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Mellal
LE SYSTEME BUDGETAIRE
par M.Oubrahimi
Gestion prévisionnelle et
budgétaire
Le système budgétaire, comprenant les
budgets et un processus de contrôle
budgétaire, est un élément de contrôle de
gestion . Il permet :
§ La planification chiffrée des objectifs à court
terme (programmes et budgets)
§ Le suivi des activités
§ Le contrôle par comparaison des prévisions
et des réalisations
Gestion budgétaire
l Origine de la gestion budgétaire
Le terme de budget vient d’un vieux mot français la «
bougette », ou « petite bouge ». Au moyen âge , la «
bouge » désignait le coffre ou le sac permettant au
voyageur d’emporter avec lui marchandises ou effets
personnels.
Le terme a été repris par les anglais, pour signifier la
somme d’argent allouée à une entité administrative
(ministère) pour que celle-ci puisse fonctionner et mettre
en œuvre les décisions du parlement.
Chaque entité administrative dispose d’une assez
grande autonomie de décision, mais dans le cadre d’une
enveloppe budgétaire permettant d’effectuer un contrôle
a priori. Aucune dépense ne pourra être engagée si elle
n’a pas été prévue dans le cadre du budget.
Gestion budgétaire
Ce mécanisme d’allocation budgétaire permet à l’Etat de
résoudre un délicat problème de gestion: comment décentraliser en
gardant le contrôle.
Historiquement, la gestion budgétaire apparait comme la
transposition, en tant qu’outil de contrôle de gestion dans les
entreprises de procédures développées initialement pour les
besoins de la comptabilité publique et la gestion de l’Etat.
l La notion de budget
« Un budget est une affectation prévisionnelle quantifiée, aux
centres de responsabilité de l’entreprise, d’objectifs et/ou de
moyens pour une période déterminée limitée au court terme ». Un
budget représente la traduction ou le chiffrage en unités monétaires
de la mise en œuvre d’un programme. (le programme est une
prévision à court terme précisant dans le détail les niveaux
d’activités, les volumes e facteurs consommés.il est exprimé en
unités physiques (nombre d’heures de travail, quantités de
matières premières, nombre de produits fabriqués ou vendus, etc.)
Gestion budgétaire
Pour passer du programme d’activité au budget, l’on doit
procéder à des opérations de valorisation. Ainsi, il est
nécessaire de disposer d’information de nature technique et
surtout de nature économique exprimant les caractéristiques
de l’environnement tant interne qu’externe de l’entreprise:
Ø informations internes sur la structure des coûts, fournis par
la comptabilité analytique;
Ø Informations externes concernant l’anticipation de
l’évolution de certains prix (M1ère, prix de vente, etc.)
Soulignons qu’en général, l’horizon des budget est d’un an
(prévisions annuelles). Cependant les budget sont découpés
en période plus courtes (mensuelles) ce qui permet de
préciser le calendrier des actions au cours de l’année. Le
budget traduit un programme d’action en normes
prévisionnelles chiffrées lesquelles seront ultérieurement
confrontées avec les réalisations.
Gestion budgétaire
l La procédure budgétaire
La gestion budgétaire permet d’illustrer le contrôle de gestion
considéré comme un moyen de décliner la stratégie .
Ø Les six étapes de la budgétisation
Dans la réalité, la procédure budgétaire est une activité
cyclique qui rythme annuellement la vie de l’entreprise.
§ La compagne budgétaire s’articule autour d’un calendrier qui
dure trois à six mois. Pour un cycle budgétaire annuel
coïncident avec l’année civile, l’ensemble budgétaire doit être
prêt avant le 1er janvier .
§ la procédure d’élaboration des budgets s’étend sur plusieurs
mois qui dépend de la méthode utilisée. Il existe deux
méthodes: la méthode descendante (budget imposé: objectifs
et moyens) et la méthode participative.
