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Assurance
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I NTRODUCTION: ……………………………………………………………. …..3
CONCLUSION : …………………………………………………………..………24
R EFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES : ……………………………………………...25
) Utile
* Inutile
INTRODUCTION :
s’intégrer dans le monde de travail tout en acquérant des nouvelles connaissances dans le
d’effectuer un stage afin d’appliquer les enseignements qui lui ont été prodigués.
Comme plan, j’ai devisé mon rapport en quatre parties : La première relatera les
OFPPT
-lianz(Al
OU
Assurance El Guezzane
El Mokhtar El Guezzane
Agent Général Allianz Maroc
21 rue du Caire 1er étage. (Rte Boudir.
En face Mosquée Mly El Hassan)-60000-Oujda.
05 36 68 17 00-GSM3
: 06 67 61 52 63
er
21 Agent
rue du Général
Caire 1 étage.
Allianz(Rte Boudir.
Maroc
El Mokhtar El Guezzane
I. face
En LEMosquée
SECTEUR Mly El Hassan)-60000-Oujda.
D’ASSURANCE AU MAROC :
A. DEFINITION DU Assurance
05 36 68 «17
CONCEPT El: »Gue
00-GSM
ASSURANCE i
06. 67zzane
61 52 63
prestation par une autre partie, l’assureur, qui prenant en charge un ensemble de risques, les
Etre aléatoire et incertain dans sa survenance et dans sa date.
!
Hémard :
à ceux des autres
- Le
!
risquepeut indemniser ceux qui auront été sinistrés. L’ensemble des personnes
: est l’événement dommageable contre l’arrivée duquel on recherche à se
assurées contre un même risque et qui cotisent mutuellement constituent une mutualité.
!
prémunir. Les caractères du risque assurable sont :
Etre futur
Etre aléatoire et incertain dans sa survenance et dans sa date.
L’arrivé de l’événement ne doit pas dépendre de la volonté de l’ assuré.
: la contribution qui verse à l’assureur en échange de la garantie qui lui
- La prime
i : Définition du concept de l’assurance : mémoire Loubna OUAKKAF. (Voir bibliographie).
accordé. Elle est payable au d début de l’opération
4
d’assurance ou de l’année d’assurance.
- La prestation de l’assureur : l’engagement pris par l’assureur en cas de réalisation du
risque. Consiste à verser une prestation. Il s’agit d’une somme d’argent destinée soit au
souscripteur (celui qui signe la police et paie les primes) ou assuré soit à un tiers ou soit à un
bénéficiaire.
- La compensation au sein de la mutualité : chaque souscripteur verse sa prime sans
savoir si lui ou un autre qui en bénéficiaire, mais conscient du fait que grâce à ses versements et
à ceux des autres peut indemniser ceux qui auront été sinistrés. L’ensemble des personnes
assurées contre un même risque et qui cotisent mutuellement constituent une mutualité.
i
Le secteur des assurances fait partie des secteurs introduits au Maroc à la suite de
l’activité maritime qui a permis
l’émergence d’agences des compagnies d’assurances étrangères
dans les principaux ports marocains au cours du XIXe siècl e.
Pendant longtemps, au Maroc l’opération d’assurance a été considérée comme
immorale car elle développait la négligence et la notion de pari. Elle a été rejetée par le système
juridique islamique, hormis les impératifs du développement économique. L’assurance n’a pu
voir le jour qu’après l’avènement du protectorat, d’une part par l’élimination des sociétés façades
Le
Historique sur le secteur d’assurance au Maroc :
Lessecteur des assurances
premières fait partie étaient
sociétés d’assurance des secteurs introduits au
des compagnies Maroc à qui
étrangères la suite de
travaillaient
l’activité maritime qui a
permis l’émergence d’agences des compagnies d’assurances étrangères
dans l’assurance maritime, et ce n’est qu’après, que cette activité a pu généraliser pour toucher
dans les principaux
d’autres
Transférer pour télécharger
secteurs. Laports marocains au
transplantation de cours
part, par l’arrivée des étrangers, attirés par
du XIXe siècl
cette technique e.
au Maroc se justifie à l’origine d’une
les richesses du pays et l’abondance de ses premières
ainsi que Pendant longtemps,
les facilités au Maroc
administratives et l’opération
fiscales qued’assurance a été les
leur accordaient considérée
autoritéscomme
du protectorat,
immorale
et d’autre part, par la volonté de se prémunir contre les aléas de l’avenir. rejetée par le système
car elle développait la négligence
iii et la notion de pari. Elle a été
juridique islamique, hormis les impératifs du développement économique. L’assurance n’a pu
voir le jourEnqu’après
2004, lel’avènement
nombre des du protectorat, d’une partcette
par l’élimination des dont
sociétés façades
qui n’avaient
entreprises de sociétés que
commerciales le nom
et trois
entreprises
mutuelles. OU s’est
et qui enEtfait
ramené
en ne constituent
2016, le marché
année à dix -huit
que de simples
marocain
quinze
agences, et
d’assurances
d’autres parts et
compte vingt par la entreprise
une marocanisation entaméeetà de
s d’assurances partir de 1974. dont dix-sept entreprises
réassurance,
commerciales et quatre mutuelles.
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De même que le pouvoir d’achat limité de certaines couches de la population qui
considèrent l’assurance comme un produit de luxe, réservé aux marocains issus de la classe à
revenu élevé, constituaient en partie un véritable handicap au développement naturel du secteur.
documents dans leur intégralité.
Avec le temps, cette pratique a pu tisser une place dans la société marocaine.
Les premières sociétés d’assurance étaient des compagnies étrangères qui travaillaient
ii
iii
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