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Bulletins de la Société

d'anthropologie de Paris

Origines du culte des "Vierges Noires"


Docteur F. Pommerol

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Pommerol F. Origines du culte des "Vierges Noires". In: Bulletins de la Société d'anthropologie de Paris, V° Série. Tome 2,
1901. pp. 83-88;

doi : https://doi.org/10.3406/bmsap.1901.5945

https://www.persee.fr/doc/bmsap_0301-8644_1901_num_2_1_5945

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F. POMMEROL. — ORIGINE DU CULTE DES VIERGES NOIRES 83

géant de climat, mais les Japonais^ qui se modifient, ne sortent pas de


leur île.
En ce qui concerne le rôle de la pathologie il est nul, car tout est
normal dans la transformation de l'indice ; il y a bien la suture métopique
qui semble rester plus longtemps ouverte dans les races qui se modifient
(14,3 0/0 chez les Japonais) *, comme nous l'avons démontré dans notre
communication du congrès d'Anthropologie préhistorique, mais c'est un
phénomène physiologique qui favorise justement la modification du crâne
et l'évolution naturelle des races humaines.
N'oublions pas d'ajouter que le professeur Niederlé (de Prague), dans
son livre sur YOrigine des Slaves, avait déjà insisté en 4896 sur les
différentes modifications que cette race présente depuis les temps anciens
iusqu'à nos jours.

Discussion.

M. Félix Regnault. — Le problème que soulève M. Bloch est capital en


anthropologie. La forme du crâne, les indices crâniens sont-ils
éminemment héréditaires comme on l'a prétendu jusqu'ici, ou dépendent-ils de
l'influence du milieu. La question vaut la peine qu'on y revienne, et je
me propose de la reprendre à la prochaine séance.

ORIGINES DU CULTE DES VIERGES NOIRES.

Par M. F. Pommerol.

Le culte des Vierges noires estime des manifestations les plus curieuses
dans l'histoire des religions. On est étonné de voir que de tout temps les
foules pieuses se sont portées de préférence vers leurs antiques
sanctuaires. Ce sont elles qui ont produit à travers le monde et les siècles, le
plus grand nombre de prodiges; ce sont leurs statues que l'on promène
encore en grande pompe, lors des calamités publiques. Nous ignorons si
jamais personne a tenté d'expliquer scientifiquement ce culte et d'en dé
gager les origines. Nous ne connaissons aucun travail sur le sujet et c'est
avec nos propres ressources que nous en abordons l'étude.
Les Vierges noires sont nombreuses en France; nous citerons
spécialement celles du Puy, de Rodez, de Toulouse. Toutes ont leurs légendes et
leurs caractères particuliers. Dans le département du Puy-de-Dôme, il en
existe trois qui ont acquis une grande réputation. On les appelle les trois

1 Baeltz, loc. cit., t. III, p, 355-857.


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sœurs : l'une est vénérée à N. D. du Port de Clermont-Ferrand, !a deuxième


