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2010
QUICK
Le goût dU
ChaLLenge
opti mi s t e s
VoloNtaires
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M e s s a ge du Présicdier
p. 02 anorama finan eprise
p. 04 P ouvernement d'entr n
p. 06 G goût de l'innovatio
p. 08 Le goût du client équipe
p. 14 Le goût du travail ena bilité
p. 18 Le goût de la respons
p. 22 Leapport de gestion
p. 28 R tats financiers
p. 33 ontacts
p. 56 C
détermiNés
entreprena
nts
02_03 Message du président
Faits marquants
Juin :
le sociologue
Jean-Pierre Corbeau
rend à l’Institut Quick
une étude sur les
hamburger restaurants
en France.
LE MANAGEMENT
A-T-IL ÉVOLUÉ ?
engagement,l erxcellerecnhcee
rants. Dans les mêmes délais, Quick
prévoit de doubler son chiffre d’af-
Panorama
FInanCIer
L’année 2010 est une année record pour
le Groupe Quick, avec une croissance de
11 % et un chiffre d’affaires qui dépasse
pour la première fois la barre du milliard
d’euros, à 1,028 milliard d’euros exacte-
ment. Son développement est dynamique,
avec l’ouverture de 25 nouveaux restau-
rants, soit sept de plus qu’en 2009, et le
Groupe peut se féliciter d’avoir gagné des
parts de marché face à ses concurrents. Le
chiffre d’affaires français augmente de
11 %, à 810 millions d’euros, et celui du
Belux de 8,6 %, à 185 millions d’euros,
confortant ainsi sa place de leader sur le
territoire berceau de l’enseigne. Enfin, autre
résultat significatif, l’EBITDA progresse
de 25 % pour atteindre 100,2 millions d’euros.
1 028,6
90,4
87,5
925,7
893,1
71,9
865,3
59,2 74,9
56,8 70,2
31,8
73,0
58,3 71,9
22,8
17,4
12,8
626,8
170,3 732,5
184,9 811,9
157,1 718,7
133,7702,1
19,2
13,7
15,4
15,4
14,1
150,4
- 0,1
- 2,0
0,3
- 0,7
0,4
07 08 09 10
07 08 09 09 10
Pro forma
Ventes à l’enseigne par marché Résultat opérationnel
(en millions EUR) des restaurants par marché
CAGR 2007-2010 : 5,93 % (en millions EUR)
Investissements opérationnels
EBITDA
526,8
508,2
511,3
100,2
453,3
104,8
90,4
80,6
80,1
75,4
57,4
51,0
48,6
16,7
7,2
- 1,5
07 08 09 10 07 08 09 10 07 08 09 10
52,5
51,9
6,58
6,31
40,7
5,11
2,0
5,02
35,9
1,7
1,6
07 08 09 10 07 08 09 10 07 08 09 10
goUvernement
d’entrePrIse
Le gouvernement d’entreprise de Financière Quick S.A.S. est formé par le Conseil de Surveillance,
le Président de Financière Quick S.A.S., le Directoire et le Comité des Rémunérations. Le Conseil
de Surveillance exerce le contrôle permanent de la gestion de la société par la voie du Directoire.
Financière Quick S.A.S. détient 100 % du capital de Quick Restaurants S.A.
Le conseil de surveillance
Le Conseil de Surveillance contrôle la gestion et approuve les décisions du Directoire Le directoire et le comité
nécessitant son autorisation. Il valide les options stratégiques proposées par le de direction au 31/12/2010
Directoire. Il s’est réuni onze fois en 2010. Le Directoire assure l’exécution de la
stratégie et veille à la gestion quoti-
Conseil de surveillance de financière quick s.a.s. dienne de la société sous le contrôle
au 31/12/2010 du Conseil de Surveillance. Il est dirigé
Jean Eichenlaub, 43 ans, Président du Conseil de Surveillance. par le Président de Financière Quick
Jean-Paul Brayer, 64 ans, Vice-Président du Conseil de Surveillance. S.A.S. Le Comité de Direction est
Vincent Jonquières, 37 ans, Membre du Conseil de Surveillance. composé des membres du Directoire, de
Bastian Emery-Beziers, 29 ans, Membre du Conseil de Surveillance. François Charpy (Directeur International
Qualium Investissement représentée par Rudolf Mouradian, 43 ans, Membre Groupe) et de Valérie Raynal (Respon-
du Conseil de Surveillance. sable Communication Groupe). Le
Comité de Direction se réunit une fois
Le président par semaine en présence de tous ses
Le Président de Financière Quick S.A.S. est nommé par le Conseil de Surveillance. membres.
Il représente la société vis-à-vis des tiers. Il est également Président du Directoire.
Jacques-Édouard Charret, entré le 7 septembre 2009, a été nommé Président
du Directoire le 4 janvier 2010 en remplacement de Jean-Paul Brayer.
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audacieux
08_09
Le goût de
L’InnovatIon
su r p r e N a N t s
iNsatiables
10_11 innovation, produits et services
Avec un goût prononcé pour le challenge, une audace incontestée et une quête incessante
de nouveautés, le Groupe Quick prouve cette année encore qu’il est à la hauteur de ses ambitions.
La qualité, l’innovation et la satisfaction du client sont au cœur des préoccupations de l’enseigne.
dÉveLoPPer
L’ImagInatIon aU servICe
de L’aCtIon
Ha
u a l i t é
lal
Q Nouveaux produits équipements modernes (écrans de
En 2010, l’offre du Groupe Quick a conservé son dynamisme avec 92 nou- contrôle, holding cabinet2…), les équi-
veaux produits dont, 44 nouveaux burgers et de nombreux produits complé- piers gagnent en rapidité et en flexi-
mentaires. Parmi eux, des propositions audacieuses ont permis à l’enseigne de bilité. Actuellement, seize restaurants
se démarquer de ses concurrents. En effet, Quick a été le premier hamburger en France et deux au Belux sont équi-
restaurant à servir un cheeseburger bio à ses clients. Aujourd’hui, la gamme bio pés de cuisines Odyssée. Le déploie-
est pérenne avec un jus de pomme, un yaourt, un burger et un club. Autre ment de ce concept va s’intensifier
grande nouveauté de l’année : la vente d’une gamme de produits à base de dans le courant de l’année 2011.
viande certifiée halal dans 22 restaurants du parc français. Plusieurs mois de
test ont en effet prouvé la pertinence de cette offre, qui a insufflé un nouvel Nouveau design
élan sur un marché très concurrentiel. Enfin, Quick a également lancé une nou- Le rythme des rénovations a été parti-
velle offre petit déjeuner et un deuxième menu enfant. culièrement intense en 2010, avec
38 restaurants bénéficiant de nouveaux
Nouveaux services décors et équipements. Après les dé-
Le Groupe Quick met la satisfaction du client et la recherche de l’excellence cors Oasis, Loft, Lounge et Back to Basics,
au centre de ses préoccupations. Il veille à moderniser ses équipements et à pro- le décor Quick s’inspire aujourd’hui
poser sans cesse de nouveaux services dans ses restaurants. L’année 2010 a été des grands appartements haussman-
une étape importante pour l’amélioration du service client, avec notamment niens avec Champs-élysées. Les restau-
le déploiement des bornes de commande en salle et des pockets1 dans les files rants des Champs-Élysées et de la rue
d’attente des drives. Le free refill, système de distribution de boissons en libre- Soufflot à Paris donnent une première
service, équipe désormais 30 restaurants en France et 55 en Belgique, permet- impression du Quick de demain, ma-
tant une réduction significative du temps d’attente aux heures d’affluence. Enfin, riant les contrastes entre des teintes
le Belux a lancé en juillet les Summer nights. Cette initiative, proposant une ouver- lumineuses et des tons sombres et cha-
ture de tous les restaurants de l’enseigne jusqu’à minuit de juillet à septembre, leureux. Un nouveau concept de bâti-
a généré une hausse de 1 % du chiffre d’affaires sur la période d’été. ment était à l’étude en 2010 : la Cube.
