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A . ·. L .·. G .·. D .·. G .·. A .·. D .·. L .·. UN .·.

Plan de formation pour les Maïtres


CAHIER Des Maïtre MAÇONS

Preparé par :Véné :. Almonor Stanley Jerry


et tirez aussi des livres

Maitre Maçon est Basée sur l e silence méditatif ,silence de mort.


Petite Mystère =la mort ; la connaissance de soi
Magister → Mage ,Magie ,Maitre ,La mort, Le sage.
Maitrise→ Thème→ la mort, la tristesse (noire -deuil) de notre maitre Hiram Abif en maitrise on chantait
Libera, on descendre dans les entrailles de la terre(Baphomet,Telleurique terrestre, Saturien)
Accacia →symbole de l’immortalité ,arbre ,l’huile
Psaume des maitres →psaume 130 âge 7 ans et plus
Pour Tenue → Eclésias 12-14
Pour augmentation→1 Roi
Planche à Tracer : Représentation (rite funéraire) Urne (cendre) Mausolée ,Cataphale ,
Cercueil → régénéré(enterrement) Coffre quand il a de personnes à l’Intérieure (enterrement) Madoulè à moi
ti boite que les C.P . utilisent planche à tracer en vibration c’est un char avion mot du Boite c’est

MERKABA ( voyager) Sénophetac ou cerceuil fermée (enterrement)


· Les anges qui sont à la recherche de Lilith →SENOY-SANSENOY- SEMANGELOF
Adonai Haareth→ commandeur du temple
Abandon→ ange de la mort
la connaissance de soi→ Connais toi ,toi-même ensuite tu connaitras la nature des dieux et de l’Univers
La femme→ qui gère se dégrée c’est la belle vénusienne
Symbolise du Grade→ La légendre d’Hiram Habif ou sémen kerêt fils de lumière Architecte du temple né en
999 avant Jésus Christ on n’a pas trouvé grand-chose sur la Legendre le Maitre Hiram qui supervisait les
travaux du compagnons pendant la pause des compagnons vers 12h45 Il y avait 3 compagnons postaient à
porte des 3 portes du temple un à l’occident ,midi et à l’Orient les Compagnons qui voulaient avoir le mot d u
maitre Hiram ce de l’occident de mande au maitre Hiram’’ pou tout tan n’ap travail ak ou nou vle nou banm
mot met la nou vle ogmante’ Selon le Maitre ‘tan lè nou ‘ donne un coup de règle métallique à l’épaule
gauche pour d’autre c’est l’épaule droite peu n’importe (kibite)vers le midi l’autre pose la même question
donne la même réponse et donne une équerre métallique à la nuque et fauche par ses pas(kibite) partir vers
l’orient pose aussi la même question ,la même réponse des deux autres ainsi il donnait une maillet métallique
pour d’autre c’est un compas qu’on fonce dans son cœur. Après la mort le Roi Salomon envoie 9 maitres pour
d’autre historien c’est 12 maitres et c’est le roi Salomon qui a donné l’ordre au 3 compagnons de tuer le
maitre Hiram pour question de Jalousie de la Reine Shebbat ou Shabbat.
AKIKO →immortalité→ la femme cosmique→ la nature
En Chambre de maitre on est en Deuil on es en chambre du milieu → il y a la batterie de Deuil sur l’épaule
gauche pour tenue batterie normale mais très très bas, faible ; acclamation : Gémisson (3 fois)mais Espéron
en chambre maitre à l’orient c’est le Débile à l’occident et sur les colonnes c’est le Hikale
Et puissant ils sceller les portes de la demeure du mal
Que lumière Amour et Puissance restaurent le plan sur la terre
Invocation des Maîtres
Du foyer de la lumière dans la pensée de Dieu
Que la lumière afflue dans la pensée des hommes
Que la lumière descende sur la terre
Du foyer d’amour dans le Coeur de Dieu
Que l’amour afflue dans le Coeur des hommes
Puisse le Christ revenir sur la terre
Du centre où l’on sait la volonté de Dieu
Qu’un dessein guide le faible vouloir des hommes
Le dessein que les maîtres connaissent et servent
Du centre que nous appelons la race des hommes
Que le plan de lumière et d’amour prennent corps
l’ancien mot de maître→ Jéhovah, il signifie Grd Architecte
l’ancienne passe→3593, elle signifiait le nombre des maîtres qui étaient pour veiller aux ouvriers et qui
recevaient la paye de Maître
Pour le Tuilage → Il y a5 points parfaits

Pour G.O.D. on reste debout pour le tuilage


Pour le Rite Memphis Misraim et le Rite Français Moderne Actualisée→ on reste assit pied croisés main au
visage comme on est triste siggat et groge en main
Mot du siggat : Makaba, mot maitre ,Mack benak ,mot 30eme ou T.k.
Les maitres maçons s’appellent →GABAHON et sa femme GABAHONE
Bouteille Maitre :7 Têtes l’aigne ,1 formole, 1 alcali. Clairin ,3 feuilles trompettes, 7-9 ou21 citrons, Capitaine
Zombi, zombi nourrisse, 3 ou 7 Têtes arransos pilés,3 nephtalies,3 jours soleils, 3 jours sereins ou dans la
vallée sous la racine trompette.
Accusation des Compagnons : mains souiller trahir par le sang du maitre assassiné
Les neuf maitres : Booz( la force est en Dieu), Jackin( stabilité ,ferme), Mohabon (qui vient du Père), Azaria ou
anigame( aide de Dieu ou affliction du peuple) , Isch’ng(le chacal), Aqal ( il Dévore ), Obed Edom(servent), et
Johaben Ioram (le plus Elevé)
3 grands maitres→ JABULUM,JOHABEM,STOLKING
9 maitres Architectes→ ADONAI, EHEJAH,EL HANNAN,ELIAH,JAH,JAHEB,JAHA,JOBEL,IOD
Pour porter un cerceuil →mot maitre ou le vraie mot maître, Haramra bimbo
Hades ou Fades→ Dieu du ténèbre
EXU → mot de passe pour cimetière
EXU CHANANPA→ mot pour entrer en cimetière
EXU CHANAÏM→ mot pour sortir + remerciement
Haramra→ génie du vallée
Ti Jean Brutus→ loa cimetière
Un Maitre maçon jour spéciale de travailler 3 jours et aussi en grand Caille→
LUNDI→BARON+ CRIMINEL ,CHEF BANDIT
MERCREDI→CRANE FEMME,(BORAN) BRIGITTE,CLARINETTE
SAMEDI→ BARON SAMEDI, (TRAVAUX )
Pour traverser un cerceuil→ ADON –MACHA-CUMI, MARC BENAK ,MO-HA-BON après ou tomber avec le
signe d’horreure : MARC BENAK ,ELOHA ADONAI →louange à toi Seigneur
Anormal : Coucher par terre en visualisant que tu es à l’intérieure du cerceuil et faire 3 inspirations et
expiration après un peu de temps ,allez baigner avec du savon blanc.
HARAMRA→ rite funéraire
EXU-ASTARTE→ cimetière ,et rue
Eloha→ mot pour sièger le Mtre :. Cer :. Dans un tenue
Heredon→pour caffour
Adonai Naaretz→ lorsqu’on frappe un baton quand on marche
Pour tuer un corp→ AMETH
Pour Revenir le corp→ APROSONORIFISI
Pour sortir pour qu’on ne vous voie pas ou une squelette dire: La chaire qui les os (en visualisant qu’on retire
votre peau de la tête au pied ) en arrivant on faire le contraire la chaire recouvre les os en visualisant qu’on
recouvre les os du pied à la tête.

Les 3 Genies de l’Occident→Sachet→Sequet,Schou→Chou, Ascentase→Asentaïser


Mot Maitre Carrefour →MENTRIEM
Les 7 Grands maitres→Mathrem :
M :elchusedek
A :aron
T :ubalcain
H :enock
R :uth
E :lit
M :oise
Guiblime →homme de Gebal ou maitre Excellent 1 Roi 5-32 Ez32 Josué 13-5
Mot Mohabon→ se décompose ,la chaire qui les Os
Mac Benack→ Pourri jusqu’aux Os, putréfaction ,le fils , putréfaction
Mahaboneh→ se décompose
Tubalcain→ au centre du forgeron en possession de ( la nature renait en vous par les entrailles de la terre).
ABA EBEL→ Seigneur de la terre
Mot pour les officiers :
1 er Surv. :Jackin - Ièvè-Zebaoth
2eme Surv :. : Booz- El ou) - RUTH.
Mtre Cer :. : Obed Edom; Eloha(tenue) – Aramra(enterrement)- ; Heredom (la rue) Exu – ASTARTE(cimetière)
Aumonier et tresorier : Iskin’ng; Adonaï Ha Aretz
Secretaire : Stolking; Elohim-Gibor
Orateur: Johaben ; Iah- Anna
Les Diacres : Aqual
Expert : Azaria
G:.Temple : Mohabon
Adon Hiram→ Seigneur, roi de Thir
Selon le rituel de Don Con c’est 12 Maitres -12 mois -3moisx9 maitres les maitres voyagent sur toutes la
surface de la terre
Le vrai mot maitre Marc Benack

