Vous êtes sur la page 1sur 7

Université D’Alger 1 Ben Youcef

Benkhedda
Département d’architecture

Module : Initiation à la Recherche

Analyse d’un article scientifique

La relation entre la forme Urbaine et la densité

Réalisée par :
Melle Baziz Hayet
Melle Matari Chiraz
Melle Matsa Samia
Melle Benayache Feriel

Encadrées par :
Mme Djeddou Boutheina

Année :
2021-2022
1
Plan de travail

1. Détermination des éléments IMRAD…………………………………03


1.1. Introduction
1.2. Méthodes
1.3. Résultats
1.4. Discussions
1.5. Conclusion

2. La fiche de lecture…………………………………………………….03

3. Identification de la problématique et objectif………………………....04

3.1. Problématique de recherche


3.2. L’objectif de la recherche
3 .3 Hypothèses

4. Identification du cas d’étude…………………………………………..04

5. Détermination des mots clés ………………………………………….04

6. Résumé de la méthodologie et identification des techniques et instruments


utilisés ……………………………………………………………………05

6.1. Schéma des étapes de travail

7. Récapitulatif du travail…………………………………………………06

8. Bibliographie de l’art…………………………………………………..06

2
1. Identification des éléments IMRAD

1.1. Introduction :
Le concept de densité urbaine, au-delà de son utilisation au 19 ème siècle et ses réactions au
sein de la ville européenne. La densité connait un rapport avec la forme urbaine qui permet
d’entier les caractéristiques et les directives de conceptions des développements futurs.

1.2. Méthodes :
Le travail en cours, se base sur des méthodes utilisant une approche dite « de densité » en se
servant de 5 variables à l’aide de diagramme « spacemate » qui permettent de décrire une zone
développe et d’exprimer chacune un aspect physique qui joue un rôle dans la forme urbaine.

1.3. Résultats :
Les 5 variables à savoir (ISF), (IES) (REO) (L) (N) exprimant l’intériorité, la compacité, la
pression sur l’espace non bâti, hauteur des bâtiments ainsi que la quantité du réseau dans
une zone permettent de différencier les formes urbaines. Présentent comme constat
 L’utilité du diagramme « Spacemate » dans l’étude des variables et la prévention
des problèmes rencontrés dans différentes densités.
 La Combinaison des variables donne au projet une « empreinte spatiale ».

1.4. Discussions :
L'analyse des villes permet de démontrer la relation entre la densité et la forme urbaine. La
différence des propriétés spatiales dans chaque espace, et la comparaison entre leurs aspects
physique qui assurent un rôle sur la densité à savoir la composition, la localisation de la zone,
les matériaux utilisés, la hauteur des projets, mais aussi les détails architecturaux. La prise en
considération de ces aspects de la densité dans la forme urbaine facilite l’évaluation des
environnements urbains

1.5. Conclusion :
Le rôle des variables pour décrire et prescrire la forme urbaine et utilisé pour différencier
les tissus urbains, comprendre le fonctionnement de la ville et mener la conception future.

2. Fiche de lecture

Référence complète du texte :

- Meta Berghauser Pont et Per Haupt


- the relation between urban form and density
- Avril 2007
-150 pages

La localisation du document : Faculté d'architecture, Département d'urbanisme, PO Box


5043, 2600 GA Delft, Pays-Bas.

3
Le sujet : Discussion sur des questions d'actualité en matière de morphologie urbaine

Les mots clés : Forme urbaine, densité, ISF, densité de logements, l'intensité de l'utilisation
du sol, indice de surface utile

Définitions à retenir :

ISF : indice de surface utile


OSR : ratio d’espace ouvert (la pression sur l’espace non construit)
GSI : indice d’espace au sol

3. Identification de la problématique et objectif :

3.1. Problématique de recherche :

Mais que faire si les concepts traditionnels qui ont été utilisés pour rejeter la relation entre la
densité et la forme sont inappropriés ? Peut-être peut-on construire un autre instrument
analytique qui révèle les aspects importants de la densité dans la forme urbaine ?

3.1. L’objectif de la recherche :

S'appuyant sur des méthodes de mesures sur les villes d’Amsterdam et une comparaison
entre ces dernières et deux exemples néerlandais et le Märkisches Viertel de Berlin ; la

présente étude tente de déterminer la densité urbaine de ses dernières et constater si elle a
une relation avec la forme urbaine.

3.3. Hypothèses : D'une part, nous continuons à l'utiliser et à en avoir besoin dans la
programmation, dans la communication des intentions du plan et dans l'évaluation des
environnements urbains existants. D'autre part, on nous dit d'être conscients du fait que

Cela n'a que très peu de rapport avec la forme urbaine qui en résulte.

