(k,j) A(imax,j) ; A(imax,j) aux ;
Finpour ;
Aux b(k) ;b(k) b(imax) ; b(imax) aux ;
Finsi
Fin(*PIVOT_PARTIEL*)
PROBLEME:
I- Relation entre et
Soient , dérivable, et 2 réels distincts , .
2)
a) Montrons qu’on a : : ( ) ( ) = .( )(
)
Posons ( ) = ( ) ( )( )
On a :
On pose :
1) Montrons que l’erreur globale de l’approximation de par sur [a,b] est majorée
par ( )
Hypothèse : Supposons que f est de classe sur [a,b].
Posons ( )=( )( )
On a , par changement de variable :
= ( ), ,
3
s 0 1/3
1
( ) - +
( ) 0 1
-1/3
On a donc :
( ) ( )(
| ( ) ( )| × ( ) ( ) = sup )
3! 3 [ , ]
( )
| ( ) ( )|
18
Par identification, = , ( )= ( ), = 2
2) Calcul de
a) Sous sa forme de Newton
( ) = ( ) + [ , ]( )
( ) ( ) ( ) ( ) 3
[ ]= =
3 ( ) ( )
( )= ( )+ ( )
( ) ( )
( )= ( )+ (3 2 )
( ) = ( ) ( )+ ( ) ( )
3( ) 3( )
( )= , ( )= ,
3 ( )( ) 3 ( )( )
( ) +
( ; [ , ]) = ( ; [ , ])
= ( )
( )( ) ( )( )
= 3
3
( )( ) ( )( )
3
( ) ( ) ( ) ( )
( )3 ( )1
+
4 4
=
Par identification,
=
b) Graphique
2) ( ; , [ , ]) = ( ; [ , ]) ( ; [ , ])
a) Etablissons que ( ; [ , ]) = ( ; [ , ])
D’après la question I.2), ( ) ( )= ( )( )
( ) ( ) = ( )( )
( ; [ , ]) ( ; [ , ]) = .( )( ) = (3 2)
3
( ; [ , ]) ( ; [ , ]) [ ] =0
3
Donc ( ; [ , ]) = ( ; [ , ]) ( ; [ , ]) = ( ; [ , ])
| ( ; , [ , ])| = [ ( ) ( )]
( ) ( )
| ( ) ( )| |( ) ( )| = |( ) (
3! 3!
= (3 )
On a : = (3 2) et
( )= ( )( ) ( ) = sup ( )( )
sup
[ , ] [ , ]
c)
( )
En effet, [a,b] petit signifie que b-a 0 or h=b-a 0 | ( ; , [ , ])| 0
Donc ( ; [ , ]) ( ; [ , ])
b)
e
1 manière :
Donc ( ; [ , ]) = ( ; [ , ]) = ( ; [ , ])
2e manière :
Si f est un polynôme de dégrée deux, alors, la dérivée d’ordre 3 de f est nulle, et donc le max
de la dérivée d’ordre 3 de f est nulle. Ainsi, , | ( ; , [ , ])| 0 d’où on peut dire
que f est égale au polynôme d’interpolation de Lagrange.
c)
Lorsque f est un polynôme de dégrée 1 , on l’adapte en faisant coïncider la courbe de la
fonction f avec celle de autrement dit en joingnat les points ( , ( )) et ( , ( ))
par un segment de droite.
4) Question subsidiaire
« A votre inspiration »
= 1(1) = ( ; [ , ]) = ( ) ( ;[ , ]) avec ( ; [ , ])
approximation de ( ) .
2)
a) Montrons que si f est de classe sur [a,b], alors l’érreur d’intégration
numérique associée à ( ; [ , ])
| ( ,[ , ]) ( ,[ , ])| = | ( ; , [ , ])|
( ) ( )(
Or | ( ; , [ , ])| ,
de plus , ( ) = sup [ , ] ) ( )=
( )( )
sup [ , ]
( ) ( )
D’où | ( ; , [ , ])| =
Posons = max = ( )
( )
| ( ; , [ , ])| ( )
216
b)
lim | ( ; , [ , ])| = 0 lim ( , [ , ]) = ( , [ , ])
c)
Il signifie que plus les subdivisions sont petites, plus l’approximation est bonne
3)
Oui, elle est meilleure Car elle permet une meilleure majoration de l’erreur d’interpolation
c’est-à-dire qu’on a une meilleure estimation de l’erreur approximation et par conséquent une
meilleure approximation (voir comparaison cours)
EXAMEN 2009-2010
EXERCICE I (6 POINTS)
Soit à résoudre une équation
( ) ( )=0
Où f est une fonction donnée ( et donc bien connue) de . Pour simplifier, on suppose
ici que € admet une unique solution dans , que nous notons .
En dehors des cas où f est suffisamment simple, il n’est pas souvent possible de résoudre une
équation comme ( ) « à la main ». Une approche numérique est alors suggérée. Elle consiste
généralement à calculer, jusqu’à un rang approprié les termes d’une suite ( ) définie par
récurrence dans le but d’avoir :
lim = (1)
Une méthode numérique pour résoudre ( ) est définie par sa manière de calculer un nouveau
terne de la suite à partir des précédents. Le plus souvent, est obtenu comme
solution de l’équation
( ) ( ) = 0,
( ) . =
Pour cela, on suppose que l’élimination de Gauss peut être opérée dans (S) sans permutation
et que cela soit stable numériquement, i.e. sans propagation désastreuse des erreurs d’arrondi
dans les calculs par ordinateur.
I- Préliminaires (2 points)
1) Pourquoi l’élimination de Gauss est-elle terminée après l’élimination sur la
colonne 1 de la matrice du système ? Est-ce la même chose pour
l’élimination de Gauss-Jordan ? Pourquoi ?
2) Pourquoi faut-il craindre, a priori, la propagation des erreurs d’arrondi dans la
résolution d’un système comme (S) par ordinateur ?
II- Factorisation LU de A et principe de la méthode LU (7 points)
On sait qu’en opération l’élimination de Gauss sans permutation sur le système (S), celui-
ci subit une suite de transformations :
( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( ) ( )
. = . = . = … . =
Cette fonction MATLAB devra comporter (et appeler dans son corps) 2 sous-fonctions :
EXERCICE I (6 POINTS)
( ) ( )=0
lim =
solution de ( ) ( )=0
1- Function affine?
Condition d’arrêt
1. | | très petit 10
2. | | | | très petit
3. Trouver lorsqu’on prend =
( ) ( )
( )= ( )+ ( )
( ) ( )
( )= ( )+ ( )
( )=0 ( )=0
( ) ( )
( )+ ( ) =0
( )( )
&
( ) ( )
( )( )
= +
( ) ( )
( )( )
Donc = + ( ) ( )
b) ,
c)
( ) ( )=0
( ) ( )=0
3)
a) lorsque =
( )= ( )+ ( )( )
( )= ( )+ ( )( )
( )= ( ) ( )( )
( )=0 ( )=0
( ) ( )( )=0
( )
=
( )
( )
= +
( )
CC 2010-2011
EXERCICE 1 (4 POINTS)
1) Quel est le réel qui s’écrit 0,001001…(i.e. répétition de la séquence « 001 » jusqu’à
l’infini) en base b>1 ?
2) Quel est le réel qui s’écrit 0,123123… (i.e. répétition de la séquence « 123 » jusqu’à
l’infini) en base 10 ?
3) Quel est le réel qui s’écrit 0,123123… (i.e. répétition de la séquence « 123 » jusqu’à
l’infini) en base 5 ?
EXERCICE 2 (4 POINTS)
Soit à calculer le produit P=xyz de 3 quantités numériques x, y et z. Cependant, on ne dispose
que d’approximations respectives , , de x,y,z. En lieu et place de P, on calcule donc le
produit = .
N.B.
Dans le problème qui suit, apparaît, dans une question, la nécessité de devoir calculer
l’intégrale :
Pour arriver plus rapidement (et, surtout, plus sûrement) au résultat demandé, il est
recommandé d’effectuer, dans cette intégrale, l’un ou l’autre des 2 changements de
variable suivants :
+
() = +( ) ( ) = +
Selon votre choix de changement de variable, bien préciser alors les bornes entre lesquelles
varie la nouvelle variable (u dans un cas, ou dans l’autre).
= ( ) , = ( ) , ( , )= ( ) = sup | ( )|
[ , ]
I- “Simplicité” de ?
Comment devrait se mesurer la “simplicité” de la fonction d’approximation dans
le présent contexte ?
II- Cas où l’intervalle [a,b] est “ petit”
1) On prend ici : = .
a) Rappeler d’abord la définition de
b) L’approximation de I par obtenue en prenant = est appelée
« formule du trapèze ». Justifier cela par un graphique à partir du tracé
de la courbe d’une fonction f quelconque (mais >0) sur [a,b]. (Rappel :
une intégrale correspond à la mesure d’une aire de surface. Hachurer
alors les aires appropriées sur ce graphique, et expliquer quelle aire est
approchée par quelle autre.)
c) Montrer que, avec ce choix de ,on obtient : = . [ ( ) + ( )], où
est un réel à préciser.
d) Sans calculs, montrer que si f est une fonction polynôme de degré 1,
alors =
e) Montrer que si f est de classe sur [ , ], alors : ( , )
( )
.( ) , où p est un entier naturel à préciser.
f) Cette dernière inégalité permet de re-démonter le résultat de 1)d).
comment ?
2) On prend maintenant plutôt : = , avec =
a) Rappeler la définition de
b) L’approximation de par obtenue en prenant = est appelée
« formule du point-milieu ».
Mais c’est aussi un exemple de « formule du rectangle ». Justifier cela par
un graphique approprié à partir du tracé de la courbe d’une fonction f
quelconque (mais >0) sur [a,b].
c) Avec ce choix de , à quoi est égale l’approximation fournie pour la
valeur de l’intégrale I ?
d) Trouver l’analogue du résultat de 1)e) dans le cas présent.
3) On considère ici: = , où =
a) Rappeler la définition de
b) Monter que, avec ce choix de , on obtient exactement la même
approximation de I qu’en 2)
c) En déduire que, si f est de classe sur [a,b], alors la formule du point-
milieur admet une majoration d’erreur plus petite que celle du trapèze.
Dans une certaine mesure, ceci est surprenant. Pourquoi ?
d) Mais il vient aussi que la formule du point-milieu pourrait également
revendiquer d’être appelée « formule du trapèze ». Justifier cela par un
graphique approprié à partir du tracé de la courbe d’une fonction f
quelconque (mais >0) sur [a,b].
III- Cas où l’intervalle [a,b] est “grand”
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EXERCICE 1
Indications:
1) 0,001001 … = ( )
2) 0,123123 … = 10 + 2 × 10 + 3 × 10
3) 0,123123 … = 5 +2×5 + 3 × 10
EXAMEN 2010-2011
EXERCICE 9 POINTS
( ) ( ) ( , )= ( ) = sup ( )( ),
= , = , ,
[ , ]
+
=
2
On s’intéresse ici au problème du calcul d’une valeur numérique approchée de l’intégrale I
lorsqu’un primitive de la fonction f n’est pas facile à trouver. L’idée de base est alors de
construire une fonction , approximation « simple » bien choisie de f sur [a,b], puis calculer
l’intégrale qu’on fournit comme é de l’intégrale I. La différence ( , ),
appelée erreur d’intégration numérique, mesure alors l’erreur dans cette approximation de
par .
N.B. Dans les calculs analytiques d’intégrales ci-après, on aura intérêt à utiliser le
changement de variable : = +
1) On prend ici : =
b) Montrer que, : ( ) ( ) = .( )(
)( ), où C est une constante réelle (i.e. indépendante de x, mais pouvant dépende de
a,b,f).
(NOTA : Préciser à quoi est égale C dans lesnotations du Cours).
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L’objectif ici est d’examiner diverses approaches algorithmiques pour résoudre un système
(S) de la forme:
( ) . =
Où A est une matrice inversible donnée dans ), et le second membre b est un vecteur
donné de .
Pour ce faire on admet qu’on a déjà écrit une procédure algorithmique résolvant un système
de Cramer arbitraire d’ordre n par la méthode de Gauss avec stratégie du pivot partiel :
ProcédureGAUSS_SP(A :matrice ; b :vecteur ; var X :vecteur) ;
+
(+), (×), (÷)
3 3 2
On admettra aussi que les types matrice et vecteur ont été définis précédemment.
Pour résoudre (S) ici, on ne calcule pas du tout la matrice = . On considère plutôt
qu’il suffit de résoudre successivement 2 systèmes de Cramer appropriés de matrice A,
chacun par la méthode de Gauss.
1) Comment cela est-il possible? NOTA : Donner seulement icic les grandes lignes du
travail à faire.
2) Ecrire une procédure (courte) SOLVE_CARRE_2 résolvant le système (S) par cette
approche.
3) Entre cette façon de résoudre (S) et celle de I, quelle est la plus efficace ?
III- Approche 3: Affinage de l’Approche 2 (7,5 points)
Du fait qu’on y résout successivement 2 systèmes de Cramer de même matrice par la
même méthode, mais indépendamment, l’Approche 2 présente, malgré les apparences,
une inefficacité algorithmique assez significative.
En effet, une quantité importante de calculs et d’instruction y sont exécutés 2 fois.
1) Lors de l’exécution de la procédure SOLVE_CARRE_2, quelles sont ainsi les
instructions et/ou séquences d’instructions de l’algorithme de la méthode de Gauss
qui seront exécutées 2 fois, respectivement :
a) Dans la procédure de recherche et positionnement du pivot pour l’élimination sur
une colonne k ?
b) Dans la procédure de l’élimination de Gauss ?
2) Dans ces conditions, i lest souhaitable de ne pas appeler la procedure GAUSS_SP
pour résoudre successivement, et indépendamment, chacun des 2 systèmes de matrice
A de l’Approche 2. Il faut plutôt écrire une nouvelle procédure algorithmique
GAUSS_CARRE effectuant ces 2 résolutions successives, par la méthode de Gauss
avec stratégie du pivot partiel, mais en évitant tout calcul ou instruction redondant€.
Ecrire cette procédure algorithmique GAUSS_CARRE.
N.B. :
1. Ceci demande essentiellement de stocker (de manière appropriée, et qu’on
expliquera préalablement), lors de la résolution du 1er système, toutes les informations
pertinentes qui seront encore utiles pour la résolution du 2ème système, pour ne pas
avoir à les recalculer. Une idée est de s’arranger à stocker, pendant l’élimination, une
partie de ces informations dans la zone de la matrice qui aurait dû contenir des zéros
au sortir de cette élimination.
2. Ceci demandera aussi une adaptation appropriée de la procédure PIVOT_PARTIEL
pour qu’elle renvoie également, parmi ses paramètres sortants, le numéro de l’équation
où aura été trouvé le pivot au début de l’élimination sur une colonne k de A. La
nouvelle procédure sera appelée PIVOT_PARTIEL_NEW.
3. On admettra qu’à déjà été écrite une procédure REMONTEE résolvant un système
sup-triangulaire d’ordre n, et qu’on pourra donc appeler partout où le besoin se ferait
sentir.
3)
a) Quel est le coût numérique de cette façon de résoudre (S) ?
b) Comparée à GAUSS_CARRE, quel est le degré d’inefficacité de
SOLVE_CARRE_2 ?
EXERCICE
N.B. Dans les calculs analytiques d’intégrales ci-après, on aura intérêt à utiliser le
changement de variable : = +
1) On prend ici: =
a) Rappel de la définition de
L’une ou l’autre des formulations suivantes est valable :
Définition 1 :
est l’unique polynôme de degré 2 qui coïncide avec la fonction f en a,
et b.
Définition 2:
est l’unique polynôme de degré 2 qui prend les mêmes valeurs que f en
a, et b.
Définition 3:
est l’unique polynôme P [ ] vérifiant : ( ) = ( ), ( ) = ( )
et ( ) = ( )
Mais cela ne le définit pas, car cela ne dit pas ce qu’il est : ce n’est que son appellation !
( )( ) 2( )( )
( )= =
( )( ) ( )
( )( ) ( )( )
, ( )= 4
( )( ) ( )
( )( ) ( )( )
( )= =2
( )( ) ( )
Passer à l’intégrale dans (E.1) entraîne que : = ( ). + ( ). + ( ).
2
= ( ) = ( )( )
( )
4
: = ( ) ( )( ) ,
( )
2
= ( ) = ( )( )
( )
( )
Pour calculer , et , considérons le changement de variable : = +
= , = = 1, = = 1,
: 2
= ( + 1), = , = ( 1)
2 2 2
D’où :
2
= . ( 1). = ( 1)
( ) 2 2 2 4
1
= ( ) = ×2 = ×2× =
4 4 4 3 6
4
= ( + 1). ( 1). = ( )
( ) 2 2 2 2
1
= ×2 ( ) = ×2× =2
2 2 3 3
2
= ( + 1). . = ( + 1)
( ) 2 2 2 4
= ( + ) = ×2 =
4 4 6
= 0, { } ;
ù éé
=2 , { }
= ( ). + ( ). 2. + ( ).
6 3 6
= [ ( ) + 4 ( ) + ( )]
6
Ce qui est bien le résultat demandé, en prenant :
= 6, = = 1, = 4 des entiers c.q.f.d.
En effet, supposons, par exemple avoir calculé = . On en déduit qu’on doit avoir :
= . Et comme = et + + = , alors = et =
( ) ( ) ( . 4)
En combinant cette dernière inégalité avec (E.3) il vient :
( )
( , ) | ( )|
!
Par le même changement de variable qu’en 1)d), et avec les calculs qui y on été
effectués, on obtient :
| ( )| = ( + 1). . ( 1) .
2 2 2 2
= | |
2
Mais, comme la fonction { } est impaire, alors { | |} est paire.
Et comme 0 sur [0,1], il s’ensuit :
1 1 1
| | =2 ( ) =2 =
2 4 2
Compte tenu de tout ce qui précède, il vient :
( ) ( ) ( )
( , ) × × , . . ( , ) .( ) , soit =4
Cqfd.