LIBERA POUR LES MAITRES


Libera me ,Domine de morte aeterna in die illa tremendia
Quando caeli movendi sunt,et terra
Dum veneris judicare saeculum per ignem
Trements factus sum ego et timeo
Dum discussio venerit atque ventura ira
Quando caeli movendi sunt et terra
Dies illa ,dies irae ,calamitatis et miseriae dies magna et amara valde
Dm veneris judicare saeculum per ignem
Requiem aeternam dona eis ,Domines et tux perpetua luceat eis
Après on dit :
Libera……………………(jusqu’àtremens factus……)
Kyrie eleison Christe ,eleison kyrie oleison
Et ne nos inducas in tentaionnen
Sed Libera nos a malo
Aprta in feri .Erue ,Domine,animam ejus
Requiescat in pace –Amen
Domine ,exaudi orationem meam
Et clamor meus ad te veniat
Dominus Vobiscum .Et cum spiritu tuo
Couleur Abîment d’un maitre → noir, bleu marin attirée sur noir Chapeau noir
Pourquoi le Maître Maçon doit-il Porter un Chapeau ?
C’est établit le contacte avec le très Haut ,L’une des choses qui peut intriguer le jeune Maître-Maçon, parmi
de nombreuses autres, est le fait que le Franc-Maçon reste couvert en Chambre du Milieu. Tout au moins
dans le Rite qui est le notre, le Rite Écossais Ancien et Accepté.
Ceci ne laisse pas d’être surprenant, car habituellement le couvre-chef marque la supériorité, l’autorité, et
l'on pourrait penser que seul le Très vénérable Maître ait le droit de rester couvert. Naturellement on peut y
voir le signe de l’égalité de tous les Maîtres-Maçons, mais, si l’explication est valable, elle reste certainement
un peu courte.
Plus symboliquement, on peut considérer que le chapeau rappelle par sa forme le dôme, et donc la sphère
céleste; il symbolise alors le ciel, domaine du divin. L’homme qui le porte devient alors médiateur entre la
terre et le ciel, ce qui justifie :
__d’une part le sens de commandement et de supériorité attaché au port d’un couvre-chef, puisque tous les
hommes ne peuvent se prétendre ainsi médiateurs entre la terre et le ciel ;
__d’autre part cela justifie également que les Maîtres-Maçons soient tous couverts : étant tous, par définition
initiés, ils peuvent tous jouer ce rôle d’intermédiaire.
Si l’on se réfère à la bible, le grand-prêtre portait lui aussi un couvre-chef. Ce n’est que vers le 2ème siècle de
notre ère que le port du chapeau commença à être étendu à tous, à la suite d’une discussion talmudique
(traité « Chabbat »), sur le respect et la « crainte » de Dieu. Ainsi lorsqu’au moyen-âge la coutume fut adoptée
par tous les juifs on put à la fois considérer que tous étaient semblables au grand-prêtre; et en même temps,
suivant la tradition, affirmer que le chapeau rappelait qu’il y avait toujours quelque chose entre l’homme et
Dieu.
Le chapeau est aussi le substitut de la couronne, symbole de royauté, à la fois temporelle et spirituelle, le
Franc-Maçon visant la seconde. La couronne elle-même figure le cercle ou la sphère, et encore une fois
représente le cosmos. L’homme qui la porte peut donc être considéré comme celui qui joint la terre au ciel, et
réciproquement il conduit l’influx venu du ciel vers la terre. En ce sens l’homme qui porte le chapeau est un
homme debout, l’esprit et le regard tendus vers le ciel. Il est à ce moment une perpendiculaire vivante. La
conception suivant laquelle la ou les pointes qu’on trouve sur certaines couronnes peuvent être assimilées à
des condensateurs d’énergie, rôle attribué également aux cheveux. Vient confirmer cette interprétation : cet
afflux d’énergie spirituelle que reçoit celui qui porte la couronne/chapeau le transforme pour un temps en axe
du monde, pont entre ce qui est en haut et ce qui en bas.
Les tricornes que portaient nos Frères du XVIIIème siècle se prêtaient parfaitement à ce symbolisme. Sans
doute le chapeau est-il une forme moderne de l’ensemble calotte crânienne/corne (massacre en vénerie)
dont se coiffaient nos ancêtres. Ceux-ci se sentaient, ainsi parés, certainement investis de la puissance divine.
Le taureau, avec ses cornes, dont le nom se retrouve dans celui de la première lettre de l’alphabet hébraïque,
représentait la force, la puissance, et par extension l’énergie venue du ciel. La couronne est aussi le nom de la
plus mystérieuse des Sephiroth : Kether. Placée en haut de l’Arbre séphirothique, première manifestation de
l’En-Sof, elle est invisible, inaccessible, inconcevable pour l’homme. De plus certaines écoles de Kabbalistes
considèrent qu’elle fait partie du monde de l’émanation, monde lui même hors de notre compréhension,
puisqu’entre lui et le monde de la matérialisation, se trouvent le monde de la création et celui de la
formation. La couronne/ chapeau symbolise donc bien l’inaccessible, l’abîme qui nous sépare du Créateur.
Dès lors le couvre-chef est à la fois symbole d’élévation et d’humilité pour les Frères qui forment la Chambre
du Milieu. Élévation par l’initiation, élévation par l’évocation de ce qui nous dépasse, humilité devant le
sentiment de petitesse devant le Transcendant, et par la découverte toujours renouvelée de l’immensité de la
quête. Ce que vient souligner le fait que le Vénérable Maître qui ouvre les travaux se découvre lors de
l’invocation au Grand Architecte de l’Univers, montrant ainsi qu’il renonce à ses velléités de puissance devant
ce qu’il sait le dépasser infiniment.
Le chapeau rappelle au Franc-Maçon sa place d’homme, intermédiaire entre la terre et le ciel; microcosme,
image du macrocosme. Il lui signifie : à la fois qu’il est l’initié, l’élu c’est à dire chargé de plus de responsabilité
et de devoirs qui sont, entre autres : maintient de la Tradition, amélioration de ses connaissances, polissage
de sa pierre brute et dans le même temps lui fait se souvenir de son devoir d’humilité, je dirai de façon triviale
que le chapeau évite à la tête d’enfler, car la tête doit pouvoir continuer à entrer dans le chapeau.
Il est un autre aspect sans doute moins connu que j’aimerai évoquer : le chapeau rappelle symboliquement le
morceau de membrane amniotique que l’enfant né-coiffé a gardé sur la tête au moment de sa naissance.
Beaucoup de traditions attribuent des capacités ou des pouvoirs particuliers à ces enfants. En Islande ces
enfants ont le don de seconde-vue : ils étaient les seuls à voir les batailles livrées en esprit. Dans les steppes
sibériennes ces enfants devenaient des Chamanes. Tous étaient prédisposés aux extases.
Ces thèmes symboliques, toujours situés vers les mois d’hiver, moments où l’on célèbre les morts, se
retrouvent non seulement de l’Islande à la Sibérie mais également :
__en Russie, où l’enfant né-coiffé devient un loup-garou,
__dans le Frioul italien où le benandanti rejoint les troupes de morts, guidé par la Dame Oriente ou la Bonne
Déesse, ou voyage en esprit, lors d’extases,
__à Olbia, ville grecque sur les bords de la mer Noire, en contact étroit avec la culture Scythe où Achille avant
d’être un héros était un Dieu des morts,
__en Grèce où Ulysse est aimé de Calypso, étymologiquement « Celle qui cache ou qui voile », où Socrate se
couvre le visage avant de mourir, tout comme César ou Pompée à Rome.
Ce geste a été compris comme le besoin de séparer symboliquement le profane du sacré. Or, dans le rapport
entre initié et non initié, comme dans toute situation où la société se divise en deux groupes, il s’agit en
définitive du rapport entre les morts et les vivants. En 1578 le médecin Français Laurent Joubert suggérait un
parallélisme entre la membrane amniotique et le Suaire, confirmant ainsi qu’à travers l’extase on accède au
monde des morts.

