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d'archives de l'anthropologie
Ciarcia Gaetano. Presqu’îles d’illusion. Terrains de bonheur perdu en anthropologie. In: Gradhiva : revue d'histoire et
d'archives de l'anthropologie, n°32, 2002. Dossier : Enseigner la parenté. pp. 27-36;
https://www.persee.fr/doc/gradh_0764-8928_2002_num_32_1_1282
Gaetano Ciarcia
4.3. Idem
née
6.5.bonheur,
Cf.française
Marc Michel
: Augé,
Paris,Leiris,
24.
75. considérée
La
Hachette,
Traversée
L’Afrique
1985
sousdufantôme,
: l’angle
21.
Luxembourg.
Paris,moeurs,
des Gallimard,
Ethno-roman
de la1982
théorie
d’une
[1934].
jour¬
et du
28
GAETANO CIARCIA
légendaire témoin d’antiques sagesses [...] mais d’un pays
présenté comme un de ceux qu’a pu visiter récemment
Vespucci, peuplé de “naturels” à peine touchés par les seules
limites de ce qu’on nommera plus tard le “déisme”. »13
L’utopie est possible, c’est-à-dire pensable à partir donc
d’une réalité mais, pour cela, un escamotage narratif appa¬
raît décisif : son insularisation 14. Dès le début, More
« annonce significativement que, presqu’île d’abord, Utopie
devint île par la volonté de son fondateur. » 15 La construc¬
tion d’un bonheur sur terre semble procéder donc d’une
coupure. La citadelle de l’utopie pour exister, semble devoir
larguer
continentlesetamarres,
des cauchemars
vaisseaude(fantôme
son Histoire.
?) qui se libère du
Australie, île Van Diemen. L’Espérance suit le sillage de La Recherche.
Dessin de Piron. (Ph. MH). L’exotisme à l’œuvre
sion et reflet d’une harmonie divine. Le bonheur de l’utopiste Par rapport aux procédures littéraires permettant la créa¬
se construit dans un lieu qui n’existe pas et que pourtant il tion d’univers symboliques, s’opposant aux conjonctures du
faudrait habiter à jamais ; celui du voyageur-savant, au devenir et de l’Histoire, la dimension exotique, exprimant
contraire, est marqué par une poétique de l’errance dont la l’éloignement d’un objet d’un centre, constitue un cadre très
devise pourrait être la suivante : « moi aussi je suis allé en plastique ouvrant, pour le chercheur, des espaces où pour¬
Arcadie ; j’en rapporte même un récit » 9. D’après l’auteur de suivre la quête du bonheur. Dans ce contexte, la recherche
cette phrase : « Cette insertion du réel [le voyage] dans le d’une plénitude esthétique a comme contrepoids l’idée de
champ imaginaire, réactive le mythe [on pourrait penser qu’il crise. La transposition superficiellement syncrétique de
le construit comme réalité], parce qu’il lui donne un nouvel formes « lointaines » manifeste donc la présence sympto¬
enjeu. » 10 D’ailleurs, cette imagerie est strictement liée à matique d’une inquiétude de la part du moi occidental qui
tente de se retrouver dans le naufrage sur une terre étrangère,
l’accès
et à sa conclusion
ésotérique,: leune
retour.
sorte«d’initiation,
Même inscriteau milieu
dans une
exotique
réalité mirage d’un ailleurs mythique, lointain et familier à la fois,
géographique, la société utopique semble être protégée par expérience
face au mal extrême
de la modernité.
qui s’offrirait comme un salut intérieur
des cercles invisibles qu’il est nécessaire de franchir pour la
rejoindre. » 11 Ce thème renvoie vers le terrain exotique de Avec l’œuvre de Victor Segalen, le médecin écrivain qui,
l’ethnologue qui, lui aussi, relève de la présence immanente dans les premières décennies du xxe siècle, voyage animé
d’un seuil initiatique et donc d’une dimension utopique, que par ce « sentiment » pour le différent dont il a essayé de
la formule « observation participante », exprime, à mon avis, produire une théorie 16 , on assiste à la tentative d’élever
d’une manière tout à fait adéquate. l’exotisme au rang de notion philosophique. Uexote de
Segalen est le « voyageur-né », celui qui sonde la Différence
L’île idéale en vertu du pouvoir de l’exotisme « qui n’est rien d’autre
que le pouvoir de concevoir l’autre ». Il s’agit là d’une reprise
Depuis Homère, en passant par Théocrite et Virgile, la de la « loi du bovarysme », telle qu’elle avait été énoncée par
tradition littéraire occidentale a emprunté à l’univers Jules de Gaultier que Segalen reconnaît comme étant un de ses
mythique ses marques principales dans la désignation d’un maîtres 17. Le bovarysme est le « pouvoir donné à l’homme de
« paysage idéal » (Curtius) où l’absence de tout élément se concevoir autre par rapport à ce qu’il est. » 18 Madame
tragique coïncide avec l’image de lieux représentatifs d’une Bovary aurait vécu en imitant les personnages qu’elle a décidé
vision pacifiée de l’existence 12 . L’Arcadie en tant que pays d’incarner : c’est-à-dire qu’elle imite les effets d’une condi¬
fabuleux, patrie d’une humanité pure, subira plusieurs trans¬ tion dont elle est incapable de produire les causes. L’«indice
positions géographiques au cours des siècles, mais elle
demeurera un lieu poétiquement sauvage par définition. La
transformation ethnologique de ce mythe comme terrain
scientifique, où le chercheur poursuit souvent une quête
associant la réussite professionnelle à un bonheur personnel,
illustre une dimension spatiale que Tailleurs de l’utopie a
parfois revêtue. Dans L’Utopie de More, publié en 1517, il
est intéressant de souligner comment son auteur, tout en Âge
toire
pie
sique,
9. Jean-Claude
85
10.
