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Il est intéressant de noter que dans toutes ces cultures, on retrouve associé à cette symbolique de la
membrane/ coiffe, une quantité importante de héros boiteux, soit par blessure (Ulysse, blessé à la cuisse par
un sanglier, Héphaïstos, jeté de l’Olympe par Zeus) soit par perte d¹une chaussure ou d’une sandale, (Jason
qui se présente à son oncle usurpateur avec une seule sandale; Persée qui reçoit l’une des sandales d’Hermes
avant de combattre Gorgo.), tous héros passés par le monde des morts, et donc initiés. L’archétype en sera
Oedipe « pied transpercés ». Oedipe qui après une enfance solitaire, rencontrera la Sphinx, figure de mort, et
qui après s’être crevé les yeux deviendra un Voyant. Or nous retrouvons une claudication symbolique dans
l’initiation maçonnique lorsque le profane, un pied déchaussé ou en pantoufle, entame les trois voyages.
Ainsi, nous constatons que le port d’un couvre-chef, loin d’être une curiosité anecdotique, non seulement
symbolise à la fois l’élection du Franc-Maçon, le rappel de son humilité nécessaire et de la crainte du sacré,
mais en outre s’intègre dans un ensemble symbolique qui recouvre la totalité des rites initiatiques : naissance,
passage dans le monde des morts, renaissance comme initié, avec tous les signes caractéristiques :
claudication, extases, recherche et rassemblement d’ossements, rameaux révélateurs des cadavres, et
résurrection.
Tous ces signes se retrouvent à divers degrés dans la symbolique des trois premiers grades de la Franc-
Maçonnerie. Claudication du profane, image du royaume des morts, rappel du pourrissement et de la
renaissance, enfin recherche et découverte du Maître assassiné et sa résurrection dans le nouveau Maître.
Le chapeau du Maître Maçon en chambre du Milieu est donc le témoin de tout un passé traditionnel et
initiatique qui remonte jusqu’à l’aube de l¹humanité et il symbolise tout le parcourt initiatique du Franc-
Maçon en Loge Bleue. À ce titre il est donc un élément essentiel des décors que l’on doit porter, élément
parfois négligé, mais cependant fondamental.
-Méthode pour Tracer l'Hexagramme :
1ère Etape :
Tracez un cercle, de centre O, puis tracez le diamètre vertical du cercle, qui coupe le cercle en A et B. Prenez ensuite A
comme centre d'un cercle de rayon AO, et marquez les points C et D d'intersection de ce cercle avec celui de centre O.
Prenez enfin le point B comme centre d'un cercle de rayon BO, et marquez les points d'intersection E et F d'intersection
de ce cercle avec le cercle de départ.CATECHISME INTREPRETATIF
2ème Etape :
Effacez les traits superflus, et joignez A, E et F ensemble, et B, C et D ensemble. Vous obtenez un Hexagramme parfait:
AU GRADE DE MAÎTRE
Q- Etes-vous Maître?
R- Eprouvez-moi, l’acacia m’est connu.
R- Parce que l’acacia est le symbole d’une indestructible, dont les mystères m’ont été dévoilés.
Q- Qu’avez-vous vu en entrant?
R- Deuil et consternation.
R- C’est une fiction symbolique, profondément vrai par l’enseignement qui s’en dégage.
R- La pure tradition maçonnique, personnifiée par l’architecte du Temple de Salomon et constamment mise en péril par
l’ignorance, le fanatisme et l’ambition des maçons qui n’ont pas su comprendre la Maçonnerie, ni se dévouer à son
œuvre sublime.
R- Ce tombeau renferme le grand secret de l’initiation qui ne se découvre qu’aux penseurs capables de concilier les
antagonismes par le ternaire, de concevoir la quintessence intelligible dissimulée sous les dehors sensibles, et
d’appliquer la loi du septénaire dans le domaine de la réalisation.
Q- Lorsqu’on vous conduisit auprès du tombeau d’Hiram, que fîtes-vous de la branche d’acacia?
R- En saisissant l’Acacia, je me rattache à tout ce qui survit de la tradition Maçonnique. Je promets ainsi d’étudier avec
ferveur la Maçonnerie dans tout ce qui subsiste de son passé, dans ses rites, ses usages et ses pratiques, sans me laisser
détourner par un archaïsme contraire au goût du jour.
R- En approchant devant le cadavre que j’ai enjambé sans crainte, fort de ma conscience.
R- L’Etoile flamboyante m’a été montrée dans tout son éclat, avec la lettre G au milieu.
R- Par un signe, un attouchement et une parole, les Apprentis par ceux d'Apprenti et les Compagnons par ceux de leur
grade.
R- Des feuilles d'Acanthe en ornaient les chapiteaux et ceux-ci étaient surmontés de pommes de Grenades sans nombre.
R- Un carré long
R- De l'Orient à l'Occident
Q- De quelle largeur?
R- Du Midi au Septentrion.
R- C'est pour faire entendre que tous les Maçons répandus sur la terre, ne font qu'un seul peuple de Frères, régis par les
mêmes lois et par les mêmes usages.
Q- En quel nombre?
R- Au nombre de trois.
Q- Quels sont-ils?
R- Le Pavé Mosaïque ornait le seuil du grand portique du temple, l'Etoile Flamboyante était au milieu qui éclairait le
centre, d'où part la vraie lumière qui éclaire les quatre parties du monde et la Houppe Dentelée bordait et ornait les
extrémités.