2) On prend ici plutôt : =
a) Rappel de la définition de
L’une ou l’autre des formulations suivantes est valable :
Définition 1 :
Définition 2 :
est l’unique polynôme de degré 3 qui prend les mêmes valeurs que f en
a, et , et dont la dérivée prend la même valeur que celle de f en .
Définition 3:
( ) = ( ), ( ) = ( ), ( )= ( ) ( )= ( )
Une formulation approximative (et fausse !) consiste à dire que « est l’unique
polynôme de degré 3 qui coïncide avec la fonction f en a, et b, et avec f’ en ».
b) Montrons que, : ( ) ( ) = .( )(
)( ) où C est une constante réelle (i.e. indépendante de x, mais pouvant
dépendre de a,b,f), en précisant à quoi est égale C dans les notations du Cours.
Nous allons proposer 2 méthodes différentes de démonstration de ce résultat.
Méthode 1 : Par le polynôme différence = ( )
De plus, [ ] [ ]
la constante C est le coefficient de
du polynôme ( )( ). D’où, selon les notations du Cours : = [ , , , ]
= = (E.5)
( ) = ( ) + [ , ]( )+ [ , , ]( )( ),
( )
= ( ) + [ , ]( )+ [ , , ]( )( )
+ [ , , ]( )( )( ),
, ( ) ( )= [ , , , ]( )( )( )
(E.6)
En combinant (E.5) et (E.6), il vient :
, ( ) ( )= [ , , , ]( )( )( )
Par le même changement de variable qu’en 1)d), et avec les calculs qui y ont été
effectués, on obtient :
| ( )|
= ( + 1). . ( 1) .
2 2 2 2
( )
2
1 1 4
( ) =2 ( ) =2 ( ) =2
3 5 15
( ) ( ) 4 ( )
( , ) × × , . . ( , ) .( ) ( . 11)
24 32 15 2880
Ainsi, cette courbe ne peut pas présenter n’importe quelle allure de courbe.
Pour bien illustrer la situation, nous présentons ci-après plusieurs cas de figure relativement
représentatifs de ce qui étant souhaitable comme graphique.
PROBLEME
, = 1(1) , =
, = 1(1) , =
(* Paramètre(s) entrants(s) :
- )
(* Paramètre(s) sortant(s) :
- / = *)
Variables locales :
, , :entier ;
(*** Corps de la procédure ***)
Début (*CARRE_MAT*)
Pour i=1(1)n faire
Pour j=1(1)n faire M[i,j] [, ] [ , ];
Fin ; (*CARRE_MAT*)
(* Paramètre(s) entrant(s) :
Variable locale :
A :matrice ;
(*** Corps de la procédure ***)
Debut (*SOLVE_CARRE_1*)
CARRE_MAT(A,M) ;
GAUSS_SP(M,b,X) ;
Fin ; (*SOLVE_CARRE_1*)
On signale ci-après, des manières incorrectes (et fatales d’écrire le corps de la procédure
précédente.
Remarque/commentaire n° 2(Problème) :
Voici une manière incorrecte d’écrire le corps de la procédure précédente :
Debut (*SOLVE_CARRE_1*)
CARRE_MAT(A :matrice ; var M :matrice) ;
GAUSS_SP(A :matrice ;b :vecteur ;var X :vecteur) ;
Fin (* SOLVE_CARRE_1 *)
L’erreur ici consiste à appeler une procédure en recopiant pratiquement son en-tête,
notamment avec les types des paramètres.
Remarque/Commentaire n°3(Problème) :
Voici une autre manière incorrecte d’écrire le corps de la procédure précédente :
Debut (*SOLVE_CARRE_1*)
Procedure CARRE_MAT(A,M) ;
ProcedureGAUSS_SP(A,b,X) ;
Fin (* SOLVE_CARRE_1 *)
L’erreur vient de ce que le mot-clé Procédure n’a rien à faire ici. En effet, il début l’en-tête de
la procédure, mais n’a pas à paraître dans une instruction appelant la procédure.
+
+ ( 1)(+), + (×), (÷)
3 3 2
( 1)(4 + 1) 4 + (16 3 1) 3
. . (+), (×), (÷) , . . .
3 3 2 6 3
II- Approche 2: Sans produit matrice, mais par Gauss 2 fois successives.
Pour résoudre (S) ici, on ne calcule pas du tout la matrice = , on considère plutôt qu’il
suffit de résoudre successivement 2 systèmes de Cramer appropriés de matrice A, chacun par
la méthode de Gauss ?
1) Donnons les grandes lignes du travail à faire montrant comment cela est possible.
On a les équivalences : . = ( . ). = ( . )= . =
Où on a posé : = . . Or, Y est le vecteur de aussi inconnu que X.. Pour
résoudre le système (S), on peut alors enchaîner les 2 résolutions successives
suivantes :
1. Résolution de A.Y=b, par la méthode de Gauss, ce qui va nous
donner Y dans
2. Résolution de A.X==Y (Y calculer en 1.), par la méthode de Gauss,
ce qui va nous donner X.
A la sortie de la résolution du 2ème système ci-dessus, on aura donc obtenu le vecteur
X, solution de (S)
2) Procédure (courte) SOLVE_CARRE_2 résolvant le système (S) par cette approche.
Procedure SOLVE_CARRE_2(A :matrice ;b :vecteur ;var X :vecteur) ;
(*Objectif : Résolution du système . = *)
(* Parametre(s) entrant(s) :
- ), matrice inversible / = est la matrice du système ;
nd
- , vecteur-2 membre du système *)
(* Paramètre(s) sortant(s) :
- , vecteur-solution de . = , obtenu par résolution successive des
systèmes de Cramer . = , puis . = , par la méthode de Gauss avec stratégie du pivot
partiel *)
Variables locales :
Y :vecteur ;
(*** Corps de la procédure ***)
Debut (* SOLVE_CARRE_2 *)
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GAUSS_SP(A,b,Y) ;
GAUSS_SP(A,Y,X) ;
Fin ; (* SOLVE_CARRE_2 *)
;
Pour = + 1(1) faire
Si| [ , ]| > | [ , ]|alors ;
(* permutation des lignes et k de la matrice A si *)
Si alors
Pour = + 1(1) faire
Debut
[ , ]; [ , ] [ , ]; [ , ] ;
Fin ;
Le problème est alors de concevoir une procédure algorithmique pour résoudre (S) et dans
laquelle:
Une fois pour la résolution de A.Y=b, avec le 2nd membre b du système (S) ;
Puis une 2e fois pour la résolution de A.X = Y, avec comme 2nd membre le vecteur
Y obtenu comme solution du 1er système.
Cependant, il est fondamental de noter que, dans les instructions affectant le 2nd membre,
apparaissent des variables dont la valeur est, en fait, calculée ou déterminée pendant les
instructions d’élimination dans la matrice A. Ce sont :
La procédure GAUSS_CARRE
La procédure GAUSS_CARRE que nous allons écrire, et concrétisant l’analyse précédente,
appellera, en plus de la procédure REMONTEE, 4 procédure auxiliaires que nous écrivons
préalablement :
1. PIVOT_PARTIEL_NEW, version de l’habituelle procédure PIVOT_PARTIEL dans
laquelle ont été supprimées toutes les permutations dans le 2nd membre, et renvoyant
l’indice de ligne du pivot ;
2. ELIM_GAUSS_MAT et ELIM_GAUSS_vec, issues du découpage en deux de
l’habituelle procédure d’élimination de Gauss, l’une récupérant les instructions sur la
matrice, et l’autre celles affectant le 2nd membre (mais en utilisant les valeurs de
et des déterminées et stockées par la première)
3. ECHANGE, uneprocédure (très courte qui échanges les valeurs de 2 variables de type
réel.
(* Paramètre(s) entrant(s) :
-A n( ), inversible, déjà sup-trianglulaire des colonnes 1 à k-& ;
-k [1(1)n-1], indice de la colonne où on doit maintenant éliminer *)
(* paramètre(s) sortant(s) :
- imax [k(1)n], indice de la ligne de A où le pivot aura été trouvé ;
- A modifiée par le positionnement de ce pivot en (k,k) (si imax k) *)
Variables locales :
I,j :entier ;
(*** Corps de la procédure ***)
Début (* PIVOT_PARTIEl_NEW *)
(* recherche de l’indice imax tel que |A[imax,k]|=max | [ , ]| *)
Imax k;
Pour i=k+1(1)n faire
Si |A[i,k]|>|A[imax,k]| alors imax i;
et k de la matrice A si i
(*Permutation des lignes imax max k *)
Si imax k alorspour j=k(1)n faire ECHANGE(A[imax,j],A[k,j]) ;
Fin ; (* PIVOT_PARTIEL_NEW *)
n
-X ,vecteur-solution de A2.X=b, obtenu par résolution successive efficace des
systèmes de Cramer A.Y=b, puis A.X=Y, par la méthode de Gauss avec stratégie du pivot
partiel*)
Variables locales : Y :vecteur ;T :tabEnt ;
(*** Corps de la procédure ***)
Début (* GAUSS_CARRE *)
(* Elimination de Gauss, avec stratégie du pivot partie, dans la matrice A *)
ELIM_GAUSS_MAT(A,T) ; (* Après ceci, A est devenue sup-triangulaire *)
ELIM_GAUSS_vec(A,T,b) ; (*Effet de l’élimination sur son 2nd membre b*)
REMONTEE(A,b,Y) ; (*Résolution du système sup-triangulaire obtenu *)
(* Résolution du 2ème système : A.X=Y *)
ELIM_GAUSS_vec(A,T,Y) ; (*Effet de l’élimination sur son 2nd membre Y*)
REMONTEE(A,Y,X) ; (* Résolution du système sup-triangulaire obtenu *)
Fin ;(* GAUSS_CARRE *)
Remarque/Commentaire n° 9 (Problème) :
De même qu’il n’y a pas une manière unique de résoudre un problème mathématique, il n’y a
pas, non plus, une solution algorithmique unique à un problème donné (même s’il y a des
solutions qui sont clairement plus efficaces que d’autres, en termes de temps d’exécution).
Ainsi, la version de la procédure GAUSS_CARRE écrite ci-dessus n’est, évidemment,
absolument pas impérative. Diverses variantes, tout aussi algorithmiquement valables, étaient
(et sont), bien entendu, envisageables.
La version présentée ici a visé à mettre bien en évidence la structure logique de ce qu’est
censé faire GAUSS_CARRE, en le répartissant en procédures auxiliaires exécutant, chacune
une sous-tâche identifiable et bien précise de ce travail.
3)
a) Quel est le coût numérique de cette façon de résoudre (S)?
Un examen de la structure logique de la procédure GAUSS_CARRE permet de
repérer assez rapidement la répartition de son coût numérique. En effet,
1. Le bloc formé par les 3 premières instructions (I.E. 3 appels de procédure) est
équivalent, en fait, à l’algorithme de Gauss pour résoudre un système de
Cramer d’ordre n (ici A.Y=b) avec stratégie du pivot partiel. Ainsi, le coût de
ce bloc est le même que celui de la procédure GAUSS_SP, i.e. :
+ ( + 1)(4 1)
(+), (×), (÷) , . . .
3 3 2 6
2. Il faut donc y ajouter les coûts numériques respectifs de :
2.1. L’appel de procédure
ELIM_GAUSS_vec(A,T,Y) ;
Obtenu en examinant le corps de la procédure ELIM_GAUSS_vec. Ce coût est
celui de la répétition, pour k=1(1)n-1, de la boucle :
( 1) ( 1)
(+), (×), (÷)
2 2
D’où le bilan final de GAUSS_CARRE :
( 1) ( 1) +
+2 (+), +2 (×), + (÷)
3 3 3 2 2
( 1)( + 4) ( 1)( + 4) ( + 3)
. . (+), (×), (÷)
3 3 2
(4 + 15 7) 2
. . .
6 3
= 1 = 100%
INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES
En réalité, les données de ce problème avaient été légèrement simplifies pour les besoins de la
cause. En effet, les nombres d’additions et de multiplications donnés, au début de l’énoncé,
dans le coût de la méthode de Gauss sont, en fait, ceux de la seule phase d’élimination. On y a
donc, en quelque sorte, « laisser tomber » les additions et multiplications effectuées pour
résoudre le système sup-triangulaire équivalent issus de l’élimination de Gauss dans le
système de Cramer initial. La motivation derrière cette « manœuvre » était quadruple :
1. Cela simplifiait quelque peu les calculs de coûts numériques dans le problème ;
2. Mais cela ne changeait pas les ordres de grandeur de ces coûts numériques ;
3. Par conséquent cela n’impactait pas sur les comparaisons de coûts numériques dans ce
Problème ;
RATTRAPAGE 2010-2011
( ) ( ) ( , )= ( ) = sup ( )( ),
= , = , ,
[ , ]
1) On prend ici: =
a) Rappeler d’abord la définition de .
b) A partir du graphique de la courbe d’une fonction f quelconque (mais >0) sur [a,b],
expliquer quelle aire de surface est approchée par quelle autre dans l’approximation de
I par obtenue avec cette .
( ) ( )
c) Montrer que : = ( ) + ( ) , où R et S sont deux
entiers > 0.
d) En déduire la valeur de u pour laquelle l’un des 3 points , , devient, en fait,
inutile dans .
( )
e) Montrer que, pour f de classe sur [a,b] : ( , ) [ ( )](
) , avec >0.
f) En déduire, en la justifiant, la valeur optimale de la constant u lorsque f est de classe
sur [a,b]. Préciser la majoration correspondante de | ( , )|.
2) On prend ici plutôt: =
a) Rappeler d’abord la définition de
b) Montrer que, : ( ) ( ) = .( )(
)( ), où C est une constante réelle (i.e. indépendante de x, mais pouvant
dépendre de a,b,f).
(NOTA : Préciser à quoi est égale C dans les notations du cours).
c) En déduire que l’approximation de I obtenue ici redonne encore, en fait, celle de 1)
d) En déduire alors que, pour f polynôme de degré 3, l’approximation de 1) vérifie :
= .
e) Déduire aussi l’analogue du résultat de 1)e) lorsque ([ , ]).
f) Trouver, en la justifiant, la valeur optimale de la constante u lorsque f est de classe
sur [a,b].
Préciser la majoration correspondante de | ( , )|.
EXERCICE 2 9 POINTS
L’objectif ici est d’examiner 2 approches algorithmiques pour résoudre un système (S) de la
forme:
( ): . . =
Avec M et N matrices inversibles données dans ), et le second membre b est un vecteur
donné de .
Pour ce faire, on admet qu’on a déjà écrit une procédure algorithmique résolvant un système
de Cramer arbitraire d’ordre n par la méthode de Gauss avec stratégie du pivot partiel.
ProcédureGAUSS_SP(A :matrice ; b :vecteur ;var X :vecteur) ;
I- Approche 1: Produit matriciel préalable, puis Gauss une fois. (3,5 points)
Ici, on calcule d’abord la matrice A=M.N en effectuant un produit matriciel. Ensuite, on
résoud le système A.X=b par la méthode de Gauss.
Le problème est alors le suivant : déduire les valeurs des coordonnées de Xà partir de celles
de b. Mais, pour cela, on doit tenir compte de ce que le dispositif ( ) est, en réalité,
l’enchaînement en série (Cf. Figure 1)
EXERCICE I :
On fixe x ;et on s’intéresse à l’évaluation de (pL x0 …xn )(x) par l’algorithme d’Aitken.
EXERCICE 2
b) En quoi ceci serait-il particulièrement bénéfique dans le cas d’un algorithme par
subdivision séquentielle ?
PROBLEME
On suppose ici que l’élimination de Gauss dans peut se faire sans aucune permutation.
N.B : de tout évidence , une boucle POUR dans quelle l’indice de parcours ne peut
prendre qu’une seule valeur (voire meme 2) est une instruction informatique de peu
d’intérèt .
b) Cout numérique de cet algorithme ?
L’objectif ici est de traduire les algorithmes précédents par des procédures TURBO-
PASCAL appropriées .cependant pour y arriver il est clair qu’il structurellement inefficace de
bloquer l’espace réservé à un tableau n*n de réels en mémoire d’ordinateurs pour stocker une
matrice tridiagonale . Un tableau à 3*n éléments suffit pour ce faire .
Dans les deux procédures TURBO-PASCAL demandées ci-après ,on notera le tableau en
question par TA.
Celui-ci sera de type tableau :TABLEAU 3n ,type qui aura été créé dans la partie des
déclarations des programmes par :
Const n=100 ; type vecteur = array[1...n] of real ; tabkeau3n = [1..1] of vecteur ;
N.B : Chacun des 2 procédures doit etre autonome en ne faisant appel à aucune procédure
externe , ni comporter de sous-procédures en son sein.
2) Adapter alors ce qui a été fait en pour écrire une procédure TURBO-PASCAL prenant
en entrée les 2 tableaux et (supposés remplis dans le programme principal) et
renvoyant la solution du système tridiagonal . = calculée par la méthode de Gauss
avec stratégie du pivot partiel.
PROBLEME
A=
Aux : réel ;
Debut ;
Pour k = 1(1)n-1 faire
Debut ; (* Elimination sur la colonne k *)
fin ;
fin.
a ) cout numérique de cette élimination
pour un k fixé on a :
1( ) ; 2( ) ; 2(+) ;
d’où
cout numérique de cette algorithme est
n–1( )
2n – 2 ( )
5n – 5 O . A . e
2n – 2 (+)
A=
Var k : entier ;
Debut ( * *calcul de xn ) ;
Xn yn ann ;
( ) k=n 1( )
3n – 3 (+)
A=
PROBLEME
***Définition : Une matrice de Hessenberg superieur est une matrice carrée = (aij)
telle que , dans chaque colonne Cj ( ), tous les coefficients en-dessous de Cj… 1,j sont
nuls .
