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PRPR : Y.

Résumé de Théorie générale des obligations et contrats


- Plan de cours :_______________________________________________
1- les notions et intérêt .
2- les sources d’obligations (volontaires et involontaires )
Chapitre I: Les obligations volontaires
Section I : l’engagement Unilatéral :
1-(Définition et valeur juridique)
2-( classification)
Section II : Les contrats :
1-Notion ,et principes et classification des contrats :
Section III: les conditions de formation du contrat et ses
moyens de preuve :
|-Les conditions de formation des contrats :
1. Le consentement
2. La capacité
3. l’objet
4. la cause
|| -La preuve des contrats Les moyens de preuves :
Section IV -Les effets des contrats entre les parties et à l’égard des tiers .
1)-Les effets des contrats entre les parties :
A- le principe de la force obligatoire du contrat
B- le premier de la bonne foi
2) -Les effets des contrats à l’égard des tiers :
A- les ayants couses
B- les créancier chirographaires
3)- les mesures d’obligations contractuelles :
A- les limites de la force obligatoire du contrat
B- les nullités des contrats (1.2.3.4)
4) les conditions de la nullité
A- la nullité absolue :
B- la nullité relative:
5) les effets de la nullité
-chapiter 2 : les obligations involontaires
1- le quasi-contrat
A-la gestion d’affaire:
B-Le paiement de l’indu:
C-L’enrichissement sans cause ((((((desirtaion )))))))
____________________________________________________________

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-Le mineur :
Se dit de quelqu'un qui n'a pas atteint l'âge de 18 ans fixé par la loi
pour la pleine capacité civile d'exercice et la responsabilité pénale.
— (-Majeur + majeurité + le faibel + le prodigue + capacité(capabel) :
jui+ excr (dans le pdf ) )

les notions et intérêt :


A-Définition de l’obligation :
L’obligation peut être expliquer comme étant un lien de droit entre deux
ou plusieurs parties, envergue du quel l’un s’engage à donner, à faire ou
ne pas faire une chose ou une prestation pour une autre personne dans
les conditions prévus par la loi. De ce fait, on peut dire que l’obligation
résulte de l’engagement deux parties que son le créancier et le débiteur.
B-Les sources d’obligation :
Quand parle des sources d’obligation on entend de cela les sources d’où
l’obligation ou un tel engagement se résulte, c’est-à-dire comment se crée
il l’obligation. De ce fait on peut dire qu’il y a deux sources générales
d’obligation à savoir :

1)Les sources volontaires :


Alors, on a trois sources que sont ; le délit, le contrat et l’engagement
unilatérale. On entend par le délit le fait volontaire de la personne d’où la
loi tire des dommages et intérêts ou bien une réparation suivant l’article
77 du D.O.C. pour le contrat c’est un fait volontaire s’effectue entre deux
parties et en fin l’engagement unilatérale se présume aussi un fait
volontaire qui résulte de la manifestation d’une seule volonté.
2)les sources involontaires : sont au nombre de deux ; le quasi délit et le
quasi contrat. Le quasi délit est un fait semblable du délit, il entraine des
dommages et intérêts et des indemnisations mais le point de divergence
entre eux c’est que le quasi délit est un fait involontaire qui résulte d’une
négligence. Le quasi contrat est un fait légitime mais involontaire.

Chapitre I: Les obligations volontaires


Section 1 : L’engagement unilatérale
L’engagement Unilatéral est une source d’obligations volontaires, il s’agit
d’un engagement d’une seule partie qui manifestation d’une seule
volonté qui s’engage à donner, à faire ou de ne pas faire une chose. La

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personne qui s’engage unilatéralement doit respecter les obligations qui
lui en déduisent

Ça valeurs juridiques :
L’engagement unilatéral a deux valeurs juridiques que sont :
Premièrement il est définitif et intangible dès le début, puis il a une force
obligatoire. C’est ce qu’en dispose les articles 16/18 du D.O.C.
l’ Article 18,dispose que : (Dans les obligations unilatérales, les
engagements sont obligatoires, dès qu'ils sont parvenus à la connaissance
de la partie envers laquelle ils sont pris..)
De même l’article 16 dispose que ( La promesse de récompense ne peut
être révoquée, lorsque la révocation survient après l’exécution
commencée. Celui qui a fixé un délai pour l'accomplissement du fait prévu
est présumé avoir renoncé au droit de révoquer sa promesse jusqu'à
l'expiration du délai.)