Il s’agit d’un bâtiment à la fois accueillant,
Nouveaux process moderne et économe en énergie.
Avec la mise en place du programme « 100 % Qualité » dans tous les restaurants Des photos en clair-obscur des burgers
du parc en 2010, le process de fabrication du burger Quick a été intégralement phares mettent en avant le savoir-
révisé grâce à une nouvelle manière de préparer les steaks, avec une viande plus faire de l’enseigne. Les deux premières
goûteuse et un temps de cuisson réduit. Ce programme présente l’avantage d’aug- constructions sont prévues en 2011.
menter la productivité du service, d’une part, et de servir des burgers plus chauds
1. Système mobile de prise de commande par les équipiers.
et appétissants, d’autre part. Le Groupe Quick se dote également d’un nouveau 2. Appareil permettant de conserver au chaud les steaks
concept de cuisine, baptisé « Odyssée ». Grâce à un nouvel agencement et à des hachés et les produits frits (sauf les frites).
efficacité
LUC THIBAUD,
THIBAUD Vice-Président des Opérations France
Le Gia nt,
burger matique
emblé
« JE REPRÉSENTE 56 % DES VENTES EN BELGIQUE »
« Avec 38,4 millions de fans qui se connectent sans déjà trois en Belgique,
Giant vendus en 2010 en cesse sur ma page Facebook et le Groupe prévoit
France et en Belgique, je pour me féliciter et prendre 50 ouvertures de Giant Bar
suis LE burger embléma- de mes nouvelles. Et elles au cours des dix prochaines
tique de l’enseigne Quick. sont bonnes ! Figurez-vous années. Un Giant de
Il paraît que j’ai un goût que mon succès fait des plusieurs tailles, avouez
inimitable. Je porte la petits : les Giant Bar, ce qu’il fallait y penser.
marque Quick avec entrain nouveau concept créé pour Et je suis à emporter.
depuis des années, et cette moi, proposent des C’est pratique avant
gloire me va plutôt bien. En déclinaisons de moi-même. de prendre un train
tout cas c’est l’avis de mes Un vrai succès. Il en existe à la gare de Bruxelles ! »
12_13 déveLoppeMent internationaL
découverte
pement de l’enseigne.
Le goût du
Client
14_15
curieux
proches
accueillants
16_17 iMage et eXpertise
Leader incontesté sur le marché belge, Quick renforce sa position de numéro 2 sur le marché français.
Avec un chiffre d’affaires en progression de 11 % en France, le Groupe a montré qu’il avait su attirer
de nouveaux clients en 2010. Le nombre de tickets a d’ailleurs augmenté de près de 6 % cette année.
devenIr
La destInatIon PrÉFÉrÉe
des amateUrs de bUrgers
var i é t é
Renforcer le positionnement du Groupe avec ses clients via sa
Le projet Quick 2015, présenté cette année, réaffirme les valeurs essentielles base de données clients de
du Groupe que sont l’audace, la proximité avec les clients, l’engagement et la 660 000 contacts, l’une des plus
recherche de l’excellence. Quick entend devenir la référence absolue du beef importantes pour des produits de
burger grâce à la qualité exceptionnelle de ses ingrédients. Il se démarque ainsi grande consommation. Cette der-
de ses concurrents, en se concentrant sur son cœur de métier et en confortant nière permet notamment de son-
le positionnement de sa marque. der les clients sur les innovations
produits ou sur l’image de Quick
Offrir de nouvelles expériences pour être toujours au plus près de
En 2010, Quick a doublé le nombre de nouveaux burgers à la carte avec leurs attentes. L’enseigne mise
44 innovations contre seulement 29 en 2009. Objectif : innover constamment également sur le digital grâce
pour améliorer la qualité, le goût et le moelleux de la viande. Pour exemple, la au wi-fi, au lancement d’une appli-
nouvelle technologie de steak haché a contribué au succès de l’extra tender beef cation iPhone ou encore une nou-
en 2010. Les produits complémentaires (salades, finger food, desserts) ont velle page Facebook qui regroupait
compté 47 nouveautés cette année, et ont fortement contribué à la croissance déjà 163 000 fans moins d’un an
du ticket moyen. En effet, la nouvelle tendance des produits à partager a été après son lancement.
particulièrement appréciée par les clients en 2010. Quick a également innové
en matière de canal de vente grâce à un partenariat avec Rosedeal en novembre Surveiller sans cesse
et décembre 2010. Via le site Internet www.vente-privee.com, les internautes la qualité
avaient la possibilité d’acheter à 6 euros des bons d’achat d’un montant de La recherche de l’excellence est au
12 euros, valables dans les restaurants de l’enseigne. centre des priorités de Quick, qui veille
continuellement à améliorer la qualité
Être proche des clients de ses produits. À titre d’exemple, la
Pour devenir la référence du burger, Quick doit être complice de ses clients. Il viande des steaks hachés pur bœuf
doit être différent des autres hamburger restaurants et se positionner comme provient à 60 % de bovins français.
l’expert de son produit cœur de métier, le beef burger. En 2010, Quick a orga- Un effort particulièrement important
nisé des prises de parole lors de chaque lancement d’un hamburger. Et tout au a été fait en 2010 pour améliorer la
long de l’année, la Direction du Marketing a travaillé à intensifier la proximité texture et le goût de la viande de bœuf.
simplicité
ie R oux,
Soph fidèle
clientes toujours
depui
« JE SUIS FAN DU GIANT, ET J’AI
L’IMPRESSION QUE JE NE SUIS PAS LA SEULE ! »
« Je mange chez Quick ne veut cuisiner à la que je ne suis pas la seule !
au moins une fois par maison, cette solution Mais je commande toujours
mois, c’est une envie qui arrange tout le monde… un autre burger en plus
revient régulièrement ! Quand je fais de longs du menu. Ce petit plus varie
Je m’arrête chez Quick trajets en voiture, je en fonction de l’humeur
entre midi et deux en repère le Quick le plus et je me laisse souvent tenter
général. Rarement le soir, proche sur mon iPhone par les nouveautés. Un peu
ou alors avant d’aller et, hop !, je fonce au drive de surprise, ça ne fait pas
au cinéma avec des amis. avant de reprendre de mal. J’ai même goûté
On s’accorde cette petite ma route. Je suis fan du le burger au foie gras,
faveur. Et quand personne Giant, et j’ai l’impression étonnant ! »
Le goût dU
respectueux en ÉQUIPe
18_19
travaIL
G é n é r e u x
20_21 taLents et évoLution
Avec plus de 19 000 collaborateurs, l’enseigne considère le recrutement et l’évolution de carrière comme
autant de points essentiels à la poursuite de sa croissance. Il est important pour le Groupe de proposer
une offre RH attirante et rassurante, et de professionnaliser les équipes des 483 restaurants.
