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Concept et mise en place d’un réseau local (LAN) : cas de CECOSINFORMATIQUE

Première partie :

Présentation de l’entreprise
et déroulement du stage

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Concept et mise en place d’un réseau local (LAN) : cas de CECOSINFORMATIQUE

Chapitre I :

CARDRE REGLEMENTAIRE ET ENVIRONNEMENTALE

I- HISTORIQUE ET OBJECTIFS

L’entreprise CECOSINFORMATIQUE est née en juin 1998 par


l’initiative d’un jeune Camerounais du nom de Yves FOMEDJIEU, ayant reçu
une formation en maintenance des systèmes informatiques et dont le souci était
de contribuer au développement de son pays car, c’est après avoir obtenue son
diplôme d’ingénieur à Paris (France) qu’il décide de mettre son savoir faire au
profit de ces concitoyens et de promouvoir l’informatique notamment la
maintenance dans le milieu professionnelle. C’est ainsi que Mr Yves
FOMEDJIEU mais sur pied cette entreprise dont les principaux objectifs sont :

- La maintenance informatique ;
- Installation et configuration des réseaux informatiques ;
- La formation professionnelle
- Distribution des consommables ;
- Secrétariat bureautique.

Au-delà de tout cela, l’entreprise CECOSINFORMATIQUE offre aussi


des stages académiques aux étudiants voulant excellés dans le domaine de
l’informatique.

II- FONCTIONNEMENT ET INFRASTRUCTURES

L’organisation fonctionnelle de l’entreprise CECOSINFORMATIQUE


est assez simple puisque ne disposant pas d’un grand nombre de personnelle.

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C’est ainsi que pour mener à bien ses activités l’entreprise dispose des structures
ci-après :

- Une direction Générale


- Un Secrétariat
- Une salle de réunion
- Un bureau de maintenance
- Une salle de formation

Les locaux de l’entreprise CECOSINFORMATIQUE s’étalent sur deux


étages dans un immeuble situé au carrefour CRADAT (Yaoundé), et dispose
ainsi d’un certain nombre de ressources matérielles et humaines dont les
principales sont :

- Un personnelle qualifié
- Des ordinateurs
- Une imprimante
- Une automobile etc.…

III- SITUATION GEOGRAPHIQUE

L’entreprise CECOSINFORMATIQUE est basée à Yaoundé, au


quartier Bonas et plus précisément au lieu dit Carrefour CRADAT comme
l’illustre le tableau suivant :

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Figure 1 : plan de localisation de CECOSINFORMATIQUE

IV- ORGANIGRAMME ET FICHE D’IDENTIFICATION

IV-1. ORGANIGRAMME

L’organisation de CECOSINFORMATIQUE se présente comme suit :

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Figure 2 : organigramme de CECOSINFORMATIQUE

IV-2. FICHE D’IDENTIFICATION

L’identité de CECOSINFORMATIQUE est fournie par le tableau


suivant :

Siège social Yaoundé carrefour CRADAT


Raison social CECOSINFORMATIQUE
Date de création Juin 1998
Boite postale 4355 Yaoundé-Cameroun
Téléphone (237) 6 99 30 96 59/ 6 22 23 13 18
Site Internet www.cecosinformatique.com
Activité principale Services informatiques
Effectif 9 employés
Directeur Générale Yves FOMEDJIEU

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Chapitre II :

DEROULEMENT DU STAGE

Suite à la demande de stage que nous avons adressé à l’entreprise


CECOSINFORMATIQUE, nous avons été convoqués par le Directeur Générale
de la dite entreprise pour effectuer un stage académique durant une période de
deux (02) Mois, allant du 05 Octobre au 30 Novembre 2014.

I- ACCUEIL ET INSTALLATION

Nous avons été convoqués en date du 05 Octobre 2014 au siège de


l’entreprise CECOSINFORMATIQUE sis au carrefour CRADAT (Yaoundé),
où nous avons été chaleureusement reçus par le Directeur Général de
l’entreprise qui nous a remercié d’avoir choisit son entreprise pour effectuer
notre stage en nous félicitant d’avoir opté pour les études en informatique et
notamment la maintenance des systèmes informatiques (MSI).

Après les présentations, nous avons été installés au bureau de la


maintenance pour prendre connaissance des lieux et de la tâche à laquelle nous
serions conviés. Enfin, nous avons fait connaissance avec tout le personnelle de
l’entreprise qui nous ont agréablement reçus.

II- ACTIVITES MENEES

Pendant notre séjour à CECOSINFORMATIQUE, nous avons eus à


mener plusieurs activités parmi lesquelles :

- La mise en réseau des équipements d’un magasin au cours de laquelle


notre principale tâche était le sertissage des câbles et l’installation des goulottes ;

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- Le dépannage du bloc d’alimentation d’une Unité Centrale ;


- Un séminaire sur l’auto emploi et la création d’entreprise qui nous a
été proposé par le Directeur Général de CECOSINFORMATIQUE ;
- Proposition et vente de logiciels éducatifs au sein d’établissements
scolaires

A notre arrivée à CECOSINFORMATIQUE, nous avons constaté que la


circulation des informations n’était pas fluide, ainsi que le partage des
ressources. C’est alors que le choix du thème de notre rapport de stage à été
porté sur : « Concept et mise en place d’un réseau local (LAN) ».

