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Ecole Supérieure de Technologie de Salé - Avenue le Prince Héritier -BP 227 Salé Médina - Maroc
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REMERCIEMENTS
Nous remercions avant tous Dieu le tout puissant pour la volonté, la santé et la
patience ce qui nous a permis d’en arriver jusque-là. Ainsi que nos parents pour
leur aide, leur patience, leur tendresse et leur amour.
Exclusivement :
Tous les enseignants qui ont contribué à notre formation et sans oublier tous les
membres de l’Ecole Supérieure de Technologie Salé et surtout Département
Maintenance Industrielle pour leur soutien et leurs efforts
DEDICACES
Mots-clefs : 5 mots-clefs
TABLE DES MATIERES
6
LISTE DES ABREVIATIONS
I
LISTE DES TABLEAUX
Titre Page
Tableau I : Combustions complète et incomplète. 4
…..
II
LISTE DES FIGURES
Titre Page
III
INTRODUCTION GENERALE
Il existe plusieurs types de détecteur d’incendie comme des détecteurs de chaleur, des
détecteurs de flamme ou des détecteurs de fumée optique et ionique. Malgré le rôle
important joué par ces détecteurs pour prévenir les risques d’incendie, aucun ne peut être
utilisé en toutes circonstances et pour tous types de feux.
Parmi ces détecteurs, le détecteur optique de fumée fonctionne grâce à une barrière
infrarouge est constituée d'une diode infrarouge permettant d'obtenir un faisceau
infrarouge et d'un phototransistor permettant de contrôler la présence ou l'absence de ce
faisceau. Lorsqu’il est interrompu, le détecteur se comporte comme un système d’alarme,
au même temps il envoie un signal à un autre système d’alarme qui rester toujours
allumer, grâce à un émetteur récepteur.
Notre objectif dans ce projet consiste donc à réaliser trois cartes électroniques
distinctes (une pour le détecteur, une pour l’émetteur et l’autre pour le récepteur).
Ce mémoire est structuré de la façon suivante :
Le premier chapitre sera consacré à des généralités
Le deuxième chapitre a pour but l’étude détaillée du détecteur
Le troisième chapitre fait l’objet de la conception et la réalisation d’un détecteur de fumé.
Et enfin nous terminons notre travail par une conclusion générale.
a) Signal analogique
Un signal est dit analogique si l’amplitude de la grandeur physique le représentant peut
prendre une infinité de valeurs dans un intervalle donné
Signal continu : c’est la forme de ce signal qui varie lentement dans le temps :
température, débit, niveau
Forme : c’est la forme de ce signal qui est important : pression, chromatographie,
impact
Fréquentiel : c’est le spectre fréquentiel qui transporte l’information désirée : analyse
vocale, sonar, spectrographie.
b) Signal numérique :
Un signal est numérique si l’amplitude de la grandeur physique le représentant ne peut
prendre qu’un nombre fini de valeurs. En générale ce nombre fini de valeurs est une puissance
de 2.
Du point de vue électrique, deux types de capteur existent. Le premier type est dit
capteur passif. Il s’agit de capteur dont la grandeur de sortie est une variation résistance ou
une impédance. Il constitue des éléments passifs d’un circuit électrique. Ce circuit a pour rôle
de leur apporter une énergie pour convertir la variation d’impédance en une variation de
tension ou de courant. Le modèle électrique équivalent est celui d’un dipôle dont l’impédance
équivalente varie en fonction du mesurande. Le circuit porte le nom de conditionneur.
A l’inverse les capteurs actifs fournissent en sortie une tension ou un courant. Il prélève
une partie de l’énergie utilisée par la grandeur physique à mesurer pour la transformée en
énergie électrique. Le modèle électrique de ce type de capteur que l’on nomme aussi
transducteur est un générateur équivalent soit de Thévenin pour les tensions, soit de Norton
pour les courants.