devenIr L’emPLoYeUr
PrIvILÉgIÉ dU seCteUr
de La restaUratIon raPIde
esprit d'équipe
évo l u t i o n
« J’ai trois restaurants en franchise qu’équipière et, au fil des années, j’ai
en Belgique, dont deux dans la ville de gravi tous les échelons au sein de plusieurs
Genk. J’aime être mon propre chef, gérer restaurants de la région. J’ai attendu
le recrutement de mes équipes, manager et 10 ans avant de prendre mon premier
améliorer constamment le service rendu aux restaurant en franchise, mais si c’était
clients. Ici, la clientèle est très diverse et j’exige à refaire je n’attendrais plus si longtemps.
que mes équipes sachent au moins parler le Quand on est directeur d’un restaurant
flamand et le français. Je disposais d’une compagnie, on change régulièrement
longue expérience avant de me lancer dans de restaurant, alors qu’en tant que
cette aventure de franchise car je suis entrée franchisé on peut profiter pleinement
chez Quick en 1994 ! J’ai commencé en tant de son travail sur le plus long terme. »
M airesse,
e
Alexans,d rmanager
LUC THIBAUD,
THIBAUD Vice-Président des Opérations France
29 an au restaurant
expert ps 1
Cham
« MANAGER M’A BEAUCOUP
APPORTÉ EN MATURITÉ »
« Mon aventure Quick a manager, manager peux les enseigner aux
commencé en 2001 dans confirmé et maintenant autres. Manager m’a
un restaurant d’évreux. manager expert. donné confiance en moi,
Je ne pensais pas y faire une Je travaille dans le plus en suivant les formations
carrière ! Mais on m’a très grand restaurant français, que propose Quick, on
vite fait confiance et donné celui des Champs-élysées, progresse sans difficulté.
les moyens d’évoluer avec 300 couverts. J’ai Je repère même les
rapidement, de faire mes appris à gérer les quatre potentiels des équipiers
preuves. De restaurant en secteurs de compétence assez vite. Prochaine
restaurant, je suis passé petit à petit, maintenant étape, un poste
manager assistant, je les maîtrise tous et je de directeur ! »
enga g é s
Le goût de La
resPonsabILItÉ
humaiNs
22_23
siNgul
iers
résolus
24_25 environneMent et société
Quick utilise des produits d’une qualité optimale grâce à une sélection rigoureuse des matières
première, d’une part, et à des contrôles tout au long de la chaîne, d’autre part. Tous les acteurs
sont impliqués, à chaque étape, de la production à la distribution.
respect
agIr PoUr
La ProteCtIon de L’envIronnement
et Le resPeCt de La QUaLItÉ
Une matière première de qualité auditeurs internes, professionnels de la
Quick sélectionne des matières premières irréprochables et sans OGM. Les qualité, en amont des quatre contrôles
steaks hachés Quick sont 100 % pur bœuf et affichent un taux de matière externes annuels. Il faut donc former, infor-
grasse inférieur à 20 %. Les morceaux de poulet proviennent uniquement mer et développer des moyens pour aider
des filets et des hauts de cuisse. Le contrôle de l’origine des viandes est sys- tous les restaurants Quick, en France, au
tématique lors de chaque livraison. La législation française exige même qu’il Belux et à l’international, à respecter nos
soit affiché en restaurant. Les salades sont quant à elles assemblées chaque règles de qualité intransigeantes. »
matin sur place. Enfin, depuis 2010, Quick a développé une nouvelle exper- En parallèle, une nouvelle session de
tise en matière de qualité en étant le premier hamburger restaurant à proposer formation dédiée à l’hygiène sera dis-
un cheeseburger bio. pensée à l’ensemble du réseau par un
laboratoire indépendant agréé. Cette
Une traçabilité totale et des contrôles réguliers formation sera suivie d’une évalua-
L’enseigne sélectionne des matières premières rigoureusement contrôlées et tion individuelle des connaissances.
s’assure de la traçabilité totale depuis le fournisseur jusqu’au restaurant, ce der- Au total, le nombre de formations
nier assurant la traçabilité en amont. Les fournisseurs doivent respecter un cahier annuelles à l’hygiène sera ainsi multi-
des charges complet et exigeant. Le quality book est un outil indispensable à plié par deux.
chaque restaurant du Groupe Quick. Il s’agit d’un cahier de bord guidant les
autocontrôles obligatoires, qui sont, selon les produits concernés, quotidiens, La création
hebdomadaires ou mensuels. Chaque jour avant l’ouverture du restaurant, un d’une certification qualité
équipier vérifie 162 points de contrôle qualité sur les ingrédients et les équipe- Avec l’aide d’une société spécialisée
ments de cuisine. Et chaque mois, dans chacun des restaurants, sont effectués et agréée au niveau international,
496 points de contrôle qualité sur les hamburgers, 535 sur les salades, 198 sur les Quick travaille à la mise en place d’une
bouchées au poulet, 197 sur les frites, 87 sur les jus de fruits, 30 sur les sodas, certification interne des restaurants
692 sur les glaces et milk-shakes et 126 sur les pâtisseries. Les restaurants sont en dans le courant de l’année 2011. Ce
outre contrôlés quatre fois par an par un laboratoire externe agréé, qui prélève label sera basé sur le plan de maî-
et analyse des échantillons de sept produits différents. Enfin, une fois par an, un trise sanitaire et la démarche HACCP
audit est consacré à l’hygiène et à l’état du matériel. Pour une meilleure transpa- (Hazard Analysis Critical Control Point)
rence sur les normes de qualité et de sécurité de l’enseigne, Quick a ouvert les qui identifie, évalue et maîtrise les
coulisses de ses contrôles, visibles sur le site Internet www.quickinfoconso.fr dangers significatifs au regard de la
depuis le 25 février 2011. sécurité des aliments. Cette société
agréée sera chargée d’auditer tous
Le renforcement des normes les restaurants du parc une fois par
Le Groupe va durcir le système de notation des restaurants lors des contrôles an, afin de vérifier s’ils respectent les
internes et réduire le temps imparti pour corriger les points d’amélioration différents points d’une grille d’éva-
identifiés. Paul Synquintijn, Directeur Qualité Groupe, travaille à une profes- luation établie par ses soins.
sionnalisation encore plus poussée des auditeurs internes chargés de la QSP
(Qualité, Service, Propreté) : « La qualité est une priorité chez Quick. Nous voulons
tendre vers le zéro défaut. Pour y arriver, les restaurants doivent être contrôlés par des
rigueur
Y v es La u de,
Jean- e b o v i n s
d
éleveurn ay (72)
à Vol
« QUE QUICK CHOISISSE MES VACHES
CHAROLAISES EST UNE VRAIE RECONNAISSANCE
DE MON TRAVAIL D’EXPLOITANT »
« Je travaille avec vaches sont choisies par le cahier des charges pré–
cinq associés dans une cette enseigne est une voit que nos bêtes doivent
exploitation agricole marque de reconnaissance. se nourrir à 80 % d’herbe.
