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risque en Colombie
Geohistory of natural disasters in risk management in Colombia
Mauricio GONZALEZ RODRIGUEZ. Géographe de l’Université Nationale de Colombie.
e-mail: stmgonzalezro@unal.edu.co
Résumé
La Colombie est un territoire très susceptible aux menaces des phénomènes naturels dû à
son contexte naturel d’un pays tropical et aux complexes caractéristiques, climatiques,
géologiques et géomorphologiques. Dans ce pays, tout au long de son histoire, se sont produites
plusieurs catastrophes naturelles telles que les évènements sismiques, volcaniques, inondations
ou glissements de terrain torrentiels ayant causé plusieurs victimes, des graves conséquences
sociales, économiques et environnementales. Depuis novembre 1985, où l’éruption du Volcan
Nevado del Ruiz a détruit complément la commune d’Armero et donné la mort à plus de 24
000 personnes, la gestion du risque a commencé dans ce pays en donnant des instruments
institutionnels pour la prévention et la gestion des catastrophes naturelles.
Cet article vise à montrer les résultats d’une analyse géohistorique des grandes catastrophes
naturelles ayant lieu en Colombie, en les comparant avec la structure gouvernementale de
prévention et gestion des risques à tous les niveaux de décision (national, régional et local).
Cela afin d’établir les points forts et les faiblesses qui aident à la construction d’une
management intégrée et efficiente des risques.
Summary
The objective of this article is to show the results of a geohistorical analysis of the main
disasters in Colombia, comparing them with the governmental structure of prevention and risk
management in the different levels of decision making (national, regional and local),
determining strengths and weaknesses that support the construction of an integral risk
management.
Dans cet article se présente une analyse de la géohistoire des catastrophes naturelles en
Colombie, aussi sa relation avec l’origine et transformation des processus et des structures du
gouvernent à ce qui concerne la gestion du risque dans le pays. Grâce à cette recherche, on a
déterminé l’état actuelle des processus de gestion de risque dans les différents niveaux de prisse
de décision - national, départemental et municipal- en identifiant les forces et les défis à
surmonter à ce qui concerne la prévention de catastrophes, et en ajoutant une série de règles
dirigés vers une gestion des catastrophes naturelles dans le territoire de Colombie.
Dès l’occurrence de ces catastrophes dans le pays s’a donné origine à une structure
institutionnel de gestion de catastrophes, accompagné des actions et normes dirigés à réduire
les effets des phénomènes naturelles menaçants, et à prévenir des nouvelles situations d’urgence
dans le pays. Cette structure a été de caractère dynamique, alors elle a évolué et a été restructuré
de manière parallèle à l’occurrence de nouvelles situations d’urgence dans le pays.
Après se montre les résultats de tout le processus de gestion dans le pays dès son origine
jusqu’à l’actualité, on souligne les principaux progrès, comme par exemple les changements de
paradigme qu’entraîne, grâce à la contribution des Nouvelles réflexions et à des recherches
réalisées autour du sujet dans l’académie et les institutions. Finalement, se propose un ensemble
de lignes orientées à surmonter les principaux défis de la gestion du risque en Colombie, et en
guise de conclusion s’ajoute une série de réflexions sur les besoins de générer nouvelles
techniques-scientifiques que permettent renforcer les procédés de catastrophes dans les
territoires.
L’analyse géographique des catastrophes qui ont eu lieu dans le pays, a été réalisée sur la
base de contenus présents dans l’inventaire historique national des catastrophes, disponibles
dans la base de données appelée Desinventar. On a relevé au total 27.826 registres d’urgences
associées aux principales catastrophes naturelles et menaçantes qui se sont produites en
Colombie à partir de 1914 jusqu’à nos jours. C’est ainsi qu’on a pu déterminer des tendances
spatiales qui ont permis d’identifier les zones géographiques ayant le plus de probabilité d’avoir
un de ces types de phénomènes et on a réalisé des études des cas spécifiques des processus de
gestion de risque au niveau municipal, avec, comme objectif, celui de fournir des informations
sur l’état actuel des politiques mises en place pour la gestion du risque dans le pays.
