DE
Sratotctum KouufUc.
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A. SAUTELET ET C° m CHARLES GOSSELIN
lltllilIlES-ilIlTBORS. "
' MDCCC KXVII.
H.FOUBWIHl
IMI'UlUblR.
OEUVRES COMPLETES
DE
TOME TRENTE-HUITIÈME.
IMPRIMERIEDE H. FOURNIER,
RUEDESEIHE,K° ï4.
LE MONASTERE.
TOME TROISIEME.
(W()e Mlonasttvr).)
LE MONASTERE.
(tl)c iitoimstoi). )
CHAPITRE XXVI.
" Queveutdirececi?
» Onn'ycomprend
plusrien;chacun devousici
» A-l-il
doncdeCU'Cc
bulacoupe a
falale?
SIIAKSPEARK.
LaComédiedesméprises.
HCejugement, mesemble
Bhcriff, rigoureux.
» Moi,d'unsangillustre
pardenobles aïeux,
" Distingué
parmonrangcomme parmariebesse
,
» Jeseraisdétenu
danscetteforteresse,
» Pourrépondred'unserfvil,obscur,
inconnu
,
» Quipourtoutbienenfinn'apasunquartd'écu!»
Anciennecomédie.
« Ilestenliberté
! c'està moiqu'illedoit1
HLesloisdem'enpunirpeut-être aurontledroit:
» Hlais
qu'importe?monnomvivradansla mémoire
i>D'unsexequineveutd'autre titreàlagloire
n Qu'uncoeurcompatissant clpleind'humanité.
a Jepériraimartyr,efnonsansFermeté, n
Leslieuxnoblespai'evs.
«Eliquoi1sepourrait-il ici]
qu'ilmelaissât
>iS'ilétaitassez
vilpourenagirainsi,
» Quelle ?«
filleentonscieauraitdoncconfiance
tei deuxnobles
pareils.
«Vous unmauvais
l'appelez ange,
n Etpeut-être
avezvous raison
;
* Pourmoicelaniesemble étrange,
» Carvoilàlepremierdémon
" Quiguideceluiqu'ilconseille
« Danslessentiers
duvraibonbi-ur. .
Anonyme.
» Ilétaitautrefois
monamidecollège ;
i C'était
ungarçon studieux.
sage,appliqué,
>Lorsque sescompagnonsnesongeaient
qu'àleursjeur,
Ilnerêvaitqu'étude
, etmêmeauréfectoire
Il songeait
autravail
plusqu'àmanger etboire.»
Anciennecomédie.
Ogranbonla
deicavatieri
anliqui,
Erano eran'defidedieersa..
nemici,
« Sanslarderprenonslesenlier
» Quiconduità cemonastère;
DLà, sousun vêtement grossier,
» Je pourraivivreensolitaire;
» Oubliantlàîousmessoucis,
» Sije penseencoreà matelle,
n Ceseraprèsdu cruciûx,
> Eninvoquantlecielpourelle.»
LaCruetledesmontagnes.
DepuisWiglonjusqu'aupieddel'Ajr,
Etsouslesiinirsrochers
deCrie,
sumaintenir
Nuln'cspi;rc
S'ilnesertpassaintKennedie.
y L'Église
asescanons etsonartillerie;
» Maisquelfaiblesecours
contrel'infanterie
n Quicontreelleencejouroseleverlebras!
» Fondez
vosvases d'or,soudoyez dessoldats,
» Ouvrez-leur
voscelliers,
qu'ilsy fassent
bombance,
» Leursmainssauront »
alorsprendrevotredéfense.
Ancienne comédie.
» Panser lal'.vi.leài.ilus'
« Nel'utrien|ionrci-jeunefini,
. Etdèsim'ilfutMil- Ii-livide,
« Il (jrilsesjambes àsoucou..
(.île,JluiTiVe.
« Quandleterrible
crideguerre
n Estauloinporté
parlevent-,
» L'épouvante
marcheenavant,
«
» Etlamortlasuitpar-derrière.
PEXKOSE.
Lapaixestfaite,ilfautsonger
aumariage.
SHAXSNURE.
LeroiJean.
VIN DUMONASTEHE.
Ici finit la première partie du manuscrit du Bénédic-
tin. J'ai vainement cherché à fixer l'époque précise de
l'histoire ; car les dates ne peuvent exactement s'accorder
avec celles des historiens les plus accrédités. Maisil est
étonnant combien les écrivains d'Utopie sont indiffé-
rens sur ces objets iinportans. J'observe que l'érudit
M. Laurence Templeton, dans sa dernière publication
intitulée IVANHOE, a non-seulement attribué à Edouard
le Confesseurune postérité inconnue à l'histoire, mais
encore, sans compter d'autres solécismes, a interverti
l'ordre de la nature, et nourri ses pourceaux avec des
glands au milieu de l'été:
Tout ce que peuvent alléguer les plus ardens admi-
rateurs de cet auteur se réduit à,ceci : que les événe-
mens critiqués sont aussi vrais que le reste de l'histoire,
ce qui me paraît à moi (surtout au sujet des glands)
une réfutation bien imparfaite ; l'auteur fera sagement
de profiter de l'avis du capitaine ABSOLU (I) à son valet,
et de ne plus faire de mensongesque ceux qui lui seront
indispensablement nécessaires.
de comédie.
{l) Personnage
',.-OEUVRES COMPLÈTES •':.:î.
'":• -.'>:.':.'. D*"'-"''??y~.'" .~!-'\
SIR 1&ÀfcT£ft| SCOTT-