II.3 Principales caractéristiques des capteurs :
a) L’étendue de la mesure : C’est la différence entre le plus petit signal dét !ecté et le plus
grand signal perceptible, sans risque de destruction pour capteur.
b) La sensibilité : C’est la plus petite variation d’une grandeur physique que peut détecter un
capteur.
c) la rapidité : C’est le temps de réaction d’un capteur entre la variation de la grandeur
physique qu’il mesure et l’instant ou l’information est prise en compte par la partie
commande.
d) la précision : C’est la capacité de répétition d’une information, position, d’une vitesse.
Substrat : Il existe plusieurs substrats possibles pour le dépôt d'oxydes métalliques sensibles aux gaz,
comme Al2O3, Si, MgO, ZrO, saphir, quartz, verres, ou d'autres céramiques.
Electrodes de contact : Les électrodes vont permettre d’établir un contact électrique avec la couche
sensible de manière à mesurer sa réponse au gaz en conduisant les charges du matériau hôte au
circuit de mesure extérieur. Elles sont souvent en or ou en platine, mais on peut en trouver en
tungstène ou en aluminium.
- Principe de détection :
Lorsqu’un capteur de gaz MOX est placé dans un environnement gazeux, un phénomène
d’adsorption des molécules de gaz a lieu à la surface de la couche métallique. Cette adsorption
conduit à des interactions entre le gaz et la couche sensible qui se traduit par des échanges
d’électrons et provoque par la suite des modifications de la résistance de la couche. On détaillera,
par la suite, ces mécanismes de physique de surface pour mieux comprendre le fonctionnement d’un
capteur de gaz. Selon l’énergie mise en jeu pendant l’interaction entre le gaz et la couche sensible,
on peut trouver deux types d’adsorption :
Lorsque des gaz réducteurs sont présents, ces atomes d'oxygène réagissent avec les gaz
réducteurs, ce qui diminue la densité de surface de l'oxygène adsorbé. Le courant peut
maintenant circuler à travers le capteur, ce qui a généré des valeurs de tension analogiques.
Ces valeurs de tension sont mesurées pour connaître la concentration de gaz. Les valeurs de
tension sont plus élevées lorsque la concentration de gaz est élevée.
-Domaine d’application :
Ces capteurs sont utilisés pour détecter la présence de gaz dans l'air tels que le méthane, le
butane, le GPL et la fumée mais ils sont incapables de faire la distinction entre les gaz. Ainsi,
ils ne peuvent pas dire de quel gaz il s'agit.
Ce capteur est également utilisé pour la surveillance de la qualité de l'air, l'alarme de fuite
de gaz et pour le maintien des normes environnementales dans les hôpitaux. Dans les
industries, ils sont utilisés pour détecter les fuites de gaz nocifs.
IV. Conclusion :
Dans ce chapitre nous avons présenté les principales familles des capteurs, en particulier
les capteurs de gaz ainsi que leurs performances. En ce qui concerne les capteurs de gaz MQ2
il sont les plus vendues et les plus étudies en recherche. Alors nous avons consacré une partie
du chapitre suivant parlant sur la structure de ce type de capteur et son principe de
fonctionnement.
Détecteur de fumée
Ce chapitre traite des événements qui pourraient résulter d'écoulement des cargaisons et
des procédures qui peuvent être adoptées pour protéger la vie et les biens dans de telles
circonstances. Il décrit également les types d'incendie susceptibles de se produire à bord d'un
bateau-citerne transportant du gaz.
Le feu est une formidable source d’énergie utilisée par l’homme depuis des centaines de
milliers d’année (400 millions). Il est créé par une réaction d’oxydation exothermique qui se
déclenche lorsque trois éléments nécessaires sont réunis : (1) le combustible, (2) le comburant
et (3) une source d’énergie d’activation. Cela est schématisé sur la figure 1.
L’incendie est rapide. Il suffit de quelques minutes pour qu’il envahisse un habitat et
devienne incontrôlable. Il est chaud, sa température peut atteindre 600°C en moins de 5
minutes provoquant des brûlures graves aux poumons pour les personnes présentes. Il dégage
des fumées toxiques qui perturbent le fonctionnement mental, moteur et sensoriel des
victimes. La fumée contient des suies noires qui font qu’en quelques minutes tout devient
sombre même en plein jour, rendant difficile l’évacuation.
a) Détecteur infrarouge :
Les détecteurs d’infrarouges sont essentiellement composés d’un filtre et d’un système de
lentilles qui élimine les longueurs d’ondes indésirables et focalise l’énergie entrante sur une
cellule photovoltaïque, photo-résistive sensible à l’infrarouge. Cela est schématisé sur la
figure 2.