â Besse et à Vassivières, et la dernière à Orcival *. Elles ont leur
sanctuaire soit dans les églises même, soit au milieu des champs. Des églises
entières sont sous leur invocation, comme le Port, comme la Daurade de
Toulouse, et N. D. d'Orcival dans les montagnes du Puy-de-Dôme. Nous
signalerons aussi la Vierge noire du Vignal2, à Gerzat, et celle de Néra, à
Montferrand, mais elles n'ont pas la renommée des trois premières. Le
culte de celle de Néra, ainsi que sa procession qui avait lieu à la Nativité
ont cessé depuis longtemps. Peut-être même la statue est-elle reléguée
dans quelque coin ignoré de l'église ou de la sacristie. Les vierges noires,
comme toutes choses, ont leur temps de célébrité et d'oubli. Elles
disparaissent quand elles ne répondent plus aux nouveaux besoins de l'âme
des foules.
Une de leurs plus curieuses particularités est d'être situées dans le
voisinage de sources qui sont sous leur invocation. La vierge du Port réside
dans un souterrain., et un puits est creusé près de l'autel dont l'eau est
considérée comme miraculeuse. Celles de Néra, de Gerzat, de Vassivières,
d'Orcival, de THermitage ont leur source sacrée qui passe pour procurer
de nombreuses guérisons. Certaines habitent à une grande distance de la
source, elles n'y sont transportées qu'au jour de leur fête et pendant la
procession. Cependant, à Besse, la statue va à la montagne, au sanctuaire
de Vassivières vers le commencement de juillet pour n'en descendre
qu'au mois de septembre suivant, A. la Révolution, les vieilles statues de
L'Hermitage et de Gerzat ont disparu et on n'est pas certain de
l'authenticité ou de l'ancienneté des autres.
La légende prétend qu'une vierge noire fut apportée par Saint-Avit
dans une chapelle souterraine sur laquelle fut édifiée plus tard la
première église du Port 3. On croit que c'est à l'époque des croisades, en ces
temps de grande foi et d'enthousiasme religieux que ces statues furent
apportées de l'Orient. Ce qui semble donner quelque créance à cette
opinion, c'est qu'elles sont faites en bois de cèdre, comme les déesses
antiques de Rome et de l'Asie-Mineure. Le cèdre n'existe pas en Europe. Ce
ne peut être qu'aux pays où pousse naturellement cet arbre qu'il faut
chercher leur lieu de provenance et d'origine. Est-ce d'Egypte, de Syrie
ou des îles de l'est méditerranéen ?
L'art archaïque chrétien donne à la Vierge et à l'enfant Jésus des
postures différentes. Tantôt l'enfant est placé sur les genoux, et la Vierge est
assise, tantôt il est posé sur un bras et la Vierge est debout; enfin
quelquefois l'enfant est couché sur les deux bras, la tête sur le cou de sa mère.

1 Le Pèlerinage d'Orcival, t» L'Homme, Journal des Sciences Anthropologiques, 1886,


p. 618.
s La Fontaine sacrée du Vignal, in Rev. des Trad. pop. 1900, n" 9.
3 G. Chardon. La Statue Miraculeuse de N. D. du Port, Clermont-Ferrand, 1887,
p. 23, — A. de Thuret. La Statue Miraculeuse de N. D. du Port; Clermont-Ferrand,
1866.
F. POMMBROL. - ORIGINE DU CULTE DES VIERGES NOIRES OÔ