L’objectif ici ect alors d’examiner le problème de la résolution numérique efficace ,
méthodes usuelles d’un système de cramer dans n, . = b , dont la matrice est de ce
type . Et ce en vue de supprimer tout calcul superflu et toute instruction algorithmique
« blanche » .
2°) a) Compte tenu du cout numérique de la phase de résolution ; quel est le cout de la
résolution d’un système de Hessenberg superieur par la méthode de Gauss ?
b) A priori , un tel système est structurellement peu différent d’un système sup-
triangulaire ; peut-on en dire autant des couts respectifs de leur résolution ?
1°) Adapter efficacement l’algorithme de Gauss- Jordan pour résoudre . = b dans le cas
présent
2°) La colonne k de ?
1°) Compte tenu de l’étude faite en ,adapter efficacement , dans le cas présent ,
l’algorithme de calcul de l’inverse d’une matrice carrée inversible par la méthode de Gauss-
Jordan .
EXERCICE I ( 6 POINTS )
PROBLEME ( 15 POINTS )
I – Soient a, b, c, 3 réels distincts. On note la, lb, lc les 3 polynômes de 2[x] caractérisés par :
II – On veut maintenant approcher une fonction f sur un intervalle [a, b] (avec a < b) à partir
des valeurs qu’elle prend aux nœuds d’une equisubdivision de [a, b] de taille paire :
Pour ce faire, on approche f sur [a, b] par , la fonction définie par morceaux par :
10) Quel type de fonction est sur [a, b] ? Et sa courbe ? Justifier les 2 réponses.
50) Décrire, dans les grandes lignes, comment calculer (x) pour un x donne dans [a, b]
60) Il se poserait, a priori, un problème pour construire sur [a, b] dans le cas d’une
equisubdivision de taille impaire 2N + 1. Supposons par exemple qu’on ait plutôt b = a2N + 1.
Comment définir alors sur [a2N, a2N + 1] pour que le résultat de 30) a) reste valable ?
EXERCICE I ( 6 POINTS )
Et que la suite (xn)n 0 se rapproche suffisamment vite de limite. La suite se construisant par
récurrence, son ou ses premier(s) terme(s) sont alors à choisir aussi proches de qu’on
pourrait le faire (tout en ne connaissant …) pour que (1) ait des chances de se réalisé
Une méthode numérique pour résoudre (E) est définie par sa manière de calculer un
nouveau terme de la suite xn+1 a partir des précédents. Le plus souvent, xn+1 est obtenue
comme solution de l’équation
(En) : n (x) = 0, (1)
20 ) Il a été dit, ci-dessus, que les termes de la suite ( xn )n 0 doivent être calcules jusqu’à
un rang approprié ceci est quelque peu vague. Suggérer alors un critère d’arrêt précis dans le
calcul des termes successifs de cette suite. Quelle sera alors l’approximation finale proposée
pour ?
b) Avec cette méthode (dite de la secante ), quels sont les termes de la suite,(xn)n 0
qu’on ait de fournir d’avance ?
C) Sur cette représentation graphique appropriée. Tracer le graphe d’une fonction f
quelconque, et placer l’abscisse puis x0 et x1 arbitrairement choisis, mais ensuite x2 et x3.
b) Avec cette méthode (dite de newton ), qu’est-ce qu’on est obligé de fournir pour
pouvoir démarrer la construction de la suite ?
c) Sur une représentation graphique appropriée, tracer le graphe d’une fonction f
quelconque, et placer l’abscisse , puis x0 arbitrairement choisi, mais ensuite x1 et x2.
L’objectif ici set la résolution numérique, par la méthode LU, d’un système de cramer dans
n
, (S) : AX = b.
Pour cela on suppose que l’élimination de Gauss peut être opérée dans (S) sans permutation,
et que cela soit numériquement stable, i.e. sans propagation désastreuse des erreurs d’arrondi
dans les calculs par ordinateur.
I – Préliminaires (2 POINTS)
10) Pourquoi l’élimination de Gauss est-elle terminée après l’élimination sur la colonne n –
1de la matrice du système ? Est-ce la même chose pour l’élimination de Gauss-Jordan ?
Pourquoi ?
20 ) Pourquoi faut-il craindre, a priori, la propagation des erreurs d’arrondi dans la résolution
d’un système comme (S) par ordinateur ?
A(0) = A, b(0) = b, A(n-1) est sup-triangulaire inversible, et, k = 1(1) n-1 on passe du système
A(k-1).X = b(k-1) a A(k).X = b(k) par élimination de Gauss (sans permutation) sur la colonne k de
A(k-1).
10) a)Démontrer que k = 1(1) n-1 : A(k) = G(k). A(k-1), G(k)est une matrice à préciser, et
dont on signalera les propriétés remarquables les plus évidentes.
b) En déduire que A(n-1) = G. A G est une matrice dont on donnera les propriétés les plus
évidentes.
20 ) a) Qu’entend-t-on par factorisation LU de A ?
b) Comment peut-on obtenir concrètement les 2 facteurs de cette factorisation ?
30)a) Ayant ces 2 facteurs, commentprocède alors la méthode LU pour résoudre le système
(S) ?
40) Pourquoi l’intérêt de la méthode LU va-t-il au-delà de la résolution du seul système (S) ?
Ecrire une fonction MATLAB, appelé LU, et résolvant, par la méthode de LU le système (S).
Cette fonction devra comporter (et appeler dans son corps) 2 sous-fonctions :
- Une pour effectuer la phase de factorisation, appelé FACTO LU, et tenant compte de
II-30) b)
- Et une pour effectuer la phase de résolution de la méthode.
EXERCICE I ( 5 POINTS )
b) Et celui de ?
EXERCICE 2 (5 POINTS)
NOTA : Ci-après, chaque fois que c’est utile, on supposera f aussi dérivable que nécessaire.
10) Quel est le degré maximal possible du polynôme P ?
20) Montrer que l’erreur globale de cette approximation de f sur [ , ] par P est majorée par
C1.C2.\(f).hp. p est une constante entière, C1 est une constante universelle, C2 est une
constante dépendante de f, toutes les 3 à préciser.
NOTA : Un bonus significatif pour une valeur de C1 aussi petite que possible.
EXERCICE 3 (11 POINTS)
I ( f, [a , b] ) w0 ( ) + w1 ( ) (Q.1)
I (f,[a , b] ) w0 ( ) + w1 ( ) (Q.2)
10) a) Construire explicitement cette quadrature sur , , puis déterminer son ordre,
b) Compte tenu des résultats obtenus en I, ceux trouves en a) ci-dessus étaient prévisibles.
Pourquoi ?
20 ) Effectuer un développement limite de Perreur associe a (Q.2) lorsque b, a 0,avec
reste en O(b – a)3,sous une hypothèse à préciser.
30 ) a) comment peut-on combiner (Q.1) et (Q.2) pour obtenir l’approximation de
I (f,[a , b] ) meilleure à la fois que chacune de ces 2 quadratures ?
b) A quoi peut servir un tel résultat dans la pratique effective de l’intégration numérique ?
EXERCICE I
L- fois L-fois
m = 0,10….0 *
b) Le plus petit élément m de est : m = 0,10….0 *
L- fois L- fois
b) Cardinal de
En effet r r = * Mantb(r).bE et
30) b) succR(1), = ?
1 = 0.10….0 * b1
L-1 fois
succR(1) = ( 0, 1000….0 + 0, 00….01).b1
succR(1) = 0, 1000….0
L-2 fois
succR(1) = 1 + bL - 1
C) PredR (2) =?
,( )…. ( )
PredR (2) = × b0
Lfois
+ 0, 0 …….. 1 . bo
1, 0 ……0 0 . b0 = 1.
Lfois
L-1fois
Exercice 2
10 ) Degré maximale de P
V0 = 0 , V1 = 1, V2 = o
n = (V0 + 1) + (V1 + ! ) + (V2 + 1) - 1
= 3
Degré maximal de P : n = 3
20) Montrons que l’erreur global de l’approximation de f par P est majore par
C1.C2(f)hp
P = (PHx0x,x1x2f) € 3[ ]
4!
24
Ou M4 (f) = sup | f(4)(x) |
x [a, b]
[a, b] [-1, 1].
x t = t(x)
= x= t+ ,t [-1, 1]
x – x0 = t+ -
= t+
x – x1 = t+ -
= t
x – x2 = t+ -
= t-
On a donc, x € [ , ],
()
| f(x) – (pHx0x1x1x2 f) (x) | |( t- )( )2 ( t- )|
() ( ) 2 ( ) ( ) 2
| f(x) – (pHx0x1x1x2 f) (x) | |( t - )|| t |
() ( ) ( ) 2
| f(x) – (pHx0x1x1x2 f) (x) | |t2 - | t
() ( )
| f(x) – (pHx0x1x1x2 f) (x) | |t2 - |.t2
g,(t) = 4t3 -
g,(t) = 0 4t3 - =0
t = 0 ou t = ou t =
t 0
1
g’(t) 0 - +
g(0)
g(1)
g(t)
g( )
g(0) = 0. g(1) = 1 - =
g( )= =
Avec C1 =
C2(f) = M4(f)
h=b–a
p=4
PROBLEME I ( 11 POINTS )
L’objectif ici est la résolution numérique, par la méthode de Cholesky, d’un système de
cramer dans n,
(S) : A.X = b.
I – Préliminaires (2 POINTS)
10) a) Pour qu’une telle résolution soit possible, il faut que la matrice A possède une
certaine propriété. Laquelle ?
Dans les procédures algorithmiques précédentes, était-il indispensable d’avoir un tableau pour
contenir la matrice L ? Justifier (brièvement mais clairement) la réponse donnée.
SUPERVISION GENERALE:NDONGO CEDRIC FENELON : PAGE 133
SG AEENSPY 2013/3GTELTEL :
70 11 52 99| ASSOCIATION DES ETUDIANTS DE L’ENSP
AEENSPY 2013 : TOUS AU NIVEAU III TOME 2 134
PROBLEME 2 ( 10 POINTS )
30) a) Montrer que si f C4([a, b]), alors il existe 1 [a, b] tel que :
L0 (x) = 1, L1 (x) = x, et n € N+ ,
Ln + 1 (x) = x. Ln(x) - n2 . Ln – 1 (x)
4n2 -1
20) Pour au moins deux raisons différentes, cette version modifiée de l’algorithme serait
préférable. Pourquoi ?
PROBLEME I
I)
1. a) Propriété : Matrice symétrique et définie et définie positive
b) Une matrice A € Mn ( ) est dite symétrique et définie positive lorsque :
- A est symétrique : i.e. tA = A
= (xi) i n, = (yi) 1 i n
< , >=
20) on dit que la méthode de Choleshy est une méthode par factorisation parce qu’elle
détermine, pour une matrice donnée A, une matrice L dont le produit L t L = A
II.
A MN ( ) inf – T L.tL = A
= ( )( )
Mais (L – inf – T ) o
b) Formule de calcul des lij
Pour la colonne 1 , ie j = 1
0...
*Colonne j [2(1) . ]
Par récurrence supposons avoir déjà détermine les colonnes C1 (L) , … , CJ-1 (L) i.e.
les coefficients lik , k = 1 (I) j – 1, i = 1 (I)n. la matrice L étant inf. T, on
détermine seulement les coefficients li j , i = j (1) n min (i , j)= j dans (
Pour ( ),
i = j (1) n, ai j = li x lj k
= li x lj k + li j lj j
Ai j = l
lj j = a
Ljj = a
(* Param. Entrant: A Mn ( ) , S D P * )
Variable i, j, k : entier ;
Début
( * calcul colonne 1 de L * ).
L11 a
Pour i = 2(1)n faire li1 ai1 l11 ;
( * calcul colonne de 2 a n de L A ) .
Pour j = 2 (1)n faire
Debut
Ljj a
Lij ljj
Fin
Fin
NOTA : Ci-après, chaque fois que c’est utile, on supposera f aussi dérivable que nécessaire.
10) Quel est le degré maximal possible du polynôme P ?
20) Montrer que l’erreur globale de cette approximation de f sur [ , ] par P est majorée par
C1.C2.\(f).hp. p est une constante entière, C1 est une constante universelle, C2 est une
constante dépendante de f, toutes les 3 à préciser.
NOTA : Un bonus significatif pour une valeur de C1 aussi petite que possible.
30) a) Construire P sous la forme de Newton pour les données suivantes :
Constante : n=10 ;
Type auxiliaire :
matrice = tableau [1 …n, 1 … n] de réel ;
vecteur = tableau [1… n] de réel ;
procédure PIVOT_PARTIEL (Var A : matrice ; Var b : vecteur ; k : entier) ;
Debut
i k; max |aik|; index i;
Pour i = k+1(1) n faire
Debut
Fin
Début
Début
max aindex,i ;
aindex,i ak,I ;
ak,I max;
Fin;
Fin
Début
PIVOT_PARTIEL (A, b, k) ;
lik aik/akk;
Fin
Fin
Fin
b) Cout numérique
1(÷) ---------------------------
1(×) --------------------------
( )( ) ( )( )( ( ) )
= +
( ) ( )( )
= +
( )
= =
( )
( )= = =
Bilan de l’élimination :
(+) ~ (+)
(×) ~ (×)
(×) ~ (×)
~ Ovf
c) Cela n’est pas gênant pour la suite parce que l’on n’utilise pas ces
coefficients(Remontée) et même si s’était le cas, on remplacerait par zéro ces
coefficients dans toutes les expressions ou ils se trouveraient.
****…..*
**….*
b) Procédure de résolution
Début (*Remontée*)
Xn bn/ann ;
Début
xi bi ;
Fin ;
Fin
c)Cout numérique
1(÷)
Pour i = n-1(-1)1
( )
Pour j = i+1(1) n ( )= =
( )
1(+) (n-i) (+) ( )= (×)
Bilan de remontee
( )
= (+) ~ (+)
(×) ~ (×)
n (÷) ~ (÷)
n2 ovf
Debut
ELIMINATION_GAUSS (A, b);
REMONTEE (A, b, X);
Fin
+ = (+) ~
+ = (×)~
+n= (÷)~
~ Ovf
Exercice 2
n= ( + 1)-1
( )
x [a, b], | f(x)-P(x)| (x-x0)2)(x-x3)2 |(x- x1)(x-x2)|
(6)
Ou M6(f) = supx [a, b] |f (x)|
[a, b] [-1, 1]
x t = t(x)
= x= t+ ,t [-1, 1]
x-x0 = t+ –a= t+
x-x1 = t+ - = t-
x-x2 = t+ - = t–
x-x3 = t+ –b= t-
= 2t(t2-1)[2(t2- ) + t2-1]
= 2t(t2-1)(3t2 - )
T
0
1
T + +
2
t -1 - -
3t2- - +
g’(t) + -
g(t) g( )
- 0
g( ) = ( - 1)2( )= = 0.104
g(0) = = -0,111
P=6
C2(f) = M6(f)
C1 =
-1 0 0
10
-1 10 0 -9
1 4
0 1 1 -1 2
-1 10 7
1 0 0 29 23
57 79
2 57 57 187
244
2 244 57
( )( )
f[x0….xn] = , x0 = xn
!
[ … ] [ … ]
f[x0….xn] = , x0 xn
b) Majoration de l’erreur
EXERCICE I (3 POINTS)
30) a) Pourquoi les entiers peuvent-ils être stockes, en général, en valeur exact en mémoire
d’ordinateur ?
b) Il y a quand même une limitation a cela. Laquelle ?
10) On est alors sur que la vrai valeur de a appartient a quelle intervalle de ?
PROBLEME(12 POINTS)
Soit f : , dérivable et x0>0. On suppose qu’on sait évaluer f en tout point, mais pas sa
dérivée. Pour approcher cette dérivée en x0, on prend h > 0,
( ) ( )
d(h) =
a) Expliquer alors pourquoi il existe un h0>0 (qu’on ne cherchera pas à préciser ici) tel que si
on prend h<h0, la machine va systématiquement renvoyer comme résultat : d(h) = 0.
30) a) Mais même si le problème précèdent n’existait pas, la fonction f sera évaluée en
machine (nécessairement) avec une certaine erreur, et ce en tout point. On alors 1 et 2 les
erreurs relatives respectives dans le calcul machine de f(x0) et f(x0+h). Montrer que si h est
pris trop petit, et même si les opérations dans le calcul en machine de d(h) sont sans erreur
d’arrondi, il s’en suivra une erreur relative sur le calcul en machine de d(h)
( )
approximativement égale a : ( ) .
40) Donner une approximation de l’erreur relative due a l’approximation finale de d0 par d(h)
III – La manœuvre qui consiste a approcher d0par d(h) est un cas particulier d’une situation
générale en Analyse Numérique.
N = *CnCn-1….C1C0 Ou *CnCn-1….C1C0b
avec * {+, -} étant le signe de N et C0, …, Cn [0(1) b-1]
Signification :
Cn = 0 n = 0
c)Ceci ne résout pas toutes les ambiguïtés car il en existe encore une qui est le choix du
signe de N = 0.
30) a) Cela est possible parce que la représentation d’un entier dans une base b (b>1) est fini.
Et la mémoire d’un ordinateur est aussi finie.
b) Il existe une limitation a cela car la mémoire de l’ordinateur peut ne pas être suffisante
pour sauvegarder les n+1 entiers appartenant à [0(1) b-1] et permettant de représenter N dans
la base b.
EXERCICE 3
I) A = -0,20201111…..3 = -(2.3-1 + 2.3-3 + ( ) )
EXERCICE I :
EXERCICE II:
EXERCICE I :
1)
a) Montrons que est un sous espace vectoriel
V sous-espace vectoriel de E V
Montrons que , + , ( , ) .
Soit a suite ( + )
Donc + (2)
Si = , alors
Si .
× | |
(0, ) car × | |
= < .
Donc + × | |
+ (0, ) .
Posons = + × | |
On a: = × | |
( )=2| |( )
2| |
= + ( )
Conclusion : = .
2) Montrons que toute boule ouvert est une partie ouverte.