à Volnay, dans la Sarthe. On fait de la qualité, on La traçabilité est irrépro-
Quinze de nos vaches élève nos bovins dans des chable puisque la vache est
charolaises, de 600 kg champs et on leur donne numérotée à sa naissance
chacune, partent chaque du foin à manger pendant et j’inscris tous les éléments
année dans un abattoir l’hiver. Ce n’est pas importants de sa vie
Socopa. Il prépare les de l’élevage en bâtiment en élevage sur une fiche
carcasses pour les burgers et on sent tout de suite technique qui est remise
de Quick. Savoir que nos la différence ! D’ailleurs à l’abattoir. »
Depuis 2008, l’Institut Quick est l’entité de réflexion et de recommandation du Groupe en matière
de responsabilité sociale. Son action se concentre sur trois thématiques : les ressources humaines,
l’environnement et la nutrition.
Prendre goût
à vIvre mIeUx recherche
2010 a été une année très fructueuse pour l’Institut Nutrition
Quick. Les trois collèges qui le composent se sont réu- En 2010, à la demande de l’Institut Quick,
nis une dizaine de fois et une trentaine d’experts internes le professeur Jean-Pierre Corbeau, uni-
et externes ont contribué à faire avancer le Groupe. Une versitaire, sociologue de l’alimenta-
dizaine de projets, initiés dans ce cadre, se sont déjà concrétisés tion, a réalisé une étude sur la place de
sur le terrain en France. la restauration rapide en France. Avec
les étudiants de l’IUT de l’université
Ressources humaines François-Rabelais de Tours, ils ont inter-
En 2010, l’Institut Quick s’est attelé à deux projets majeurs1 : la diversité et le han- rogé 863 personnes fréquentant la
dicap. En février, Quick a signé la Charte de la diversité en entreprise, s’engageant restauration rapide hamburger (RRH).
à favoriser l’égalité des chances face à l’emploi. En juin, Quick a conclu, avec les 760 d’entre elles avaient entre 15 et
pouvoirs publics, un accord d’entreprise sur le handicap. La mission handicap 25 ans. L’étude va à l’encontre des idées
« Tous différents, tous Quick » a été créée. Elle intervient au siège et dans les res- reçues et montre que les clients français
taurants exploités en propre où des référents sont formés pour accompagner les ont une approche sédentaire de la RRH.
salariés concernés. Quick favorise aussi l’embauche de personnes en situation de 79 % d’entre eux déclarent ne jamais
handicap en participant à des forums de recrutement spécialisés. Dans cette pers- choisir la vente à emporter et 75 % y vont
pective, des actions ont été développées pour améliorer les conditions de travail. en famille ou entre amis. Ils sont là pour
Une expérience pilote a été menée au restaurant de La Courneuve (France) en passer un moment convivial. Le chrono-
collaboration avec des ergonomes. Des signaux lumineux ont été installés en cui- métrage de 250 personnes a révélé une
sine, facilitant le travail des collaborateurs sourds et malentendants. En juillet, durée moyenne de visite de 45 minutes :
Quick a signé avec Pôle emploi un partenariat de trois ans, une première dans 20 minutes pour le repas, puis 25 minutes
la restauration rapide hamburger. Cet accord vise à favoriser le recrutement des à table après le repas. L’étude montre
demandeurs d’emploi les plus vulnérables. aussi que les Français sont des « mangeurs
pluriels ». Ils apprécient autant la RRH que
Environnement la restauration traditionnelle ou les cui-
Quick s’efforce de limiter son impact sur l’environnement. La réduction des gaz à sines du monde. Enfin, les hamburger res-
effet de serre est le fil conducteur de son plan d’action. En 2010, l’Institut Quick a taurants sont des espaces de construction
travaillé selon trois axes : et de liberté pour les 15-25 ans.
améliorer la performance environnementale. Depuis 2010, Quick utilise des embal- En 2011, l’Institut Quick poursuivra ses
lages de burgers labellisés OK-compost et des packs salades en carton ondulé avec missions de réflexion et d’accompagne-
fenêtre en bioplastique. L’enseigne s’est aussi penchée sur la question du recyclage ment auprès du Groupe Quick pour
des déchets, en menant une opération pilote à Agen (France) de tri sélectif en res- mobiliser les collaborateurs et mener à
taurant et de valorisation par méthanisation ou compostage ; bien de nouveaux projets au bénéfice de
avoir une gestion raisonnée des ressources. Quick s’engage de plus en plus tous les publics de l’entreprise.
en faveur de l’agriculture raisonnée. Aujourd’hui, les salades sont issues de
cette filière selon les normes GlobalG.A.P2. De même, nos fournisseurs de
frites référencent leurs agriculteurs selon des normes très strictes. Quick
propose, depuis mars 2010, une offre bio pérenne ;
diminuer l’impact du transport. Quick poursuit ses efforts sur le fret. Le Groupe
a mis en place un nouveau plan d’approvisionnement des restaurants. Les 1. Les enjeux sont communs à tous les pays où Quick est im-
planté. Et ils seront déployés dans l’ensemble du Groupe.
camions ne circulent plus à vide et les tournées sont optimisées pour réduire 2. Référentiel international pour une agriculture réduisant
la consommation d’essence. les impacts sur l’environnement.
anticipation
« L’institut porte les projets phares l’Institut, Quick fait appel à des experts
de Quick et œuvre chaque jour à laisser externes pour réfléchir ensemble à la
de côté les clichés importés d’Amérique restauration d’aujourd’hui et à celle
du Nord sur la restauration rapide. de demain. C’est un investissement
Quick est un restaurant, nos clients très utile à nos concitoyens et clients
viennent pendant les heures de repas, qui veulent savoir à quoi vont ressem-
s’installent à table, seuls, avec bler leur environnement et leurs repas
des amis ou en famille. Ils dans les années à venir. Quick les
prennent le temps de manger accompagne dans ces changements
nos produits, d’en apprécier avec des projets importants et les
le goût et la qualité. Grâce à informe avec des études pointues. »
Corbeau,
ierre
Jean - P r de sociologi
e
profess ecuonsommation
de la l'�alimentation
et de
« QUICK APPORTE UN ESPACE
D’AUTONOMIE ET DE SOCIABILITÉ AUX JEUNES »
« L’Institut Quick m’a s’approprient cet espace C’est un véritable lieu de
commandé une étude sur pour développer leur sociabilité, qui joue le même
les hamburger restaurants autonomie, puisqu’ils y rôle que les bistrots quand
en France. Avec 22 étudiants, viennent d’abord en famille, leurs parents étaient
nous avons travaillé plusieurs puis avec des amis. Ils y eux-mêmes adolescents.