Ça Classification :
Parmi les types les plus fréquents dans ce genre d’engagement on trouve
a) le testament. Il consiste d’un acte suivant le quelle une personne qui
fait naitre un droit pour une autre personne, le testament ne prend effet
qu’après le décès de celui qui l’en fait.
Puis on peut ajouter b) la promesse de récompense c’est un engagement
selon le quel une personne s’engage à donner une chose à une autre
personne comme récompense pour accomplir un fait, par exemple
donner une somme d’argent à une personne qui lui a trouvé une chose
perdue. La personne qui fait déclarer une promesse de récompense ne
peut pas se révoquer qu’après le délai fixé.
c) L’offre à fin de purge : il s’agit d’une offre de payer faite par l’acquéreur
d’un immeuble hypothéqué à fin d’éviter la saisie qui serait
éventuellement pratiquée par un créancier, de lui verser directement la
partie du prix correspondant à sa créance ce qui purgera l’immeuble du
droit réel accessoire, « l’hypothèque ».

Section 2 : les contrats :


Le contrat est une convention génératrice d’obligation. C’est une
convention qui a spécialement pour objet de créer des obligations.
De cette définition nous pouvons retenir les conclusions suivantes : le
contrat est l’accord de deux volontés pour créer des obligations

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L’art 230 D.O.C dispose que :
« Les obligations contractuelles valablement formées tiennes lieu de la loi
à ceux qui les ont faites, et ne peuvent être révoqués que de leur
consentement mutuel on dans les cas prévus par la loi ».
Partant de ce texte nous pouvons remarquer que le contrat comme
source fondamentale de l’obligation a des caractères qui lui sont propres
et qui sont en lien étroit avec le principe de consensualisme et celui de la
liberté contractuelle ; autonome de la volonté
A-Le principe de consensualisme :
implique une condition primordiale pour pouvoir constituer in contrat, il
se base sur l’accord des parties sur les dispositions et le contenue du
contrat. Comme tout autre principe, le consensualisme connaisse des
critiques ou il a des limites que sont sous forme d’avantages et
d’inconvénients
Pour ses avantages, le consensualisme facilite et simplifie les échanges :
dans ce sens que les exigences de forme peuvent être compliqués et
ouvrir de nombreux cas de nullité qui font naître une grande incertitude
sur la valeur du contrat.
Alors que ces inconvénients, son relatives à la preuve du contrat, c’est-à-
dire que l’absence d’un acte écrit peut entrainer une incertitude sur le
contenue du contrat pour cette raison l’acte écrit ne constitue pas un
moyen de validité du contrat mes un simple moyen de preuve

B-Le deuxième principe l’autonomie de la volonté. Selon ce principe les


parties sont libres de se contracter ou de ne pas former le contrat, ils
disposent d’une liberté contractuelle. Or, cette liberté a connu des limites,
certaines fois parles dispositions de la loi impérative et d’autre part de
l’ordre public et de bonne mœurs. A coté de ces limites le législateurs
élabore et promulgue d’autres limites en tenant compte le
développement connu par le domaine des contrats qui suit le
développement économique.
Classification des contrats :
C- La liberté contractuelle :
-Les contrats nommés ; Le contrat nommé est celui qui est organisé par le
législateur et qui porte un nom donné par lui. (ex : le contrat de
vente, le contrat de crédit-bail, le contrat de mandat)