Soit , > 0 et ( , ) une boule ouverte.
Posons = ( , ).
Vérifions si ( , ) ( , )
Soit ( , ) ( , )< .
( , ) ( , ) + ( , )car d est une distance
On a :
+ ( , )
Or ( , )= .
D’où ( , ) + =
( , )
D’où ( , ) ( , )
Déterminer et représenter , et ( , )
Détermination de ( , )
1 1
, 1, (1, ) <
2 2
1 1 3
1, =] , [
2 2 2
1
1,
2
1 1 1 1 3
Alors, 1, = 1, 1, = ,
2 2 2 2 2
Détermination de ,
1 1 1
, ,1 , <
2 2 2
- si = , , = 0 < 1 d’où ,1 =
1 1 3
,1 =] , [
2 2 2
-si , , = | |+ =| |+
D’où ,1 =
1 1 1 1 1 3
Alors, ,1 = 1, 1, = , ,
2 2 2 2 2 2
Représentation :
4)
a) Vérifions que ||. || ||. || sont 2 normes sur E et , | | | |
- Montrons que , | | =| || | ,
| | = sup | ( )|
[ , ]
= | | sup | ( )|
[ , ]
=| || |
- Montrons que , , | + | | | + | |
| + | = sup (| ( ) + ( )|)
[ , ]
sup (| ( )| + | ( )|)
[ , ]
sup | ( )| + sup | ( )|
[ , ] [ , ]
| | + | |
- Montrons que , | | =0 =0 .
| | =0 | ( )| =0
| ( )| = 0 0 < 1, [0,1]
[0,1], ( ) = 0
=0
- Montrons que , | | =| || |
| | = | ( )|
=| | | ( )|
=| || |
- Montrons que , , | + | | | + | |
| + | = | ( ) + ( )|
(| ( )| + | ( )|)
| ( )| + | ( )|
| | + | |
Montrons que , | | | |
On a :
[0,1], | ( )| sup | ( )|
[ , ]
| ( )| sup | ( )|
[ , ]
| ( )| sup | ( )|
[ , ]
| | | |
b)
i) Calculons | | | |
- Calcul de | |
| | = sup | ( )| = sup | |,
[ , ] [ , ]
= sup (| |) , [0,1], | | 1
[ , ]
=1
D’où | | = 1 , pour n *
- Calcul de | |
| | = | ( )| = | | =
1 1
= =
+1 +1
Donc | | = ,
ii) Prouvons que ||. || ||. || ne sont pas deux normes uniformément
équvalentes
Pour = c’est-à-dire
, ( )=
C’est-à-dire ,
C’est-à-dire ( + 1)
EXERCICE II :
1)
a) Calcul de ( , ) ( , ) ( , )
Soit ( ) , = , on a :
1 =1
0 ( , )= = 0 =2 ,
1
Donc diverge.
On a : {(0,0)} .
= lim 1
( , ) ( , ) +
(| | | |) 0 + 2| || |
Or | || |
| | | |
| || |
| |
Or est continue en (0,0) car polynôme
Donc lim( , ) ( , ) =0
( )
Ainsi, lim( , ) ( , ) =
On a :| ( , )| = =
2
Ainsi , g est continue sur .
b) Montrons que admet une dérivée suivant ( , ) ( , )
( , ) ( , )
Existence de lim
(0,0) + ( , ) = ( , ) = ( , )
( ) ( )
On a : =( ) ( )
,( , ) (0,0)
= ( )
,( , ) (0,0)
( , ) (0,0)
= = , ( , ) (0,0)
( + ) +
( , ) (0,0)
lim = lim =0
+
Donc g admet en (0,0) une dérive suivant (u,v) (0,0).
c) Différentiabilité de g en (0,0)
Existence des dérivées partielles
( , 0) (0,0)
(0,0) = lim
=0 ( , 0) = 0 0
(0, ) (0,0)
(0,0) = lim
=0 (0, ) = 0 0
( , ) ( , ) ( , ).( , )
Evaluons | , | | , |
lim = lim
| , | ( + )| , | ( , ) ( , )( + ) +
| |
= lim
2(1 + )
Or + 2| || |
| || |
| || | 1
×
( + )| , | ( + )| , | + 2
1
| || |
2 2
( , ) ( , ) ( , ).( , )
Donc lim | , | | , |
=0
Pour cela, il suffit de montrer que h admet des dérivées partielles en (0,0) et que ces dérivées
partielles sont continues en (0,0).
Existence des dérivées partielles.
( , 0) (0,0)
(0,0) = lim ( , 0) = 0, 0
=0
(0, ) (0,0)
(0,0) = lim (0, ) = 0, 0
=0
Donc h admet des dérivées partielles en (0,0)
Par ailleurs h est une fonction rationnelle, donc de classe et admettent des dérivées
partielles sur {(0,0)}.
On a:
4 ( + ) 4 ( ) 4
( , )= =
( + ) ( + )
3 ( + ) 2 ( ) 3 +
( , )= =
( + ) ( + )
Continuité de en (0,0)
4
( , ) = , ( , ) (0,0)
( + )
4
= 4| |
lim ( , )=0
( , ) ( , )
Continuité de en (0,0)
(| | | |) 0 + 2| || |
On a : ( + ) 4
( )
3 +
( , ) =
( + )
3 +
( + )
3 + 1
= (3 + )
4 4
lim ( , ) =0
( , ) ( , )
lim ( , )=0
( , ) ( , )
Conclusion :
1 2
h est de classe Sur
4) Continuité de k en (1,0)
En faisant tendre ( , ) vers (1,0) suivant la droite d’équation = 1, on a :
1
lim ( , ) = lim =
( , ) ( , ) 2 2
EXERCICE I :
EXERCICE I I:
EXERCICE I II:
EXERCICE I :
1°)
On a d(x,y) = 0 | - |=0
= 0
=
x=y
x,y *,
+ d(x,y) = d(y,x)
On a : d(x,y) = | - | = | - | = d(y,x)
x,y,z +*, d(x,y) d(x,z) + d(z,y)
On a : d(x,y) = | - |= | – + - |
| – |+| - |
d(x,z) + d(z,y)
Conclusion : d est une distance sur *
+
Si r 1, ]1 – r; 1 + r[ soit x ] ;+ [
D’où Bd(1,r) = ] ; [
D(xn,xm) = | - |
| |+| |
+
A
En effet, n,m E( ) + 1 n,m >
n, m >
, <
+ <A
2°)
EXERCICE II :
2°) définie par ( , )= admet-elle une limite quand (x,y) tend vers
(0,0) ?
Donc, oui , h2 admet une limite, égale à 0, quand (x,y) tend vers (0,0).
| ( , )| = +
| | | |
( , ) {(0,0)}, on a : +
| | + | |, 1 1
Commelim( , ) ( , ) (| | + | |) = 0, on a
b) G est-elle de classe
g est de classe sur {(0,0)} comme fraction rationnel sur son ensemble de
définition
De plus, ( , ) {(0,0)}, ( , )=
( )
et ( , )=
( )
( , ) ( , ) ( , ) ( , )
(0,0) = lim = lim = 1 et (0,0) = lim =1
Comme une extremum ne peut être atteint que lorsque les deux dérivées partielles s’annulent,
on peut déjà dire que f admet au plus un extrémum sur U. (1)
dire que, sur , f est soit constante, soit non monotone. Or f n’est pas constante, car n’est
pas égale à 0 donc f est non-monotone.
En outre, f est continue sur U.
Mais alors, une application continue et non-monotone sur un ensemble y admet au moins un
extremum. (2)
, < ( , ) ,
( , ) et , < lim( , ) ,
( , )
Ainsi, quand (x,y) parcout U, il y a décroissance puis croissance de f comme f est continue,
ceci révèle la présence d’un minimum : l’extremum unique est un minimum.
On a : ( , ) , ( , )=2 1+ et ( , )=2
Ainsi ,
( , )=0
2 1+ =0
(2 1) = 0
( , )=0
1
= , 0
2
2 1+ =0
1
=
2
5
=
8
De plus, ( , ) , ( , ) , = 1 + × 1
D’où ( , ) ( , )<0
EXERCICE III :
= {( , ) , 0, 0, + 1} avec ,
1 1 1 1
= ( , ) , + ; +
2 4 2 4
Calcul d’intégrales :
( + ) ( ) ( + ) ( )
=
( + ( )
= + 1)
= [( + 1) 2 ]
= [ ( + 2) 2 ]
=2 5
=
1+ + 1+ +
= ln(1 + + )
2
= ln(2 + ) 2
2 2
1
= ln(2 + ) + ln(2 + ) 2
4 4 2 4
1 1 1 1 1
= + 2
4 4 2 4 2
3 3 1
=
4 4 4
1
= (3 3 1)
4
( + )
Par ailleurs,
= {( , ) , + 0, + 0}
= {( , ) ×[ , ], 0, 0}
= {( , ) ×[ , ], , }
On peut scinder en une partition de deux domaines (en-dessous de l’axe des abcisses) et
(au –dessus)
On a alors = {( , ) ×[ , ], }
Ainsi, = ( , ) × , ; =
Comme ( , ) , 0, on a 0 ( 0)
Soit = {( , ) × ,0 ;0
Alors,
= = +
= +
= +
4 4
1 1 1 3 1
= cos 4 + 2 + + (cos(2 ))
4 8 2 8 4
1 1 1 30 1 1
= 4 + 2 + + 2
4 32 4 8 4 2
3 1 1
= + = (3 + 8)
64 3 64
1
= = =
2
= ( )
2
=
2 2 4
1
=
8
2) Calculer J
On peut considerer que est paramétré par =2 1 et Y=y
= (4 ) + (2 1)
= (4 +4 4 + 1)
4 4
= + +
5 3
22
=
15
3) Calcul de K
On a : = ( , , ) ;( , ) 1+ ( 2)
( 2)
D’où
( )
=
( )
( )
1
=
2 ( )
1
= ( 2)
2
1
= ×( 2) ( 2) ( 2)
2
Comme
1 1
×( 2) ( 2) = ×( 2) ( 2)
2 2
= ( 2)
6
= 0 =0
Et
( 2) = ( 2)
= ( 2) , =
2
=
= cos , =2+
1
= × (1 + 2 )
2
1 1
= × + 2
( )2 2
= × = = =0
2 2 4 8
On a encore =0
EXERCICE I :
Soit (E,d) un espace métrique .on pose pour x,y E d’(x,y) = ( , )
1) Montrer que d’est une distance sur E
2) Enoncer les conditions suffisantes sur une fonction f : pour que
(x ;y) f(d(x ;y)) soit une distance sur E
( ; )
3) Montrer que l’application d’’ définie sur E*E par d’’(x ;y) = est une distance
( ; )
sur E
4) Comparer les distances d et d’’
5) On pose E = et d égale à la valeur absolue. Déterminer et construire (0 ; )
EXERCICE 2
1) On définie la fonction f : par f(x,y) = + 3 x - 15x-12y
a) Determiner les points critiques de f
b) La fonction f présente telle un extremum local en chacun de ses points critiques ? si
oui s’agit t-il d’un minimum ou un maximum ?
2) Soit u un endomorphisme de ,
a) Montrer que u est différenciable en tout point a et déterminer la différentielle de
u.
b) On définie par < , > le produit scalaire habituelle de ( c est à dire attacher a la
norme euclidienne ). Soit g la fonction définie de par g(x) = <u(x) , x> ,
x .
Etudier la differentiabilité de g
EXERCICE 3
1) D1 ={(x,y) 0 1 1 x + y 4} et 1 = {(x,y) x 0 1 + 2 } sont
deux domaines du plan f1 et g1 deux fonctions définie respectivement sur D et par
f1(x,y) = ( )( g1= +
)
a) Dessiner D1 et 1 dans des repères différents
b) Calculer I1 = f1(x, y)dxdy et J1 = g1(x, y)dxdy
EXERCICE I :
1) Soient A et B deux parties d’un espace métrique (E,d) telles que A B
montrer que si A connexe alors B connexe.
2) Soient (E,d) et (F, ) 2 espaces métriques , f : E F une application
continue. Montrer que le graphe de f définie par G(f)={(x,y) E*F ,y =
f(x)} est fermé dans E*F
3) Soient (E,d) un espace métrique et : telle que :
i. x +
(x) = 0 x = 0
ii. est croissante
iii. x, y + , (x+y) (x) + (y)
a) Montrer que : E*E définie sur par
(x, y) = (d(x, y)) , est une distance sur E.
b) soit (di)i une suite bornée de distance sur E. montrer que d’ définie par
( , )
x , y E d’’(x ,y)= est une distance sur E.
c) Application : montrer que si (di) i est une suite de distances sur E ,
( , )
l’application définie par x , y E d’’(x ,y) = ( ( , ))
est une
distance sur E.
EXERCICE 2
( , ) (0,0)
1) On définie la fonction f de par f(x,y) =
(0,0) = 0
f(x , )
EXERCICE 3
( )
2) Soit D le quart de boule de définie par D= { (x,y,z) , + + 1,0
x , 0 y 0 z} calculer l’ intégrale tripple J = 2
3) Trouver le travail fourni pendant le déplacement d’une particule dans le champs de
force F = 3x2 i + (2xz-y)j +z k le long du segment joignant l’origine O du répere au
point A (1,1,1)
EXERCICE I :
1. On considère . Munie des distances de et ds telles que pour A(x,y) et B(x’,y’) on
ait :
EXERCICE 2
1) On considère l’espace vectoriel
a) Soit une norme sur soient x ,y , montrer que | (x) - (y)| (x-y)
b) Montrer que est une application continue de
c) Montrer que S = { x , (x) = 1} est une partie compacte de
d) Soit une autre norme sur .montrer qu’il existe deux constantes positives C1 et
C2 telles que : x S C1 ( ) C2 et x (x) C1 ( ) C2 (x)
2) Soient E et F deux espaces vectoriels normés de dimensions finies. Soient f : E F
une application linéaire .montrer que f est continue.
EXERCICE 3
1) On définie sur les fonctions f1 et f2 par :
( , ) (0,0) ( , ) (0,0)
(x,y) = (x,y) =
(0,0) = 0 (0,0) = 0
( , ) ( 1,1)
f(x,y) =
( 1,1) = 0
EXERCICE I :
Soient (E, d) un métrique.
1. Rappeler les définitions ci-dessous :
1.1. (E, d) est un espace métrique complet.
1.2. K est une partie compacte de (E , d)
1.3. C est une partie connexe de (E , d) .
2. Soient A et B deux parties de E.
2.1. Montrer que = U
2.2. Montrer que A B .donner dans munie de la distance eucludienne un
exemple où l’inclusion est stricte.
3. Soit A une partie compacte de E et x E tel que x n’appartienne pas à A. Montrer qu’il
existe deux ouverts U et V de E vérifiant : x U , A V et U V =
EXERCICE 2
Soit (E , d) un espace métrique et a E .pour x ,x E. on pose
0 =
(x , y) =
( , )+ ( , )
EXERCICE 3
On suppose munie de la norme euclidienne || . ||
(x , y) = +
EXERCICE I :
1. Rappeler les définitions d’un espace métrique complet et d’un espace métrique
compact
2. (E,|| . ||) est un espace vectoriel normé. A et B deux parties de E.
On note A + B = {a + b / a A et b B}
a) Montrer que si A est ouvert, alors A + B est ouvert
b) Montrer que si A est compact et B est fermé, alors A + B est fermé.
3. Montrer que dans un espace vectoriel normé (E, || . ||) tout chemin joignant l’intérieur
EXERCICE 2
1. Etudier la continuité en (0,0) de la fonction g définie de vers par
( , ) (0,0)
( )
g (x,y) =
(0,0) = 0
0
h(x,y) =
0 =0
EXERCICE 3
1. Calculer les intégrales multiples suivantes :
a) I = où D est l’intérieur du triangle de sommet O , A(1,2) et B(3,3) dans le
plan muni d’un repère orthonormé (O , I ,J )
EXERCICE I :
On considère un espace métrique (E ,d). Montrer que pour A E:
EXERCICE 2
1. Déterminer les limites en (0, 0) de chacune des fonctions de deux variables ci-dessous
a) f(x,y) =
)
b) g(x,y) =
2. on définie la fonction h sur par h (x,y) = x3 + y3 -9xy + 27
a) Déterminer les deux points critiques de h
b) Vérifier pour chacun de ces points si c’est un extremum. Si oui lequel ?
EXERCICE 3
1. On considère l’intégrale généralisée I = dx. Vérifier que c’est une
intégrale convergente et déterminer sa valeur numérique
2. Soit A le triangle du plan définie par 0 x , 0 y , , x + y 2}
Calculer J = ( )
EXERCICE 4
Résoudre les systèmes différentiel suivant
=4 10 5
= +
1) =3 5 +2 2)
= 4
=2 4 +2
EXERCICE I :
1) On considère le plan muni d’un repère orthonormé direct.
a) Calculer les intégrales doubles ci-dessous :
J= dxdyoù D ={ x2 + y2 1 0 x , 0 y }
EXERCICE 2
1) On considère les fonctions f et g définies de vers par :
( , ) (0,0) ( , ) (0,0)
(x,y) = (x,y) =
(0,0) = 0 (0,0) = 0
EXERCICE 3
1) Rappeler la définition de : chemin dans un espace métrique, espace métrique
connexe espace métrique connexe par arc.
