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Depuis toujours, l’Homme a cohabité avec les animaux. Il l’oublie, mais il en est un aussi.

L’Homme est peut-être dépendant des autres animaux car ils sont bien souvent à l’origine de
technologies et sont une de nos principales sources de nourriture.
Le destin de l’être humain est-il intimement lié à celui des animaux ?

Dans un premier temps je parlerai de la dépendance de l’homme par rapport aux animaux de son
environnement.
Dans un second temps, j’aborderai le thème des dégâts de l’humain sur cette même faune dont il a
tant besoin.

Sans les animaux, l’Homme n’est rien, il est un animal !Dans la nature, chaque espèce compte, si on
en enlève une tout s’effondre. L’élevage d’animaux est un grand business. La viande est l’une des
nourritures les plus consommées. En ce sens, on pourrait se dire que l’humain est presque cannibale,
comme tout animal carnivore ou omnivore. Parmi ces viandes, la viande de bœuf, le steak est en tête
de ventes. La chaîne alimentaire n’existe plus, au profit de celui qui tient les rênes, nous. De
nombreuses technologies et avancées en médecine sont dues aux animaux.La vache, la vaccin. Le
requin, des matériaux aquadynamiques. La nature est le meilleur des designers. Certains animaux
telle la chauve-souris permettent d’étudier les populations de virus pour détecter en avance un
risque pathogène grave. Beaucoup d’espèces aident à garder un environnement sain et propice à
l’Homme et formes de vie.
Le ver de terre décompose le cadavre qui va nourrir les plantes de ses nutriments et elles-mêmes
vont purifier en rejetant leur dioxygène.
Sans animaux sur terre, l’humain ne serait jamais apparu, l’environnement n’était pas propice il
descend lui-même de primates, descendant de formes de vie ancestrales.

Malheureusement dans sa soif de richesse et de supériorité, l’Homme n’a pas épargné les animaux.
L’urbanisation force certaines espèces à s’adapter ou à disparaître. En ville, les armadas de pigeons
piquent sur le moindre lombric. Les espèces envahissantes déménagent et remplacent celles déjà
présentes. L’écosystème en est très affaibli. Sans s’en rendre compte, l’Homme lié encore plus son
destin à celui de la bête, en la mettant en danger, il se met en danger. Si l’extinction massive arrivait,
l’Homme disparaîtrait ou du moins perdrait énormément de sa population. Rien pourtant n’autorise
l’humain à détruire son habitat et l’habitat des autres espèces, mais ça ne l’arrêtera pas. Les champs
qui servent à l’huile de palme sont d’anciennes forêts « accidentellement » brûlées. Les animaux pris
au piège ont brûlé eux aussi. Pourtant, ils faisaient tous partie d’un écosystème qui rendait la vie
meilleure pour chacun.

L’Homme sans l’Animal est un scénario presque impossible. L’Animal sans l’Homme, plus que
possible, est probable. Nous prenons actuellement si peu soin de l’Animal que nous nous aveuglons
sur le fait que nous n’avons pas non transcendé cet état de bête. On sait que chaque animal a besoin
des autres mais on omet de dire que l’Homme n’échappe pas à la règle. Les mouvements pro-
écologie se démocratisent. Tout se jouera demain, nos futurs ne font plus qu’un, Homo Sapiens
Sapiens et autres espèces. Plus que jamais il faut pouvoir compter les uns sur les autres, primates ou
non.

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