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JUILLET 2018
ii
JUILLET 2020
iii
EPIGRAPHE
AVANT-PROPOS
Nous voici à la fin de nos études dans le domaine informatique et plus précisément
dans l’informatique de gestion, chaque fin de cycle est sanctionner par une mise en œuvre
d’un travail qui définirait sa fin, cette investigation que nous présentons après cinq années
d’études en informatique de gestion, n’étant pas nous même, nous avons eu des soutiens
venant de plusieurs personnes; voilà pourquoi nous allons remercier nos encadreurs étant
donné qu’ils ont contribué à notre connaissance, nous qui sommes aujourd’hui appelé
informaticien, nos remerciements profonds seraient les plus adressés au professeur Aimé
KASONGO MANDE pour sa disponibilité, ses conseils et assistance nous accordés, à
l’assistant Cedrick DIBWE KITENGE lui qui avait tant des choses à faire mais qui a pu
accepter nous accompagner au cours de la rédaction de ce travail, il serait indigne de terminer
sans exprimer notre reconnaissance au corps Académique de l’Institut Supérieur Pédagogique
de Lubumbashi.
DEDICACE
Se sacrifier pour la vie de ses enfants, ce n’est pas facile pour les parents. Raisons
pour laquelle nous dédions ce travail à vous nos chers Parents LWABA KANDE François et
MUSAU BEYA Katherine vous qui avez fourni des efforts remarquables et vous avez
toujours voulu l’avancement de vos enfants ainsi que vos proches, vous qui ne cessez de nous
conscientiser, notre paresse pour vous c’est une maladie et vous faites en sorte de nous aider
afin d’éliminer la paresse, recevez l’œuvre de vos sueurs.
REMERCIEMENTS
A vous le grand Dieu d’amour, par sa grâce nous accordé, avons parcouru des
multiples kilomètres pour enfin arriver à cette étape si merveilleuse et nous continuons à
avancer grâce à vous.
A vous très chers frères, sœurs, neveux. Annie LWABA, TSHIDIBI Arlette, Junior
BEYA, Guelord KABAMBA, Betty KANYEBA, Franck LWABA, Dadash LWABA, Jean-
Pierre TSHABA, Vicky TCHEBWE, Simplice NDALA, junior NDJIBU, Fiston TCHEBWE ;
nous vous remercions de nous avoir soutenu(e), nous qui étions de fois incapable d’affronter
seul ce parcours important de notre vie, nous manquons le manifeste à faire pour que vous
remarquiez comment notre cœur est rempli de joie pour vous.
Nos remerciements les plus cordiales sont adressés à nos amis de parcours Francis
KUMOYO, Patient KIKONSHA, Ethienne MBUYI, Emma KAYENDA, Caleb TSHITE,
Kelvin KISULA, Héritier SALUMU, Guelord KISULA.
Nous ne pouvons terminer cette étape sans penser à toutes ses personnes qui ont pu
contribuer à ce travail d’une façon ou d’une autre, malgré que vous ne figuré dans notre
mémoire de fin d’étude, ne vous sentez pas éloignées car au fond de nous vous faites partie.
7
INTRODUCTION GENERALE
1. PRESENTATION DU SUJET
Actuellement les tendances à l’intérieur des entreprises ont changé de façon à ce que
tous les employés sont des plus en plus régis dans les différents domaines liés à la gestion et
exploitation de données de cette manière, et du coté des clients, l’influence devient de plus en
plus interresser par le E-commerce, autre niveau de connaissance de principes et des outils
standard de l’informatique , Est actuellement pour la plus part des postes disponibles dans les
entreprises.
