-Convient aux décisions complexes et à un environnement instable.
-Adapté aux organisations
moyennes avec de multiples produits. -Moins coûteuse que l’organisation produit. -Facilite l’allocation d’expertise technique rare. -Relations horizontales -Faible qualité de la décision: trop de compromis -Ralentit la prise de décision -Négociation de la matrice à chaque changement managérial -Besoin d’une mission, d’une culture forte VI- LES LIMITES DES THEORIES DE LA CONTINGENCE - Un lien reste établi entre facteurs de contingence et organisation adaptée («one best way » diversifié, adapté à chaque contexte, mais pas totalement absent). - Ces théories basées sur des études de terrain. Elles sont nombreuses et difficiles à comparer (variables explicatives similaires mais différentes, mal définies, échantillons non comparables, …). - Elles sont souvent normatives (prescriptions). - Elles souffrent d’empirisme et de faiblesse conceptuelle. - Une vision trop réductrice des organisations comme de leurs contextes – qui sont conceptualisés comme un ensemble de données technico-économiques mesurables objectivement. - Les rapports entre une organisation et son contexte sont pensés comme des rapports de dépendance à sens unique, Il y a peu de considération du pouvoir de l’organisation sur l’environnement. - Une vision qui fait comme si les contraintes de la performance étaient telles qu’une organisation, sous peine de disparaître, n’avait d’autre possibilité que de s’adapter à son contexte. CONCLUSION Les théories de la contingence (Contingence = dépendance) se caractérisent par leur rupture avec les courants de pensée normatifs classiques qui prônent l'existence d'une seule forme structurelle meilleure dans tous les, pour donner comme alternative le principe selon lequel il n'y a pas de structure d'organisation idéale, mais autant de « best way » qu'il existe de contextes différents. L’approche par la contingence a ainsi mis fin au paradigme classique des organisations et a enrichie les enseignements de l’école des Relations Humaines. D’autres approaches vont completer l’analyse des relations entre les modes organisationnels et l’environnement en identifiant l’entreprise en tant que système ouvert sur des environnements et ce , en découpant