§ la méthode participative permet de mieux impliquer et motiver
les cadres opérationnels sur les objectifs qu’ils devront
atteindre avec les moyens qu’ils auront contribuer à définir.
Mais cette démarche est plus longue que la méthode
descendante.
L’ensemble budgétaire peut se dérouler en six étapes
Gestion budgétaire
v fixation d’un calendrier
la direction générale aidée par le service du contrôle de gestion.
Envoie aux différents responsables une note d’orientation
générale. Appelée aussi « lettre de cadrage »
Ce document indique:
§ Les objectifs du plan en les actualisant et les grandes orientations
pour l’année à venir
§ Les axes d’action de la période budgétaire
§ Le calendrier à respecter.
les axes d’action peuvent être de trois types:
ü Développement : des ventes, des parts de marchés, de nouveaux
clients, de la rentabilité…
ü Réduction: des charges, du BFR
ü Maintien : de la rentabilité, du niveau de qualité, du leadership…
Celle-ci doivent être en accord avec le contenu du plan stratégique
en tenant compte des infléchissements nécessaires du fait de
l’évolution de l’environnement (une tranche d’investissement peut
être différée par exemple .
Gestion budgétaire
v pré-budgétisation
le cadre budgétaire étant défini, une première simulation est
réalisée au niveau de l’ensemble de l’entreprise afin d’établir
une première estimation du résultat. Avant ce travail on simule les
différents choix possibles.
à partir des données des études préparatoires et d’hypothèses
de prix (prix de vente, prix d’achat, salaire, frais de structure,
niveau d’activité…) le service du contrôle de gestion va estimer
par grandes masses les résultats possibles pour l’année à
budgéter.
ce travail consiste à tester plusieurs scenari. Lorsque la
simulation est achevée, plusieurs projets sont donc acceptables.
Il revient donc à la direction générale réunie pour la circonstance
en comité budgétaire de choisir celui qui parait le meilleur.
le modèle qui permet de construire rapidement le pré-budget est
le modèle des coûts variables (comptabilité analytique)
CA – CV = MSCV – CF = R
en gestion budgétaire, le pré-budget a un but incitatif. On se fixe
un objectif de résultat et le modèle est déroulé de bas en haut
pour arriver à un objectif de Chiffre d’affaires.
Gestion budgétaire
v budgétisation par fonction.
chaque responsable hiérarchique propose son budget et le négocie
avec son chef hiérarchique. Les différents budgets ( commerciaux,
production, approvisionnement, investissement, et services généraux)
sont développer précédemment.
Budget de trésorerie
Gestion prévisionnelle et
budgétaire
l Primature du budget de vente
il a été volontairement retenu l’hypothèse de la
contrainte des ventes dans le schéma d’élaboration des
budgets. Cette position s’explique par le fait que dans la
pratique, c’est presque toujours le budget des ventes
que l’on établit en premier lieu. Celui-ci permet, en effet,
d’appréhender les potentialités de l’entreprise au
travers de ces différents marchés.
d’une manière générale, le budget des ventes apparaît
comme le budget déterminant ou budget objectif. Par
conséquent, les autres budgets peuvent être considérés
comme des budgets résultants ou budgets relatifs aux
moyens à mettre en œuvre pour réaliser le budget
objectif.
Gestion prévisionnelle et
budgétaire
l Les budgets commerciaux
Les différents budgets commerciaux
s’établissent à partir d’un programme de ventes
(établis en volume). L’établissement d’un
budget commercial passe par deux phase :
§ Une phase de prévision commerciale qui
comporte deux étapes
ü le budget de vente
ü Le budget des charges de commercialisation
Y:
Variable
économique
. . . .
. . . . . .. .
. . . . . . . .
. . . .