C’est pourquoi nous allons orienter cet outil informatique pour faciliter la gestion de
contribuable. Le travail que nous allons traiter est intitulé « Conception d’un site web pour la
règlementation des impôts sur le bénéfice ». (Cas de la Direction générale des
impôts/KAPEMBA)
2. ETAT DE LA QUESTION
1
FARR, J., généraux informatiques, Paris 2006, cité par MPALA-MBABULA, L., Pour vous chercheurs, directive
pour rédiger un travail scientifique
9
Dans la réalisation d’un projet les chercheurs ont tendance à recourir à une documentation
qui va leur permettre de biens réaliser leurs projets. Ce qui fait dire à Reginald RECLIFFE
BROWN que « chaque chercheur prend comme point de départ les travaux de ses
prédécesseurs, découvre les problèmes qu’ils croient significatifs ».2
C’est pourquoi nous avons jeté un coup d’œil dans les travaux scientifiques de nos
prédécesseurs, nous avons lu comme travail :
Comme solution ; Elle propose à mettre en place une base de donnée pour une gestion
efficace des déclarations de l’impôt foncier. Cette technologie à faciliter toutes les taches.
Comme solution ; elle a mis en place une base de données qui partages la gestion des
recettes liées à l’impôt foncier.
Voici les grands points sur lesquels nous nous sommes basés et qui marque une ligne
de conduite entre nos prédécesseurs et nous, dans notre projet de recherche, nous allons
mettre une solution au sein de la Direction générale des impôts kapemba et dans notre cas il
2
RECLIFFE, B., R., structure et fonction dans les sociétés primitives, éd. De Minuit, Paris, 1976, P.126.
3
KIBUTA KASEBULA C. «Mise en place d’une base de données partagées de gestion des recettes de l’impôt
foncier a la direction de recettes du haut haut-Katanga», Isp, 2018
4
ELKEYA KITEDWE BEATRICE « Mise En Place D’une Base De Données Partagées De Gestion Des Recette De
L’impôt Foncier A La Direction De Recettes Du Haut Katanga », Isp, 2018
10
ne serait pas question de mettre une application web mais un site web qui vas permettre à leur
bureaux de communiquer facilement rapidement et surtout la circulation rapide des
informations.
Toute décision est un drame qui consiste dans le sacrifice d’un désir sur l’autel d’un
autre désir.5 Ce sujet n’est pas un hasard mais se dans le souci d’informatisé le contribuable
des impôts sur les bénéfices dans l’entité de la commune Kampeba.
a. Intérêt personnel
Tout est définie dans notre présentation du travail ou nous présentons le topique
de notre parcours en informatiques, raison pour laquelle le présent travail s’avère
indispensable tel d’un produit scientifique original consacrant non seulement notre travail de
fin d’études pour l’obtention du titre de licencié mais aussi un outil fourni au monde des
chercheurs dans le domaine informatique d’une part et d’autre part, ce travail nous permettra
d’approfondir notre connaissances sur toutes les entreprises payant l’impôt sur les bénéfices.
b. Intérêt social
Cet outil ne sera pas bénéfique qu’a nous chercheur, comme je l’ai dit dans ma
présentation du sujet ma présentation est d’arrivée à trouver des solutions pour l’état et surtout
mon entourage, raison pour laquelle le centre des impôts synthétiques qui va bénéficier de
notre site web dans son entité, ce qui va le permettre de biens travailler.
c. Intérêt scientifique
L’intérêt scientifique peut s’étendre comme l’apport que l’étude d’un fait social donné
ajouté à la science.6 Le meilleur moyen de prédire l’avenir c’est de l’inventer dit RELAY,
ainsi par ce travail nous avons mis une amélioration dans le domaine informatique plus
précisément en informatique, pour une génération future de faire référence à une analyse et à
une conception d’une solution informatique plus concret et réaliste et surtout plus adapter aux
réalités actuelles qui vivent l’évolution technologique.
5
Citation, choix, Dictionnaire Larousse.
6
Massaer DIALLO, Politologue, « Défis sécuritaires et hybridations des menaces dans la zone sahélo
saharienne », séminaire sur la sécurité au sahel, Bruxelles, p, 3, 2010.
11
4. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHES
5.1. PROBLEMATIQUE
Pour Louis MPALA BAMBULA « La problématique représente le but vers lequel
tend l’introduction. Elle est l’angle sur lequel va s’étendre un travail. La problématique elle
seule poursuit-il, justifie le choix du plan qui, n’est qu’une réponse à l’interrogation qu’elle
sous-entend »8
Selon le dictionnaire Larousse, la problématique est l’ensemble des problèmes qui se posent
sur un sujet.
