Serveur DHCP - Configuration incorrecte -
>problèmes de
Plan  :
1. Introduction
2. Définition du serveur DHCP
3. comparaison entre la
configuration manuelle et
dynamique
4. Définition du paramètres TCP/IP
5. le fonctionnement du DHCP
6. Comment vérifier la durée de
votre bail DHCP?
7. Comment modifier la période de
bail DHCP ?
8. comment renouveler votre bail
DHCP sur Windows ?
Définition du serveur DHCP
Définition DHCP :Le
protocole DHCP ( Dynamic Host
Configuration Protocol ) est
un protocole de gestion de
réseau utilisé sur les réseaux IP
( Internet Protocol ) pour attribuer
automatiquement des adresses
IP et d'autres paramètres de
communication aux périphériques
connectés au réseau à l'aide
d'une architecture client-serveur  partie de l'adresse commune à
comparaison entre la
configuration manuelle et
dynamique
configuration statique:
- Adresse IP entrées
manuellement
- Risque d’erreurs (adresse
incorrecte ou invalide )
communication réseaux
- Surcharge administrative
sur les réseaux dont les
ordinateurs sont souvent
d’élacés
configuration dynamique:
- Adresses IP fournies
automatiquement
- Les clients utilisent toujours des
informations de configuration
correctes
- Configuration des clients
automatiquement mise a jour ->
refléter les modifications de
structure réseau
Définition du paramètres TCP/IP
Adresse IP :Une adresse IP
(Internet Protocol) est un numéro
d'identification qui est attribué de
façon permanente ou provisoire à
chaque périphérique relié à un
réseau informatique qui utilise
l'Internet Protocol .
Masque sous-réseau : Un sous-
réseau est une subdivision logique
d'un réseau de taille plus
importante. Le masque de sous-
réseau permet de distinguer la
tous les appareils du sous-réseau
et celle qui varie d'un appareil à
l'autre. Un sous-réseau correspond
typiquement à un réseau
local sous-jacent.
DNS :Le Domain Name
System ou DNS est un
service informatique distribué
utilisé qui traduit les noms de
 domaine Internet en adresse IP ou
autres enregistrements.
Adresse MAC :Une adresse
MAC (de l'anglais Media Access
Control), parfois nommée adresse
physique, est un identifiant
physique stocké dans une carte
réseau ou une interface
réseau similaire.
passerelle :une passerelle  est le
nom générique d'un dispositif
permettant de relier deux réseaux
informatiques de types différents .
Le fonctionnement du DHCP :
DHCPDISCOVER :
l'appareil génère un message spécial
appelé message DHCPDISCOVER et diffuse
ce message sur le segment LAN local.
Pour diffuser les messages
DHCPDISCOVER, l’appareil utilise
respectivement 0.0.0.0 et
255.255.255.255 .
Le 0.0.0.0 et 255.255.255.2555 sont deux
adresses spéciales. Tout appareil, qu'il ait
ou non une configuration IP valide, peut
utiliser ces adresses pour envoyer des
messages de diffusion locaux.
A partir de ces adresses, le 0.0.0.0 est
utilisé comme adresse source. Si un
appareil n'a pas l'adresse source, il peut
utiliser cette adresse pour envoyer des
messages de diffusion. 255.255.255.2555
est l'adresse de diffusion locale. Tout
message envoyé sur cette adresse est reçu
par tous les hôtes du réseau local.
OFFRE DHCP:
Étant donné que le client envoie le
message DHCPDISCOVER à l'adresse de
diffusion locale, si un serveur DHCP est
configuré sur le réseau local, il recevra
également le message. Si plusieurs
serveurs DHCP sont configurés sur le
réseau local, ils recevront tous
le message DHCPDISCOVER .
Si plusieurs serveurs DHCP sont
disponibles, selon leur configuration, l'un
d'entre eux ou tous peuvent répondre
au message DHCPDISCOVER .  En réponse
au message DHCPDISCOVER , un serveur
DHCP envoie un message DHCPOFFER au
client.
Comme le client n'a pas d'adresse IP, le
serveur DHCP ne peut pas envoyer le
message DHCPOFFER directement au
client. Pour cette raison, le serveur définit
l'adresse de destination sur
255.255.255.255 . En d'autres termes, le
serveur diffuse également le
message DHCPOFFER sur le réseau local.
Le message DHCPOFFER contient des
informations spécifiques au protocole et
une configuration IP. Une configuration IP
comprend généralement les informations
importantes suivantes : l'adresse IP du
client, le masque de sous-réseau de
l'adresse IP proposée, l'adresse IP de la
passerelle par défaut, le nom de domaine
DNS, l'adresse ou les adresses du serveur
DNS et le serveur TFTP. adresse ou
adresses.
Le message DHCPOFFER contient
également d'autres informations
spécifiques au protocole telles que
la durée du bail et l'ID client 
Requête DHCP :
Tous les hôtes du réseau local reçoivent
le message DHCPOFFER . L'hôte qui a
envoyé le
message DHCPDISCOVER accepte le
message DHCPOFFER . À l'exception de
l'hôte d'origine, tous les autres hôtes
ignorent DHCPOFFER .
Le message DHCPDISCOVER contient
l'adresse MAC de l'hôte. Lorsqu'un
serveur DHCP diffuse un
message DHCPOFFER , il inclut également
l'adresse MAC de l'hôte dans un
paramètre appelé ID client . Lorsque les
hôtes reçoivent le message DHCPOFFER ,
ils vérifient le champ ID client dans le
message. Si un hôte voit son adresse MAC
dans le champ ID client, l'hôte sait que le
message lui est destiné. Si un hôte voit
l'adresse MAC d'un autre hôte dans le
champ ID client, l'hôte sait que le message
ne lui est pas destiné.
Selon le nombre de serveurs DHCP, un
hôte peut recevoir plusieurs
messages DHCPOFFER . Si un hôte reçoit
plusieurs messages DHCPOFFER , il
n'accepte qu'un seul message et indique
au serveur correspondant avec un
message DHCPREQUEST qu'il souhaite
utiliser la configuration IP proposée.
Si un seul serveur DHCP est disponible et
que la configuration IP fournie entre en
conflit avec la configuration du client, le
client peut répondre par un
message DHCPDECLINE . Dans cette
situation, le serveur DHCP propose une
autre configuration IP.
Lorsque les serveurs DHCP reçoivent le
message DHCPREQUEST , outre le serveur
dont l'offre a été acceptée, tous les autres
serveurs retirent toute offre qu'ils auraient
pu faire au client et renvoient l'adresse
offerte au pool d'adresses disponibles.
Le message DHCPREQUEST contient un
champ ID de transaction . Tout comme les
hôtes utilisent le champ ID client du
message DHCPOFFER pour savoir si le
message leur est destiné ou non, les
serveurs DHCP utilisent le champ ID
transaction du
message DHCPREQUEST pour savoir si
leur offre a été acceptée ou non.
DHCPACK :
Lorsque le serveur DHCP reçoit un
message DHCPREQUEST du client, le
processus de configuration entre dans sa
phase finale. Dans cette étape, le serveur
envoie un message DHCPACK au client.
Le message DHCPACK est un accusé de
réception au client indiquant que le
serveur DHCP a reçu le
message DHCPREQUEST du client, et le
client peut utiliser la configuration IP
offerte.
Dans certains cas, le serveur peut
également répondre par un
message DHCPNACK . Le
message DHCPNACK indique au client que
l'offre n'est plus valide et que le client doit
redemander une configuration IP. En règle
générale, cela se produit lorsque le client
prend trop de temps pour répondre avec
un message DHCPREQUEST après avoir
reçu un message DHCPOFFER du
serveur. Dans un tel cas, le client peut
faire une nouvelle demande pour une
autre configuration IP.
Comment vérifier la durée de votre bail
DHCP?
 Sur windows :
La durée du bail DHCP :
Une adresse IP attribuée par DHCP n'est
pas permanente et expire dans environ 24
heures. C'est ce que l'on appelle une
durée de bail DHCP.
 Vérification du bail DHCP :
1. Rechercher Invite de commandes .
2. cliquez dessus avec le bouton droit et
choisissez Exécuter en tant
qu'administrateur .
3. appuie sur le les fenêtres + R  .
Tapez cmd  Tapez cmd
4. appuie sur le les fenêtres + X  , puis
sélectionnez Invite de commandes
(Admin) .
5. cliquez sur Oui pour permettre à
l'application de se lancer avec des
autorisations administratives
6. tapez la commande : ipconfig / all
vous voyiez le Bail obtenu et Le bail
expire lignes .
Comment modifier la période de bail
DHCP ?
 Sur windows :
1. Ouvrez un navigateur Web .Tapez
192.168.1.1 ou alors 192.168.0.1  .
2. Une fois la page du routeur
chargée, vous serez invité à vous
connecter avec les informations
d'identification correctes.
3. Une fois connecté, accédez
à Paramètres et recherchez
le Paramètres réseau / LAN ou
alors Paramètres DHCP section
4. Vous pouvez modifier la valeur à
n'importe quelle période de temps
dans les limites de vos routeurs.
5. Enregistrez vos paramètres avant
de quitter la page du routeur.
Après avoir modifié la durée de
votre bail DHCP, la nouvelle heure
sera appliquée à tous les
périphériques connectés au
réseau.
Comment renouveler votre bail DHCP
sur Windows ?
 Sur windows :
1. Rechercher Invite de commandes .
2. cliquez dessus avec le bouton droit
et choisissez Exécuter en tant
qu'administrateur .
3. appuie sur le les fenêtres + R  .
 