C'est cette dernière posture que représente la Vierge du Port. Les statues
anciennes d'Isis allaitant son fils Horus, de même que les déesses-mères
de la Phénicie appartiennent à la première catégorie *; l'enfant est posé
sur les genoux et la déesse est assise. C'est la forme la plus ancienne; elle
relève directement de l'ancien art égyptien. Elle représente la mère par
excellence. Le second type qui est celui de la mère de Germanicus, au
Louvre, représente la femme tenant son enfant au bras à la manière des
femmes du peuple. La dernière forme est plus idéalisée; la mère disparaît
et la Vierge se montre.
La conception religieuse de la Vierge s'est développée et a évolué sous
l'influence des siècles. C'est d'abord la mère-nourrice, puis la
mère-gardienne, enfin la Vierge-mère qui semble offrir à Dieu le fruit de ses
entrailles., pour la rédemption du monde. L'idée réaliste d'abord s'est
insensiblement spiritualisée. En notre époque, l'évolution ne s'est pas
encore arrêtée. La notion de maternité disparaît aujourd'hui derrière
l'auréole virginale. La statue ne représente plus que la jeune fille pure et
chaste vêtue de blanc. L'enfant Jésus a été enlevé des bras de sa mère, et
c'est Saint-Joseph qui dans l'iconographie moderne, Ta recueilli et pris
ainsi le rôle de la Vierge primitive.
Quant à travers les restes que nous a légués l'antiquité, nous
cherchons des faits qui puissent éclairer notre investigation, nous constatons
que dans la vieille Egypte la déesse Isis était représentée comme les déesses
d'Assyrie, allaitant son enfant et le tenant sur ses genoux. Ses anciennes
statues étaient en granit noir et aussi en bois de cèdre comme celle de
Diane d'Ephèse retrouvée intacte après deux mille, ans*. Déjà on voit
poindre ici une certaine analogie avec les anciennes statues noires de la
Vierge chrétienne.
De tout temps, la couleur noire des idoles a frappé l'imagination des
peuples. Jupiter-Lapis était adoré à Rome sous la forme d'une pierre
noire 3. Au 25 mars qui correspond au jour de l'Annonciation, la déesse
de Phrygie ou Magna Mater était célébrée chez les Latins avec une pompe
extraordinaire. Rome entière se pressait autour du char qui menait au
bain la déesse^ la. pierre noire de Pessinonte4.
A Emèse, au temps où Héliogabale en était le prêtre, on voyait dans le
temple une grande pierre noire de forme conique, tombée du ciel 5.
La déesse Astarté, d'après Tacite G était aussi représentée par une pierre
conique dans les temples de Paphos et de Biblos.
Les inscriptions cunéiformes mentionnent les sept pierres noires
adorées dans le temple d'Ouroukh en Chaldée, et personnifiant les sept pla-

* Pbrbot et Chipiez. Hist, de l'Art; 1882, Egypte, p. 87; 1885, Phénicie, p. 534.
s Revue des Trad. pop. 1891 ; p. 239.
s Preller, trad. Diotz. Les Dieux de l'Ancienne Rome; Paris, 4884 ; p. 168.
i Preller, op. cit. p. 4S5.
5 HerOdien; V, 5.
6 Histoires; II, 3.
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nètes l. La pierre noire de la Mecque vénérée dans la grande Mosquée,


semble venir directement, avec le croissant musulman,, des vieux cultes
assyriens 3.
Le christianisme a eu le mérite de fondre en une vaste synthèse
religieuse tous les cultes que l'antiquité a,Yait voués aux grandes déesses,
comme Isis, la Magna-Mater, Diane, Aphrodite, et toutes les déesses du
monde greco-romain. Sous des aspects différents, ces diverses conceptions
représentaient la même idée, le culte de Ja Femme, de la Nature féconde-
Et c'était l'idée de Maternité qui était en grande vénération en ces âges
primitifs. Isis, Diane, la Lune ont aussi représenté laNuit ; c'est peut-être
à cette cause qu'il faut attribuer la couleur noire de certaines statues de
la Vierge chrétienne.
Les statues de ces déesses qui ornaient les temples depuis l'île de Philœ
en Egypte, jusqu'à Rome, en passant par tout le monde méditerranéen
étaient certainement de la plus haute antiquité, et par suite noircies par
le temps. On sait que plus un objet saint est ancien, plus il mérite la
confiance et la vénération, plus nombreux sont ses adorateurs. Quand le
christianisme, à ses origines, voulut étendre son influence et son action
dans le monde romain, quand la philosophie néo-platonicienne, alliée à
la conception monothéiste de la Judée eut envahi l'empire des Césars et
fondé une religion nouvelle plus morale, plus simple que l'ancien
paganisme, les hommes du nouveau sacerdoce se sont trouvés en présence des
antiques idoles représentant le culte de la Femme et delà Maternité. C'est
alors qu'au m® ou iv° siècle a surgi la religion de la Vierge-mère qui ne
tarda pas à remplacer le culte des pierres noires et des vieilles déesses en
bois de cèdre ou en granit. C'est alors qu'il fallut établir la vénération
des Vierges noires dans toutes les régions encore adonnées au culte
d'Aphrodite, de Paphos, d'Isis, de Philœ, de la Magna-Mater de Phrygie.
Cela est si vrai que même dans les Gaules où la religion d'Isis se
perpétua longtemps, on a vu une antique statue de cette déesse être adorée
jusqu'au xvme siècle comme Vierge-Marie, dans l'église de Saint-Germain-
des Prés, à Paris 3. C'est surtout les vieilles femmes qui rendaient à l'idole
un culte superstitieux en venant l'implorer pour la moindre cause. Au
commencement du vne siècle, d'après Jules Janin (La Normandie, p. 528)»
une statue de Vénus était adorée dans les faubourgs de Rouen. A Chypre
les paysans associent encore de nos jours le culte de la Vierge-Marie à