De ce fait, nous pouvons définir La problématique comme étant l’ensemble des questions
qu’un chercheur se pose, pour résoudre un problème donné. Voici quelques problèmes relevé
au sein de cette entité :
Le traitement de données est manuel ce qui cause une lourdeur des opérations sur
différents postes de l’entreprise.
7
VIGNOLES, P., La dissertation philosophique au bac, hâtier, paris, 1985, P .68.
8
MPALA BAMBULA L. Pour vous chercheur, L’shi, ed mpala, 2011, P.87
9
Cfr. VICTOR, KALUNGA, la rédaction des mémoires en droit guide pratique, P.13-14.
12
Retard dans la transmission de rapport dans les autres bureaux du centre, ce qui
crée des incompréhensions dans l’élaboration des rapports hebdomadaires et
surtout mensuel.
Lenteur dans la recherche des informations ce qui crée un long file d’attente dans
les salles de travail.
Pour n’est pas échapper à l’idée claire de la question de recherche, nous nous somme
posé la question que voici : comment nous pouvons sortir la direction générale des impôts
kampeba dans cette situation anormale ou il y a différents problèmes relever ci-haut?
5.2. HYPOTHESE
L’hypothèse est définie par GORDON MACE « comme une réponse anticipée
que le chercheur formule à sa question spécifique de recherche ».11
Comme projet ou hypothèse, nous suggérons de créer un site web pour la gestion du
contribuable liée à l’impôt sur le bénéfice, qui pourra résoudre les problèmes soulevés dans
notre problématique.
5. METHODE ET TECHNIQUE
6.1 Méthode
10
ONGERE, P., cité par MULUMBATI, Nb., le manuel de sociologie générale, africa, Lubumbashi, 1987, P.17.
11
MACE, G., guide d’élaboration d’un projet de recherche, les presses de L’université de Laval, Québec, 1988, P.35.
12
Dictionnaire Encyclopédique
PINTO ET GRAWITZ CITE PAR MULOWAYI, cours d’initiation à la recherche scientifique, G2 IG,
13
2017-2018, page 31
13
Ainsi, dans notre travail nous allons utiliser la méthode agile UP (Unified
Process) qui est un processus unifié ; qui cadre avec l’analyse et la conception orientées objet.
Le processus unifié UP est un processus de développement logiciel de qualité, « centré sur
l’architecture, piloté par des cas d’utilisation et orienté vers la dimension des risques ».15 Cette
méthode est le talent de rendre réalisable le maniement d’une base de données et elle permet
aussi de créer une représentation potentielle d’une réalité; de telle sorte à faire ressortir les
points auxquels on se consacre.
6.2 TECHNIQUE
14
John MULOWAYI & Michel ZONGWE, initiation à la recherche scientifique, s.l, ISP, 2016, P.49.
15
Pascal ROQUES, UML 2 Modéliser une application web, 4ème Edition, Eyrolles, Paris, 2008
14
Tout travail scientifique pour être bien compris et bien abordé mérite d’être délimité
dans le temps et dans l’espace. Ainsi, nous avons subdivisé notre travail de la manière que
voici :
Dans la délimitation temporelle, notre travail dans le temps, nous avons collecté les
données durant la période de l’année 2018 à l’année 2020. C’est ainsi que notre future
solution sera d’application tant que le système actuel restera inchangé.
Notre étude a pour champs d’investigation au centre des impôts synthétique située
dans commune : Kampemba, Q : bel-air, AV : lilas, n°2.
7. SUBDIVISION DU TRAVAIL
CONCLUSION PARTIELLE
En effet dans cette partie introductive, Nous étions en train de présenté notre sujet de
recherche, et nous nous sommes basé beaucoup plus sur la solution que nous allons apporter
15
dans l’entreprise, dans les lignes qui suivent nous allons présenter le champ d’étude et faire
son étude systématique.
16
Dans ce chapitre, nous allons devoir faire une étude sur le système existant, nous allons
commencer par la présentation de l’organisation où nous allons donner la situation
géographique du Centre des impôts synthétique, l’historique ainsi que le fonctionnement et
l’organisation de la CIS.
