Sujet 

:<< comment faire pour développer le secteur l’agriculture, pêche et

l’élevage en RDC.
Certes, la croissance économique accompagné d’une amélioration du bien être
matériel à l’intérieur d’un pays, implique l’amélioration de l’autosuffisance
alimentaire de service sanitaire de base. Le secteur primaire regroupe
l’ensemble des activités qui consiste en une exploitation de ressources
naturelles en République démocratique du Congo. Est-il possible d’apporter
des solutions face à cette situation ? Quelles sont les dispositifs que l’état doit
mettre en place pour une bonne croissance ? Dans les lignes qui suivent, nous
tenterons de répondre
En effet, il est vrai que l’économie de la RDC est très spécialisée, largement
dépendante du secteur minier 95 % des ses exportations sont des matières
premières. La population souffre du jour au lendemain, parce que l’état
congolais n’a pas de bonnes initiatives pour parvenir à satisfaire d’abord les
besoins primaires, ce qui devient une contrainte pour son évolution.
Effectivement, les fermiers congolais pratiquent encore l’agriculture de
substance a fin de satisfaire les besoins de la famille et du marché local. Et
pourtant, la RDC possède près de 90% des terres cultivables qui ne sont pas
valorisées, selon le fonds des nations unies pour l’agriculture et l’alimentation
(FAO) ces terres fertiles une fois utilisées à bon escient peuvent assurer
l’autosuffisance alimentaire des congolais et des pays étrangers. Pour un
accroissement soutenu de la production alimentaire, pour ce faire, il faudra
organiser des activités d’éducation, adapter des mesures d’incitation
économiques et promouvoir des technologies nouvelles appropriées de
manière garantir une offre stable de denrées alimentaires d’une valeur
nutritive adéquate, aux qu’elles les groupes vulnérables auront accès et
permettant une production commerciale, créer des emplois et des revenus
pour réduire la pauvretés en République Démocratique du Congo. De manière
globale, le secteur agricole congolais est confronté à de nombreux contraintes
d’ordre technique, économique et constitutionnel, qui entravent son
développement et plonge les populations dans une situation d’insécurité
alimentaire et nutritionnelle aiguë.
En outre la production locale de pêche de capture ne correspond,
généralement pas à la forte demande de cette denrée dans les grandes villes de
la République démocratique du Congo. les commerçants recouvrent pour
pallier contre cette faible production à l’importation des poissons surgelés dont
la qualité et les normes de conservation laissent parfois à désirer. Pourtant la
République démocratique du Congo possède des cours d’eau très poissonneux
et les espaces où l’on peut aisément développer l’élevage des poissons.
Du reste l’élevage est une activité économique, qui participe à plusieurs égards
au développement des territoires et à la bonne santé de populations. C’est une
activité, en ce qui concerne le petit bétail, est pratiquée depuis la nuit de
temps. Ce processus de domestication à joué un rôle vital dans le
développement des civilisations humaines. Cela étant avec l’instauration de
l’élevage du gros bétail notamment des bovins vers les années 1950, une partie
des terres Noguères destinées à l’agriculture ont été soustraites en vue de
servir des pâturages pour les bovins. Par ailleurs l’extension de l’élevage dans
certains contrées à eu pour effet de réduire les rendements agricoles des
contrées d’exploitation, d’entraîner de dégradation de la nature (champs
piétinés ou détruits, brousses, prairies, sources d’eau, savanes) et la
recrudescence des conflits entre éleveurs et cultivateurs. L’état congolais doit
mettre en place, la création d’un centre d’excellence des recherches pour
l’amélioration de la productivité Animale.
En somme, l’état congolais doit disposer un budget pour le secteur primaire,
nous aurons plus des matériels et l’industrialisation de tout ces secteurs la
sensibilisation de la population pour une prise de conscience, veiller à
promouvoir la consommation locale, aménager des routes descentes, en fin
d’encourager la population ruraux d’augmenter la production, la création des
parcs agro-industrielles cela couvrira le chômage car, nous aurons plus des
mains d’œuvres.