Il est intéressant de noter que dans toutes ces cultures, on retrouve associé à cette symbolique de la
membrane/ coiffe, une quantité importante de héros boiteux, soit par blessure (Ulysse, blessé à la cuisse par
un sanglier, Héphaïstos, jeté de l’Olympe par Zeus) soit par perte d¹une chaussure ou d’une sandale, (Jason
qui se présente à son oncle usurpateur avec une seule sandale; Persée qui reçoit l’une des sandales d’Hermes
avant de combattre Gorgo.), tous héros passés par le monde des morts, et donc initiés. L’archétype en sera
Oedipe « pied transpercés ». Oedipe qui après une enfance solitaire, rencontrera la Sphinx, figure de mort, et
qui après s’être crevé les yeux deviendra un Voyant. Or nous retrouvons une claudication symbolique dans
l’initiation maçonnique lorsque le profane, un pied déchaussé ou en pantoufle, entame les trois voyages.
Ainsi, nous constatons que le port d’un couvre-chef, loin d’être une curiosité anecdotique, non seulement
symbolise à la fois l’élection du Franc-Maçon, le rappel de son humilité nécessaire et de la crainte du sacré,
mais en outre s’intègre dans un ensemble symbolique qui recouvre la totalité des rites initiatiques : naissance,
passage dans le monde des morts, renaissance comme initié, avec tous les signes caractéristiques :
claudication, extases, recherche et rassemblement d’ossements, rameaux révélateurs des cadavres, et
résurrection.
Tous ces signes se retrouvent à divers degrés dans la symbolique des trois premiers grades de la Franc-
Maçonnerie. Claudication du profane, image du royaume des morts, rappel du pourrissement et de la
renaissance, enfin recherche et découverte du Maître assassiné et sa résurrection dans le nouveau Maître.
Le chapeau du Maître Maçon en chambre du Milieu est donc le témoin de tout un passé traditionnel et
initiatique qui remonte jusqu’à l’aube de l¹humanité et il symbolise tout le parcourt initiatique du Franc-
Maçon en Loge Bleue. À ce titre il est donc un élément essentiel des décors que l’on doit porter, élément
parfois négligé, mais cependant fondamental.
-Méthode pour Tracer l'Hexagramme :

1ère Etape :

Tracez un cercle, de centre O, puis tracez le diamètre vertical du cercle, qui coupe le cercle en A et B. Prenez ensuite A
comme centre d'un cercle de rayon AO, et marquez les points C et D d'intersection de ce cercle avec celui de centre O.
Prenez enfin le point B comme centre d'un cercle de rayon BO, et marquez les points d'intersection E et F d'intersection
de ce cercle avec le cercle de départ.CATECHISME INTREPRETATIF

2ème Etape :

Effacez les traits superflus, et joignez A, E et F ensemble, et B, C et D ensemble. Vous obtenez un Hexagramme parfait:

AU GRADE DE MAÎTRE

Q- Etes-vous Maître?
R- Eprouvez-moi, l’acacia m’est connu.

Q- Pourquoi répondez-vous ainsi?

R- Parce que l’acacia est le symbole d’une indestructible, dont les mystères m’ont été dévoilés.

Q- Où avez-vous été reçu Maître?

R- Dans la chambre du milieu.

D- Quel est ce lieu?

R- Le centre où se rencontrent ceux qui ont su approfondir.

Q- Qu’avez-vous vu en entrant?

R- Deuil et consternation.

Q- Quel en était le motif?

R- La commémoration d’un lugubre évènement.

Q- Quel est cet évènement?

R- L’assassinat du Maître Hiram.

Q- Par qui fut-il assassiné?

R- Par trois Compagnons parjures.

Q- Cet assassinat est-il un fait réel?

R- C’est une fiction symbolique, profondément vrai par l’enseignement qui s’en dégage.

Q- Quel est cet enseignement ?

R- La pure tradition maçonnique, personnifiée par l’architecte du Temple de Salomon et constamment mise en péril par
l’ignorance, le fanatisme et l’ambition des maçons qui n’ont pas su comprendre la Maçonnerie, ni se dévouer à son
œuvre sublime.

Q- Que vits-vous dans le lieu où vous fûtes admis ?

R- Le tombeau d’Hiram, qu’une faible lueur éclairait.

Q- Quelles sont dimensions de ce tombeau ?

R- Trois pieds de large, cinq de profondeur et sept de longueur.

Q- A quoi font allusion ces chiffres?

R- Aux nombres proposés à la méditation des Apprentis, des Compagnons et de Maîtres.

Q- Quel rapport ces nombres ont-ils avec le tombeau d’Hiram?

R- Ce tombeau renferme le grand secret de l’initiation qui ne se découvre qu’aux penseurs capables de concilier les
antagonismes par le ternaire, de concevoir la quintessence intelligible dissimulée sous les dehors sensibles, et
d’appliquer la loi du septénaire dans le domaine de la réalisation.

Q- Quel indice fit reconnaitre le tombeau d’Hiram?

R- Une branche d’acacia plantée dans la terre fraichement remuée.


Q- Que signifie ce rameau verdoyant?

R- Il représente la survivance des énergies que la mort ne saurait détruire.

Q- Lorsqu’on vous conduisit auprès du tombeau d’Hiram, que fîtes-vous de la branche d’acacia?

R- Je m’en emparai sur l’ordre de mes conducteurs.

Q- Quel est le sens de cette action ?

R- En saisissant l’Acacia, je me rattache à tout ce qui survit de la tradition Maçonnique. Je promets ainsi d’étudier avec
ferveur la Maçonnerie dans tout ce qui subsiste de son passé, dans ses rites, ses usages et ses pratiques, sans me laisser
détourner par un archaïsme contraire au goût du jour.

Q- A quelle épreuve fûtes-vous soumis devant le tombeau d’Hiram?

R- J’eus à me justifier du soupçon d’avoir participer au complot des meurtriers du Maître.

Q- Comment avez-vous prouvé votre innocence?

R- En approchant devant le cadavre que j’ai enjambé sans crainte, fort de ma conscience.

Q- A quoi se rapporte la marche que vous avez exécutée?

R- A la révolution annuelle du soleil à travers les signes zodiaque.

Q- Quelle récompense avez-vous reçue ?

R- L’Etoile flamboyante m’a été montrée dans tout son éclat, avec la lettre G au milieu.

Q- Comment les ouvriers recevaient-ils leur salaire?

R- Par un signe, un attouchement et une parole, les Apprentis par ceux d'Apprenti et les Compagnons par ceux de leur
grade.

Q- Quelle était la décoration des colonnes?

R- Des feuilles d'Acanthe en ornaient les chapiteaux et ceux-ci étaient surmontés de pommes de Grenades sans nombre.

Q- Où avez-vous été reçu Compagnon?

R- Dans une Loge juste et parfaite.

Q- Quelle forme avait-elle?

R- Un carré long

Q- De quelle longueur était-elle?

R- De l'Orient à l'Occident

Q- De quelle largeur?

R- Du Midi au Septentrion.

Q- Quelle était sa hauteur?

R- Des pieds, des toises et des coudées sans nombre.

Q- De quoi était-elle couverte?

R- D'un dais d'azur parsemé d'Etoiles.


Q- Qui le soutenait?

R- Trois grands piliers de forme triangulaire.

Q- Comment les nommez-vous ?

R- Sagesse Force et Beauté

Q- Pourquoi les nommez-vous ainsi?

R- Sagesse pour inventer, Force pour exécuter, et Beauté pour orner.

Q- Quelle était sa profondeur?

R- De la surface de la terre au centre.

Q- Pourquoi répondez-vous ainsi?

R- C'est pour faire entendre que tous les Maçons répandus sur la terre, ne font qu'un seul peuple de Frères, régis par les
mêmes lois et par les mêmes usages.

Q- Avez-vous des ornements dans votre Loge?

R- Oui Grand Géomètre.

Q- En quel nombre?

R- Au nombre de trois.

Q- Quels sont-ils?

R- Le Pavé Mosaïque, l'Etoile Flamboyante et la Houppe Dentelée.

Q- Quel était leur usage?

R- Le Pavé Mosaïque ornait le seuil du grand portique du temple, l'Etoile Flamboyante était au milieu qui éclairait le
centre, d'où part la vraie lumière qui éclaire les quatre parties du monde et la Houppe Dentelée bordait et ornait les
extrémités.

Q- Donnez-moi l'explication morale de ces trois ornements ?

R- Le Pavée Mosaïque est l'emblème de l'union intime qui règne entre les Maçons; l'Etoile Flamboyante est l'emblème
du Grand Architecte de L'Univers qui brille d'une lumière qu'il n'emprunte que de lui seul; la Houppe Dentelée signifie le
lien qui unit tous les Maçons et n'en fait qu'une même famille sur toute la terre.

Q- Avez-vous des bijoux dans votre Loge?

R- Oui, Grand Géomètre.

Q- En quel nombre?

R- Au nombre de six, savoir trois mobiles et trois immobiles.

Q- Quels sont les bijoux mobiles?

R- L'Equerre que porte le Vénérable, le Niveau que porte le Premier Surveillant et la Perpendiculaire ou ligne d'aplomb
que porte le Second Surveillant.

Q- Quels sont les bijoux immobiles?

R- La Planche à tracer, la Pierre cubique à pointe et la Pierre brute.


Q- Quel est l'usage des bijoux mobiles?

R- L'Equerre sert à équarrir les matériaux et à mettre leurs surfaces à angles droits entre elles, le Niveau à placer
horizontalement les pierres à côté les unes des autres et la Perpendiculaire à élever les bâtiments parfaitement d'aplomb
sur leurs bases.

Q- Donnez-en l'explication au sens moral?

R- L'Equerre nous avertit que toutes nos actions doivent être réglées sur la droiture et sur la justice; le Niveau qu'il doit
régner une parfaite Egalité entre tous les Maçons, la Perpendiculaire que tous les biens nous viennent d'en haut.

Q- Quel est l'usage des bijoux immobiles?

R- La planche sent aux Maîtres pour tracer leurs plans et dessins; la Pierre Cubique à pointe sert aux Compagnons pour
aiguiser leurs outils, et la Pierre brute sert aux Apprentis pour apprendre à travailler.

Q- Que signifient-ils au Moral?