4. appuie sur le les fenêtres + X  ,
puis sélectionnez Invite de
commandes (Admin) .
5. cliquez sur Oui pour permettre à
l'application de se lancer avec des
autorisations administratives
6. Tapez la commande : ipconfig /
release.
7. Tapez la commande : ipconfig /
renew.
 La durée de votre bail doit être
renouvelée après avoir effectué
ces étapes. Cela appliquera la
nouvelle période que vous avez
définie
• A la moitié du bail, le client
demande le renouvellement
(prolongation de son bail), il n’y
aura alors que les trames
DHCPREQUEST et DHCPACK qui
seront échangées.
• Si au bout des 7/8 du bail pas de
réponse du serveur ( pas de
DHCPACK) alors le client essayera
de joindre un serveur DHCP
quelconque sur le réseau.
• Lors du renouvellement, le client
utilise l’adresse IP donnée
précédemment par le serveur
Encapsulation d’un
message DHCP
L'échange qui se fais entre le
client et le serveur DHCP se fait
dans un message DHCP
donc se dernier est encapsuler
dans un datagramme UDP et l
encapsuler dans un paquet IP . Si
 cet échange se fera a l'intérieur
d'un réseau local le massage DHCP
est encapsuler dans un trame de
type Ethernet.
Le message DHCP est un
ensemble du mot sont repartis sur
des champs.
 OPI (type d’opération ou de
message) :En cas de requêtes du
client, la valeur de ce champ est
définie sur 1 (pour BOOTREQUEST)
et sur 2 s’il s’agit d’une réponse du
serveur  
 Htype( la longueur de l’adresse
matérielle) :pour spécifier le type
d’adresse physique dans le cas
d’une adresse mac il prend la
valeur 1
 hlen  : longueur de l'adresse
physique.
 hops  : nombre d'agents relais
visités pour traiter le message. Le
client DHCP assigne la valeur 0 à ce
champ.
 id session: identifiant de la
transaction. Permet au client de
reconnaître les réponses à ses
requêtes,.
 secs  : nombre de secondes depuis
le début du processus de
configuration.
 flags  : ce champ n'est pas utilisé
dans BOOTP.
 Adresse IP du client : adresse IP
du client. Ce champ est initialisé
par le client seulement
 Adresse IP du client: adresse IP
du client, telle que fournie par le
serveur. Ce champ est initialisé par
le serveur lorsque celui
 Adresses IP du serveur: adresse
IP du serveur continuant le
processus d'initialisation du poste
de travail, soit le chargement de
l'image système avec TFTP.
 Adresse IP de la passerelle:
adresse IP de l'agent relais à
utiliser.
 Adresse matérielle du client:
adresse de l'interface matérielle du
client.
 Nom d’hôte du serveur: nom de
domaine du serveur (optionnel),
terminé par un null.
 Nom du fichier de démarrage
(file): chemin d'accès complet du
fichier de chargement de l'image
système (optionnel), terminé par un
nul .
options  : Paramètres optionnels
utilisés lors de la négociation entre
le client et le serveur.
Serveur FTP
 Serveur: c'est un ordinateur qui
exécute des opérations suivant les
requêtes effectuées par un autre
ordinateur appelé « client »
 ftp :Dans le monde informatique,
on entend souvent le terme FTP. Le
sigle FTP signifie File Transfert
Protocol (Protocole de transfert de
fichiers).Il s'agit donc d'un
protocole utilisé pour transférer
des fichiers d'un ordinateur à un
serveur ou d'un serveur à un
ordinateur...
 Serveur FTP :est un protocole de
communication destiné au partage
de fichiers sur un réseau TCP/IP. Il
 permet, depuis un ordinateur, de
copier des fichiers vers un autre
ordinateur du réseau, ou encore
de supprimer ou de modifier des
fichiers sur cet ordinateur
systemctl status vsftpd : pour verifier que
le serveur fonctionnes bien et
correctement.
 Filezilla serveur 

