Le plus simple (quand cela est possible) est de lire la plaque signalétique du moteur. Si vous
souhaitez en savoir davantage à ce sujet, nous vous invitons à aller à la section Lire et
comprendre la plaque signalétique de mon moteur électrique.
Si la plaque est lisible, pour déterminer à l'identique le moteur électrique à remplacer vous avez
(au moins) besoin de connaître :
Dans un premier temps, il vous faudra choisir le type de moteur en fonction de sa tension
d’alimentation qui doit être compatible avec celle de votre réseau (Triphasé 230V/400V -
400V/600V ou Monophasé 230V).
Le moteur asynchrone doit être choisi pour fonctionner à puissance nominale, c’est à cette
puissance que le rendement du moteur est le meilleur.
Le démarrage d’un moteur asynchrone ne peut avoir lieu que si le couple moteur est à chaque
instant supérieur au couple résistant de la machine à entrainer. Le couple résistant d’une machine
définit l’effort que la charge mécanique oppose au maintien de sa mise en mouvement. Il
s’exprime en Newton mètre (Nm).
Le moteur monophasé
Le moteur monophasé sera davantage utilisé pour des applications domestiques ou de bricolages.
Il possède un couple de démarrage égal ou supérieur à 50% du couple assigné. Ce type de moteur
est parfaitement adapté à l'entraînement de machines dont le couple résistant au démarrage est
faible. Un outil idéal pour les perceuses à colonne, les pompes centrifuges, ou encore les
ventilateurs.
Le premier est utile pour les applications nécessitant un couple de démarrage égal ou supérieur à
50% du couple assigné. Le deuxième est destiné aux applications nécessitant un couple de
démarrage égal ou supérieur à 200% du couple assigné). Quand le moteur atteint environ 80% de
sa vitesse, le condensateur de démarrage est découplé par un coupleur centrifuge. Ces moteurs
sont parfaitement adaptés à l'entraînement de machines domestiques ou industrielles dotées d'un
couple résistant au démarrage important, comme les compresseurs, les bétonnières... En
revanche, le moteur monophasé ne peut pas assumer des puissances très élevées souvent
nécessaires dans le secteur industriel.
Le Marteau pilon MP60 avec compresseur incorporé, pour fabriquer tous types de pièces de forge
ornementale. Coup de 60kg. Les Marteaux pilon MP60 NARGESA sont fabriqués en tôle d'acier soudé et
usiné. On les utilise beaucoup dans le monde de la forge pour fabriquer toutes sortes de pièces pour la
ferronnerie ornementale, simplifiant le travail de moulage de fer chaud. Utilisant différents outils, ils
emboutissent, moulent, coupent, percent, assemblent, impriment, etc. tous types de métal.
CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES Le fonctionnement du Marteau pilon MP Nargesa se fait au moyen de
deux cylindres, un arrière et un frontal qui est celui qui actionne la tige pour donner le coup de frappe.
Le moteur du marteau actionne la biele du cylindre arrière ou compresseur et l'air comprimé passe dans
le cylindre avant à travers les valves qui contôlent la trajectoire de la frappe. Compresseur incorporé: ne
nécessite aucun compresseur externe. Châssis en acier soudé et usiné, pas en fonte. Système de
graissage automatique. Cylindres construits en GG2I pour un meilleur rendement. Cylindre orientable
pour faciliter le travail de l'ouvrier. Protection frontale pour les éclaboussures. Protection de la pédale
de mise en marche. Protection électrique dans le moteur. Arrêt d'urgence. Moules fabriqués en acier
spécial pour supporter de grands impacts à grandes températures. Grande variété d'outils, moules
interchangeables. Fabrication d'outils sur mesure. Poids nominal de la frappe: 60 Kg. Frappes par
minute: 220 Course maximale de la frappe: 230mm Capacité maximale de travail de travail en rond:
70mm Capacité maximale de travail en carré: 60x60mm Puisssance du moteur: 5,5 Kw Poids: 1200 Kg
Le Marteau pilon MP60 avec compresseur incorporé, pour fabriquer tous types
de pièces de forge ornementale. Coup de 60 kg.