1 Perrot et Chipiez. Op. cit. Chaidée et Assyrie, p. 64.


2 Nous avons vu dans la mosquée de la Pêcherie, à Alger, un tronc de pyramide
rectangulaire, portant à la face supérieure trois boules et le croissant. C'est là sans
doute une rèminescence dej'ancien culte des pierres noires et coniques de l'Assyrie,
Nous ajouterons que Boudha est aussi représenté par une pyramide (Bernardin de
St-Pierre; La Chaumière indienne; Œuvres, Paris, 1818; torn. IV, p. 271.
3 Déal; sur les Parisii et sur le culte d'Isis chez les Gaulois; Paris, 1826; p, 19.
note a.
F. POMMEROL. — ORIGINE DU CULTE DES VIERGES NOTRES 87

celui de la déesse de Paphos, et dans les chapelles de l'île ils adorent la


mère du Christ sous le vocable de la Panaghia Aphroditissa l.
Dans la Gaule romaine, Isis a eu certainement ses temples près des
sources sacrées dont le culte nous vient en droite ligne des traditions
celtiques. Ainsi dans les mêmes lieux, se sont superposés au primitif culte
de la Nature celui des déesses du paganisme, qui ensuite a fait place aux
Vierges noires du Christianisme. Ce culte a dû être autrefois très répandu.
La légende veut que ce soit au temps des croisades que ces Vierges aient
été introduites en France 2. Les églises importantes, les sanctuaires
champêtres, les chapelles attachées aux sources saintes ne tardèrent pas à avoir
leur statue de cèdre, leur vierge noire.
La religion d'Isis a laissé des traces appréciables dans notre pays
d'Auvergne, comme dans toute la France. Il est probable qu'Issoire lui doit
son nom, car la rivière d'Allier était en ce lieu appelée la rivière d'fsis
(Ysiodurum). De même probablement pour les localités du nom d'Yssac,
d'Yzeure^ d'Issy. On fait dériver le mot de Paris de Bar-Isis ou la
Montagne d'Isis 3 qui ne serait autre que la montagne Ste-Geneviève.
D'après Bouillet 4 et Imberdis 5, les habitants des environs de Pierre-
sur-Haule invoquent encore Diano-neiro ou Diane-Noire. Près du Mont-
Dore, nous avons le village et le col de Diane 6.
A son apparition, le culte des Vierges noires n'a pas été vu avec faveur
par le clergé chrétien. 11 a fallu alors chercher dans le Cantique des
Cantiques de Salomon des expressions qui semblent le légitimer. Dans l'église
de la Daurade, à Toulouse^ on peut lire les inscriptions suivantes : « Ni-
gra sum, sed formosa, — ■ cant. ch. i, f o. — Fui va sum quia decoloro-
vit me sol. » Cant. ch. i, t. 6. La traduction de ces deux versets est : « 0
filles de Jérusalem, je suis brune mais de bonne grâce, comme les tentes
du Kédar et comme les pavillons de Salomon. — Ne considérez pas que
je suis brune parce que le soleil m'a regardée 7 ». Le cantique de Salomon
s'appliquant à la Vierge chrétienne est un rapprochement des plus risqués.
C'est, à notre avis, la preuve que l'église a eu la main forcée dans
l'institution du culte des Vierges noires, et qu'elle ne Fa fait qu'à son corps
défendant sous la pression des foules encore tout imprégnées des idées
païennes.

