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La télésanté, en tant qu’application émergente des Technologies de l’Information et

de la Communication appliquées à la santé, possède un champ d’application vaste . La

télésanté offre de nombreux atouts: améliorer la qualité de la prise en charge médicale

des patients, assurer une meilleure continuité des soins, dépenser mieux, développer

l’activité économique et éviter des déplacements inutiles afin d’optimiser les dépenses.

La télésurveillance médicale pourrait venir en renforcement d’un système de soin

défaillant du fait de la diminution du nombre de médecins face à une augmentation rapide de

la prévalence de la maladie. De très nombreuses expérimentations ont été publiées, la plupart

échouant à démontrer des résultats supérieurs à une prise en charge traditionnelle. L’une

des voies qui semble prometteuse est l’utilisation des appareils de poche communicants de

type Smartphone, avec une double fonctionnalité : ils sont chargés d’un logiciel

appliquant les prescriptions du médecin et sont capables de résoudre en temps réel un

problème immédiat du patient

Les technologies nouvelles dans le domaine des télécommunications ne cessent d’évoluer

et elles ont donné naissance à de nouveaux appareils mobiles compacts, efficaces et

performants tels que les Smartphones et les tablettes tactiles. Ces appareils peuvent

communiquer avec le monde extérieur ce qui permet aux gens de se localiser sur une carte

géographique et connaître leur distance par rapport à un point donné, d’appeler d’autres

personnes, de se connecter sur internet, de lire leurs mails, d’accéder à leurs comptes

bancaires, etc. Ils représentent tout simplement un ordinateur de poche auquel il est ajouté

l’option du téléphone.

Les appareils mobiles d’aujourd’hui incluent des applications diverses telles que les

jeux, les utilitaires (agenda, traitement de texte, etc.), un GPS, une boussole, des livres,

lecteurs audio/vidéo, skype, etc. Il est bien évidemment possible d’ajouter ses propres

applications. Dans le domaine médical, il est donc envisageable d’exercer de la

médecine par le biais de ces appareils à base d’applications permettent la prestation de


soins de santé à distance et l'échange de l'information médicale s'y rapportant

aprés la propagation de virus covide 19 sur le planéte les gens deviennent plus obsédés du surveiller leur
santé qu'avant de meme l'élévation sur la demande de génie biomédical et nous comme des étudiants de
faculté des sciences rabat de la matiére physique parcours électronique pour atténuer cet souci chez les
gens et pour méne leur vie normale on a décidé d'inventer un systéme électronique qui contient trois
roles premiérement: la mesure de température qui a une propriété de connaitre la température en une
minute et par conséquent on évite n'importe quel danger découlé sur l'augmentation de la température   
mesure des battements    du coeur d'une maniére permanente .on ajoutons à cela la mesure d'oxygéne
dans le sang ,cet apparail va faciliter à les médecins la surveillance des patients et cela via la
programmation à distanc

etat de l'art

la température corporelle humain ;

la    mesure de la température corporelle permet de surveiller l’état de santé d’une personne, elle
s’exprime en degrésCelsius. L’être humain est homéotherme : sa températurecorporelle centrale est
maintenue stable en permanence,quelle que soit la température extérieure, grâce à l’hypothalamus. La
température centrale normale se situeautour de 37 °C +/– 0,5 °C.Cette température corporelle centrale
varie légèrementselon le sexe (chez la femme, cette température est plusélevée de 0,2 °C et change selon
les périodes du cyclemenstruel), en fonction du rythme circadien (la températureaugmente d’environ 0,5
°C entre 6 h et 15 h), de l’exercice, du stress (augmentation de la température corporelle). La fièvre est
l’élévation de la température centraleau-dessus de 38 °C en l’absence d’une activité physiqueintense. La
fièvre est un symptôme, une réaction du systèmeimmunitaire en réponse à une pathologie (infection,
inflammation). Elle n’est pas dangereuse en soi, ce sont sescomplications qui sont à redouter
(déshydratation, convulsion)surtout chez les enfants

de moins de 5 ans
comment les thermometres mesurent la temperature

a température est en fait un degré de l'agitation des atomes... et ce n'est pas facile d'aller leur demander
à quel point ils sont agités    Par contre, on peut mesurer indirectement leur agitation car elle a un effet
bien visible sur la matière liquide, solide ou gazeuse.Mais encore faut-il trouver un moyen d'observer
comment la matière change et la mettre dans un dispositif qui devienne un thermomètre.Voici pourquoi
et comment on a fabriqué quelques mesureurs de température

le thermomètre à liquide, le plus courant

Pour traduire la température, ce type de thermomètre contient un tube de verre très fin dans lequel se
trouve un liquide. Ce liquide contenu un petit réservoir à la base du tube occupe un volume différent
selon sa température : il occupe un volume plus grand quand il fait chaud que quand il fait froid. Le
liquide va donc se dilater quand la température augmente (et monter dans le tube) ou se contracter
quand la température diminue (et redescendre dans le tube).