Ce sont les phénomènes d’origine hydrométéorologique (des crues éclairs, des pluies
torrentielles, des inondations) caractérisés par produire des impacts locaux, mais de haute
fréquence, ceux qui ont généré historiquement la plus quantité de dégâts matériels et de lourdes
pertes en vies humaines dans le pays, dépassant même aux évènements d’origine géologique,
dont l’impact à niveau régional ou national a plus d’ampleur. Aussi, les effets socio-
économiques générés par les phénomènes menaçants se concentrent dans les zones rurales, c’est
plus de 50% de la population se trouve dans des conditions de besoins non satisfaits (NBI) – Le
NBI est une mesure utilisée en Amérique Latine pour caractériser la pauvreté d’une population
– (LA BANQUE MONDIAL, 2012)
Même si les registres sur les catastrophes dans le pays sont datés dès 1914, c’est jusqu’à la
décennie des années 80 -époque dont le pays s’est vu affecté par des multiples catastrophes-
une fois on a commencé à développer des dégâts de pertes à niveau social, économique et
ambiental des populations touchées pour chaque phénomène. Cela a permis dimensionner le
besoin de générer des stratégies appropries à fin d’atténuer les conséquences des catastrophes.
Depuis 1980, l’occurrence de phénomènes d’origine géologique, comme l’éruption du Volcan
Nevado del Ruiz et le séisme de la ville de Popayán, qu’ont a eu des multiples effets à niveau
régional et national, ils ont suscité diverses pensées que signifient un point de commencement
pour le développement des actions institutionnels dirigés vers la gestion du risque, aussi comme
pour l’étude des différents phénomènes naturels menaçants que se passent dans le pays. Les
phénomènes les plus importants que s’expliquent ci-après :
1) Phénomènes d’origine sismotectonique
La concentration démographique des principales villes dans ces régions du pays, fait que
le potentiel de catastrophes associés aux séismes résulte significativement haute en Colombie.
Les villes comme Bogota, Medellin, Manizales, Armenia et Cali sont celles qu’ont dû faire face
à une grande quantité d’émergences causées par ces phénomènes. (Fig. 2b)
Dans l’histoire du pays se sont produits des événements qu’ont généré des effets importants
au niveau social et économique dans le territoire. Les réflexions ultérieures aux séismes ainsi
comme Popayán (1983), Páez (1994) et dans l’Eje Cafetero (1994) ont conduit la construction
des bases conceptuelles et méthodologiques pour le développement des actions institutionnelles
dirigées vers la réduction des risques associés à l’occurrence de séismes dans le pays :
Popayán est une ville capital située dans le sud-occident du pays, dans le vallée inter andine
de la rivière Cauca, entre les cordelières Central et Occidental. Cette zone est caractérisée pour
avoir une tectonique convergente associé à la subduction de la plaque de Nazca sous la plaque
Sud-américaine, laquelle (aussi) a générée deux systèmes de failles géologiques de type
régional qu’augmentent la séismicité du terrain sur lequel s’a établi la municipalité, conduisant
à des scénarios de risque pour l’activité séismique. (MAIRIE DE POPAYAN, 2006)
Le 31 mars de 1983, dans cette zone s’a registré un tremblement de terre d’magnitude 5.5
dans l’échelle de Richter, avec une profondeur de 15 Km de la surface, détruisant près de 2.470
logements et affectant les bâtiments du centre-ville. Malgré n’est pas être un séisme
relativement fort, les accélérations verticales ont dépassé les horizontales générant mouvements
de haute intensité, détruisant une grande quantité de constructions, causant la mort de 283
personnes et laissant 1.200 blessées. (SARRIA, 2005)
Les dégâts causés par le séisme ont été estimés à USD 300 millions de l’époque, affectant
