I- INTRODUCTION
I.1- Introduction
I.1.1- Définitions
Automatique : C’est l’ensemble des sciences et des techniques utilisées dans la conception et la
réalisation des systèmes automatisés (SA).
Un Système Automatisé (SA) est un objet technique qui effectue un travail de façon autonome.
Automatisation : C’est l’exécution automatique de tâches sans interventions humaines.
Processus : C’est un programme en cours d'exécution par un ordinateur. De façon plus précise, il
peut être défini comme un ensemble d'instructions à exécuter.
Système ou procédé : C’est un ensemble d'éléments interagissant entre eux selon certains
principes ou règles.
I.1.2- Intérêt d’un système automatisé
Les systèmes automatisés remplacent l’homme dans des opérations dangereuses répétitives ou pénibles
Exemple : robot aspirateur, boite de vitesse automatique, pilote automatique, allumage automatique des
phares, machines à laver, distributeur de café, etc...
Les systèmes automatisés permettent d’augmenter la précision et la productivité.
L’objectif de l’automatique est d’étudier le comportement du système (ce qu’il fait) en fonction de
l’évolution du système (consignes, informations), de l’environnement extérieur et du temps.
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I.1.3.1- La partie commande ou chaîne d’informations
La partie commande d’un système automatisé est un ensemble capable de reproduire un modèle de
fonctionnement exprimant le savoir-faire humain. Elle commande la partie opérative pour obtenir les
effets voulus, par l’émission d’ordres en fonction d’informations disponibles, comptes rendus, consignes
et du modèle construit. Elle peut échanger des informations avec l’opérateur ou d’autres systèmes.
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les distributeurs, pour les actionneurs pneumatiques ou hydrauliques.
Ils ont pour fonction essentielle de distribuer l'air sous pression aux différents orifices des
actionneurs pneumatiques. Comme le contacteur est associé à un moteur électrique, le distributeur
est le pré-actionneur associé à un vérin pneumatique
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Un actionneur est un constituant qui transforme l’énergie disponible en énergie mécanique.
Les actionneurs les plus utilisés sont :
les moteurs électriques, thermiques, pneumatiques ou hydrauliques ;
les vérins électriques, pneumatiques ou hydrauliques.
I.1.3.3.2-Transmetteur et effecteur
Un transmetteur est un constituant dont le rôle est d’adapter l’énergie mécanique pour la rendre utilisable
par l’effecteur. Tous les dispositifs de transformation de mouvements, tels des réducteurs, des variateurs,
des systèmes à bielle-manivelle par exemple, sont des transmetteurs.
Un effecteur est l'élément terminal de la chaîne d'action, convertissant l'action de l'actionneur en un effet ou
une opération sur la partie opérative. Quelques exemples d’effecteurs :
une pince de robot manipulateur ;
un tapis roulant.
forêt de perceuse pour effectuer des trous ;
convoyeur pour effectuer un déplacement de pièce sur un tapis roulant ;
tambour de store pour enrouler ou dérouler une toile.
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Figure 3 : Exemple de système logique
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II- SYSTEMES LOGIQUES COMBINATOIRES
Les systèmes logiques combinatoires sont des dispositifs qui, d’une manière générale, sont sollicités par
des signaux d’entrée qui ne peuvent prendre que deux valeurs distinctes.
Leur comportement, identifiable par ce que l’on peut considérer que l’état des signaux de sortie, ne
dépend alors que de l’état des signaux d’entrée.
Pour étudier les systèmes logiques, il est nécessaire de posséder un outil mathématique, c'est l'algèbre de
Boole. Dans cet ensemble de lois mathématiques, il n'y a que deux constantes que nous désignerons par 0
et 1. Ces symboles 0 et 1 représentent deux ETATS et non deux chiffres. On utilise aussi H pour high
(haut) et L pour low (bas).
Exercice :
1- Convertir les nombre décimaux suivant en Binaire : 24 ; 32 ; 18.
2- Convertir les nombre binaires suivant en décimal : (1011) ; (01111) ; (1010)
Le code binaire réfléchit ou code Gray : C'est un code à distance minimale car on passe d'une
ligne à la suivante en ne changeant qu'un seul bit. On ne peut affecter aucun poids aux bits dans
les groupes codés : ce code est non pondéré.
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Le code BCD : Le code BCD (Binary Coded Decimal) qui veut dire Binaire Codé en Décimal
est la traduction en binaire des 9 premiers chiffres du système décimal. Si on a un nombre
décimal N à m chiffres, il sera codé en BCD sur (m x 4) bits : chaque chiffre décimal est traduit
en code BCD sur 4 bits.
