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Le nouveau style t’écriture du roman a révélé plusieurs type de subversion qui font

d’elle une réalisation peu commune différente de celle connu les années extérieur . Au
Xxieme siècle l’esthétique romanesque a subit quelques changement. L' écrivain Mikhaël
bakhtine qui apporte de nouvelles couleurs a la création romanesque en critiquant la
classification traditionnelle du roman a fait naître la carnavalisation du genre romanesque en
France. En effet , La carnavalisation est un procédé littéraire entré dans le domaine de l'étude
littéraire avec les travaux de Mikhaïl Bakhtine. Ce procédé est particulièrement employé
au théâtre, et notamment dans les comédies. Il consiste en la transformation spectaculaire d'un
événement par le renversement de situations habituelles, comme l'introduction d'un
personnage comique pour un rôle sérieux. Dons le roman plusieurs écrivains tels que
Ferdinand Céline né le 27 mai 1894 à Courbevoie et mort le 1er juillet 1961 à Meudon , est un
écrivain et médecin français. Il est notamment célèbre pour Voyage au bout de la nuit, publié
en 1932 et récompensé par le prix Renaudot la même année. Jean Vautrin dit Jean Vautrin, est
un écrivain, réalisateur, scénariste et dialoguiste français, né le 17 mai 1933 à Pagny-sur-
Moselle et mort le 16 juin 2015 à Gradignan , et Andrée Chédid , née Andrée Saab ou Desaab
le 20 mars 1920 au Caire et morte le 6 février 2011 à Paris 15ᵉ, est une femme de lettres et
poétesse française d’origine syro-libanaise y ont adhéré dans leur différente réalisation. Dans
ce texte il sera question de faire ressortir les différentes manifestations de la théorie
carnavalesque.

Le carnaval et un moment de réjouissance et figurale où les hommes se déguisent et se


travestissent pour passer un moment joyeux. En littérature le carnavalesque adopte une toute
autre définition car elle est vue comme moment d’inversion sociale et de violence verbale .
Dans notre étude nous allons faire ressortir les différentes caractéristiques figurales utilisées
dans la conception d’un texte carnavalesque que sont le grotesque et le renversement sans
oublier les différents traits spécifique du carnavalesque . Le grotesque met en avant le
comique c’est l’exagération sous forme risible comique et ridicule d’une situation . En effet
on le constate à la ( ligne1 ) « Quel bouffon ! s’exclama maxime dans un état de rire . » phrase
exclamative suivi d’une phrase déclarative traduisant le ridicule dans lequel Omar Jo se
trouve et la moquerie sans vergogne de Maxime à l’égard du déguisement de celui-ci . Il
poursuit dans ces propos en utilisant « accoutrement » (ligne2) qui est un adjectif qualificatif
qui désigne un Habillement étrange, ridicule pour définir le travail de celui-ci. Le carnaval
renvoie à l’art du déguisement et du changement . Ainsi , de la (ligne 3 à 4) «. Cette fois,

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c’étaient des ailes ; elles lui poussaient partout. Ailes Flottant, comme des nénuphars, au
milieu de flamboyantes géométries.» nous avons une description plutôt claire du déguisement
porté par le personnage . Le comique se poursuit de la (ligne 11 à13 ) a travers la transmission
plutôt explicite des bégaiements . « Je boi-boi-boi…rais bien u-u-u-ne bière fraide, bégaya-t-il
tout doucement (…..). J’voudrais bien graduer dans la fi-fi-nance, annonça-t-il avec une voix
estompée. Ba-ba-ba bar-tender ! il a crié, bo-bo-bo-ttle of booo-ou-ourbon ! » cette
ponctuation abondante nous montre les difficultés que l’homme avait a s'exprimé . Ce qui
apporte la touche comique c’est le faite qu’il utilise plusieurs timbre de voix «doucement»,
«estompé», « crié » laisse paraître qu’il était soûl . Ensuite , nous avons le réalisme grotesque
c’est l’expression de l’abondance , de la surabondance matériels. Il est d’une satire
ambivalence et une critique du monde opaque . Le grotesque du carnaval rend de manière
explicite les exagérations extrême faites aux défaut de la société a travers une image
hyperbolique. Comme le montre « Sur son nez géant et rouge se perchait une volumineuse
guêpes. » ( ligne 4 à 5) il utilise des adjectifs qualificatifs comme « géant» pour qualifier une
partie du corps qui est de proportion normale , puis « volumineux» pour définir une guêpes
qui est un insectes de petite taille . Ces adjectif hyperbolique pour montrer l’absurdité de son
déguisement . Et « des bémols renversés remplaçaient les sourcils»( ligne 5 ) pour faire valoir
l’allure grotesque que Lui donnait son accoutrement. De plus , de la ( ligne 19 à 21) «Nous
sommes Virginie et moi-même happés soulevés emportés pétris par dix… vingt…cent mains
douces…pelotés…rejetés…encore haut en l’air…repris engloutis sous caresses… au moins
six femmes sur moi qui m’enlacent, me triturent chontément…» je devrais me raidir me
gendarmer… » l’auteur utiliser une panoplie de figure de style d’amplification que
l’hyperbole ,l’ accumulation ,qui montre l’exagération des faits a cause de l’incertitude face
au nombre de mains posées sur lui et une figure atténuation qui est là litote qui se traduit par
« je devrais me raidir me gendarmer… » ici nous pouvons constater qu’il y a érection mais
l’auteur utilise ces mots pour moins choquer le lecteur . De plus nous avons le grotesque
romantique , se particularise a répandre l’horreur , a suscité de la peur et du dégoût chez le
lecteur . Cela est visible de la ( ligne 21 a27 ) , « la force est à elles… Ah ! les gredines elles
me délabrent…(…). Effrontées violeuses qui m’oppressent, me sursautent à six sur mes
organes… jamais j’ai senti chose pareille ! elles me font des horreurs… elles m’étourdissent
de baisers, de suçons lourds que j’en étouffe… elles me manipulent sens dessus dessous…
elles me basculent elles me mettent à l’envers… elles veulent me faire boire les gouges…
(…) elles me passent leurs entrejambes plein le nez…je suis dans les cuisses tout noyé rose,
j’égorge dans les encens, les parfums de cul, les effluves… » a travers ces phrase simples