R- Le Pavée Mosaïque est l'emblème de l'union intime qui règne entre les Maçons; l'Etoile Flamboyante est l'emblème
du Grand Architecte de L'Univers qui brille d'une lumière qu'il n'emprunte que de lui seul; la Houppe Dentelée signifie le
lien qui unit tous les Maçons et n'en fait qu'une même famille sur toute la terre.
Q- En quel nombre?
R- L'Equerre que porte le Vénérable, le Niveau que porte le Premier Surveillant et la Perpendiculaire ou ligne d'aplomb
que porte le Second Surveillant.
R- L'Equerre sert à équarrir les matériaux et à mettre leurs surfaces à angles droits entre elles, le Niveau à placer
horizontalement les pierres à côté les unes des autres et la Perpendiculaire à élever les bâtiments parfaitement d'aplomb
sur leurs bases.
R- L'Equerre nous avertit que toutes nos actions doivent être réglées sur la droiture et sur la justice; le Niveau qu'il doit
régner une parfaite Egalité entre tous les Maçons, la Perpendiculaire que tous les biens nous viennent d'en haut.
R- La planche sent aux Maîtres pour tracer leurs plans et dessins; la Pierre Cubique à pointe sert aux Compagnons pour
aiguiser leurs outils, et la Pierre brute sert aux Apprentis pour apprendre à travailler.
R- La Planche à tracer est l'emblème du bon exemple que nous devons à nos Frères et à tous les hommes ; la Pierre
Cubique est le symbole des soins que se donne l'homme vertueux pour effacer les traces que le vice a faites sur lui, et
corriger les passions auxquelles nous sommes tous en bute; enfin la Pierre brute est l'image de l'homme grossier et
sauvage que l'étude approfondie de lui-même peut seule polir et rendre parfait.
R- Une bonne morale qui sert à épurer nos mœurs et à nous rendre agréables à tous les hommes.
R- Grand Géomètre, ils sont sans nombre, mais ils se réduisent à cinq principaux.
Q- Quels sont-ils ?
Q- A quoi servent-ils?
R- Le Vocal à donner la parole, le Guttural à donner le signe d'Apprenti, le Pectoral à donner le signe de Compagnon, le
Manuel à donner l'attouchement de l'un et de l'autre, et le Pédestre à exécuter la marche de tous deux.
R- Trois
Q- Où sont-elles placées ?
Q- A quoi servent-elles?
R- A éclairer les ouvriers quand ils viennent au travail, pendant ou ils y sont et lorsqu'ils en sortent.
R- D'Or et d'Azur.
R- L'Or signifie la Richesse, et l'Azur la Sagesse, deux dons que le Grand Architecte accorda à Salomon.
R- Au Midi
Q- Pourquoi?
R- Comme plus éclairés que les Apprentis et pour servir les Maîtres.
R- Cinq ans.
R- En faisant les cinq voyages mystérieux autour des ouvrages et en montants les cinq premiers marches du Temple.
R- A la colonne - .
Q- Dites le moi ?
R- -- S
Q- Que signifie-t-il?
Redéfinissons une fois de plus, et succinctement ces mots qui sont, il faut se l’avouer, les principaux moteurs du mode
spirituel de pensée de notre art.
2 - Le conte est un récit d’aventure imaginaire, destiné à distraire. C’est aussi une histoire invraisemblable et
mensongère.
3 - La légende est un récit à caractère merveilleux, ou les faits historiques sont déformés par l’imagination populaire ou
par l’invention poétique. Elle se distingue du conte en ce qu’elle présente un point d’encrage dans l’espace et dans le
temps et qu’elles sont l’objet de croyances. C’est par elle que les peuples sans écriture, transmettent aux jeunes,
l’histoire, les lois sociales de leur tribu, les croyances etc.…
4 - Le mythe, du grec muthos, récit populaire ou littéraire mettant en scène des êtres surhumains et des actions
imaginaires, dans lesquels sont transposés des évènements historiques, réels ou souhaités. Il apparaît comme l’élément
fondamental de la littérature sacrée, ésotérique et profonde. Il joue le même rôle, dans les civilisations orales que le
dogme des religions liées à l’écriture. -
5 - Le mythe, système et mode de connaissance, devient presque toujours le modèle qui structure l’action : le rite de
passage, dit mythe eschatologique, (vie/mort) par exemple, n’est rien d’autre que la reproduction vécue du Mythe de la
création. C’est pourquoi il n’a rien d’un objet inerte ou d’un dogme formel ; c’est au contraire une chose vivante
intégrée dans le rythme social, sentie et éprouvée par la collectivité. Loin d’être irréel, comme l’avait signalé, un jour, un
de nos F�en ce même atelier, et loin d’être « un tissu d’incohérences » comme certains le prétendent, il exprime plutôt
la victoire du symbolique sur l’imaginaire (voir rites funéraires et cérémonies post mortem…). Il consacre le triomphe
définitif de la vie sur la mort, du pur sur l’impur, de l’ordre sur le désordre. – Cosmogonique (relatif à la formation de
l’univers), ou cosmologique (relatif à l’astronomie qui étudie la structure de l’évolution de ce dit univers) il se situe
toujours en relation directe avec les forces qui commandent l’architecture du monde et le sens de l’univers.