II.1.PRESENTATION DE L’ORGANISATION
Le siège social de la Direction Générale des Impôt se situe dans la ville province de
Kinshasa au N° de l’avenue, notre domaine d’étude se délimite sur l’antenne provinciale du
Haut-Katanga au croisement des avenues Sendwe et Tabora au n° dans le quartier Makutano
de la commune de Lubumbashi dans le centre-ville de Lubumbashi.
II.1.2. HISTORIQUE
La Direction Générale des Impôts dans son ancienne formule, occupait des travaux
d'assiettes, du recouvrement et de contrôle de toutes personnes physiques et morales
éparpillées sur toute l'étendue de la République Démocratique du Congo. A l’intérieur du
17
pays, plus précisément dans les provinces, les prérogatives dévolues à la direction générale
des impôts étaient assurées par une division provinciale des impôts.
La direction des impôts et taxes n'échappera pas à cette logique liée aux impératifs
nouveaux découlant de l'évolution de la matière fiscale. C'est ce qui explique les différentes
stratégies de réforme qui ont conduit aux nombreuses restructurations de cette direction.
Son personnel est régie par le décret n° 018/2003 du 02 mars 2003 qui remplace et
abroge ordonnance n°89/099 du 12 mai 1989 portant sur le règlement d'administration relatif
au du personnel de carrière de la DGI.
reprises dans les anciennes dispositions, le décret n°018 du 02 mars 2003 innove par la mise
en place d'un corps des inspecteurs.
3. MISSION ET OBJECTIF
3.1 MISSION
4. FONCTIONNEMENT ET ORGANISATION
NB : le régime de fiscal congolais est déclaratif c’est-à-dire il y a une déclaration, on donne
la liberté au contribuable de déclarer librement sa redevance, après la déclaration le
contribuable dépose sa déclaration au bureau accueil et information.
b. Cellule liaison
Cette cellule a pour mission de lier le contribuable a l’administration en fin de donner
plusieurs information au nouveau contribuable et a comme rôle de distribuer
différentes correspondances aux personnes approprier.
c. Bureau C.T.R.S
NB : on se bien intéressé plus a ce bureaux car c’est là que se fait le recouvrement de
redevance
Chef de centre
1 Bureau appoint et Bureau de recensement Bureau informatique Bureau accueil Bureau recouvrement
contentieux vulgarisation
HI
7IOPO
Cellule documentation
Cellule d’informatique
Cellule dévaluation
Cellule recettes et
Cellule de droit
Cellule contentieux
statistique
Cellule de Liaison
Cellule de recherché
Cellule appoint
Cellule taxation
courant
recensement
Notre périmètre d’étude est la direction générale des impôts, de la commune kampeba au
quartier bel air.
Après ces opérations, le contribuable se dirige au bureau de traitements pour payer son impôt.
Le guichet vérifie la somme et établi un bordereau si la somme correspond au montant
indiqué sur le récépissé et enregistrer le paiement et valide le récépissé, en suite, il lui remet
un bordereau comme preuve de paiement.
La modélisation du métier est une activité dont l’objectif est de construire un modèle
qui décrit les aspects statiques et dynamiques du cas d’étude, en ignorant les détails de
l’implémentation technique et informatique.16 Nous pouvons aussi dire que ça vise à mieux
connaitre le fonctionnement et les règles qui régissent le système organisationnel dans lequel
on envisage d’implanter un nouveau système informatisé.
16
ERNETS NGONGO ; Cours de système informatique ; L2 INFO/l’shi ; inédit
23
A ce stade, nous allons répertorier les acteurs de notre domaine d’études et décrire le
rôle qu’ils jouent dans le système de déclaration d’impôts pour expliciter, un acteur est une
personne physique ou morale qui joue un rôle dans les domaines d’étude. Nous avons recensé
quatre acteurs dans le tableau ci-dessous :
2) DIAGRAMME DE CONTEXTE
Le diagramme de contexte est le schéma qui nous présente le système comme une boite
noire tout en délimitant son périmètre et aussi d’avoir une vision globale des interactions entre
les acteurs et leurs liens avec l’environnement extérieur, afin de voir d’une manière plus claire
tous les acteurs qui interagissent avec ce dernier. Il donne aussi la première vue formelle,
voici comment il se présente.
