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Oracle Database 11g r a :s
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Workshop I
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Manuelzdu stagiairei d
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D50102FR20
Edition 2.0
Mai 2010
D65638
Auteurs Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
Mark Fuller Cette documentation contient des informations qui sont la propriété d'Oracle
Corporation et sont protégées par les lois relatives aux droits d'auteur et à la propriété
intellectuelle. Vous ne pouvez copier et imprimer ce document qu'à des fins
Révisions et d'utilisation personnelle lors de la participation à une formation dispensée par Oracle.
contributions techniques Le document ne peut être modifié ou altéré en aucune manière. A l'exception des cas
où l'utilisation faite du document s'inscrit dans le respect des lois relatives aux droits
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Herbert Bradbury
document, en partie ou en totalité, sans l'autorisation expresse d'Oracle.
Yanti Chang
Les informations fournies dans ce document sont susceptibles de modification sans
Timothy Chien préavis. Par ailleurs, Oracle Corporation ne garantit pas qu'elles soient exemptes
Andy Fotunak d'erreurs et vous invite, le cas échéant, à lui en faire part par écrit à l'adresse
suivante : Oracle University, 500 Oracle Parkway, Redwood Shores, California 94065
Gerlinde Frenzen USA.
Steve Friedberg
Restrictions applicables au gouvernement américain :
Joel Goodman Restricted Rights Notice
Vimala Jacob
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Dominique Jeunot
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the documentation on behalf of the United States Government, the following notice is
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Pete Jones
applicable:
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Fukue Kawabe U.S. GOVERNMENT RIGHTS
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The U.S. Government’s rights to use, modify, reproduce, release, perform, display, or
Donna Keesling
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Sean Kim license agreement and/or the applicable U.S. Government contract.
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Randy Richeson
Joe Roch o
Hilda Simon
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Ira Singer
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James Spiller (a t
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zThananayagam
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Supithran
n Valny
b raBranislav
Dje Manju Varrier
Rédacteurs
Raj Kumar
Daniel Milne
Concepteur graphique
Rajiv Chandrabhanu
Editeurs
Jobi Varghese
Veena Narasimhan
Table des matières
Préface
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I Introduction
Objectifs du cours I-2
Planning recommandé I-3
Produits et services Oracle I-4
Oracle Database 11g : "g" signifie "grid" I-5
Grid Infrastructure for Single-Instance I-7
nse
li c e
1 Architecture d'une base de données Oracle
a ble
Objectifs 1-2
f e r
Base de données Oracle 1-3
ans
Se connecter à un serveur 1-4
n - t r
no
Architecture d'un serveur de base de données Oracle : Présentation 1-6
a
a s eฺ
Instance : Configurations de base de données 1-7
h
d z) Guid
Connexion à une instance de base de données 1-8
ฺ
e d oo ent
Structures mémoire d'une base de données Oracle 1-9
Zone de mémoire partagée 1-11
o or Stud
r a ni@ e this
Cache de tampons de la base de données 1-13
eb o us
Tampon de journalisation 1-14
d j t
iz (a
Zone de mémoire LARGE POOL 1-15
z
Zones de mémoire Java et Streams 1-16
A
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Mémoire PGA (Program Global Area) 1-17
j e br Quiz 1-18
D Architecture des processus 1-20
Structure des processus 1-21
Processus DBWn (Database Writer) 1-23
Processus LGWR (Log Writer) 1-25
Processus CKPT (Checkpoint) 1-27
Processus SMON (System Monitor) 1-28
Processus PMON (Process Monitor) 1-29
Processus RECO (Recoverer) 1-30
Processus ARCn (Archiver) 1-31
Séquence de démarrage des processus 1-32
Architecture de stockage de la base de données 1-33
Structures logiques et physiques d'une base de données 1-35
iii
Segments, extents et blocs 1-37
Tablespaces et fichiers de données 1-38
Tablespaces SYSTEM et SYSAUX 1-39
Automatic Storage Management (ASM) 1-40
Composants de stockage ASM 1-41
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e d oo ent
Oracle Universal Installer (OUI) 2-12
or Stud
Exemple de scénario d'installation 2-13
o
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Partie 1 : Installer Oracle Grid Infrastructure pour un serveur autonome 2-14
r a
Sélectionner les langues du produit 2-15
d j eb o us
Créer un groupe de disques ASM 2-16
(a t
iz
Définir les mots de passe ASM 2-17
z
ni A
Définir les groupes du système d'exploitation dotés de privilèges 2-18
br a Indiquer l'emplacement d'installation 2-19
D j e Créer l'inventaire 2-20
Effectuer les vérifications de prérequis 2-21
Vérifier les données récapitulatives de l'installation 2-22
Surveiller la progression de l'installation 2-23
Exécuter les scripts de configuration root 2-24
Exécuter les assistants de configuration 2-25
Terminer l'installation 2-26
Configurer le groupe de disques FRA 2-27
Quiz 2-28
Partie 2 : Installer le logiciel Oracle Database 2-30
Choisir un type d'installation 2-31
Choisir les options d'installation de Grid Infrastructure 2-32
Choisir les paramètres de langue 2-33
iv
Choisir l'édition de la base de données 2-34
Indiquer l'emplacement d'installation 2-35
Choisir des groupes du système d'exploitation 2-36
Effectuer les vérifications de prérequis 2-37
Page récapitulative de l'installation 2-38
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br a Quiz 3-22
D j e Synthèse 3-24
Présentation de l'exercice 3 : Utiliser l'assistant DBCA 3-25
v
Fichiers de paramètres d'initialisation 4-12
Paramètres d'initialisation simplifiés 4-14
Paramètres d'initialisation : Exemples 4-15
Paramètres d'initialisation : Exemples 4-16
Utiliser SQL*Plus pour afficher les paramètres 4-19
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eb o us
Vues dynamiques des performances : Remarques 4-44
d j t
Dictionnaire de données : Présentation 4-45
iz (a
Vues du dictionnaire de données 4-46
A z
a ni
Dictionnaire de données : Exemples d'utilisation 4-48
j e br Quiz 4-49
D Synthèse 4-51
Présentation de l'exercice 4 : Gérer l'instance Oracle 4-52
vi
Utiliser Enterprise Manager pour gérer les utilisateurs ASM 5-12
Démarrer et arrêter des instances ASM à l'aide de SQL*Plus 5-13
Démarrer et arrêter des instances ASM à l'aide de srvctl 5-15
Démarrer et arrêter des instances ASM à l'aide de l'utilitaire asmcmd 5-16
Présentation des groupes de disques 5-17
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e d oo ent
Attributs des groupes de disques ASM 5-35
or Stud
Modifier les attributs des groupes de disques à l'aide d'Enterprise Manager 5-36
o
r a ni@ e this
Extraire des métadonnées ASM 5-37
eb o us
Présentation de la fonctionnalité ASM Fast Mirror Resync 5-38
Quiz 5-39 d j t
iz (a
Synthèse 5-41
A z
ra ni
Présentation de l'exercice 5 : Gérer l'instance ASM 5-42
e b
Dj 6 Configurer l'environnement réseau Oracle
Objectifs 6-2
Services Oracle Net 6-3
Processus d'écoute Oracle Net 6-4
Etablir des connexions réseau 6-5
Etablir une connexion 6-6
Sessions utilisateur 6-7
Outils de configuration et de gestion de l'environnement réseau Oracle 6-8
Utilitaire de contrôle des processus d'écoute 6-10