en grande magnitude les sources d’emploi de la région qu’ont renforcé encore plus les dégâts
économiques. En plus, à cause des impacts de cette catastrophe plus de 26.000 personnes, des
villages alentour, ont immigré à Popayán, dépassant la capacité des organismes d'aide que
n’avaient pas des effectives stratégies de réponse, de cette manière s’augmentaient la magnitude
de l’émergence. (MAIRIE DE POPAYÁN, 2012)
L’occurrence de ces évènements a été une des premières expériences dans le pays qu’à
motivé le développement des stratégies et des actions de part du gouvernement national afin de
faire face aux émergences de cette magnitude. De cette manière, s’a créé le Fondo Nacional de
Calamidades, lequel reçoit des budgets destinés à l’attention des catastrophes, en plus, le
Gouvernement a instauré des normes d’ingénierie et architecturales pour le design et
construction des bâtiments ayant accompli les normes antisismiques crées par les associations
d’ingénierie américaines. (GARCIA, 2014)
Figure 5. Image satellite du volcan Galeras, et la ville de Pasto vers l’orient. Image registré
par le satellite Sentinel II. Année 2017
a) L’éruption du volcan Nevado del Ruiz (1985)
Armero c’était une municipalité située dans le piémont oriental de la Cordillère Central des
Andes colombiens, dans la zone d’influence du volcan Nevado del Ruiz, un de plus important
du pays, et l'un des plus actifs actuellement.
C'est aux environs de 1984 que l’émission de fumerolles de la part du volcan et l’activité
sismique ont augmenté, ce qui donne à penser la possibilité d’une éruption volcanique de grande
magnitude. Différents groupes de scientifiques ont averti sur la possibilité de l’occurrence de
cet événement, et ils ont averti sur le haut risque de lahares que peut arriver à affecter les
populations des environs. (BARBERI, MARTINI, ROSI, 1990) Malgré les alertes générées de
la part des entités comme l’Instituto Nacional de Investigaciones Geológico Mineras
(INGEOMINAS) (Fig. 6), la Croix-Rouge colombienne et la défense civile colombienne, les
autorités gouvernementales à niveau national, régional et local n'ont pas tenu compte les
recommandations pour le développement des actions préventifs que permettaient l’évacuation
des populations en risque. (MILETI, ET AL, 1991)
Pendant la nuit du 13 novembre 1985, le volcan est entré en éruption fondant la calotte
glaciaire présente dans l'édifice volcanique, cette situation a laissé que les lahars descendent
pour les canons de ses bassins hydrographiques, traînant des grandes pierres, matériel végétal
et décombres. Une fois dans le piémont, le lahar de la rivière Lagunillas a couvert la totalité de
la population d’Armero, plus de 22.000 personnes ont perdu la vie. De même, pour le versant
occidental s’est passé un autre lahar affectant la population de Chinchilla avec la mort d’autres
2.500 personnes.
Figure 6. Carte de risque pour les éruptions volcaniques fait par INGEOMINAS un moins
avant la tragédie de novembre de 1985. Source : WRIGHT Y PEARSON (1992)
b) Les actions institutionnelles pour la gestion de risques associés à l’activité volcanique
La tragédie d’Armero a été l’événement historique qui a marqué le début des processus
institutionnels de gestion de risque dans le pays. Le besoin de générer des stratégies pour la
prévention et les secours en cas de catastrophe a fait que le Gouvernement National a créé en
1988 le Sistema Nacional para la Prevención y Atención de Desastres -SNPAD-, soulevé
comme un organisme de gestion intégral vers la problématique des catastrophes, il cherche
s’approcher non seulement à la réponse aux secours en cas de catastrophe, mais aussi la
prévention et réduction du risque.