Les Marteaux pilon MP60 NARGESA sont fabriqués en tôle d'acier soudé et usiné. On les
utilise beaucoup dans le monde de la forge pour fabriquer toutes sortes de pièces pour la
ferronnerie ornementale, simplifiant le travail de moulage de fer chaud. Utilisant différents
outils, ils emboutissent, moulent, coupent, percent, assemblent, impriment, etc. tous types de
métal. Tous les produits Nargesa sont conformes aux normes CE de fabrication de machines
industrielles.
Caractéristiques techniques
Le fonctionnement du Marteau pilon MP Nargesa se fait au moyen de deux cylindres, un
arrière et un frontal qui est celui qui actionne la tige pour donner le coup de frappe.
Caractéristiques techniques
Tous nos produits sont fabriqués dans nos installations en Espagne. Les composants
hydrauliques et électroniques sont complètement standards et des meilleures marques de premier
ordre europeen, avec service technique dans le monde entier: Rexroth, Bosch, Roquet,
Schneider Electric, LG, Telemecanique, Pizzato etc...
Un marteau-pilon est un imposant outil de forgeron propulsant avec force son marteau mobile sur
l'objet à façonné posé sur la base en enclume.
Cet outil peut être électrique, pneumatique, à force hydraulique, etc. Au XIXe siècle, il va grandement
facilité le travail pénible de la frappe manuelle au marteau et à l'enclume.
estiné à tous travaux de refoulement, d'étirage, de poinçonnage, de tranchage et de pliage des
métaux à chaud, de soudage, etc ... par forgeage libre sur tas plats ou de forme.
Ces marteaux sont primordiaux lorsque l'on recherche l’économie d'énergie et la qualité du
travail produit.
La transformation de l'énergie électrique en travaux de façonnage atteint des conditions
optimales avec ce type de matériel grâce à une grande vitesse de frappe.
Son système totalement mécanisé élimine les différentes causes de pannes et lui confère une
régularité de frappe indispensable pour la fabrication d'outils taillants. Ce martinet permettra de
gagner en productivité dans un atelier en facilitant le travail du ferronnier de manière
significative et réduisant les risques traumatiques dus à une utilisation prolongée d’un marteau
manuel.
Description
Caractéristiques
Résumé technique
Autres infos
Vidéo
Masse amovible
Chabotte massive
Sans lame de ressort (évite les pannes)
Actionnement par pédale au sol
Avec son "enclume bombée"
Description
Caractéristiques
Résumé technique
Autres infos
Vidéo
Marque : TYRO
Encombrement : 65 x 125 x h 160 cm
Alimentation : TRI/380V/50Hz
Puissance : ± 1,5 kW
Poids : ± 400 Kg
Résumé technique renseigné sur la base d'un modèle équivalent que nous avons déjà eut (des
variations de valeurs sont possibles).
Description
Caractéristiques
Résumé technique
Autres infos
Vidéo
P.G. : 2800 kg
Taille : 1600x950x1950mm
Forger est un art requirert beaucoup de savoir faire , mais aussi une certains puissance physique.
Le forgeron, pour donner forme à ses objets, doit savoir manier intelligence , don de soi et prise
de risques. Ils utilisent plusieurs objets pour l’accomplissement de leurs taches notamement le
marteau pilon.
Le marteau pilon, comme son nom l’indique, est formation de marteau et pilon, un marteau qui
permet de percuter et un pilon qui ecrase. Le marteau pilon est donc un outil de forger qui est
compose d’un gros marteau actionné par un système de vapeur, d’élèctricite, d’air, d’eau ou
d’huile.
Après une très longue période évolutive, il a un connu une véritable mise au point en 1841et a
fait disparaitre le marteau à declenchement. Les premiers spécimens étaient très grands, concu
pour le forcage des pièces, pour confectionner des locomotives et des grands navires. Ensuite, de
nouvelles formes sont apparues vers la fin du 20ème siècle. C’est ainsi que ces marteaux sont
devenus plus petit et servent desormais les formes et dans les ateliers de fabrication. Ainsi les
surfaces des pièces forgées ont une surface identique.