4. Identification du cas d’étude :


L’étude a choisi deux tissus urbains d'Amsterdam, ‘’le Grachtengordel’’ et De ‘’Pijp’’
Comme cas d'étude, qui présentent d'importantes similitudes formelles et sont les
représentants d'une famille typologique de blocs de construction périmétriques composés
d’un grand nombre de lots individuels et faire par la suite une comparaison avec deux
exemples néerlandais et le Märkisches Viertel de Berlin.

5. Détermination des mots clés :


Forme urbaine, densité, ISF, densité de logements, l'intensité de l'utilisation du sol, indice de
surface utile

4
6. Résumé de la méthodologie et identification des techniques et
instruments utilisés :

La recherche est basée sur une approche alternative de la densité qui a été développée à
Delft sur la période 2004 ,2005 en utilisant 5 variables pour d’écrire une zone développée.
La recherche se fait selon plusieurs phases :
• PHASE 1 : L’observation in situ :
L’objectif de cette méthode est de collecter des données dites qualitatives observables d’une
manière participante et ouverte, elle consiste à observer l’organisation du bâti avec le ISF
(indice surface utile) des 3 quartiers différentes avec une cadre d’observation en 2
comparaison :
Comparaison 1 : entre les 2 quartiers Le Grachtengordel et Le Pijp ce qui concerne leur
taille et leur densité des logements, le résultat obtenu : y’a pas une relation entre la densité
des logements et la forme urbaine.
Comparaison 2 : entre les 2 quartiers précédents et une 3éme Markisches viertel à Berlin, le
résultat obtenu : ni ISF ni la densité de logements ne sont d’une grande utilité pour établir la
relation entre la densité et la forme urbaine.
• PHASE 2 : Expérimentation :
Elle est qualifiée comme la plus efficace des techniques, dans la mesure où elle permet la
mise en évidence des relations causales existant entre diverses variables. L’expérimentation
est une observation provoquée portant sur une situation créée et contrôlée par le chercheur,
et qui a pour but de valider (ou invalider) une ou des hypothèses issues d’un système
théorique.
La relation entre les différentes données ce sont 5 variables d’une approche utilisées pour
décrire une zone développée sont : ISF, GSI, OSR, L et N.
L’objectif de cette phase et vérifier si la combinaison entre les données peut être utilisé pour
différencier la forme, urbaine de manière plus efficace.
• PHASE 3 : Analyse de contenu :
L’analyse de contenu est une technique qui permet d’effectuer des études détaillée sur des
Informations par une réalisation graphique (Graphe), Elle se donne pour objectif de
chercher, à travers l’interprétation de certaines relations entretenues par les unités
(combinaison, agencement, association), le sens latent qui n’est pas manifeste.
Le graphe utilisé pour faire la combinaison entre les 5 données sur les 3 quartiers est
expliqué que l’interaction entre variables semble être plus significative que leurs valeurs
absolues.
Il est difficile d’écrire et prescrire la forme urbaine, Seulement quand la densité est vue
comme un composite d'aspects, tels que l'intensité, compacité, hauteur et espace
(Spacemate), peut-il être utilisé de manière satisfaisante pour différencier les tissus urbains,
comprendre leurs caractéristiques et les directives de conception pour développements
futurs.

5
• 6.1. Schéma des étapes de travail :

Méthodologie :

Phase 1 Phase 2 Phase 3


Observation in situ : Analyse de contenu :
L’observation des Expérimentation : Une réalisation graphique
caractéristiques des 3 Déterminer la relation entre les concernant la combinaison
quartiers différentes 5 variables : ISF, GSI, OSR, L, N des 5 valeurs appliquées
et les comparés par pour confirmer ou ignorer sur les 3 quartiers de
un cadre l’hypothèse. comparaison.
d’observation.

7. Récapitulatif du travail :
Afin de comprendre la relation entre la forme urbaine et la densité. L'auteur explique que les
concepts traditionnels qui ont été utilisés pour rejeter la relation entre la densité et la forme
sont inappropriés et cela en établissant une comparaison avec ces méthode entres trois tissus
urbains présentent d'importantes similitudes formelles et d'après cette comparaison il a donc
pu conclure que ces méthodes ne sont d'une grande utilité pour établir une relation entre la
densité et la forme urbaine. La solution proposé par l’auteur est une autre approche récente
de la densité qui utilise cinq variables pour décrire une zone il a donc développé un
diagramme, le Spacemate avec ces derniers et examine à nouveau les trois tissus urbains,
précédant avec ce diagramme. Il conclut que l'interaction entre les variables semble être plus
significative que leurs valeurs absolues. En dernier l’auteur estime que les utilisations
établies de la densité manquent de précision spatiale et ne sont pas satisfaisantes pour
décrire et prescrire la forme urbaine et ce n'est que lorsque la densité est considérée comme
un ensemble d'aspects, qu'elle peut être utilisée de manière satisfaisante pour différencier les
tissus urbains.

8. Bibliographie de l’article :
Meta Berghauser Pont et Per Haupt (avril 2007), the relation between urban form and
density, revu Urban Morphology (2007).

Vous aimerez peut-être aussi