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Les plans de la princesse de Clèves de Madame de la Fayette.

Plan La Princesse de Clèves : incipit.

I. L’éloge de la cour de François Premier à Henri II.


1. Une présentation subjective de la hiérarchie et de la généalogie des
personnages princiers.
2. L’idéalisation de la noblesse de la cour de France.
3. La valorisation des mœurs de l’aristocratie royale.
II/ Une représentation plus réaliste de l’homme dans le milieu de la
Cour du XVIème
1. Les signes de fatalité.
2. L’idée de la pression sociale
3. Une représentation grave des passions inhibées.
III/ Un incipit précieux et classique.
1. Le trio amoureux.
2. Le thème de la maîtrise des passions
3. Les normes esthétiques et artistiques du XVIIème siècle.

Plan La Princesse de Clèves : extrait II.

I. Le caractère fatal de la passion.


1. Des héros idéaux physiquement.
2. La fragilité psychologique des héros.
3. La fonction particulière de la narratrice.
II. Une scène de théâtre.
1. Des costumes raffinés.
2. Le jeu dramatique de l’entrée dans le bal.
3. Une mise en scène intense.
III. L’esthétique du protocole royale ou le principe du regard.
1. Le jeu social d’un cercle.
2. L’échange des regards .
3. Les mœurs de la cour :

Plan La Princesse de Clèves : extrait III

I. L’alternance récit-dialogue.
1. Le déséquilibre des intentions.
2. Le poids de l’incommunicabilité
3. L’expression de l’échec.
II. Souffrir et faire souffrir : l’expression pathétique par excellence.
1. L’injustice des accusations.
2. Le cri de la passion.
3. La volonté de peser sur l’avenir.
III. L’importance de la fatalité.
1. La fatalité de l’amour.
2. La fatalité de la jalousie.
.3. La fatalité de la mort.
Le plan des de l’ autre extraits romanesques du programme.

Le plan de l’Etranger de Camus

I Un journal intime mais distant.

1. Une perception subjective.


2. Une personne ambiguë.
3. Les rites officiels.

II. La mise en valeur paradoxale d’un contexte neutre

1. Une temporalité quelconque


2. Un lieu insignifiant.
3. Des gestes mécaniques

III. La banalisation des paroles, des faits et de gestes comme la


revendication d’un nouvel hédonisme

1. Une parole triviale


2. Un esprit vide et contestataire.
3. L’éloge du prosaïque.

Les plans de l’argumentation.

Montesquieu II : lettre 30

I. Le récit anecdotique.
1. Une succession de petites scènes rapides.
2. L’étonnement.
3. l’effet est immédiat du costume perse.
II. La tonalité satirique.
1. La fantaisie du récit.
2. Les enfantillages des Parisiens.
3. L’autodérision de Rica.
III. L’enseignement de la lettre.
1. La critique des Parisiens.
2. Une réflexion philosophique et sociologique.
3. La critique d’un comportement peu réfléchi.
Gargantua Rabelais Le prologue.

I. Un auteur facétieux et savant.


1. L’interpellation heurtant les lecteurs tout en les intéressant.
2. La référence à l’Histoire antique.
3. Comparaison avec les silènes.

II. La Pédagogie de l’auteur.


1. La description extérieure de la boîte sophistiquée.
2. Les références mythologiques à Midas.
3. Le trésor médicinal de la boîte.

III. Le jeu de la mise en abîme


1. Le portrait élogieux de Socrate.
2. Raisonnement analogique.
3. Incitation à lire ses œuvres.

Gargantua II : le sujet de l’éducation.

I. Une pédagogie complète.


1.La culture religieuse.
2.Le plaisir gustatif.
3.L’hygiène physique et spirituelle.

II. Le plaisir pour apprendre.


1.Le jeu de société.
2.Le devoir du quadrivium.
3.L’importance de l’enseignement de la musique.

III. La fascination du fonctionnement corporel et intellectuel.


1. Le don naturel.
2. L’art de l’écriture.
3. L’art de la chevalerie.
Gargantua III : les valeurs humanistes.

I. Comment Gargantua règle le sort des prisonniers.


1. L’hommage à ses parents.
2. La libération pour les prisonniers.
3. Le pardon et la sécurité pour les libérés.

II. Comment Gargantua règle le pouvoir futur .


1. Le regret du coupable fuyard.
2. Le don de l’éducation du prince.
3. L’altruisme de Gargantua.

III. Comment Gargantua choisit les valeurs humanistes. En jugeannt les


coupables.
1. Les errances de Marquet.
2. La critique des compagnons.
3. La paix et l’harmonie sociale

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