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Deuxième partie :

Concept et mise en place


d’un réseau local

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Chapitre I :

GENERALITES SUR LES RESEAUX INFORMATIQUES

Pour effectuer un travail de mise en réseau, il faudrait au préalable avoir


une connaissance sur la notion de réseau, son fonctionnement, les typologies et
topologies de réseau.

I. Notion de réseaux informatiques

Le réseau informatique peut être défini comme un ensemble


d’équipements interconnectés par des supports où médias de communication
pour la raison fondamentale du partage d’informations et du matériel. Nous
sommes entrés dans la communication où le volume et la densité des
informations échangées augmentent de plus en plus. Ainsi le réseau permet de :

- Contrôler l’accès aux ressources

- Assurer une plus grande fiabilité

- Réduire les coûts

Le réseau fonctionne suivant le type de transmission. Ainsi on distingue :

- La Télécommunication : réseau permettant de relier plusieurs


terminaux en micro-ordinateurs à une machine centrale sur laquelle
s’exécutent généralement tous les autres programmes.

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- La Téléinformatique : réseau servant à un ensemble de micro-


ordinateurs semblables reliés entre eux par des supports de
transmission pour partager les ressources matérielles et logicielles.
- La Télédiffusion : c’est une infrastructure administrée par une autre
direction autre que celle de l’informatique qui utilise des moyens
techniques bien précis.

II. Typologies de réseaux

Les types de réseau varient en fonction des besoins de communication


dont nous avons besoin. Ainsi nous distinguons :

II-1. Les réseaux locaux (LAN : Local Area Network)

Les réseaux locaux permettent aux entreprises de partager localement les


équipements et les ressources et rendent possible les communications internes. Les
réseaux locaux gèrent les données, les communications locales et équipements
informatiques.

Un réseau local est conçu pour :

- Fonctionner dans une région géographique limitée ;


- Permet l’accès multiple aux médias à large bande ;
- Assurer un contrôle privé du réseau sous administration locale ;
- Relier physiquement les équipements adjacents à l’aide des routeurs,
des ponts, des commutateurs, des concentrateurs et répéteurs.

II-2. Les réseaux étendus (WAN : Wide Area Network)

Les réseaux étendus interconnectent les réseaux locaux qui à leurs tours
donnent accès aux ordinateurs et serveurs de fichiers situés en d’autres lieux. Ils

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relient les réseaux utilisateurs géographiquement dispersé, ils permettent aux


entreprises de communiquer entre elles sur de grandes distances, de partager les
équipements accordés à un LAN situé à distance. Ainsi ils permettent :

- De fournir des ressources distantes en temps réel connectées aux


services locaux ;
- De permettre l’accès à des interfaces séries plus lentes ;
- D’assurer une connectivité continue où intermittente.

II-3. Les réseaux métropolitains (MAN : Métropolitan Area Network)

 Un réseau métropolitain est un réseau qui s’étant sur une zone
métropolitaine tel qu’une ville ou zone de banlieue. En général, on fait appel à
un fournisseur de service pour connecter au moins deux sites de réseaux locaux
au moyen des lignes de communication privée de services optiques.

II-4. Les réseaux de stockage (SAN : Storage Area Network)

Un réseau SAN est réseau à haute performance dédié, qui permet de


transférer des données entre des serveurs et de ressources de stockage. Ainsi le
réseau SAN permet :

- La performance : un accès simultané à haut débit par deux serveurs


au plus hautes matrices de disque et de bande, qui améliore les
performances du système ;
- La disponibilité : les réseaux SAN intègrent la tolérance aux
sinistres. Les données peuvent êtres dupliquées sous un réseau SAN
jusqu’à 10 Km de distance ;
- L’évolutivité : peut utiliser les technologies les plus variée. Cela
facilite le déplacement des données de sauvegarde, des opérations, la

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migration des fichiers de la réplication des données entre les


systèmes.

II-5. Les réseaux privés virtuels (VPN : Virtual Prived Network)

Un réseau privé virtuel est un réseau construit au sein d’une


infrastructure de réseau public tel que l’Internet. Via Internet il est possible de
construire un tunnel sécurisé entre un PC et un routeur VPN installé dans les
locaux d’une entreprise.

L’utilisation d’un réseau privé virtuel est la façon la plus rentable


d’établir une connexion ‘point à point’ entre des utilisateurs distants et un réseau
d’entreprise.

III- Topologie de réseau

La topologie réseau décrit la structure du réseau. Elle est définit en partie


par la topologie Physique qui est la configuration proprement dite du câblage et
du média. L’autre partie est la topologie Logique qui définit de quel façon les
hôtes accèdent aux médias pour envoyer des données.

III-1. Topologies physiques 

Comme topologie physique on distingue :

III-1.1. La topologie en BUS

C’est l’organisation la plus simple du réseau, les ordinateurs sont


connectés à une même ligne de transmission par des câbles.