Syntaxe de l'utilitaire de contrôle de processus d'écoute 6-11
Utiliser SRVCTL pour démarrer et arrêter le processus d'écoute 6-13
Page d'accueil du processus d'écoute 6-14
vii
Page Net Services Administration 6-15
Créer un processus d'écoute 6-16
Ajouter des adresses de processus d'écoute 6-17
Enregistrement d'un service de base de données 6-18
Méthodes de résolution de noms 6-20
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viii
de données 7-25
ix
Verrous LMD 9-7
Mécanisme de mise en file d'attente 9-8
Conflits de verrouillage 9-9
Causes possibles des conflits de verrouillage 9-10
Détecter les conflits de verrouillage 9-11
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or Stud
Garantir la période de conservation des informations d'annulation 10-11
o
ni@ e this
Passer à un tablespace d'annulation de taille fixe 10-12
r a
Gestion des annulations : Informations générales 10-13
d j eb o us
Utiliser Undo Advisor 10-14
(a t
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Afficher l'activité du système 10-15
z
ni A
Quiz 10-16
br a Synthèse 10-18
D j e Présentation de l'exercice 10 : Gérer les segments d'annulation 10-19
x
Utiliser et gérer les informations d'audit 11-13
Audit basé sur les données 11-14
Audit détaillé 11-16
Stratégie d'audit détaillé 11-17
Instruction LMD auditée : Eléments à prendre en compte 11-19
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or Stud
Utiliser la page Manage Optimizer Statistics 12-8
o
ni@ e this
Collecter manuellement les statistiques destinées à l'optimiseur 12-9
r a
Préférences relatives à la collecte des statistiques 12-11
d j eb o us
Référentiel AWR 12-13
(a t
i z
Infrastructure du référentiel AWR 12-14
z
ni A
Lignes de base AWR 12-15
br a Enterprise Manager et référentiel AWR 12-16
D j e Gérer le référentiel AWR 12-17
Niveaux de statistiques 12-18
Moniteur ADDM 12-19
Résultats ADDM 12-20
Recommandations ADDM 12-21
Infrastructure de conseil 12-22
Enterprise Manager et les fonctions de conseil 12-24
Package DBMS_ADVISOR 12-25
Quiz 12-26
Tâches de maintenance automatisées 12-27
Configuration des tâches de maintenance automatisées 12-29
Alertes générées par le serveur 12-30
Définir des seuils 12-31
xi
Créer et tester une alerte 12-32
Notification des alertes 12-33
Réagir aux alertes 12-35
Types d'alerte et effacement des alertes 12-36
Quiz 12-37
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Synthèse 12-38
Présentation de l'exercice 12 : Maintenance proactive 12-39
or Stud
Vues de résolution des problèmes et de réglage 13-15
o
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Objets non valides et inutilisables 13-16
Quiz 13-18 r a
Synthèse 13-20 d j eb o us
(a t
i z
Présentation de l'exercice 13 : Surveiller et optimiser les performances 13-21
z
ni A
br a14 Concepts de sauvegarde et de récupération
D j e Objectifs 14-2
Missions du DBA 14-3
Catégories de pannes 14-5
Echec d'une instruction 14-6
Echec d'un processus utilisateur 14-7
Défaillance réseau 14-8
Erreur utilisateur 14-9
Technologie Flashback 14-10
Echec d'une instance 14-12
Récupération d'instance : Processus de point de reprise (CKPT) 14-13
Récupération d'instance : Fichiers de journalisation et processus Log Writer 14-15
Comprendre la récupération d'instance 14-16
Phases de la récupération d'instance 14-17
xii
Régler la récupération d'instance 14-18
Utiliser MTTR Advisor 14-19
Défaillance physique 14-20
Configurer la base de données afin d'optimiser la possibilité
de récupération 14-21
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xiii
16 Procéder à une récupération de la base de données
Objectifs 16-2
Ouvrir une base de données 16-3
Maintenir une base de données ouverte 16-5
Data Recovery Advisor 16-6
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xiv
Data Pump Import : Transformations 17-19
Utiliser Enterprise Manager pour surveiller les travaux Data Pump 17-20
Migration à l'aide du mode propriétaire de Data Pump 17-21
Mode propriétaire de Data Pump 17-22
Gérer les emplacements de fichier 17-24
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xv
Utiliser l'assistant pour patches 18-26
Appliquer un patch 18-27
Mettre un patch en zone de stockage temporaire 18-28
Application à chaud de patches : Présentation 18-29
Installer à chaud un patch en ligne 18-30
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xvi
Que faire maintenant ? G-2
Ressources de formation G-3
Oracle University G-4
Poursuivre la formation G-5
Domaines spécialisés en matière de base de données G-6
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xvii
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D j e
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Introduction
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Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
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Objectifs du cours
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Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
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Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
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• Oracle Database
• Oracle WebLogic Application Server
• Oracle Applications
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ฺ d z) Guid
Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
D jeb portails e-business, les services Web et les applications transactionnelles, telles que les
applications PL/SQL, Oracle Forms et Java EE.
• Oracle Applications : Oracle E-Business Suite est un ensemble complet d'applications
métier pour la gestion et l'automatisation des processus au sein d'une organisation.
• Oracle Collaboration Suite : Oracle Collaboration Suite est un système intégré unique
pour toutes les données de communication d'une organisation (voix, email, fax, sans fil,
informations calendaires et fichiers).
• Oracle Developer Suite : Oracle Developer Suite est un environnement complet et
intégré qui associe des outils de développement d'applications et des outils décisionnels.
• Oracle Services : Les services tels qu'Oracle Consulting et Oracle University fournissent
l'expertise dont vous avez besoin pour vos projets Oracle. Pour obtenir des liens d'accès à
différentes ressources utiles, reportez-vous à l'annexe intitulée "Etapes suivantes :
Poursuivre la formation".
nse
li c e
a ble
f e r
Automatic Real Application
an
Enterprise s
Storage Application Server
n - t r
Manager
Management Clusters Clusters
a no Grid Control
h a s eฺ
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Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
d je aspects
s'attachent à différents
t o udusgrid computing. Ces comités et groupes de travail sont
z ( a
composés d'universitaires, de chercheurs et (de plus en plus) de sociétés commerciales. Vous
i
z rendre sur le site Web de l'OGF, à l'adresse suivante : http://www.ogf.org.
pouvez vous
A
i
n a développé un logiciel d'infrastructure de grid computing capable d'équilibrer tous les
aOracle
b r
D je types de charge globale entre différents serveurs, ces derniers pouvant ainsi être gérés comme
un même système complet. Le grid computing peut offrir le même niveau élevé de fiabilité
que les systèmes utilisant des mainframes, car tous les composants sont clusterisés.
Cependant, contrairement aux mainframes et aux gros serveurs SMP (multitraitement
symétrique) UNIX, un grid peut être construit à l'aide de technologies de systèmes ouverts,
telles que les processeurs Intel et le système d'exploitation Linux, et ce à un coût très réduit.