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-Le contrat innommé est celui qui est ni organisé ni porte un nom donné
par le législateur, mais ses dispositions sont laissés à la disposition des
contractants. (ex : le contrat de Franchise).
-Les contrats consensuels :sont ceux qui se forment par le simple échange
des consentements, l’écrit ne peut être exigé que pour faire preuve des
obligations des parties.
-Les contrats solennels sont conclus par acte authentique (ex : contrat
d’hypothèque contrat de vente de fonds de commerce, c, contrat de
société...)
.-Les contras réels ne produisent leurs effets que par la remise effective
de la chose qui en est l’objet (ex : le dépôt, le gage...)

2- Les contrats par concours de volonté et contrats d’adhésion :


Le contrat d’adhésion se distingue du contrat par concours de volontés en
ce sens que l’individu n’aurait d’autre possibilité que d’adhérer ou de ne
pas adhérer, sans pouvoir discuter le contenu du contrat.

3- Les contrats individuels et contrats collectifs


-Le contrat individuelle est le contrat qui exige l’accord de toute personne
fait partie du contrat pour qu’il soit valide. (ex : les sociétés commerciales
de personnes).
-contrat collectif, on exige seulement le consentement de la majorité
d’un groupe de personnes, la minorité restante se trouve ainsi obligée par
les dispositions d’un contrat auquel non seulement elle n’a ni souscrit, ni
consenti, mais elle s’y est apposée.(contrat d’assurance collectif)

4- Contrat synallagmatique et contrat unilatéral :


-Le contrat synallagmatique est un contrat qui fait naître des obligations
réciproques à la charges des deux parties (Exemples : le louage).
-Le contrat unilatéral n’impose d’obligation qu’à la charge d’une seule
personne (A ne pas confondre l’acte juridique unilatéral avec le contrat
unilatéral), ce dernier se caractérise par l’existence de l’accord de deux ou
plusieurs volontés ; mais seule l’une des parties subie des obligations.
5- Le contrat à titre gratuit et le contrat à titre onéreux
-Un contrat est à titre gratuit en tout ou en partie lorsque l’une des
parties décide de procurer un avantage à l’autre sans rien recevoir en
contrepartie, ou on reçoit une contrepartie qui ne soit pas équivalente
(exemple : la donation)

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6- Contrat commutatif et contrat aléatoire :
Le contrat commutatif est celui qui, dés sa conclusion, permet de
mesurer la contrepartie qui revient à chacune des parties (Exemple : la
vente).
-Dans le Le contrat aléatoire la contrepartie éventuelle, qui revient, à une
partie dépend d’un événement incertain , et ne peut donc, être connue au
moment de la conclusion du contrat (exemple : le contrat d’assurance)

7- Contrat à exécution instantanée et contrat à exécution successive :


-Les contrats à exécution instantanée sont ceux dont l’exécution se
réalise en un moment unique (exemple : vente au comptant).
- Les contrats à exécution successive sont ceux qui donnent lieu à des
obligations durables (exemple : contrat du travail)

Section 3 : les conditions de formation du contrat et ses


moyens de preuve :
| - les conditions de formation de contrat
Les éléments du contrat sont au nombre : deux sont relatifs à la personne
du contrat (consentement et capacité), les deux autre sont relatifs au
sujet du contrat (l'objet et la cause).
1 -le consentement : est une notion fondamentale dans la formation des
contrats, il s’agit d’un accord mutuel entre les parties du contrat sur ses
éléments, ainsi, c’est une manifestation de deux volontés pour conclure
un contrat. Ce qui est stipulé par l’article 19 du D.O.C • en disposant que
:<< la convention n’est parfaite que par l’accord mutuel des parties sur
les éléments essentielles du contrat, ainsi que sur toutes les autres
clauses que les parties les considèrent comme essentielles >>.
-Pour assurer la validité du consentement, il est nécessaire de savoir deux
points essentielles sont ;
Premièrement(1-1) la réalisation du consentement :
Le contrat est n » lorsque se concrétise' la rencontre de deux volontés.
Celle-ci se fait par une offre à laquelle répond une acceptation.
l'offre : c'est une proposition par une personne à une autre personne ou
au public de contracter à certaines conditions. Elle se distingue suivant
son caractère. Ainsi une offre peut être ferme ou assortie de réserve, elle
peut être faite à une personne déterminée ou au public (annonce dans le
s journaux), elle peut être expresse ou tacite.