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Figure 3 : topologie en BUS

Cette topologie fait appel à un câble Back Bône unique et les hôtes se
connectent directement à ce Back Bône. Celle-ci a pour avantage d’être facile à
mettre en œuvre de posséder un fonctionnement simple. En revanche est
extrêmement vulnérable étant donner que si l’une des connexions est
défectueuse, l’ensemble du réseau en est affecté.

III-1.2. La topologie en anneau

Les ordinateurs sont situés sur une boucle et communiquent chacun à son
tour. Chaque hôte est connecté à son voisin et le dernier au premier, où on
observe donc une sorte d’anneau physique de câble.

Figure 4 : topologie en Anneau

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Les réseaux en anneau sont constitués d’un seul câble qui forme une
boucle. Ce type de réseau gère particulièrement le trafic. Le droit d’accès au
réseau est matérialisé par le passage d’un jeton qui passe de poste en poste.
Chaque poste reçoit le jeton à son tour et ne peut le conservé un certain temps :
ainsi le temps de communication est équilibré entre poste. L’équipement situé au
milieu de l’anneau est appelé le MAU (Multiple Access Unit) dont le rôle est de
gérer la circulation du jeton.

III-1.3. Topologie en Etoile

Dans cette topologie, chaque poste est relier au réseau par


l’intermédiaire d’un équipement réseau spécialisé appelé HUB ou
Concentrateur.

Figure5 : topologie en Etoile

La topologie en Etoile bénéficie du faite que tous les postes peuvent


communiquer simultanément et la défaillance d’un poste n’endommage pas

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l’ensemble du réseau. Cependant si le concentrateur venait à tomber en panne,


cela paralyserait l’ensemble du réseau.

III-1.4. Topologie en Etoile étendue


Elle relie les étoiles individuelles en connectant les concentrateurs ou
les commutateurs.

Figure 6 : topologie en Etoile étendue

III-1.5. Topologie en Etoile hiérarchique

Elle est similaire à une topologie en Etoile. Cependant plutôt que de lier
les concentrateurs ou commutateurs entre ensemble, le système est lié à un
ordinateur qui contrôle le trafic sur le réseau.

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Figure 7 : topologie en Etoile hiérarchique

III-1.6. Topologie en maille


Elle désigne une forme d’interconnexion réseau où chaque équipement
réseau est relié à l’autre par un média physique.

Figure 8 : topologie en maille

III-2. Topologies logiques

Elle représente la manière dont les stations se partagent le support et la


façon dont les données accèdent aux médias de transmission. On distingue
principalement :
- Token-Ring

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- Ethernet
- FDDI

III-2.1. Token-Ring

Token-Ring est implémenté principalement dans une topologie en


anneau. La méthode d’accès pour cette technologie est l’utilisation du jeton qui
n’autorise que son détenteur à utiliser le réseau. Aucune collision n’est alors
possible. Les vitesses de transmission sur ce réseau sont de l’ordre de 4Mb/s ou
de 16Mb/s.

III-2.2. Ethernet

Ethernet est divisé en deux (Ethernet partagé et Ethernet). Dans un


réseau Ethernet partagé toutes les machines sont reliées à une même ligne de
communication, alors que dans Ethernet commuté, un équipement central appelé
commutateur gère le réseau.
La communication se fait à l’aide d’un protocole appelé CSMA/CD
(Career Sens Multiple Access with Collision Detection). Avec ce protocole toute
machine est autorisée à émettre sur la ligne à n’importe quel moment et sans
notion de priorité entre les machines. Cette communication se fait de façon
simple :
- Si les deux machines émettent simultanément, il ya collision ;
- Les deux machines interrompent leur communication et attendent un
délai aléatoire, puis la première ayant atteint ce délai peut alors
émettre.

III-2.3. FDDI

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Fiber Distributed Data Interface (FDDI) ressemble au réseau Token-


Ring à Jeton. Ils sont constitués de deux anneaux principal et secondaire. Il
utilise une méthode d’accès par jeton, toutefois cette méthode est plus efficace
que le Token-Ring traditionnel car plusieurs trames peuvent circuler sur
l’anneau simultanément. La vitesse de transfert de FDDI est comprise entre
155Mb/s et 622Mb/s.

IV- Protocole de communication

Un protocole est un ensemble de conventions qui déterminent le format


et la transmission des données, c'est-à-dire un ensemble de règles et procédure à
respecter pour émettre et recevoir les données sur un réseau. Il en existe
plusieurs protocoles selon les objectifs à atteindre, dont les plus utilisés sont :
OSI et TCP/IP.

IV-1. Le modèle OSI

Ce modèle à été mis sur pied par l’ISO afin d’établir un standard entre
les ordinateurs d’un réseau et permettre aux développeurs de créer des
applications compatibles, quelque soit le produit et le fabriquant. Ce modèle est
construit autour de sept (07) couches superposées.

IV-1.1. Présentation des couches d’OSI

Afin de simplifier le traitement, le modèle OSI à été défini sur 7 couches.


Ces différentes couches ont des fonctions différentes et complémentaires.