La technologie de grid computing d'Oracle comprend les éléments suivants :
• Automatic Storage Management (ASM)
• Real Application Clusters (RAC)
• Application Server Clusters
• Enterprise Manager Grid Control
e d oo ent
habituels. Lorsqu'une nouvelle instance est disponible, le niveau intermédiaire assure
o or Stud
immédiatement le rééquilibrage des connexions. Les pilotes JDBC (Java Database Connectivity)
d'Oracle Database 10g et des versions ultérieures sont dotés de la fonction FCF (Fast Connection
a ni@ e this
Failover) qui peut être activée automatiquement afin de gérer ce type d'événement.
r
j eb o us
Oracle WebLogic Application Grid est compatible avec tous les serveurs d'applications, y compris
d
(a t
Oracle WebLogic Server, IBM WebSphere Application Server et JBoss Application Server, mais il
z i z
A
peut aussi être utilisé seul. Ses principaux atouts sont une grande évolutivité et des performances à la
ni
br a
fois élevées et prévisibles des applications. Comme il adapte la capacité à la demande, il peut gérer
D j e des infrastructures middleware comprenant quelques serveurs ou des milliers. Etant donné qu'il s'agit
d'une solution de grid en mémoire, les données utilisées fréquemment sont accessibles rapidement.
Par ailleurs, les fonctionnalités de grid permettent d'effectuer des calculs en parallèle, ce qui
augmente les performances des applications.
Enterprise Manager Grid Control gère les opérations réalisées au niveau du grid. Il assure
notamment la gestion de l'ensemble du logiciel, l'approvisionnement d'utilisateurs, le clonage des
bases de données et la gestion des patches. Grâce à lui, vous pouvez contrôler les performances de
toutes les applications en vous plaçant du point de vue de l'utilisateur final. Grid Control affiche les
performances et la disponibilité de l'infrastructure de grid. Pour cela, il considère l'infrastructure
comme une entité et non comme un ensemble d'unités de stockage, de bases de données et de
serveurs d'applications distincts. Vous pouvez regrouper les serveurs d'applications, les bases de
données et les noeuds matériels dans des entités logiques uniques et gérer un groupe de cibles comme
s'il s'agissait d'une seule et même unité.
Remarque : Dans ce cours, Enterprise Manager Database Console n'est utilisé que pour une seule
base de données.
a ble
— Instances ASM (Automatic Storage Management)
f e r
— Groupes de disques ASM
ans
Oracle Notification Services (ONS/eONS) pour Data Guard n - t r
no
—
a
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Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
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D j e
Objectifs
Objectifs e d oo ent
o
Ce chapitre décrit en détail l'architecture tudde données Oracle. Il présente les
or d'uneSbase
a ni@ainsi
structures physiques et logiques, t h
queisles divers composants de la base.
r
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ฺ d z) Guid
Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
exécuté sur l'ordinateur local (client). Le serveur d'applications interagit alors avec un serveur de
base de données back-end pour le compte du client.
Une architecture à plusieurs niveaux (multi-tiers) classique comprend les composants suivants :
• Un processus client ou initiateur qui démarre une opération.
• Un ou plusieurs serveurs d'applications qui effectuent différentes parties de l'opération. Un
serveur d'applications contient une grande partie de la logique applicative, permet au client
d'accéder aux données et traite certaines interrogations, ce qui allège la charge du serveur de
base de données. En outre, il peut servir d'interface entre les clients et plusieurs serveurs de base
nse
de données, apportant ainsi un niveau de sécurité supplémentaire.
li c e
• Un serveur final ou serveur de base de données qui héberge la plus grande partie des données
a ble
utilisées pour l'opération effectuée.
f e r
ans
n - r
Cette architecture permet d'utiliser un serveur d'applications pour les tâches suivantes :
t
• Validation des informations d'identification et de connexion (credentials) d'un client (navigateur
Web, par exemple) a no
• Connexion à un serveur Oracle Database h a s eฺ
d z) Guid
• Exécution de l'opération demandée pour le compte du client
ฺ
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D j e
Serveur
Structures de processus
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Processus li c e
utilisateur
a ble
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Base de données (structures de stockage) ans
n - t r
Client
a no
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Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
I1
I1 I2 I3
I2
D1
D2
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Espace de D
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stockage local
f e r
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Espace de stockage
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a no
partagé
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Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
SQL> Select …
Processus Processus
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Utilisateur
utilisateur serveur
Session
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Connexion
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ans
Session
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Processus
serveur 1 serveur 2
• Espace de tampons à conserver : Type particulier de cache de tampons qui est configuré pour
le stockage de blocs de données pendant de longues périodes.
• Espace de tampons à recycler : Type particulier de cache de tampons qui est configuré pour un
recyclage ou une suppression rapide de blocs.
• Cache de tampons de blocs de taille nK : Type particulier de cache de tampons conçu pour le
stockage des blocs qui présentent une taille différente de la taille de bloc par défaut de la base de
données.
• Tampon de journalisation : Il met en mémoire cache les informations de journalisation
nse
(utilisées pour la récupération d'instance) jusqu'à ce qu'elles puissent être écrites dans les fichiers
li c e
de journalisation (fichiers redo log) physiques stockés sur le disque.
a ble
• Zone de mémoire LARGE POOL : Il s'agit d'une zone facultative qui fournit des espaces
f e r
an s
importants d'allocation de mémoire à des processus volumineux, tels que les opérations de
sauvegarde et de récupération Oracle et les processus serveur d'E/S.
n - t r
no
• Zone de mémoire Java : Elle est utilisée pour l'ensemble du code Java et des données propres à
a
la session, dans la JVM (Java Virtual Machine).
h a s eฺ
ฺ d z) Guid
• Zone de mémoire Streams : Elle est utilisée par Oracle Streams pour stocker les informations
oo ent
nécessaires aux opérations de capture et d'application des modifications.
e d
allouée à la SGA est affichée. o or Stud
Lorsque vous démarrez l'instance via Enterprise Manager ou SQL*Plus, la quantité de mémoire
r a ni@ e this
Une mémoire PGA (Program Global Area) est une zone de mémoire contenant des données et des
j eb o us
informations de contrôle pour chaque processus serveur. Un processus serveur Oracle traite les
d
(a t
demandes d'un client. Chaque processus serveur dispose de sa propre zone de mémoire PGA privée,
z i z
A
qui est créée lors de son démarrage. L'accès à la mémoire PGA est exclusivement réservé à ce
ni
br a
processus serveur, qui peut lire le contenu de la mémoire et écrire dans celle-ci par l'intermédiaire du
D j e code Oracle. La mémoire PGA est divisée en deux zones principales : l'espace de pile et la mémoire
UGA (User Global Area).
Grâce à l'infrastructure dynamique de la mémoire SGA, il est possible de modifier la taille du cache
de tampons de la base de données, de la zone de mémoire partagée, de la zone de mémoire LARGE
POOL, de la zone de mémoire Java et de la zone de mémoire Streams sans arrêter l'instance.