En Colombie, le climat tropical est caractérisé par un régime bimodal en grande partie du
territoire, des fois influencé par des phénomènes de variabilité climatique comme El Niño–
Oscilación del Sur (ENSO), ajouté aux conditions topographiques, géologiques, hydrauliques
et l’occupation et l’usage de la terre font que le pays soit extrêmement sensible aux mouvements
en masse comme les glissements et les coulées de boue. Les zones les plus exposées se trouvent
principalement dans les chaînes montagneuses de la région Andine, lieu où s’a accentué plus
de 70% de la population du pays. (UNGRD, 2018)
C’est spécifiquement dans les zones les plus hautes que sont arrivées les catastrophes
associées aux mouvements de masse. Les conséquences des tragédies ont généré des réflexions
et des rétroactions aux systèmes et aux stratégies de gestion du risque en Colombie, favorisant
la construction des nouveaux mécanismes pour réduire les risques naturels. Suivi, on va exposer
les cas les plus représentatifs :
Le cartier Villatina a été un camp informel situé sur la versant nord-ouest de la colline
Cerro Pan de Azúcar, dans la ville de Medellin, Antioquia. Depuis les années 1940, le camp
informel a commencé s’élargir jusqu’à se consolider dans les années 70 grâce à l’accélération
des processus d’urbanisation, industrialisation, et la croissance démographique de Medellin.
(COUPÉ, ET.AL, 2007)
Le Cerro Pan de Azúcar se conforme par la dunite de Medellin, une formation géologique
que dans la zone se trouvait déchirée et cisaillée par des processus tectoniques, générant des
grands blocs de roche entourés d’une matrice semi-perméable et faible à la météorisation. Ces
zones de cisaillement ont la présence d’altérations dans la roche à minéraux comme chlorite,
talc et amiante, créant ainsi des surfaces d’affaiblissement lisses que des fois coïncident avec la
pente naturelle du terrain. En plus, la topographie de la colline se caractérise par les brusques
changements de pente, dans certaines zones dépassent le 45% d’inclinaison, des zones instables
dans le terrain. (GARCÍA, 2005)
Cette catastrophe s’est produite alors que le pays n’était pas totalement rétabli de la
catastrophe d’Armero, quelques années avant. Malgré le commencement des actions
institutionnelles pour créer des groupes techniques dédies à la prévention et l’attention des
secours en cas de catastrophe, dans ce temps-là on n’avait pas les recherches suffisantes pour
déterminer les zones de risques naturels qui ne peuvent être résolus, raison pour laquelle cette
émergence a motivé la réalisation de ces recherches, sous l’objectif de connaître les différents
risques dans les territoires.
Salgar est une municipalité située dans le sud-ouest du département d’Antioquia, sur la
cordillère occidentale. Ce territoire possède un climat humide et tropical, la précipitation
annuelle dépasse les 3.000 mm/année ; En plus, se trouve composé d’un relief principalement
escarpé, avec pentes de 30 degrés dans le 40,8% du terrain. Ces conditions et, la localisation
géographique permettent que coulent pour la municipalité plus de 120 cours d’eau dans ses
bassins versants supérieurs et moyens.
Le 18 mai de 2015 dans la soirée, une forte précipitation dans le bassin versant supérieur
de la Quebrada Liboriana, a donné lieu à des pluies torrentielles sur son canal qu’a touché
l’agglomération urbaine de la municipalité, ainsi comme d’autres colonies de peuplement se
situent dans la rivière de la quebrada, le résultat c’est la mort de 78 personnes, 535 maisons
détruites, ainsi comme une partie de l’infrastructure des voies de la municipalité. Le total, 782
personnes directement affectées par l’occurrence de cette catastrophe naturelle. (UNGRD,
2015)
Figure 8. La vue aérienne de l’coulée de boue de Salgar, Antioquia. Source : Cabrera (2015)
Mocoa est une ville située dans la région du piémont amazonien, c’est le capital du
département de Putumayo et elle a 43.700 habitants. Sa position géographique justifie qu’elle
a un régime unimodal de fortes précipitations, avec des précipitations moyennes annuelles de
4130 mm/l’année. Par ailleurs, la transition de pente entre la Cordillère des Andes et la Plaine
Amazonienne, ont donné des cônes de déjection dans les zones baisses des rivières, qu’au même
temps commencent des cours d’eau en tresses ayant un lit majeur où divague le lit mineur.