Niveaux Couches
7 Application
6 présentation
5 Session

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4 Transport
3 Réseau
2 Liaison
1 Physique

IV-1.2. Fonction des couches

- la couches Physique : elle définie la façon dont les données sont


physiquement converties sur le média de communication ;
- la couche Liaison : elle définie l’interface avec la carte réseau et le
partage du média de transmission. Elle s’occupe donc des préoccupations
d’accès au média, topologie, contrôle d’intégrité, contrôle du trafic (filtrage) en
utilisant les adresses MAC ;
- la couche Réseau : elle permet la gestion de l’adressage et du
routage (meilleur chemin que l’information doit choisir) c'est-à-dire
l’acheminement des données via le réseau, du filtrage en utilisant les adresses
logiques. L’unité de données ici est le paquet ou data gramme ;
- la couche Transport : elle se charge du transport des données, de
leur découpage, et de la correction éventuelle des erreurs. C’est le siège de la
connectivité de bout en bout des circuits virtuels, du contrôle des flux et de la
fiabilité de transport ;
- La couche Session : elle défini l’ouverture, la fermeture et la
gestion de session de communication entre les machines du réseau ;
- La couche Présentation : elle défini le format, s’occupe de la
compression, conversion et encodage des données.
- La couche Application : elle assure l’interface avec les
applications c'est-à-dire qu’elle s’occupe de la transparence du réseau à

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l’utilisateur et assure la distribution des applications : il s’agit du niveau le plus


proche des utilisateurs, géré directement par les logiciels.

IV-2. Le modèle TCP/IP

TCP/IP est le nom de deux protocoles (TCP et IP) développés par le


ministère Américain de la défense dans les années 1970. Il permet aux
équipements de constructeurs différents de communiquer entre eux. A l’origine
norme UNIX, TCP/IP est aujourd’hui adapter à toutes les plates formes où
presque : c’est le protocole utilisé par Internet. Par ailleurs IP défini le mode par
lequel deux équipements disposant chacun d’une adresse IP communiquent et
TCP définit le flux des paquets IP, garantissant que ceux-ci ne contiennent pas
des erreurs et atteignent bien leur destination.

IV-2.1. Présentation des couches

Inspiré du modèle OSI, TCP/IP reprend l’approche modulaire de


couches mais les résumes en quatre (04).

Niveau Chez TCP/IP Chez OSI


-couche Application
4 Couche Application -couche Présentation
-couche Session

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3 Couche Transport -couche transport

2 Couche Internet -couche réseau


-couche Liaison
1 Couche Accès au -couche Physique
réseau

IV-2.2. Fonction des couches

- couche Accès au réseau : elle signifie la forme sous laquelle les


données doivent être acheminées et quelque soit le type de réseau utilisé ;
- couche Internet : elle est chargée de fournir les paquets de données
(data gramme) ;
- couche Transport : elle assure l’acheminement des données ainsi
que les mécanismes permettant de connaitre l’état de la transmission.
- Couche application : elle englobe les applications standards (tel
net, SMTP).

Chapitre II :
EQUIPEMENTS NECESSAIRES A LA MISE EN PLACE
NA
D’UN RESEAU LOCAL

Pour mettre sur pied un réseau informatique local, nous avons besoin
d’une variété d’équipements informatiques.

I- Equipements physiques

I-1. Les terminaux de traitement de données (PC)

Ce sont des ordinateurs qui traitent les informations.

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I-2. La carte d’interface réseau

C’est une carte électronique qui permet de relier le PC au réseau. Il


existe plusieurs types d’interfaces réseaux, entre tous autres : les cartes internes,
PCMCIA au boitier externe. La carte interne s’installe dans l’Unité Centrale et
nécessite ISA ou PCI. La carte PCMCIA s’installe dans les ordinateurs
portables, et les boitiers externes nécessitent un port USB.

Le choix d’une carte réseau se fait en fonction de plusieurs critères,


parmi lesquels :

- La vitesse de notre concentrateur ou commutateur ;


- Le type de connexion que nous voulons établir selon que le câble est
Coaxial, à Paires torsadées, etc… ;

Figure 9 : carte réseau Ethernet avec prise RJ45

I-3. Les médias

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Ce sont les équipements réseau qui s’occupent du transport des


informations sous forme binaire. Les médias peuvent êtres physiques ou
virtuels :

I-3.1. Médias physiques

Ce sont les câbles qui permettent de relier les différents équipements. Ils
acheminent les informations d’une station de travail à une autre, directement ou
en passant par un concentrateur. On distingue principalement trois médias
physiques :

I-3.1.1. Le câble coaxial

Le câble coaxial se compose d’un conducteur central en cuivre entouré


d’une couche de matériaux isolant flexible, ou en aluminium recouvert de fer
blanc. Sur ce matériaux isolant, un revêtement de cuivre tressé qui constitue le
second fil du câble et protège le conducteurs interne contre les interférences. Et
enfin une gaine qui enveloppe le blindage, ainsi tous les autres composants.
C’est le câble par excellence d’un réseau local utilisant une topologie en BUS.

Figure 10 : câble coaxial

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Le câble coaxial permet d’atteindre des vitesses de transmission allant de


10 à 100 Mbit/s et se déploie sur une longueur maximale de 500 m. le câble
coaxial utilise les connecteurs BNC.