X : Temps
Gestion budgétaire
l Le nuage de point correspond schématiquement à un
graphe en dents de scie. Ajuster cette série, consiste à
substituer à cet ensemble une fonction mathématique
simple.
l Le graphique ci-dessus permet d’envisager un
ajustement linéaire, c’est-à-dire rechercher une fonction
de la forme : Y = ax + b .
l La méthode la plus appropriée à cette recherche est
celle des moindre carrés, car elle permet, l’ajustement le
meilleur, dans la mesure où elle minimise le carré des
distances entre les valeurs observées et celle ajustées.
l Le problème étant de déterminer les coefficients a et b
par la méthode des moindres carrées
Gestion budgétaire
Gestion budgétaire
Autres types d’ajustement
Les fonctions d’ajustement peuvent être variées.
L’ajustement peut être:
l Ajustement par la droite de la forme:
y=a*x+b
l Ajustement par la fonction exponentielle de la forme :
y = b * a˟
l Ajustement par une fonction puissance de la formes:
l y = b * xª
Gestion budgétaire
La prise en compte de la saisonnalité des ventes
- Salaires
- commissions
- Charges sociales
- frais de déplacement
- Amortissement véhicules
machines
Les ajustements possibles
ajustement par augmentation de capacité
Gestion budgétaire : Production
l Les ajustement par une politique de stockage
Les ventes étant souvent irrégulière, le stockage permet
dans certain cas d’introduire une possibilité d’ajustement
et de flexibilité. Mais la régulation par les stocks n’est pas
toujours possible. C’est le cas pour les produits fabriqués
sur mesure ou à la commande.
l Les ajustement par déplacement de commandes
dans certains cas il est possible de faire patienté le client.
La plupart des équipements ménagers ou de consommation
durable entre dans cette catégorie. Le client accepte d’être
livré dans quelques jours, voir dans quelques semaines.
Gestion budgétaire : Production
Exemple 2
Entreprise AMAL fabrique 2 produits A et B nécessitant des
travaux dans deux ateliers I et II.
Le temps en heure machine par unité et par atelier sont
données dans le tableau suivant, ainsi que la capacité de
production :
Atelier I Atelier II
Produit A 3 heures 4 heures
Produit B 5 heures 3 heures
Capacité journalière 1500 heures 1200 heures
218
133
P AI
’
200
Total 1.200.000 DH
CHARGEMENT DES
ATELIERS
Volume de
production
• Produit A
• Produit B
Coûts de matière
premières
Cout du personnel
de production
Autres charges
directe
Total charges
directe
Charges indirectes
• Variable
• Fixes
Cout total de
production
Budget d’approvisionnement
La fonction approvisionnement recouvre trois activités:
l La gestion des achats
l La gestion des stocks
l Et la gestion administrative de la fonction
Sa mission est de permettre à l’entreprise de s’assurer que les
produits dont elle a besoins seront livrés au moment voulu, en
quantité voulue et au moindre coût.
Objectif Estimation
Quantités
Quantités stock final - stock initial
= consommées +
achetées matières de matières
par matière
premières premières
1 4 8 4
SA
SR
SS
Consommation pendant
la période de
réapprovisionnement
= 225 / 15 = 15 jours est le délais de livraison
Nombre de produits
consommés par jour
III. Budget des achats : méthode de planification.
Coût de rupture de
Cout de passation des Coût de stockage : stock:
commandes: amortissement ou loyer manque à gagner qui
Établissement de la des entrepôts se manifeste par des
commande Chauffage, électricité, ventes différées, des
Transmission assurance ventes perdues, des
Suivi et réception des Entretien arrêts de production et
produits Coûts financiers insatisfaction clients
pénalité diverses
L’objectif consiste à minimiser ces coûts.
En avenir certain la rupture de stock est
censée ne pas exister. Le modèle de
Wilson permet de déterminer la quantité
économique à commander (le lot
économique) qui minimise les deux
premiers coûts (coût de passation des
commandes et coût de stockage).