24
Elle permet d’avoir une bonne compréhension des besoins des utilisateurs, ces besoins
constituent les spécifications qui nous permettrons de bien concevoir la solution nouvelle.
Analyser un métier consiste aussi à ressortir les différents processus et diagramme qu’un
métier peut renfermer entre autres, le cas d’utilisation, les intervenants d’un métier ainsi
que les activités et contextes.
3. BUREAU D’ACCUEIL
25
Vérifier infos
Enregistrer Fiche
4. BUREAU DE TRAITEMENT
Enregistrer payement
Livrer bordereau
C. Diagramme de cas d’utilisation métier
a) Les acteurs
Contribuable
Réception
Bureau d’accueil
Bureau de traitement et Recouvrement
b) Les cas d’utilisations
Demander déclaration
Enregistre Fiche
Vérifier Infos
Enregistrer Infos
Enregistrer payement
Livrer bordereau
26
a. DIAGRAMME D’ACTIVITE
17
Ass. MUCHAPA TUJENGE P. Cours introduction à uml, UPL, 2014, P, 10, Inédit
28
1. POINTS FORTS
Ici nous allons ressortir les points positifs qu’à l’entreprise, qui est :
2. POINTS FAIBLES
C’est par notre curiosité que nous avons constaté quelques éléments négatifs, que
voici :
Pour les problèmes dans la gestion telle que précité ci-haut, nous allons mettre en
place un site web qui permettra d’enregistrer, modifier et mettre en ligne les informations en
30
CONCLUSION PARTIELLE
Dans ce chapitre il a été question de faire l’étude préalable du système et nous avons
présenté notre domaine, Par la suite, nous avons regroupé les besoins des utilisateurs sur base
des diagrammes de cas d’utilisation métier, d’activité et modèle du domaine.
Dans cette partie, il sera question d’exprimer en premier lieu les besoins des
utilisateurs afin de déterminer les fonctionnalités qui doivent être dotées au système logiciel
pour satisfaire ces besoins. Ensuite, nous allons aborder l’analyse et la conception qui
représentent les étapes les plus importantes pour le développement de notre projet.
Le besoin exprimé par notre champ d’étude est de mettre un site web de gestion du
contribuable. Ainsi, l’accession aux données soit facile dans cette entité.
1. Exigences fonctionnelles
N° ACTEUR ROLE
1 Contribuable La personne d’impôt qui demande une déclaration
2 Bureau traitement Bureau chargé de gérer le payement d’impôt
3 Administrateur La personne ayant en charge le bon fonctionnement du
système.
c. Le diagramme de contexte
Le diagramme de contexte est un outil nous permettant d’avoir une vision globale des
interactions entre les activités et les liens vis-à-vis de l’extérieur. Il permet également de bien
délimiter le champ d’étude.
Les principaux cas d’utilisation mis en évidence à travers les exigences fonctionnelles
sont les suivants :
20
Martin Fowler et Kendall Scott, UML le tout en poche
36
- Nominaux : ils réalisent les post conditions du cas d’utilisation, d’une façon
naturelle et fréquente ;
- Alternatifs : ils remplissent les post conditions du cas d’utilisation, mais en
empruntant des voies détournées ou rares ;
- D’exceptions : ne réalisent pas les post conditions du cas d’utilisation.
Pour que l’analyse soit relative, nous allons étudier en détail chaque cas d’utilisation
système devenu une itération. Ainsi, nous aurons les itérations suivantes :
Acteur secondaire : -;
Précondition (s) :
Scénarios :
37
Nominal :
- Le contribuable demande la fiche de déclaration
- Le contribuable saisi les infos le concernant
- Déposer fiche déclaration
Alternatif : Néant
Exception :
- Le système affiche un message d’erreur en cas de mauvaise manipulation
Scénarios :
Nominal :
38
Précondition (s) :
Scénarios :
Nominal :
- Le contribuable dépose l’argent au bureau de traitement
- Le bureau de traitement saisit les informations nécessaires au paiement et
valide
- Le système confirme la prise en charge du paiement
- Le système enregistre le paiement
Alternatif :
- Le bureau de traitement modifie les informations de paiement
Exception : Le système émet un message en cas d’erreurs de manipulation
Post Condition : Le paiement de la déclaration est effectué.
