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Table des Matières

CHAP 0. Introduction
Chap. I : les différents types de documents
I.1.Monographie

I.2 : périodique :
I.3 : les ouvrages de référence
I.3.1 : dictionnaire

I.3.2 : atlas

I.4 : la littérature grise

I.5 : site Web
CHAP II : comment s’informer dans une bibliothèque

II.1 : Utiliser le guider du lecteur

II.2.2. Regarder les signalisations

II.2.3 : interroger le personnel

CHAP III.COMMENT CHERCHER

III.1 préparer la recherche

III.2 chercher des références des documents)

III.3 localiser les documents

III.4 accéder aux documents

III.5 chercher sur internet

CHAP IV : comment sélectionner l’information

IV1 : Monographie

2. articles de périodiques

3. Sites internet
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CHAP V : COMMENT INTEGRER L’INFORMATION

V.1 Qu’est-ce que le plagiat et comment l’éviter

v.2 la réalisation d’une bibliographie

2. 1 utilité d’une bibliographie

2.2 Méthode possible

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0. INTRODUCTION
LA RECHERCHE DOCUMENTAIRE est l’ensemble des méthodes, des
procédures et des techniques ayant pour objet de trouver des références, des
documents pertinents répondants à une demande d’information et des
documents eux-mêmes.

Cependant, il y a quelques années encore, une personne en situation de

recherche d’information savait qu’il lui fallait se rendre dans un lieu
documentaire, lieu contenant un nombre variable des documents qu’elle devait
exploiter pour trouver l’information.

Il s’agit là d’une recherche dite documentaire qui consistait au passage par un

produit de l’édition mis à sa disposition dans un espace identifié et recensé dans
un catalogue. ( KOAA 10.10.6.254 ).

Les professionnel de l’information se livraient à une série d’opération sur ces

documents (qui sont la collecte traitement et diffusion)

-Collecte : c’est acquérir le document

-Traitement (physique et intellectuel) : analyse de documents

-diffusion : communication

Dans un processus qualifie de chaine documentaire, l’efficacité d’une

recherche documentaire reposait alors principalement pour l’usager, sur une
compréhension des techniques professionnelles employées et sur un certain
niveau d’appropriation de ces outils de médiation conçus par des experts de
l’information documentaire.

Le développement des techniques de l’information et de la communication a mis

à la portée du plus grand nombre une très grande diversité de source et de
supports.

De ce fait ; trouver l’information dont on a besoin requiert aujourd’hui la

maitrise d’outils techniques et de procédures de traitement de l’information.
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CHAP I : TYPOLOGIE DES DOCUMENTS

I.1 : Monographie (livre)
Une monographies ou un livre est un objet de papier imprimé et relié, il est
l’œuvre d’un ou de plusieurs auteurs dont la réalisation matérielle est assurée
par une maison d’édition

On consulte les livres pour faire le point sur son sujet, trouver des arguments et
des idées qu’on souhaite formuler.

En général, les livres traitent d’un sujet assez en profondeur et font souvent
référence à des personnes connues, à des évènements, à des recherches, à des
faits passés ou contemporains.

I.2 Périodique

Périodique est une publication continue qui suit un rythme de parution ou

périodicité déterminée (jour ; semaine, mois, trimestriel ; année…) regroupés
sous en même titres, des articles écrits par différents auteurs. Ces articles ont
parfois été sélectionnés par un comité de lecture composé des spécialistes du
domaine.

C’est dans ce type de publication que sont annoncés les résultats de recherche et
les activités pouvant intéresser les professionnels de l’information.

I.3. Ouvrages de référence

Parmi les livres, certains sont organisés de façon à permettre de trouver
facilement une réponse à une question à l’exemple d’un dictionnaire. Soit doté
de nombreuses indexes qui permettront de trouver l’information recherchée. On
les appelle aussi ouvrage de référence ou «des usuels».

I.3.1. ATLAS
Recueil organisé des cartes (géographiques, historiques, économiques, ….) ou de
planches anatomiques.
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I.3.2. Dictionnaire
Recueil définissant le sens des mots et ranger dans l’ordre convenu. Il peut être
monolingue ou multilingue, aliphatique, thématique ou encyclopédique. Nous
pouvons avoir :

- Un dictionnaire général qui donne une définition du terme courant d’une

langue ;
- un dictionnaire traductif : donne l’équivalent d’un terme dans une autre
langue ;
- dictionnaire spécialisé : soit dans une facette de langue, soit dans un
domaine particulier de savoir.