S
Le chronogramme ci-contre met en 1
évidence que l'état de la sortie S est 0 t
0 t
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Propriété :
Propriétés
• La fonction AND est commutative associative: F = A.B = B.A.
• La fonction AND est : F = A.(B.C) = (A.B).C = A.B.C.
• La fonction AND est généralisable pour n entrées.
• Identités remarquables : 0.X=0, X.1 = X ; X.X=X et X. =0.
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Opérateur ET-NON (NAND) ou opérateur négatif du ET:
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Opérateur OU (XOR) exclusif:
La sortie est à l'état 1 si, et seulement si, une seule entrée est à l'état 1.
S 1
Le chronogramme ci-contre met en 0 t
e1 1
évidence que la sortie S est à l'état 1 si, t
0
et seulement si, une seule des deux
entrées e1 OU e2 est à l'état 1. 0 t
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II.1.4.2- Propriétés fondamentales de l’algèbre de Boole
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Exercice :
Trois interrupteurs I1, I2, et I3 commandent le démarrage de deux moteurs M1 et M2 selon les conditions
suivantes :
• le moteur M1 ne doit démarrer que si au moins deux interrupteurs sont fermés (Ii = 1),
• dès qu'un ou plusieurs interrupteurs sont activés, le moteur M2 doit démarrer.
Dresser la table de vérité du système.
Une fonction booléenne peut être représentée sous forme d’une somme de produits utilisant les
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mintermes. Les mintermes sont représentés par des « 1 » dans une table de vérité.
Une fonction booléenne peut être représentée sous forme d’un produit de sommes utilisant les maxtermes.
Les maxtermes sont représentés par des « 0 » dans une table de vérité.
Lors de la définition d’une fonction, la valeur de cette fonction peut être indifférente (ne change pas le
résultat) ou non spécifiée (n’existe pas) pour certaines combinaisons qui sont appelées combinaisons
non-spécifiées. On conviendra de noter X ou φ la valeur de la fonction en ces points. Nous
appellerons variable φ-booléenne une variable susceptible de prendre ses valeurs dans l’ensemble
B2=(0,1,φ).
Exemple : Soit un clavier qui comporte 3 boutons P1, P2 et P3 qui commandent une machine et
qui possèdent un verrouillage mécanique tel que 2 boutons adjacents ne peuvent pas entre enfoncés
simultanément.
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P1 P2 P3
Marche manuelle Arrêt Augmenter la vitesse
Supposons que Pi appuyé = 1 et Pi relâche = 0, d’où la t.d.v suivante de la fonction « clavier » qui
détecte au moins un poussoir déclenché :
P1 P2 P3 Clavier
0 0 0 0
0 0 1 1
0 1 0 1
0 1 1 X
1 0 0 1
1 0 1 1
1 1 0 X
1 1 1 X
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II.2.2.1- Simplification par extraction des sommes de produits
La méthode est la suivante :
dessiner la table de Karnaugh correspondant à la fonction ;
- on entame les « 1 » isolés ;
- on réunit les octets de « 1 » adjacents ;
- on réunit les quartets de « 1 » adjacents ;
- on réunit les doublets de « 1 » adjacents pour réunir tous les « 1 » du tableau ;
Identifier tous les implicants majeurs essentiels pour les « 1 » ;
identifier tous les implicants majeurs non essentiels pour les « 1 » ;
pour tous les implicants majeurs essentiels et un des implicants majeurs non essentiels
sélectionné dans chaque ensemble, déterminer les termes de produits correspondant ;
effectuer l’addition logique de tous les termes précédents, sachant que :
- un octet de « 1 » permet d’éliminer les 3 variables qui se trouvent sous les deux formes
(complémenté et non complémenté) ;
- un quartet de « 1 » permet d’éliminer les 2 variables qui se trouvent sous les deux formes
(complémenté et non complémenté) ;
- un doublet de « 1 » permet d’éliminer la variable qui se trouve sous les deux formes
(complémenté et non complémenté) ;
Exemple : Simplifier la fonction :
Normalement, l’utilisation des tableaux de Karnaugh pour la simplification par extraction des sommes de
produits exploite l’adjacence entre les « 1 » pour représenter la fonction à simplifier. Cependant, il est
possible d’utiliser les « 0 » en procédant exactement de la même manière : on obtiendra alors une
représentation de la fonction complémentée.