Scénarios :
Nominal :
40
Précondition (s) :
-Système démarré
Scénarios :
41
Nominal :
- L’utilisateur démarre le système.
- Le système affiche la page d’authentification
- L’utilisateur saisit les informations qui concernent l’authentification et
valide
- Le système vérifie les informations, autorise ou refuse l’accès au système.
Alternatif :
-Si les informations saisit son conforme à celles de la base de données, le
système autorise l’accès
-Si les informations ne sont pas conformes, le système refuse l’accès.s
Exception : le système émet un message en cas d’erreur de manipulation
Erreur :
-Erreurs constatés lors de la saisie des informations, le système affiche le
message d’erreur.
-L’utilisateur corrige les erreurs ;
Post Condition : Authentification réussie ou non
21
ERNEST NGONGO, Cours de conception L1 IG, ISP, 2019, Inédit, P18
22
ERNEST NGONGO, Cours de conception L1 IG, ISP, 2019, Inédit, P19
23
Idem
43
Pour s’authentifier :
Le modèle du domaine ;
Le diagramme des classes participantes ;
Le diagramme de navigation.
1. Le modèle du domaine
La phase d’analyse du domaine permet d’élaborer la première version du
diagramme de classes appelée modèle du domaine. Ce modèle doit définir les classes
qui modélisent les entités ou concepts présents dans le domaine (on utilise aussi le
terme de métier) de l’application. Il s’agit donc de produire un modèle des objets du
monde réel dans un domaine donné.24
24
ERNEST NGONGO, COURS DE CONCEPTION, L2 IG, ISP, 2020
49
Il s’agit simplement de créer une représentation visuelle des objets du monde réel
dans un domaine donné.
Ainsi :
Pour
l’itération :
Vérifier
demande
Démarche
Pour structurer notre modèle, nous allons organiser les classes et les regrouper en
ensembles cohérents.
Pour ce faire, nous utilisons une fois de plus le concept général d’UML, le package.
Les systèmes informatiques modernes sont organisés en couches horizontales, elles-
mêmes découpées en partitions verticales. Cette découpe est d’abord logique, puis
éventuellement physique en termes de machines.
Nous allons donc structurer les classes identifiées jusqu’à présent en trois couches
principales :
Le premier principe consiste à regrouper les classes qui sont proches d’un point de
vue sémantique. Un critère intéressant consiste à évaluer les durées de vie des instances
et à rechercher l’homogénéité. Le deuxième principe s’efforce de minimiser les
relations entre packages, c’est-à-dire plus concrètement les relations entre classes de
packages différents.
63
Les packages ainsi constitués vérifient bien les principes de forte cohérence interne
et de faible couplage externe.
25
Christian SOUTOU., UML2 pour les bases de données, Eyrolles, P. 103.
26
GARDARIN G., Bases de données : Objet et relationnel, Eyrolles, Paris 1999, P. 78.
64
Introduction
Dans ce chapitre qui est notre phase finale, nous allons montrer le choix des outils de
développement, nous parlerons du choix du système de gestion de la base de données, du
65
choix de l’architecture logicielle ainsi que la présentation de l’application que nous avons
mise en place.
Une architecture logicielle est une représentation abstraite d’un système exprimé
essentiellement à l’aide de composants logiciels en interaction via des connecteurs. C’est une
infrastructure composée de modules actifs, d’un mécanisme d’interaction entre ces modules
et d’un ensemble de règles qui gouvernent cette interaction.
Pour notre système, nous avons choisi le pattern architectural client web léger 27. Le client
web très léger et universel est employé pour les applications destinées à internet, pour
lesquelles la configuration du client n’est pas maitrisable. Le client ne nécessite qu’un
navigateur web standard et le logique métier ainsi que la logique de présentation sont
intégralement exécutés sur le serveur.
Les composants majeurs du pattern architectural client web léger se trouvent sur le
serveur. Dans bien des sens, cette architecture est effectivement celle d’une application web
minimale.