R- La Planche à tracer est l'emblème du bon exemple que nous devons à nos Frères et à tous les hommes ; la Pierre
Cubique est le symbole des soins que se donne l'homme vertueux pour effacer les traces que le vice a faites sur lui, et
corriger les passions auxquelles nous sommes tous en bute; enfin la Pierre brute est l'image de l'homme grossier et
sauvage que l'étude approfondie de lui-même peut seule polir et rendre parfait.

Q- Combien y a t-il de sortes de Maçons?

R- Il y en a de deux sortes, les uns de théorie en les autres de pratique.

Q- Qu'apprennent les Maçons de Théorie?

R- Une bonne morale qui sert à épurer nos mœurs et à nous rendre agréables à tous les hommes.

Q- Qu'est-ce qu'un Maçon de pratique?

R-C'est l'ouvrier du bâtiment.

Q- A quoi reconnaîtrai-je que vous êtes Maçon?

R- A mes signes, paroles et attouchement.

Q-Combien y a-t-il de signes dans la Maçonnerie?

R- Grand Géomètre, ils sont sans nombre, mais ils se réduisent à cinq principaux.

Q- Quels sont-ils ?

R- Le Vocal, le Guttural, le Pectoral, le Manuel et le Pédestre.

Q- A quoi servent-ils?

R- Le Vocal à donner la parole, le Guttural à donner le signe d'Apprenti, le Pectoral à donner le signe de Compagnon, le
Manuel à donner l'attouchement de l'un et de l'autre, et le Pédestre à exécuter la marche de tous deux.

Q- Combien y a-t-il de fenêtres à une Loge?

R- Trois

Q- Où sont-elles placées ?

R- A l'Orient, à l'Occident et au Midi

Q- Pourquoi n'y en a-t-il pas au Septentrion?


R- Parce que le soleil n'éclaire que faiblement cette partie.

Q- A quoi servent-elles?

R- A éclairer les ouvriers quand ils viennent au travail, pendant ou ils y sont et lorsqu'ils en sortent.

Q- Avez-vous vu votre Maître aujourd'hui ?

R- Oui, Grand Géomètre.

Q- Comment était-il habillé ?

R- D'Or et d'Azur.

Q- Que signifient ces deux couleurs?

R- L'Or signifie la Richesse, et l'Azur la Sagesse, deux dons que le Grand Architecte accorda à Salomon.

Q- Où se tiennent les Compagnons ?

R- Au Midi

Q- Pourquoi?

R- Comme plus éclairés que les Apprentis et pour servir les Maîtres.

Q- Comment servez-vous votre Maître?

R- Avec Joie, Ferveur et Liberté.

Q- Combien de temps le servez-vous?

R- Depuis le lundi matin jusqu'au samedi soir.

Q- Quel est l’âge maçonnique du Compagnon ?

R- Cinq ans.

Q- Comment avez vous acquis cet âge ?

R- En faisant les cinq voyages mystérieux autour des ouvrages et en montants les cinq premiers marches du Temple.

Q- Avez-vous reçu des gages?

R- Grand Géomètre, je suis content.

Q- Où les avez-vous reçus?

R- A la colonne - .

Q- Qu'indique cette lettre?

R- C'est l'initiale d'un mot qui sert à nous reconnaître.

Q- Dites le moi ?

R- Dites-moi la première lettre, je vous dirai la seconde.

Ils le disent par alternance: - - - - .

Q- Que signifie ce mot?


R- Il établit, il fonde. C’est le nom d’une colonne dressée à l’entrée du Temple de Salomon. Les Compagnons recevaient
près d’elle leur salaire.

Q- Dites-moi le mot de passe?

R- -- S

Q- Que signifie-t-il?

R- Nombreux comme des épis de blé.

Les Trois Portes du Temple

1 - Conte, Mythe ou Légende ?

Redéfinissons une fois de plus, et succinctement ces mots qui sont, il faut se l’avouer, les principaux moteurs du mode
spirituel de pensée de notre art.

2 - Le conte est un récit d’aventure imaginaire, destiné à distraire. C’est aussi une histoire invraisemblable et
mensongère.

3 - La légende est un récit à caractère merveilleux, ou les faits historiques sont déformés par l’imagination populaire ou
par l’invention poétique. Elle se distingue du conte en ce qu’elle présente un point d’encrage dans l’espace et dans le
temps et qu’elles sont l’objet de croyances. C’est par elle que les peuples sans écriture, transmettent aux jeunes,
l’histoire, les lois sociales de leur tribu, les croyances etc.…

4 - Le mythe, du grec muthos, récit populaire ou littéraire mettant en scène des êtres surhumains et des actions
imaginaires, dans lesquels sont transposés des évènements historiques, réels ou souhaités. Il apparaît comme l’élément
fondamental de la littérature sacrée, ésotérique et profonde. Il joue le même rôle, dans les civilisations orales que le
dogme des religions liées à l’écriture. -

5 - Le mythe, système et mode de connaissance, devient presque toujours le modèle qui structure l’action : le rite de
passage, dit mythe eschatologique, (vie/mort) par exemple, n’est rien d’autre que la reproduction vécue du Mythe de la
création. C’est pourquoi il n’a rien d’un objet inerte ou d’un dogme formel ; c’est au contraire une chose vivante
intégrée dans le rythme social, sentie et éprouvée par la collectivité. Loin d’être irréel, comme l’avait signalé, un jour, un
de nos F�en ce même atelier, et loin d’être « un tissu d’incohérences » comme certains le prétendent, il exprime plutôt
la victoire du symbolique sur l’imaginaire (voir rites funéraires et cérémonies post mortem…). Il consacre le triomphe
définitif de la vie sur la mort, du pur sur l’impur, de l’ordre sur le désordre. – Cosmogonique (relatif à la formation de
l’univers), ou cosmologique (relatif à l’astronomie qui étudie la structure de l’évolution de ce dit univers) il se situe
toujours en relation directe avec les forces qui commandent l’architecture du monde et le sens de l’univers.

Le mythe est le domaine par excellence où triomphe la symbolique.

En trois mots, et pour reprendre la synthèse d’un F�V �M� de notre L� : Le conte est un récit récréatif, la légende un récit
fédérateur, le mythe un récit fondateur. Tous contribuant à la tradition orale puis, plus tard, écrite de chaque peuple qui
les a transmis.

6 - Si je me permets d’insister sur le sens profond du mythe c’est dans le but bien précis d’appréhender au mieux ce qui
suit quant aux Trois Portes du Temple. Mais aussi et surtout pointer le doigt sur la corrélation qui existe dans les
situations Maîtres/Apprentis, Maîtres/Compagnons, Maîtres/Maîtres, car ces situations vous l’avez deviné sont les
poumons du fonctionnement de nos Loges, et donc notre propre fonctionnement intérieur vers l’équilibre, la stabilité et
l’ordre.

7 - Oui le Temple avait trois portes, l’une à l’Orient, l’autre au Midi, et la troisième à l’Occident. Cette description ne
correspond en rien avec ce que nous connaissons des temples en général, qu’ils soient égyptiens ou grecs et celui de
Salomon en particulier .- Il nous faut donc rechercher la symbolique de ces emplacements. L’ouverture de la Loge au 1er
degré nous en donne un aperçu :

● Le 2nd surveillant est placé au midi pour observer le soleil au méridien et appeler les FF� du travail à la récréation et
de la récréation au travail afin qu’ils en retirent profit et joie »

● Comme le soleil se couche à l’Occident pour fermer la carrière du jour, le 1er surveillant s’y tient pour aider le V� à
fermer la L�, payer les ouvriers et s’assurer qu’ils sont contents »

● Comme le soleil se lève à l’Orient pour ouvrir la carrière du jour, ainsi le V� M� siège à l’Orient pour ouvrir la L� et
diriger les travaux »

Au 3ème degré nous retrouvons le V�M� et les 2 surveillants acteurs, sous la forme de 3 mauvais compagnons armés de
leur outils : fil à plomb, équerre, maillet.

Mais avant d’étudier chaque porte, constatons une fois de plus l’ambivalence de celles-ci :

8 - Une porte est une ouverture dans une enceinte. Elle sert pour entrer et pour sortir. A chaque oui son non, à chaque
pavé blanc son pavé noir, à chaque qualité son défaut, pour chaque outil une arme, à chaque lumière de la Loge son
mauvais compagnon. – Mais si nous inversons les propositions : à chaque non son oui, à chaque pavé noir son pavé
blanc, à chaque défaut sa qualité, chaque arme transformée en outil, chaque mauvais compagnon devenant lumière de
la Loge. - A l’image des voies respiratoires laissant passer alternativement « l’inspire et l’expire », les portes du Temple
nous incitent à l’ouverture d’esprit et à la tolérance.

La Porte du Midi :

1 - Elle est liée au fil à plomb et au 2nd surveillant. Quel est le rôle du 2nd surveillant : éveiller les apprentis aux outils qui
se trouvent sur le chantier pour leur permettre de devenir Compagnons !