En trois mots, et pour reprendre la synthèse d’un F�V �M� de notre L� : Le conte est un récit récréatif, la légende un récit
fédérateur, le mythe un récit fondateur. Tous contribuant à la tradition orale puis, plus tard, écrite de chaque peuple qui
les a transmis.
6 - Si je me permets d’insister sur le sens profond du mythe c’est dans le but bien précis d’appréhender au mieux ce qui
suit quant aux Trois Portes du Temple. Mais aussi et surtout pointer le doigt sur la corrélation qui existe dans les
situations Maîtres/Apprentis, Maîtres/Compagnons, Maîtres/Maîtres, car ces situations vous l’avez deviné sont les
poumons du fonctionnement de nos Loges, et donc notre propre fonctionnement intérieur vers l’équilibre, la stabilité et
l’ordre.
7 - Oui le Temple avait trois portes, l’une à l’Orient, l’autre au Midi, et la troisième à l’Occident. Cette description ne
correspond en rien avec ce que nous connaissons des temples en général, qu’ils soient égyptiens ou grecs et celui de
Salomon en particulier .- Il nous faut donc rechercher la symbolique de ces emplacements. L’ouverture de la Loge au 1er
degré nous en donne un aperçu :
● Le 2nd surveillant est placé au midi pour observer le soleil au méridien et appeler les FF� du travail à la récréation et
de la récréation au travail afin qu’ils en retirent profit et joie »
● Comme le soleil se couche à l’Occident pour fermer la carrière du jour, le 1er surveillant s’y tient pour aider le V� à
fermer la L�, payer les ouvriers et s’assurer qu’ils sont contents »
● Comme le soleil se lève à l’Orient pour ouvrir la carrière du jour, ainsi le V� M� siège à l’Orient pour ouvrir la L� et
diriger les travaux »
Au 3ème degré nous retrouvons le V�M� et les 2 surveillants acteurs, sous la forme de 3 mauvais compagnons armés de
leur outils : fil à plomb, équerre, maillet.
Mais avant d’étudier chaque porte, constatons une fois de plus l’ambivalence de celles-ci :
8 - Une porte est une ouverture dans une enceinte. Elle sert pour entrer et pour sortir. A chaque oui son non, à chaque
pavé blanc son pavé noir, à chaque qualité son défaut, pour chaque outil une arme, à chaque lumière de la Loge son
mauvais compagnon. – Mais si nous inversons les propositions : à chaque non son oui, à chaque pavé noir son pavé
blanc, à chaque défaut sa qualité, chaque arme transformée en outil, chaque mauvais compagnon devenant lumière de
la Loge. - A l’image des voies respiratoires laissant passer alternativement « l’inspire et l’expire », les portes du Temple
nous incitent à l’ouverture d’esprit et à la tolérance.
La Porte du Midi :
1 - Elle est liée au fil à plomb et au 2nd surveillant. Quel est le rôle du 2nd surveillant : éveiller les apprentis aux outils qui
se trouvent sur le chantier pour leur permettre de devenir Compagnons !
2 - Pour l’homme, on va dire normalement constitué, l’enseignement du savoir et de la connaissance, vient de l’extérieur.
C’est un processus que la vie lui a inconsciemment inculqué.- Il va donc falloir qu’il modifie ce processus naturel pour
prendre conscience que la connaissance n’est pas du prêt-à-porter qu’on peut acheter en librairie, mais que pour
l’appréhender, il doit tailler sa pierre, douloureusement, dans l’acquis de sa personnalité. - Le 2nd surveillant peut
guider, stimuler, conseiller, mais non épargner l’apprenti d’œuvrer, de voir et de construire. – Si nous sommes capable de
relater ce que nous avons appris et de le conjuguer avec notre ressenti, alors je ne vais pas dire tout est possible, mais
beaucoup de choses deviennent espérance. – Le but est d’apprendre l’art de tailler, non pas théoriquement en sachant
quoi faire, mais en le faisant ! – Le chemin maçonnique est progressif et régulier, sérieux et transparent, réaliste et
transcendant. Encore faut-il pour qu’il soit efficace bien en comprendre le principe et surtout le mettre effectivement en
application. Seulement en parler ne transforme personne, même si on en parle bien.
4 - Etre Franc Maçon ou ne se suffire que du titre, l’engagement n’est pas le même. La connaissance exige un double
regard conscient, un regard vers le monde extérieur obscur, et un regard vers le monde intérieur lumineux. - Seule
l’expérience peut valider cette certitude. Le fil à plomb rappelle à l’apprenti qu’il doit emprunter un chemin qui
descend. Telle la masse du fil à plomb tirée vers le bas par l’attraction terrestre, le centre de gravité de l’apprenti va
glisser vers le bas, son attention ne sera plus braquée sur sa pensée mais à l’intérieur de son corps. – Il pourra ensuite,
comme au terme d’une plongée en apnée, remonter par le même chemin et découvrir à nouveau la lumière physique
qui ne lui semblera plus la même …
5 - Les relations entre les M�et les A� sont ambiguës. Les M� accueillent avec joie sincère et désintéressée les A�, alors
que les A� attendent tout des M�- Si les maîtres accomplis ne peuvent pas augmenter l’avoir des A� ils peuvent, pour la
plupart cheminer ensemble, leur rôle n’étant pas de transformer mais de créer des situations favorables à
l’enrichissement.