Une architecture logicielle est une représentation abstraite d’un système exprimée
essentiellement à l’aide de composants logiciels en interaction via des connecteurs. C’est une
27
Pascal R., UML 2 : Modéliser une application web 4 éme édition, éd.Eyrolles, Paris, 2008, P/152
66
infrastructure composée de modules actifs, d’un mécanisme d’interaction entre ces modules
actifs, d’un mécanisme d’interactions entre ces modules et d’un ensemble des règles qui
gouvernent cette interaction.
Pour notre système, nous avons choisi le pattern architectural client web léger.28 Le client web
très léger et universel est employé pour les applications destinées à internet, pour lesquelles la
configuration u client n’est pas maitrisable. Le client ne nécessite qu’un navigateur web
standard et le logique métier ainsi que la logique de présentation sont intégralement exécutés
sur le serveur.
Les composants majeurs du pattern architectural client web léger se trouvent sur le serveur.
Dans bien des sens, cette architecture est effectivement celle d’une application web minimale.
Le navigateur client est un navigateur HTML standard compatible avec les formulaires
et DHTML (Accepter et renvoyer des cookies).
Le serveur web est le point d’accès principal pour tous les navigateurs clients.
La page serveur est une page qui subit une forme de traitement du côté du serveur.
Le serveur d’applications est le principal exécuté du logique métier du côté du serveur.
Le serveur de données permet de gérer la persistance des objets métier, par exemple
dans une base de données relationnelle, une couche (souvent appelée DAO) chargée
d’effectuer le mapping objet/relationnel doit être ajoutée.
Dans l’approche par objets, l’architecture logicielle d’un système est construite par un
assemblage de composants liés par des interfaces fournies et des interfaces requises. Le
diagramme des composants décrit cette architecture.
28
Pascal R.UML 2 : Modéliser une application web, 4 em Edition, éd Eyrolles, paris, 2008, p.152
67
1. Les composants
Un composant est une unité logicielle offrant des services au travers d’une ou de
plusieurs interfaces. C’est une boîte noire dont le contenu n’intéresse pas ses clients. Il est
totalement encapsulé : seules ses interfaces sont visibles.
Un composant peut dépendre d’autres composants pour réaliser ses opérations
internes. Il est alors le client de ces autres composants. Comme tout client d’un composant, il
n’en connaît pas la structure interne. Il ne dépend donc que de la ou des interfaces des
composants dont il est client. Ces interfaces sont appelées les interfaces requises du
composant client. Les interfaces qui décrivent les services offerts par un composant sont
appelées ses interfaces fournies.
Un composant est représenté dans un rectangle avec le stéréotype « component ». Ce
stéréotype peut être remplacé par le logo du composant.
Les outils de développement sont des éléments qui nous permettent de mettre fin à notre
travail, nous parlerons à ce point
Dans ce paragraphe, nous présentons le cade de notre logiciel et les outils utilisés pour la
conception de notre application
Développé à partir d’un autre SGBD portant le nom de MSQL, il possède de nombreuses
qualités et notamment celles d’être portable, en ce sens qu’il s’exécute sur à peu près tous les
systèmes d’exploitation et tous les types de matériel.
La programmation web peut prendre différents formes. De la simple page statique à la page
dynamique avec connexion à une base de données. Cette programmation se fait du coté
serveur.
1. LE LANGAGE PHP
Le PHP est un langage de scripts multi plate formes, embarqués dans des documents HTML.
Plus simplement PHP offre un moyen de placer des instructions dans les documents HTML
en vue de créer des contenus dynamiques.
Ces instructions sont lues et analysées par le serveur web. Elles ne parviennent jamais
jusqu’au navigateur qui affiche la page. Le serveur web remplace le code PHP par le contenu
que le code avait pour but de générer.
C’est un langage qui est devenu de script coté serveur incorporable dans tout document
XHTML. il permet de créer des pages web dynamiques et interactives.
2. LE JAVASCRIPT
29
Wikipédia.org/wiki/atelier_de_logiciel. Consulte le 07/04/2015
69
Ainsi, le langage Javascipt est fortement dépendant du navigateur appelant la page web
laquelle le script est incorporé, mais en contrepartie il ne nécessite pas de compilateur,
contrairement au langage java avec lequel il a longtemps été confondu.
3. WAMPSERVER
CONCLUSION GENERALE
70
71