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-Le mineur :
Se dit de quelqu'un qui n'a pas atteint l'âge de 18 ans fixé par la loi
pour la pleine capacité civile d'exercice et la responsabilité pénale.
— (-Majeur + majeurité + le faibel + le prodigue + capacité(capabel) :
jui+ excr (dans le pdf ) )
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personne qui s’engage unilatéralement doit respecter les obligations qui
lui en déduisent
Ça valeurs juridiques :
L’engagement unilatéral a deux valeurs juridiques que sont :
Premièrement il est définitif et intangible dès le début, puis il a une force
obligatoire. C’est ce qu’en dispose les articles 16/18 du D.O.C.
l’ Article 18,dispose que : (Dans les obligations unilatérales, les
engagements sont obligatoires, dès qu'ils sont parvenus à la connaissance
de la partie envers laquelle ils sont pris..)
De même l’article 16 dispose que ( La promesse de récompense ne peut
être révoquée, lorsque la révocation survient après l’exécution
commencée. Celui qui a fixé un délai pour l'accomplissement du fait prévu
est présumé avoir renoncé au droit de révoquer sa promesse jusqu'à
l'expiration du délai.)
Ça Classification :
Parmi les types les plus fréquents dans ce genre d’engagement on trouve
a) le testament. Il consiste d’un acte suivant le quelle une personne qui
fait naitre un droit pour une autre personne, le testament ne prend effet
qu’après le décès de celui qui l’en fait.
Puis on peut ajouter b) la promesse de récompense c’est un engagement
selon le quel une personne s’engage à donner une chose à une autre
personne comme récompense pour accomplir un fait, par exemple
donner une somme d’argent à une personne qui lui a trouvé une chose
perdue. La personne qui fait déclarer une promesse de récompense ne
peut pas se révoquer qu’après le délai fixé.
c) L’offre à fin de purge : il s’agit d’une offre de payer faite par l’acquéreur
d’un immeuble hypothéqué à fin d’éviter la saisie qui serait
éventuellement pratiquée par un créancier, de lui verser directement la
partie du prix correspondant à sa créance ce qui purgera l’immeuble du
droit réel accessoire, « l’hypothèque ».
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L’art 230 D.O.C dispose que :
« Les obligations contractuelles valablement formées tiennes lieu de la loi
à ceux qui les ont faites, et ne peuvent être révoqués que de leur
consentement mutuel on dans les cas prévus par la loi ».
Partant de ce texte nous pouvons remarquer que le contrat comme
source fondamentale de l’obligation a des caractères qui lui sont propres
et qui sont en lien étroit avec le principe de consensualisme et celui de la
liberté contractuelle ; autonome de la volonté
A-Le principe de consensualisme :
implique une condition primordiale pour pouvoir constituer in contrat, il
se base sur l’accord des parties sur les dispositions et le contenue du
contrat. Comme tout autre principe, le consensualisme connaisse des
critiques ou il a des limites que sont sous forme d’avantages et
d’inconvénients
Pour ses avantages, le consensualisme facilite et simplifie les échanges :
dans ce sens que les exigences de forme peuvent être compliqués et
ouvrir de nombreux cas de nullité qui font naître une grande incertitude
sur la valeur du contrat.
Alors que ces inconvénients, son relatives à la preuve du contrat, c’est-à-
dire que l’absence d’un acte écrit peut entrainer une incertitude sur le
contenue du contrat pour cette raison l’acte écrit ne constitue pas un
moyen de validité du contrat mes un simple moyen de preuve
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-Le contrat innommé est celui qui est ni organisé ni porte un nom donné
par le législateur, mais ses dispositions sont laissés à la disposition des
contractants. (ex : le contrat de Franchise).
-Les contrats consensuels :sont ceux qui se forment par le simple échange
des consentements, l’écrit ne peut être exigé que pour faire preuve des
obligations des parties.
-Les contrats solennels sont conclus par acte authentique (ex : contrat
d’hypothèque contrat de vente de fonds de commerce, c, contrat de
société...)
.-Les contras réels ne produisent leurs effets que par la remise effective
de la chose qui en est l’objet (ex : le dépôt, le gage...)
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6- Contrat commutatif et contrat aléatoire :
Le contrat commutatif est celui qui, dés sa conclusion, permet de
mesurer la contrepartie qui revient à chacune des parties (Exemple : la
vente).