Le premier mauvais Compagnon nous rappelle qu’à la connaissance s’oppose l’ignorance, le rationalisme borné, la
logique rigide, le dogmatisme…
La porte de l’Occident.
1 -Cette porte est liée au niveau et au 1er Surveillant dont les rôles sont l’accompagnement des C� et le respect de
l’ordre dans le temple. Constitué de 2 outils, le fil à plomb et l’équerre il va donner l’horizontalité en plus de la verticalité
– Le C� qui tente l’expérience de l’équilibre périlleux au sommet du niveau se trouve à l’intersection de deux forces qu’il
intègre. Tout son travail initiatique consiste par rapport à la verticalité du fil à plomb qu’il a trouvé lorsqu’il était apprenti,
et qui est toujours présent, à mesurer le terrain qui l’entoure, dans le cercle autour de lui décrit par l’équerre en
mouvement comme un compas. Par rapport à cet axe intérieur, toutes les manifestations extérieures sont égales. Si l’axe
est réel ces manifestations extérieures ne peuvent le perturber, car même dans les tourments l’axe reste vertical.
3 -Se préparer à édifier son temple pour recevoir l’Etre en nous, c’est partir d’un terrain naturel, accidenté, envahir de
ronces et de broussailles, comme le sont notre ego et sa vision du monde. Il faut travailler à défricher, aplanir le sol,
tracer, creuser les fondations afin d’élever les murs vers le ciel.
4 - Le 1er Surveillant a la charge d’exercer un contrôle éclairé sur les travaux de ses FF :.et particulièrement les CC :.
Le second mauvais C� nous apprend qu’à la tolérance s’oppose l’étroitesse de cœur, le fanatisme, la croyance en la
possession de la vérité maçonnique, les dogmes érigés, l’esprit de sectarisme.
La porte de l’Orient
1 - Cette porte est reliée au Maillet, insigne du pouvoir temporel et au V�M� chargé de la direction des travaux en Loge.
2 - Un groupe a besoin d’être animé, dirigé. Tel un chef d’orchestre qui va donner à son ensemble la cohérence, le V�M�
va permettre à chacun de s’exprimer selon les règles établies. Par l’utilisation de la compétence de chacun il va créer une
harmonie du groupe qui rejaillira sur tous. Chacun apportera sa pierre à l’édifice en fonction de ses capacités et de l’état
de son cheminement. Les individualités continueront à exister, au lieu de s’exacerber, elles donneront sa richesse à la
Loge.
Le 3ème mauvais C� nous rappelle qu’à la direction de l’atelier s’oppose l’ambition déréglée, la formation de coterie, …
Conclusion.
1 - Le Temple avait 3 Portes. - Chacun de nous est Apprenti, Compagnon, maître. - Chacun de nous est 2nd Surveillant,
1er Surveillant, V�M�. Notre temple intérieur a 3 Portes avec 3 personnages à la fois gardiens et assassins.
2 - Le M� qui aurait pu nous guider dans la construction du temple de la connaissance et de la sagesse est là, enfoui
quelque part sous la terre qui nous compose. - Ce Maître de Lumière qui oeuvrait pour le Verbe dans l’équilibre, la
stabilité et l’ordre, a été frappé par surprise, par l’ignorance, le fanatisme et l’ambition qui affligent notre nature et
obscurcissent notre intelligence. - Dans notre temple vide, le crépuscule est tombé, la parole a été perdue, éclipsée par
des obscures émotions et la petitesse des idées, d’un mental isolé de sa source. – Seule la branche d’acacia indique
encore le lieu tout au fond de nous où palpite le cœur de l’univers blessé, où la conscience spiritualisée (1) sommeille en
attendant que nous produisions l’impulsion de vie nécessaire à sa renaissance.
3 - Cette direction indiquée par l’acacia motive nos espoirs, guide notre recherche et soutient notre courage. Nous nous
réjouissons dans les ténèbres de savoir que l’ÊTRE n’est pas mort, qu’il survit au fond de la caverne et qu’en unissant nos
efforts, nous pourrons encore le dresser en nous. Puisqu’il est possible de ressusciter la victime de nous même, nous
sommes prêts à pardonner l’impardonnable et à œuvrer dans la Joie à l’expression du Maître.
(1) La conscience étant la faculté qu’a l’homme d’attribuer une valeur morale à ses actes, ainsi que la perception qu’il a
de sa propre activité psychique, de son moi et de la réalité distincte de lui. - Petit à petit, avec l’initiation et son travail, il
va se spiritualiser. – Sa conscience va donc « imprimer ces progrès. Ce sont ces progrès qu’il faut « réveiller » pour
produire l’impulsion nécessaire à la « Renaissance » de son ÊTRE profond.
Faut-il craindre la mort? Comment vivre sa vie au mieux? Voilà deux questions essentielles sur lesquelles se sont penchés
les philosophes chinois. Leurs conclusions donnent lieu à la réflexion…
« Être, ou ne pas être, voilà la question… » pour Hamlet et la majorité des gens qui, règle générale, tiennent à la vie et
craignent la mort. Dans beaucoup de cultures, aborder le sujet de la mort reste un sujet tabou dans les conversations de
tous les jours. Mais ce n'est pas le cas pour les Chinois. Pour eux, la vie et la mort est un sujet de conversation courant.