Comparé à un système de haut pression à entrainement par courroie, le marteau pilon dispose
d’un volant qui est relié à une manivelle qui conduit à une bielle et un piston. Ce piston
positionné au dos du marteau créé du vent important au mouvement du vérin de ce marteau. Il y
a deux vannes de cylindre activée par un mouvement de rotation qui controlent et font
fonctionner les deux cotes vérin du marteau. L’air est conduit de chaque cote du belier pour
assure la rapidité avec laquelle s’opère le deplacement du belier. Il est important de noté aussi
que le compresseur du marteau et le vérin son relier de l’un à l’autre. L’air généré par le
compresseur en un tour correspond à un mouvement du vérin vers le haut ou vers le bas, l’air ne
reste pas stocké tout excès est rejeté.
C’est un système hautement simplifié et il faut savoir les manier car les systèmes simples sont
souvent très délicats.
La pression et l’agencement de l’air sont très importants pour la gestion du marteau car sans une
bonne gestion, le marteau ne serait pas 100% de ses capacités surtout dans le cas du travail à la
matrice ouverte. Les marteaux les plus récents sont fabriqués avec seule vanne rotative qui
régule l’air du deux cotes du vérin, et ces marteaux seront alors capable de donner une forme sur
pièce plus complexe.
Ils existent plusieurs types de marteaux pilons parmi lesquels vous trouverez :
Les marteaux pilons mécaniques fonctionne grace à un moteur électrique. Ils sont souvent de
petite taille, avec une gorge plus serrée qui réduit la capacité de travail qu’ils peuvent effectuer,
car la petite ouverture faite sur le marteau empeche l’utilisation d’outils adaptés et de matrice.
Mais pour réduire le métal ces marteaux pilons sont d’une effecacité redoutable. Ces marteaux
sont de puissantes machines qui ont été vue pour la première fois dans les atelier de forgeron au
debut du 20ème siècle. Celles qui sont encore presentes de nos jours, sont remarquable grace à
leurs très grandes tailles sont devenues presque caduques.
Une très petite quantité est encore fonctionnelle. « les marteaux mécanique ont été concus
principalement pour resserrer et aiguiser des outils agricoles », a déclaré le célèbre fabricant
Ralph Sproul de Bear Hill Blackmith, dans le New Hampshire. Avec le volant vous pouvez
obtenir un seul coup précis ou (des coups répétitifs) comme une mitrailleuse. Et c’est très exact,
un embrayage à cone, caractéristique du marteau pilon mécanique permet à la machine de faire
un alignement automatique. Ces machines faisaient largement le travail quand il s’agit de travail
à la chaine et avaient une très grande capacité de production. Mais il faut reconnaitre que les plus
grands marteaux pilons ont une capacité supérieure aux marteaux mécanique. Ces marteaux
mécaniques le pouvaient pas exécuter de grandes tâches contrairement aux autres.
Ce sont des marteaux très utiles qui ne pèsent pas lourds(généralement 15 à 20kg). Qui sont
capable de fournir leurs propres compresseurs. Ces marteaux sont alimentés avec trois
compresseurs à deux étape de 5 HP. Les trois moteurs à leur tour alimentent un collecteur avec
un seul tuyau pour alimenter le marteau utilisé.
Il faut généralement entre 20 et 25 pieds cubes par minute(PCM) pour conduire un marteau pilon
de 120 Ib, pour lequel un compresseur de 5 ou 8 CV fonctionne bien. Leurs gorges mesurent
généralement entre 11 et 15 pouces de diamètre ce qui permet de les utiliser avec les outils de
forge classique. En plus de leur large, leurs matrices sont maintenues par seulement deux
boulons, ce qui les rend rapides et faciles à changer. Ce sont des machines très compactes et
malgré leur petite taille, ils ont une très capacité de percussion. Avec ces marteaux, vous pouvez
travailler plus de 12h de temps par jour en raison du moteur très puissant dont ils sont dotés.