La base de données Oracle utilise des paramètres d'initialisation pour créer et gérer les structures
mémoire. La manière la plus simple de gérer la mémoire est de laisser la base de données le faire
automatiquement. Pour cela, il suffit (sur la plupart des plates-formes) de définir les paramètres
d'initialisation MEMORY_TARGET et MEMORY_MAX_TARGET.
n - t r
no
Mémoire SGA (System Global Area)
a
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ฺ d z) Guid
Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
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ฺ d z) Guid
Le cache des résultats d'interrogations SQL et le cache des résultats de fonctions PL/SQL sont de
oo ent
nouvelles structures mémoire fournies par Oracle Database 11g. Ces caches partagent la même
d
infrastructure, ils apparaissent dans les mêmes vues dynamiques des performances ($V) et ils sont
e
o or Stud
administrés à l'aide du même package (fourni avec le produit).
a ni@ e this
Les résultats des interrogations et des fragments d'interrogation peuvent être placés dans le cache des
r
j eb o us
résultats d'interrogations SQL. La base de données peut ensuite les utiliser pour répondre aux
d
(a t
nouvelles exécutions de ces interrogations et fragments d'interrogation. En effet, il est plus rapide
z i z
d'extraire des résultats du cache que de réexécuter une interrogation. La mise en cache des résultats
ni A
peut donc optimiser considérablement les performances des interrogations exécutées fréquemment.
br a
D j e Une fonction PL/SQL est parfois utilisée pour renvoyer le résultat d'un calcul dont les données
d'entrée sont une ou plusieurs interrogations paramétrées et exécutées par la fonction. Dans certains
cas, ces interrogations accèdent à des données qui ne sont que très rarement modifiées par rapport à
la fréquence d'appel de la fonction. Vous pouvez inclure dans le texte source d'une fonction PL/SQL
une syntaxe qui demande la mise en mémoire cache de ses résultats dans le cache de résultats de
fonctions PL/SQL et déclenche la purge du cache (dans un souci d'exactitude) lorsque les tables d'une
liste font l'objet d'une opération LMD.
La zone fixe de la zone de mémoire partagée représente la surcharge liée au démarrage de la
mémoire SGA. Elle est très petite par rapport à une zone de mémoire partagée ou à une SGA de taille
standard.
D jeb Lorsque le processus serveur effectue des modifications dans le cache de tampons, des entrées
de journalisation sont générées et écrites dans le tampon de journalisation de la mémoire
SGA. Elles occupent un espace séquentiel continu dans le tampon. Le processus LGWR (Log
Writer) en arrière-plan écrit le tampon de journalisation dans le fichier de journalisation ou le
groupe de fichiers de journalisation qui est actif sur le disque.
d je pour
• Mémoire de session
t o usserveur
le partagé et l'interface Oracle XA (lorsque les
z (
transactionsa interagissent avec plusieurs bases de données)
i
Az serveur d'E/S
• Processus
•niOpérations de sauvegarde et de restauration d'Oracle Database
e b ra • Opérations Parallel Query
D j • Mémoire Advanced Queuing
En allouant de l'espace mémoire de session à partir de la mémoire LARGE POOL
(configuration avec serveur partagé, Oracle XA ou mémoires tampons d'interrogations en
parallèle), Oracle Database peut réserver la zone de mémoire partagée à la mise en cache des
interrogations SQL partagées. Cela évite la perte de performances causée par la réduction du
cache SQL partagé.
Par ailleurs, la mémoire destinée aux opérations de sauvegarde et de restauration d'Oracle
Database, aux processus serveur d'E/S et aux tampons d'exécution en parallèle est allouée par
tampons de quelques centaines de kilo-octets (Ko). La zone de mémoire LARGE POOL est
plus apte que la zone de mémoire partagée à répondre à des besoins aussi importants.
La zone de mémoire LARGE POOL n'est pas gérée par une liste LRU (Least Recently Used).
utilisateur
Processus bitmap
serveur 1
nse
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f e r
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n - t r
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Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
Réponse : 2 e d oo ent
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(a t
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ni A
br a
D j e
2. Modifications
3. Blocs
4. Instructions SQL
nse
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ฺ d z) Guid
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Réponse : 3 e d oo ent
o or Stud
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• Processus utilisateur
– Application ou outil qui se connecte à la base de données
Oracle
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a b le
f e r
orarootagent oraagent
an s
cssdagent
n - t r
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ฺ d z) Guid
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Clusterware. ฺ d z) Guid
• ohasd : Démon Oracle High Availability Service qui est chargé de démarrer Oracle
d oo ent
• ocssd : Démon Cluster Synchronization Service.
e
o or Stud
• diskmon : Démon Disk Monitor qui est chargé d'isoler les entrées et les sorties pour le serveur
r a ni@ e this
HP Oracle Exadata Storage Server.
d j eb o us
• cssdagent : Démarre et arrête le démon CSS (ocssd) et vérifie son statut.
(a t
• oraagent : Etend le clusterware pour la prise en charge d'exigences Oracle spécifiques et de
i z
ressources complexes.
z
ni A
• orarootagent : Agent Oracle spécialisé qui permet de gérer les ressources appartenant à
Il écrit sur le disque les tampons qui ont été modifiés ("dirty")
dans le cache de tampons de la base de données :
• de manière asynchrone pendant l'exécution d'autres
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traitements
• pour faire avancer le point de reprise
nse
DBWn
li c e
a ble
Cache de tampons Processus Database Fichiers de données
f e r
de la base de Writer
an s
données
n - t r
a no
h a s eฺ
ฺ d z) Guid
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qu'il écrit des tampons de la liste LRUW. De la sorte, si une récupération d'instance est nécessaire,
elle lira les informations de journalisation à partir d'un emplacement approximativement correct,
évitant ainsi des E/S inutiles. On parle de points de reprise incrémentiels.
Remarque : Il existe d'autres cas dans lesquels le processus DBWn peut effectuer des opérations
d'écriture (par exemple, lorsque des tablespaces deviennent accessibles en lecture seule ou sont mis
hors ligne). Dans de tels cas, aucune gestion de point de reprise incrémentiel n'a lieu parce que les
tampons "dirty" appartenant aux fichiers de données correspondants sont écrits dans la base sans tenir
compte du numéro SCN.
nse
L'algorithme LRU conserve dans le cache de tampons les blocs faisant l'objet d'accès fréquents afin li c e
ble
de limiter le nombre de lectures sur disque. Une option CACHE peut être définie sur les tables pour
a
conserver les blocs encore plus longtemps dans la mémoire. f e r
ans
t r
Le paramètre d'initialisation DB_WRITER_PROCESSES précise le nombre de processus DBWn. Le
n -
a no
nombre maximal de processus DBWn est 36. S'il n'est pas précisé par l'utilisateur au démarrage,
Oracle Database détermine sa valeur en fonction du nombre de CPU et de groupes de processeurs.
h a s eฺ
ฺ d z) Guid
Le processus DBWn écrit les tampons "dirty" sur disque dans les cas suivants :
oo ent
• Quand un processus serveur ne trouve pas de tampon réutilisable "clean" après avoir passé en
e d
revue un nombre seuil de tampons, il demande au processus DBWn de transférer des tampons
o or Stud
sur disque. DBWn écrit les tampons "dirty" de manière asynchrone tout en effectuant d'autres
traitements.