I-3.1.2. Le câble à paires torsadées

Il est constitué d’une série de conducteurs en cuivre regroupés en paires


de deux. Chaque conducteur est recouvert d’un isolant en plastique, de couleurs
différentes les uns des autres, le tout recouvert par une gaine en plastique. Peu
chère et assez facile à poser, il est aujourd’hui le plus utilisé dans les réseaux
locaux. C’est un câble de l’ordre de 100 à150 Ohms, atteint un débit de 100
Mb/s allant jusqu’à 100 m de longueur. On distingue principalement deux types
de câble : le blindé (STP : Schilded Twisted pair) ; le non blindé (UTP :
Unshielded twisted pair).

Figure 11 : le câble STP

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Figure 12 : le câble UTP

Tandis que le câble UTP est plus facile à installer que le câble STP,
celui-ci n’est pas favorable à cause de sa tolérance aux perturbations externes et
contrairement au câble STP. Le câble à paires torsadées est le câble par
excellence pour les réseaux locaux utilisant une topologie en Etoile. Ses
connecteurs sont des connecteurs RJ45 (blindé ou non).

I-3.1.3. La fibre optique

La fibre optique permet de transmettre les informations sur de très


grandes distances entre les différents hôtes. Ce genre de connectique est surtout
utilisé pour relier des bâtiments ou du matériel ayant besoin d’un très important
débit, cependant il est très coûteux et délicat. Il existe principalement deux
types de fibre optique :

 La fibre monomode : ici, le cœur de la fibre à un diamètre


inférieur à la longueur d’onde de la fibre laser. Le faisceau s’y
propage en ligne droite. De par sa puissance et du fait que le
faisceau laser se propage sans distorsion, cela serait dangereux
pour la vue si le faisceau venait à sortir de la fibre.

 La fibre multi-mode : ici le cœur de la fibre à un diamètre


important. Le faisceau laser se propage par réflexion. En raison de
la réflexion, le signal subit une altération, ce qui implique des
longueurs de fibres réduites et le débit est de l’ordre de quelques
Giga bits par seconde.

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Figure 13 : la fibre optique

I-3.2. Média virtuel

Il est essentiellement constitué des Ondes radio et faisceau Hertziens


qui se propagent dans l’Air. C’est le média caractéristique des réseaux sans fil.

I-4. Les concentrateurs et les commutateurs

Ce sont des équipements informatiques servant à relier les différents


hôtes et ressources matériels du réseau, notamment les ordinateurs les
imprimantes et bien d’autres équipements. Ainsi, selon qu’il soit un
commutateur ou un concentrateur, l’on distingue principalement deux : le HUB
et le SWITCH.

I-4.1. Le HUB

C’est un concentrateur préconisé pour un réseau local utilisant une


topologie en Etoile de faible densité, il sert de liaison centrale pour relier les
ordinateurs et les différents périphériques. Il diffuse l’information émise part un

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poste sur tous les autres postes du réseau, ce qui entraine le ralentissement du
trafic.

Figure 14 : un HUB

Suivant la version et le modèle, il intègre quelques particularités de


connexions spécifiques à l’appareil. Selon la norme le nombre maximum de
ports d’un HUB est limité à 4 entre deux stations pour le 10 base T et à 2 pour
le 100 base T. Ceci est lié au temps de propagation du signal ETHERNET et à
la présence d’éventuelles collisions sur le réseau. Il se pourrait que la collision
ne soit pas détectée à temps, et que l’une des stations émette un message en
pensant que la voie est libre. Le HUB convient aux petits réseaux, mais les
réseaux de haute densité nécessitent un concentrateur plus fiable d’où la création
des commutateurs.

I-4.2. Le Switch

Le Switch ou commutateur (en français) est une amélioration du HUB


car, contrairement au HUB, le Switch reconnaît les différents hôtes connectés
sur le réseau. En recevant une information, il décode l’entête pour connaître le
destinataire et envoie cette information uniquement à ce dernier. La majorité des
Switch utilisent le mode Full duplex ; la connexion est alors bidirectionnelle,
doublant le taux de transfert maximum. Cette fonction n’est pas implémentée
dans le HUB.

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Figure 15 : le Switch

L’utilisation des Switch permet de limiter les collisions sur le réseau.

I-5. Le routeur

C’est un équipement du réseau informatique qui permet de relier deux


réseaux en utilisant les adresses logiques telles que les adresses IP.

Figure 16 : un routeur

I-6. Le serveur

C’est un dispositif ou un ordinateur spécialisé permettant de gérer les


ressources du réseau. De manière simple c’est un équipement ayant des
ressources à partager. Un Serveur permet aux utilisateurs d’accéder aux services
tels que les fichiers et les imprimantes.

II- Equipements logiques

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Ce sont des programmes (logiciel) permettant d’administrer le réseau.


Autrement dit, c’est un ensemble de programmes qui se chargent des problèmes
relatifs à l’exploitation optimal du réseau par les utilisateurs. Les équipements
logiques sont constitués essentiellement des systèmes d’exploitation dont les
plus populaires sont WINDOWS et UNIX.