Si vous ne voulez pas l’un des deux marteaux précédemment cités, il vous reste à faire le choix
des marteaux pilons autonomes. Ses caractéristiques par rapport aux autres font de ce marteau un
véritable marteau pilon moderne. Ils ont par exemple leur propre compresseur d’air et un grand
reservoir. Comme les autres marteaux, ces marteaux pilons autonomes vont vous servir à forger
vos pièces mais de manière beaucoup plus efficace avec un net gain de temps. Vous pouvez y
incorporer toute sortes d’outils à main et de matrice dans un format typique de 12 à 14 pouces.
Les marteaux pilons autonomes sont des outils très solides. Ils sont généralement parmi les
grands marteaux qui sont présents dans les atéliers de fabrication. Bien sur tous les magasins ne
commercialisent pas les marteaux du meme format. Les marteaux pilons autonomes sont plus
grands que les marteaux pilons électrique et plus lisses.
Avec la commodité d’un compresseur incorporer, le poids plus épais fait qu’il a un avantage plus
important que les autres types de marteau. En bref le poids de la machine capte les vibrations et
moins de vibrations veut dire beaucoup moins d’entretien technique. Cela signifie également
plus de commodité pour un générateur qui réduit le saisissement désagréable qui est transféré au
milieu de la machine en passant par la pièce à forger.
Comparaison peut etre faite par rapport aux vibrations d’une alarme lourde et d’une alarme
légère, les vibrations sont moins importantes sur l’alarmes lourde. En bref les marteaux plus
lourds provoquant moins de vibrations sont plus apréciable par le forgeron. Si lorsque vous
posez un métal à forger sur une matrice de marteau pilon autonome et que le métal se met à
vibrer ou bouge dans tous les sens, enlevez-le et placez-le correctement sur le plan de la matrice,
le métal se stabilisera. Ces types de marteau vous permettront de reduire votre dépense
énergétique et physique.
Résumé :
Dans ce projet de fin d'études, il aborde la conception, le calcul
résistant et dynamique d'une machine jusqu'à sa fabrication et son
contrôle au moyen de différentes méthodes. Le but du projet est de
connaître le comportement mécanique d'un mécanisme de forgeage à
chaud de pièces en acier, en pouvant échanger les outils de travail et
ajuster la force appliquée de manière contrôlée et sûre pour le
manipulateur. Un système est conçu par lequel l'utilisateur est capable
de contrôler la machine via la transmission.
Les fondamentaux de la déformation plastique dans les aciers
normalisés et sa dépendance à la température seront étudiés à travers
des graphiques et des tableaux.
Une conception logicielle a été réalisée afin de simuler le
comportement mécanique du batteur de pieux et d'obtenir des
résultats qui nous donnent une idée des variables que nous pouvons
modifier et contrôler pour notre objectif. Grâce à ce logiciel, il est prévu
d'intégrer une commande automatique qui régule la force du moteur
fournie pour atteindre le régime de fonctionnement souhaité. Il est
également possible de mettre en œuvre un capteur de charge pour
connaître la force appliquée à la pièce à forger.
Résumé
Dans le présent Travail de Fin d'Études aborde la conception, le calcul
robuste et dynamique d'une machine jusqu'à sa fabrication et son
contrôle par différentes méthodes. L'objectif du projet est de connaître
le comportement mécanique d'un mécanisme de forgeage à chaud de
pièces en acier, en pouvant échanger les outils de travail et ajuster la
force appliquée de manière contrôlée et sûre pour le manipulateur. Un
système est conçu par lequel l'utilisateur peut contrôler la machine via
la transmission.
Les fondamentaux de la déformation plastique des aciers normalisés et
leur dépendance à la température seront étudiés.
La conception du logiciel a été faite de sorte que le comportement
mécanique du batteur de pieux puisse être simulé et les résultats
obtenus qui nous donnent une idée de variables que nous pouvons
modifier et contrôler pour notre objectif. Grâce à ce logiciel, il est prévu
d'intégrer une commande automatique qui régule la force du moteur
fournie pour atteindre le régime de fonctionnement souhaité. Il est
également possible d'implanter un capteur de charge pour connaître la
force appliquée à la pièce à forger.
Mots-clés
Laminage à chaud, forgeage, battage, cellule de charge, régime de
rotation.