 Canal :
Résumé : Langage C#
Canal de commande est utilisé pour la
transmission des commandes et la
réception des réponses
Canal de données est utilisé pour Plan :
l’échange des données
1) Introduction
 Mode : - Histoire
Mode actif :c’est le client ftp qui - Nom du langage
détermine sur quel port se feront les
échanges des fichiers. Cette technique est 2) Installation
la plus ancienne et pose bien souvent des - Logiciel & coder en ligne
problèmes à cause du pare-feu.
- Syntaxe
Mode passif : c’est le serveur ftp qui qui
détermine sur quel port se feront les 3) Notions de bases
échanges des fichiers. Cette technique est -Variables
recommandée aujourd’hui
- Constante
 Les commandes :
-User input & Output
sudo su : est une commande permettant
d'exécuter un interpréteur de commandes -Les opérateurs
en changeant d'identifiant de groupe et de -Remarques
User identifier.
4) Conditions & boucles
sudo apt-get install vsftpd : Pour installer - If / if else / switch
le pacquage de ftp s’appelle vsftpd. - While / for
nano /etc/vsftpd.conf : pour entrer a son
fichier de configuration. 5) Les tableaux

nano /etc/vsftpd.chroot_list : Pour cree

un fichier qui s’appelle
vsftpd .chroot_liste.
1. Intro :
systemctl restart vsftpd : Pour redemarer
le serveur ftp. C# (C Sharp ) est
un langage de programmation orientée
objet, commercialisé par Microsoft depuis
2002 et destiné à développer sur la
plateforme Microsoft .NET. integrated
rk 3.5
queries)
Il est dérivé du C++ et très proche
du Java dont il reprend la syntaxe générale
ainsi que les concepts, y ajoutant des .NET
201 types
notions telles que la surcharge des 4.0 framewo
0 dynamiques
opérateurs, les indexeurs et les délégués. rk 4.0

Le C# vous permet de créer tous types

d’application performantes et robustes, il .NET méthodes
201
est utilisé notamment pour développer 5.0 framewo asynchrone
2
des jeux vidéo, des applications bureau rk 4.5 s
mobile, des applications web sur la
plateforme ASP.NET. C’est un langage
.NET
indicatif par excellence ! 201 version
6.0 framewo
5 pour Linux
Histoire : rk 4.6

C'est en septembre 2002 que

la plateforme .NET et C# sont présentés au .NET Tuples,
201
public. C# devient le langage de facto de 7.0 framewo fonctions
6
cette plateforme, il a par ailleurs été utilisé rk >= 4.5 locales
pour implémenter une partie de la
plateforme .NET.
.NET
Membre
Versions : standard
ReadOnly,
201 >=2.1
8.0 opérateur
9 et .NET
d’assignatio
Principal Core
Ann Versi Biblioth n de fusion
changeme >=3.0
ée on èque
nt