-Dans le Le contrat aléatoire la contrepartie éventuelle, qui revient, à une
partie dépend d’un événement incertain , et ne peut donc, être connue au
moment de la conclusion du contrat (exemple : le contrat d’assurance)
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l'acceptation : c'est la manifestation de la volonté par laquelle le
bénéficiaire de l'offre accepte leContenu Elle peut être express écrite ou
cale. Comme elle peut être par un commencement d’exécution ou par
un attitude significative (exemple : le faite de montez dans un Bus ou un
taxi). En principale le silence ne vas acceptation, elle peut être autrement
dans certains cas lorsqu'il existe déjà des relation s d’affaires es entre les
contractants.
2 - la capacité La capacité civile de l'individu est réglée par la loi qui régit
son statut personnel. Certaines personnes juridiques, frappées d'une
incapacité totale du partielle doivent être représentés (mineurs, majeurs
en tutelles ou assistées, majeures en curatelle).
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2-Et pour le second dispose la Article 208 C.F
La capacité d'exercice est la faculté qu'a une personne d'exercer ses
droits personnels et patrimoniaux et qui rend ses actes valides. La loi fixe
les conditions d'acquisition de la capacité d'exercice et les motifs
déterminant la limitation de cette capacité ou sa perte.
-La capacité d’exercice il a les limites c’est ça qui ce dispose par
l’ Article 213 C.F La capacité d'exercice est limitée dans les cas suivants:
1) l'enfant qui, ayant atteint l'âge de discernement, n'a pas atteint
celui de la majorité;
2) le prodigue;
3) le faible d'esprit.
En trouve c’est trois lignes bien explique dans art 214 -209-215- 216 :
Article 214 C.F : « L'enfant est doué de discernement lorsqu'il atteint
l'âge de 12 ans grégoriens révolus »
Article 209 c.f : » L'âge de la majorité légale est fixé à dix-huit années
grégoriennes révolues. »
Article 215 c.f : « Le prodigue est celui qui dilapide ses biens par des
dépenses sans utilité ou considérées comme futiles par les personnes
raisonnables, d'une manière qui porte préjudice à lui-même ou à sa
famille. »
Article 216 c.f : « Le faible d'esprit est celui qui est atteint d'un handicap
mental l'empêchant de maîtriser sa pensée et ses actes.
Article 217 c.f : « Ne jouit pas de la capacité d'exercice:
1) l'enfant qui n'a pas atteint l'âge de discernement;
2) le dément et celui qui a perdu la raison.
La personne qui perd la raison de manière discontinue a pleine capacité
durant ses moments de lucidité.
3- l’objet : peut être définit comme étant le résultat que chaque parties
souhaite a atteindre du contrat, il s’agit donc de la prestation a réaliser ou
le but rechercher de l’engagement. Cet objet doit contenir certains
critères pour sa validité à savoir :
En premier lieu l’objet doit être déterminé, c’est-à-dire il est obligatoire
de préciser les éléments essentielles sur les quelles les parties vont se
contracter dans se sens l’article 881 du D.O.C dispose par exemple que
<< le mondât est nul lorsqu’il a pour objet une chose impossible ou trop
indéterminé >>
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Secundo, il doit être possible : cela veut dire que a prestation d contrat
doit être réalisable non frappés d’une impossibilité matérielle ou juridique
l’article 59 du D.O.C dispose dans ce cadre que : << elle est nulle toute
obligation impossible physiquement, o dans le cas Prévus par la loi >>.
En fin, l’objet doit être licite c’est-à-dire la chose objet du contrat doit
être conforme avec la loi, l’ordre public et les bonnes mœurs.
Section IV -Les effets des contrats entre les parties et à l’égard des tiers .
Un contrat a pour effet la création d'obligations ou dettes qui sont en
même temps des droits on de créances ou profit des autre. Donc le
contrat produit des effets entre les parties. qui seules seront créanciers
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ou débitrices, et aussi des effets à l'égard des tiers, qui sans être ni
créanciers s ni débiteurs, se trouvent des fois impliquées dans le contrat.
1)-Les effets des contrats entre les parties :
A-le principe de la force obligatoire du contrat ;
Selon se principe, on peut noter que le contrat s’impose à toutes les
parties qui lui ont passé. Dans ce cadre on parle des dispositions du D.O.C
notamment l’article 230 qui dispose que :<< les obligations
contractuelles valablement formés tiennes lieu de la loi à ce qui les ont
fait, et ils ne peuvent être révoqué que ^par leurs consentement mutuel
ou dans les cas prévus par la loi>>. De cet article on peut retenir que le
créancier et le débiteur doivent assumer leurs obligations jusqu’à la
révocation du contrat soit par leur consentement soit dans les cas
déterminés par la loi.