1. Justification et objectifs
La raison du projet est de soutenir la création et le développement
d'une machine qui est en cours de construction dans l'atelier de
fabrication de la Grape School of Industrial Engineering. La machine à
construire est un marteau pour forger des pièces en acier.
Ce projet sera chargé d'étudier le comportement mécanique de la
machine à travers l'application de la formulation théorique, la création
de modèles numériques et leur simulation. Pour obtenir les résultats
souhaités, les formules utilisées seront programmées au moyen de
scripts dans Matlab, avec cela nous obtiendrons un programme bien
structuré et facile à modifier si la conception de la machine est
modifiée. Ce document est destiné à comprendre le fonctionnement de
la machine et toutes les variables qui interviennent lors de son
fonctionnement et comment elles affectent son utilisation.
Grâce à la programmation utilisée dans le calcul mécanique, il est prévu
que la machine puisse être contrôlée automatiquement en ajustant le
couple provoqué par le moteur électrique, et ainsi des variables telles
que la vitesse de rotation de la machine et la force de forgeage peuvent
être modifiées pour obtenir utilisation optimale de la machine.
Les principaux objectifs que l'on entend atteindre avec la réalisation
du projet sont les suivants :
1º Déterminer la force qui produit la déformation plastique d'un acier
au carbone pour le travail à chaud, connaissant la limite d'élasticité du
matériau et sa dépendance à la température.
2º Réaliser un modèle 3D de la machine, marteau krusty, selon les plans
de la machine sur laquelle se base le projet et les modifications
apportées en atelier. Celle-ci est destinée à déterminer la géométrie
utilisée et son influence sur les calculs ultérieurs.
3º Concevoir un système pour pouvoir réguler la distance entre les
forges, comment cela affecte le mécanisme et les forces qui sont
produites.
4º Un programme sera réalisé dans Matlab pour obtenir les calculs
mécaniques pendant le cycle de fonctionnement de la machine, ainsi
nous obtiendrons les forces dans les liens de la machine au moyen de la
méthode runge kutta, et nous calculerons la puissance de
fonctionnement. Nous modéliserons également la force qui se produit
entre les pièces forgées lorsqu'elles entrent en contact avec la pièce.
5ème Calcul de la résistance : à combien s'élève la tension maximale
produite dans le mécanisme et où est-elle produite, connaître sa
variation en fonction des paramètres avec lesquels il travaille. Etudiez
également le comportement de la machine en régime permanent.
6º Connaître le couple et la puissance que le moteur doit fournir pour
produire une certaine force dans la forge et comment le contrôler,
manuellement ou au moyen d'un automate qui, à travers un capteur de
force dans la forge, calcule la tension d'alimentation du moteur qui
produit le couple désiré.
2. Présentation
Ce projet est principalement basé sur la conception et le calcul
mécanique d'un mécanisme mâle/pilon pour forger manuellement des
pièces en acier, par laminage à chaud. La principale caractéristique du
batteur de pieux est qu'il est élastique, c'est-à-dire qu'il a une barre
horizontale en guise de bascule qui se déforme facilement en raison de
sa construction, son comportement est identique à celui d'un
amortisseur à ressort à lames. Cet élément élastique est constitué de
fines barres reliées par des pinces, si on augmente le nombre de barres
la rigidité de l'élément augmente. (Figure 2.1) montre un plan du
modèle 3D sur lequel nous nous basons lors de la construction de notre
machine.
ho
𝜀=ln h 3.1
Où ho = hauteur de travail initiale, mm (in); et h " hauteur d'un point
intermédiaire dans le processus, mm (in). À la fin de la course de
compression, h " sa valeur finale hf, et la déformation réelle atteint sa
valeur maximale.
Figure 3.1 : Déformation homogène d'une pièce cylindrique dans des
conditions idéales lors d'une opération de forgeage libre : 1) début du
processus avec la pièce à sa longueur et son diamètre d'origine, 2)
compression partielle et 3) taille finale.