EBAUCHE DE CORRECTION
2
Soit h:
/( + )
h(x,y)= si (x,y) (0,0)
(0,0) = 0
= lim 0
=0
2 ( + ) 2 ( )
) = ( )=
+ ( + )
2 +2 2 2
= =
+ +
Or =2
( , )
Donc lim = lim( , ) ( , )
( )
ii) = = ( )
3 +3 2
=
( + )
3 + 3 ( + )
=
( + ) ( + )
3
+
= 3x2
2
Soit f :
( , )= +3 15 12
( , )=0
( , )=0
On a :
=3 +3 15 = 0 ( + ) 2 5 = 0 (1)
=6 12 = 0 = 2 (2)
( + ) 9 =0
+ =3 + = 3
=2
=1 =2 1 2
ou
=2 =1 2 1
= =6
= =6
= =6
(1,2) (2,1) ( 1, 2) ( 2, 1)
r= 6x 6 12 -6 - 12
t= 6x 6 12 -6 - 12
S=6y 12 6 - 12 -6
• A2 est un minimum
• A4 est un maximum
, , ( , ) 0 1+ ( , ) 1
( , )
1
( , )
( , )
( , )
( , ) ( , )
( , )
D(0,x)< <
( , )
| |
| |
<
2|x|< 1 + | |
|x|< 1
Exercice 1
D(x,y) = ( , )
i) positivité
d(x,y) 0 ( , ) 0
( , ) 0
ii) séparation
, E, ( , )=0
( , )=0
X = y car d est une distance
iii) symetrie
, E, ( , ) = ( , )= ( , )
D’où ( , )= ( , )
, , E, ( , )= ( , ) ( , )+ ( , )
( , ) + ( , )
Ainsi ( , ) ( , )+ ( , )
(x,y) ( , )
• (0) = 0
• ( + ) ( )+ ( )
+ +
Soit f :
• (0) = =0
+ 0 0
1+ 1+
D’où ( + ) ( )+ ( )
EXERCICE I :
Exercice 2. 8 points
2
1) Soit h la fonction numérique définie sur \(0,0) par h(x, y) = .
2
a) Déterminer un réel strictement positif C tel que (x, y) \(0,0), |h(x, y)|
C(|x|+|y|)
b) Montrer que h admet une limite en (0,0) et la déterminer.
( )
2) La fonction définie par (x, y) = admet-elle une limite en (0,0) ?
2 ( , ) (0,0)
3) Montrer que l’application f définie de vers par f(x, y) =
0 ( , ) = (0,0)
1
est de classe C
4) Soit g la fonction définie de 2 vers par g(x, y) = x3 + y3 + 6(y2 – x2)
a) Déterminer les points critiques de g.
b) En utilisant les expressions de g(0, t) et g(t, 0), montrer que (0,0) n’est pas un
extremum bien qu’étant un point critique.
c) Déterminer la nature de (4, 0)
Exercice 3. 8 points
2
1) Calculer I = où D = {(x, y) ,x 0 x2 + y2 y}
2
2) Calculer J = où A = {(x, y) , x 0 y2 – 2px 0 et x2 – 2py 0}
2 2
avec p +NB : Envisager le changement de variable x = u v et y = uv
3
3) Soit D = {(x, y, z) , x 0, z 0, x + y + z 1}. Faire une esquisse graphique de D
puis Calculer K = ( + + )
4) On suppose le plan muni d’un repère orthonormé direct (O, I, J). On considère les
points A(2, 4), B(1, 1) et la courbe ( ) d’équation y = x2 . Soit D le domaine du plan
délimité par la courbe ( ), les droites (AB) et (OA). On désigne par la frontière de D
parcourue une fois dans le sens direct.
a) Représenter graphiquement le domaine D et la courbe .
b) Calculer l’intégrale curviligne L = ( + ) +
TD
EXERCICE 6:
2
Montrer que la fonction f définie de vers par f(x, y) = si (x, y) (0, 0) et f(0, 0) =
0 est de classe C1 sur 2
Solution :
2
Soit (a, b) , montrons que les dérivées partielles en (a, b) existent et sont continues.
Si (a, b) (0, 0), f(x, y) est de classe C1 comme rapport de fonctions polynomiales
dont le dénominateur ne s’annule pas.
Si (a, b) = (0, 0) :
Vérifions que f est continue en (0, 0) :
| |
|f(x, y)| =
| |
0
( , ) ( , )
( , ) ( , )
(0, 0) = lim =0
( , ) ( , )
(0, 0) = lim =0
2 ( + ) 2 ( )
( , )=
( + )
=( )
| | | |
( , ) = = y4 0 quand ( , (0, 0)
( ) ( )
( )
( , )= =
( ) ( )
| | | | | |
( , ) = |3 + | 0 quand (x,
( ) ( )
y) (0,0)
2
Exercice 7 : Soit la fonction f définie de vers par :
( , )= ( , ) ( , ) ( , )=
+
2
1) f est-elle continue en tout point de ?
2
f est une fraction rationnelle sur \ {(0,0)} donc continue.
| | | | | | | |
|f(x, y)| = 0 quand (x, y) (0, 0)
2
D’où f est continue en tout point de
2
2) Montrer que f est différentiable en tout point de U = .
Soit (a, b) U, on a :
[( , ) ] ( , ) 1 ( + ) 1 ( + ) (
= =
( + ) + + ( + )(( + ) + )
[( , ) ] ( , )
On a lim 2
CC THERMODYNAMIQUE 2011-2012
EXERCICES I:
EXERCICES :
Q = CVdT + ldV
= ldV (détente isotherme donc dT = 0)
Q = ln
Q = ln
Q = 70,21 J
W = -PextdV
= - PdV (réversible)
W =- ln =-Q
W = - 70,21 J
b – Travail et chaleur pendant la détente irréversible
W = -PextdV
W = - Pf(Vf – Vi) (irréversible)
= - PB(VB – VA)
Or PBVB = PAVA = nRT
W=- (V V )
, × ×
AN : W = (2 × 10 10 )
×
W = - 50,65 J
Q = CVdT + ldV or dT = 0
= PdV
Q = PB(VB – VA) = -W
Q = (V V )
Q = 50,65 J
2° a – Equation d’état du gaz
= + avec = ; on a :
= +
= +
V= + cte(P)
X=
( )
= +
( )
= or X = =
D’où cte(P) = K
b–
= + =
=1
+
+
ln + ln
+
A.N : à faire
c–
= 0 (adiabatique)
= + =0
=
3
= = gaz monoatomique( = 1)
2
3
= ( )
2
A.N : à faire
3° a –
1ère méthode
= +
= +
= +( )
+ ( )= = = =
= + = +
d où = +
2ème méthode
= + or + ( )=
= = +
= = = +
b–
= + = + +
= = + = + + = + =
Donc, =
c–
On a : = = = (2)
= = = [ ( )]
+
+
2×
A.N :à faire
4 – a ) coordonnées thermodynamiques P,V,T
P
A B
3atm
1l 4l
- réchauffement isobare
(3 × 1,013 × 10 )10
= = = = = 0,86828 .
350
= =3 = 303900
0,86828 × 450
= = = = 1,285 ; = 1,285
303900
= = 450 ; =4
0,886828 × 450
= = = = ; = 97981,5
4 × 10
= (adiabatique) = (isochore) =4
1
= = = 303900 = 30150,69 ; = 30150,69
4
30150,69 × 4 × 10
= = = = 138,89 ; = 138,89
0,86838
– b) ?
= + + + et
( )
ln
=0
3 3
= (adiabatique) = = ( )
2 2
Calculer et voir.
= + + +
3
= ( )+ ( )
2
= ln
3
= ( )
2
=0
Calculer et comparer avec
– c)
Il s’agit d’un moteur. En effet, < 0. De plus, l’on se rend compte que le cycle se fait
dans le sens des aiguilles d’une montre.
EXERCICE I:
EXERCICE II
EXERCICE III
PROBLEME
EXERCICE I :
dSsource =
dSgaz =
= car dT=0
= dv =
Sunivers = +
Sunivers = +
Calcul de W
W = 750 J
Calcul de l'éfficacité
p = 3,33
PROBLEME :
1) Travail échangé
W 1-m = A(A1-Am-Vm-V1)
= - (V1-Vm)(P1+Pm)/2
= 4 × 10 × 1,013 × 10 × 4
= - 1620,8j
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W m-2 = - pdv =
=
W m-2 = = 36 × 1,013 × 10 ×
W m-2 = - 4006,419 j
u = Cv T = W 1-2 + Q
Q = Cv T – W 1-2
= nR T – W1-2
= (PmVm – P1V1) – W 1-2
= (6 × 6 2 × 2) × 1,013 × 10 × 10 + 5627,219
Q = 13731,219 j
dS = dS1-m + dSm-2
= +
= +
= +
(or dTm-2=0)
= + +
= + +
= + +
S1-2 = + +
S1-2 = 10,386
4) expression de T en fonction de V
PV = nRT =
d'où T =
or P = aV + b ; en faisant P – P1 = ( 1)
P= 1+ 1
on trouve b = 0
Soit P = = 1,013 × 10
T =7,5 × 10
= = = +
S – S1 =
or T =7,5 × 10 ie V = et S1 = 0
S= + ( 1)
S= ( ) ( 1) (7,5 × 10 ) ( 1)
( ) ( ) ( )
Soit alors T=
T=
Sur A1-Am, on a T =
Sur Am-A2, T = cte (isotherme) : T = T(Am) = Tm =7,5 × 10 = 7,5 × 10 × 36 × 10 =
2700
D’où le graphe suivant :
EXERCICE I :
EXERCICE II :
On introduit dans une enceinte rigide de volume V o=2 litres, maintenue à la pression
atmosphérique, thermostatée à 100oC :1g de glace (eau solide) à 0oC.
Données à Po=1atm :chaleur massique de l’eau liquide C=4,2Kj/K/° ; chaleur latente de
vaporisation de l’eau à 100°C Lv=2257 Kj/Kg ;chaleur latente de fusion de la glace à 0°C
Lf=334 Kj/Kg ; volume massique du liquide Vf=1l/Kg.
1) Calculer l’état final
2) Calculer l’entropie créée.
PROBLEME :
Un cylindre rigide calorifugé est divisé en deux compartiments (1) et (2) contenants
chacun un gaz parfait diatomique.la paroi séparatrice, calorifugée, initialement
maintenue fixe, peut glisser sans frottements.une résistance X traversant le
compartiment (1) permet, pendant le transformation, d’y maintenir la température T11
constante.
A l’instant initial, on ferme l’interrupteur et on libère simultanément la paroi
séparatrice. Un courant i traverse la résistance. L’équilibre final est atteint au bout
d’un temps t.
1) Calculer la température de finale T22 dans le compartiment (2).
2)
a- La transformation est supposée réversible : calculer les coordonnées finales P22 P12
V22 V12
b- La transformation est irréversible
b1/ montrer que le travail échangé par (1) est, en valeur absolue, égal à la chaleur
reçue par le système (1)+(2)
b2/calculer les coordonnées thermodynamiques finales P22, P12, V22, V12
b3/calculer l’entropie créée pendant la transformation.
Données : T11=T21=300K ; n1=0 ,3 mol ; n2=0,05 mol ; V11=1l ; V21=0,6l ; X=2 ;
i=5A ; t=2S ; R=8,3 J/mol/K
FICHE DE TD
FICHE No 1
EXERCICE I :
( , , )= =0
1) Dérivées partielles
a) =
= =
b) =
c) =
d) =
e) =
f) =
2) Comparaison des expressions :
= =
Donc =
et
Donc =
= =
Donc =
Ainsi =
3) Calculons :
On a = ×
( )
= × 1
4) Comparaisons:
a)
b)
c)
FICHE II :
EXERCICE 7 :
1) + ( )=
1
=
:
= => =
= (×)
( )
= => = (××)
=> = . . .
=> = . ( 1)
1
= .
+( )
( )
=> . . ( )
. or = . ( )
( )
=> .
. . . 2 ( )
=> ( ) . [ 2 ( )]
=> ( )+2 ( )
=> =
+2
=> =
+2
=> =
1+2 ( 1)
D’après (*), on a:
= ( )
= =
+2 ( 1) 1+2 ( 1)
À l’état de référence, on a :
=
1+2 ( 1)
2) Calcul de a, b, r si = 10 =
Pour déterminer a, b, r, on doit d’abord déterminer et
Pour = 2,2
1,18
1,07
300 33
( , , )× , ×
= = 366,67 /
4. 10
2,2
= 1,98
0,99 + 2,1
Ainsi, = ( 1) An :
= ( )
An : = 3,93. 10
= ( )
An: = 0,72
EXERCICE 8 :
= 0° = 50°
(1)
L=110cm P1=80cmHg
P1 N1
L h 1 atm=760mHg
(2)
P2 N2
S
Déduisons P2:
Comparons N1 et N2 :
D’après (1), on a : P V > P V => n RT > n RT => N > N c'est- à-dire que le
compartiment (2) a plus de particules que le compartiment (1)
On chauffe le milieu (2) =>la température augmente => l’index se déplace vers le haut
(50-x)cm=lo-x
h=10cm
L=110c
(50+x)cm=lo+
x
= =
=> (3) or à l’instant initial on a
= =
= =
=> (4)
= =
=
(3) et (4) => (5) où = ( + ), = ( ), =
=
= (6)
( )
C'est-à-dire
= ( )
(7)
C'est-à-dire ( )
= ( )
+ ie
1+ = +
Or x<<L => et 1+ 1+
Ainsi,
1+ = + ce qui donne
EXERCICE 11 :
Etat initial :
1) Calcul de W quand la détente est réversible
=> avec = et =
AN : W= -3457,7J
donc ( ) = 1 AN :W=-1870,65J
W=W1+W2 avec 2 ( )= 1 et = ( )=
1
2
= 1
1
2
Donc = = AN : W=-2494,2J
A
B
D C
= + = = =
Donc
B-C : adiabatique : = 0 et = ( )
C-D : isotherme : =
D-A:compression adiabatique: = 0 et = ( )
| | | |
= =
= ( + )
| | +
= = =1+ d’où =1
Théorème de Carnot : = =
| |
= = 1+ 1
comme = ,alors 1 + =1 => =
2 2
soit finalement + =0
1
pour les transformations réversibles < donc < ie + <0
2
=0 = 0 comme 0
= = J/K
= + = ie = ie = ( ) et =
( )
Transformation isotherme :
= = ie = ie =
1. Soit une transformation isotherme reliant deux états d’équilibre, montrer que :
Il fait très chaud et vous avez soif ! 1litre d’eau à 10°C environ vous conviendrait
parfaitement. A la boutique du coin vous pouvez acheter autant de glace (eau solide) que
vous voulez, les robinets du campus vous offrent de l’eau liquide.
Vous disposez d’un récipient calorifugé de capacité calorifique Cr dans lequel vous comptez
effectuer votre mélange et d’une balance.
1. Donnez les masses de glace et d’eau liquide utilisées.
2. Calculer l’entropie créée. Cette transformation est-elle réversible ?
+ ( )=nRT
A et B constantes
PartieA
1. Calculer le travail et la chaleur échangés avec l’extérieur pendant une détente isotherme
réversible de ce gaz et en déduire la variation de l’énergie interne
2. Calculer le travail et la chaleur échangés pendant la détente isotherme irréversible de ce
même gaz.
A.N : Etat initial (T1=300K ; V1=2litres ; P1=3atm)
Etat final (V2=4litres)
A=10-3USI ; B=10-4 USI ; gaz monoatomique
Partie B
1. Etablir l’expression de la différentielle de l’énergie interne d’un gaz de Van der Waals
Un récipient rigide, isolé thermiquement est percé d’un petit trou. Il contient 10 moles d’air
(capacité thermique Cp=29,12 J.K-1.mol-1) sous la pression atmosphérique Po et à la
température extérieure (atmosphère) To= 398K. L’air dans le récipient est chauffé de façon
réversible jusqu’à une température Tf = 310K ; au cours de cette opération une partie de l’air
s’échappe dans l’atmosphère, permettant ainsi à la pression de rester constante. Calculer :
V1=1litre
Etat initial V2 = 2litres
T1 = 300K
P1 = 4atm
EXERCICE I:
Un cylindre calorifugé et rigide est divisé en 2 compartiments 1et 2 par une paroi
également calorifugée. Cette dernière peut glisser sans frottements. Les chambres 1 et 2
contiennent un gaz parfait identique et dans le même état thermodynamique Po, To, Vo. Une
résistance chauffante Ro est placée dans le compartiment 1.
A l’instant initial, t=0, on fait passer dans Ro un courant i continu et la paroi séparatrice se
déplace de façon quasi statique.
1.Écrire les lois de transformation T 1=f(V1, t) , T2=g(V2), variable à chaque instant de
l’évolution du système, dans les compartiments 1 et 2
2 .A t=tf , on coupe l’apport de chaleur.
Calculer les paramètres T1, P1, V1 et T2, P2, V2 de l’état final. Calculer la variation d’entropie
du gaz dans les 2 compartiments et la variation d’entropie de la source de chaleur
Etat initial
1 2
EXERCICE II:
P
A
B C
AEENSPY 2013 : TOUS AU NIVEAU III TOME 2 222
EXERCICE III:
Le schéma de principe d’une machine à vapeur est représenté à la figure 2a. Sur
le diagramme entropique, le cycle de fonctionnement (superposé à la courbe de saturation ) a
l’allure indiquée à la figure 2b.
C T
B Turbine
B
Chaudière C
D
D
A
Pompe
A S
Figure 2a
Le cycle de transformation est parcouru par 1Kg de fluide (eau) ;Sur AB le fluide subit une
compression isentropique sur BC et DA des transformations isothermes et isobares et sur CD
une détente.
1. Donner la nature (phase) du fluide sur chacun des 4 trajets. Préciser la composition aux 4
sommets (calculer le taux x de vapeur si nécessaire).
2. a La formule de Regnault L(0)=606-0,7 avec en °C et L en kcal/kg permet de calculer la
chaleur latente à une température donnée. Calculer a et b tels que L(T=a-b*T) avec T en K
et L en kJ/kg.
b. Calculer le travail échangé par le fluide pendant la détente CD
3.Établir l’expression littérale de la différentielle dS de l’entropie valable entre 2 points
quelconque du cycle. cl et cg sont respectivement les chaleurs massiques du liquide saturant et
de la vapeur saturante sur la courbe de saturation.
En déduire la relation entre cl, cg, L et T.
