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Expression de la force r)
# »(M ) = m #»
σ r 0 ∧ #»
v 0 = mr 2 θ̇ e#»z ≡ σc e#»z .
/O
Oscillateur spatial
Epot (r)
Constante des aires : rappel
M
Théorème : Constante des aires r
Rappel harmonique vers le centre de force : Dans un mouvement à force centrale la vitesse
aréolaire est une constante, nommée constante des A1
aires.
A2 O
r • L’aire balayée pendant une durée ∆t par le
# »
r0 rayon vecteur OM est proportionnelle à ∆t .
y /l 0
c
0
s’écrit :
m r˙2 σ2c
+ E p,eff (r ) = cst e avec : E p,eff (r ) = E pot (r ) + , −2
2 2mr 2
nommée énergie potentielle effective associée au mouvement. L’étude du mouvement radial est for-
mellement identique à celle d’un point matériel de masse m , animé d’un mouvement à un seul degré de liberté −4
(la seule coordonnée étant r ) dans R g et soumis à une force conservative d’ énergie potentielle E p,eff .
−4 −2 0 2 4
x /l 0
Allure de E p,eff
Interprétation graphique
accessible r2 r 4πε0 r
Em
rmin rmax
+1/r
Em1
r −1/r
rmin accessible
#» mP m M # » m P m M #»
Nature du mouvement F P →M = −G 3
P M = −G e P# M»
PM PM2
avec : G = 6, 672(10) 10−11 N.m2 kg−2 .
Nature du mouvement et signe de l’énergie mécanique Il s’agit de nouveau d’un champ de force newtonien, avec maintenant K = G mP m M .
La nature du mouvement dans un champ de force newtonien dépend du signe de l’énergie Dans ce champ de force, l’énergie potentielle de M sera :
mécanique :
mP m M
• Pour E m > 0, l’état est de diffusion, E pot = −G .
r
• Pour E m < 0, l’état est lié.
M O
rmin Lois de Kepler
r
r M
P 1. Chaque planète décrit selon un mouvement périodique, dans le sens direct, une tra-
r
A P O
rmin
P M
jectoire elliptique dont le soleil est un foyer.
rmax O rmin
2. L’aire balayée par le rayon vecteur planète-soleil est proportionnelle au temps mis
pour la parcourir.
État lié pour une force État de diffusion pour une État de diffusion pour une
attractive force attractive force répulsive 3. Si on note T la période de révolution de la planète et a le demi grand axe de l’ellipse,
• P = périastre (périhélie, périgée), A = apoastre (aphélie, apogée) le quotient T 2 /a 3 est une constante pour toutes les planètes du système solaire.
• l’état lié est une ellipse dont O est un foyer (le cercle est un cas particulier) : il est remarquable que la trajectoire
soit fermée
• les états de diffusion sont des hyperboles contournée (force attractive) ou évitée (force répulsive) ; on a une
parabole pour E m = 0.
• ellipse pour un satellite autour d’un astre (gravitation), la distance AP est le grand-axe de l’ellipse (diamètre 2a2
pour un cercle)
• hyperbole « attractive » pour une comète autour du soleil 2a1 S
• hyperbole « répulsive » pour un proton dévié par un noyau atomique
Référentiel d’observation
Énergie d’un état lié
RK
S
Caractéristiques astronomiques C Rc
À partir des observations astronomiques faites par Nicolas Copernic (N. Copernic (1473-
1543), astronome polonais.) et Tycho Brahe (T. Brahe (1546-1601), astronome danois), Jo-
hannes Kepler (J. Kepler (1571-1630), astronome allemand.) formule vers 1610 les lois sui-
vantes, relatives au mouvement des planètes dans le système solaire : Paramètres
orbites moyennes 2 · 103 km É h É 36 · 103 km satellites navigation (GPS) qui doivent couvrir
une grande partie du globe (20 · 103 km) Indispensable
• orbites circulaires, à savoir démontrer directement
orbites hautes h Ê 36 · 103 km : satellites géostationnaires de télécommunication (pour an-
tennes TV satellites) et satellites météo, satellites militaires qui doivent pouvoir couvrir • formalisme de l’E pot effective
tous les autres …
• lois de Kepler (T 2 /a 3 = cste, pas la valeur de la constante)
1. 1re vitesse cosmique v 1 : c’est la vitesse d’un satellite en orbite basse h ¿ R t , ie la vitesse à lui
communiquer pour le satelliser.
2. 2e vitesse cosmique v 2 : c’est la vitesse nécessaire pour qu’un satellite soit en état de diffusion, ie
échappe à l’attraction terrestre.
3. On lance un satellite d’une orbite basse avec une vitesse v orthoradiale. Tracer l’allure de la trajec-
toire :
(a) Pour v = v 1
(b) Pour v = v 2
(c) Pour $ v1 É v É v2 $
(d) Pour v = 2v 2
4. Altitude d’un satellite géostationnaire C’est un satellite dont la période de révolution est la même
que celle de rotation de la Terre, dans le même sens que celle-ci, et dont l’orbite est dans le plan
équatorial. Déterminer le rayon R g de son orbite.
S(t 2 )
Tous ces mouvements sont étudiés dans le référentiel
ω(t 2 − t 1 ) géocentrique, considéré galiléen pour la durée des
P(t 2 ) observations. A on n’étudiera jamais d’orbites dans
le référentiel terrestre.
T P(t 1 ) hg S(t 1 )
Indispensable