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CHAMP D’APPLICATION DU DROIT DU TRAVAIL :

Le droit du travail est appliquées

 Sur les personnes liées par un contrat de travail;

 Sur les personnes, chargées par le chef de l’entreprise de se mettre à la disposition


de la clientèle,

 Sur les personnes chargées par une seule entreprise de procéder à des ventes de
toutes nature et de recevoir les commandes, lorsque ces personnes exercent leur
profession dans des locaux appartenant à la dite entreprise

 Sur les salariés travaillant à domicile

 Sur les employeurs exerçant une profession libérale;


 Les catégorie suivantes ne sont pas soumis à la présente loi vu dans la limite que les
statuts qui régissent leur fonction ne portent aucune garantie moins avantageuse que
celles prévues par le code du travail
 les salariés des entreprises et établissement publics relevant de l’Etat;
 Les marins;
 Les salariés des entreprise minières
 Les journalistes professionnels;
 Les salariés de l’industries cinématographique;
 Les concierges des immeubles d’habitation;
 Les employés de maison

Expériences :

Le premier point de discorde :


 Dans ce cas il faut tout simplement rappeler ce que dit le code du travail marocain, En
principe l’article 231 du code dit que « tout salarie a doit après six mois de service
continu dans la même entreprise ou chez le même employeur a un congé annuel paye
comme la durée est fixée comme suit : un jour et demi de travail effectif par mois de
service et deux jours de travail effectif par mois de service pour les salariées âgés de
moins de 18 ans .
 Donc dans notre cas il s’agit d’une inégalité par rapport au code du travail tout
simplement parce que l’employeur n’a pas respecter les dispositions de l’article 231
Le deuxième point de discorde :
 En vertu de l’article 39 du code du travail la désobéissance aux consignes du
travail est une faute grave toute fois M.Adili est un délégué de personnel , toute
décision le concernant doit être soumise a l’ autorisation du délégués du
personnel.
 Donc on est dans l’inégalité car tout simplement M. Adili est un employé protégé
Le troisième point de discorde :
 En vertu de l’article 201 du code du travail qui dit que les rémunérations de travail
sont fixes en horaires normal sans majoration et majore de 25% a 50% tout dépend
de ce qu’il s’agit du jour ou de la nuit et la majoration est doublée si les heures
supplémentaires sont réalisés aux jours fériés ou les jours de repos . Donc le fait
d’appliquer une majoration uniforme de 50% des heures supplémentaires est
violation du code du travail
Le quatrième point de discorde :
 M. Allal a déjà signe son contrat qui contient l’article 6 qui est une clause de
mobilité, donc il doit se soumettre a appliquer les obligations contractuelles
resultantes de l’article 6 de son contrat de travail , et le refus de ne pas accepter les
dispositions de l’article 6 est considéré comme faute grave . Alors la société est dans
l’illégalité
Le dernier point de discorde :
 On rappelle que la comite de l’entreprise est une comite de représentativité de
personnel, il est compose d’un délégué de personnel , des représentativité syndicale
et des représentant de l’entreprise qui discutent tout ce qui est bilan social et les
actions en faveur des salaries en général , alors puisque M.Adili est un délégué de
personnel a le droit de faire partie de la comité de l’entreprise , et le fait de décider
de ne pas y intégrer est une violation de la loi même si ses comportement sont
inappropriés et il peut attaquer cette décision auprès de l’inspecteur du travail
 Le contrat de M. Sahli contient une période d’essai d’un mois et demi conformément
a l’article 5 du code du travail donc il est ouvrier en général. En remarque que la date
de début du contrat est au 8/07, et la rupture est le 15 /10 . la période d’essai n’a
pas été renouvelé pendant cette période et du coup M .Sahli n’est plus dans la
période d’essai il est en travail .
 La rupture unilatéral du contrat de M.Sahli est illégal , il s’agit essentiellement d’un
licenciement abusif , et l’action en justice intente par M.Sahli contre la société a de
très forte chances de s’aboutir tout simplement parce que le licenciement abusif de
M.Sahli n’est pas fonde sur un motif sérieux ; et il peut avoir des indemnités de
licenciement abusif

 Les sanctions disciplinaires sont les sanctions infligées par l’employeur contre son
employé par exemple un employé qui s’absentent beaucoup on ne peut pas le
licencier d’un seul coup, il faut suivre une certaine procédure : on commence par des
avertissement après des blâmes ensuite des mis a pied , un changement de post …
 Dans ce cas la société Yammy a respecter les dispositions du code du travail parce
qu’avant de licencier M Karim il a purge des sanctions pendant toute l’année alors le
licenciement de M Karim est légal la seul anomalie qui existe qu’on appelé M. Karim
au téléphone , et en vertu de la loi du code du travail , le processus de licenciement
doit respecter une certaine procédure , il faut lui envoyer une convocation écrite
avec accuse de réception et non pas l’appelé au téléphone.

Conclusion
Le présent code du Travail essaye d’englober tout les aspect et les situation dont un
salarié peuvent rencontrer tout au long de son contrat;
Il a introduit de nouvelle notion dans la relation salarié et employeur.

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