EXERCICE I:
EXERCICE II:
EXERCICE III:
On veut calculer la performance de la machine thermique dont le cycle idéal est décrit dans le
diagramme ci-dessous :
4 3
2
1
V
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SG AEENSPY 2013/3GTELTEL :
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Les transformations 2-3 et 4-1 sont des adiabatiques, 3-4une isobare et 1-2 une isochore.
-Calculer les chaleurs échangées sur les différents trajets en précisant si elles sont reçues ou
cédées par le système
, EXERCICE IV:
Dans une enceinte calorifugée, on introduit : de la vapeur d’eau à 100°C, de l’eau liquide à
40°C et de la glace à -5°C.Les masses respectives sont les suivantes : mvap=100g ; meau=200g ;
mgla=400g.
EXERCICE V:
Deux cylindres rigides A et B de même volume Vo=1litre sont reliés par une valve ainsi que
l’indique le schéma ci-contre. A contient un gaz parfait diatomique à la température
To=300K et à la pression Po=1atm. B est initialement vide. Les cylindres sont thermiquement
isolés de l’extérieur et isolés l’un de l’autre.
On suppose que le gaz resté dans le cylindre A à la fin de la transformation, a subi une
détente réversible .Calculer les paramètres TA, TB, PA, PB, nA, nB
Etat initial
A B
EXERCICE I:
Déduisons que
On a : +( )
= +( - P)
=-P
On a: dF = +
= -PdV- or dT=
F= – RTln(V-b) +Fo
3. Différentielle de l’entropie dS
On a: dS =
= or dT=0
dS = = or P =
= +
Donc dS= ( + ) dV
= -( + ) +
F= ( )+
EXERCICEII:
= + + +
=CvdT + ldV – PdV + PdV + VdP
=CvdT + ldV + VdP
Or dP = +
dH = CvdT + ldV + V[ + ]
= [Cv+ ] + [l+ ]
2. Calculons T pour dH = 0
On donne : (P+ ) = et [l +V ]
Donc =
2
+
dH= (Cv+ ) +( + ) dV
= (Cv+ ) + dV
Or dH=0 (Cv+ ) dV
dT = dV
( )
dT =
( )
(T2 1) = ( )
( )
EXERCICEIII:
Q1 Agent Q2 Source
Source
thermique chaude
froide
= = ( )
Calcul des chaleurs échangées sur différents trajets en précisant si elles sont reçues ou
cédées par le système
12 = + ldV or dV = 0
12 = 12 = T = Cv (T2-T1)
Or = or = de plus, = nR et = nR
Aussi, = =
Donc =
Q12 =
Q34 = Cp T = Cp ( )
= Cp
A.N:
EXAMEN DE THERMODYNAMIQUE
EXERCICEI:
S1 S2
EXERCICEII:
On libère la cloison qui de déplace et un nouvel état d’équilibre se crée. Le volume V A est
passé à V’A.
-Calculer, en fonction des données initiales des constantes du problème et de V’A ,le travail
échangé par chacun des gaz dans les deux compartiments. Calculer les chaleurs échangées.
-Calculer les variations d’entropie des deux systèmes. Conclure.
-A.N: nA=2 ; nB=1 ;T A=300K ;TB=350K ;Vb=3litres ;V’A=3litres ; =7/5
EXERCICEIII:
On dispose d’un cylindre d’axe vertical, fermé par un piston par lequel peut s’exercer une
force supplémentaire par l’intermédiaire d’un levier. Le cylindre contient une masse m=10g
d’ammoniac (NH3). Le piston et le levier, du fait de leur masse exerce une force constante de
1000N.
Sachant que la pression d’équilibre du mélange liquide-vapeur à 0°C est Pc=4,38 105Pa
calculer la force minimale F supplémentaire qu’il faut exercer sur le levier et le piston pour
que à 0°C, tout l’ammoniac soit sous forme liquide.
Le cylindre est placé dans un thermostat constitué d’un mélange d’eau liquide et d’eau solide
en équilibre à 0°C partant de l’état final ci-dessus. On cesse d’exercer la force Fo. Lorsque
l’équilibre thermique est établi, une masse Mg d’eau solide s’est formée (eau du thermostat
qui forme avec le cylindre un système thermiquement isolé de l’extérieur. Calculer la masse
Mg dans les deux cas suivants :
i) On cesse brusquement d’exercer une force dur le piston
ii) On diminue progressivement la force qui s’exerce sur le piston
Données à 0°C : Lf=335Kj/kg chaleur latente de fusion de l’eau
EXERCICEI:
État initial
S1 S2
État d’équilibre
S1 S2
On fait passer un courant i dans la résistance après l’instant t le système retrouve l’équilibre.
Calcul des variables P, T, V de chaque compartiment
Dans le compartiment 3 on a une adiabatique réversible donc
= = 5/3
A.N : = *1 = 0,784l
.
= =
= =
2 =3
= (3/2) ( )
= (3/2) ( )
= =
= nR =
= =
= =
EXERCICE I :
1-
L’aire de la surface engendrée par une courbe plane tournant autour d’un axe de son plan, ne la
traversant pas, est égale au produit de la longueur de la courbe par le périmètre du cercle décrit
par son centre d’inertie
La mesure du volume engendré par une courbe plane tournant autour d’un axe de son plan, ne
la traversant pas, est égale au produit de l’aire de cette surface par le périmètre du cercle décrit
par son centre d’inertie
= é è ( ) é è ( ( , ))
AN: =2 ×2 =4 =4
= ( )× é è ( , )
=2
= ×2 =2
EXERCICE II :
En + , , 0 = =( )
2
= +
2 ( ) 0
= + ( )
2
+ , , 0
2 2
+ , , <
2 2
( ).
=
=( ) de même
= (2 + )= +
Or pour < = ( ) =
( )
= + ( )
( )
Donc = + ( ) ( ) 0
( )
( ) ( )
=
Donc en
+ , , <
2 2
( )
=
0
= 2
0
- Torseur de pesanteur de la plaque BB’C en son centre d’inertie :
1 1
OG = + + +
3 3 2
1 1
= + + ( ) +
3 3 2
2
= + + +
3 3 3 2
2 +
( ; ; )
3 3 2
( )
= ( )
0
= ( )
( )
= 2
0
= +
, = , + )
2
Posons =
2 2
, = 2 =
3 3 2 3 2
0 0 3 2
( )
Posons
2 +
, = , + = 2 +
3 3 2
0 0 3 2
2 +
=
3 2
= 2 + 2 +
3 2 3 2
( + )
= 2 2 +
( + ) + +
2 3 3
( )
+
2 2
( + )
2 2
2 2 + 2 ( )(2 + )
+
3 3 6 6
[2 +( )(2 + )]
6
( + ) ( + )
6 6
Donc =
( + )
3) Calcul de , :
,[ ] = + 0, [ ] = + 0,
[ ] = + 0
+[ ] + [ ] + [ ] = [ 0] (1)
[ ] =
0+ = =
[ ] =
0+ = =
( )
Posons ; = ;
(1) + + + = 0
0 + 0
+ +
+
0
0 + +
( )
1 +1 +1
0
Soit le mineur non nul
1 1
0
hyperstatis me de dégré 1
1 1
(2)
( )
+ (3)
( + )
(2) = =
6 6
( + )
+
6
(3)
= ( + )+
2 6
=+ ( + )+
2 6
= ( + )
i.e
= ( + )
EXERCICE III :
1. Déterminons et dans , =
[ ] = , [ ] = , [ ] = avec = ; = +
0 0 0
. . [ ] + [ ] + [ ] = [ 0] (1)
+
[ ] =
0+ + = .
+ = 30° (2)
. sin 30° (3)
. = . . cos 30° (4)
: = 9 + 5,196
= 30°
: = 10,39
D’après Culman = +
| | = 5,55 = 5,55
Au Nœud A :
| | = 2,8 = (2,8 )
Echelle : 1 cm 2kN
Le tableau de résultat se remplit par lecture simple du Cremona ci-dessus. L’échelle étant
1cm 2 kN Exemple : | | = 5 = 4 à 5.
EXERCICE I :
= = (cos + sin )
2 2
= + =( + )( + )
2 2
= + + ( + )
2
Poids d’une barre
= = 1,2,3 .
D’où les actions de pesanteurs suivantes
.
[ ] =
=0
avec = ( + )
2
. .
[ ] = [ ] =
=0 =0
avec = + ( + )avec = + + ( + )
2 2
= ( + )
= = sin 0 cos 0
0 0 = cos
cos
2
+ cos
2
+ +
3
= ( + + )
Donc [ ] =
= . cos + + + + + +
[ ] = est indépendant de
= . cos avec 0 2
En plus, pour = on a = =
=
( )= ( ) . ) avec ( )= on en déduit :
4
.
=
0
= [0]avec < .
2
.
=
0+ . 0 /2
= 4 . .
. .
4 1
=
4
4 1 1
. . .
2 4 16
1
16
1
= 6
1
16
3.
10 8 + 30
[ ] = + 0,
[ ] = + 0 [ ] = +
= +
+ = 8.10 = 3000
. = 30.10 = 5000
EXERCICE III :
On a : tan = =
tan ,
tan = = tan
2. Actions extérieures en A et B
. cos . sin
. cos = 0 (1)
. sin = 0 (2)
. sin
Au nœud A :
/
//
/
/ >/
//
/
Au nœud C :
EXERCISE
1) Another name for matter having two or more elements is compound and the smallest
particle of this substance is a molecule.
2) A liquid will push sideways against the side of a container downwards on the bottom
and upwards against anything placed on it, thereby exerting a force in these directions.
3) If the buoyant force is the same as the weight of an object, the object will float but if it
is less, the object will sink.
4)
EXERCISE
A- Using your knowledge of word formation, rewrite these sentences below putting the
correct form of the words underlined
1- Electrons are negative charge particles.
Electrons are negative charged particles
2- Their discover was a great science achievement.
their discovery was a great scientific achievement.
3- Radioactive elements continue emit particles at high velocities.
Radioactive elements continuously emit particles at high velocities.
4- Gamma rays are electromagnet waves.
Gamma rays are electromagnetic waves.
5- Scientists want to control nuclear fusion to use it for peace purposes.
Scientists want to control nuclear fusion to use it for peaceful purposes.
6- O.R.T. terminals are important interact devices for use in offices
O.R.T. terminals are important interactive devices for use in offices
7- A magnet is a piece of metal that can magnet iron filings
A magnet is a piece of metal that can magnetise (or magnetize) iron filings.
8- Computers are machines designed to process electronic prepared pieces of
information.
Computers are machines designed to process electronic prepared pieces of
information.
9- The fraudulent students are awaiting their accept into the examination hall.
the fraudulent students are awaiting their acceptance into the examination hall.
10- Today’s computers are remark faster than predecessors.
Today’s computers are remarked faster than predecessors.
Work is done when a force moves a load _______a certain distance. The capacity to do work
is called energy. Energy, ______ work is measured ________ergs and joules. It is a scalar
quantity, having magnitude but no direction. Mechanical energy exists in two forms: kinetic
energy and potential energy. A pendulum shows the relationship __________kinetic energy
and potential energy, and who illustrates the principle of the conservation of energy. The rate
_______which work is done is called power. This is expressed ________the formula =
where W is the amount of work done or energy expended, t is the time taken, and p is the
power.
a) Give the noun formed from measure, move and exist. 3 mks
b) Form verb from quantity and energy. 2 mks
c) What is the text talking about? 3 mks
d) How can electrical energy be obtained from the sea? 7 mks
Answer :
A- Express the ideas in these sentences by writing the correct words or expression in
the empty spaces
The speeds of sound wave in different substances are given in the table below.
4) Explain the meaning of ‘inverse proportion’ and support your explanation with an
example.
5) Say why a ship is more stable when loaded than when it is empty.
6) Explain the difference between a vector quantity and a scalar quantity and give an
example of each.
5- Latentheat is the amount of heat absorbed or given off by a substance to change its
state.
6- What happens to some materials when heated and when cooled?
When heated, some materials expand
When cooled, some materials contract
7- the common thermos in which we keep food hot or a works on which principle?
The principle that the best insulator of heat is vacuum
8- why can some substances absorb and give off much more heat than others?
Because they have different coefficient of expansion
Sujet :
EXERCICE :
Le Ministre
__________ YAOUNDE, LE 19 JUIN 2012.
N° 02549/2012/MINSUP/C AB
LE MINISTRE DE
L’ENSEIGNEMENT
SUPERIEUR
A
MONSIEUR LE MINISTRE
DES TRAVAUX PUBLICS
ECOLE NATIONALE
SUPERIEURE DES TRAVAUX
PUBLICS (E.N.S.T.P)
objet : réforme à L’E.N.S.T.P.
j’ai l’honneur de porter à votre connaissance les dispositions que nous avons prises
concernant la réforme en cours dans votre établissement.
d’une part en ce qui concerne la formation d’ingénieur de travaux initiée depuis l’an passé,
nous vous proposons le parrainage de notre école, l’école nationale supérieure polytechnique de
yaoundé. aussi, nous mettons à votre disposition le laboratoire de génie civil de l’université de
yaoundé 1. d’autre part, en ce qui concerne les réformes des bâtiments, nous mettons à votre
disposition un prêt de 15 000 000 fcfa.
en définitive, nous ne pouvons que vous laisser le choix d’apprécier notre offre.
REDACTION ADMINISTRATIVE
Sujet :
EXERCICE
___________
Yaoundé, le 02 juin 2012
Le Ministre
__________
Le Ministre de l’Enseignement Supérieur
N° 02569 / 2012 / MINSUP / CAB À
Monsieur le Ministre des Travaux Publics
ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE
DES TRAVAUX PUBLICS
Par lettre N° 429 / MINTP / ENSTP / DIR du 25 mai 2012 portant sur la participation de
votre institution aux jeux universitaires 2012, j’ai l’honneur d’accuser réception de ce document dont
j’ai pris connaissance avec intérêt.
En effet, nous constatons votre grand succès à ladite compétition ; vous y êtes démarqués par
votre meilleure position parmi les institutions concernées.
En outre, je vous félicite pour les médailles remportées au Basket-ball, en football et en
course de fond.
En définitive, je ne peux que vous encourager et souhaiter votre participation aux prochains
jeux qui auront lieu à Ngaoundéré.
2- Décrire le jeu
Le volleyball est un sport collectif qui se jouer à 6 contre 6, où la première équipe à atteindre
25 points gagne le set, et la première équipe à gagner 3 sets gagne le match.
Un point est marqué lorsque le ballon tombe sur le terrain de l’équipe adverse, ou bien quand
l’adversaire commet une faute. Chaque équipe s’efforce de faire tomber le ballon dans le
camp de l’adversaire en l’envoyant par-dessus un filet un filet qui sépare l’aire de jeu en 2
carrés parfait. Ceci en évitant de commettre une faute et en empêchant la ballon de toucher le
sol dans son propre camp.
3- Quel est le rôle du libéro ?
Le libéro est un jouer spécialisé en défense. C’est un arrière qui ne peut pas attaquer (pas de
renvoi dans le camp adverse à partir des 3 m, ni de renvoi dans le camp de l’adversaire en
prenant la balle au-dessus du filet
4- Décrire la position des joueurs
La position des joueurs est désignée par un numéro de 1 à 6, 1 étant le jouer arrière droit, 2
l’avant droit, 3 l’avant central, 4 l’avant gauche, 5 l’arrière gauche, 6 l’arrière central. Telle
que représenté sur la figure ci-dessus
5- Dix fautes possibles
Faute de position : ne pas respecter le placement correct des joueurs à l’instant où le serveur
frappe la balle
Ball in : laisser la balle toucher le sol à l’intérieur des limites de son terrain
Ball out : envoyer la balle de telle sorte qu’elle touche le sol en dehors des limites du terrain, ou
bien qu’elle touche l’antenne
Faute des quatre touches : ne pas retourner le ballon dans le camp adverse en moins de 3 touches
de balles
Faute de fil : toucher le filet avec une partie du corps ou les vêtements
Faute de pénétration : franchir complètement la ligne centrale (sous le filet) avec le pied entier (ou
la main ou une autre partie du corps) et entrer ainsi en contact avec le terrain adverse
Faute de deux touches ou double touche : un même joueur touche deux fois de suite la balle
Faute de frappe d’attaque : un joueur arrière frappe une balle en situation d’attaque (plus haute
que le filet ou étant à l’intérieur de la zone d’attaque)
Ballon tenu ou transport : la balle est touchée de manière inadéquate par un joueur (toutes les
frappes doivent être franches)
Faute de contre : lorsque la balle est touchée lors d’un contre par un joueur avant que l’équipe
adverse n’ai eu à frapper
Faute de service : enfreint l’ordre de service, n’effectue pas son service correctement
6- 3 gestes techniques et descriptions
Le bloc ou contre : action de joueurs placés près du filet pour intercepter le ballon provenant du
camp adverse
La frappe d’attaque : toute action envoyant le ballon chez l’adversaire
Le smatch : coup consistant à rabattre le plus fort possible le ballon sur l’aire de jeu de l’adversaire
Passe : action qui précède l’attaque
Réception : action consécutive au service
7- Les différents types de services
Le « service cuillère »
C'est le service utilisé habituellement par les débutants. Il consiste à prendre le ballon de la
main gauche (pour un droitier), de tendre ce bras en avant à hauteur du bassin, lancer
légèrement le ballon en hauteur et de le frapper par dessous avec la main droite pour le faire
« voler » en avant.
Le service flottant
La personne portant le maillot noir se prépare à servir façon service flottant en armant son
bras.
Ce type de service ne nécessite pas l'utilisation des jambes. Le joueur lance sa balle en
hauteur et la frappe en utilisant le geste caractéristique de l'attaque, sans toutefois rabattre sa
main totalement. Le geste est arrêté au moment précis de l'impact entre ballon et main ferme.
Le joueur peut également effectuer un contre poids avec son corps pour augmenter la
puissance de la frappe. La balle suivra une trajectoire flottante qui rend incertain l'endroit
précis où la balle est censée toucher le sol. Ce flottement met donc le réceptionneur en
difficulté.