11.
12.
13.
14.
15.
16.
17.
1978.
18. sq.
Idem,
Idem
Id.
Jules
V.
etMaurice
Cf.
Victor
latin,
Sur
deprimitivisme.
Paris,
Segalen,
: Ernest
la194.
: ibid.
deParis,
95.
philosophie,
relation
Segalen,
Gaultier,
Éditions
de Robert
Berchet,
op.
Gandillac,
puf,entre
cit.
Essai
Essai
1956
Le
duCurtius,
n,23.
«insularité
Seuil,
Bovarysme,
sur
vol.
Et[1947].
«surLa
inl’imaginaire
1,1990.
l’exotisme,
Arcadia
La
philosophie
Paris,
etLittérature
Paris,
utopie,
Gallimard,
EgoMercure
anthropologique
Montpellier,
de! »,européenne
cf. laRomantisme,
Christian
“Renaissance”
1973
de France,
192
Marouby,
Fata
àetsq.
l’âge
51,
Morgana,
le Moyen
1902.
»,1986
clas¬
His¬
Uto¬
faisant référence à la découverte récente de l’Amérique,
:
l’alternance
Il s’agit entre
d’unelerelation
divers etdécidément
le reconnaissable
complexe
s’enchevêtre
celle où
avec la recherche de cet exote, tout à fait particulier, qu’est
l’ethnographe. Or, est-ce que la poursuite du bonheur de
l’ethnologue est constitutive de l’exotisme de l’ethnologie,
comme, par exemple, the pursuit of happiness est revendiquée
bovaryque
entre
fiction
appliquer
de
est,
d’atteindre
veut
puisqu’elle
adhérer
et
lieux
tures
derrière
personnage
devrait
conditionnant
plissement
métaphore
Gaultier,
La
c’est-à-dire
bovarysme,
la
Emma
trop
forces
métaphysique
curieuse
devenir
l’ordonne,
exotique.
contradiction
hension
encore
pas
rience
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une
observation,
d’après
phique
tisante
capacité
évasion
esthétique
objectivité
sentiment
s’il
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s’évanouit
science
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vérité
disparition,
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La
s’installer
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ne
distance
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ses
du
»vivre.
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se
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connaît
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peuvent
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ou
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Cette
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du
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ne
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20
du
mental.
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elle
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aussi
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tout
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volonté
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l’exotisme,
Mais,
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pas
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lepu
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qui,
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deux
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l’anthropologie,
de
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Le
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cultiver
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prétend
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IIforte
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l’expérience,
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vit
du
sa
la
leȈ:
et
», loi-source primordiale dans la constitution américaine ?
Il est certes difficile de parler de l’affect « circulant »
dans une profession. Pour l’anthropologue, cet aveu semble
correspondre à une sorte de confession d’ubiquité, qui l’oblige
à reconnaître sa présence dans un espace utopique, entre deux
horizons : celui de la terra incognita à défricher et celui de son
chez soi, sans lequel son voyage ne peut pas avoir de sens. On
n’oublie pas facilement le retour, et surtout un retour fort
sur les plans professionnel et psychique, qui n’est souvent que
l’humus avec lequel le terrain est cultivé. Alors, l’Autre
risque de devenir Aziyadé, la femme exotique, que Pierre
Loti, dans le roman homonyme, investit de ses propres aspi¬
rations orientalistes. À ce propos, Roland Barthes a écrit :
« Aziyadé
digme
turellement,
elle Àesttravers
: un
discursivement
estelle
faitla
ledeterme
fuite,
est
discours,
absente,
neutre,
ou
elle
mieux
non
occupe
elle
le un
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àesttravers
fait
lalapremière
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de
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désir.
l’exercice
ded’une
ceplace
»grand
23 absence,
; struc¬
raffiné
para¬
bovarysme,
ilqu’on
mythe
celle-ci
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tout
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s’aliéner,
l’homme
confuses
l’animal
réserves
qu’avec
quelque
notion
suppôt
autre
dans
un
Iles de la Société, Tahiti. Après le passage d’un cyclone. de l’imaginaire, dans la mesure en tout cas où, qu’il se trouve
Cl. Dormoy de Laharpe. (Ph. MH). ou non à être le jouet de quelque bovarysme institutionnel ou
privé. . . » 29 Ici, le bovarysme de l’ethnologue cède le devant
de la scène à celui des ethnologisés, il en est en quelque sorte
Mais les journaux de Michel Leiris et de Bronislaw objectivisé.