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l'acceptation : c'est la manifestation de la volonté par laquelle le
bénéficiaire de l'offre accepte leContenu Elle peut être express écrite ou
cale. Comme elle peut être par un commencement d’exécution ou par
un attitude significative (exemple : le faite de montez dans un Bus ou un
taxi). En principale le silence ne vas acceptation, elle peut être autrement
dans certains cas lorsqu'il existe déjà des relation s d’affaires es entre les
contractants.

Seconde 1-2 l’intégrité du consentement : dans ce cadre on parle de


l’absence de tout vice qui peut empêcher le consentement, ces vice sont
tout d’abord :
-l’erreur : suivant l’article 39 du D.O.C qui stipule<< il est nul tout contrat
donné par erreur...>> de cette article l’erreur est un vice qui contribue
dans l’annulation du contrat, elle peut être sur la qualité ou la matière de
l’objet. Elle porte sur la personne si le contractant présente un principal
article. L’erreur de droit peut être cause se révision de contrat si elle est la
cause unique et principale du contrat et elle doit présenter une degré de
sérieux et de gravité.
Pour apprécier l’erreur on doit tenir compte de l’âge, le sexe,
les conditions et les circonstances de vie de la personne.
-Le dol : peut être définit comme étant un ensemble de
manœuvres pour faire tromper une personne afin de signer un contrat.
-La violence : suivant l’article 46 du D.O.C elle peut être définit comme la
contrainte illicite exercée sur une personne pour l’amener à signer un
contrat. Alors de ce fait, la violence est une force illégitime exercée sur
une personne pour signer un contrat hors son propre consentement.

2 - la capacité La capacité civile de l'individu est réglée par la loi qui régit
son statut personnel. Certaines personnes juridiques, frappées d'une
incapacité totale du partielle doivent être représentés (mineurs, majeurs
en tutelles ou assistées, majeures en curatelle).

Article 206 de code de la famille << ce dispose Il y a deux sortes de


capacité : la capacité de jouissance et la capacité d'exercice.
1-Pour le premier La capacité de jouissance la Article 207 c.f
La capacité de jouissance est la faculté qu'a la personne d'acquérir des
droits et d'assumer des devoirs tels que fixés par la loi. Cette capacité est
attachée à la personne durant toute sa vie et ne peut lui être enlevée.

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2-Et pour le second dispose la Article 208 C.F
La capacité d'exercice est la faculté qu'a une personne d'exercer ses
droits personnels et patrimoniaux et qui rend ses actes valides. La loi fixe
les conditions d'acquisition de la capacité d'exercice et les motifs
déterminant la limitation de cette capacité ou sa perte.
-La capacité d’exercice il a les limites c’est ça qui ce dispose par
l’ Article 213 C.F La capacité d'exercice est limitée dans les cas suivants:
1) l'enfant qui, ayant atteint l'âge de discernement, n'a pas atteint
celui de la majorité;
2) le prodigue;
3) le faible d'esprit.
En trouve c’est trois lignes bien explique dans art 214 -209-215- 216 :
Article 214 C.F : « L'enfant est doué de discernement lorsqu'il atteint
l'âge de 12 ans grégoriens révolus »
Article 209 c.f : » L'âge de la majorité légale est fixé à dix-huit années
grégoriennes révolues. »
Article 215 c.f : « Le prodigue est celui qui dilapide ses biens par des
dépenses sans utilité ou considérées comme futiles par les personnes
raisonnables, d'une manière qui porte préjudice à lui-même ou à sa
famille. »
Article 216 c.f : « Le faible d'esprit est celui qui est atteint d'un handicap
mental l'empêchant de maîtriser sa pensée et ses actes.
Article 217 c.f : « Ne jouit pas de la capacité d'exercice:
1) l'enfant qui n'a pas atteint l'âge de discernement;
2) le dément et celui qui a perdu la raison.
La personne qui perd la raison de manière discontinue a pleine capacité
durant ses moments de lucidité.