𝐹=𝐾𝑓∙𝑌𝑓∙𝐴 (3.2)
La force que je dois utiliser pour déformer le matériau sera
proportionnelle à la limite d'élasticité du matériau par la zone
d'application de la force.
La limite de fluage est décrite par la formule 1.3, si c'est une
déformation à froid, la résistance augmente avec la déformation et si
elle travaille au-dessus de la température de recristallisation, le
coefficient d'écrouissage sera nul (n = 0), dans ce cas 𝑌𝑓 est égal à la
limite d'élasticité à la température de recristallisation [1,2].
𝑌𝑓=𝐾∙ε n (3.3)
Le processus de forgeage ne se produit pas exactement comme dans
(Figure 3.1), en raison des forces qui apparaissent en raison du
frottement existant entre les outils et la pièce. La pièce est soumise à
un processus de barillet et cet effet augmente la force pour induire la
déformation. Cet effet est caractérisé par le paramètre 𝐾𝑓.
0.4 ∙ μ ∙ D
𝐾𝑓=1+ h 3.4
Où 𝜇= coefficient de frottement, D=diamètre de la pièce ou toute
dimension représentant la longueur de contact avec la surface de la
matrice, mm et h=hauteur de la pièce, mm.
Ensuite, nous utiliserons les formules citées ci-dessus pour en déduire
la force nécessaire pour induire une déformation dans la pièce, nous
devrons également prendre en compte la limite d'élasticité de l'acier et
sa variation avec la température, notamment à la température de
recristallisation.
Le graphique 3.1 représente l'influence de la température sur le
diagramme contrainte-déformation d'un acier de type structurel
courant. Ce graphique est issu du NTP 200 : Structures métalliques :
comportement au feu (I).
𝐷=0.0013 𝑚 (3.7)
0.4∗0.18∗0.0013
𝐾𝑓=1+ 0.01 (3.8)
Surfaces de contact μk
∑❑
sist
𝐷𝑥−𝐸𝑥=0 (5.7)
𝐹−𝑃4−𝐷𝑦−𝑚4∙𝑦̈=0 (5.8)
𝑀𝑒−𝐸𝑥∙𝑒=0 (5.9)
𝐵𝑥−𝐴𝑥=0 (5.17)
𝐴𝑦−𝐵𝑦−𝑃1=0 (5.18)
𝑀−𝑙1∙𝑐𝑜𝑠(𝜑1)∙𝐵𝑦−𝑙1∙𝑠𝑒𝑛(𝜑1)∙𝐵𝑥=0 (5.19)
Bien qu'il soit représenté par une barre, le
solide 1 a la forme d'une poulie, donc le
centre de gravité est au centre de la
poulie.
La valeur de 𝑙1 peut être modifiée dans le
mécanisme.
dp : épaisseur de la pièce.
car: distance entre le mâle et le pylône.
despv : déplacement vertical du point D en coordonnées globales (X,Y)
vd : déplacement vertical du point d en coordonnées locales (x,y)
7. DÉTECTION DE CHARGE
Une autre façon de déterminer la force exercée par le mécanisme sur les pièces forgées
consiste à incorporer une cellule de charge de compression dans le mécanisme. Les capteurs de
force de compression sont utilisés pour la mesure de force dans le sens de compression du
capteur, c'est le seul sens dans lequel il fonctionne correctement. Ces cellules de charge ont
différents formats et sont utilisées dans n'importe quelle application industrielle ou de test. Ces
formats sont généralement cylindriques plats, de type disque plein, bouton, pastille...etc. [5]
La sortie dans les cellules de charge est généralement directe du pont de Wheatstone sur lequel
le capteur est monté en interne, parfois une sortie analogique peut être obtenue directement à
partir du capteur sans qu'il soit nécessaire d'ajouter une électronique de conditionnement
externe. Le signal de charge est acheminé vers un appareil électronique, une puce électronique
ou un ordinateur central (selon son utilisation) pour collecter les données totales d'une ou
plusieurs cellules de charge.Il est également important lors de l'achat d'un capteur de la plage
de forces à laquelle sera soumis
La cellule de charge est composée de plusieurs jauges de contrainte à l'intérieur, ces éléments
sont chargés de transformer la force en un signal de sortie, puis nous expliquerons la
signification physique de ces éléments.