Nom du langage :
.NET
200 framewo
1.0
2 rk 1.0 et
1.1 Le standard ECMA 334 et l'ISO 23270
définissent le nom du langage comme
le caractère Unicode 0043 (C
généricité aj majuscule) suivi du caractère 0023 (#).
.NET Il est prononcé « C Sharp » et non « C
200 outée à C#
2.0 framewo
5 et au hash », « Sharp » désignant en effet le
rk 2.0
framework symbole musical ♯ mais # étant
nécessaire pour un accès facile depuis
un clavier d'ordinateur qui propose le
200 3.0 .NET LINQ (Lang croisillon (« hash ») à la place.
8 framewo uage Le nom "C#" est inspiré de la notation
musicale où un dièse indique que la
note écrite doit être augmentée d'un
demi-ton. Ceci est similaire au nom de
langage de C++, où "++" indique
qu'une variable doit être incrémentée
de 1 après avoir été évaluée. Le
symbole # ressemble également à une
ligature de quatre symboles "+" (dans
une grille deux par deux), ce qui
implique que le langage est un
incrément de C++.
C++
++
2. L’installation :
les outils pour coder en C# :
- Le moyen le plus simple de démarrer
avec C# consiste à utiliser un IDE, il utilisé
pour éditer et compiler le code.
Les applications écrites en C# utilisent
le .NET Framework, il est donc logique
d'utiliser Visual Studio, car le programme,
le Framework et le langage sont tous créés
par Microsoft.
Coder en ligne : https://dotnetfiddle.net
Syntaxe C#
Ligne 1 : using System signifie
que nous pouvons utiliser les
classes de l'espace
de Systemnoms.
Ligne 2 : une ligne vide. C#
ignore les espaces
blancs. Cependant, plusieurs
lignes rendent le code plus lisible.
Ligne 3 : namespace est utilisée
pour organiser votre code, et c'est
un conteneur pour les classes et
autres espaces de noms.
Ligne 4 : Les accolades {}
marquent le début et la fin d'un
bloc de code.
Ligne 5 : class est un conteneur
de données et de méthodes, qui
apporte des fonctionnalités à
votre programme. Chaque ligne
de code qui s'exécute en C# doit
être à l'intérieur d'une
classe. Dans notre exemple, nous
avons nommé la classe Program.
Ligne 7 : Une autre chose qui
apparaît toujours dans un
programme C#, c'est la Main
méthode. Tout code à l'intérieur
de ses accolades {} sera
exécuté. Vous n'avez pas besoin
de comprendre les mots-clés
avant et après Main. Vous
apprendrez à les connaître petit à
petit en lisant ce tutoriel.
Ligne 9 : Console est une classe
de l'espace de Systemnoms, qui a
une WriteLine() méthode utilisée
pour sortir/imprimer du
texte. Dans notre exemple, il
affichera "Hello World !".
Ne peut pas contenir de symboles
(sauf le trait de soulignement).
Constante :
Si vous ne voulez pas que d’autres
écrasent les valeurs existantes vous
pouvez ajouter le mot clé const .
- Exemple :
const Double PI = 3.14 ;
- Remarque :

3. Notions de base : Vous ne pouvez pas déclarer une

Variables :
- Pour déclarer une variable, vous
spécifiez le type de données et le nom
de la variable suivis d'une valeur.
- Syntaxe :
Type nom_variable = valeur ;
- Types de variables :
variable constante sans affecter la
valeur. Si vous le faites, une erreur se
produira : un champ const nécessite
qu'une valeur soit fournie .
Sortie :
Pour générer des valeurs ou imprimer
du texte en C# , vous utilisez la
méthode WriteLine() ou Write() .

String : chaine de caractères : " toto "   Les deux sont similaire La seule différence
est que Write() n'insère pas de nouvelle
Char : stocke des caractères uniques,
ligne à la fin de la sortie .
tels que 'a' ou 'B’. 
- Exemple :
int : nombre entier : 0, 1, 2, 3, 4 (peut
être négatif, mais pas de virgules) Console.WriteLine( "Salam " ) ;

float : nombre à virgules : 1.5f Console.WriteLine(9+3) ;

bool : booléen : vrai ou faux (true / Entrée utilisateur:

false)
Pour obtenir l’entrée de l’utilisateur
- Règles de nommage : vous utilisez : Console.ReadLine()

Les variables doivent commencer par

un trait de soulignement ( _ ) ou une
lettre.
Les variables ne peuvent pas contenir
d'espaces.
les variables peuvent contenir des La méthode Console.ReadLine()
nombres. retourne un string .
- Problème :
= x=9
Vous ne pouvez pas obtenir
d'informations à partir d'un autre type += x += 8
de données !
-= x -= 7
- Solution :
Utilisée int.Parse() *= x *= 6

- Exemple :
/= x /= 5
int Age = int.Parse(Console.Readline());
%= x %= 4

Les Opérateurs C# : &= x &= 3

Les opérateurs sont utilisés pour
|= x |= 2
effectuer des opérations sur des
variables et des valeurs.
^= x ^= 1
- Les opérateurs arithmétiques :

Opérateur Nom
- Opérateurs de comparaison :

+ Addition Opérateur Nom

- Soustraction == Égal à

* Multiplication != Inégal

/ Division > Plus grand que

% Modulo < Moins que

++ Incrément >= Plus grand ou éga

-- Décrémente <= Inférieur ou égal à

- Opérateurs d'affectation :
- Opérateurs logiques :
Opérateur Exemple
Opérateur Nom description
4. Conditions & Boucles