Figure 9 :DTIR .
b) Détecteurs ultraviolets :
Les détecteurs d’ultraviolets sont des dispositifs solides tels que le carbure de silicium ou
le nitrure d’aluminium, ou des tubes de gaz qui s’ionisent en présence de radiations
ultraviolettes. Les détecteurs d’ultraviolets sont opérationnels dans une gamme de longueurs
d'ondes allant de 0,11 µm à 0,30 µm. Ils sont donc pratiquement insensibles aux lumières
artificielles ou au soleil.
Les détecteurs de fumées sont plus coûteux que les détecteurs de chaleur, mais leur temps
de réponse est de l’ordre de quelques secondes. C’est pourquoi les détecteurs de fumée sont
très efficaces dans les endroits où la protection des personnes est primordiale. Leur
emplacement est très important car les courants d’air peuvent affecter la direction des flux de
fumée et doivent donc être pris en considération. Les détecteurs de fumées ne servent pas qu’à
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prévenir d’un danger, ils sont également utilisés dans les systèmes de ventilation automatique
des grands bâtiments pour empêcher la circulation de fumée de l’extérieur vers l’intérieur.
Une fois la fumée détectée l’appareil se met automatiquement en route pour faire sortir la
fumée du bâtiment.
Leur emplacement :
Figure 12 : Emplacement.
Les détecteurs de fumée sont classifiés selon leur principe d’exploitation. Il en existe deux
types principaux : 1 à ionisation et 2 photoélectrique. Chacun de ces deux types de détecteurs
à ses propres utilisations. En général, les détecteurs photoélectriques donnent une réponse
plus rapide pour les feux couvant car ces feux produisent généralement une grande quantité de
particules visibles et de grande taille. En revanche les détecteurs de fumée ioniques répondent
plus rapidement aux feux vifs qui produisent des particules de fumée noires et de plus petite
taille.
Les détecteurs ioniques réagissent aux composants de fumée qu’ils soient visibles ou
invisibles. Ils détectent plus rapidement les particules de petites tailles que les détecteurs
optiques. Ils répondent mieux aux particules de tailles entre 0,01 et 1,0 µm.
a) Causes de l’incendie :
L'incendie est une combustion qui se développe sans contrôle dans le temps ni dans l'espace.
La combustion est une réaction chimique d'oxydation d'un combustible par un comburant,
nécessitant une source d'énergie pour être initiée.
Pour que « ça brûle », il faut donc du combustible, du comburant et une source d'énergie.
C'est ce que l'on appelle le « triangle du feu ».
L'absence d'un des 3 éléments du triangle empêche le déclenchement de la combustion
L'effet lumineux des flammes constitue également un danger pour les yeux.
La destruction des bâtiments et des biens représente un tribut important payé à l'incendie. La
protection contre l'incendie.
nécessite de connaître la charge calorifique et le comportement au feu des matériaux et des
éléments de construction.
Bien sûr nous vous rappelons que les conséquences sur les bâtiments, c'est d'abord la
destruction du bien. alors après entre en compte le remboursement des assurances et la
conformité des lieux en thermes de matériel de sécurité et de maintenance. nous ne
connaissons pas la fiabilité de notre compagnie d'assurance, temps que nous ne sommes pas
confrontés au sinistre.
- Les extincteurs :
Un extincteur est un appareil qui permet, sous l’effet d’une pression intérieure, de projeter et
de diriger un agent extincteur sur un foyer d’incendie . Cette pression intérieure peut être
fournie par une compression préalable, par une réaction chimique ou par la libération d’un
gaz.
Les extincteurs dits à « pression permanente » puisque l’appareil est toujours sous pression.
L’agent extincteur est en permanence poussé dans le tube plongeur par le gaz sous pression.
Fonctionnement : dégoupillez et essayez l’extincteur avant d’attaquer un feu.