I.3.3. Encyclopédie
Descriptions des connaissances afin de permettre de trouve des informations sur
un sujet reçu qui n’a pas fait objet d’un titre.

Les indexes sont créés et renvoient le lecteur vers les informations dans
lesquelles le sujet recherché a été abordé.

I.3.4. Annuaire
Document publié annuellement permettant de trouver l’adresse d’une
personne, d’un organisme ou d’une source d’information mais aussi de plus en
plus toutes sortes de renseignements associées. Ils favorisent la mise en relation
entre une entreprise et un éventuel fournisseur entre un individu qui veut
communiquer avec un autre et peut constituer la matière première directe.

I.3.5. La bibliographie
Liste des références des documents classés selon certains critères pour en
permettre le repérage. La bibliographie peut être de différentes natures à savoir :

-Signalétique ou analytique, actuelle ou rétrospective, sélective ou exhaustive. Il

existe de liste de références propre à chaque type de document : discographie,
vidéographie, webographie.

Une bibliographie oriente vers d’autres publications en recensant des documents

spécialisés sur les documents recherchés.
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I.4. La littérature grise

Il s’agit de documents imprimés produits à l’intention d’un public restreint
en dehors des circuits commerciaux de l’édition et de la diffusion.

Ils sont donc difficiles à identifier et à obtenir mais peuvent donner une
information très pointue et dès lors très recherchés (ces documents ne passent
pas dans les maisons d’édition et sont difficiles de les identifier).

I.5. Site Web (on doit avoir une adresse)

Un site web est un document électronique situé sur un serveur, on y trouve une
page d’accueil qui dirige l’utilisateur vers un ensemble d’informations (textes,
images, sons) traitant d’un sujet commun et collecté par une personne, un groupe
ou une organisation .

CHAP II. Comment s’informer dans une bibliothèque

II.1. Utiliser le guide du lecteur
La plupart des bibliothèques en distribuent les renseignements portant sur les
horaires d’ouvertures de services.

Le règlement, les conditions de fonctionnement (prêt, consultation sur place) et

les modalités d’inscriptions.

Ils donnent les adresses des bibliothèques dites jumelles si la bibliothèque fait
partie d’un réseau. Mentionné le bibliobus ou d’autres services.

• La bibliothèque à accès libre ou directe ;

• Bibliothèque à accès indirecte Les signalisations,

• Bibliothèque à accès libre ou directe ce sont les utilisateurs eux-mêmes

qui s’informent et qui se servent eux-mêmes mais ne classent pas les
documents ;
• Bibliothèque à accès indirecte, il faut cherche les références des
documents et passé au guichet afin qu’il cherche les documents et il faut
remettre le document.
II.2. Regarder la signalisation

La plupart des bibliothèques comportent des signalisations : les plans, les

panneaux fléchés, les signalisations et les rayonnages. Cette signalisation permet
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de s’orienter dans la bibliothèque, de comprendre le système de classement des

ouvrages, de connaitre l’organisation des catalogues.

II.3. Interroger le personnel

Selon les bibliothèques, il est possible de s’informer :

- A la réception : accueil et inscription du public ;

- Au poste de prêt : un document prêté et rendu ;
- Au bureau de renseignement et d’information à l’intérieur des salles ;

- A la photocopie.
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CHAP III. Comment chercher

III.1. Préparer la recherche
- Enoncer clairement la recherche c'est-à-dire traduire le sujet de recherche
en énoncé claire et concise ;
- Déterminer les mots clés et fondamentaux ;
- Diversifier ces mots clés en déterminant les synonymes et les traductions,

- Construire les équations de recherche pour limiter les résultats.

Pour cela, utiliser les opérateurs booléens qui sont (ET, OU, SAUF). C’est pour
limiter le niveau des résultats de recherche

Exemple : Montaigne ET Hachette

Couture OU Cuisine

SAUF : il y a deux critères mais on se limite sur une.

EX : Christophe Colomb SAUF 1992

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OPERATEUR SIGNIFICATION EXEMPLE

Les références sélectionner Les œuvres de Montaigne édité Chez

répondront à la fois aux deux Hachette Auteurs : Montaigne
critères Maison d’Edition
ET Hachette
Equation Montaigne ET
Hachette
Les références sélectionnées Deux livres sur la cuisine et d’autres
OU répondront au moins à l’un de sur la couture équation
deux critères de sélection. Cuisine OU couture

Seront sélectionner toutes les Deux livres sur Christophe Colomb

SAUF
références répondant aux premiers mais pas ceux
critères sans répondre au deuxième publiés en 1992
critère

III.2 Chercher des références des documents

Pour effectuer une recherche approfondie, interroger les bibliographes qui

recensent l’ensemble des documents (Monographie, article de périodique et
acte de congres…) écrit dans un domaine de connaissance.