r a ni@ e this
d j eb o us
• DBWn transfère périodiquement sur disque les données des tampons afin de faire avancer le
(a t
point de reprise, qui détermine le point de départ d'une récupération d'instance dans le fichier de
z i z
journalisation (redo log). Ce point correspond au plus ancien tampon "dirty" du cache de
ni A
tampons.
br a
D j e Dans tous les cas, DBWn effectue des opérations d'écriture (multiblocs) en mode batch pour plus
d'efficacité. Le nombre de blocs écrits par ce type d'opération est variable d'un système d'exploitation à
un autre.
nse
li c e
a ble
LGWR
f e r
ans
Tampon de
journalisation
Processus Log
Writer
Fichiers de
n - t r
journalisation
a no
h a s eฺ
ฺ d z) Guid
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b r a
(redo log buffer) en écrivant ses
e journalisation sur le disque. Il écrit
toutes les entrées deje
d t o us qui ont été copiées dans le tampon depuis la dernière
journalisation
( a
opération d'écriture.
z
z i
A de journalisation est réutilisable. Une fois que le processus LGWR a écrit son
Le tampon
a n i
b r contenu dans un fichier de journalisation sur le disque, il peut recevoir de nouvelles données
D je provenant des processus serveur. Normalement, la vitesse d'écriture du processus LGWR est
suffisante pour que le tampon comporte toujours suffisamment d'espace pour de nouvelles
entrées, même lorsque le fichier de journalisation fait l'objet de nombreux accès. LGWR écrit
sur le disque une seule portion contiguë du tampon.
LGWR effectue une opération d'écriture :
• Quand un processus utilisateur valide une transaction.
• Quand un tiers du tampon de journalisation est plein.
• Avant qu'un processus DBWn écrive des tampons modifiés sur le disque (si nécessaire).
• Toutes les trois secondes.
fichiers du groupe et consigne une erreur dans le fichier trace LGWR ainsi que dans le fichier
d'alertes système. Si tous les fichiers du groupe sont endommagés, ou si le groupe n'est pas
disponible parce qu'il n'a pas été archivé, le fonctionnement de LGWR est interrompu.
Quand un utilisateur lance une instruction COMMIT, LGWR place un enregistrement de validation
dans le tampon de journalisation et l'écrit immédiatement sur le disque avec les entrées de
journalisation de la transaction. L'écriture des modifications apportées aux blocs de données est
différée jusqu'au moment opportun. On parle de mécanisme de validation rapide. L'écriture atomique
de l'entrée de journalisation contenant l'enregistrement de validation de la transaction est le seul
nse
événement qui indique si la transaction a été validée. Oracle Database renvoie un code de succès
li c e
a ble
pour la transaction en cours de validation même si les tampons de données n'ont pas encore été écrits
sur le disque.
f e r
ans
n - r
Si le processus LGWR a besoin de plus d'espace de mémoire tampon, il écrit parfois les entrées de
t
journalisation avant que la transaction ne soit validée. Ces entrées ne deviennent permanentes que si
a no
la transaction est validée ultérieurement. Lorsqu'un utilisateur valide une transaction, celle-ci reçoit
h a s eฺ
un numéro SCN (System Change Number) qui est enregistré par Oracle Database avec les entrées de
d z) Guid
journalisation associées à la transaction dans le fichier de journalisation. Les numéros SCN sont
ฺ
e d oo ent
enregistrés dans le fichier de journalisation pour permettre la synchronisation des opérations de
or Stud
récupération dans les environnements Real Application Clusters et les bases de données distribuées.
o
r a ni@ e this
Dans les périodes de forte activité, le processus LGWR peut écrire dans le fichier de journalisation
via des validations groupées. Supposons, par exemple, qu'un utilisateur valide une transaction.
d j eb o us
LGWR doit écrire les entrées de journalisation associées à la transaction sur le disque. Pendant ce
(a t
i z
temps, d'autres utilisateurs lancent des instructions COMMIT. LGWR ne peut pas consigner ces
z
ni A
transactions dans le fichier de journalisation tant qu'il n'a pas terminé l'opération d'écriture
br a
précédente. Une fois que les entrées relatives à la première transaction ont été écrites dans le fichier
D j e de journalisation, la liste complète des entrées relatives aux transactions en attente (pas encore
validées) peut être écrite sur le disque en une seule opération, ce qui représente moins d'E/S qu'avec
une gestion individuelle des transactions. De cette façon, Oracle Database réduit les E/S disque et
augmente les performances du processus LGWR. Si les demandes de validation se succèdent à un
rythme élevé, chaque opération d'écriture (par LGWR) à partir du tampon de journalisation peut
contenir plusieurs enregistrements de validation.
CKPT Fichier de
contrôle
nse
Processus
CKPT
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f e r
Fichiers de
ans
données
n - t r
a no
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Instance
SMON
nse
Processus SMON
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Segment
ans
temporaire
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PMON
a ble
Utilisateur f e r
tnslsnr an s
Processus utilisateur Processus PMON
n t r
Cache de tampons de
-
la base de données
no
en échec
a
s eฺ
h a
ฺ d z) Guid
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équivoques.
• Il supprime toutes les lignes correspondant à des
transactions équivoques.
nse
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RECO
a ble
f e r
ans
Processus RECO dans
n - t
Transaction équivoquer
la base A
a no dans la base B
h a s eฺ
ฺ d z) Guid
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z
processus z rétablit la connexion entre les serveurs de base de données concernés, il
iRECO
A
ni automatiquement les transactions équivoques et supprime de chaque table de
résout
r a
D jeb transactions en attente les lignes correspondant aux transactions équivoques résolues.
Si le processus RECO ne parvient pas à se connecter à un serveur distant, il effectue une
nouvelle tentative au bout d'un certain temps. Le délai d'attente avant reconnexion croît de
manière exponentielle.
ARCn
nse
li c e
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Processus d'archivage Copies des fichiers
f
Destination de l'archive
e r
de journalisation
an s
archivés
n - t r
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ฺ d z) Guid
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d o
odonnées n t
Architecture de stockage de la baseede e
Les fichiers constituant une base deo or S
données tudsont organisés de la façon suivante :
Oracle
• Fichiers de contrôlea :n
@ thisdes données sur la base elle-même (informations
Ilsi contiennent
sur sa structureje b r sefichiers sont d'une importance capitale pour la base. Sans
d physique). u
Ces
toouvrir les fichiers de données de la base. Ils peuvent également
a pouvez pas
eux, vous(ne
z
i
Az des métadonnées relatives aux sauvegardes.
contenir
•niFichiers de données : Ils contiennent les données utilisateur ou les données des
e b ra applications, ainsi que des métadonnées et le dictionnaire de données.
D j • Fichiers de journalisation en ligne (online redo logs) : Ils permettent la récupération
d'une instance de base de données. Si le serveur de base de données connaît une
défaillance et qu'aucun fichier de données n'est perdu, l'instance peut récupérer la base à
l'aide des informations contenues dans ces fichiers.
Les fichiers indiqués ci-dessous sont également essentiels au bon fonctionnement de la base
de données :
• Fichier de paramètres : Il est utilisé pour définir la façon dont l'instance est configurée
au démarrage.