mois sur le comportement développent également Et non !, on ne se goinfre
des adolescents et jeunes des valeurs de partage et pas dans un hamburger
adultes entrant dans la vie d’échange avec les autres, restaurant, et on ne
active. Nos découvertes restant de longs moments mange pas son burger
m’ont à la fois étonné assis à table, ce qui prouve en marchant dans la rue
et passionné. Ces jeunes qu’ils s’y sentent à l’aise. comme aux états-Unis… »
28_29 rapport de gestion
raPPort
de
gestIon
2011 sera une année
de transition "
CÉDRIC DUGARDIN, Directeur Général Adjoint et Directeur Administratif,
Financier et Informatique Groupe
contexte gÉnÉral
Propre Périphérie Autres implantations
Franchise Centres commerciaux Giant Bar
JV Centre-ville
4% 1%
483
468
453
423
42
39
18 %
35
27
9%
113 305
101 328
101 295
95 346
68 %
07 08 09 10
500
Évolution du parc de restaurants en 2010
Unités Propre Franchise JV Giant Bar Total
Ouvertures
France 12 3 15
Belux 1 1 1 2 5
International 3 2 5
TOTAL 1 16 6 2 25
Mises en franchise
France (4) 4
Belux
International
TOTAL (4) 4
Reprises en propre
France 1 (1)
Belux
International
TOTAL 1 (1)
Fermetures
France (2) (1) (3)
Belux
International (2) (2) (3) (7)
TOTAL (4) (3) (3) (10)
Situation au 31 décembre
France 76 263 32 371
Belux 19 66 4 3 92
International 14 6 20
TOTAL 95 343 42 3 483
% FRANCHISE + JV 80 %
30_31 rapport de gestion
1 028,6
893,1
732,5
925,7
702,1
718,7
811,9
865,3
100
100 100
80
80 80
60
% 69 %
% 69 %
% 70 %
% 71 %
% 69 %
% 71 %
60 60
72 %
% 73 %
40
736,0
150,431714,9
27 736,0
150,429714,9
626,8
665,1
626,8
665,1
28 %
40 40
141,8 30
133,7 29
141,8 31
133,7 31
20
157,1
157,1
Propre
20 20
0
Franchise
07 08 09 10 07 08 09 10
0 0
100
184,9
170,3
150,4
157,1
22,8
12,8
31,8
17,4
100 100
80
80 80
60
60 60
40
100 %
92 %
96 %
97 %
29 % 71 %
40 40
27 % 73 %
27 % 73 %
20
78 %
22 %626,8
20 20
8%
0
4%
3%
133,7
0 0
07 08 09 10 07 08 09 10
perspectives d’avenir
Le Groupe Quick a prévu d’ouvrir vingt-deux restaurants en 2011,
dont neuf en France, trois en Belgique et dix à l’international.
États financiers ifrs
Groupe financière Quick
au 31/12/2010
m m a i re lidé
so e résultat c
onso
pte d
p. 34 Com net
ta t d u résultat
p. 35
B i l a n consolidé
p. 3 6
d e varisa ti on dlieds és
b l ea u e c o nso
p. 37 Tcaapitaux propr
b le au d ecs fluxd dése
p. 3 8 T
a e on soli
trésoreri
upe
cr i pti o n duté Gro
es vi
p. 39 Det de l'�acti e
ts s i g n i f icatifs d
ai
p. 39 Fl�'exercice incilepsales
d e s pr
ésumé omptab
p. 40 Rméthodes c e tes
miesss aciorm
d u C om l p
R
a p p ort mptes sur
p. 54 aux Cliodés
conso
34_35 états financiers
Gains et pertes sur instruments financiers de couverture nets d’impôt 142 (478)
Pertes actuarielles nettes d'impôt 55 (47)
Produits et charges comptabilisés directement en capitaux propres 147 (525)
Au 31/12/2008 109 253 747 156 5 669 82 115 907 454 116 361
Résultat de l’exercice 104 804 104 804 (13) 104 791
Gains et pertes comptabilisés (525) (525) (525)
directement en capitaux
propres
Autres variations 17 17 17
Au 31/12/2009 109 253 747 (369) 110 473 99 220 203 441 220 644
Résultat de l’exercice 16 669 16 669 (111) 16 558
Gains et pertes comptabilisés 147 147 147
directement en capitaux
propres
Variations de périmètre 0 0
Autres variations (52) (52) (52)
Au 31/12/2010 109 253 747 (222) 127 090 99 236 967 330 237 297
38_39 états financiers
Ajustements pour
Bénéfices/Pertes liés à la vente d’immobilisations corporelles et incorporelles (1 183) (318)
Amortissement et perte de valeur des immobilisations corporelles et incorporelles 34 664 36 619
Revenus d’intérêts (118) (922)
Charges d’intérêts 33 429 40 882
Divers éléments de résultat n’impliquant pas de mouvement de trésorerie (9) (405)
Flux de trésorerie des activités opérationnelles avant les changements 94 970 79 429
du fonds de roulement et des provisions
Flux de trésorerie liés aux activités d’investissement (43 609) (44 646)
Dividendes versés aux actionnaires de la société mère 6
Dividendes versés aux minoritaires des filiales consolidées (20)
Intérêts payés (16 167) (21 835)
Intérêts reçus 97
Émissions d’emprunts 4 891 (1 181)
Remboursements d’emprunts (19 942)
Autres flux provenant des activités de financement (13)
Flux de trésorerie liés aux activités de financement (31 149) (23 016)
3. faits siGnificatifs
De L’eXercice
Les faits significatifs de l’exercice sont détaillés dans la partie contexte général du rapport de gestion.
40_41 états financiers
Auparavant, le résultat opérationnel de l’activité ventes Les impacts chiffrés, pour l’exercice 2009, sont détaillés ci-après.
de matériel était présenté en net sur la ligne « Autres produits
et charges du Siège ».
Filiales
4.2 Base de prÉparation Les sociétés sur lesquelles Financière Quick exerce un contrôle
des États Financiers exclusif sont consolidées par intégration globale. Le contrôle
exclusif est présumé exister lorsque la société mère détient,
Les états financiers consolidés sont établis selon la conven- directement ou indirectement, le pouvoir de diriger les poli-
tion du coût historique, à l’exception de certaines catégories tiques financières et opérationnelles d’une entreprise de
d’actifs et passifs, conformément aux principes préconisés manière à tirer avantage de ses activités. Les filiales sont
par les normes IFRS. Les catégories concernées sont men- incluses dans le périmètre de consolidation, à compter de la
tionnées directement dans les notes. Les principes et règles date à laquelle le contrôle est transféré effectivement au
comptables sont appliqués de manière cohérente et perma- Groupe ; les filiales cédées sont exclues du périmètre de conso-
nente dans le Groupe. lidation, à compter de la date de perte de contrôle.
Les états financiers consolidés sont préparés pour l’exercice Le Groupe comptabilise les participations dans lesquelles il
comptable se terminant au 31 décembre 2010 et sont présen- exerce le contrôle exclusif selon la méthode de l’intégration glo-
tés après affectation de résultat décidée par l’Assemblée bale : les actifs, passifs, produits et charges de la filiale sont
Générale. intégrés à 100 %, et la quote-part des capitaux propres et du
bénéfice net attribuable aux actionnaires minoritaires est
présentée distinctement en intérêts minoritaires au bilan et
au compte de résultat consolidés.