2 - Pour l’homme, on va dire normalement constitué, l’enseignement du savoir et de la connaissance, vient de l’extérieur.
C’est un processus que la vie lui a inconsciemment inculqué.- Il va donc falloir qu’il modifie ce processus naturel pour
prendre conscience que la connaissance n’est pas du prêt-à-porter qu’on peut acheter en librairie, mais que pour
l’appréhender, il doit tailler sa pierre, douloureusement, dans l’acquis de sa personnalité. - Le 2nd surveillant peut
guider, stimuler, conseiller, mais non épargner l’apprenti d’œuvrer, de voir et de construire. – Si nous sommes capable de
relater ce que nous avons appris et de le conjuguer avec notre ressenti, alors je ne vais pas dire tout est possible, mais
beaucoup de choses deviennent espérance. – Le but est d’apprendre l’art de tailler, non pas théoriquement en sachant
quoi faire, mais en le faisant ! – Le chemin maçonnique est progressif et régulier, sérieux et transparent, réaliste et
transcendant. Encore faut-il pour qu’il soit efficace bien en comprendre le principe et surtout le mettre effectivement en
application. Seulement en parler ne transforme personne, même si on en parle bien.

3- Chercher à se connaître, c’est assumer sa dimension humaine et cosmique.

4 - Etre Franc Maçon ou ne se suffire que du titre, l’engagement n’est pas le même. La connaissance exige un double
regard conscient, un regard vers le monde extérieur obscur, et un regard vers le monde intérieur lumineux. - Seule
l’expérience peut valider cette certitude. Le fil à plomb rappelle à l’apprenti qu’il doit emprunter un chemin qui
descend. Telle la masse du fil à plomb tirée vers le bas par l’attraction terrestre, le centre de gravité de l’apprenti va
glisser vers le bas, son attention ne sera plus braquée sur sa pensée mais à l’intérieur de son corps. – Il pourra ensuite,
comme au terme d’une plongée en apnée, remonter par le même chemin et découvrir à nouveau la lumière physique
qui ne lui semblera plus la même …

5 - Les relations entre les M�et les A� sont ambiguës. Les M� accueillent avec joie sincère et désintéressée les A�, alors
que les A� attendent tout des M�- Si les maîtres accomplis ne peuvent pas augmenter l’avoir des A� ils peuvent, pour la
plupart cheminer ensemble, leur rôle n’étant pas de transformer mais de créer des situations favorables à
l’enrichissement.
Le premier mauvais Compagnon nous rappelle qu’à la connaissance s’oppose l’ignorance, le rationalisme borné, la
logique rigide, le dogmatisme…

La porte de l’Occident.

1 -Cette porte est liée au niveau et au 1er Surveillant dont les rôles sont l’accompagnement des C� et le respect de
l’ordre dans le temple. Constitué de 2 outils, le fil à plomb et l’équerre il va donner l’horizontalité en plus de la verticalité
– Le C� qui tente l’expérience de l’équilibre périlleux au sommet du niveau se trouve à l’intersection de deux forces qu’il
intègre. Tout son travail initiatique consiste par rapport à la verticalité du fil à plomb qu’il a trouvé lorsqu’il était apprenti,
et qui est toujours présent, à mesurer le terrain qui l’entoure, dans le cercle autour de lui décrit par l’équerre en
mouvement comme un compas. Par rapport à cet axe intérieur, toutes les manifestations extérieures sont égales. Si l’axe
est réel ces manifestations extérieures ne peuvent le perturber, car même dans les tourments l’axe reste vertical.

2 - Le C� part donc à la découverte du monde sans risque de s’y damner.

3 -Se préparer à édifier son temple pour recevoir l’Etre en nous, c’est partir d’un terrain naturel, accidenté, envahir de
ronces et de broussailles, comme le sont notre ego et sa vision du monde. Il faut travailler à défricher, aplanir le sol,
tracer, creuser les fondations afin d’élever les murs vers le ciel.

4 - Le 1er Surveillant a la charge d’exercer un contrôle éclairé sur les travaux de ses FF :.et particulièrement les CC :.

Le second mauvais C� nous apprend qu’à la tolérance s’oppose l’étroitesse de cœur, le fanatisme, la croyance en la
possession de la vérité maçonnique, les dogmes érigés, l’esprit de sectarisme.

La porte de l’Orient

1 - Cette porte est reliée au Maillet, insigne du pouvoir temporel et au V�M� chargé de la direction des travaux en Loge.

2 - Un groupe a besoin d’être animé, dirigé. Tel un chef d’orchestre qui va donner à son ensemble la cohérence, le V�M�
va permettre à chacun de s’exprimer selon les règles établies. Par l’utilisation de la compétence de chacun il va créer une
harmonie du groupe qui rejaillira sur tous. Chacun apportera sa pierre à l’édifice en fonction de ses capacités et de l’état
de son cheminement. Les individualités continueront à exister, au lieu de s’exacerber, elles donneront sa richesse à la
Loge.

Le 3ème mauvais C� nous rappelle qu’à la direction de l’atelier s’oppose l’ambition déréglée, la formation de coterie, …

Conclusion.

1 - Le Temple avait 3 Portes. - Chacun de nous est Apprenti, Compagnon, maître. - Chacun de nous est 2nd Surveillant,
1er Surveillant, V�M�. Notre temple intérieur a 3 Portes avec 3 personnages à la fois gardiens et assassins.

2 - Le M� qui aurait pu nous guider dans la construction du temple de la connaissance et de la sagesse est là, enfoui
quelque part sous la terre qui nous compose. - Ce Maître de Lumière qui oeuvrait pour le Verbe dans l’équilibre, la
stabilité et l’ordre, a été frappé par surprise, par l’ignorance, le fanatisme et l’ambition qui affligent notre nature et
obscurcissent notre intelligence. - Dans notre temple vide, le crépuscule est tombé, la parole a été perdue, éclipsée par
des obscures émotions et la petitesse des idées, d’un mental isolé de sa source. – Seule la branche d’acacia indique
encore le lieu tout au fond de nous où palpite le cœur de l’univers blessé, où la conscience spiritualisée (1) sommeille en
attendant que nous produisions l’impulsion de vie nécessaire à sa renaissance.

3 - Cette direction indiquée par l’acacia motive nos espoirs, guide notre recherche et soutient notre courage. Nous nous
réjouissons dans les ténèbres de savoir que l’ÊTRE n’est pas mort, qu’il survit au fond de la caverne et qu’en unissant nos
efforts, nous pourrons encore le dresser en nous. Puisqu’il est possible de ressusciter la victime de nous même, nous
sommes prêts à pardonner l’impardonnable et à œuvrer dans la Joie à l’expression du Maître.

Le Temple avait 3 portes !


ntends déjà des possibles interventions me faisant remarquer que les 3 portes du temple n’existent pas. - On en parle
qu’au moment ou notre Maître Hiram est agressé et puis c’est tout. - Oserais-je rétorquer que point n’est besoin de se
substituer à St. Thomas et qu’il n’est pas nécessaire de voir pour croire ! … Elles sont puisqu’elles sont citées. - Et puis
avouons que les choses sont malgré tout bien faites, si les portes n’existent pas physiquement c’est pour éviter les
courants d’air avec les 3 fenêtres …

(1) La conscience étant la faculté qu’a l’homme d’attribuer une valeur morale à ses actes, ainsi que la perception qu’il a
de sa propre activité psychique, de son moi et de la réalité distincte de lui. - Petit à petit, avec l’initiation et son travail, il
va se spiritualiser. – Sa conscience va donc « imprimer ces progrès. Ce sont ces progrès qu’il faut « réveiller » pour
produire l’impulsion nécessaire à la « Renaissance » de son ÊTRE profond.

La vie et la mort selon la pensée chinoise

Faut-il craindre la mort? Comment vivre sa vie au mieux? Voilà deux questions essentielles sur lesquelles se sont penchés
les philosophes chinois. Leurs conclusions donnent lieu à la réflexion…

« Être, ou ne pas être, voilà la question… » pour Hamlet et la majorité des gens qui, règle générale, tiennent à la vie et
craignent la mort. Dans beaucoup de cultures, aborder le sujet de la mort reste un sujet tabou dans les conversations de
tous les jours. Mais ce n'est pas le cas pour les Chinois. Pour eux, la vie et la mort est un sujet de conversation courant.
L'approche pragmatique des Chinois est illustrée dans les dictons : La vie humaine n'est rien d'autre qu'une étape au
cours de laquelle le soleil et la lune fonctionnent comme deux projecteurs ; Nous vivons nos vies de la même manière
que l'herbe traverse les saisons du printemps à l'automne; Rien ne distingue le vieux et le jeune dans sa route vers la
tombe; On n'a pas à se réjouir de la vie, comme on n'a pas à se sentir contrarié par la mort.

Ces adages illustrent la croyance voulant que l'homme naisse pour mourir et que la vie soit simplement un voyage du
sein au tombeau, un processus naturel régi par une loi objective. Et de cette dernière, personne ne peut faire fi ou
s'échapper. Quels que soient les efforts que quelqu'un puisse déployer, chacun meurt à un moment donné. Rien d'autre
ne peut être fait : il faut suivre le processus naturel de la naissance à la mort. L'herbe pousse au printemps comme la
prime jeunesse et se flétrit à l'automne comme le début du vieil âge.

Tout cela peut sembler sinistrement réaliste, voire pessimiste, mais c'est néanmoins une attitude admise et largement
partagée par les Chinois. La conscience de la nature inéluctable de la mort leur permet d'y faire face avec philosophie.
Voir la vie humaine comme une facette de la nature et le cycle de vie de l'herbe comme reflétant le leur est en réalité
une attitude optimiste, car celle-ci dissipe la crainte de la mort elle-même.