3- l’objet : peut être définit comme étant le résultat que chaque parties
souhaite a atteindre du contrat, il s’agit donc de la prestation a réaliser ou
le but rechercher de l’engagement. Cet objet doit contenir certains
critères pour sa validité à savoir :
En premier lieu l’objet doit être déterminé, c’est-à-dire il est obligatoire
de préciser les éléments essentielles sur les quelles les parties vont se
contracter dans se sens l’article 881 du D.O.C dispose par exemple que
<< le mondât est nul lorsqu’il a pour objet une chose impossible ou trop
indéterminé >>

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Secundo, il doit être possible : cela veut dire que a prestation d contrat
doit être réalisable non frappés d’une impossibilité matérielle ou juridique
l’article 59 du D.O.C dispose dans ce cadre que : << elle est nulle toute
obligation impossible physiquement, o dans le cas Prévus par la loi >>.
En fin, l’objet doit être licite c’est-à-dire la chose objet du contrat doit
être conforme avec la loi, l’ordre public et les bonnes mœurs.

4- la cause: elle s’explique comme la raison pour laquelle les contractants


s’engage. Cette raison implique la volonté de chaque partie à conclure le
contrat, cette volonté doit être une raison valable pour former l’obligation
ce que veut dire il doit être licite. Dans ce cadre l’article 62 stipule que
<< une obligation sans cause ou fondé sur une cause illicite, la cause est
illicite lorsqu’elle est au contraire de la loi, l’ordre public ou les bonnes
mœurs>>
En effet la cause d’une obligation a deux caractères sont : Soit elle est le
but à atteindre que chacune des parties attend du contrat.
Soit elle est le mobile de chacune des personnes attende de la conclusion
du contrat, il prend de ce fait un sens subjectif.

|| -La preuve des contrats Les moyens de preuves :


La preuve constitue un élément fondamental et déterminant de
l'application du droit. En fait, le législateur distinguer les faits juridiques
et les actes juridiques. Pour les premières la preuve est libre, elle être
faite par tout moyen (écrit, aveu, témoignage et présomptions). Par
contre la preuve des actes juridiques, doit se faire en principe par un
crédit préconstitué dés le montant du contrat dépasse 250DH, cette
condition c’est frappée de plusieurs exceptions :
-lorsque existe un commencement de preuve (article 447 DOC), la preuve
est valable si elle est soutenue par des présomptions ou témoignages .
- lorsque le litige est de nature commerciale. Cependant un contrat
solennel ne peut fo.-mer que par écrit préconstitué (exemple : vente de
fond de commerce, contrat de crédit bail...)

Section IV -Les effets des contrats entre les parties et à l’égard des tiers .
Un contrat a pour effet la création d'obligations ou dettes qui sont en
même temps des droits on de créances ou profit des autre. Donc le
contrat produit des effets entre les parties. qui seules seront créanciers