Les thermomètresLes thermomètres à mercure étaient très courants mais ils ont tendance à "disparaître
de la circulation" parce que le mercure est très toxique et polluant. Construire un "thermomètre à
liquide" en utilisant du mercure était pourtant très pratique : le mercure est un métal qui est liquide
entre -39°C (en dessous, il devient solide) et + 400°C (au-dessus, il devient gazeux). Avec une telle plage
de mesure, on pouvait fabriquer toutes sortes de thermomètres pour à peu près toutes les utilisations
courantes d'un thermomètre : pour mesurer la température de l'air, pour mesurer la température du
corps... ou la température de la confiture en train de cuire ! Aujourd'hui, un bon "liquide de
remplacement" pour ces utilisations courantes est l'alcool (à condition de le colorer parce que l'alcool est
transparent) : il est liquide entre – 80    °C et + 75°C. Et pour des températures plus basses, on utilise du
toluène (jusqu'à -90°C environ) ou du pentane (jusqu'à 220°C).

2) Comment fabriquer le bon thermomètre selon les températures que l’on veut mesurer.
Pour mesurer la température du corps humain, par exemple, pas besoin d'avoir un grand intervalle de
mesure : le corps est à 38°C plus ou moins quelques degrés. S'il va de 36°C à 43°C, c'est largement
suffisant. Par contre, il faut pourvoir lire clairement de petites différences de température : avoir 37,5°C
n'est pas du tout la même chose que 38°C pour le corps humain ! On fabrique donc : - un réservoir où on
met assez de liquide qui occupe tout le réservoir quand il est à 35°C,    - un tube en verre transparent avec
un canal très fin au milieu pour que le liquide y monte à la moindre différence de température et on pose
le tout, bien en place, sur une plaque graduée en 1/10 de degré.

Pour un thermomètre "météo" qui peut indiquer la température entre -30°C et +50°C par exemple, on
fera pareil mais avec un réservoir où on met assez de liquide qui occupe tout le réservoir quand il est à -
30°C et un canal assez long et fin pour que le liquide arrive tout en haut quand il fait +50°C à mercure

Le thermomètre à cristaux liquides

Les cristaux liquides changent de couleur avec la température. On fabrique des thermomètres à cristaux
liquides en utilisant différents cristaux liquides où chacun apparait très coloré à une température précise
et plus sombre à toutes les autres.    Une série de cristaux liquides placée sur une bandelette, en forme
de chiffres qui indiquent la température de chacun ou en forme de rectangle le long d'une échelle
graduée, peut donc se transformer en thermomètre Ce n'est pas très précis mais très pratique pour les
aquariums ou en thermomètre médical frontal
Les thermomètres électroniques

Les solides laissent circuler les électrons de façon différente selon la température. Les thermomètres
électroniques peuvent contenir différents composants capables de mesurer la température en mesurant
comment la résistance d'un matériau change avec la température. Il peut s'agir tout simplement d'un fil
métallique (car la résistance d'un métal change avec la température) Si on connaît très bien comment la
résistance du fil métallique varie avec la température, voilà qui permet une mesure très précise et
rapide ! Il suffit de faire passer un courant Ià l'intérieur et de mesurer la tension U entre ses extrémités
pour en déduire sa résistance R (U = R.I). Un circuit électronique traduit ensuite la valeur de la résistance
en température et l'affiche
Les thermocouples

Les thermocouples sont aussi utilisés dans des montages électriques. Ce sont des circuits composés de
deux métaux différents soudés l'un à l'autre où l'on utilise l'effet Seebeck

Ce phénomène, découvert par le physicien allemand Thomas Seebeck en 1821, se produit quand on met
les bouts de 2 fils métalliques différents à des températures différentes : en soudant ensemble l'une des
extrémités de ces fils, une différence de tension apparait à l'autre bout. En la mesurant (avec un
voltmètre), on peut alors déduire quelle est la différence de température : pour chaque couple de
métaux utilisés, on a des tables de valeurs qui permettent de savoir à quelle différence de température
correspond la différence de potentiel V que l'on a lue sur le voltmètre.    Les thermocouples sont très
précis et peuvent déceler des variations de température d'un millionième de degré ! En utilisant
différents couples métalliques, on peut ainsi mesurer des températures de -269 °C jusqu'aux environs de
2 300 °C. Par contre, on ne peut pas déduire la valeur de la température : si l'on veut mesurer une valeur
de température, il faut que l'une des extrémités serve de référence... en mesurant sa température avec
un thermomètre
Le thermomètre à infrarouge

Le thermomètre à infrarouge (que l'on appelle aussi pyromètre) ressent et mesure précisément les
rayons infrarouges. Et cela peut être très utile pour mesurer "à distance" si un câble n'est pas en train de
surchauffer dans une armoire électrique plutôt que d'aller y mettre la main.
le coeur humain;

                Le cœur est un organe creux et musculaire, il joue le rôle de pompe du système sanguin par des
contractions périodiques. Plus de 7000 litres de sang sortent du cœur par jour, à raison d’environ 5 L par
minute. Le cœur bat en moyenne 100000 fois par jour, ce qui fait qu’il peut battre plus de deux milliards
de fois dans une vie.   