II.2.2.2- Simplification par extraction de produits de sommes
La méthode est la suivante :
dessiner la table de Karnaugh correspondant à la fonction ;
- on entame les 0 isolés ;
- on réunit les octets de 0 adjacents ;
- on réunit les quartets de 0 adjacents ;
- on réunit les doublets de 0 adjacents pour réunir tous les 0 du tableau ;
identifier tous les implicants majeurs essentiels pour les « 0 » ;
identifier tous les implicants majeurs non essentiels pour les « 0 » ;
pour tous les implicants majeurs essentiels et un des implicants majeurs non essentiels sélectionné
dans chaque ensemble, déterminer les termes de sommes correspondant ;
effectuer l’addition logique de tous les termes précédents, sachant que :
- un octet de 0 permet d’éliminer les 3 variables qui se trouvent sous les deux formes
(Complémentées et non complémenté) ;
- un quartet de 0 permet d’éliminer les 2 variables qui se trouvent sous les deux formes
(Complémentées et non complémenté) ;
- un doublet de 0 permet d’éliminer la variable qui se trouve sous les deux formes
(Complémentées et non complémenté) ;
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Exemple : Simplifier la fonction F
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III- SYSTEMES SEQUENTIELS ET MODELE GRAFCET
III.1- Systèmes séquentiels
Dans un circuit combinatoire, la sortie du dispositif ne dépend que des variables d’entrée.
Les fonctions associées à ces circuits sont caractérisées par l’unicité de la valeur de la fonction pour une
configuration donnée des variables d’entrée.
Dans un circuit logique séquentiel, la sortie dépend non seulement des variables d’entrée mais également
de ses propres valeurs précédentes, autrement dit de l’état initial du système. Fondamentalement, tout se
passe comme si la sortie devait être considérée comme une entrée supplémentaire. Cela est réalisé, en
général, par un bouclage (permanent ou périodique) de cette sortie à l’entrée du
dispositif.
Exemple :
Soient le circuit et sa table de vérité associée suivants :
La sortie de la fonction F ci-dessus est dépendante d’une variable interne C. On peut en effet constater que
l’état de la variable C dépend de l’état des entrées A Et B, mais également de son état antérieur : C
mémorise donc liée aux entrées appliquées antérieurement au circuit. On constate sur ce circuit que l’effet
de mémorisation est dû à la boucle de rétroaction présente entre la sortie du OU et l’entrée du ET. À cette
boucle est associée la variable C qui constitue le point mémoire.
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La bascule RS synchrone : La sortie évolue quand le signal d’horloge est actif soit sur niveau, soit
sur front
La bascule D
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La bascule JK
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III.2.3- Les compteurs
Un compteur est un ensemble de n bascules interconnectées par des portes logiques. Ils peuvent décrire, au
rythme d’un signal de commande appelé horloge, une suite d'états binaires. Il ne peut y avoir au maximum
que combinaisons et le nombre total N des combinaisons successives est appelé le modulo du compteur.
Les compteurs binaires peuvent être classés en deux catégories :
Les compteurs asynchrones ;
Exemple : Compteur asynchrone module 8
III.3- Le GRAFCET
III.3.1- Introduction
Le GRAFCET (GRAphe Fonctionnel de Commande Etape Transition) est un langage graphique de
modélisation destiné à représenter le fonctionnement d’automatismes séquentiels dont les informations
sont de type logique (vrai ou faux).
On l’utilise en général pour représenter ou spécifier les systèmes de commande de ces dispositifs, pour
définir les cahiers des charges des automatismes séquentiels ou pour programmer des systèmes aptes à les
piloter comme par exemple des automates programmables.
Exemples d’automatisme industriel : La poinçonneuse semi-automatique (Grafcet fonctionnel)
Considérons la poinçonneuse en sa position d'origine de repos (position haute).
L'opérateur donnant l'information « marche » par appui sur le bouton poussoir « BP » provoque
automatiquement la descente du poinçon jusqu'à la position basse suivie de sa remontée jusqu'à la
position haute, Cette machine possède 3 comportements différents :
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III.3.2- Eléments de base du GRAFCET
Etape = situation du cycle de fonctionnement pendant laquelle le comportement de
l'automatisme de commande demeure constant. Tout changement de comportement provoque le
passage d'une étape à une autre. Une étape est soit active ou inactive. Les actions associées à une
étape ne sont effectives que lorsque l'étape est active. Les étapes modélisent l'état du système.
L'ensemble des étapes actives à un instant donné constitue la situation du Grafcet et les actions
associées sont exécutées.
Une transition permet le passage d'une étape à une autre. Elle n'est que logique (dans son sens
Vrai ou Faux), sans notion de durée. La condition est définie par une réceptivité qui est
généralement une expression booléenne (c.à.d avec des ET et des OU) de l'état des capteurs.
Les liaisons orientées modélisent la structure du Grafcet. Elles relient les étapes aux transitions
et les transitions aux étapes.
III.3.2.1- Etape
III.3.2.2- Actions
Une ou plusieurs actions élémentaires ou complexes peuvent être associées à une étape. Les actions
associées à une étape traduisent ce qui doit être fait si l’étape est active.