Le service smashé
Un joueur servant de façon service smashé qui est en action de saut.
Le service smashé est le type de service pratiqué le plus fréquemment par les professionnels.
Ce service nécessite l'utilisation des membres inférieurs. Pour ce faire, le joueur doit se placer
un peu après la limite du terrain, lancer très haut son ballon et effectuer une petite course
d'élan (même course que celle de l'attaque) pour frapper sa balle lors de la suspension. Ce
type de service très puissant nécessite une position de réception parfaite, néanmoins il est
assez simple à réceptionner car la balle tournante et très rapide rebondit sur les bras du
réceptionneur, qui n'a pas besoin de faire d'efforts pour la ramener en l'air.
= 260 ; = 2 + 1,5 m ; =
3,5 m
Or, ( ) = 9 + 18 =
9 + 18
Donc, = 9 + 18 + 1.5
En projetant cette équation suivant les différents axes du plan, nous avons :
=0
= = 1
2
Or, . et, en = , . = = .
SEMESTRE 1 2003-2004
1- Comment exécute-t-on la remise en jeu quand le ballon de hand-ball sort au niveau de
la ligne latérale du terrain ?
2- Quand est-ce que l’arbitre siffle une fois au hand-ball ?
3- Quand est-ce que l’arbitre siffle deux fois au hand-ball ?
4- Qu’est-ce que la faute au basket-ball ?
5- Comment indique-t-on la faute à la table de marque ?
6- Citez 4 violations au basket-ball.
7- Donnez le nombre de poste sur un terrain de volley-ball.
8- Un panier réussi au basket-ball peut valoir combien de point ?
SEMESTRE 2 2005-2006
1- Quelle est la durée d’un match de volley-ball?
2- Combien de passe et de touches une équipe doit faire au maximum avant de faire
traverser le ballon par-dessus le filet pendant un match de volley-ball ?
3- Comment s’effectue la rotation au volley-ball ?
4- Comment sont disposés les postes au volley-ball ?
5- Quelles sont les qualités que la pratique du volley-ball peut développer sur un
individu ?
6- Qu’est-ce que la foulée pendant une course ?
7- Sur une piste d’athlétisme il existe plusieurs arrivées et plusieurs départs. Oui ou non ?
8- L’athlétisme est-elle une discipline collective ou une discipline individuelle ?
Pourquoi ?
9- La course de 400 m est-elle une course de vitesse ou une course de résistance ?
Pourquoi ?
SEMESTRE 1 2005-2006
1- Tracez et annotez un terrain de hand-ball réglementaire.
2- Comment distingue-t-on un arbitre de queue d’un arbitre de tête au cours d’un match
de hand-ball ? comment et lequel des 2 arbitres valide le but ?
3- Définition : E.P.S., gymnastique.
4- Combien de zones neutres trouve-t-on sur un terrain de basket-ball ?
5- A quel moment une équipe de basket doit-elle bénéficier de lancer franc au cours d’un
match ?
6- Proposez un trajet de gymnastique comprenant 6 exercices différents pouvant se
combiner aisément ?
SEMESTRE 2 2006-2007
1- Comment sont appelées les lignes qui limitent un couloir sur une piste d’athlétisme?
1 pt
2- Description de l’altitude de course au cours d’un bon sprint de 100 m. 2 pts
3- L’athlétisme est-elle une discipline individuelle ou collective ? pourquoi ? 3 pts
4- Au début d’un match de volley-ball comment sont placés les postes 5 des équipes et
les postes 2 et 4 des deux équipes ? 2 pts
5- La zone du gardien de but au hand-ball est interdite seulement aux joueurs de l’équipe
adverse n’est-ce pas ? 1 pts
6- Est-ce qu’un gardien de but de sa zone peut marquer un but dans les goals adverses au
hand-ball ? 3 pts
7- Dans une course de vitesse, le vent a une influence considérable sur la performance
sur sprinter. Justifier cette affirmation. 2 pts
8- Lors du match Cameroun contre côte d’ivoire. Eto’o fils tire un penalty droit devant
lui, le ballon touche le bord inferieur de la barre transversale et dans les buts.
Quel est l’angle ( ) de la trajectoire du ballon par rapport au sol ? 2 pts
9- Kameni tire au ballon vers le haut. Calculer la hauteur maximale atteinte par le ballon,
sa vitesse et son temps mis en sachant qu’à =0 = 20 / et = 10 3 pts
SEMESTRE 1 2006-2007
1- Quels sont les différents types de départs que vous connaissez ?
2- Quelle est la longueur d’un couloir sur une piste d’athlétisme ?
3- Un athlète parcourt 39 tours de piste à partir de la ligne d’arrivée en 1 heure 39
minutes 21 secondes. Quelle est sa vitesse moyenne en m/s ?
4- Quels sont les points de divergence sensibles entre une course de vitesse et une course
de résistance ?
5- Donnez les caractéristiques d’un bon départ d’une course de vitesse.
6- Citez deux points du règlement qui diffèrent le hand-ball des autres sports collectifs.
7- Définir EPS et dire le bien-fondé de cette pratique dans une école de formation comme
la vôtre.
8- Donnez au moins trois raisons pouvant amener l’arbitre central à arrêter
définitivement un match de football.
9- Définition de la gymnastique.
10- Au volley-ball, quels sont les postes qui se trouvent au filet lors d’un match ?
SEMESTRE 1 2007-2008
I- Pendant un set au volley-ball chaque joueur joue-t-il à son poste du début à la fin ?
pourquoi ? 3 pts
II- Qu’est-ce que le tie-break au volley-ball ? A combien de points se gagne ce set ? 3
pts
III- Sur un terrain de volley-ball, comment sont placés les postes 5 et 2 des équipes
adverses ? 2 pts
IV- Une piste d’athlétisme a plusieurs lices internes et plusieurs lices externes. Vrai ou
faux ? et pourquoi ? 5 pts
V- Dans quels pays se dérouleront les prochains jeux olympiques ?l’emblème des J.O
est formée de combien d’anneaux ? quel message véhicule-t-il ? 2 pts
VI- En gymnastique un étudiant réalise de la même manière et successivement 3
roulades avant élevées. Quel est le type de mouvement qu’effectue un caillou placé
au niveau de ses pieds ? la roulade est repérée dans un repère orthonormé ( , , )
et les coordonnées du vecteur position du caillou sont :
( )=
,
( ) +4 2
Déterminer l’équation de la trajectoire, sa nature, sa forme géométrique. L’axe xx’
coincide avec le sol horizontal. Déterminer l’apogée (S), la vitesse à l’apogée, la
portée (distance horizontale), le temps mis pour parcourir cette portée par le
SEMESTRE 2 2008-2009
1- Quel est le nombre maximal de touches de balle autorisé à une équipe avant de faire
passer la balle par-dessus le filet ?
2- A quel moment un panier au basket-ball vaut un point ?
3- Définir le mot sport.
4- Donner les caractéristiques d’un bon départ dans une course de vitesse.
5- Quels sont les avantages d’un athlète qui exploite son couloir dans une course de
vitesse ?
6- Quels sont les points de divergence sensibles entre la course de vitesse et la
résistance ?
7- Quel est le nombre d’officiels pendant un match de volley-ball ?
8- Le juge de touche au football peut-il siffler au cours d’un match ?
9- Est-ce que la violation à un moment donné au basket-ball peut être considérée comme
une faute ?
SEMESTRE 2 2009-2010
1- Donnez les caractéristiques d’une piste d’athlétisme olympique
- Longueur et sens de rotation
- Nombre de couloir et leur numérotation
- La largeur des couloirs
2- Comment appelle-t-on les équipes des pays suivants : Cameroun – Algérie – Angola-
côte d’Ivoire – Afrique du Sud – Egypte – France – Italie – Gabon – Sénégal – Tunisie
– Maroc
3- Quel est la condition pour qu’un pays Africain conserve le trophée de la CAN ?
- Citez les nations Africaines et le nombre de fois qu’elles ont rempli cette condition
4- Affaire Roger MILLA – ETO’O
Faites le résumé de leurs propos respectifs et donnez votre point de vue
PROBLEMES
N°1
Le championnat camerounais à 17 équipes engagées au Football. Il se joue en aller et retour
avec 3 semaines d’interruption entre les deux phases. Les matchs ont lieu tous les dimanches
exclusivement
1- Trouvez le nombre de journée de ce championnat
2- Trouvez le nombre de match à jouer par phase
3- Sachant qu’il a débuté le dimanche 3 janvier 2010 à quelle date se terminera-t-il ?
4- Ces équipes sont engagées dans la coupe du Cameroun avec 14 équipes de la
deuxième division. Le détenteur du trophée commence au deuxième tour.
a) En combien de tours se déroulera cette coupe, sachant que l’élimination est directe
avant la finale. (faire un tableau)
b) En déduire le nombre de matchs qu’un équipe pourra livrer pour gagner le trophée.
Présentation 1pt
Pays équipes
Cameroun Les lions indomptables
Algérie Les fennecs/Les guerriers du désert/El khadra
Angola Palancas Negras (« antilopes noires »)
Côte d’ivoire Les elephants
Afrique du Sud Bafana Bafana
France Les bleus
Egypte Les pharaons
Italie Gli azzumi/la nazionale/la squadra azzuma
Sénégal Les lions de la Téranga
Gabon Les panthères
Tunisie Aigles de carthage
Maroc Lions de l’atlas
EXERCICE II :
( )={ > 0, , ( ) . ( )}
( )={ > 0, , ( ) . ( )}
( )={ > 0, > 0, , . ( ) ( ) . ( )}
2. Types de complexités rencontrés
Constante : = (1)
Logarithmique : = (log )
Linéaire : = ( )
Quasi-linéaire : = ( log )
Quadratique : = ( )
Cubique : = ( )
Polynomiale : = , >1
Exponentielle, lorsqu’il existe > 1 tel que : ( )
3.
EXERCICE II : MATLAB
1. Donner les valeurs finales de , , , , , , , , ; après exécution par Matlab
des instructions suivantes :
u =
1 3 5 7 9
v =
-2 -4 -6 -8 -10
w =
1 -2 3 -4 5 -6 7 -8 9 -10
a =
1 3 5 7 9 -2 -4 -6 -8 -10
1 -2 3 -4 5 -6 7 -8 9 -10
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
2 2 2 2 2 2 2 2 2 2
b =
1 2 5 7 2 2 -4 -6 -8 -10
1 -2 3 -4 5 -6 7 -8 9 -10
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
2 3 2 2 7 -2 2 2 2 2
c =
1 3 5 7 9
3 9 15 21 27
5 15 25 35 45
7 21 35 49 63
9 27 45 63 81
d =
1 3 -4 7
e =
1 0 0 0
0 3 0 0
0 0 -4 0
0 0 0 7
f =
1
3
-4
7
A(1,1)=1 ;
for k=1(1)n
A(k,k)=1/(k^k) ;
A(k-1,k)=1/((n-k+1)^3) ;
A(k,k-1)=1/((k-1)^2) ;
end
EXERCICE III
( 1)n . 2 +1 3 3 5
sin( ) = sin( ) = =
(2 + 1)! 3! 3! 5!
=0
( 1) sin( ) 1 ( 1)
= ( )= = =
(2 + 1)! 3! 5! (2 + 3)!
Or est une I.I.S en 0+ et [0, ] est un intervalle proche de 0. La fonction admet donc la
décomposition en série entière précédente, et on peut écrire que :
( 1) ( 1) ( 1)
= ( ) = = = ×
(2 + 3)! (2 + 3)! (2 + 3)! 2 + 1
( 1) 2 +1
Avec = (2 +3)!
×2 +1
( 1) .
0, 1×
(2 + 5)! 2 + 3
2 +1 ( 1)
1. × ×
(2 + 4)(2 + 5) 2 + 1 (2 + 3)! 2 + 3
2 + 1 ( 1) 2 +1 (2 + 1)
+1 = 1. × . =
(2 + 4)(2 + 5) 2 + 3 (2 + 3)! 2 + 1 (2 + 3 2 + 4)(2 + 5)
)(
(2 + 1)
Donc, au inal = 0
(2 + 3)(2 + 4)(2 + 5)
2 +3
0, = | +1 | =
(2 + 3)(2 + 5)!
+1
Variables locales :
i, n: entier ;
An1, An, Fn, Dn, Pn, Tol réels
Début (* APPROX_I *)
(* Initialisation *)
n 0 ; (* n = 0 *)
An Pi/6 ; (* An = an *)
S An ;
Fn 120 ; (* Fn = (2n + 5)! = 5! = 120 *)
Dn 3 ; (* Dn = 2n + 3 = 3 *)
Pn Pi*Pi2 ; (* Pn = 2n + 3 = 3 *)
Tol Pn/(Fn*Dn) ;
An1 An ; (* An1 = an+1 *)
Tant que (tol ou i < ilim ) faire
(* On fixe un nombre max de calcul à faire pour ilim *)
n n+1 ; (* n vaut n+1 *)
An An1 ; (* an an+1 *)
An1 An1*(-Pi*(2*n-1)/(2*n+1)*(2*n+2)*(2*n+3));
S S + An1 ;
Fn Fn*(5+n)*(n+6) ;
Dn Dn + 2*n ;
Pn Pn*Pi2 ;
Tol Pn/(Fn*Dn) ;
Fintantque
(* Si i ilim, alors on n’a pas pu avec le nombre d’itérations fixé
atteindre la précision voulue*)
Fin (*APPROX_I*)
EXERCICE IV :
1. Montrer que les matrices L et U peuvent avoir la forme suivante
= , =
On a :
1 0 0 0 1 1 0 0
1 1 0 0 2 2
. = 0 0
0 1
0 1 1 0 0
1 1 0 0
1 1 1 1 + 2 2
= 0 2 2 0
1
0 0 1 1 1 1 +
1 1 0 0
1 2 2
= 0 2 3 0
1
0 1
On a 1
= 1 ; = ; = 1 1 + = 2(1) (0)
Or,
= 1 1 + = 2(1)
1
= 1 + , = 2(1)
1
= = 2(1)
= et
= = 1(1) 1;
Beta(1) A(1) ;
Alpha(1) C(1)/Beta(1) ;
Pour i=2(1)n-1 faire
Beta(i) A(i)-(C(i-1)*B(i-1))/Beta(i-1);
Alpha(i) C(i)/Beta(i);
Finpour
Beta(n) A(n)-(C(n-1)*B(n-1))/Beta(n-1);
Fin (* Coefficients *);
1(+), 1( × ) 2(÷)
Cout total :
( 2 + 1)(+) , ( 2 + 1)(×) , (2( 2) + 2)(÷)
1(÷)
Dans les boucle pour : (n-1)fois
CC DE L’INFORMATIQUE 4 2012
EXERCICE I :
EXERCICE I :
EXERCICE I :
1) Complexité
Affectations
Comparaisons
Opérations arithmétiques élémentaires
Exemple :
( 1)
Pour le tri sélection, on a 2
comparaison, n-1 déplacements, o opérations arithmétiques
élémentaires.
3) Peut-on faire mieux qu’un O(nlogn) pour trier ?
Non ?
4) Deux algorithmes en O(nlogn) dans le cas moyen :
Tri fusion,
Tri rapide,
5) Qu’est-ce qu’un algorithme récursif ?
EXERCICE II :
1)
Posons = , , ,
= , , ,
= 3× , , ,
produit matriciel de A et B
(: ,2) = ( ) , ,
b) Resultats obtenus
a) v=[1 2 4 7] v=(1,2,4,7)
b) w=A(v) w=(1,-4,-1,7)
2 2 1
c) B(v)=abs(B(v)) = 7 3 6
5 1 3
2 14
d) B( :,1)*A(1, :) = 7 99
5 35
e) B(3, :)*A( :,2) =3
2) Intructions MATLAB permettant de :
EXERCICE III :
( )= + + + 0
1) Deux algorithmes pour évaluer P en un point
** Approche simple :
Y y + P(i+1)* xn ;
finpour
Fin (* EVAL_POLY_1 *)
***Cout :
1 (+), 1 (x)
Pour = 2(1) ,
2(x), 1(+)
Soit n-1 [2(x),1(+)]
Bilan : (2 1)(×), (+)
Soit 3 1 . .
** Approche Hörner :
( )= 1 1 2
0 + + 1 + 1 0 1 0 1 0
1
On a : =( 0 1 0 ) + ( 1 2 0) +( 1 0) +
= 0+ 1 +
0 = 0 1 0
1 = 1 2 0
……
Ainsi, on a:
= +1 0
……
=
=
D’où
= + +1 0 = 0(1) 1
EXERCICE IV :
On veut calculer =
1-montrer que = ( )
Lorsque 0, 0
( )
donc = = ( ) =
! ! !
1 1 1 1
or = +1 =
0 +1 0 +1
( ) ( 1)
d’où = !.( )
donc =2 !.( +1)
1 1
0 = 1, 1 = 2 =
6 40
( 1) +1 ( 1)
0, +1 = +1 +1
2 ( + 1)! (2( + 1) + 1) 2 ( + 1)! ( + 3)
( 1) ( + 1) × ( 1)
= ×
2 ! ( + 1) ( + 3) × 2( + 1)
+1
( + 2)( + 3)
En conclusion
+1
0 = 1, 0, +1
( + 2)( + 3)
Ainsi 0, | + 1|
1
Ainsi =
2 +1( +1) !( +3)
Variables locales :
i, n: entier ;
An1, An, Fn, Dn, In, Tol réels
Début (* APPROX_I *)
(* Initialisation *)
n 0 ; (* n = 0 *)
An 1 ; (* An = an *)
S An ;
Fn 1 ; (* Fn = n! = 1 *)
Dn 2 ; (* Dn = 2N+1 = 2 *)
In 3 ; (* In = 2N + 3 = 3 *)
Tol 1/(Fn*Dn*In) ;
An1 1 (* An1 = an+1 *)
Tant que (tol ou i < ilim ) faire
(* On fixe un nombre max de calcul à faire pour ilim
*)
n n+1 ; (* n vaut n+1 *)
An An1 ; (* an an+1 *)
An1 An1*(-(2*(n-1)+1))/((2*(n-1)+2)*(2*(n-1)+3));
(*on peut simplifier en faisant:
An1 An1 *(-(2*n-1))/((2*n)*(2*n+1)) ; *)
S S + An1 ;
Fn Fn*(n+1) ;
Dn Dn * 2 ;
In In + 2 ;
Tol 1/(Fn*Dn*In) ;
Fintantque
(* Si i ilim, alors on n’a pas pu avec le nombre
d’itérations fixé atteindre la précision voulue*)
Fin (*APPROX_I*)
CC DE L’INFORMATIQUE 4 2009-2010
EXERCICE I :
……………………………. …………………………….