Pendant la nuit du 31 mars 2017, on a enregistré une précipitation de 129 mm qu’a causé
des glissements dans la partie haute et moyenne des microbassins de rivières Sangoyaco et
Mulato, en plus de cours d’eau, générant une coulée fluvio-torrentielle avec un torrent de boue
et de roches. La catastrophe a causé l’affectation de 48 quartiers de la municipalité, la mort de
332 personnes, 398 blessés, 77 personnes disparues et plus de 22.000 sinistrés. En plus,
plusieurs parties de l’infrastructure routier ont été affectés, aussi que des équipements publics
et sociaux basiques. (DEPARTAMENTO NACIONAL DE PLANEACIÓN -DNP-, 2017)
L’UNGRD a remarqué que les causes principales de cet évènement : la composition
argileuse et sablonneuse des sols, la présence de failles géologiques dans la zone, les hautes
pentes qui dépassent le 45% inclinaison, et les processus de déboisement des forêts primaires
situés sur les parties hautes dès les bassins des rivières. (CRISTO, 2017)
L’étude historique des catastrophes les plus importantes a permis l’identification des
mesures de gestion du risque qui ont été créé en alternance a ces évènements. La concrétisation
des catastrophes comme ce qui a passé à Armero, en 1985 a mis en évidence le besoin de
création d’une politique nationale qui engage une proximité intégrale dans la pratique par
rapport aux problématiques associées aux catastrophes du territoire. Par la même, chacune des
structures et des normatives qui ont été créées pour la gestion du risque a signifié un changement
de paradigme à l’époque et une évolution considérable dans la façon comme les institutions du
gouvernement et la société colombienne ont réagi à la problématique du risque.
La survenue de multiples types de phénomènes naturels de menace dans des territoires avec
des dynamiques historiques, sociales, culturelles et économiques très complexes dans le pays
exige un traitement multisectoriel de la gestion du risque, dans lequel il faut prendre en
considération : D’une part, la compréhension des processus naturels qui donne origine au
phénomène menaçant et d’autre part, l’étude des différentes façons de construction sociale du
risque. De cette façon et à travers le temps, on a entendu avec les réflexions et les expériences
que les catastrophes ont été réduites dans la mesure où les sociétés sont organisées à niveau
local, régional et national. C’est-à-dire, la gestion du risque, c’est un ensemble de processus qui
doivent être liés aux mécanismes d’ordonnément et de développement social. Dans cette
perspective, la compréhension des particularités de chaque territoire qui ont des cas uniques de
scenarios de risque suppose une reconnaissance des méthodologies spécifiques pour son
réduction mais aussi, une coordination interinstitutionnel articulée avec la participation et
organisation communautaire, ceux sont les mécanismes les plus importants pour renforcer les
processus de gestion du risque dans le territoire, donnant lieu à des résultats attendus.
Les dynamiques naturelles en Colombie son bien complexes, cela fait que le territoire soit
susceptible à la survenue des phénomènes naturels menaçants. A travers l’histoire, la société
colombienne a compris qu’il faut gérer des actions qui permettent d’atténuer les impacts de ces
évènements dans la communauté. Les mauvaises expériences ont été une source pour le
renforcement et l’apprentissage constants des risques naturels et au même temps ont donné la
création de nouvelles perspectives au tour de la problématique. Ce qui importe ce qu’on doit
continuer à travailler et à réfléchir sur le sujet, en enrichissant de cette manière les
connaissances technique-scientifiques qui aident dans la retro alimentation des processus
territoriaux de gestion du risque, en offrant des nouveaux outils qui permettent prévenir des
catastrophes.
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