Chapitre III : INSTALLATION


ET CONFIGURATION D’UN RESEAU LOCAL A
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CECOSINFORMATIQUE
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CECOSINFORMATIQUE est une société individuelle, possédant


une plage d’activités dont les principales sont :

- La formation professionnelle ;
- La vente des consommables et installation de réseaux informatiques
- L’imprimerie ;
- La vente de logiciels d’application ;

La variété de ces activités a amené cette structure à mettre sur pied un


réseau local pour assurer la gestion efficace de celle-ci, et répondre aux
multiples attentes des clients. Ce réseau d’une grande variété d’équipements est
construite autour d’une topologie étoilée bien définie qui occupe l’étendu de
l’entreprise dont les principaux locaux sont :

 La direction générale ;
 Le secrétariat ;
 Le service de formation ;
 Le bureau de la maintenance ;
 La salle de réunion.

I- Présentation du matériel nécessaire

Pour assurer la communication entre les équipements, les entreprises


prennent la résolution d’installer des réseaux locaux sous le nom de Réseau
Local d’Entreprise(RLE) ou LAN. Ces équipements ont pour finalité
d’interconnecter de manière relativement simple les équipements informatiques
enfin d’assurer le partage de ressources entre les différents services, assurer la

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sécurité des ressources et réduire les coûts y affairant. C’est ainsi que
CECOSINFORMATIQUE n’a pas voulu faire exception à la règle et à décider
grâce à nous de mettre un réseau Local autour des équipements suivants :

 Un commutateur

CECOSINFORMATIQUE dispose comme équipement centrale


d’interconnexion, un Switch 12 ports. Le choix de cet équipement c’est réalisé
dans le but de réduire le trafic inutile d’information dans le réseau, augmenter la
vitesse de traitement et transfert de données.

 Des ordinateurs

Ce sont les terminaux permettant au personnel de traiter les informations.


A CECOSINFORMATIQUE on en dénombre 07 doté chacun d’une carte
réseau avec prise RJ45.

 Le câble réseau
C’est le câble qui relie tous les équipements du réseau, achemine les
informations d’un terminal à un autre.

La longueur du câble à utiliser par section est de :

3- Direction générale : 20 mètres ;


4- Secrétariat : 15 mètres ;
5- Salle de formation : 100 mètres ;
6- Service commercial : 50 mètres ;
7- Bureaux techniques : 65 mètres.

La longueur totale du câble à prévoir est alors de 250 mètres. Prévoir 5


mètres de sécurité.

 un serveur Windows

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C’est un équipement spécial qui fonctionne sous Windows 2000 serveur.


Il permet au personnel ou utilitaires du réseau d’accéder aux services partagés.

 Les cordons

Se sont des segments de câbles à paires torsadées sertis, de longueurs


variables. Ils permettent d’établir la liaison entre les équipements terminaux et
les prises murales RJ45 et entre les différents ports du Switch et le panneau de
brassage. Pour la réalisation du câble il faut 7 cordons de 3 mètres chacun.

 Une imprimante HP 3535

Installée au niveau du secrétariat, elle permet d’effectuer des


impressions.

Tableau récapitulatif

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Concept et mise en place d’un réseau local (LAN) : cas de CECOSINFORMATIQUE

Nous voici donc au terme de la présentation du matériel dont dispose


CECOSINFORMATIQUE. Toutefois il nous parait judicieux de mentionner que
tous ces équipements sont disposés selon la topologie en Etoile, par conséquent
nous utiliserons le protocole de communication TCP/IP. Les équipements sont
disposés selon la figure suivante :

Figure 17 : disposition du réseau local à CECOSINFORMATIQUE

II- Concept d’adressage suivant le protocole TCP/IPv4

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L’interconnexion physique des équipements sur le réseau ne suffit pas


pour les permettre de communiquer entre eux. Il va falloir définir un langage
extrêmement structuré et délicat pour les rendre apte à communiquer. Il est
temps de définir le protocole. En effet pour que deux ordinateurs du réseau
puissent s’échangés les informations, ils doivent utiliser un ensemble de règle
qui leur sont commune : le protocole. Dans la suite de notre étude, notre choix
est porté sur le protocole TCP/IP car il est le plus approprié pour un réseau local.

Sur un réseau à protocole TCP/IP, chaque ordinateur possède une


adresse de destination unique qui permet de l’identifier : c’est l’adresse IP. On
distingue deux types d’adresses IP :

II-1. L’adresse IPv4

Cette adresse est constituée de 4 octets généralement écrit en décimal.