Instruction(s) 100 ; Instruction(s) 220 ;
Répéter Tant que Condition 2 Faire
Une règle générale en Programmation Informatique énonce qu’il est toujours possible de
convertir un bloc d’instructions contenant une boucle « Répéter …jusqu’à… » en un bloc
équivalant contenant une boucle « Tant que… faire … », et vice versa. Une telle conversion
nécessite généralement d’ajouter une ou des instruction(s) et/ou variable(s) supplémentaires
approprié(e)s avant et/ou au sein de la boucle.
1°) Convertir ainsi le bloc d’instruction Bloc 1 en un bloc d’instructions équivalent, mais
dans lequel :
La boucle « Répéter … jusqu’à … » a été remplacée par une boucle « Tant que … faire
… ».
2°) Convertir le bloc d’instructions Bloc 2 en un bloc d’instructions équivalent, mais dans
lequel ;
La boucle « tant que ... faire … » a été remplacée par une boucle « Répéter… jusqu’à … ».
EXERCICE II :
On pose, n : Un = ( )!
1°) Ecrire une fonction algorithmique calculant Un, pour n arbitraire, par une approche non
récursive.
2°) Ecrire une fonction algorithmique calculant Un, pour n arbitraire, par une approche
récursive.
EXERCICE III :
On pose, n , x : Pn(x) = !
, Sn = Pn(1).
1°) a) Ecrire une fonction algorithmique non récursive calculant Sn, pour n arbitraire, et
s’appuyant sur la relation de récurrence évidente n *,S =S
n n -1 +
!
2°) a) Ecrire une fonction algorithmique non récursive calculant Sn , pour n arbitraire
mais s’appuyant plutôt sur l’observation suivante :
n *, Sn = 1 + (1 + (1 + (1+ … + (1 + ) …)))
EXERCICE IV :
1°) Ecrire une fonction algorithmique calculant an, pour n arbitraire, par une approche non
récursive.
2°) Ecrire une fonction algorithmique calculant an, pour n arbitraire, par une approche
récursive, mais efficace.
3°) On peut voir an comme le terme générale d’une série. Ecrire une procédure algorithmique
calculant les sommes partielles de cette série jusqu’à un rang N arbitraire, et les stocker dans
uns fichier sur le disque.
EXERCICE I :
Donner le résultat affiché par MATLAB à l’exécution de chacune des commandes du tableau
suivant lorsqu’elle est légale, ou signaler son illégalité dans le cas contraire (en écrivant : K.
O !!!) :
N° Commandes Résultats
1. U = 0.2 :0.3 :1.9
2. U(1,5)
3. U(5,1)
4. diag(diag(u))
5. U([1 1 1 ], :)
6. fliplr(u)
7. U*U
8. U<0.8
9. fix(U)
EXERCICE II :
II- Ecrire une fonction anonyme MATLAB, qu’on appellera SumlnvSq qui prend en entrée un
1
argument n, supposé être un entier 1, et renvoie comme résultat la somme nk=1 2
k
III- Ecrire une fonction MATLAB qui, étant donné une matrice M, aura pour effet de
remplacer toutes les lignes d’indice impair de M par l a somme de la première et la dernière
ligne
IV- Dans MATLAB si A est une matrice dire quel sera l’effet de l’instruction :
A(max(isnan(A’)), :)= [ ]
EXERCICE III :
1 1)
On pose : I= 0
sin ² , un = ( 4 +3 ).( 2 + 1 )!
, S= n=0 , dn =
2°) Démonter que Un = dn, où la suite (an) 0 vérifie une relation de récurrence par
division et (bn) 0 satisfait une relation de récurrence par addition.
3°) Construire une méthode numérique pour calculer une approximation e J de I telle
que
|I – J| < .
4°) a) Ecrire une fonction MATLAB, mettant cette méthode numérique en œuvre.
EXERCICE IV
L[1, 1] A[1, 1] ;
Début
1
L[j, j] A[j, j ] k=1
L[j, k]² ;
1
Pour i = j + 1(1) n faire L[i, j] A[i, j] k=1 L i, k . L j, k
[ ] [ ] / L[j, i] ;
Fin
Fin : (*FACTO_CHOLESKY *)
EXERCICE I :
Donner le résultat affiché par MATLAB à l’exécution de chacune des commandes du tableau
suivant lorsqu’elle est légale, ou signaler son illégalité dans le cas contraire (en écrivant : K.
O !!!) :
N° Commandes Résultats
1. B = [0 -1 ; 2 3]
2. C = repmat(B, 1, 3)
3. A= [6 :-1 :1 ; 1.2 :0.3 :2.8 ; C]
4. A(2, 5)
5. A(5, 2)
6. u= diag(A)
7. diag(u)
10. fliplr(A)
11. flipud(A)
12. A*A
EXERCICE II :
1°) Ecrire une fonction anonyme MATLAB, qu’on appellera newF, qui prend en entrée un
argument n, supposé être un entier naturel, et renvoie comme résultat la somme
n 1
k=0 sin 2
cos (k )
EXERCICE III :
11 ² 1/4) 1
On pose : I= 0
sin 2 , un = ( 2 +1 ).( 2 + 1 )!
, S =4 n=0 , dn =
2°) Démonter que Un = dn, où la suite (an) 0 vérifie une relation de récurrence par
division et (bn) 0 satisfait une relation de récurrence par addition.
3°) Construire une méthode numérique pour calculer une approximation e J de I telle
que
|I – J| < .
4°) Ecrire une fonction MATLAB, mettant cette méthode numérique en œuvre.
EXERCICE IV :
val : réel ;
début(* de Calcul_recursif*)
Si n=0,alors
val=1 ;
sinon
val=(calcul_recursif(n-1))/(n*(2*n+1)) ;
fin si
renvoyer(val) ;
fin(*de calcul_recursif*)
En C cette fonction appelée dans un programme principal donne :
#include<stdio.h>
float calcul_recursif(int);
int main(void)
{
float valeur;
int n;
printf(" entrer la valeur du parametre n\n");
scanf(" %d",&n);
valeur=calcul_recursif(n);
printf(" la valeur calculer est %f\n",valeur);
system(" PAUSE ");
return(0);
}
float calcul_recursif(int m)
{
float val;
if(m==0)
{val=1;}
else
{val=(calcul_recursif(m-1))/(m*(2*m+1));}
return(val);
}
EXERCICE 3
a)
( ) = sin ² [0; 1] =
sin ² est une intégrale définie donc qui converge, d’où
b) =
( 1) ( 1) ( )
= sin sin = sin =
(2 + 1)! (2 + 1)!
( 1) ( 1) ( 1)
= = [0; 1]
(2 + 1)! (2 + 1)! (2 + 1)!
1
é é é é
(2 + 1)!
D’Alembert ; donc la série
( )
( )!
converge normalement donc uniformement d’où
( 1) ( 1)
= = | |
(2 + 1)! (4 + 3)(2 + 1)!
( 1)
= =
(4 + 3)(2 + 1)!
= =
| | = | |.
La série étant une série alternée convergente par le C.S.T. ( car . <0
et ) alors | | | |.
Pour avoir | | < il suffit donc d’avoir | | < . Il vient donc que =
| |<
Par ailleurs = et = + 4 et =( )( )
4°) Algorithme
Afin de vous aider à mieux vous exercer sur MATLAB, voici le corps de l’algorithme
que vous transcrirez.
Début
0; 1/3; 1; 3;
+ ;
4 /( + 3)( + 1);
+ 4;
/ ;
Renvoyer(J) ;
Fin
EXERCICE 3
a)
è é é .
b) =
1 ( 1)
= sin /2 sin = sin /2
x (2 + 1)!
( 1) ( ) ( 1/4)
= =
2( ) (2 + 1)! 2(2 + 1)!
( 1/4) ( 1/4)
= [0; 1]
2(2 + 1)! 2 (2 + 1)!
1
) (2
é é é é
2( + 1)!
D’Alembert ; donc la série
( / )
( )!
converge normalement donc uniformement d’où
( 1/4) ( 1/4)
= = | |
2 (2 + 1)! 2(4 + 2)(2 + 1)!
( 1/4)
= =
4(2 + 1)(2 + 1)!
2°) Démontrons que =
( / )
On pose = ( )!
alors = ( )( )
et = 2 + 1 alors = +2
ainsi on constate que =
3°) Methode numérique permettant de calculer J
= =
| | = | |.
La série étant une série alternée convergente par le C.S.T. ( car . <0
et ) alors | | | |.
Pour avoir | | < il suffit donc d’avoir | | < . Il vient donc que =
| |<
Par ailleurs = et = + 2 et = ( )( )
4°) Algorithme
Afin de vous aider à mieux vous exercer sur MATLAB, voici le corps de l’algorithme
que vous transcrirez.
Début
0; 1; 1; 1;
+ ;
/4( + 2)( + 1);
+ 2;
/ ;
Renvoyer(J) ;
fin
CC D’OPTIQUE 2011-2012
QUESTIONS DE COURS
EXERCICE I
EXERCICE II
EXERCICE III
EXERCICE IV
EXERCICE I :
EXERCICE II :
EXERCICE III :
EXERCICE I :
Succession de milieux transparents et homogènes séparés par des dioptres ou des miroirs
5 exemples
- La loupe
- Les lentilles
- Le miroir
- Le télescope
- L’appareil photo
- La lunette astronomique
Principe de Fermat :
Entre deux points A et B atteints par la lumière, le chemin optique le long du trajet
effectivement suivi est stationnaire.
Propagation rectiligne de la lumière :
Dans un milieu homogène, les rayons lumineux se propagent en ligne droite.
Retour inverse de la lumière :
Le chemin optique suivi par la lumière ne dépend pas du sens de parcours du trajet.
Le seul rayon lumineux qui n’est pas dévié par un dioptre sphérique est le rayon qui passe par
son centre de courbure.
Un rayon lumineux qui arrive parallèlement à l’axe optique d’un D.S. est dévié vers le point
focal image.
Approximation de Gauss :
Stigmatisme : C’est lorsque tous les rayons lumineux issus d’un même point traversant un
système optique (E) convergent en un même point, alors astigmatisme c’est lorsque ces
rayons ne convergent pas en un même point. D’autre part on parle de stigmatisme approché
lorsque pour atteindre un stigmatisme dans les 3 dimensions de l’espace, on considère les
approximations de Gauss.
EXERCICE I :
6 =6 =3
= , , =
D’où on a :
Il s’agit pour nous de montrer que la direction de propagation de la lumière ne change pas à la
traversée de la vitre, autrement dit que = .
sin = sin
or = sin = sin = sin = sin
sin = sin
Notons le L, pour un dioptre tel que > , le décalage est maximal pour = 90° et dans
ce cas, il vaut or = 1, = > d’où = =1
EXERCICE III :
1) Relation sur
Pour qu’il y ai réflexion totale, il faut que > pour on a = 90° et Snell-
Descarte donne = 1 sin = 1 = ( )
Or pour qu’il y ai réflexion totale, ou que = 45° , il faut que < 45° arcsin < 45°
1
> 1
sin 45° < sin 45°
= 2
2) Renvoi en sens inverse
EXERCICE IV :
> >
> >
Justification :
Basée principalement sur les lois de Descartes sur la réfraction, elles nous permettent de
déduire :
> >
En , sin = sin
> >
En , sin = sin
> >
En , sin = sin
> >
En , sin = sin
> >
2) = = = , = ( )
L’angle de sortie.
=
Car : en I et J, sachant que = , en appliquant la 2e loi de Descarte sur la réfraction, on a :
=0 ( )
A (D1) A1 (D3) A’ tel que :
=0 ( )
(a) = = ( )
(b) = = ( )
Or = + = d’où = = ( )
Ainsi
= +
Déduire
= + = +
= + +
= +
D’où = = ( 1)
Nature de A’ : Virtuelle.
Application numérique
4 1
=4 =4× 1 =4( )
3 3
= 1,33
EXERCICE I :
Profondeur de champ : on appelle profondeur de champ la distance qui sépare deux points
extrêmes et de l’axe optique dont les images sont vues nettement sur le film
photographique.
Champ angulaire : c’est la portion conique de l’espace objet dont l’objectif photographique
donne une image nette.
Mise au point : C’est une opération qui consiste à amener l’image A’B’ entre les limite de
vision distincte de l’œil (P.R. et P .P. de l’œil).
Matrice de transfert : C’est une matrice qui permet de comprendre le comportement d’un
rayon lumineux à l’intérieur d’un système optique.
EXERCICE II :
= = =
Dioptre 1 :
1
= 1, = = 1,5, = , =
×
AN : = 1,5 × ,
= 30 = 30
1 × 10 × ,
20 20
Dioptre 2 :
1,5
= = 1,5, = 1, =
×
AN: =1× ,
= 40 = 40
1,5 × 20 × ,
= 60 60
= +
=
Dioptre 1 :
= Car =1 AN: = 20 30 = 10 10
= + = 10 = 10
Dioptre 2:
= + = 40 60 = 20 20
- Centre optique :
Pour chaque dioptre = , {1,2}
=
=
3. Position des foyers F et F’, des points principaux H et H’ et des points nodaux
N et N’ du système
- Foyers F et F’ :
Soit AB un objet placé à l’infini, déterminons son image à travers notre système optique :
20 × 10 20
Donc
20
Si l’image se forme à l’infini, cela suppose que l’image intermédiaire donnée par le dioptre 1
s’est formée sur le foyer objet du 2e dioptre donc =
10
Donc = 10 × =5
- Points principaux H et H’ :
Etant donné que nous sommes en présence de deux dioptre séparant un milieu d’indice n :
( )
( )=
1 +
( )
= avec =( 1) + . .
,
AN : = , =5 , = 2,5 = (50.10 ). , . = 12,5 = 12,5
50.10 . , . 25 25
- Points nodaux :
= , =
Détermination graphique de H et H’
5. =
Position de l’image
On a : = or = , =1 = 1, = + 12,5
25 = 37,5
,
= = et = = × = ×
,
= 4 et = 1,5 × = 1,5 × 0,5355
, ×
Définir les notions ci-après : ouverture, diamètre d’ouverture, profondeur de champ, champ
angulaire , résolution, mise au point.
Sur un tableau à deux colonnes, faites le groupement des éléments constituant l’œil ou
l’appareil photographique et établir leur correspondance
EXERCICE II :
3
Soit une lentille biconvexe de rayons R et 2R, d’indice n= 2 , d’épaisseur R et soient ,
les points d’intersection de la lentille avec l’axe principal
Placer les dioptres, leurs centres et leurs foyers sur un schéma. Par une construction
géométrique, retrouver les positions des points principaux. Faire un pour chaque point
principal
Sur un autre schéma, placer , les foyers de la lentille et les deux palans principaux. Par
construction géométrique retrouver la position de l’image A’B’ de l’objet AB situé 8cm
devant la lentille
On considère une lentille L plan-convexe dont la matrice de transfert est, en unités S.I
2 0.04
3 3
25 1
On la retourne et on place derrière L un miroir M de telle sorte que l’ensemble forme un
système centré
Le miroir est plan et place à 2cm de la face de sortie de L. donner les caractéristiques du
miroir équivalent à l’ensemble.
Quelle devrait etre la nature du miroir (vergence, rayon de courbure) pour que l’ensemble
(LM) soit afocal ? dans ce cas, calculer les grandissements transversal, angulaire et
longitudinal et construire le trajet d’un rayon lumineux qui arrive sur la lentille parallèlement
à l’axe optique. Où se forme l’image que donne l’ensemble réel placé à 1cm de la face
d’entrée?
EXERCICE I :
EXERCICE II :
on considere une lentille demi – boule de rayon r = 4.5cm et l’indice, plongee dans
l’air.
1. Si l’on veut utiliser cette lentille pour focaliser un faisceau de lumière parallèle, doit-
on présenter au faisceau la face bombée ou la face plane pour réaliser au mieux les
conditions de stigmatisme approché. On retiendra dans la suite de l’exercice la
meilleure solution.
2. 1. Calculer la matrice de transfert de cette lentille. En déduire la position des foyers en
s’appuyant sur les considérations géométriques.
2 2. En utilisant les formules de conjugaison des dioptres, déduire les foyers de la
lentille.
2 3. Vérifier vos résultats par le cheminement de rayons bien choisis à travers les
dioptres (faire un schéma très soigné sur un papier millimétré, à l’échelle ½).
3 On considère maintenant un système plus complexe : une autre lentille demi-double de
rayon identique R=4.5cm, mais d’indice différent, n=1.4 eest accolée à la précédente
pour constituer une boule de rayon R = 4.5 cm.
Calculer la matrice de transfert du système et en déduire les foyers ;
EXERCICE I :
On obtient
La bougie est un objet réel, on peut donc avoir les 2 configurations à ci-après (pour une image
réelle).
Comme l’image est sur le mur, on retient la configuration où > 0 (E) devient alors :
Soit
D’où
EXERCICE II :
EXERCICE I :
Soit une lentille épaisse concave d’indice dans l’air. Les rayons de courbures de ses
deux faces = = 0 et son épaisseur est = 12 .
Tous les schémas seront faits sur papier millimétré, l’échelle ¼ selon l’axe de la lentille
l’échelle 2 pour la hauteur des objets et images.