1 Perrot et Chipiez. Op. cit. Phénicie, p. 628.


2 Suivant une vieille complainte, N. D. de Lierre a été apportée de Palestine, par
un Chevalier français.
3 Déal. Op. cit., p. 56 et 57. L'auteur a tort de croire que le mot Bar signifie
simplement limite, frontière. Il a dû, comme les expressions Var, Sar, désignera l'origine
une montagne. C'étaient sur les plateaux élevés que les Gaulois établissaient leurs
refuges fortifiés, près des frontières. Le mot Bar est devenu alors synonyme de
frontière et de barrière : De là notre mot de Baron. Il est probable que le mot Barbare
se rattache à la racine Bar et signifie l'Homme des montagnes — frontières.
4 Statistique monumentale du Puy-de-Dôme, 2e édit. 18*6; p. 1ÛÏ, note 3.
5 L'Auvergne depuis l'ère Gallique ; Paris, 1863, p. 33 et 35.
6 Carte de l'Etat-major, feuille Clermont.
ï Bible, trad. Osterwald, Paris.
88 7 FÉVRIER 1901

D'une manière indirecte, ces Vierges ont rendu un certain service à la


civilisation. Un peuple avance réellement dans le progrès religieux et
dans l'évolution des idées morales, quand après une suite de cultes divers
et locaux, il se fonde une nouvelle croyance qui comprend et absorbe à
elle seule toutes les autres qui ont précédé. Il se fait ainsi dans les âmes
et les sociétés une synthèse religieuse qui devient une aide pour la
synthèse morale et l'unification des races humaines.
M. de Baye annonce que des ossements humains ont été découverts à
Alfortville, près Paris, par les ouvriers occupés au forage des puits pour
l'élargissement des voies du P. L..M. Ces ossements, examinés par M. La-
ville, remonteraient à l'époque néolithique.
Le Secrétaire des Séances : Dr G. Papillault.

739e SÉANCE. — 7 février 1901.

Présidence de M. Chervin.
CORRESPONDANCE.
M. Fourdrignier demande à être délégué au XVe Congrès de la
fédération des sociétés archéologiques de Belgique, à Tongres. (Adopté).
M. le Dr Roux remercie la société de la délégation qu'il a reçue, mais
annonce qu'il ne pourra l'utiliser, étant obligé de quitter Madagascar.
OUVRAGES OFFERTS.
Anthony (R.) et Salmon (J.). — La pygomélie, son interprétation, sa
place dans la classification tératologique, ses différents degrés. — ■ Ext.
CR. Soc. de Biologie. — In-8°, 3 p. Paris, 4901.
Baye (Baron J. de). — les oiseaux employés dans l'ornementation à
l'époque des invasions barbares. — Ext. Mém. Soc. des antiquaires. —
In-8°, 22 p. et fig. Paris, 1901.
Costa Ferreira (Antonio A. da). — Cranios Portugueses. II. — Suturas.
— Ext. 0 Instituto. — In-80, 72 p. Coimbra, 1899.
— Cranios portuguêses. III. — Ptérion-Capacidade — in 0 Instituto.
— 13 nos, in -8°, Coimbra, 1898-1900.
Netter (Abraham). — Examen des mœurs des abeilles au double point
de vue des mathématiques et de la physiologie expérimentale. Ext.
G. R. Acad. des Se. — In-4°, 3 p. Paris, 1900.
Pantioukoff (Dr J.). — L'alcoolisme au Caucase. — In-16, 22 p. Tiflis,
1901 (en russe).
Piètrement (C. A.). — A propos de l'histoire du cheval dans l'antiquité
de C. Chomel. — Ext. Recueil de médecine vétérinaire. — In-8°, 8 p. Paris,,
1900.

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