N.B : la plupart des bibliographies se limitent à donner les références

des documents et non l’accès à ceux-ci car nombreux d’entre eux n’existent en
ligne.

Les bibliographies proposent un dépouillement de périodique ce qui veut dire

que chaque article de revit d’une notice bibliographique.
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III.3 Localiser le document

Les catalogues des bibliothèques décrivent les collections et les ressources

accessibles dans une ou plusieurs bibliothèques. Ils permettent de localiser le
document grâce à leur cote et aux sigles de localisations.

Il existe des catalogues d’une institution et des catalogues collectifs (regroupant

les catalogues de plusieurs institutions)

III.4 Accès aux documents

Dans un libre accès, en se basant sur la côte et sa localisation:

- la classification peut varier d’une bibliothèque à l’autre.

Les plus fréquemment utilisés sont : La CDU (classification décimal universel)

et la CDD (la classification décimale de Dewey) qui repartissent les documents
en dix domaines numérotés de 0 à 9

La CDU

000 : généralités
100 : philosophie psychologie
200 : religion
300 : les sciences sociales
400 : (réserves)
500 : sciences
600 : sciences appliqués
700 : Arts
800 : langues et littérature
900 : Géographie et Histoires
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NB : pour la classification de DEWEY, les langues occupent 400 non utilisé en

CDU .la cinquième classe non utilisé en C D U.

Dans un magasin fermé, on accède aux documents en introduisant une demande

de prêt ou de consultation.

Dans une bibliothèque autre que celle votre établissement on accède au

document via le service de prêt inter-bibliothèque.

Dans une bibliothèque autre que celle document via le service de prêt
interbibliothèques Chercher sur internet.

III.5. Chercher sur internet

Il y a Plusieurs façons de chercher des informations sur internet

A) sur une URL connue

B) Via des encyclopédies en ligne
C) via des répertoires scientifiques
D) via des moteurs de recherche
E) via des bibliothèques virtuelles.

a. sur URL connue

L’adresse de toute ressource accessible via le web apparait dans le champ

adresse du navigateur

b. Via des encyclopédies en ligne (générale ou spécialisé, gratuites ou

payante)
Pour rendre clair un sujet de recherche, d’avoir une première synthèse des
éléments pour démarrer la recherche et surtout un vocabulaire spécifique
aux domaines traités qui permettra ensuite d’interroger des bases de
données et des moteurs de recherche avec un degré de pertinence plus
élevé.
Exemple : WIKIPEDIA

Une encyclopédie gratuite et collaborative parmi les plus populaires.

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c. Via des répertoires scientifiques

Produit par des institutions spécialisées (Université, bibliothèque centre

de recherche …..)
Qui ont une expertise dans des domaines de recherche et qui sont donc
qualifiés pour conseiller aux utilisateurs un choix de ressources de
référence pertinente.
Ces portails sont à recommander comme une base de départ pour une
recherche car ils permettent d’accéder très facilement aux sites de de
référence dans chaque domaine.

(Les répertoires on les appelle aussi des portails parce que avant d’aller
chercher les documents il faut passer par les portails)

d. Via des moteurs de recherche

En étant toutefois attentif du fait que les moteurs de recherche présentent
certains défauts

-Barriere sémantique : le sens des mots que l’internaute encode dans la fenêtre
de recherche.
 Le web profond : les moteurs de recherche privilégie l’internet superficielle,
les informations les plus pointues se trouvent généralement dans les bases des
données non accessible par les engins de recherche.

 censure et autocensure

Les moteurs de recherche s’imposent de certaines restrictions en fonction de

leur localisation et des législations nationales.

A ce ci il faut :
 l’instabilité de l’information sur l’internet
 l’obsolescence des sites
 la présence de nombreux sites intéressant mais payant.
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E. les développements des Moteurs pour la recherche scientifique

EX : Google scholar, service gratuit spécialisé dans la recherche, de la

littérature, Scientifique (publication universitaire, articles scientifique, les
thèses, monographies, les rapports de recherche…..)

d. via des bibliothèques virtuelles d’ouvrages en texte complet

Mise en ligne d’ouvrages imprimés, digitalisé (numérisé) dont les droits

d’auteurs sont tombés dans le domaine public.