4.3 recours à des estimations
Participations dans les coentreprises
Pour établir ses comptes, la direction du Groupe Quick doit Les coentreprises sont les participations de Financière Quick
procéder à des estimations et faire des hypothèses qui affec- dans lesquelles le pouvoir de diriger les politiques financières
tent la valeur comptable des éléments d’actifs et de passifs, des et opérationnelles est contractuellement partagé avec une ou
produits et charges, ainsi que des informations en notes plusieurs parties dont aucune n’exerce seule le contrôle exclu-
annexes. sif. Le Groupe comptabilise ses participations dans les entités
contrôlées conjointement, selon la méthode de l’intégration
La direction du Groupe procède à ces estimations et apprécia- proportionnelle : les quotes-parts du Groupe dans tous les
tions de façon continue sur la base de son expérience passée actifs, passifs, produits et charges de l’entité contrôlée conjoin-
ainsi que de divers facteurs jugés raisonnables qui constituent tement sont intégrées ligne à ligne dans les états financiers
le fondement de ces appréciations. consolidés.
Certains faits et circonstances pourraient conduire à des chan- Les transactions intragroupes sont éliminées en consolidation.
gements de ces estimations ou hypothèses, ce qui affecterait la
valeur des actifs, passifs, capitaux propres et résultats du Groupe.
4.4 mÉthodes
de consolidation
Les états financiers consolidés intègrent les comptes de Financière
Quick S.A.S. et de ses filiales et coentreprises.
La liste des principales filiales et coentreprises du Groupe est
présentée dans la note 33 de l’annexe aux comptes consolidés.
4.5 mÉthodes de conversion Les produits de l’activité sont regroupés dans la rubrique du
des ÉlÉments en devises compte de résultat « Ventes et produits de franchise ». Ce
solde correspond au total des éléments suivants :
Les états financiers consolidés sont exprimés en milliers d’euros,
l’euro étant la devise de présentation du Groupe. • les produits des ventes en direct dans les restaurants
exploités en propre
Transactions en devises Il s’agit des ventes hors taxes enregistrées par chaque caisse
Les transactions effectuées en monnaies étrangères par les dif- des restaurants exploités en compagnie, par opposition aux
férentes entités du Groupe sont converties au cours de change restaurants exploités en franchise.
en vigueur à la date de la transaction.
• les produits de franchise
Les actifs et passifs monétaires libellés en monnaies étrangères Les produits de franchise comprennent les redevances de
sont convertis au taux de change en vigueur à la date de clô- marque, les loyers immobiliers et de location-gérance, les
ture. Les écarts de conversion constatés sont comptabilisés abandons de loyers et les provisions d’indemnités versées en
dans le compte de résultat. fin de contrat de location-gérance avec investissement (LGAI).
États financiers libellés en monnaies étrangères - Les redevances de marque correspondent à un pourcentage
Les états financiers des filiales, entreprises associées ou coen- du chiffre d’affaires (taux de base de 5 %) facturé aux fran-
treprises dont la monnaie fonctionnelle n’est pas l’euro sont chisés au titre de l’exploitation de la marque Quick.
convertis au taux de change en vigueur à la clôture de la période
pour le bilan et au taux de change moyen mensuel pour le - Les loyers immobiliers et de location gérance correspondent à
compte de résultat. Les écarts de conversion qui en découlent un pourcentage du chiffre d’affaires facturé à chaque franchisé
sont comptabilisés dans la rubrique « Écarts de conversion » des au titre de l’occupation des locaux (loyers immobiliers et de
capitaux propres. location-gérance) et du droit au bail (pour la location-gérance).
Les contrats de franchise sont de différentes natures (franchise
totale, franchise partagée, location-gérance, location-gérance
4.6 comptaBilisation avec investissement). Le pourcentage reversé dépend de la
des produits nature du contrat.
La provision est calculée sur une durée moyenne de contrat 4.7 comptaBilisation
estimée à dix-huit ans (ce résultat tient compte d’un renouvel- des charges
lement quasi systématique du premier contrat) en tenant
compte d’un taux d’actualisation de 8,5 %. Les charges d’intérêts
Tous les intérêts et coûts liés aux emprunts sont comptabilisés
• le chiffre d’affaires Publicité nationale en charges dès qu’ils sont encourus. Les charges d’intérêts pro-
Il correspond à la facturation aux franchisés de la participa- venant des contrats de location-financement sont enregistrées
tion au budget de publicité nationale. Il s’agit d’un pourcen- dans le compte de résultat selon le taux d’intérêt implicite du
tage de leur chiffre d’affaires sur la base de 4,5 %, pour les contrat.
franchisés France, et de 5,25 % pour le Belux.
Les charges liées aux baux d’exploitation
• le chiffre d’affaires Logirest Les charges liées aux baux d’exploitation sont comptabilisées
Le chiffre d’affaires Logirest correspond aux ventes de mar- en résultat de manière linéaire sur toute la durée du bail.
chandises et de matériel facturées par Logirest France et
Logirest Belux aux restaurants en franchise.
4.8 avantages au personnel
Les produits d’intérêts
Les produits d’intérêts sont inscrits dans le compte de résultat Les avantages postérieurs à l’emploi accordés par le Groupe
prorata temporis, compte tenu du taux d’intérêt effectif du varient en fonction des obligations légales et de la politique
placement. locale en la matière.
Les modifications d’hypothèses actuarielles, ou la différence La loi de finances pour 2010 a supprimé la taxe professionnelle
entre ces hypothèses et la réalité, génèrent des écarts actua- et l’a remplacée par deux nouvelles « contributions » :
riels qui sont reconnus en capitaux propres.
• la cotisation foncière des entreprises (CFE), assise sur les
Accord d’intéressement valeurs locatives foncières de l’ancienne taxe professionnelle ;
Un accord d’intéressement d’entreprise a été signé en 2009 • la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE),
pour une durée de trois exercices. Il prévoit le versement d’un assise sur la valeur ajoutée des comptes sociaux.
intéressement à ses bénéficiaires en fonction de l’atteinte de
certains critères de performance du Groupe. Le Groupe a considéré que ce changement conduisait, en réa-
lité, à remplacer l’ancienne taxe professionnelle par deux nou-
velles contributions de nature différente :
4.9 impÔts
• la CFE, dont le montant est fonction des valeurs locatives fon-
Les impôts sur le résultat de la période regroupent les impôts cières et qui peut, le cas échéant, faire l’objet d’un plafonne-
courants et les impôts différés. Ils sont comptabilisés dans le ment à un pourcentage de la valeur ajoutée, présente des
compte de résultat, sauf s’ils portent sur des éléments enregis- similitudes importantes avec l’ancienne taxe professionnelle et
trés directement en capitaux propres, auquel cas ils sont, eux est comptabilisée comme celle-ci en charges opérationnelles ;
aussi, comptabilisés dans les capitaux propres. • la CVAE qui, selon notre analyse des textes, répond à la défini-
tion d’un impôt sur le résultat telle qu’énoncée par l’IAS 12.2
Les impôts courants désignent les impôts à payer sur le béné- (« Impôts dus sur la base des bénéfices imposables »), dans la
fice imposable de la période, calculés selon les taux d’imposi- mesure où la valeur ajoutée constitue le niveau de résultat qui
tion en vigueur à la date de clôture du bilan, ainsi que les sert systématiquement de base, selon les règles fiscales fran-
ajustements relatifs aux périodes antérieures. çaises, à la détermination du montant dû au titre de la CVAE.