Nous remplaçons les valeurs de vitesse de la formule (8.3) par les formules obtenues dans le
calcul cinématique (section 4.2) et les mettons en fonction de 𝜑1̇2.
𝜑3̇=𝑙1∙𝑠𝑒𝑛(𝜑2+𝜑1)∙𝜑̇1𝑙3∙𝑠𝑒𝑛(𝜑3−𝜑2)(4.9) 𝑦̇=−𝑥∙cos (2∙𝜑3)cos (𝜑3)∙𝑙1∙𝑠𝑒𝑛(𝜑2+𝜑1)∙𝜑̇1𝑙3∙𝑠𝑒𝑛(𝜑3−𝜑2)(4.14)
𝐸𝑐=12∙(𝐼1+𝐼3∙(𝑙1∙𝑠𝑒𝑛(𝜑2+𝜑1)𝑙3∙𝑠𝑒𝑛(𝜑3−𝜑2))2+𝑚4(−𝑥∙cos(2∙𝜑3)cos(𝜑3))2∙(𝑙1∙𝑠𝑒𝑛(𝜑2+𝜑1)𝑙3∙𝑠𝑒𝑛(𝜑3−𝜑2))2)∙
𝜑12̇ (8.4) 𝐼𝑟𝑒𝑑=𝐼1+𝐼3∙(𝑙1∙𝑠𝑒𝑛(𝜑2+𝜑1)𝑙3∙𝑠𝑒𝑛(𝜑3−𝜑2))2+𝑚4(−𝑥∙cos (2∙𝜑3)cos
(𝜑3))2∙(𝑙1∙𝑠𝑒𝑛(𝜑2+𝜑1)𝑙3∙𝑠𝑒𝑛(𝜑3−𝜑2))2(8.5)
Les figures 8.1 et 8.2 montrent comment ont été obtenues les masses et les inerties des corps
respectifs du mécanisme.A partir du logiciel catia, définissant la masse volumique de l'acier, il
calcule automatiquement l'inertie dans les trois axes principaux à partir du centre de gravité.
Dans le cas de la barre 3, figure 8.2, cette inertie serait augmentée du fait que l'axe de rotation
est dans une position différente de l'axe de gravité, pour calculer l'inertie à partir de l'axe de
rotation on utilise le théorème de Steiner.
𝐼𝑜=𝑚∙𝑑3+𝐼𝑔 = 0,995 𝑘𝑔∙𝑚2 (8.6)
Résultats obtenus:
Dans le graphique 10.1 on voit représentée la valeur de la course au cours d'un cycle, la
distance entre pylônes varie entre 0 et 268 mm dans le cas de l1=135 mm.
Dans le deuxième graphique nous avons utilisé l1=115, nous voyons que la distance minimale
entre les pylônes est supérieure à 0 et la maximale est inférieure à 250 mm
A moins de l1, la distance minimale entre les pièces forgées augmente.
La figure 10.5 correspond au code de la fonction qui calcule les vitesses et accélérations des
variables cinématiques, les formules utilisées sont déduites en annexe, elles sont issues de
l'application des équations cinématiques et en considérant toujours la vitesse poulie constante.
Résultats obtenus:
Pour vérifier que les résultats ont été obtenus correctement, nous construisons un modèle du
mécanisme basé sur la géométrie du modèle 3D.
Nous utilisons le programme de modèle de travail et traçons la vitesse et l'accélération du
pylône (rectangle 19) et de la barre qui oscille autour de l'horizontale (rectangle 1), graphique
10.2
Dans les graphiques 10.3, les mêmes vitesses et accélérations des deux barres sont
représentées, calculées au moyen du script mathlab, nous voyons qu'elles sont similaires. Les
deux avec la vitesse de rotation de la poulie de 3 rad/sec
Une observation importante à noter est que l'accélération positive du pylône (barre 4) est
supérieure à l'accélération négative. Ceci est dû au fait que le contact entre les barres 3 et 4
n'est pas aligné avec l'axe de rotation de la barre 3. Cela signifie que les forces d'inertie sont
plus importantes lors de la montée du pylône que lors de sa descente.