B/ le principe de la bonne fois :
Ce principe dispose que les clauses du contrat doivent être effectuées par
une bonne fois, ce principe se manifeste Lors de l’exécution du contrat de
la part du contractant
2) -Les effets des contrats à l’égard des tiers :
A- les ayants couses :
ce sont les héritiers de l’auteur qui recueillent son patrimoine, ils
subissent des effets de contrat. Dans ce sens o, trouve l’article 228 DOC :
dispose que le contrat n’engage que les parties contractantes, et il ne
prévus rien au tiers sauf dans les cas déterminé par la loi. Cela veut dire
que le contrat ne lie au niveau d’engagement que les parties qui sont
consenti de ses éléments, de ce fait, il n’engage plus les tiers et il ne les
produit des effets ou ils ne le profitent que dans les cas prévus par la loi.
De même l’article 229 du DOC stipule que « les obligations contractuelle
ont effets non seulement entre les parties mais aussi entre les héritiers
et les ayants causes, à moins que le contraire ne sera exprimé par la loi
ou résulte de la nature d’obligation »
B/ les créancier chirographaires :
sont des créanciers ordinaires mais ils ne profitent pas des biens du
débiteur, ce que veut dire qu’ils n’ont aucune sureté et aucunes garanties
sur le patrimoine de leurs débiteurs. Dans ce sens en trouve l’article 1241
du DOC dispose que : « les biens du débiteurs sont le bien commun de
ses créanciers et le prix s’en distribue entre eux par contribution, moins
qu’il n’ait pas entre créanciers des causes légitimes de préférence »
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3)- les mesures d’obligations contractuelles :
A- les limites de la force obligatoire du contrat:
Le contrat a toujours une force obligatoire sur les contractants, mais le
peut faire objet d’une fin ou une modification des termes, on parle de ce
fait, d’une résiliation amiable.
Alors les contractants peuvent faire fins au contrat sur la base de leur
consentement ou leur accord mutuel. De même l’extinction du contrat
peut être effectué sur la base d’un délit, c’est a dire que chaqu’un des
contractants peut se délier du contrat mais à condition qu’il répare l’autre
partie ou bien présenter une indemnisation
B)-Les nullités des contrats :
a. La nullité :
b. L’annulabilité
c. L’inopposabilité : Signifie que le contrat reste valable entre les parties
mais ne produit aucun effet à l’égard des tiers c’est-à-dire qu’il est
inopposable aux tiers.
d. La rescision :La rescision est une nullité du contrat chaque fois qu’il
atteint une lésion, il ne sera pas nul absolument mais il s’agit d’une nullité
relative.
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5) les effets de la nullité
La nullité a le même effet qu’elle soit relative ou absolue, elle fait
disparaitre rétroactivement le contrat, de ce fait la nullité est pour objet
de remettre les choses à leurs état normale comme elles étaient avant la
formation du contrat. Dans ce cadre on distingue deux hypothèses à
savoir :
Premièrement, lorsque le contrat est nul son avoir reçu aucune exécution
sa nullité délit les parties.
Deuxièmes, lorsque le contrat est exécuté totalement et partiellement
dans ce cas chacune des parties peut restituer ce qu’il perçu.
A ce qui concerne les tiers de bonne fois le législateur les protège
conformément à l’article 456 du DOC qui stipule que la personne qui
possède de bonne fois une chose mobilière ou des meuble, ce fait se
présume un fait régulière et d’une manière définitive. Mais il ne se
considère pas de bonne fois celui qui possède une chose et il saurait
connu que celui dont il a reçu n’avait pas le droit d’en dispose
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restituer le paiement si il a déduit ou annulé le titre, s’est privé des
garanties de sa créance ou a laissé sont action se prescrit de bonne fait.
L’enrichissement sans cause :
L’enrichissement sans cause signifie qu’une personne possède une chose
ou un bien sous sa propriété sans une raison qui l’explique. Autremendit,
l’enrichissement sans cause est le fait qu’une personne profite afin de
s’enrichir d’un bien appartenant à une autre personne sans cause
justificatif de son acte. Cet enrichissement oblige donc la personne de
rendre la chose à son légale propriétaire. On peut définir cet acte suivant
les dispositions du DOC notamment dans les articles 66 et 67.
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