Pour conduire son analyse, la société a notamment pris en
Les actifs et passifs d’impôt différé doivent être évalués sur la considération les décisions de rejet formulées par l’IFRIC à deux
base des taux d’impôt dont l’application est attendue sur l’exer- reprises sur la question du champ d’application de la norme
cice au cours duquel l’actif sera réalisé ou le passif réglé, et sur la IAS 12, « Impôts sur le résultat ». L’IFRIC a, en effet, précisé à ces
base des taux d’impôt (et des réglementations fiscales) qui ont occasions que, pour être dans le champ d’IAS 12, un impôt doit
été adoptés, ou quasi adoptés, à la date de clôture. être calculé sur la base d’un net de produits et de charges et que
ce montant net peut être différent du résultat comptable.
Les actifs d’impôt différé sont comptabilisés dans la mesure où
il est probable que la différence temporelle s’inversera dans un Les impôts différés ainsi calculés ont conduit à la comptabilisa-
avenir prévisible et qu’il existera un bénéfice imposable sur tion d’une charge nette de 200 milliers d’euros comptabilisée
lequel pourra s’imputer la différence temporelle. en passif d’impôt différé.
46_47 états financiers
Les amortissements des immobilisations corporelles sont cal- dans la limite de la perte de valeur initialement comptabili-
culés suivant la méthode linéaire en fonction de la durée sée, réduite des amortissements qui auraient été sinon
d’utilité estimée. Les durées d’utilité sont revues à chaque comptabilisés. En revanche, les pertes de valeur enregistrées
clôture. au titre des goodwills sont irréversibles.
Les durées d’utilité estimées des immobilisations corporelles Le Groupe a effectué des tests de dépréciation de ses actifs à
sont les suivantes : trois niveaux :
• constructions : vingt ans ; 1) les UGT identifiées au niveau du Groupe Quick comme
• aménagements : huit ans ; étant le restaurant, qu’il soit exploité en propre ou en
• matériels et mobiliers de restaurants : cinq ans ; franchise. La valeur recouvrable d’une UGT correspond à
• autres immobilisations corporelles : cinq ans. ses flux de trésorerie futurs après impôt et actualisés, établis
sur cinq ans avec valeur terminale ;
2) la marque, testée sur la base de flux de trésorerie futurs
4.14 dÉprÉciation d’actiFs qu’elle devrait générer pour le Groupe si tous les restau-
rants étaient exploités en franchise ; cela suppose l’utilisa-
Le Groupe apprécie, à chaque fois que des événements ou tion d’une structure forfaitaire de frais centraux ;
circonstances significatifs, internes ou externes, se produi- 3) le Groupe, c’est-à-dire l’ensemble de ses actifs immobilisés
sent, si une perte de valeur est susceptible d’avoir affecté les incluant le goodwill non affecté, la marque et l’ensemble des
goodwills, les autres immobilisations incorporelles, les immo- autres immobilisations corporelles et incorporelles. Le test
bilisations corporelles et les immobilisations en cours. En compare les flux de trésorerie futurs actualisés, établis sur
outre, les goodwills, les immobilisations incorporelles à durée cinq ans avec valeur terminale, avec la valeur bilancielle des
d’utilité indéterminée et les immobilisations en cours sont actifs cités ci-dessus.
soumis annuellement à un test de perte de valeur.
Les trois tests sont indépendants, chacun d’entre eux permet-
Ce test de perte de valeur consiste à comparer la valeur recou- tant de tester une classe d’actifs.
vrable de l’actif – ou de l’unité génératrice de trésorerie
(UGT) – à laquelle il est affecté à sa valeur comptable.
4.15 contrats de location
La valeur recouvrable d’un actif est la valeur la plus élevée
entre sa valeur d’utilité et sa juste valeur, diminuée des coûts Les contrats de location sont classés en tant que contrats de
de la vente. location-financement si la quasi-totalité des risques et des
La valeur d’utilité des actifs auxquels il est possible de ratta- avantages inhérents à la propriété sont transférés au Groupe.
cher directement des flux de trésorerie indépendants est
déterminée individuellement. Les autres actifs sont regrou- Les contrats de location, en vertu desquels la quasi-totalité
pés au sein de l’UGT à laquelle ils appartiennent afin de des risques et des avantages inhérents à la propriété est
déterminer la valeur d’utilité du groupe d’actifs. Une UGT conservée par le bailleur, sont classés en tant que contrats de
est définie comme le plus petit groupe d’actifs dont les flux location simple.
de trésorerie sont largement indépendants de ceux générés
par d’autres actifs ou groupes d’actifs. La valeur d’utilité cor-
respond à la valeur actualisée des flux de trésorerie futurs
estimés attendus de l’utilisation d’un actif ou d’une UGT.
Location-financement Location-financement
Les contrats de location-financement sont comptabilisés Le bailleur doit comptabiliser dans son bilan les actifs détenus
initialement à l’actif et au passif pour des montants égaux à en vertu d’un contrat de location-financement et les présenter
la juste valeur du bien loué ou, si celle-ci est inférieure, à la comme des créances pour un montant égal à l’investissement
valeur actualisée des paiements minimaux dus au titre de net dans le contrat de location.
la location. Le taux d’actualisation à utiliser pour calculer la Dans un contrat de location-financement, le bailleur transfère
valeur actualisée des paiements minimaux est le taux d’inté- la quasi-totalité des risques et des avantages inhérents à la pro-
rêt implicite du contrat de location si celui-ci peut être priété légale ; en conséquence, il comptabilise le paiement à
déterminé ; sinon, le taux d’emprunt marginal du preneur recevoir au titre de la location en remboursement du principal
doit être utilisé. Les coûts directs initiaux encourus par le et en produits financiers pour se rembourser et se rémunérer
preneur sont ajoutés au montant comptabilisé en tant de son investissement et de ses services.
qu’actif.
Location simple
Ultérieurement à la comptabilisation initiale, les paiements Les actifs faisant l’objet de contrats de location simple doivent
minimaux dus au titre de la location doivent être ventilés être présentés au bilan du bailleur selon la nature de l’actif. Les
entre la charge financière et l’amortissement du solde de la revenus locatifs provenant des contrats de location simple doi-
dette. La charge financière doit être affectée à chaque vent être comptabilisés en produits de façon linéaire sur toute
période couverte par le contrat de location, de manière à la durée du contrat de location, à moins qu’une autre base sys-
obtenir un taux d’intérêt périodique constant sur le solde tématique ne soit plus représentative de l’échelonnement
restant dû au passif au titre de chaque période. Par ailleurs, dans le temps de la diminution de l’avantage retiré de l’utilisa-
les actifs loués sont amortis selon une méthode d’amortisse- tion de l’actif loué.
ment cohérente avec celle applicable aux actifs amortissables
que possède le Groupe. Les coûts directs initiaux encourus par les bailleurs lors de la
négociation et de la rédaction d’un contrat de location simple
Location simple sont ajoutés à la valeur comptable de l’actif loué et comptabi-
Les loyers provenant des contrats de location simple sont lisés en charges sur la période de location, sur la même base
comptabilisés en résultat sur une base linéaire sur la durée du que les revenus locatifs.
contrat de location. Les montants reçus ou à recevoir au titre
d’avantages au locataire afin de conclure l’accord sont égale- La méthode d’amortissement des actifs amortissables loués
ment comptabilisés en résultat sur une base linéaire sur la doit être cohérente avec la méthode normale d’amortissement
durée du contrat de location. du bailleur applicable à des actifs similaires.