• Fichier de mots de passe : Il permet aux utilisateurs sysdba, sysoper et sysasm de
se connecter à distance à la base de données et d'effectuer des tâches d'administration.
• Fichiers de sauvegarde : Ils sont utilisés pour la récupération de la base de données. Les
fichiers de sauvegarde sont généralement restaurés lorsqu'une défaillance physique ou
une erreur utilisateur a endommagé ou supprimé les fichiers d'origine.
l'erreur dans son fichier trace. Certaines de ces informations sont destinées à l'administrateur de
base de données, et d'autres au support technique Oracle.
• Fichier d'alertes : Il contient des entrées de trace spéciales. Le fichier d'alertes d'une base de
données est un journal chronologique des messages et des erreurs. Oracle recommande de le
consulter régulièrement.
Remarque : Les fichiers de paramètres, de mots de passe, d'alertes et de trace seront traités dans
d'autres chapitres.
nse
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Base de données
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Fichier de
Tablespace
données
Segment
Système de stockage
• NFS
Extent
• SAN
nse
• NAS • ASM
li c e
• Exadata • RAW a ble
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Bloc de
• Système de fichiers ans
données Oracle
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ฺ d z) Guid
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d o dendonnées
obase t
Structures logiques et physiques d'une e e
tud et des structures physiques.
or Slogiques
Une base de données comprend desostructures
r
Bases de données, tablespacesa ni@ et e thisde données
fichiers
d j eb illustre
La diapositive ci-dessus o
s relations qui existent entre une base de données, ses
ules
a t
i
tablespaces
z zet(ses fichiers de données. Chaque base est divisée d'un point de vue logique en
a n i A tablespaces.
plusieurs Des fichiers de données sont créés explicitement pour chaque
e b r tablespace afin de stocker physiquement les données de tous les segments. Si le tablespace est
D j de type TEMPORARY, il n'est pas associé à un fichier de données mais à un fichier temporaire.
Le fichier de données d'un tablespace peut être stocké physiquement sur n'importe quelle
technologie de stockage prise en charge.
Tablespaces
Une base de données est divisée en unités de stockage logiques appelées tablespaces, qui
regroupent des structures logiques ou des fichiers de données connexes. Par exemple, les
tablespaces regroupent généralement tous les objets d'une application afin de simplifier
certaines opérations d'administration.
Blocs de données
Au niveau de détail le plus élevé, les données d'une base Oracle sont stockées dans les blocs
de données. Un bloc de données correspond à un nombre d'octets spécifique d'espace
physique sur le disque. La taille des blocs est définie lors de la création de chaque tablespace.
La base de données utilise et alloue l'espace disponible dans les blocs de données Oracle.
du système de fichiers.
Segments
On appelle segment le niveau logique venant immédiatement au-dessus de l'extent. Un segment est
un ensemble d'extents alloués à une structure logique spécifique. Exemples :
• Segments de données : Chaque table qui ne fait pas partie d'un cluster et n'est pas organisée en
index comprend un segment de données, à l'exception des tables internes, des tables temporaires
globales et des tables partitionnées qui comprennent chacune un ou plusieurs segments. Toutes
les données de la table sont stockées dans les extents du segment de données correspondant. nse
Dans le cas d'une table partitionnée, chaque partition a son propre segment de données. Par li c e
a ble
ailleurs, chaque cluster comporte un segment de données, qui contient les données de toutes les
f e r
tables incluses dans le cluster.
ans
t r
• Segments d'index : Chaque index comporte un segment d'index dans lequel sont stockées toutes
n -
a no
ses données. Dans le cas d'un index partitionné, chaque partition a son propre segment d'index.
• Segments d'annulation : Un tablespace UNDO est créé pour chaque instance de base de
h a s eฺ
données. Ce tablespace contient un grand nombre de segments qui stockent temporairement les
ฺ d z) Guid
informations d'annulation. Les informations contenues dans un segment d'annulation permettent
d oo ent
de générer des informations de base de données cohérentes en lecture et, lors de la récupération
e
or Stud
de la base, d'annuler les transactions non validées pour les utilisateurs.
o
r a ni@ e this
• Segments temporaires : Les segments temporaires sont créés par la base de données Oracle
lorsque l'exécution d'une instruction SQL requiert une zone de travail temporaire. Une fois
d j eb o us
l'exécution de l'instruction terminée, les extents du segment temporaire sont rendus à l'instance
(a t
i z
en vue d'une utilisation ultérieure. Indiquez un tablespace temporaire par défaut pour chaque
z
ni A
utilisateur, ou un tablespace global à l'échelle de la base de données.
br a
Remarque : Il existe d'autres types de segment non mentionnés ci-dessus. Il existe également des
D j e objets de schéma, tels que les vues, les packages, les déclencheurs, qui ne sont considérés comme des
segments bien qu'il s'agisse d'objets de base de données. Un segment dispose d'un espace disque qui
lui est propre. Les autres objets existent en tant que lignes stockées dans un segment de métadonnées
du système.
Le serveur de base de données Oracle alloue de l'espace de manière dynamique. Lorsque les extents
existants d'un segment sont pleins, d'autres sont ajoutés. Etant donné que les extents sont alloués en
fonction des besoins, ils ne sont pas nécessairement contigus sur le disque. Par ailleurs, ils peuvent
provenir de différents fichiers de données appartenant au même tablespace.
nse
li c e
a b le
Segment Extents Blocs de Blocs du disque
fe r
données (stockage n s
dans
a de
- t r
le système
n on fichiers)
s a
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) i
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dz t Gu
o ฺ
Segments, extents et blocs
r e do den
Les objets de base de données tels o o les tables
que S tuet les index sont stockés dans les tablespaces
a ni@segment
sous forme de segments. Chaque t h iscontient un ou plusieurs extents. Un extent est
r se ce qui signifie qu'il ne peut se trouver que dans un
b contigus,
edonnées
j
constitué de blocs de
d Lesto
u
z a
seul fichier de(données. blocs de données constituent la plus petite unité d'E/S de la base.
A
Lorsqu'un
i
z ensemble de blocs de données est demandé par la base au système d'exploitation,
i
acendernier assure la correspondance avec un bloc réel du système de fichiers ou du disque sur
b r
e le périphérique de stockage. Par conséquent, vous n'avez pas besoin de connaître l'adresse
Dj physique des données de la base. Cela signifie également qu'un fichier de données peut être
réparti (striped) ou mis en miroir sur plusieurs disques.
La taille des blocs de données peut être définie lors de la création de la base. La taille par
défaut (8 Ko) convient généralement. Toutefois, si votre base de données prend en charge une
application de data warehouse qui comporte des tables et des index volumineux, il peut être
judicieux de choisir une taille de bloc plus importante.
A l'inverse, si votre base est utilisée avec une application transactionnelle dans laquelle les
lectures et écritures sont aléatoires, vous avez intérêt à définir une taille de bloc inférieure. La
taille maximale des blocs dépend du système d'exploitation utilisé. La taille minimale des
blocs Oracle est de 2 Ko, mais cette valeur est rarement utilisée (voire jamais).