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ou débitrices, et aussi des effets à l'égard des tiers, qui sans être ni
créanciers s ni débiteurs, se trouvent des fois impliquées dans le contrat.
1)-Les effets des contrats entre les parties :
A-le principe de la force obligatoire du contrat ;
Selon se principe, on peut noter que le contrat s’impose à toutes les
parties qui lui ont passé. Dans ce cadre on parle des dispositions du D.O.C
notamment l’article 230 qui dispose que :<< les obligations
contractuelles valablement formés tiennes lieu de la loi à ce qui les ont
fait, et ils ne peuvent être révoqué que ^par leurs consentement mutuel
ou dans les cas prévus par la loi>>. De cet article on peut retenir que le
créancier et le débiteur doivent assumer leurs obligations jusqu’à la
révocation du contrat soit par leur consentement soit dans les cas
déterminés par la loi.
B/ le principe de la bonne fois :
Ce principe dispose que les clauses du contrat doivent être effectuées par
une bonne fois, ce principe se manifeste Lors de l’exécution du contrat de
la part du contractant
2) -Les effets des contrats à l’égard des tiers :
A- les ayants couses :
ce sont les héritiers de l’auteur qui recueillent son patrimoine, ils
subissent des effets de contrat. Dans ce sens o, trouve l’article 228 DOC :
dispose que le contrat n’engage que les parties contractantes, et il ne
prévus rien au tiers sauf dans les cas déterminé par la loi. Cela veut dire
que le contrat ne lie au niveau d’engagement que les parties qui sont
consenti de ses éléments, de ce fait, il n’engage plus les tiers et il ne les
produit des effets ou ils ne le profitent que dans les cas prévus par la loi.
De même l’article 229 du DOC stipule que « les obligations contractuelle
ont effets non seulement entre les parties mais aussi entre les héritiers
et les ayants causes, à moins que le contraire ne sera exprimé par la loi
ou résulte de la nature d’obligation »
B/ les créancier chirographaires :
sont des créanciers ordinaires mais ils ne profitent pas des biens du
débiteur, ce que veut dire qu’ils n’ont aucune sureté et aucunes garanties
sur le patrimoine de leurs débiteurs. Dans ce sens en trouve l’article 1241
du DOC dispose que : « les biens du débiteurs sont le bien commun de
ses créanciers et le prix s’en distribue entre eux par contribution, moins
qu’il n’ait pas entre créanciers des causes légitimes de préférence »

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3)- les mesures d’obligations contractuelles :
A- les limites de la force obligatoire du contrat:
Le contrat a toujours une force obligatoire sur les contractants, mais le
peut faire objet d’une fin ou une modification des termes, on parle de ce
fait, d’une résiliation amiable.
Alors les contractants peuvent faire fins au contrat sur la base de leur
consentement ou leur accord mutuel. De même l’extinction du contrat
peut être effectué sur la base d’un délit, c’est a dire que chaqu’un des
contractants peut se délier du contrat mais à condition qu’il répare l’autre
partie ou bien présenter une indemnisation
B)-Les nullités des contrats :
a. La nullité :
b. L’annulabilité
c. L’inopposabilité : Signifie que le contrat reste valable entre les parties
mais ne produit aucun effet à l’égard des tiers c’est-à-dire qu’il est
inopposable aux tiers.
d. La rescision :La rescision est une nullité du contrat chaque fois qu’il
atteint une lésion, il ne sera pas nul absolument mais il s’agit d’une nullité
relative.

4- Les conditions de nullité :


On parle ici de deux formes de nullité à savoir :
la nullité absolue est celle relative.
-la nullité absolue : lorsque tout personne peut l’invoquer
Il est sanctionne la violation de loi. Ainsi est il dans 127, 729, 70, 978,
2092, 1034, D.O.C. Généralement la nullité absolue du contrat est
encoure quand la règle méconnue étant prescrite dans l'intérêt général,
et donc toutes personne peutI 'invoquer. Cette nullité est organisée par
l’art 306-310 D.O.C, la nullité absolue ne peut être confirmé
-La nullité absolue : A l’inverse de la nullité absolue, la nullité relative
consiste au fait qu’une seule parties qui demande la nullité du contrat,
elle est relative dans la mesure que la règle méconnue étant destiné ou
atteint l’intérêt privé. La personne qui demande la nullité peut renoncer
de son droit en laissant le contrat se continue entre les parties, ce que
veut dire que la nullité relative peut être confirme