L'approche pragmatique des Chinois est illustrée dans les dictons : La vie humaine n'est rien d'autre qu'une étape au
cours de laquelle le soleil et la lune fonctionnent comme deux projecteurs ; Nous vivons nos vies de la même manière
que l'herbe traverse les saisons du printemps à l'automne; Rien ne distingue le vieux et le jeune dans sa route vers la
tombe; On n'a pas à se réjouir de la vie, comme on n'a pas à se sentir contrarié par la mort.
Ces adages illustrent la croyance voulant que l'homme naisse pour mourir et que la vie soit simplement un voyage du
sein au tombeau, un processus naturel régi par une loi objective. Et de cette dernière, personne ne peut faire fi ou
s'échapper. Quels que soient les efforts que quelqu'un puisse déployer, chacun meurt à un moment donné. Rien d'autre
ne peut être fait : il faut suivre le processus naturel de la naissance à la mort. L'herbe pousse au printemps comme la
prime jeunesse et se flétrit à l'automne comme le début du vieil âge.
Tout cela peut sembler sinistrement réaliste, voire pessimiste, mais c'est néanmoins une attitude admise et largement
partagée par les Chinois. La conscience de la nature inéluctable de la mort leur permet d'y faire face avec philosophie.
Voir la vie humaine comme une facette de la nature et le cycle de vie de l'herbe comme reflétant le leur est en réalité
une attitude optimiste, car celle-ci dissipe la crainte de la mort elle-même.
Cette philosophie naturaliste sur la vie et la mort s'enracine dans le taoïsme. Son fondateur Lao Zi (Lao-tseu) perçoit la
vie et la mort comme un phénomène naturel, la vie ne devant pas être surévaluée, et la mort, redoutée. Il dit, d'une
façon ne laissant prise à aucun doute :
L'homme arrive vivant dans le monde et mort dans la terre.
J'ai entendu dire que ceux qui sont bons à préserver la vie
Voilà le concept taoïste central de la réalité de la vie et de la mort dans lequel on critique les riches matérialistes de
perdre leur temps à « préserver excessivement la vie », ce qui se termine habituellement dans la frustration et la
déception. Observateur et critique, Lao Zi n'a pas pu faire grand-chose d'autre que de respecter son tao de sobriété et de
simplicité et de conseiller aux autres de préserver la vie en ayant une vie d'une durée normale, libre des soucis et des
inquiétudes, et de ce fait, allant au-delà de « la portée de la mort ». La sage observation L'homme arrive vivant dans le
monde et mort dans la terre mène à la conclusion que les gens devraient vivre leur vie naturellement afin de l'apprécier
pleinement. Ils ne devraient ni être intimidés par la crainte de la mort, alors qu'elle est inévitable, quoiqu'il arrive, ni
surévaluer la vie, puisque d'essayer de la conserver est futile.
Zhuang Zi (Chuang-tzu), successeur reconnu de Lao Zi, a continué à ressasser les concepts sur l'essence de l'existence
humaine. Il a conclu que tous les êtres vivants sont issus du qi –l'énergie vitale ou la source de l'être. La vie humaine est
créée d'un faisceau de qi et prend fin quand ce faisceau se disperse. Zhuang Zi est allé aussi loin que de déclarer que la
vie n'est qu'une tumeur que la mort extirpe, considérant la vie comme un processus incluant devenir, peiner, souffrir, se
retirer et passer à la tombe qui est le lieu du repos final.
Comment interpréter ces conclusions?
Cette attitude peut être interprétée comme négative, sous le prétexte qu'elle encouragerait la passivité sans espoir par
rapport à la perspective et au caractère inévitable de la mort, en considérant la vie comme quelque chose avec laquelle
on doit se tirer d'affaire grâce à une connaissance réconfortante, tel que le décrit le proverbe chinois suivant : La misère
que quelqu'un endure durant la vie n'est pas pire ou plus grande que la mort de son cœur. Attendre que l'épée de
Damoclès de la mort s'abatte et en faire un objectif signifie qu'être ou ne pas être n'est alors plus une question, puisque
vivre la vie de cette manière est en soi une sorte de mort.
Cependant, d'un autre point de vue, l'attitude taoïste envers la mort peut engendrer une attitude positive face à la vie.
L'acceptation du caractère inéluctable de la mort donne une signification et un but au passage naturel de la naissance à
la mort, ce qui motive une personne à profiter au maximum de la vie et à accorder une grande valeur à chaque minute.
Savoir que le temps s'envole et ne peut jamais être rattrapé crée un sens de mission et d'engagement social. Le
redoublement des efforts et du travail acharné qui résulte de ce savoir, afin de vivre pleinement sa vie, enrichit la
perception de la portée historique de l'existence dans la société. Transcender les limitations mortelles qui surgissent de
la mystique de la mort rend possible la gestion des épreuves, des difficultés, de la misère et des souffrances. Et en retour,
cela crée une façon de penser particulière, encore plus évidente chez les martyrs révolutionnaires et religieux qui
consacrent volontairement leurs heures à une cause noble et se sacrifient pour leurs idéaux. Dans le confucianisme, il y a
également le caractère idéalisé junzi (homme supérieur). On s'attend que cet homme se consacre sans compter dans
l'intérêt de la conservation et de l'avancement de l'humanité. Un tel esprit de dévouement ne peut provenir que d'une
conception positive de la mort.