50_51 états financiers
4.16 stocKs Le Groupe classe dans cette catégorie les participations dans
les sociétés sur lesquelles le Groupe n’exerce ni contrôle ni
Les stocks doivent être évalués au plus faible du coût et de la influence notables. Les actions de sociétés cotées sont
valeur nette de réalisation. Le coût des stocks comprend tous comptabilisées à leur juste valeur. Pour les actions de socié-
les coûts d’acquisition, coûts de transformation et autres tés non cotées, lorsque la juste valeur ne peut être détermi-
coûts encourus pour amener les stocks à l’endroit et dans née de façon fiable, les titres sont maintenus à leur coût
l’état où ils se trouvent. d’achat.
Les stocks du Groupe sont constitués principalement de Les actifs financiers disponibles à la vente font l’objet d’un
matières premières, de fournitures et de marchandises. suivi individuel de dépréciation : en cas d’indication objective
d’une dépréciation, une perte de valeur irréversible est enre-
gistrée en résultat.
4.17 actiFs Financiers
Les prêts et créances
Les actifs financiers du Groupe sont constitués des créances
financières et autres actifs non courants, des créances Ces actifs financiers sont initialement comptabilisés à leur juste
commerciales, de la trésorerie et des équivalents de trésore- valeur, majorée des coûts de transaction directement attri-
rie. Ces actifs financiers, hormis les instruments financiers buables, puis au coût amorti lors de chaque clôture, en appli-
dérivés, sont répartis dans les quatre catégories définies par quant la méthode du taux d’intérêt effectif.
la norme IAS 39, « Instruments financiers : Comptabilisation
et évaluation » (cf. note 30 de l’annexe aux comptes consolidés). Cette catégorie inclut les créances commerciales, les dépôts et
Leur traitement comptable diffère selon le classement : cautionnements, les créances rattachées à des participations,
la trésorerie.
Les actifs financiers disponibles à la vente
Les prêts et créances font l’objet d’un suivi d’indication objec-
Ces actifs sont comptabilisés initialement à leur juste valeur, tive de dépréciation. Un actif financier est suivi individuelle-
qui correspond au coût d’acquisition majoré des coûts de ment et est déprécié si sa valeur comptable est supérieure à sa
transaction. Lors des clôtures ultérieures, ces actifs sont éva- valeur recouvrable estimée lors des tests de dépréciation. La
lués à leur juste valeur. Les variations de juste valeur sont perte de valeur éventuelle est enregistrée en résultat et peut
enregistrées dans les capitaux propres et ne sont reprises en être reprise si la valeur recouvrable est amenée à évoluer favo-
résultat que lors de la cession des actifs considérés. rablement sur les exercices suivants.
Ces actifs sont évalués à leur juste valeur avec inscription des
variations de juste valeur en résultat. Cette catégorie recouvre :
Ces deux emprunts obligataires convertibles ne génèrent pas - à une transaction future hautement probable,
de paiement d’intérêts ayant un impact sur la trésorerie ; les - ou à un engagement ferme pour une couverture de risque
intérêts sont capitalisés une fois par an à la date anniversaire. de change.
Ces intérêts ont été capitalisés pour la première fois au À la date de mise en place d’une opération de couverture, le
19 janvier 2008, pour des montants respectifs de 4 055 mil- Groupe désigne de manière formelle l’instrument financier
liers d’euros et 4 756 milliers d’euros. Au 19 janvier 2009, auquel sera appliquée la comptabilité de couverture et docu-
ils ont été capitalisés pour des montants respectifs mente la relation de couverture et l’efficacité de la relation de
de 4 478 milliers d’euros et 5 253 milliers d’euros. Au couverture par la réalisation de tests d’efficacité, dès l’initia-
19 janvier 2010, ils ont été capitalisés pour des montants tion et de manière continue durant tous les exercices pour les-
respectifs de 4 920 milliers d’euros et 5 771 milliers d’euros. quels la couverture a été désignée.
Le porteur de ces obligations a la possibilité de les convertir en Les instruments de couverture satisfaisant aux critères de
actions à la date d’échéance ou lors d’un changement de comptabilité de couverture sont comptabilisés de la façon
contrôle, si le taux de rentabilité interne (TRI) global sur l’opé- suivante :
ration d’investissement n’a pas atteint un certain seuil.
• couverture de juste valeur : les variations de juste valeur de
Ces emprunts obligataires convertibles sont comptabilisés en l’instrument de couverture et de l’élément couvert sont
tant que passifs financiers au coût amorti sans composante comptabilisées de manière symétrique dans le compte de
dans les capitaux propres puisque, selon les meilleures estima- résultat de la période. L’instrument de couverture et l’élé-
tions du Groupe basées sur son plan à moyen terme, il n’y aura ment couvert sont comptabilisés au bilan pour leur valeur de
pas de conversion. marché ;
• couverture de flux de trésorerie : le profit ou la perte, nets
d’impôts relatifs à la partie efficace de l’instrument de cou-
4.19 instruments Financiers verture, sont comptabilisés en capitaux propres, et la partie
dÉrivÉs
En application de la norme IAS 39, « Instruments financiers :
Comptabilisation et évaluation », les instruments financiers
dérivés sont comptabilisés à leur juste valeur.
4.20 provisions
Une provision est constituée lorsque le Groupe a une obliga-
tion juridique ou implicite, à la date de clôture :
Endettement net
L’endettement net correspond à la somme des dettes finan-
cières non courantes et courantes, diminuée de la trésorerie
active.
EBITDA
Cet agrégat correspond à l’EBIT, augmenté des amortissements.
54_55 états financiers
rapport Du coMMissaire
auX coMptes sur Les coMptes
consoLiDÉs
Les comptes ont été certifiés par notre commissaire
aux comptes Deloitte Marque & Gendrot,
représenté par Monsieur Christophe Perrau.
ContaCts
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Parc de B-2600 Be rchem
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50, aven or tes de Paris 18 11
u – Tél. : + 32 (0)3 286
La Plain e du Président Bât. 123 28 6 18 79
e Saint- Wilson Fax : + 32 (0)3
F-93214 Denis C
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Tél. : + 3
3 (0)1 4 Siège social
Fax : + 3 9 bte 11
3 (0)1 4 51 65 62 Avenue Louise 65
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Tél. : + 33 (0)1 49 51 65 47 F-9321 e Saint-Den nt Wilson
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Fax : + 33 (0)1 49 51 65 65 Tél. : + ex
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Belgique Fax : + 3 (0)1 49 51
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Tél. : + 32 (0)3 286 18 66 1 49 51 64 64
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Fax : + 32 (0)3 286 18 79
International
Tél. : + 33 (0)1 49 51 65 67
Fax : + 33 (0)1 49 51 65 65
INFORMATIONS Servic
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Secrétariat du Prés Servic
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Tél. : + 33 (0)1 49 51 65 62 e cons 70 80 87 55 rance
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Tél. : + 33 (0)1 49 51
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Fax : + 33 (0
Comm un ica tio n
64 61
Tél. : + 33 (0)1 49 51
49 51 65 65
Fax : + 33 (0)1
Financière Quick S.A.S.
Parc des Portes de Paris – Bât. 123
50, avenue du Président Wilson
93214 La Plaine Saint-Denis Cedex
France
RCS Bobigny B452 430 416