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5) les effets de la nullité
La nullité a le même effet qu’elle soit relative ou absolue, elle fait
disparaitre rétroactivement le contrat, de ce fait la nullité est pour objet
de remettre les choses à leurs état normale comme elles étaient avant la
formation du contrat. Dans ce cadre on distingue deux hypothèses à
savoir :
Premièrement, lorsque le contrat est nul son avoir reçu aucune exécution
sa nullité délit les parties.
Deuxièmes, lorsque le contrat est exécuté totalement et partiellement
dans ce cas chacune des parties peut restituer ce qu’il perçu.
A ce qui concerne les tiers de bonne fois le législateur les protège
conformément à l’article 456 du DOC qui stipule que la personne qui
possède de bonne fois une chose mobilière ou des meuble, ce fait se
présume un fait régulière et d’une manière définitive. Mais il ne se
considère pas de bonne fois celui qui possède une chose et il saurait
connu que celui dont il a reçu n’avait pas le droit d’en dispose

-chapiter 2 : les obligations involontaires


1. Le quasi-contrat :
Le quasi-contrat, est une source d’où se résulte une obligation
involontaire mais elle est licite, dans ce type d’obligation le débiteur ne
choisie pas de s’engager, mais il se trouve dans une situation débitrice et
loi l’oblige à s’exécuter. En droit marocain il y a trois quasi-contrats qui
engagent le débiteur hors sa volonté à savoir : la gestion d’affaire, le
paiement de l’indu et l’enrichissement sans cause.
Pour la gestion d’affaire ; il s’agit d’une personne qui sans mandat pour le
compte d’une autre personne. Cette personne sera devant une obligation
qui résulte des affaires qui ont été gérées par lui. Alors soit il reprendre à
son compte des contrats passées dans sont intérêt, soit rembourser au
gérant d’affaires les dépenses qu’il a engagées ou des dommages qu’il a
subis suivant les dispositions de l’article 943.
Le paiement de l’indu :
Le paiement de l’indu est un type de quasi-contrat qui résulte d’un
paiement par erreur dont le débiteur a la possibilité de restituer ce qu’a
payé. Dans ce sens l’article 68 du DOC ne dispose que celui qui a payé ce
qu’il ne devait pas par erreur de droit en croyant qu’il est débiter, il peut
répéter contre celui auquel il a payé. Alors que ce dernier ne doit pas

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restituer le paiement si il a déduit ou annulé le titre, s’est privé des
garanties de sa créance ou a laissé sont action se prescrit de bonne fait.
L’enrichissement sans cause :
L’enrichissement sans cause signifie qu’une personne possède une chose
ou un bien sous sa propriété sans une raison qui l’explique. Autremendit,
l’enrichissement sans cause est le fait qu’une personne profite afin de
s’enrichir d’un bien appartenant à une autre personne sans cause
justificatif de son acte. Cet enrichissement oblige donc la personne de
rendre la chose à son légale propriétaire. On peut définir cet acte suivant
les dispositions du DOC notamment dans les articles 66 et 67.

-Quelques notions importantes :


-Le mineur
-Majeur
- Organisation
-majeurité
-le faibel
-le- prodigue
Vérifier
-capacité
- Comparution enter les feuilles 4
-capabel
- Lire les deux pdf

Remarque : Si quelqu'un trouve une erreur,


- Desirtaton
corrigez-la ou contactez-moi
- Introduction ( définition despour la corriger...
obligations et contrats +les intérêts)
bonneLeschance
question :
- Développement :
S’ordonneront autour de deux idées, d’un part l’étude de …|
(parag 1-2)
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( parag 1-2)

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