&& et Renvoie True si les deux

Les Conditions :
déclarations sont vraies
 IF :
Est utilisée pour exécuter du code basé sur
|| ou Renvoieune
Truecondition, la condition doit être vraie
si l'une des
pour est
affirmations le code
vraieà exécuter.
- Syntaxe :
if (condition)
! non Inverse le{ }résultat, renvoie faux
si le résultat est vrai
- Exemple :
if (Year > 2010)
{
Remarques :
Console.WriteLine("Hello World!");
- Chaque instruction doit se
terminer par un point-virgule ; }
- La langue est sensible (donc A
et a sont différents)  IF ELSE :
- Un bloc de code est contenu à si une condition n'est pas évaluée à true,
l’intérieur d’accolades {} vous pouvez utiliser une instruction if else
- // Commentaire sur une ligne pour exécuter un autre code.
- /* Commentaire sur plusieurs
lignes */ - Exemple :
- Pas besoin non plus de if (Year > 2015)
respecter les tabulations.
- Pour les conditions, vous êtes {
obligé d’utiliser des Console.WriteLine("Hello World!");
parenthèses.
- \n : sert à retourner à la ligne }
Else

Configurer la console en UTF8 : {

Pour bien afficher les caractères Console.WriteLine("Year is: " + Year);

spéciaux : }
Console.OutputEncoding =  Switch :
System.Text.Encoding.UTF8 ;
Similaire à l'instruction If else, mais
elle présente ces avantages :
 -Beaucoup plus facile à lire et à
maintenir.  Boucle WHILE :
-Beaucoup plus propre que Boucle en continu le code jusqu'à ce que
d'utiliser if else. la condition devienne fausse.
-Il n'évalue qu'une seule variable. - Syntaxe :
- Syntaxe : while (condition)
switch (switch on) {}
{ - Exemple :
default: while (Year >= 2013)
} {
if (Year != 2100)
- Exemple :
{
Console.WriteLine(Year++);
switch (Year)
}
{
else
case 2013 :
{ break; } }
Console.WriteLine("It's 2013!");
 Boucle FOR :
break;
Semblable à la boucle While, mais vous
case 2012 : spécifiez quand la boucle se terminera.
Console.WriteLine("It's 2012!"); - Syntaxe:
for (int i = 0; i < length; i++)
break;
{
default : }
Console.WriteLine("It's " + Year +
- Exemple :
"!");
for (int i = 0; i <= 100; i++)
break;
{
}
Console.WriteLine(i);
Le mot-clé break est obligatoire car il
empêche la chute de la casse. }