Les actions qui sont les résultats du traitement logique des informations par la partie commande peuvent
être :
- externes et elles correspondent aux ordres émis vers la partie opérative ou vers les éléments
externes.
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- Internes et concernent des fonctions spécifiques de l’automatisme telles que : temporisation,
comptage, etc ..
On note :
Xi = Etat actif de l’étape i
X1 = 1 si l’étape 1 est active
= 1 si l’étape 3 est inactive
L’action associée à une étape est continue tant que l’étape à laquelle elle est associée est vraie.
C’est une action monostable. Il faut maintenir l’action pendant
l’étape.
Une action conditionnelle est une action continue dont l’exécution est soumise à la réalisation
d’une condition U
Une action temporisée est une action conditionnelle dans laquelle le temps intervient comme
condition logique
Une action mémorisée est une action activée à partir d’une étape X donnée et maintenue jusqu’à
une étape Xn.
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Une action impulsionnelle (fugitive ou ponctuelle) est une action dont la durée est très brève mais
non nulle
III.3.2.3- Transition
Une transition indique la possibilité d'évolution d'une étape à l'étape suivante. Le passage de l'une à
l'autre s'effectue par le franchissement d'une transition
Une transition est soit validée soit non validée. Elle est dite validée lorsque toutes les étapes
immédiatement précédentes reliées à cette transition sont achevées.
III.3.2.4- Réceptivités
A chaque transition est associée une proposition logique appelée réceptivité qui peut être soit vraie soit
fausse.
Réceptivité faisant intervenir un changement d’état : a↑: front montant de a, a↓: front descendant
de a. (Ces notations sont utilisées nécessaire lors d'utilisation des dispositifs électroniques)
Réceptivité en fonction du temps : pour faire intervenir le temps dans une réceptivité, il suffit
d'indiquer après le repère t son origine et sa durée.
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Réceptivité toujours vraie peut être associée à une transition. Cette réceptivité est notée = 1.
Avant d’utiliser cette réceptivité, il est important de vérifier que les actions assignées de l’étape
précédentes ne sont pas des actions à niveau mais des actions mémorisées ou des calculs internes à
la partie commande.
Le comptage
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Aux règles d'écriture s'ajoutent les règles d'évolution afin de préciser les conditions pour lesquelles les
étapes sont actives ou inactives
Règle 1 : Initialisation
La situation initiale caractérise le comportement initial de la partie commande vis à vis de la partie
opérative et correspond à l'étape active au début du fonctionnement. Elle traduit généralement un
comportement de repos
Règle 2 : Franchissement d'une transition
Le franchissement d'une transition s'effectue si:
- l'étape précédente est active
- la réceptivité associée est vraie
Lorsque ces deux conditions sont réunies, la transition devient franchissable et est obligatoirement
franchie.
Règle 3 : Évolution des étapes actives
Le franchissement d'une transition entraîne simultanément l'activation de toutes les étapes
immédiatement suivantes et la désactivation de toutes les étapes immédiatement précédentes.
- Le grafcet du point de vu système est une description de la succession des tâches qui contribuent
à produire la valeur ajoutée aux matières d’œuvre. Le grafcet correspond à un graphe de
coordination des taches décrivant le procédé de manière très générale sans présager des moyens
techniques mis en œuvre pour les réaliser.
- Le grafcet du point de vu partie opérative tient compte de la structure de la partie opérative pour
décrire le processus en mettant en jeu les conditions de la PO.
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- Le grafcet du point de vu de la partie commande précise l’ensemble des échanges de la partie
commande avec la partie opérative et le dialogue avec l’opérateur en prenant en compte les choix
technologiques.
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III.3.5- Structure de base d’un GRAFCET
- Séquence unique. Les étapes se succèdent à la suite les unes des autres. En fin de cycle on revient
à la première étape, on dit qu’il n’y a qu’une seule séquence.
- Séquences simultanées (aiguillage en ET). Lorsqu’on réalise simultanément plusieurs séquences
après une transition, on parle de séquences simultanées. En fin de chacune des séquences on a
souvent des étapes d’attente qui permettent de continuer sur une séquence commune.
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- Reprise d’étape : si la tansition a.X est réalisée, alors on passe de l’étape 5 à l’étape 6. Si la
transition a. est réalisée, alors on passe directement de l’étape 5 à l’étape 4
- Saut d’étape. Il permet de sauter une ou plusieurs étapes Si la transition a. est réalisée on passe
directement de l’étape 3 à l’étape 6
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III.3.6- Structures des GRAFCETS avec Macro-étape
Elles sont utiliées pour simplifier la lecture et la compréhensiond de sytèmes complexes.
Les grafcet sont structurés, hierarchisés et simples
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