Vous pouvez utiliser des tablespaces présentant une taille de bloc non standard. Pour plus
d'informations, reportez-vous au manuel Oracle Database Administrator's Guide.
8 Ko 8 Ko 8 Ko 8 Ko 8 Ko
8 Ko 8 Ko 8 Ko 8 Ko 8 Ko
Un seul fichier de
8 Ko 8 Ko 8 Ko 8 Ko 8 Ko données autorisé
8 Ko 8 Ko 8 Ko 8 Ko 8 Ko <= 128 To
Extent Extent
64 Ko 96 Ko nse
li c e
a ble
Segment f e r
ans
160 Ko
n - t r
a no
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ฺ d z) Guid
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Oracle
• Il gère les fichiers des applications
à l'aide du système de fichiers ACFS
(ASM Cluster File System). Système de
Fichiers
fichiers
ASM pour
• Il répartit les données entre ACFS la base
les différents disques Gestionnaire de
pour équilibrer la charge. données
de volumes
Oracle
nse
• Il effectue une mise en miroir des
dynamiques
ASM li c e
données pour éviter les pertes Automatic Storage Managementbl
e
en cas d'incident. fe r a
a n s
Système d'exploitation
• Il facilite la gestion du stockage. n - t r
a no
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ฺ d z) Guid
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d t o usla prise
jeafind'ordinateurs
ASM permet la gestion SMP (multitraitement symétrique) ou de plusieurs
z ( a
noeuds d'un cluster, d'assurer en charge d'Oracle Real Application Clusters
(RAC). z i
a n i A(Oracle ASM Cluster File System) est un système de fichiers évolutif multi-plateforme
r ACFS
D jeb offrant une technologie de gestion du stockage qui étend ASM afin de prendre en charge les
fichiers d'application extérieurs à la base Oracle tels que les exécutables, les états, les objets
BFILE, les fichiers audio, vidéo et texte, les images, etc.
ASM distribue la charge d'entrée/sortie (E/S) entre toutes les ressources disponibles. Il
optimise ainsi les performances et rend inutile le réglage manuel des E/S. Grâce à ASM, les
administrateurs de base de données (DBA) peuvent gérer l'environnement de base de données
de manière dynamique. En effet, ils peuvent augmenter la taille de la base sans avoir à fermer
celle-ci pour ajuster l'allocation de l'espace de stockage.
ASM permet de gérer des copies redondantes des données afin d'assurer la tolérance de panne.
Il peut également être associé à des mécanismes de stockage fiables fournis par les fabricants.
La gestion des données est effectuée en sélectionnant les caractéristiques de fiabilité et de
performances souhaitées pour les différentes classes de données, et non par le biais d'une
interaction humaine fichier par fichier.
Les fonctionnalités ASM permettent aux DBA de gagner du temps grâce à l'automatisation du
stockage. Ces derniers peuvent ainsi gérer des bases de données à la fois plus volumineuses et
plus nombreuses.
ASM
Fichier de
Groupe
base de
Fichier ASM de disques
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données
ASM
Oracle
Extent ASM
Système
de fichiers
nse
ou Unité
Disque ASM li c e
raw device d'allocation ASM
a ble
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ans
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ฺ d z) Guid
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Processus à recycler
serveur Zone de Zone de Zone de
mémoire mémoire mémoire Cache de tampons
LARGE POOL Java Streams de blocs de taille nK
Processus
d'écoute
DBWn CKPT LGWR SMON PMON RECO ARCn Autres
nse
Processus
li c e
utilisateur
a b le
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Utilisateur
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ฺ d z) Guid
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D jeb essaie d'établir une connexion au serveur. (Il peut s'agir d'une connexion locale,
client/serveur ou d'une connexion à trois niveaux (3-tiers) fournie par un niveau
intermédiaire.)
3. Le serveur exécute un processus d'écoute (listener) qui contient le gestionnaire Oracle
Net Services approprié. Le serveur détecte la demande de connexion émise par
l'application et crée un processus serveur dédié pour le compte du processus utilisateur.
4. L'utilisateur exécute une instruction SQL de type LMD (langage de manipulation de
données) et valide la transaction. Par exemple, il change l'adresse d'un client dans une
table et valide la modification dans la base.
5. Le processus serveur reçoit l'instruction et recherche dans la zone de mémoire partagée
(composant SGA) une zone SQL partagée contenant une instruction SQL semblable. S'il
trouve cette zone SQL partagée, le processus serveur vérifie les privilèges de l'utilisateur
pour l'accès aux données demandées et utilise la zone SQL partagée existante pour traiter
l'instruction. A défaut, une nouvelle zone SQL partagée est allouée à l'instruction pour
que celle-ci puisse être analysée et traitée.
nse
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• Mémoire
• Processus
• Structures de fichiers
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Objectifs
utilisez
• planifier une installation du logiciel Oracle
• installer Oracle Grid Infrastructure pour un serveur
autonome
• installer le logiciel de base de données Oracle Database
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ฺ d z) Guid
Copyright © 2009, Oracle. Tous droits réservés.
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o or Stud
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odonnées n t
Tâches d'un administrateur de baseede d e Oracle
Un administrateur de base de données o or(DBA)Sesttuprincipalement chargé de l'installation du
n i @ t h i s
b r a responsable
logiciel Oracle et de la création de
s
la
e base.
a d je également
A ce titre, vous pouvez être
t o u êtredeamené la création des structures de stockage telles que les
i z (
tablespaces. Vous pouvez à créer le schéma ou l'ensemble des objets
contenant
i A z les données de l'application.
r n devez vous assurer que la base de données est disponible pour les utilisateurs. Pour cela,
aVous
b
je vous devez démarrer la base de données, la sauvegarder régulièrement et contrôler ses
D performances. Ces tâches doivent être intégrées dans une stratégie de sécurité.
Vous apprendrez à effectuer chacune de ces opérations au fil des chapitres du cours. Vous
pouvez également vous reporter au manuel Oracle Database Administrator's Guide pour plus
d'informations sur les tâches mentionnées dans la diapositive ci-dessus.
Dans ce chapitre, nous nous intéresserons à la phase d'installation. Cette tâche essentielle
requiert les sous-tâches suivantes :
• Comprendre la place qu'occupe la phase d'installation dans l'architecture technique
globale d'une organisation
• Revoir (et mettre à jour) la planification de la capacité
• Choisir le logiciel de base de données (version et options requises)
• S'assurer que les éléments choisis respectent les exigences système
b r a
• Oracle Universal Installer
s e Oracle et ses options. Il peut lancer
z iz fournis par Oracle, ce qui vous permet de copier une base préconfigurée. (Vous
modèles
A
r a nipouvez également créer vos propres modèles et votre propre base.)
D jeb • Database Upgrade Assistant (DBUA) vous guide tout au long de la mise à niveau d'une
base Oracle existante vers une nouvelle version.
• Oracle Net Manager (netmgr) permet de configurer la connectivité réseau des bases
de données et applications Oracle.
• Oracle Net Configuration Assistant (NetCA) est un outil graphique de type assistant
qui permet de configurer et de gérer des configurations Oracle Network.
d'exécuter des commandes SQL, Enterprise Manager fournit une interface avec les autres
composants Oracle utilisés pour administrer la base de données (Recovery Manager et
Scheduler, par exemple).