5. Les tableaux :
Les tableaux sont similaires aux variables,
Les Boucles :
mais peuvent contenir plusieurs valeurs.
 - Syntaxe:
DataType[] ArrayName = { Comma
Separated Values } // Array of any size
DataType[] ArrayName = new DataType[3]
{Command Separated Values } //Expects 3
values
- Exemple:
String[] MyGamesOf2013 = {"GTAV",
"Battlefield3"};
batch
1°) Introduction
Basiquement, un fichier Batch n'est
rien de plus qu'un fichier texte
contenant des
commandes MS-DOS, et possédant le
suffixe ".bat".
Si vous ne connaissez pas MS-DOS
ou n'avez jamais entendu parler de
Autoexec.bat,
passez votre chemin : en effet, la
programmation Batch nécessite une
connaissance
minimum de l'environnement DOS.
En fait, un fichier Batch contient
simplement une suite de commandes
que vous pourriez
taper sous l'invité (prompt) du DOS,
chaque nouvelle ligne du fichier
correspondant à
une nouvelle commande. Néanmoins,
certaines commandes ne sont
qu'utilisables dans
les fichiers batch du fait de leur inutilité
dans l'environnement de commande
DOS.
Leur utilité est, par exemple, quand il
faut répéter toujours la même série de
commandes. À titre d'exemple, nous
pourrions évoquer le changement de
répertoire et
peut-être aussi la commande FORMAT
qu'on fait souvent suivre de la
commande
CHKDSK pour vérifier si la disquette a
bien été formatée.
2°) Utilisations de commandes
standard DOS dans un
fichier Batch
Il est très facile d'exécuter des
commandes DOS dans un fichier
Batch, et c'est même
fait pour ça…
Il vous suffit d'insérer la commande
dans le batch.
Par exemple, voici un fichier listant le
contenu du disque C:, allant dans le
dossier Jeux,
puis exécutant le fichier
SuperJeu.exe :
@echo off
echo Listage du disque C:\
dir c:
echo Va dans le dossier jeux
cd jeux
echo Lance SuperJeux.exe
Superjeux.exe
Notre but n'est pas de vous apprendre
toutes les commandes MS-DOS, vous
êtes
censé connaître les plus communes.
Nous allons donc étudier ce qu'est une
commande MS-DOS en réalité.
RAPPEL : Nous sommes sous DOS,
les noms de fichiers sont limités à 8
caractères
(sinon, on tronque les deux derniers
caractères par ~x, x représente un
nombre
"discriminant" destiné à distinguer
deux éventuels noms communs)
Il y a deux possibilités :
Soit la commande DOS est intégrée
à l'interpréteur COMMAND.COM. C'est
le
cas des commandes les plus
communes comme DIR, CD, etc…
Soit la commande est en réalité un
exécutable DOS, c'est-à-dire que c'est
une
application qui est intégrée sous la
forme d'une commande standard.
C'est sur
ce cas que nous allons nous pencher.
1°) Comment un exécutable peut-
être considéré comme un
commande ?
Une commande est par définition un
"mot" que l'on peut entrer où que l'on
soit (que l'on
soit dans le répertoire A ou le
répertoire B), et qui ne nécessite pas
qu'on indique son
chemin d'accès, et qui bien sûr agit
physiquement ou logiciellement sur
votre ordinateur
directement ou à l'aide de paramètres.
RAPPEL : Pour lancer un fichier .EXE,
.COM ou .BAT, il n'est pas nécessaire
de
préciser l'extension de ces derniers.
Pour lancer Superjeu.exe, vous n'êtes
pas obligé de taper :
Superjeux.exe
Vous pouvez simplement entrer :
Superjeu
… pour que MS-DOS "comprenne"
que vous souhaitez lancer le
programme
"Superjeu.exe".
Mais ou sont donc stockés ces
commandes ?
Ces commandes sont stockées
"naturellement" dans
C:\DOSSIER_DE_WINDOWS\
COMMAND\, donc, dans la majorité
des cas, dans
C:\WINDOWS\COMMAND\
Si vous possédez un fichier .exe, .com
ou .bat, et que vous souhaitiez l'établir
en tant
que commande DOS, copiez – le
simplement dans ce répertoire.
Par exemple, prenons l'exemple de
DisBonjour.bat
Il contient une commande permettant
d'afficher à l'écran "Bonjour".
Copiez-ce fichier dans C:\WINDOWS\
COMMAND\
Tapez ensuite DisBonjour.bat =>
Votre texte apparaît à l'écran…
Plus fort : tapez simplement
DisBonjour => Votre texte apparaît
aussi à l'écran…
Conclusion 1 : Pour "ajouter" des
commandes à MS-DOS, copiez des
exécutables
DOS d'extension .bat, .exe, ou .com
dans le répertoire "COMMAND" du
dossier de
Windows.
2°) La variable PATH et les autres
répertoires d'ajout possibles
D'autres répertoires peuvent définir
des chemins d'accès potentiels à des
commandes.
Pour voir les chemins d'accès
possibles installés sur votre machine,
tapez "path" dans
une session MS-DOS.
Voilà un exemple possible de résultat :
On peut voir que les répertoires
d'accès sont au nombre de 3, et
séparés par des point-virgule
:
C:\Windows (2 fois, il s'agit sans doute
d'une erreur d'un logiciel)
C:\Windows\Command
C:\Cntx
Cela veut dire que n'importe quel
fichier .exe, .bat, ou .com peut être
lancé comme une
commande dans l'environnement
DOS :
Conclusion 2 (et finale) : Pour
"ajouter" des commandes à MS-DOS,
copiez des
exécutables DOS
d'extension .bat, .exe, ou .com dans un
des répertoires spécifiés par
la variable "Path".
3°) Variables d'environnement
Une variable d'environnement, nous
l'avons déjà dit plus haut, représente
une valeur
accessible n'importe ou et n'importe
quand dans l'environnement DOS.
Pour visualiser les variables
d'environnement actives sur votre
ordinateur, il vous suffit
de taper la commande set ce qui donne
par exemple :
Précisons que, dans le langage Batch,
la seule façon de stocker des données
est de les
associer à des variables
d'environnement. Il n'existe pas de
variables "locales" que
d'autres fichiers Batch ne pourraient
pas connaître (sauf les variables sous
la forme %x)
Nous voyons donc que 8 variables
d'environnement sont définies sur cet
ordinateur :
TMP, TEMP, PROMPT,
WINBOOTDIR, COMSPEC, PATH,
WINDIR; et BLASTER.
Sur ces 8 variables, 7 sont définis par
WINDOWS : TMP (Répertoire
temporaire), TEMP
(Répertoire Temporaire), PROMPT
(Invite du DOS), WINBOOTDIR
(Dossier de
démarrage de Windows), COMSPEC
(Adresse de l'interpréteur de
commandes), PATH