Les extincteurs dits à « pression auxiliaire » entrent sous pression après la percussion de la «
sparklet » libérant du CO2.
IV. Conclusion :
De ce qui précède on peut conclure, que les objectifs de sécurité incendie sont de réduire
les pertes en vies humaines et en biens, ainsi que les pertes financières dans les incendies de
bâti- ment ou de leur voisinage. C'est pourquoi ces mesures de conception techniques et
d'organisation préventives contre l'incendie gaz sont nécessaire et doivent être mise en place
par les maîtres d'ouvrages ; comme les capteurs de gaz dont on a abordé les performances
dans ce chapitre et plus précisément le module capteur MQ2 capable de détecter plusieurs
types de gaz et qui peut être contrôlé par un microcontrôleur ou une carte programmable
Avant de faire le choix du « comment », il faut d’abords bien exprimer le besoin afin de se
limiter aux normes citer dans le cahier de charge.
2. Validation du besoin :
Pour valider l'expression du besoin, la méthode propose de se poser les trois questions
complémentaires :
Cette question permet de valider l’effet de l’utilisation du produit sur la matière d’œuvre.
Le produit existe car la matière d’œuvre évolue.
Cette question permet de valider la stabilité du besoin donc de la grandeur physique qui
évolue lors de l’utilisation du produit. Cette question permet d’anticiper les évolutions du
besoin.
Cette question permet de valider la pérennité du besoin. Elle assure la pertinence de l’étude
qui débute.
3. Caractérisation du besoin :
4. Diagramme de pieuvre :
Cette étape est la plus importante dans l’étude fonctionnelle externe, ce diagramme a un
autre nom c’est le diagramme des interacteurs, ou on analyse le cahier de charge et les
fonctions contraintes sur le produit afin de trouver des solutions technologiques convenable
pour les deux.
Critère Valeur
Température à l’état
50°C
normale
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1. Cahier de charge fonctionnelle :
Le CDCF et un document ou le demandeur exprime son besoin en termes des FC et
FP.
1. FAST :
Le diagramme FAST est un type de diagramme qui présente une manière de penser,
d'agir, ou de parler. Le diagramme FAST se construit de gauche à droite, dans la logique
suivante : du "pourquoi" au "comment ». Il constitue alors un ensemble
de données essentielles permettant d'avoir une bonne connaissance d'un produit complexe et
ainsi de pouvoir améliorer la solution proposée.
2. SADT :
La méthode SADT est un outil graphique associé à une méthode d'analyse descendante
modulaire et hiérarchisée (Design se traduit ici par conception). Il permet de représenter un
modèle (image de la réalité) du système réel.
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Niveau A0 :
Niveau A1 :
3. Chaine fonctionnelle :
VI. Conclusion :
CHAPITRE VI :
Le système d'alarme est un excellent moyen pour protéger une habitation. Un détecteur de
fumée de base se compose généralement de quatre partie, l’unité de mesure, d’alarme et
d’actionneur. Une fois déclenché, le système d'alarme active une le buzzer et envoi un SMS
de sécurité vers le téléphone du propriétaire.
1) Eléments de mesures
Capteur MQ2 :
Le module principal de notre système, présenté dans le première chapitre
spécialisé pour la détection de plusieurs gaz (H2, GPL, CH4, CO, alcool, la fumée,
propane et air
Capteur DTH22 :
Le capteur de température et d'humidité DHT22 (ou AM2302) communique avec un
microcontrôleur via un port série. Le capteur est calibré et ne nécessite pas de composants
supplémentaires pour pouvoir être utilisé.
Caractéristiques :
Alimentation : 3,3 à 6 Vcc
Consommation maxi : 1,5 mA
Consommation au repos : 50 µA
Plage de mesure :
- température : -40 à +80 °C
- humidité : 0 à 100 % RH
Précision :
- température : ± 0,5 °C
- humidité : ± 2 % RH
Dimensions : 25 x 15 x 9 mm
Figure 28: le module DHT22.
2) Eléments d’alarme :
Alarme sonore :
Type : Buzzer actif 5V
Tension : 3.3 - 5V
Courant : <25mA
Dimensions : 12 x 9 mm
Figure 30 : Buzzer .