Bref, selon la croyance taoïste, la véritable liberté spirituelle consiste à comprendre la nature de la mort et à pouvoir
vivre sans la craindre, selon le tao de l'être, plutôt que d'être tyrannisé par le spectre de la mort. Cette attitude
encourage au contraire les gens à être les maîtres de leur propre destin, ce qui leur permet d'améliorer leur qualité de
vie et de réaliser la liberté spirituelle. En conclusion, pour la réflexion personnelle, voici un autre passage de Lao Zi :
Quand des lettrés de niveau moyen entendent parler du tao, ils le croient à moitié.
�Je me repens de la part de mes ancêtres pour leur implication dans le troisième
� Je renonce au fait qu’ils soient entrés dans ce degré en utilisant le mot de passe
‘Tubal Caïn’ et je renonce à ce mot de passe. Je brise son contrôle sur tous les pactes de
Note : Tubal Caïn, descendant de Caïn (Gen 4 :22), forgeron, est en Franc-Maçonnerie
estimé être l’ancêtre d’Hiram Abiff, le constructeur du temple de Salomon. C’est grâce aux
enseignements secrets de Tubal Caïn qu’Hiram aurait construit la mer de bronze du temple (2
Ch 4). La F.M. enseigne que seul Hiram possédait la formule nécessaire pour transformer
cette mer de bronze, de telle sorte qu’elle pouvait purifier l’âme et que ceux qui se jetteraient
dedans auraient une jeunesse éternelle. Le plan de Hiram aurait été trahi par des compagnons,
ce qui produisit un accident terrible. Hiram aurait alors entendu la voix de son ancêtre Tubal
Caïn l’invitant à sauter dans les flammes. Il aurait été conduit, à travers neuf couches
semblables à des voûtes, au centre de la terre où il aurait retrouvé Caïn, l’ancêtre fondateur de
sa famille, qui l’aurait initié et lui aurait remis un nouveau MARTEAU ET UN NOUVEAU
VERBE. La prophétie que lui aurait donné ce Caïn mort est une parodie blasphématoire de
l’Evangile. Hiram, dans la F.M. est censé s’être réincarné dans Lazare, l’ami de Jésus. Son
marteau s’était alors transformé en Croix et le disque sur lequel était inscrit le Verbe s’était
Rappelons que l’invocation des morts, dans la Bible, est une abomination, et que la
réincarnation est un mythe mensonger puisque « Il est donné à l’homme de mourir une seule
fois, après quoi vient le jugement » (Héb 9 :27). Rappelons aussi que l’âme d’une personne
ne peut être purifiée que par le sang de Jésus, à travers la repentance et la reconnaissance de
�J’enlève la cagoule noire et les robes et ce câble qui a été enroulé trois fois autour de
la taille ou du cou.
(Note : rappelons l’image du câble qui enserre la terre dans le symbole de l’aigle à
deux têtes dans le grand Orient. L’aigle à deux têtes, introduit en maçonnerie à partir de
1760, est aussi ancien que le dragon et représente le pouvoir et la puissance. Il est
associé à tous les hauts degrés maçons, avec le grade de Grand Inspecteur Grand Élu ou
justice et l’autre à la paix. Les deux têtes sont surmontées d’une tiare qui reçoit les
influx descendant d’un triangle lumineux - pointe en bas - portant le nombre 33,
l’Écossisme (30, 31, 32, 33). Les deux têtes correspondent au Roi de Justice et au Roi
aigle à deux têtes, qui de fait est une représentation cachée du diable, est
chapitres, démontre qu’il s’agissait de Jésus qui s’est présenté devant Abraham
fut, je suis » (Jn 8 :58). À partir du grade de Chevalier Kadosh (Kadosh est un
des noms de Dieu et veut dire « saint »), les « maîtres » s’arrogent un titre qui
�Je renonce et je brise toute conséquence du serment selon lequel, si je révèle les
secrets de la F.M., « je me contrains à avoir mon corps coupé en deux, mes tripes
arrachées et brûlées jusqu’à ce qu’elles soient réduites en cendres qui seront ensuite
�Je renonce et je brise tout effet du « Grand Signe d’Appel de détresse » et les
Note : le « fils de la veuve » est Hiram. L’aide en question appelée est donc celle d’un
mort (un mort dans le feu du centre de la terre), de fait l’aide de Lucifer ! Certains
Je déclare d’après le Psaume 9 : 10 que « Dieu est une forteresse pour les temps de
détresse. », et, d’après le Psaume 121 : 1-2, que « Je lève les yeux vers les montages,
d’où me viendra le secours ? Le secours me vient de l’Eternel qui a fait les cieux et la
terre. »
� Je renonce, brise et chasse de ma vie tout effet des deux épées placées en V
‘Mot Ineffable’. :
Note : les F.M. avancent que seul Moïse a reçu la connaissance du vrai nom de Dieu.