Malinowski, même s’ils ne peuvent être considérés comme
des documents révélateurs des coulisses du terrain, sont là L’Autre absent
pour nous montrer combien cette distance entre la sphère
intime et celle publique de l’objet d’étude est labile. Plus Si « Le pays inconnu est déjà travaillé comme un texte,
qu’une distance, il s’agirait d’une durée, selon l’image même si l’indigène traducteur est souvent éliminé en fin de
proposée par Jules de Gautier. L’écriture représenterait une compte par son dangereux élève » 30, la traduction de l’ethno¬
sorte de synthèse périclitante, presque alchimique, entre le graphe n’indique pas seulement le passage des données
désir d’être autre et le discours sur l’autre, entre voyage et recueillies sur le terrain dans leur version sociologique, mais
retour. Sur un plan plus général, l’alternance entre la concep¬ également la transposition d’une simultanéité, qui ne pour¬
tion d’une altérité globale, la sienne et celle de l’environne¬ rait être qu’inventée, c’est-à-dire fabriquée selon des moda¬
ment entourant le voyageur que la dimension exotique rend lités impliquant l’alternance entre discours érudit et pulsions
réelle, et le récit scientifique me paraît immanente à la quahté affectives. Leiris ne vise pas, bien entendu, à apprivoiser
anthropologique de savoir décliner le Divers dans le Tailleurs, à la Loti, mais plutôt à déplacer ses repères pour
Semblable, trouvant des correspondances de signifiés entre mieux se concevoir en tant qu’ Autre et pour mieux tenter de
institutions et pratiques culturelles éloignées entre elles. comprendre l’altérité. Pourtant, la disparition d’Emawayish,
Si Emawayish, la femme abyssine dont Michel Leiris dans le texte ethnologique, et sa présence décisive dans le
parle longuement dans L’Afrique fantôme n’est pas l’ Aziyadé journal de voyage, semble confirmer son rôle crucial de
de Loti, c’est-à-dire qu’elle n’est pas, au sens strict, proie figure permettant un passage herméneutique fondamental,
coloniale et discursive, elle est néanmoins le seuil initiatique celui qui conduit l’auteur de l’expérience affective à l’écriture
d’une connaissance. Elle illustre la poursuite d’un bonheur scientifique.
dont le voyage leirisien en Afrique était imprégné. Quand,
dans l’économie générale du texte, le récit d’une pratique
réellement intensive du terrain acquiert une consistance,
Emawayish est située par l’auteur au centre de la narration. 20.
457.
19. Tzvetan
Idem : 25.Todorov, Nous et les autres, Paris, Éditions du Seuil, 1989 :
En Abyssinie, étudiant les rites de possession zar, Leiris
mûrit, devient ethnographe25 et, en même temps, Emawayish 21. Jean Jamin, Exotismus und Dichtung Über Victor Segalen. Exotisme
devient le terminal des raisons (« inavouables ») qui avaient et écriture
Verlag,
22. Id., ibid.
1982sur: 51.Victor Segalen, Frankfurt-am-Main und Paris, Qumran
été à l’origine de son départ. Par rapport à cette construction
d’un paradoxal centre exotique du monde, de son monde, la 23. Roland Barthes, Le Degré zéro de l’écriture (suivi de Nouveaux
essais critiques), Paris, Éditions du Seuil, 1972 : 179.
présence d’Emawayish accompagne la récolte d’objets et
d’informations, comme le désir accompagne le discours qui
réalise le retour. Mais, quand plus de vingt ans après son
voyage, Leiris publie La Possession et ses aspects théâtraux
chez les Ethiopiens de Gondar, qui serait « la réponse acadé¬ Miroir
Esquisse
session,
24. Idem
25.
dogon
durée
26.
ses
Quarto
27.
Gallimard,
28.
29. Jean
Jacques
aspects
Michel
Enden’a
Jeanne
Gallimard,
dece
Paris,
Jamin,
son
-d’une
. 13.
sens,
que
l’Afrique,
1981.
Leiris,
théâtraux
Favret-Saada
Mercier,
séjour
nrfthéorie
op.saGallimard,
très «1996
cit.
en
première
peu
Préface
«édition
chez
Abyssinie.
Présentation
: :75.
générale
de910.
&lespoints
»Josée
1980
établie
expérience
àÉthiopiens
Gilbert
desen
Contreras,
8.»relations
àcommun
et Michel
Rouget,
annotée
ded’enquête
Gondar
deCorps
Leiris,
avec
La
laparmusique
Musique
»,lapour
Jean
intensive
« inprofondeur
LaMichel
Jamin,
Possession
corps,
etet delaenlatranse.
Leiris,
Paris,
pays
et etla
pos¬
mique de Leiris à sa perception affective du culte des zar » 26 ,
:
d'Preil suqsiu'îolens
36