De manière générale une adresse IP se représente sous la forme X.Y.Z.T où
chaque lettre représente un octet qui varie entre 0 et 255, et à quelques
exceptions près, le premier octet X permet d’identifier la classe du réseau et
déterminer le masque de sous réseau par défaut. Cette adresse IP est divisée en
deux parties (une partie Hôte et une partie Réseau). Par conséquent il en existe
5 classes :

- Classe A

Elle est utilisée pour l’adressage de très grands réseaux (16777214


nœuds). Sa particularité est que le premier Octet est réservé à la partie Réseau et
les trois derniers pour la partie Hôte. On peut ainsi noter : Réseau . Hôte .
Hôte . Hôte

- Classe B

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Concept et mise en place d’un réseau local (LAN) : cas de CECOSINFORMATIQUE

Elle s’adresse aux grands réseaux (65534) nœuds). Ici les deux premier
Octets (X.Y) représentent la partie Réseau, et les deux autres (Z.T) la partie
Hôte. On peut alors écrire : Réseau . Réseau . Hôte . Hôte

- Classe C

Elle est utilisée pour les petits réseaux (254 nœuds), et dispose les trois
premiers Octets pour la patrie Réseau et le dernier Octet revient à la partie
Hôte. On a ainsi : Réseau . Réseau . Réseau . Hôte

- La classe D et la classe E

C’est deux classes sont essentiellement utilisées pour la recherche.

Par ailleurs toutes les autres adresses de classe A, B ou C sont utilisées


pour l’adressage des nœuds. Il est facile de connaître la classe d’appartenance
d’une adresse IPv4, pour cela il suffit d’apprécier la valeur décimale du premier
Octet X suivant le tableau ci-dessous :

X varie de Classe du réseau Masque par défaut


1 à 126 A 255.0.0.0
128 à 191 B 255.255.0.0
192 à 223 C 255.255.255.0

Etant donner que le réseau local que nous voulons établir est loin
d’atteindre 254 Hôtes, nous avons ainsi porté notre choix sur l’adresse IPv4 de
classe C pour la configuration de nos Hôtes.

II-2. L’adresse IPv6

Dernière version du protocole Internet qui permet la communication


entre réseaux hétérogènes interconnectés.

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III- Configuration des machines

Il existe deux méthodes de configuration : la configuration en utilisant


l’assistant de configuration réseau sous Windows et la configuration pas à pas.
Dans le cadre de notre travail, nous utiliserons la configuration pas à pas,
question d’être plus explicite. Avant toute opération de configuration, il est
important de vérifier que chaque machine possède une carte réseau (installer si
nécessaire les pilotes avec le CD-ROM fourni) et que les câbles soient bien
connectés.

III-1. Procédure de configuration pas à pas

Après vérification des éléments cités plus haut, voici la procédure de


configuration sous Windows 7

 Etape 1 : sur notre bureau allons sur l’option démarrer et


sélectionner panneau de configuration ;

 Etape 2 : sélectionner ensuite Réseau et Internet ;

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 Etape 3 : puis sélectionner centre réseau et partage ;

Etape 4 : sélectionné modifier les paramètres de la carte ;

Etape 5 : faire un clic droit sur connexion au réseau local et


sélectionner Propriétés

Etape 6 : double cliquer sur Protocole Internet version 4 (TCP/IPv4)

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Les paramètres IP peuvent être déterminés automatiquement sous


Windows 7 si votre réseau le permet. Sinon vous devez demander les
paramètres IP appropriés à votre administrateur réseau. Ainsi , portons notre
sélection sur utiliser l’adresse IP suivant et entrer l’adresse IP de hôte
(192.168.0.1 par exemple) ;pui son masque de sous réseau (255.255.255.0). On
poura aussi définir la Passerelle par défaut au cas où le réseau fait appel à un
routeur

N’oublions pas faut donner un Nom à notre ordinateur. Si cela n’a pas
encore été fait, voici donc la procédure sous Windows 7.

III-2. Attribution du nom à l’ordinateur sous WINDOWS 7

Etape 1 : sur votre bureau, aller à l’option Démarrer et faites un clic
droit sur Ordinateur et sélectionner Propriétés ;

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Etape 2 : identifier les informations concernant les Paramètres de nom


d’ordinateur, de domaine et de groupe de travail, ensuite sélectionner
Modifier les paramètres ;

Etape 3 : lire attentivement les informations de modification. Pour


renommer, changer de Domaine ou de Groupe de travail de l’ordinateur, cliquer
sur Modifier ;

Etape 4 : lire une dernière fois les instructions, attribuer ainsi un Nom,
un Domaine ou encore un Groupe de travail à l’ordinateur. Enfin cliquer sur
OK.

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N’oublions pas que toutes les machines du réseau doivent appartenir au


même groupe de travail (MSI dans le cas d’espèce).

Une fois cette partie achevée, place maintenant au test de réponse entre
les machines du réseau.

IV- Procédure pour vérification de la configuration

Il est temps pour nous de vérifier si les machines arrivent à


communiquer. Installons nous devant l’un des ordinateurs du réseau (celui
possédant l’adresse 192.168.0.1 par exemple), nous allons à l’aide des
commandes de MS-DOS faire une requête à un ordinateur se trouvant dans le
réseau et attendons une réponse.

Pour cela ouvrons une console en ligne de commande à partir de notre


bureau, suivant le chemin suivant Démarrer----Exécuter…puis entrons CMD
et cliquons sur OK.