et WINDIR (Dossier de Windows).
Il est important de savoir que le
contenu de ces variables est détruit
une fois l'ordinateur
éteint ou la session DOS terminée. Il
faut donc, si ces variables doivent-être
présentes à
chaque session, les définir dans
Autoexec.bat (qui est lui lancé à
chaque démarrage).
Par exemple, la variable "BLASTER"
est définie dans Autoexec.bat
Définir une variable
d'environnement
Pour définir une variable
d'environnement, faites :
Set NomVariable = Valeur de la
variable
4°) Saut inconditionnel
Le langage Batch vous permet
d'utiliser des commandes de boucle,
c'est a dire de
répéter un bloc de commandes
indéfiniment.
En principe, les lignes de commande
sont traitées les unes après les autres
dans un
fichier Batch. Toutefois, dans certains
cas, on est obligé de sauter des lignes
pour
reprendre le traitement à un autre
endroit du fichier. C'est dans ces cas là
que nous
allons utiliser les commandes de
boucle.
On associe souvent une commande de
saut à une commande d'instruction
conditionnelle (voir chapitre suivant),
ou lorsqu'un bloc de commande doit
être répété
indéfiniment. C'est sur ce cas que nous
allons nous pencher pour l'instant.
Notre première boucle
Pour faire une boucle, il nous faut deux
commandes :
- La première est un "Label", c'est-à-
dire une étiquette posée dans le
programme à l'endroit ou la boucle doit
commencer.
- La seconde est la commande Goto,
(de l'anglais Go To… qui signifie "aller
à")
qui, accompagnée du nom du Label
5°) Exécution conditionnelle – la
commande "IF"
Voici une commande qui permet
d'introduire des conditions dans les
fichiers batch.
Si la condition formulée est remplie, le
reste de la ligne de commande est
exécutée, et
le programme continue normalement,
sinon le reste de la ligne n'est pas
exécuté, et le
programme continue également.
Attention : seul la fin de la ligne est
exécutée, par conséquent seule 1
seule commande
peut-être conditionnelle, ce qui peut
parfois poser des problèmes. Dans ce
cas, utilisez
la commande GOTO pour aller à un
endroit particulier si la condition est
remplie.
Syntaxe d'utilisation :
If "<condition>"=="<valeur>" <action>
Attention il est important de :
- Toujours encadrer la condition et la
valeur à tester par des guillemets,
- De veiller à utiliser, lors d'un test, le
double signe égal (== au lieu de =)
- Se rappeler que "<action>"
représente une seule commande à
exécuter.
6°) Boucles
Après avoir fait connaissance avec une
technique de la programmation des
sauts
inconditionnels (Goto), en voici une
autre.
Nous allons créer un petit batch qui va
afficher successivement les chiffres 1 à
4.
Ecrivez le fichier batch suivant :
@echo off
for %%A in (1 2 3 4) Do Echo C'est le
nombre %%A
Ce fichier Batch contient une boucle
FOR…DO. A quoi sert-elle ? Tout
d'abord, %%A
est utilisé seulement en tant que nom
de variable. Cette variable prend alors
toutes les
valeurs de la liste spécifiée entre les
parenthèses : dans notre cas, %%A
prend donc
successivement les valeurs 1, 2, 3, et
4. Les valeurs constituant la liste
doivent être
séparées entre elles par des espaces,
des virgules, ou des points-virgules.
Ensuite, la commande qui suit
immédiatement est exécutée avec la
valeur prise par la
variable %%A. Dans notre cas, on
verra à l'écran le message "C'est le
nombre" suivi de
la valeur de la variable à chaque
exécution de ECHO.
Un autre intérêt de cette commande
est que les éléments de la liste
peuvent-être des
noms de fichiers. Ainsi il est possible
d'exécuter une seule commande pour
plusieurs
fichiers. Vous pouvez donc afficher à
l'écran plusieurs fichiers à la fois avec
un seule
commande qui est TYPE :
FOR %%A IN (AUTOEXEC.BAT
CONFIG.SYS) DO TYPE %%A
Vous pouvez aussi utiliser les
caractères génériques, par exemple :
FOR %%A IN (*.TXT *.BAT ) DO TYPE
%%A
Tous les fichiers texte et Batch
s'afficheront à l'écran.
10°) Appel d'autres fichiers Batch
La commande CALL permet d'appeler
un fichier Batch à partir d'un autre
fichier batch.
Après avoir traité le fichier batch
appelé, le programme revient au
premier fichier batch
et à l'endroit précis où le fichier batch a
été appelé.
Vous pouvez également appeler un
fichier batch à partir d'un autre sans
pour autant
revenir au fichier batch de départ. Il
suffit tout simplement d'appeler le
fichier batch par
son nom (ou son adresse) c'est à dire
sans CALL.
Appel sans CALL
Vous pouvez appeler un fichier batch à
partir d'un autre en utilisant son nom.
Le résultat
est que le batch appelé est traité, mais sur une clé USB. Il fut le premier package
il est impossible de revenir au batch de WAMP à voir le jour, en 1999.
sortie
précédemment traité. On peut en
quelque sorte parler de "liaison
unilatérale".
Exemple : //Apache permet aux propriétaires
C:\MesBatch\fichier.bat de sites web de servir du contenu sur le
Appel avec CALL web – d’où le nom « serveur web » .
Un batch X appelle un batch A à un
endroit précis. CALL a pour rôle de //MySQL n’est qu’un système
contrôler que populaire qui peut stocker et gérer ces
MS-DOS remarque bien le "point de données pour vous, et c’est une solution
saut" et revienne dans le batch de base de données particulièrement
appelant après populaire pour les sites WordPress.
avoir traité le batch appelé.
Le Batch A est donc utilisé comme un //L'interpréteur exécute
sous-programme. Cette utilisation l'instruction puis envoie les sorties
comporte un éventuelles au serveur • A la fin du
avantage majeur : on doit programmer script, le serveur transmet le résultat au
une seule fois les routines batch et on
client (le navigateur). Un script PHP est
peut
ensuite les appeler le nombre de fois interprété par le serveur, les utilisateurs
que l'on veut à partir de n'importe ne peuvent donc pas voir le code source!
fichier Batch.
Exemple :
CALL c:\MesBatch\Routine1.bat
Résumé EasyPHP:

_EasyPHP est une plate-forme de

développement Web permettant de faire
fonctionner localement (sans se
connecter à un serveur externe) des
scripts PHP. Ce n'est pas en soi un
logiciel mais un environnement //phpMyAdmin est un outil qui
comprenant deux serveurs (un serveur nous permet de visualiser rapidement
web Apache et un serveur de bases de l'état de notre base de données et de la
données MySQL), un interpréteur de modifier, sans avoir à écrire de requêtes
script (PHP), ainsi qu'une SQL. ·
administration SQL phpMyAdmin.

_Site d’installation d’easyphp :

_EasyPHP peut être utilisé comme une http://www.easyphp.org/
application portable, c’est-à -dire lancé
_ Il dispose d'une interface
d'administration permettant de gérer les
alias (dossiers virtuels disponibles sous
Apache) et le démarrage/arrêt des
serveurs. Il permet donc d'installer en
une seule fois tout le nécessaire au
développement local du PHP. Par défaut,
le serveur Apache crée un nom de
domaine virtuel (en local) 127.0.0.1 ou
localhost. Ainsi, quand on choisit « Web
local » dans le menu d'EasyPHP, le
navigateur s'ouvre sur cette URL et
affiche la page index.php de ce site qui
correspond au contenu du dossier www
d'EasyPHP.
_ Il est aussi possible d'ajouter à
EasyPHP des modules préconfigurés
pour tester diverses applications web
comme WordPress, Spip, Drupal,
Joomla!, Prestashop….
Fonctions principales:
● Détection automatique du
répertoire d’installation en
fonction des droits de
l'utilisateur
● Détection automatique des
ports disponibles
● Gestion des composants :
plusieurs versions de PHP (ou
plusieurs fois la même)
peuvent être installées
● Possibilité de basculer d'une
version de PHP à une autre en
un clic
● PHP configuration Manager
(max execution time, error
reporting, upload max
filesize...)
● MySQL configuration
Manager (storage engine :
InnoDB/MyISAM...)
● Apache configuration
Manager (timezone, available
ports...)
● Alias Manager
(ajout/suppression)
Virtual Hosts Manager
(ajout/suppression/activation/d
ésactivation)
- Microsoft Access est un système de
gestion de base de données (SGBD) de
Microsoft qui combine le moteur de base
de données Access (ACE) relationnel avec
une interface utilisateur graphique et des
outils de développement de logiciels. Il fait
partie de la suite d'applications Microsoft
365 ,
-Microsoft Access stocke les données dans
son propre format basé sur le moteur de
base de données Access . Il peut
également importer ou lier directement
des données stockées dans d'autres
applications et bases de données.
- Microsoft Access a été le premier
programme de base de données grand
public pour Windows. Avec l'achat de
FoxPro par Microsoft en 1992 et
l'incorporation des
routines d'optimisation des
requêtes Rushmore de Fox dans
Access, Microsoft Access est
rapidement devenu la base de
données dominante pour Windows,
éliminant ainsi la concurrence qui n'a
pas réussi à passer du monde MS-
DOS .
-Le logiciel Access contient plusieurs types
d'objets. Les objets de la base de données
sont des objets qui apparaissent dans la
fenêtre Base de données. C'est l'utilisateur
qui crée ces objets. Nous utiliserons les
objets suivants:
Table: Structure fondamentale du système
de gestion de bases de données
relationnelles. Dans Access, une table est
un objet qui stocke des données dans des
enregistrements (lignes) et des champs
(colonnes). Les données sont
généralement relatives à une catégorie
particulière
Requête: Une requête permet: - de poser
une question sur les données stockées
dans les tables - d'accomplir une action
sur ces données.
Formulaire: Objet de base de données
Access dans lequel vous placez des
contrôles servant à saisir, afficher et
modifier des données dans les champs.
Etat: Objet de base de données Access qui
présente des informations mises en forme
et organisées selon vos spécifications, par
exemple - des récapitulatifs de ventes, -
des listes de numéros de téléphone - des
étiquettes pour publipostage.
Perl
variables :
- Scalars : dynamic singular values .
declare with :
my $nameofvar = //value ; (local
declaration)
“our” .. .. . . .. . .. .. …. ; (global
declaration)
user input :
my $usrinput = <> ;
- arrays :
stores multiple scalars
declare with : “my @nameofarray = (21,
“elliot” ,12.89) ; ”
$nameofarray[0] ; // 21
$nameofarray[-1] ; // 12.89
@nameofarray[0 .. 2] ; // 21elliot12.89
(glued together)
NB : @nameofarray[0 .. -1] // invalid cuz
0 >> -1
@nameofarray[-1.. 0] // valid
print $#nameofarray; // prints last index ie
2
print scalar @nameofarray ; // prints
number of elements of the array
-hashes :
declare with :
my %nameofhash = (
‘key 1’ , ‘value 1’ ,
key 2 => ‘value 2’
);
print $nameofhash {key1}; // prints
value1
@keys = keys % nameofhash;
// stores in @keys all keys of the hash
%nameofhash /
// @key == (key 1 , key 2 )
@val = values % nameofhash; // stores in
@val all values of the hash %nameofhash
// @val == (value 1 , value 2 )
$size = keys % nameofhash;
// $size == size of hash which is 2
//add element to hash
$ nameofhash {key3} = ‘value 3’;
//delete element from hash
delete $ nameofhash {key3} ;
Comments :
# single line
=begin
paragraph
=cut }

CONDITIONS :
do {
if ( condition ){ // instructions
} while (condition )
//instructions
do {
}else if ( condition ){ // instructions
} until (condition )
//instructions // == do { instructions } while ( !
} else { condition)
//instructions
}

unless ( condition ){ // same as if (!

condition )
/instructions
}
OPPERATORS :

LOOPS :
for (my $i = 0 ; $i<10 ;$i++) {say $i;} //
c style

for $i (0 .. 10 ) {say $i;} // 1 to 10

foreach (0 .. 10 ) {say $_ ;} // $_
automatic var

for (@array ) {say $_ ;} // prints all

elements of @array
while (condition ) {
//instruction
}

until (condition ) { // == while ( !

condition)
//instruction