Le modèle peut être schématisé comme
suit :
Objectifs Hypothèses
Paramètres Inconnues
Q: quantité économique
C: consommation annuelle en quantité
f: coût d’obtention d’une commande Ou
t: taux de possession de stock / an
p: coût d’un article acheté N: nombre de commande avec N = C/Q
l Formalisation du modèle:
Ø Coût d’obtention des commandes K1
K1 = f * N et N = C/Q
Ø Le coût de possession du stock K2
En début de période, le stock initial SI est égal à Q et le stock
final SF à 0; compte tenu que Stock moyen = (SI+SF)/2 = Q/
2 ce qui implique que K2 = Q/2 * p * t
Ø Le coût de la gestion du stock s’écrit :
K1 + K2 = K = (f * C/Q) + (Q/2 * p * t)
K est minimum pour la valeur Q noté Q*, qui annule la dérivée
de K par rapport à Q.
√
2*C*f
Q* = P*t
N* = C/Q*
Pour cette valeur Q* , le coût de gestion du stock est minimum et
égal à
K* = √ 2 * C * t * p * f
Montant en
valeur
Coût de
gestion stock
K*
Q* Quantité de produits
l La budgétisation des approvisionnements
a- la méthode graphique :
Les étapes de la résolution graphique peuvent être résumées
comme suit:
l Tracer les consommations cumulées
l Reporter le stock initial
l Déterminer la première date de rupture (quand le stock est
égal à la consommation cumulée)
l Reporter à partir de cette rupture le stock de sécurité puis le
délais de livraison pour obtenir la date de la livraison et la
date de la commande
l Reporter la livraison au niveau de la date de la livraison
Pour simplifier la recherche des dates, les mois sont de quatre
semaines.
La démarche est :
Exemple:
Le stock initial est de 800. Il y a risque de rupture à fin janvier, il
faut donc une livraison de 2000 produits au 15 janvier.
Cette entrée permet de tenir jusqu'à mi mars : compte tenu du
délai de sécurité, il faut une livraison de 2000 produits au début
de mars… etc.
Détermination des dates de livraisons:
Date de la première livraison : 15 janvier
Quantité disponible au 15 janvier :
SI + entrées = 400 + 2000 = 2400
C° = ½ C°janvier + C° février = 400 + 1200 = 1600
2400 – 1600 = 800 fin février , à cette date SS = 900
800 < 900 d’où réapprovisionnement au 1ier mars.
l Date de la 2ième livraison : 1ier mars
Quantité disponible : SI + entrées = 800 + 2000 = 2800
C° mars 1800 ; 2800 – 1800 = 1000 < SS (1200) nécessité de
réapprovisionnement au 1ier avril
l Date de la 3ième livraison 1ier avril
Quantité disponible : SI + entrées = 1000 + 2000 = 3000
C° avril 2400; 3000 – 2400 = 600 or SS (500) ; pour éviter la
rupture de stock, nécessité de réapprovisionnement au 1ier
mai.
l Date de la 4ième livraison: 1ier mai
Quantité disponible : SI + entrées = 600 + 2000 = 2600
C° mai + C° juin = 1800
SF fin de juin = 2600 – 1800 = 800
b- la méthode comptable
l le calendrier des commandes
Dates de
SF avec Livraison SF Dates de
Mois C° sorties command
rupture s définitif livraisons
es
Décembre
800
N-1
Févrie
Mois Janvier Mars Avril Mai Juin
r
Date de
1er 15 1er 15
commande
Stock initial 800 2100 900 2400 1400 400
400+
livraisons 2100 3300 1400
x
consommation 800 1200 1800 2400 1000 800
Stock final 2100 900 2400 1400 400 x
Budget approvisionnements
II. Le budget des frais d’approvisionnements
ce budget est composé d’une partie de charges fixes, de
structures de la fonction d’approvisionnement ( salaires,
amortissements, des matériels, locaux…) et une partie de
charges variables ( les aspects logistiques et les charges
financières liés à la détention des stocks).