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Concept et mise en place d’un réseau local (LAN) : cas de CECOSINFORMATIQUE

Les principales commandes MS-DOS utilisées pour cet exercice sont :


ipconfig (qui vérifie la configuration IP de carte réseau), et ping (qui vérifie la
connectivité IP et autres ordinateurs en envoyant des messages de requêtes
ICMP ‘Internet Control Message Protocol’)

La syntaxe est la suivante :

C: Windows Ping (adresse IP de la machine destinatrice)

La commande PING affiche également la durée de vie du paquet ou


TTL (Time To Live) c'est-à-dire le nombre de routeurs que le paquet fréquenter
avant d’être éliminé. Dans la fenêtre ci-dessus nous avons un TTL initial de 128
sauts, valeur qui décrémente à chaque fois que le paquet traverse un routeur. Si
par ailleurs la durée de vie du paquet est dépassée alors qu’il n’est pas encore
arrivé à destination, il est tout simplement éliminé. Et dans ce cas nous recevons
un message qui affirme que le délai d’attente est dépassé. Ceci est la preuve
qu’il est encore temps de vérifier si notre carte réseau est bien installée et si les
câbles sont bien connecté.

Il est temps de faire le test sur toutes les machines du réseau si tout va
bien et alors notre réseau sera près à fonctionner. Nous pouvons partager nos
données en toute sécurité.

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V- Partage des données sur PC

Une fois les machines connectées et la configuration achevée avec


succès, nous pouvons maintenant permettre aux utilisateurs de jouir de toutes les
fonctionnalités du réseau notamment le partage des données. Ils pourront donc
consultés certains fichiers présents sur le réseau depuis leurs postes de travail.
Nous illustrerons cela avec un partage simple de fichier

Notons que l’on peut partager ce qui existe, pour cela : choisissons ou
créons un répertoire à partager, faisons un clic droit sur ce répertoire et
choisissons l’option Propriétés du menu contextuel.

Ensuite cliquons sur le menu Partage qui s’affiche sur la barre de


menus.

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Allons dans le partage de fichiers et dossier en réseau et cliquons sur


Partager…

Sélectionnons l’option de partage souhaitable puis cliquons sur


Partager.

Et voilà notre dossier accessible depuis un autre poste du réseau.

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Troisième partie :

Critiques et suggestions

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I- CRITIQUES

A notre arriver à CECOSINFORMATIQUE nous avons remarqués que


le réseau filaire existait déjà, et au sein de la structure, certains employés de
l’entreprise possédait des ordinateurs portables et ne pouvait par conséquent se
connecter au réseau existant car n’ayant pas de prise RJ45 sur leur ordinateurs.
Mais aussi le grand déploiement de câble du faite que l’entreprise s’étale sur
deux étages d’un immeuble. Or avec l’évolution de la technologie, les machines
équipées d’adaptateurs spécialisés peuvent se connecter à un réseau sans fil.

II- SUGGESTIONS

Vu le manquement constater au sein de l’entreprise


CECOSINFORMATIQUE, il était nécessaire de configurer un réseau sans fil.
Le succès des réseaux sans fil est du faite de leur déploiement aisés associant
des faibles coûts (économie de câble) se qui est souvent un atout notamment
dans les immeubles. Le réseau sans fil se déploie très rapidement, sans aucune
démarche auprès d’un service précis de l’entreprise, se qui le rend idéal pour les
réseaux de tests ou temporaire. Les réseaux sans fil permettent aussi de répondre
aux besoins de mobilité entre les différents locaux d’une entreprise, et
essentiellement pour les grands sites où le câblage est très coûteux (campus ;
usines ; etc.…). Ce type de réseau serait d’un grand salut pour l’entreprise
CECOSINFORMATIQUE dont la demande des services grandi de jour en jour.

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CONCLUSION GENERALE

Le stage effectué à CECOSINFORMATIQUE nous a permit de rédiger


ce rapport de stage et surtout de concevoir le réseau informatique de l’entreprise.
Ce travail satisfait non seulement à une exigence académique mais aussi
professionnelle, car il à permit de nous imprégner de la vie professionnelle.

Ce rapport à pour but d’apporter une solution aux problèmes de


transmission de l’information dans l’entreprise CECOSINFORMATIQUE. Dans
notre travail, nous avons proposé des solutions qui permettent une meilleure
circulation de l’information.

Ce travail nous l’avons réalisé avec pour ambition de faire la meilleure


conception en matière de réseau informatique. Mais sachant que tout œuvre
humaine n’est parfait, nous sommes ouverts aux critiques visant à améliorer ce
travail et nous souhaitons que cet ouvrage serve de ressource à tous ceux qui
travailleront dans le même sens que nous.

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BIBLIOGRAPHIE

I- OUVRAGES

 Guy PUJOLLE, Les Réseaux ;


 Frédéric JACQUENOD, Administration des réseaux ;
 Jargon Informatique.

II- ANCIENS RAPPORTS

 Rapport rédigé et soutenu par EBO’O DINOGUI Simon


Aristides portant sur la mise en place d’un réseau informatique ;
 Rapport rédigé et soutenu par KAMWA NJIPMOU William
portant sur l’étude conceptuelle d’un réseau LOCAL.

III- SITES WEB

 neteya.com/
 fr.wikipedia.org/
 Google.com/

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