EX : GACILLA: qui est une bibliothèque électronique de la bibliothèque

nationale de France.

NB : A distinguer des livres électroniques ( E.books)

Qui sont des produits conçus dès le part sous forme électronique mais sont pour
la plupart payant.

Chap. IV: Comment sélectionner l'information

Une analyse externe consiste à faire l'analyse des références des documents.

Une analyse interne consiste à faire la synthèse des documents.

Chap. IV.1 : monographie

Une recherche biographique permet de récolter des références ou des documents.

Ces derniers peuvent se présenter sous différentes formes : monographie, articles

de périodique, actes de congrès, documents multimédias, site web....

Une fois la recherche effectuée, il faut procéder à l'analyse des résultats en vue
de sélectionner dans une liste des références celles qui seront les plus pertinentes
pour votre travail.
- En premier niveau d'analyse dite analyse externe se base sur les éléments
d'un référence ou d'un document immédiatement observable avant la
lecture de celui-ci.

- L'analyse du contenu d'un ouvrage ou analyse interne relève de la

compétence du chercheur pour le sujet.

- Monographie (livres)
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Les éléments de référence d'un ouvrage en catalogue donnent les indications

précieuses :

 Le titre

 Un ou plusieurs auteurs

 Organisme éditeur

 La date d'édition du document

 Le nombre de pages

A ces éléments s'ajoutent les indications des bibliothécaires relatives au sujet du

livre:

- Les mots clés

- La côte de classement catégorisant la matière et parfaitement...

Le titre et le sujet permettent d'approcher le contenu des documents et les
matières qui y recouvrent.

Le nom des auteurs et éditeurs (la notoriété et les expertises qui peuvent leur être
reconnu dans un domaine) sont une indication le sérieux, l'objectivité et le
caractère scientifique de la publication.

En effet, les ouvrages soumis à un éditeur sont évalués au départ et doivent

correspondre au domaine et degré de spécialisation de la maison d'édition.

La date d'édition rend compte de l'actualité des informations à proposer.

En fin, le nombre de pages donne une idée de volume contenu dans le document.

Une fois l'ouvrage en main vous disposez de nouveaux critères pour évaluer la
quantité des informations présentée et sa pertinence par rapport à l'objectif que
vous poursuivez.
 La brève biographie de l'auteur en quatrième page de couverture ;

 La préface écrite par une personne reconnue dans le domaine souligne

l'intérêt de l'ouvrage;
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 La table de matière reprenant les titres des chapitres de l'ouvrage permet

de déterminer les étapes du raisonnement de l'auteur et d'en apprécier la
logique et la cohérence.
L'appareil scientifique présent dans l'ouvrage, citation des sources, les notes en
bas de page et la bibliographie permettent de vérifier les sources sur lesquelles
l'auteur s'est basé pour construire son raisonnement.

 Introduction et la conclusion

Permettent de faire une idée précise des objectifs poursuivis par l'auteur,
des moyens qu'ils mobiliser pour atteindre ses objectifs et des résultats
qu'il a obtenus au terme de son étude.
2. Les articles périodiques
Les mêmes caractéristiques et manière de procéder s'appliquent aux articles de
périodique. A cela s'ajoute un aspect plus spécifique du périodique. La mention
d'un comité de lecture spécialiste ou comité scientifique (constituée du domaine
couvert par la revue), qui examinent les articles au préalable et assure le
caractère objectif et scientifique de la publication.
Pour les besoins d'un travail universitaire, vaut mieux consulter un article paru
dans un périodique spécialisé par un comité de recherche.
3. Site internet
(Site internet: université du Burundi http: // www. UB.edu. bi)
Les sites web et leurs références fournissent comme documents papiers des
renseignements sur leurs contenus et leurs pertinences en rapport avec une
recherche.
Les caractéristiques externes importantes à prendre en compte sont:
- L'adresse du site (domaine) et les éléments de la page d'accueil;

- L'auteur qui peut être une personne ou une association;

- La date de mise à jour du site ;

- La qualité et la quantité des liens renseignés à la page d'accueil.

Comme pour les livres, les éléments descriptifs d'un dite internet doivent être
examiné avec rigueur afin de sélectionner les sites les plus appropriés. Cela
parce-que sur l'Internet il n’y a aucun contrôle sur ce qui est mis en ligne le
meilleur et le pur s'y côtoient.
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L'adresse du site(URL) permet de situer la provenance de l'information et permet

de se faire une première idée de la nature du contenu. Certains sites offrant plus
de sérieux et de légitimité quant aux informations fournies:
 Les sites gouvernementaux

 Les sites universitaires et d'institutions scientifiques ;

 Les sites d'organismes internationaux;

 Les sites d'organisation ou d'associations reconnues ;  Les sites des

entreprises.