• Les principaux outils Enterprise Manager utilisés pour administrer une base de données Oracle
sont les suivants :
- Enterprise Manager Database Console pour administrer une seule base de données.
- Enterprise Manager Grid Control pour administrer simultanément plusieurs bases de
données.
nse
• Server Control Utility (srvctl) est une interface de ligne de commande standard qui peut
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être utilisée pour démarrer et arrêter la base de données et les instances, gérer des instances
f e r
ASM, et déplacer ou supprimer des instances et des services. Vous pouvez également ajouter des
services et gérer les informations de configuration à l'aide de SRVCTL.
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- t r
• SQL*Plus est une interface de ligne de commande standard permettant de gérer la base de
n
données.
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• Recovery Manager (RMAN) est une solution Oracle complète pour les opérations de
spécifiques. ฺ d z) Guid
sauvegarde, de restauration et de récupération de l'ensemble de la base de données ou de fichiers
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• Data Pump permet le transfert à grande vitesse de données entre deux bases (par exemple, vous
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pouvez avoir besoin d'exporter une table et de l'importer dans une autre base).
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• SQL*Loader permet de charger les données d'un fichier externe dans une base Oracle. Vous
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pouvez l'utiliser pour charger des données dans des tables de base de données.
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• Outils en mode ligne de commande :
i z
- Pour administrer Enterprise Manager :
z
ni A emctl start | status | stop dbconsole
br a - Pour administrer le processus d'écoute (listener) :
D j e lsnrctl start | status | stop
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• Utilisateurs :
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– Propriétaire du logiciel (généralement oracle)
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– Possibilité de créer plusieurs utilisateurs pour installer s f e r
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plusieurs produits -tra on
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Préparer le système d'exploitation edo d e n
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o par l'administrateur
Certaines étapes doivent être effectuées
i@ Oracle. i s S système du matériel que vous
utilisez pour l'installation a
r dunlogiciel
e t h Ce cours n'indique pas tous les détails et toutes
les commandes de la b us du système
jeconfiguration d'exploitation, d'autant plus que chaque
( a d
système d'exploitation a dest o
exigences spécifiques pour le logiciel Oracle. Nous allons
simplement i z
z passer en revue quelques points généraux, mais nous vous recommandons de
n
vous i A
référer à la documentation d'installation correspondant à votre système.
r a
D jeb L'une des étapes nécessaires consiste à créer les groupes et les utilisateurs du système
d'exploitation qui sont indispensables pour effectuer l'installation. Les deux groupes
obligatoires sont oinstall et dba. Si vous implémentez la séparation des tâches entre
plusieurs comptes utilisateur, les autres groupes à créer sont oper, asmdba, asmoper et
asmadmin. Vous avez besoin au minimum d'un utilisateur du système d'exploitation pour
jouer le rôle de propriétaire de l'installation Oracle. Dans la plupart des cas, l'utilisateur
oracle est configuré à cet effet. Si vous souhaitez une véritable séparation des fonctions,
vous pouvez avoir des propriétaires distincts pour vos différents produits Oracle.
• Espace temporaire
approprié
• 64 bits ou 32 bits
Unauthorized reproduction or distribution prohibitedฺ Copyright© 2016, Oracle and/or its affiliatesฺ
• Système d'exploitation
correct
• Niveau de patch du système d'exploitation
• Packages système
• Paramètres système et paramètres du noyau
• Permissions liées à XServer nse
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• Espace de swap suffisant
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• Définition de la variable ORACLE_HOME f e r
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serveur autonome
• Partie 2 : Installer le logiciel Oracle Database
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Partie 1 : Installer Oracle Grid Infrastructure d oo pour e n tun serveur autonome
o
Pour installer le logiciel Oracle Grid
r
S tudà l'aide de l'installeur OUI, connectez-vous
oInfrastructure
a
à l'ordinateur en tant que membre
r this d'administration qui est autorisé à installer le
ni@due groupe
b à créer
eaussi set gérer la base de données. Insérez le CD-ROM de
j to u (clusterware) dans le lecteur de CD-ROM ou accédez à
logiciel Oracle, mais
distribution du(a d
logiciel de cluster
z iz de stockage intermédiaire du clusterware Oracle. Entrez ./runInstaller
l'emplacement
A
r a ni démarrer l'installeur. Dans la page Installation Option qui apparaît, sélectionnez l'option
pour
D jeb Install and Configure Grid Infrastructure for a Standalone Server et cliquez sur Next.
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D jeb Pour la plupart des environnements, Oracle recommande de créer deux groupes de disques,
mais l'installeur ne peut en créer qu'un à ce stade. Vous pourrez créer le second groupe de
disques ASM après l'installation, à l'aide de l'utilitaire ASM Configuration Assistant (asmca)
ou de SQL*Plus. Cliquez sur le bouton Next pour continuer l'installation.
Remarque : La liste de disques n'est pas vide dans l'exemple illustré ci-dessus car le pilote
ASMLib est configuré. Ce pilote s'applique uniquement aux plates-formes Linux. Sur les
autres plates-formes, il peut être nécessaire d'utiliser le bouton Change Discovery Path.
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fichier de mots de passe (orapw+ASM sous Linux) et se voit accorder les privilèges
D jeb SYSDBA, SYSOPER et SYSASM. Le compte ASMSNMP est lui-aussi ajouté au fichier de mots
de passe et obtient uniquement le privilège SYSDBA. Après avoir entré les mots de passe
appropriés, cliquez sur le bouton Next pour continuer l'installation.
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ol'installation
n t
Vérifier les données récapitulativesede d e
La page Summary est affichée. Elle o or Sles
récapitule tuchoix d'installation que vous avez effectués
n i @propose
t h i s
dans les pages précédentes.
b r a Elle
e un bouton permettant de sauvegarder les questions et
réponses relatives àje
d l'installation
t o usinteractive dans un fichier de réponses. Ce fichier pourra être
z ( a
utilisé pour effectuer une installation en mode silencieux. Il s'agit d'un fichier texte. Il est
i
possiblezde le modifier à l'aide d'un outil d'édition pour l'adapter à différentes installations.
n i A sur Finish pour poursuivre l'installation.
Cliquez
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r
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octroyant au groupe des droits en lecture et écriture et en supprimant les droits en lecture,
écriture z
et exécution accordés à world. Le script root.sh copie des fichiers dans le
n i A
répertoire /usr/local/bin, crée le fichier /etc/oratab, crée les clés OCR (Oracle
r a
D jeb Cluster Repository) pour l'utilisateur grid, lance le démon ohasd et modifie le fichier
/etc/inittab pour qu'il démarre automatiquement le démon ohasd au démarrage de
l'ordinateur. Après avoir exécuté les scripts root, cliquez sur le bouton OK pour retourner à
la page Setup et continuer l'installation.
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Réponse : 2 e d oo ent
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Commentaire
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Par exemple, les utilisateurs les
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groupes du système d'exploitation doivent être créés sous
j
d l'installation
UNIX et Linux avant u
to du logiciel.
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qui n'implémente pas la séparation des tâches. Cliquez sur Next pour continuer.
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