Pour les autres Juifs, le « JHVM » étaient censé être imprononçable. Ce nom aurait
été perdu après la mort d’Hiram. Dans la F.M. seuls les grands initiés sont censés
pouvoir le connaître. Nous voyons là encore le caractère blasphématoire de l’intiation
maçonnique. Car Dieu ne peut être réduit à un nom, pas plus qu’à une image. Il se
révèle sous divers noms par ses actes vis-à-vis des hommes. Le mythe d’Hiram est le
et de ses deux colonnes, Jochin et Boaz. Il est cité en 2 Rois 7, à partir du verset 13. (à
était avec Dieu et la Parole était Dieu… Et la Parole a été faite chair et elle a habitée
avec nous… »
Note : tout membre qui oserait donner aux compagnons qui le demandent « le vrai
nom de Dieu est considéré comme indigne d’être maître puisqu’il est incapable de
garder le secret ». Il est considéré comme traître, et il lui est impossible « de diriger
les maçons qui travaillent dans le chantier à la construction du temple universel (noter
ici que le secret porte uniquement sur les éléments du tuilage, comme pour tous les
rites. On peut publier les rituels de tous les grades, cela n'a aucune espèce
d'importance en soi si l'on ne révèle jamais ce qui doit rester secret » (extrait d’un
Ce que l’enseignement ne dit pas, c’est que ceux qui trahissent les secrets maçons
Je déclare selon I Pierre 1 : 23 que je suis né(e) de nouveau « non par une semence
corruptible mais par une semence incorruptible, par la Parole vivante et permanente de
Dieu. » Amen.
�Je renonce et brise tout effet de l’évangile de Hiram Abiff, le christ de la Franc-
Maçonnerie.
d’Hiram Abiff, et je brise toutes les conséquences sur ma vie et sur celle de ma famille
�Je renonce à l’attaque rituelle par trois brutes et aux coups portés sur le corps et à la
tête. Je renonce au coup porté à la gorge avec la jauge dont l’écartement est de 24
inches (environ 63 cm), au coup porté à la poitrine avec l’équerre et au coup fatal porté
�Je renonce et je brise tout effet dû à la chute dans la civière ouverte, ou dans le
cercueil ouvert, dans un rituel de simulacre de mort. Je renonce au fait d’être enterré
d’abord sous les détritus du temple puis sous l’Acacia et enfin au fait d’être mis dans
une tombe « au sommet d’une colline » ou « enterré dans le sable du désert et marqué
Stratégie de Prière : A travers cette cérémonie, il peut y avoir une malédiction par le
fait d’avoir été le détritus du temple et cela peut aussi avoir une incidence dans
l’église. Pardonnez à ceux qui vous ont traité de détritus (poubelle, saleté) et brisez
�Je renonce et brise tout effet de la tête de mort sur le cercueil, et du rituel de
mortalité de la Mort.
passé pour renaître dans la « vérité et la lumière de la loge ». Notons que ce rituel peut
�Je brise chaque malédiction de mort liée à ce degré, et déclare que je ne mourrai pas
�Je renonce et je brise chaque effet de la fausse résurrection qui consiste à renaître à
la vie par le Maître Honorable qui usurpe la personnalité du roi Salomon utilisant la
pentagramme.
« La légende dit qu'après l'exécution des trois assassins, Salomon, Hiram de Tyr et quelques
d'arriver à la tombe, le roi Salomon et le roi Hiram s'entendaient pour que le "premier signe
donné à l'arrivée à la tombe et le premier mot dit seraient adoptés comme signe et mot donnés
dans toutes les loges de Maîtres jusqu'à ce que des générations futures trouvent les justes." Le
Maître Bâtisseur avait été dans sa tombe depuis 15 jours, alors quand ils s'approchèrent de la
tombe, l'odeur et la condition du corps étaient si terribles que les hommes spontanément
portèrent le dos de leur main droite sur leur visage pour protéger les yeux et ils tournèrent
leur tête légèrement vers la droite. La main gauche est un peu plus bas et tournée vers le sol,
comme si elle devait protéger les yeux de quelque chose sur le sol. Ceci fut adopté comme le
signe d'horreur.
Selon la version maçonnique de cette histoire, le premier mot prononcé était Mah-Hah-Bone.
L'histoire nous informe qu'ensuite Salomon ordonna à l'un de ses hommes d'essayer de
soulever le Maître Bâtisseur avec l'attouchement de l'apprenti (premier degré). (On le fait en
prenant la main comme pour une poignée de main normale, sauf que le pouce est placé
sur la première phalange.) Cependant, comme le corps est dans la tombe depuis 15 jours, la
peau est devenue trop glissante et le premier essai échoue. Il dit alors à Hiram, roi de Tyr:
(deuxième degré) pour voir s'il t'est possible de le soulever". Il prend la main droite comme
pour une poignée de main normale et il place le pouce sur la deuxième phalange et il
essaie de lever le Maître Bâtisseur, mais la peau glisse à nouveau et il est impossible de le
lever.
Salomon dit: "J'ordonne le silence complet. Et avec ton aide mon valeureux compagnon de
Tyr, je vais maintenant lever le corps avec la poignée forte du Maître Maçon ou la Patte du
fermement - et il appuie les bouts de ses doigts fortement contre les jointures du poignet
de la tombe sur les cinq points du compagnon qui sont: pied contre pied; genou contre
C'est dans cette position que le mot substitué "Mah-Hah-Bone" est chuchoté dans l'oreille. Le
corps est ensuite ramené au Temple où il est enterré dans le Saint des Saints qui est le
Chaque Maître Maçon à l'instar de la légende de Hiram Abiff fait l'expérience de cet
événement. On dit alors qu'il a été élevé. En termes maçonniques on pose la question: "De
quoi, vers quoi et par quoi es-tu élevé au degré du Maître?" RÉPONSE: "De l'état de mort,
à une vie perpendiculaire à l'équerre, par la forte poignée du Maître Maçon ou de la
Patte de Lion sur les cinq points du compagnon." Cette histoire a une profonde
�Je renonce et je brise toute violence rituelle, tout meurtre rituel et toute mort rituelle
du maître maçon.