Pour ces derniers, on oubliera toutes fois par la motivation publicitaire de ces
sites qui sont aussi une vitrine pour l'entreprise et on de ce fait une fonction de
promotion de vente des produits de celles-ci.
Remarque :

Les domaines edu et ac sont en général un gage d'objectivité et de rigueur

scientifique a préféré au domaine (comme domaine commercial).
D'autres sites doivent être abordés avec plus de prudences car il s'agit des sites
anonymes ou des pages personnels car la crédibilité est plus difficile à établir.

Les éléments de la page d'accueil vont renseigner le visiteur sur le contenu

général du site, l'auteur des informations développés ( qui doit être explicite,
identifié sur la page d'accueil dont la carrière ou les réalisation professionnelles
sont souvent présenté voir également orienté le visiteur sur l'expertise et le
sérieux des renseignements proposées.
La présence des liens vers d'autres sites est un autre élément de qualité dans
l'analyse du site.

La date de mise à jour du site souvent sur la page d'accueil et celle des liens
extérieurs permet d'en vérifier l'actualité et la volonté du concepteur du site, de
maintenir une information à jour.
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CHAP V: COMMENT INTEGRER LES INFORMATIONS

1. Qu'est-ce que le plagiat et comment l'éviter

La libre Belgique du 20 février 2006 consacre un article aux problèmes du

plagiat " internet c'est le choix de la facilité " titre de l'article s'en suit d'un
constant inquiétant : " de nombreux étudiants pillent allégrement les sites
internet; ils sont contre le plagiat mais y succombent souvent faute de temps..."
Un étudiant témoigne : " par manque de temps, les étudiants copient- collent les
documents (....) je pense qu'Internet ôte les scrupules car on ne pense guerre à
l'auteur du texte qu'on ne trouve parfois même plus.
Si le plagiat est renforcé par le phénomène internet, il n'est cependant pas un
phénomène nouveau ; volontairement se plaignait du plagiat.

« Le véritable plagiat est de donner pour vous les ouvrages d'autrui, de coudre
dans vos rapsodies de long passage d'un bon livre avec quelques petits
changements. Mais le lecteur éclairé, voyant ce morceau de drap d'or sur habit
de bure», reconnait bientôt le voleur maladroit. Ecrit–il dans un dictionnaire
philosophe.
En effet, quels sont les comportements qui peuvent être classé de plagiat et qui
donc entraineront les sanctions de vos établissements :
-copier-coller un texte sur internet sans mentionner l’origine
-reprendre le travail d’un étudiant de l’année précédente et le transformer
légèrement.
-reprendre les idées développées par un auteur dans un livre sans faire référence
à cet auteur
-citer les statistiques dans un travail sans mentionner l’origine
-donner des informations historiques sans citer ses sources
-faire rédiger un travail par une autre personne
Il n’est pas interdit de s’inspirer d’autrui, au contraire un travail abondamment
illustré par vos recherches est très apprécié mais il est formellement interdit de
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ne pas mentionner les sources (un bas de page, citation de sources et reprendre
une suite dans la bibliographie).
Plus votre travail comporte des notes de bas de page, plus il a une valeur
scientifique.
2. Réalisation d’une bibliographie
2.1 Utilité d’une bibliographie
Pour réaliser vos travaux vous avez consulté une série des documents. Il faut
donc rendre à César ce qui lui appartient en citant ceux-ci. Cette liste a pour
plusieurs objectifs
-identifier les documents utilisés dans un travail quelconque.
-permettre aux lecteurs du travail qui veulent en savoir plus d’approfondir leurs
connaissances du sujet traité.
2.2. Méthodes possibles
Il n’existe pas de méthode unique et universelle pour les documents, nous vous
présentons ici les deux méthodes les plus utilisées :
- méthode classique
- méthode auteur-date
Mais il possible que vous trouviez d’autres. Le plus important lors de la création
d’une bibliographie est d s’en tenir à une seule méthode. Les mêmes éléments se
retrouvent dans les deux méthodes mais pas toujours à la même classe. La
différence essentielle est l’endroit d’insertion de l’année de publication. Pour ces
deux méthodes, il convient de respecter un certain ordre et une certaine
ponctuation.
Méthode classique
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