Budget des investissements
Les budgets précédents concernaient l’exploitation. Il est
nécessaire en parallèle d’assurer le développement et
d’améliorer le fonctionnement de l’entreprise. Ces opération
relèvent de projets qui portent sur plusieurs années et
s’inscrivent dans le cadre du plan opérationnel (ou plan à
moyen terme). Ainsi le plan de financement des
investissements. Le budget des investissements reprend
donc les informations du plan d’investissement pour l’année
avenir en y ajoutant éventuellement des investissements
complémentaires ( investissement d’amélioration des
équipements actuels, ou de renouvellement) et en le détaillant
par responsable opérationnel pour pouvoir effectuer un suivi
des dépenses.
Budget des services généraux
Le services concernés sont principalement les services
fonctionnels, c’est-à-dire les fonctions prestataires des activités
opérationnels. ( DG, DRH, DFC, contrôle de gestion, DAI,
service juridiques et autres).
On procède en trois phases:
l Une enveloppe budgétaire globale est définie pour l’ensemble
des services concernés.
l Chaque responsable de service indique ses prévisions de
dépenses
l Une réunion de répartition et de négociation de l’enveloppe
globale est alors organisée.
NB: au niveau des deux étapes , le budget est souvent reconduit à
l’identique ou corrigé pour prendre en compte les
augmentations de prix et salaires. La 3ième étape à tendance à
favoriser le responsable plus apte à la négociation qui
obtiendras le budget le plus confortable
Le budget de trésorerie et documents de
synthèse
TVA à TVA
TVA
décaisser
=
TVA
collectée du
- déductible /
immobilisatio - déductible /
du moi M charges du
moi ns du moi M
mois M - 1
Décaissements autres charges
Budget trésorerie
J F M A M J
Trésorerie
130000 4805 77462 - 8001 97066 -11577
initiale
Trésorerie
4805 77462 - 8001 97066 - 11577 132170
finale
Les document de synthèse
Avec les budgets et le plan de trésorerie, on est en
possession de toutes les informations permettant de bâtir le
compte de résultat et bilan prévisionnel.
l L’établissement des budget n’est pas une
fin en soi mais doit permettre la mise en
place des outils de suivi et de contrôle de
gestion
Le contrôle budgétaire
l Le contrôle budgétaire est un élément
fondamental du système budgétaire de
l’entreprise, lequel fait partie du contrôle de
gestion. Pour sa mise en place, il est nécessaire
de définir les principes d’analyse des écarts,
notamment le choix de ces écarts, leur calcul et
la recherche de leurs causes ( et à travers
celles-ci des responsabilités). Les écarts
significatifs constatés et leurs causes identifiées,
des actions correctives peuvent être mise en
place avec profit, si les conditions d’efficacité du
contrôle budgétaire ont bien été respectées.
Le contrôle budgétaire
l Pourquoi le contrôle budgétaire
L’ensemble budgétaire, système à court terme,
s’inscrivant dans le cadre d’un plan à moyen
terme, permet à l’entreprise de préciser la
direction vers laquelle elle souhaite se diriger et
les moyens pour y parvenir.
Mais il ne suffit pas de construire des budget
pour atteindre les objectifs souhaités: il est
nécessaire de vérifier si ceux-ci sont atteints.
C’est la raison pour laquelle le contrôle
budgétaire est important.
Le contrôle budgétaire
Direction générale
Moyens
Contrôle des objectifs
À court terme :
Centres de responsabilité Plan à court terme : Suivi budgétaire et
Budget Tableaux de Bord
Objectifs partiels issus
de l’objectif général
À moyen terme
Prévisions Réalisation
Budgets Écart
l Il
existe plusieurs méthodes de
décomposition des écarts. Celles-ci
dépendent en particulier de l’organisation
de l’entreprise et des objectifs assignés
au système de contrôle.
q Mise en œuvre du
calcul des écarts Écart sur résultat
E/activité =
budget flexible (de l’activité réelle)
-
Coût préétabli du centre de l’activité réel
L’analyse des écarts
l Ecart sur rendement
E/rendement =
Coût préétabli du centre de l’activité réel
-
Coût préétabli imputé à la production réelle