�Je renonce aux faux dieux égyptiens Osiris et sa femme Isis qui ne sont rien d’autre
que Nemrod et sa femme Sémiramis, sur lesquels le mythe d’Hiram Abiff est fondé.
�Je brise et chasse l’esprit d’Isis dans tous les domaines et dimensions de ma vie.
�Je renonce et je brise la capacité de cet esprit d’Isis de rassembler et de refaire vivre
�Je renonce et je brise toute conséquence des mots secrets ‘Machabe’ et ‘Mah-hahbone’
Stratégie de prière : Brisez l’esprit de cancer invoqué à travers ces mots. Cela peut se
révéler être une bataille assez considérable. Si c’est le cas pour vous, faites vous aider
de quelqu’un qui peut prier avec autorité sur vous. Si vous êtes ou avez été fumeur,
« Voici le message que nous avons entendu de Lui et que nous vous annonçons : Dieu
est lumière et il n’y a pas en Lui de ténèbres. Si nous disons que nous sommes en
communion avec Lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons et nous ne
pratiquons pas la vérité. Mais si nous marchons dans la lumière, comme Il est Luimême
dans la lumière, nous sommes en communion les uns avec les autres, et le sang
de Jésus, Son Fils, nous purifie de tout péché. Si nous disons que nous n’avons pas de
péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est pas en nous. Si nous
confessons nos péchés, Il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous
purifier de toute injustice. Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous Le faisons
�Je renonce et j’enlève tous les insignes rituels, tels que les écharpes, les collerettes,
les manchettes, les boutons de manchettes et le tablier en peau de chèvre du troisième
degré.
�Je renonce et je brise tout effet du pouvoir de certificat du maître maçon sur ma
anti-christ de la Franc-Maçonnerie.
�Je me repens de la part de mes ancêtres pour avoir porté l’anneau de la Franc-
Maçonnerie et pour avoir enlevé leurs alliances de mariage pour les besoins de
l’initiation.
prenez garde que vos Esprits ne trouvent une ouverture pour s’exhaler, car cela ruinerai
votre OEuvre, et causerai beaucoup de mal, en brisant une des plus strictes Lois de votre
OEuvre ; et prenez garde aussi qu’ils ne s’élèvent pas trop violemment car ils briseraient la
Fiole ; qui doit être faite aussi solide que possible, et soufflée d’égale épaisseur, sans bulles
ni défauts, que vous devez mettre dans un anneau de laiton, ou elle doit être fixée avec
Vous verrez votre Eau voler vers le haut, et aussi le Corps bouillir en dessous ; et cette
devrez alors cuire, jusqu’à ce que le noir diminue, il sera alors succédé par une foule de
couleurs, et la lumière apparaîtra, continuer ce régime avec patience, jusqu’à ce que vous
voyiez la Lune s’élever avec ses clairs rayons : C’est alors notre jeune Roi qui venant de
°°
Mais il y a une signification ésotérique très puissance dans ce rituel de l'anneau.
Lucifer.
Toute alliance se signe dans le sang, pour être valide. La nôtre est signée dans LE SANG DE
L'AGNEAU. L'alliance de mariage est censée être signée lors de la rupture de l'hymen. En acceptant
un anneau d'alliance dans la Franc-Maçonnerie, on donne le droit légal à Satan de verser du sans dans
notre famille. En ôtant son alliance de mariage pour mettre cette alliance, on annule la première
alliance en la remplaçant par la seconde. Désormais, la véritable famille devient la confrérie maçonne:
c'est elle qui devra être protégée en priorité, même au dépens de notre famille ! Les FM font d'ailleurs
des serments renouvelés de protéger leurs « frères », même de la Justice, sauf dans un seul cas: celui
d'assassinat »
Dans le druidisme, l'anneau est nommé Awen: « esprit divin inspirateur et guidance ». Cet esprit
« divin », appelé lorsqu'on enfile l'anneau, n'est certes pas l'Esprit du Dieu Tout-Puissant ! Le
druidisme, comme le satanisme, rappelons-le, fait adorer la déesse terre, Gaïa, déjà adorée chez les
Grecs.
�Je renonce et je brise l’alliance occulte représentée par cet anneau ainsi que les
pouvoir ainsi que les fiançailles avec la Franc-Maçonnerie dans le Nom de Jésus.
Note : Le film « Seigneur des Anneaux » est entièrement d’inspiration maçonnique. Ce film,
s'occupe de haute philosophie, étudie les mythes religieux des différents âges de l'humanité et
Lumineux »
�Je renonce au fait d’avoir abandonné ma famille. Cet abandon est non seulement
représenté, mais aussi occasionné par le port de ce même anneau. Je renonce à tout
esprit d’abandon et à tout esprit de divorce à travers le port de cet anneau.
�Je renonce à la déclaration maçonnique que les femmes, et ceux qui ne sont pas
�Je brise le serment selon lequel ‘il faut avoir une vie cachée et secrète vis-à-vis de sa
�Je renonce et je brise tout effet des malédictions de l’abandon sur mon mariage et
�Je renonce et je brise tout effet du serment du Maître Honorable, selon lequel
‘j’aurai la main droite coupée et balancée sur mon épaule gauche jusqu’à ce qu’elle se
flétrisse et se décompose.