Les origines de cette attitude

Cette philosophie naturaliste sur la vie et la mort s'enracine dans le taoïsme. Son fondateur Lao Zi (Lao-tseu) perçoit la
vie et la mort comme un phénomène naturel, la vie ne devant pas être surévaluée, et la mort, redoutée. Il dit, d'une
façon ne laissant prise à aucun doute :
L'homme arrive vivant dans le monde et mort dans la terre.

Trois sur dix vivront longtemps.

Trois sur dix vivront peu.

Et trois sur dix essaieront de vivre longtemps,

mais mourront prématurément.

Et pour quelle raison?

Parce qu'ils vont trop chercher à préserver la vie.

Seuls ceux qui dévaluent leur vie sont plus sages

Que ceux qui la surévaluent.

J'ai entendu dire que ceux qui sont bons à préserver la vie

… sont hors de portée de la mort.

Voilà le concept taoïste central de la réalité de la vie et de la mort dans lequel on critique les riches matérialistes de
perdre leur temps à « préserver excessivement la vie », ce qui se termine habituellement dans la frustration et la
déception. Observateur et critique, Lao Zi n'a pas pu faire grand-chose d'autre que de respecter son tao de sobriété et de
simplicité et de conseiller aux autres de préserver la vie en ayant une vie d'une durée normale, libre des soucis et des
inquiétudes, et de ce fait, allant au-delà de « la portée de la mort ». La sage observation L'homme arrive vivant dans le
monde et mort dans la terre mène à la conclusion que les gens devraient vivre leur vie naturellement afin de l'apprécier
pleinement. Ils ne devraient ni être intimidés par la crainte de la mort, alors qu'elle est inévitable, quoiqu'il arrive, ni
surévaluer la vie, puisque d'essayer de la conserver est futile.

Zhuang Zi (Chuang-tzu), successeur reconnu de Lao Zi, a continué à ressasser les concepts sur l'essence de l'existence
humaine. Il a conclu que tous les êtres vivants sont issus du qi –l'énergie vitale ou la source de l'être. La vie humaine est
créée d'un faisceau de qi et prend fin quand ce faisceau se disperse. Zhuang Zi est allé aussi loin que de déclarer que la
vie n'est qu'une tumeur que la mort extirpe, considérant la vie comme un processus incluant devenir, peiner, souffrir, se
retirer et passer à la tombe qui est le lieu du repos final.
Comment interpréter ces conclusions?

Cette attitude peut être interprétée comme négative, sous le prétexte qu'elle encouragerait la passivité sans espoir par
rapport à la perspective et au caractère inévitable de la mort, en considérant la vie comme quelque chose avec laquelle
on doit se tirer d'affaire grâce à une connaissance réconfortante, tel que le décrit le proverbe chinois suivant : La misère
que quelqu'un endure durant la vie n'est pas pire ou plus grande que la mort de son cœur. Attendre que l'épée de
Damoclès de la mort s'abatte et en faire un objectif signifie qu'être ou ne pas être n'est alors plus une question, puisque
vivre la vie de cette manière est en soi une sorte de mort.

Cependant, d'un autre point de vue, l'attitude taoïste envers la mort peut engendrer une attitude positive face à la vie.
L'acceptation du caractère inéluctable de la mort donne une signification et un but au passage naturel de la naissance à
la mort, ce qui motive une personne à profiter au maximum de la vie et à accorder une grande valeur à chaque minute.
Savoir que le temps s'envole et ne peut jamais être rattrapé crée un sens de mission et d'engagement social. Le
redoublement des efforts et du travail acharné qui résulte de ce savoir, afin de vivre pleinement sa vie, enrichit la
perception de la portée historique de l'existence dans la société. Transcender les limitations mortelles qui surgissent de
la mystique de la mort rend possible la gestion des épreuves, des difficultés, de la misère et des souffrances. Et en retour,
cela crée une façon de penser particulière, encore plus évidente chez les martyrs révolutionnaires et religieux qui
consacrent volontairement leurs heures à une cause noble et se sacrifient pour leurs idéaux. Dans le confucianisme, il y a
également le caractère idéalisé junzi (homme supérieur). On s'attend que cet homme se consacre sans compter dans
l'intérêt de la conservation et de l'avancement de l'humanité. Un tel esprit de dévouement ne peut provenir que d'une
conception positive de la mort.

Bref, selon la croyance taoïste, la véritable liberté spirituelle consiste à comprendre la nature de la mort et à pouvoir
vivre sans la craindre, selon le tao de l'être, plutôt que d'être tyrannisé par le spectre de la mort. Cette attitude
encourage au contraire les gens à être les maîtres de leur propre destin, ce qui leur permet d'améliorer leur qualité de
vie et de réaliser la liberté spirituelle. En conclusion, pour la réflexion personnelle, voici un autre passage de Lao Zi :

Quand des lettrés de niveau supérieur entendent parler du tao,

Ils le pratiquent avec diligence.

Quand des lettrés de niveau moyen entendent parler du tao, ils le croient à moitié.

Quand des lettrés de niveau inférieur entendent parler du tao,

ils en rient de bon coeur.

S'ils n'en riaient pas,

ce ne serait pas le tao.

TROISIÈME DEGRÉ : Maître franc-maçon

�Je me repens de la part de mes ancêtres pour leur implication dans le troisième

degré, celui de Maître maçon.

� Je renonce au fait qu’ils soient entrés dans ce degré en utilisant le mot de passe

‘Tubal Caïn’ et je renonce à ce mot de passe. Je brise son contrôle sur tous les pactes de

sang sur ma lignée familiale.

Note : Tubal Caïn, descendant de Caïn (Gen 4 :22), forgeron, est en Franc-Maçonnerie
estimé être l’ancêtre d’Hiram Abiff, le constructeur du temple de Salomon. C’est grâce aux

enseignements secrets de Tubal Caïn qu’Hiram aurait construit la mer de bronze du temple (2

Ch 4). La F.M. enseigne que seul Hiram possédait la formule nécessaire pour transformer

cette mer de bronze, de telle sorte qu’elle pouvait purifier l’âme et que ceux qui se jetteraient

dedans auraient une jeunesse éternelle. Le plan de Hiram aurait été trahi par des compagnons,

ce qui produisit un accident terrible. Hiram aurait alors entendu la voix de son ancêtre Tubal

Caïn l’invitant à sauter dans les flammes. Il aurait été conduit, à travers neuf couches

semblables à des voûtes, au centre de la terre où il aurait retrouvé Caïn, l’ancêtre fondateur de

sa famille, qui l’aurait initié et lui aurait remis un nouveau MARTEAU ET UN NOUVEAU

VERBE. La prophétie que lui aurait donné ce Caïn mort est une parodie blasphématoire de

l’Evangile. Hiram, dans la F.M. est censé s’être réincarné dans Lazare, l’ami de Jésus. Son

marteau s’était alors transformé en Croix et le disque sur lequel était inscrit le Verbe s’était

transformé en Rose. De ces croyances occultes est sorti la Rose-Croix !

Rappelons que l’invocation des morts, dans la Bible, est une abomination, et que la

réincarnation est un mythe mensonger puisque « Il est donné à l’homme de mourir une seule

fois, après quoi vient le jugement » (Héb 9 :27). Rappelons aussi que l’âme d’une personne

ne peut être purifiée que par le sang de Jésus, à travers la repentance et la reconnaissance de

l’oeuvre de la Croix de Golgotha.

�J’enlève la cagoule noire et les robes et ce câble qui a été enroulé trois fois autour de

la taille ou du cou.

(Note : rappelons l’image du câble qui enserre la terre dans le symbole de l’aigle à

deux têtes dans le grand Orient. L’aigle à deux têtes, introduit en maçonnerie à partir de

1760, est aussi ancien que le dragon et représente le pouvoir et la puissance. Il est

associé à tous les hauts degrés maçons, avec le grade de Grand Inspecteur Grand Élu ou

Chevalier Kadosh (30ème degré).

Source internet : prismeshebdo.com. « une tête des têtes de l’aigle correspond à la

justice et l’autre à la paix. Les deux têtes sont surmontées d’une tiare qui reçoit les

influx descendant d’un triangle lumineux - pointe en bas - portant le nombre 33,

évoquant de ce fait la "réalisation descendante" associée aux derniers degrés de

l’Écossisme (30, 31, 32, 33). Les deux têtes correspondent au Roi de Justice et au Roi

de Paix, la tiare correspond au Prophète et le Triangle à l’Esprit Prophétique. En

conclusion, l’Aigle évoque Melchisedek (cf. Genèse 14 : 18 à 20 et Hébreux 7 :1) et


le Saint-Empire. Melkitzedeq Melekh Shalem, expression qui signifie Roi de Justice,

Roi de Paix (Melchisedek) ».