Dans le corps humain, le cœur se situe dans la région thoracique, où il occupe plus précisément la
portion antéro-inférieure du médiastin (partie du corps située entre les cavités pleurales qui contiennent
les poumons). Il est situé sur la ligne médiane, un peu décalé à gauche de telle sorte que deux tiers de sa
masse sont situés du côté gauche. Le cœur est contenu dans la cavité péricardique qu'il occupe
entièrement, et il est entouré par les poumons    de chaque côté, le diaphragme en bas, le sternum en
avant, l'œsophage en arrière et les troncs artériels    en haut

Le cœur est un muscle creux contenant deux parties séparées bien qu'accolées l'une à l'autre : le « cœur
gauche » et le « cœur droit ». Ces deux « cœurs » sont situés côte-à-côte dans l'axe base-apex, séparés
par une paroi globalement verticale et orientée dans l'axe du cœur. Chacune de ces deux parties est
subdivisée en deux chambres ou cavités, l'oreillette (ou atrium) vers la base et le ventricule vers l'apex.
Ces deux cavités sont séparées par une valve ; on distingue ainsi la valve mitrale, entre l'oreillette et le
ventricule gauches, et la valve tricuspide, entre l'oreillette et le ventricule droits. L'organisation est
symétrique entre le cœur gauche et le cœur droit, bien que le cœur gauche soit plus volumineux

La fréquence cardiaque ;

La fréquence cardiaque au repos chez l'Homme est de 60 à 80 battements par minute, pour un débit de
4,5 à 5 litres de sang par minute. Au total, le cœur peut battre plus de 2 milliards de fois en une vie.
Chacun de ses battements entraîne une séquence d'événements collectivement appelés la révolution
cardiaque. Celle-ci consiste en trois étapes majeures : la systole auriculaire, la systole ventriculaire et la
diastole

Au cours de la systole auriculaire, les oreillettes se contractent et éjectent du sang vers les ventricules
(remplissage actif). Une fois le sang expulsé des oreillettes, les valves auriculo-ventriculaires entre les
oreillettes et les ventricules se ferment. Le sang continue tout de même à affluer dans les oreillettes. Ceci
évite un reflux du sang vers les oreillettes. La fermeture de ces valves produit le son familier du
battement du cœur. · La systole ventriculaire implique la contraction des ventricules, expulsant le sang
vers le système circulatoire. En fait, dans un premier temps, très bref, les valvules sigmoïdes sont
fermées. Dès que la pression à l’intérieur des ventricules dépasse la pression artérielle, les valvules
sigmoïdes s'ouvrent. Une fois le sang expulsé, les deux valves sigmoïdes - la valve pulmonaire à droite et
la valve aortique à gauche - se ferment. Ainsi le sang ne reflue pas vers les ventricules. La fermeture des
valvules sigmoïdes produit un deuxième bruit cardiaque plus aigu que le premier. La pression sanguine
augmente. · Enfin, la diastole est la relaxation de toutes les parties du cœur, permettant le remplissage
(passif) des ventricules (plus de 80 % du remplissage dans les conditions usuelles), par les oreillettes
droite et gauche et depuis les veines cave et pulmonaire

Au cours de la systole auriculaire, les oreillettes se contractent et éjectent du sang vers les ventricules
(remplissage actif). Une fois le sang expulsé des oreillettes, les valves auriculo-ventriculaires entre les
oreillettes et les ventricules se ferment. Le sang continue tout de même à affluer dans les oreillettes. Ceci
évite un reflux du sang vers les oreillettes. La fermeture de ces valves produit le son familier du
battement du cœur. · La systole ventriculaire implique la contraction des ventricules, expulsant le sang
vers le système circulatoire. En fait, dans un premier temps, très bref, les valvules sigmoïdes sont
fermées. Dès que la pression à l’intérieur des ventricules dépasse la pression artérielle, les valvules
sigmoïdes s'ouvrent. Une fois le sang expulsé, les deux valves sigmoïdes - la valve pulmonaire à droite et
la valve aortique à gauche - se ferment. Ainsi le sang ne reflue pas vers les ventricules. La fermeture des
valvules sigmoïdes produit un deuxième bruit cardiaque plus aigu que le premier. La pression sanguine
augmente. Enfin, la diastole est la relaxation de toutes les parties du cœur, permettant le remplissage
(passif) des ventricules (plus de 80 % du remplissage dans les conditions usuelles), par les oreillettes
droite et gauche et depuis les veines cave et pulmonaire. Les oreillettes se remplissent doucement et le
sang s'écoule dans les ventricules.

Le cœur au repos passe un tiers du temps en systole et deux tiers en diastole

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