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l’auteur décrit un scène macabre et pleine de violence . Il utilise un vocabulaire très crû et
grotesque pour montrer l’aspect monstrueux et dégoûtant de la scène . Nous sommes en
présence d’un plurilinguisme ,en effet, qui a mis fin à l'unité stylistique et idéologique du
roman, est une notion englobant deux concepts différents: le polylinguisme et la
différenciation Langagière. Le polylinguisme implique qu'une langue nationale (le français,
l'anglais, etc) est en contact avec d'autres langues nationales. Ce phénomène démontre
qu'aucune langue n'est isolée, aucune ne fonctionne en vase clos, comme le seul repère pour
décrire le monde. Par exemple dans notre texte nous avons l’anglais que l’auteur mélange au
français pour donner le “ franglais ” de la ( ligne 12 à 17 ) « . Ba-ba-ba A bar-tender ! il a crié,
bo-bo-bo-ttle of booo-ou-ourbon ! Le grand pendard bredouillait 44 beaucoup ses mots,
surtout quand il était nerveux(…). Il a répété : Ba-ba-ba-bartender ! can’t Ame (…). C’ pauv
bougue est loin d’chez lui. Pauvr’ tite creature, le Bon Dieu l’pris. Puisque t’es icite avec moi
you hear me ? (…) My God, souffla-t-elle au vieux bougre. Do it again, Crowley» « Il était
Ab seul, vraiment lonely. She says, she repeats : I hate men ! I hate their guts. Jesus walks
with. » Ce nouveau style d’écriture font du roman du 20 ieme siècle un roman subversif.
Enfin , nous allons parler du renversement . Le renversement au nom du carnavalesque a
souvent comme but un discours sérieux mais, encore une fois, qui fait rire le peuple. En
général, il s’agit d’une inversion de l’ordinaire, laissant place à la domination de l’irrationnel.
Comme les autres notions élaborées jus , le renversement peut prendre plusieurs formes. Cela
peut être le renversement de la nature, d’un comportement, ou bien de sa place dans
l’organisation sociale. Ainsi , de ( la ligne 2 à 4) « Cette fois, c’étaient des ailes ; elles lui
poussaient partout. Ailes Flottant, comme des nénuphars, au milieu de flamboyantes
géométries. Sur son nez géant et rouge se perchait une volumineuse guêpe. Des bémols
renversés remplaçaient ses sourcils » . Ces phrases déclaratives nous montre Omar Jo qui
s’identifier a une bestioles en se déguisant comme tel . Ici nous sommes face à un
renversement de la nature . De puis la nuit des temps la femme est considéré comme étant
fragile et faibles le sexe faible . Vulnérables a toute agression physique et sexuels . Mais dans
le cas présent nous son en présence d’un renversement dans l’organisation social car ici c’est
l’homme qui es face à une agression orchestrée par les femmes . Cela ce perçoit de la ( ligne
17 a 19 ) « Nous soulevés emportés pétris par dix… vingt…cent mains douces…pelotés…
rejetés…encore haut en l’air…repris engloutis sous caresses… au moins six femmes (…)
elles me passent 24 leurs entrejambes plein le nez…je suis dans les cuisses tout noyé rose,
j’égorge dans les encens, les parfums de cul, les effluves…»

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Le présent texte à porter sur la carnavalisation dans l’écriture romanesque en France .
L’objectif de cette analyse à consisté à faire ressortir les différentes manifestations du
grotesque dans une œuvre carnavalesque . Nous avons fait ressortir les différentes type de
grotesque qui était dans le texte soit : le réalisme grotesque , et le grotesque romantique.
Ensuite, nous avons relevé le plurilinguisme qui est l’utilisation de plusieurs langues dans une
œuvre écrite dans sa langue d’origine et enfin , nous avons parlé du renversement qui as pour
but un discours sérieux mais, encore une fois, qui fait rire le peuple . A travers ces analyses
nous pouvons dire que nous sommes en présence d’un texte carnavalesque.

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