Nous voyons de manière criante ici la parodie blasphématoire de la Bible : cet

aigle à deux têtes, qui de fait est une représentation cachée du diable, est

présenté comme Melchisedek dont la lettre aux Hébreux, sept premiers

chapitres, démontre qu’il s’agissait de Jésus qui s’est présenté devant Abraham

sous forme de grand sacrificateur. Cf. la parole de Jésus : « Avant qu’Abraham

fut, je suis » (Jn 8 :58). À partir du grade de Chevalier Kadosh (Kadosh est un

des noms de Dieu et veut dire « saint »), les « maîtres » s’arrogent un titre qui

n’appartient qu’à Jésus Christ !

�Je renonce au blasphème selon lequel on attribue à Lucifer le titre de « Tout

Puissant » et je renonce à toute reddition à la volonté de Lucifer.

�Je renonce et je brise toute conséquence du serment selon lequel, si je révèle les

secrets de la F.M., « je me contrains à avoir mon corps coupé en deux, mes tripes

arrachées et brûlées jusqu’à ce qu’elles soient réduites en cendres qui seront ensuite

dispersées aux quatre vents du ciel… »

�Je renonce et je brise tout effet du « Grand Signe d’Appel de détresse » et les

paroles suivantes « N’y a-t-il aucune aide pour le fils de la veuve ? ».

Note : le « fils de la veuve » est Hiram. L’aide en question appelée est donc celle d’un

mort (un mort dans le feu du centre de la terre), de fait l’aide de Lucifer ! Certains

maçons s’appellent entre eux « fils ou filles de la Veuve »

Je déclare d’après le Psaume 9 : 10 que « Dieu est une forteresse pour les temps de

détresse. », et, d’après le Psaume 121 : 1-2, que « Je lève les yeux vers les montages,

d’où me viendra le secours ? Le secours me vient de l’Eternel qui a fait les cieux et la

terre. »

� Je renonce, brise et chasse de ma vie tout effet des deux épées placées en V

agissant contre mes reins ou ma taille.

� Je renonce et brise tout effet résultant de la recherche du nom perdu de Dieu, ou le

‘Mot Ineffable’. :

Note : les F.M. avancent que seul Moïse a reçu la connaissance du vrai nom de Dieu.

Pour les autres Juifs, le « JHVM » étaient censé être imprononçable. Ce nom aurait

été perdu après la mort d’Hiram. Dans la F.M. seuls les grands initiés sont censés
pouvoir le connaître. Nous voyons là encore le caractère blasphématoire de l’intiation

maçonnique. Car Dieu ne peut être réduit à un nom, pas plus qu’à une image. Il se

révèle sous divers noms par ses actes vis-à-vis des hommes. Le mythe d’Hiram est le

fondement de la Maçonnerie moderne. Hiram était le bâtisseur du temple de Salomon,

et de ses deux colonnes, Jochin et Boaz. Il est cité en 2 Rois 7, à partir du verset 13. (à

ne pas confondre avec le roi de Tyr cité en 2 Sam 5 :11)

Je déclare selon Jean 1 : 1 et 14 que : « Au commencement était la Parole et la Parole

était avec Dieu et la Parole était Dieu… Et la Parole a été faite chair et elle a habitée

avec nous… »

Note : tout membre qui oserait donner aux compagnons qui le demandent « le vrai

nom de Dieu est considéré comme indigne d’être maître puisqu’il est incapable de

garder le secret ». Il est considéré comme traître, et il lui est impossible « de diriger

les maçons qui travaillent dans le chantier à la construction du temple universel (noter

ici que le secret porte uniquement sur les éléments du tuilage, comme pour tous les

rites. On peut publier les rituels de tous les grades, cela n'a aucune espèce

d'importance en soi si l'on ne révèle jamais ce qui doit rester secret » (extrait d’un

enseignement maçonnique trouvé sur un site maçon).

Ce que l’enseignement ne dit pas, c’est que ceux qui trahissent les secrets maçons

peuvent être mis à mort par la F.M.

Je déclare selon I Pierre 1 : 23 que je suis né(e) de nouveau « non par une semence

corruptible mais par une semence incorruptible, par la Parole vivante et permanente de

Dieu. » Amen.

�Je renonce et brise tout effet de l’évangile de Hiram Abiff, le christ de la Franc-

Maçonnerie.

�Je renonce au jeu de rôle de la fausse mort, du sang versé et de la résurrection

d’Hiram Abiff, et je brise toutes les conséquences sur ma vie et sur celle de ma famille

dues à la participation de mes ancêtres à ce blasphème. Je déclare que JESUS-CHRIST

est le Sauveur de tous ceux qui viennent à Lui. Amen.

�Je renonce et je brise toute incitation et capacité de prendre la personnalité de héros

d’Hiram Abiff, un faux sauveur dans le rituel de ce degré de Maître maçon.

�Je renonce à l’attaque rituelle par trois brutes et aux coups portés sur le corps et à la

tête. Je renonce au coup porté à la gorge avec la jauge dont l’écartement est de 24
inches (environ 63 cm), au coup porté à la poitrine avec l’équerre et au coup fatal porté

à la tête avec un objet qui lacère.

�Je renonce et je brise tout effet dû à la chute dans la civière ouverte, ou dans le

cercueil ouvert, dans un rituel de simulacre de mort. Je renonce au fait d’être enterré

d’abord sous les détritus du temple puis sous l’Acacia et enfin au fait d’être mis dans

une tombe « au sommet d’une colline » ou « enterré dans le sable du désert et marqué

d’un brin d’Acacia » (l’acacia est un des symboles de la F.M.

Stratégie de Prière : A travers cette cérémonie, il peut y avoir une malédiction par le

fait d’avoir été le détritus du temple et cela peut aussi avoir une incidence dans

l’église. Pardonnez à ceux qui vous ont traité de détritus (poubelle, saleté) et brisez

cette malédiction de sur votre vie.

�Je renonce et brise tout effet de la tête de mort sur le cercueil, et du rituel de

mortalité de la Mort.

Le cercueil est un élément important de la symbolique du 3ème grade. Le cercueil est le

centre de la recherche des Maîtres qui partent en quête de la dépouille d’Hiram.

� Je renonce et je brise toute conséquence de ce baptême en Lucifer et à la nouvelle

naissance dans la Franc-Maçonnerie à travers le rituel de la résurrection.

Ce rituel parodie le Baptême chrétien, l’initié F.M. mourant symboliquement à son

passé pour renaître dans la « vérité et la lumière de la loge ». Notons que ce rituel peut

l’amener aussi à mourir (renoncer) à son baptême chrétien !

�Je brise chaque malédiction de mort liée à ce degré, et déclare que je ne mourrai pas

des suites des coups portés à la tête au Nom de Jésus.

�Je renonce et je brise chaque effet de la fausse résurrection qui consiste à renaître à

la vie par le Maître Honorable qui usurpe la personnalité du roi Salomon utilisant la

Patte du Lion ou la Poigne du Maître ainsi que les 5 points de la confrérie et le

pentagramme.

Voici une explication de ce rituel : Source : site « Sol-Om-On - Maître-maçon »

« La légende dit qu'après l'exécution des trois assassins, Salomon, Hiram de Tyr et quelques

ouvriers se rendirent à la tombe du Maître Bâtisseur. Cependant, l'histoire relate qu'avant

d'arriver à la tombe, le roi Salomon et le roi Hiram s'entendaient pour que le "premier signe

donné à l'arrivée à la tombe et le premier mot dit seraient adoptés comme signe et mot donnés

dans toutes les loges de Maîtres jusqu'à ce que des générations futures trouvent les justes." Le
Maître Bâtisseur avait été dans sa tombe depuis 15 jours, alors quand ils s'approchèrent de la

tombe, l'odeur et la condition du corps étaient si terribles que les hommes spontanément

portèrent le dos de leur main droite sur leur visage pour protéger les yeux et ils tournèrent

leur tête légèrement vers la droite. La main gauche est un peu plus bas et tournée vers le sol,

comme si elle devait protéger les yeux de quelque chose sur le sol. Ceci fut adopté comme le

signe d'horreur.

Selon la version maçonnique de cette histoire, le premier mot prononcé était Mah-Hah-Bone.

L'histoire nous informe qu'ensuite Salomon ordonna à l'un de ses hommes d'essayer de

soulever le Maître Bâtisseur avec l'attouchement de l'apprenti (premier degré). (On le fait en

prenant la main comme pour une poignée de main normale, sauf que le pouce est placé

sur la première phalange.) Cependant, comme le corps est dans la tombe depuis 15 jours, la

peau est devenue trop glissante et le premier essai échoue. Il dit alors à Hiram, roi de Tyr:

"Mon valeureux compagnon, tu prendras le corps avec l'attouchement du Compagnon

(deuxième degré) pour voir s'il t'est possible de le soulever". Il prend la main droite comme

pour une poignée de main normale et il place le pouce sur la deuxième phalange et il

essaie de lever le Maître Bâtisseur, mais la peau glisse à nouveau et il est impossible de le

lever.

Salomon dit: "J'ordonne le silence complet. Et avec ton aide mon valeureux compagnon de

Tyr, je vais maintenant lever le corps avec la poignée forte du Maître Maçon ou la Patte du

Lion." Salomon s'avance et saisit la main droite du Maître Bâtisseur - la tenant

fermement - et il appuie les bouts de ses doigts fortement contre les jointures du poignet

du Maître Bâtisseur, là où le poignet s'unit à la main et avec beaucoup de force il le tire

de la tombe sur les cinq points du compagnon qui sont: pied contre pied; genou contre

genou, poitrine contre poitrine, la main au dos et la bouche contre l'oreille.