Afficheur LCD
Caractéristiques :
Nombre de ligne : 2.
Nombre de caractères par ligne : 16.
Contrôleur : SPLC780D.
Rétroéclairage : LED Jeune-Vert.
Dimension : 80 x 11 x 36mm.
3) Actionneurs :
Ventilateur :
III.Simulation :
1-Simulation sous PROTEUS ISIS :
3- Mise en marche :
- (01) Carte Arduino Uno ;
- (01) LCD 2*16, I2C ;
- (01) LEDs rouge, verte ;
- (02) Ventilateur ;
-(01) électrovanne ;
-(01) pompe ;
4- Test de validité :
La réalisation matérielle est faite en premier lieu, chaque composant est réalisé et testé
séparément, les montages sont d’abord construits sur des "breadboard" ou cartes de montage
expérimental.
Pour simplifier notre schéma nous avons utilisé le protocole I2C qui est basé sur un
bus de communication sériel, ce qui signifie qu’un seul câble est utilisé pour le transfert de
données.
En pratique, le bus I2C est constitué de deux câbles, un donc pour les données, nommé
SDA (Serial Data) et l’autre faisant office d’horloge pour déterminer la fréquence de la
communication, nommé SCL (Serial Clock).
Test du capteur de gaz MQ2 :
Pour tester le capteur de gaz, nous avons simplement utilisé un briquet de gaz butane
pour pouvoir activer le buzzer et la led rouge
Pour tester le DHT11 nous avons utilisé le feu du briquet comme source de chaleur pour
varier la température, puis on suit la variation des valeurs à travers le moniteur de l’IDE.
Test des ventilateurs :
Les ventilateurs de 5V sont moins fréquents, c’est pour cela qu’on était contraint d’utiliser
des relais ; Le relais contient une bobine électrique, qui génère un champ magnétique. Quand
le champ magnétique est en place, cela déplace une pièce métallique à l’intérieur du relais, de
sorte que celle-ci ouvre ou ferme un circuit électrique. Ce dernier nous permettra d’exploiter
la tension délivrer par un transformateur de de 19V pour activer les ventilateurs.
Test du module GSM900a :
V. Conclusion :
Conclusion Générale,
Dès l’aube de l’humanité, l’homme cherche à se protéger et a protéger ses propriétés
contre les risques les dangers afin d’éviter au maximum les dégâts Pour cela nous nous
Comme perspective nous pouvons signaler que ce travail peut être amélioré ; etpuisque la
température constitue une information importante, certains procèdes industriels ou
biologiques favorisent des environnements de températures spécifiques, la régulation de
température donc s’impose, nous proposons d’ajouter la régulation automatique de la
température ainsi que le développement une plateforme de supervision.
Ouvrages imprimés
[1] NOM, Prénom des auteurs, ‘Titre de l’ouvrage souligné en italique’. Lieu d'édition :
Éditeur, Année de publication (en cas où il est disponible sur internet, ajouter son adresse
web : <http://www.URL.edu>).
Rapports imprimés
[2] NOM, Prénom des auteurs, ‘Titre du rapport souligné en italique’. Lieu de publication,
Année de publication.
Travaux universitaires
[3] NOM, Prénom des auteurs, ‘Titre du travail souligné en italique’ Nature du travail (thèse,
mémoire, PFE, …), Université de soutenance, Année de soutenance.
Articles de périodiques
[4] NOM, Prénom des auteurs, ‘Titre de l’article souligné en italique’, Année, vol. volume
et/ou N° numéro, pagination. (En cas où il est disponible sur internet, ajouter son adresse
web : <http://www.URL.edu>).
Communication dans un congrès
[5] NOM, Prénom des auteurs, ‘Titre de la communication souligné en italique’. Dans :
Titre du congrès, Lieu du congrès, Date du congrès, pagination. (En cas où il est
disponible sur internet, ajouter son adresse web : <http://www.URL.edu>).
Sites web consultés
[6] AUTEUR. (ou ORGANISME). ‘Titre de la page d'accueil souligné en italique’. Adresse
web : <http://www.URL.edu>