C'est dans cette position que le mot substitué "Mah-Hah-Bone" est chuchoté dans l'oreille. Le

corps est ensuite ramené au Temple où il est enterré dans le Saint des Saints qui est le

troisième niveau du Temple. Le Temple du roi Salomon se composait du rez-de-chaussée,

des chambres du milieu et du Saint des Saints.

Chaque Maître Maçon à l'instar de la légende de Hiram Abiff fait l'expérience de cet

événement. On dit alors qu'il a été élevé. En termes maçonniques on pose la question: "De

quoi, vers quoi et par quoi es-tu élevé au degré du Maître?" RÉPONSE: "De l'état de mort,
à une vie perpendiculaire à l'équerre, par la forte poignée du Maître Maçon ou de la

Patte de Lion sur les cinq points du compagnon." Cette histoire a une profonde

signification spirituelle et une extraordinaire importance dans la vie de l'homme moderne. »

�Je renonce et je brise toute violence rituelle, tout meurtre rituel et toute mort rituelle

du maître maçon.

�Je renonce et je brise toute malédiction maçonnique selon laquelle je suis un

sacrifice de sang et un martyr de sang qui a été séduit et voué au tombeau.

�Je renonce aux faux dieux égyptiens Osiris et sa femme Isis qui ne sont rien d’autre

que Nemrod et sa femme Sémiramis, sur lesquels le mythe d’Hiram Abiff est fondé.

�Je brise et chasse l’esprit d’Isis dans tous les domaines et dimensions de ma vie.

�Je renonce et je brise la capacité de cet esprit d’Isis de rassembler et de refaire vivre

ce qui a été chassé de ma vie, de ma famille, de mon église et de mon ministère.

Je Te demande, Père, de détruire complètement cet esprit dans ma vie.

�Je renonce et je brise toute conséquence des mots secrets ‘Machabe’ et ‘Mah-hahbone’

(NDT/ bone = os en français) et chaque conséquence de leur signification :

‘protubérance (ou grosseur ) répugnante’ et ‘cancer’.

Stratégie de prière : Brisez l’esprit de cancer invoqué à travers ces mots. Cela peut se

révéler être une bataille assez considérable. Si c’est le cas pour vous, faites vous aider

de quelqu’un qui peut prier avec autorité sur vous. Si vous êtes ou avez été fumeur,

repentez-vous de cela et renoncez-y.

Je déclare la parole de Dieu dans I Jean 1 : 5-10 :

« Voici le message que nous avons entendu de Lui et que nous vous annonçons : Dieu

est lumière et il n’y a pas en Lui de ténèbres. Si nous disons que nous sommes en

communion avec Lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons et nous ne

pratiquons pas la vérité. Mais si nous marchons dans la lumière, comme Il est Luimême

dans la lumière, nous sommes en communion les uns avec les autres, et le sang

de Jésus, Son Fils, nous purifie de tout péché. Si nous disons que nous n’avons pas de

péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous. Si nous

confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous

purifier de toute injustice. Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous Le faisons

menteur, et Sa parole n’est pas en nous. »

�Je renonce et j’enlève tous les insignes rituels, tels que les écharpes, les collerettes,
les manchettes, les boutons de manchettes et le tablier en peau de chèvre du troisième

degré.

�Je renonce à la jauge dont l’écartement est de 24 inches ( environ 63 cm ), à

l’équerre en forme de T et au maillet (pour le Royaume Uni) et à la pioche, au

rapporteur, à la pince à levier et à la pelle ( pour les Etats-Unis et l’Australie), à la

planche à dessin et tout son symbolisme.

�Je renonce et je brise tout effet du pouvoir de certificat du maître maçon sur ma

famille, certificat que je déchire dans un geste prophétique.

�Je renonce, je brise et je chasse de ma vie toutes les conséquences de la Mort et de

l’Enfer, invoqués lors des cérémonies et serments de la Franc-Maçonnerie.

�Je renonce, je brise et je chasse de ma vie toutes les conséquences de la forteresse

anti-christ de la Franc-Maçonnerie.

�Je me repens de la part de mes ancêtres pour avoir porté l’anneau de la Franc-

Maçonnerie et pour avoir enlevé leurs alliances de mariage pour les besoins de

l’initiation.

Trouvé dans le site de la Franc-Maçonnerie, dans la rubrique ALCHIMIE: « ...Mais

prenez garde que vos Esprits ne trouvent une ouverture pour s’exhaler, car cela ruinerai

votre OEuvre, et causerai beaucoup de mal, en brisant une des plus strictes Lois de votre

OEuvre ; et prenez garde aussi qu’ils ne s’élèvent pas trop violemment car ils briseraient la

Fiole ; qui doit être faite aussi solide que possible, et soufflée d’égale épaisseur, sans bulles

ni défauts, que vous devez mettre dans un anneau de laiton, ou elle doit être fixée avec

de la poudre de cendre d’os mouillée comprimée, servant de sécurité.

Vous verrez votre Eau voler vers le haut, et aussi le Corps bouillir en dessous ; et cette

Circulation vous devrez la continuer si longtemps que l’Aigle détruise le Dragon, et

lorsqu’ils mourront ensemble, ils se transformeront en un affreux Crapaud, que vous

devrez alors cuire, jusqu’à ce que le noir diminue, il sera alors succédé par une foule de

couleurs, et la lumière apparaîtra, continuer ce régime avec patience, jusqu’à ce que vous

voyiez la Lune s’élever avec ses clairs rayons : C’est alors notre jeune Roi qui venant de

l’Est porte un croissant de Lune au sommet de sa tête.... »

Il s'agit ni plus ni moins de sorcellerie !

°°
Mais il y a une signification ésotérique très puissance dans ce rituel de l'anneau.

Dans le Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm, le 85 ème degré porte le nom

de « Sublime Maître de l'anneau Lumineux »; allusion directe à l'alliance avec

Lucifer.

Toute alliance se signe dans le sang, pour être valide. La nôtre est signée dans LE SANG DE

L'AGNEAU. L'alliance de mariage est censée être signée lors de la rupture de l'hymen. En acceptant

un anneau d'alliance dans la Franc-Maçonnerie, on donne le droit légal à Satan de verser du sans dans

notre famille. En ôtant son alliance de mariage pour mettre cette alliance, on annule la première

alliance en la remplaçant par la seconde. Désormais, la véritable famille devient la confrérie maçonne:

c'est elle qui devra être protégée en priorité, même au dépens de notre famille ! Les FM font d'ailleurs

des serments renouvelés de protéger leurs « frères », même de la Justice, sauf dans un seul cas: celui

d'assassinat »

Dans le druidisme, l'anneau est nommé Awen: « esprit divin inspirateur et guidance ». Cet esprit

« divin », appelé lorsqu'on enfile l'anneau, n'est certes pas l'Esprit du Dieu Tout-Puissant ! Le

druidisme, comme le satanisme, rappelons-le, fait adorer la déesse terre, Gaïa, déjà adorée chez les

Grecs.

�Je renonce et je brise l’alliance occulte représentée par cet anneau ainsi que les

fiançailles avec la Franc-Maçonnerie. J’ôte spirituellement cette alliance et je brise son

pouvoir ainsi que les fiançailles avec la Franc-Maçonnerie dans le Nom de Jésus.

Note : Le film « Seigneur des Anneaux » est entièrement d’inspiration maçonnique. Ce film,

sous couleur « religieuse », est une incitation à des rites initiatiques.

Dans le Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm existent 99 degés. Du 34ème au 95ème,

le membre est censé entrer dans la Maçonnerie HERMETIQUE ou ESOTERIQUE.

Elle se définit elle-même comme suit : « La Maçonnerie HERMETIQUE ou ESOTERIQUE

s'occupe de haute philosophie, étudie les mythes religieux des différents âges de l'humanité et

admet le travail philosophique et ésotérique le plus avancé. »

Elle étudie de fait les formes les plus ténébreuses de l’occultisme.

Au 85 ème degré, rappelons-le, se trouve le « Sublime Maître de l'anneau

Lumineux »

Illustration d’un pectoral au 99ème degré

�Je renonce au fait d’avoir abandonné ma famille. Cet abandon est non seulement

représenté, mais aussi occasionné par le port de ce même anneau. Je renonce à tout
esprit d’abandon et à tout esprit de divorce à travers le port de cet anneau.

�Je renonce à la déclaration maçonnique que les femmes, et ceux qui ne sont pas

Francs-maçons sont des profanes.

�Je brise le serment selon lequel ‘il faut avoir une vie cachée et secrète vis-à-vis de sa

propre femme’ et à l’esclavage que cela occasionne.

�Je renonce et je brise tout effet des malédictions de l’abandon sur mon mariage et

sur mes enfants, et je les libère de cette emprise au Nom de Jésus.

�Je renonce et je brise tout effet du serment du Maître Honorable, selon lequel

‘j’aurai la main droite coupée et balancée sur mon épaule gauche jusqu’à ce qu’elle se

flétrisse et se décompose.

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