10.3 Détermination de la force entre pièces forgées.
Pour déterminer F, avec le raisonnement expliqué précédemment, avec les hypothèses
retenues et en appliquant le MDR, on obtient la force appliquée par le mécanisme.
Figure 10.7 : script principal 3/7
La formule pour obtenir la force appliquée est déduite dans la section 6 du rapport.
Si nous avions un capteur de type cellule de compression dans la forge, nous saurions que la
force et le script suivant ne seraient pas nécessaires.
Pour mettre en oeuvre l'algorithme on en déduit qu'une force n'apparaît que lorsque l'écart
entre pièces forgées est inférieur à l'épaisseur de la pièce à travailler, à ce moment le ressort
commence à se déformer et la force F apparaît.
Résultats obtenus:
Ensuite, nous allons montrer différents résultats de la Force provoquée entre les forges en
fonction des différents paramètres qui influencent les résultats. Les variables que nous allons
utiliser sont :
-da1 : vitesse de rotation poulie, vitesse de rotation machine.
-dp : épaisseur de la pièce forgée.
-l1 : rayon de la poulie, on peut le faire varier tous les 2 mm, comme le montre le modèle, cette
variable influence directement la distance entre pièces forgées, plus l1 diminue, plus la distance
minimale entre pièces forgées augmente.
-barres : cette variable est liée à la raideur du lien 3, dans le modèle 3D, elle est agencée avec
trois barres.
Les résultats de la force obtenue lors d'un cycle de charge sont ceux représentés dans la partie
supérieure des graphiques 10.4 et 10.5. Dans la partie inférieure des graphiques, la distance
entre les pièces forgées est représentée (course de la machine).
Le graphique 10.4 est obtenu à une vitesse de rotation de la poulie de da1=3 rad/sec et le
graphique 10.5 à da1=6 rad/sec, tous deux ont une épaisseur de pièce à forger de 10 mm.
On voit que la force entre pièces forgées a augmenté d'environ 200 N, cela est dû au fait que
l'accélération de la masse 4 augmente et provoque des forces d'inertie plus importantes.
Le graphique 10.7 représente une augmentation de l'épaisseur de la pièce dp=20 mm, on voit
que la force monte considérablement jusqu'à 1500 N et est appliquée plus longtemps dans le
cycle machine
Dans les graphiques 10.8 et 10.9, la valeur de la poulie a été réduite à l1=121 mm.
Dans le graphique 10.8 nous avons une épaisseur de pièce dp=10 mm, on voit que lorsque la
course diminue, la distance minimale entre les pièces forgées est de 15mm, donc la pièce
forgée n'entre pas en contact avec la pièce, donc une force supplémentaire F= n'apparaît pas 0.
Dans le graphique 10.9, la pièce entre bien en contact avec la forge puisque nous avons
augmenté à dp=20 mm.
Dans le graphique 10.10, nous augmentons le nombre de barres à 5, ce qui entraîne une
augmentation de la raideur du lien et fait augmenter considérablement l'effort, l1=135 mm.
Avec cette valeur de l1, la distance minimale entre pièces forgées est approximativement égale
à zéro.
Dans tous les graphiques on observe que la force (F) provoquée, se compose de deux sections,
la première est un saut vertical, ce saut correspond au moment où les pièces forgées entrent en
contact avec le solide, la réaction aux forces d'inertie apparaît F=m4 (jj+g). (formule 2.2)
Dans la deuxième section, F augmente progressivement puisque vd augmente également de
zéro à sa valeur maximale puis revient à zéro.
Cette formule est déduite dans la section 6 du projet.
𝐹=3∙𝑏∙𝑣𝑑∙cos (𝜑3−𝜋)∙𝐸∙𝐼2∙𝐿3+𝑚4∙(𝑦̈+𝑔) (6.8)
Résultats obtenus
Nous allons effectuer des simulations pour montrer la contrainte maximale qui se produit dans
la section R du lien 3, en faisant varier les différents paramètres de notre programme.
Les deux premiers graphiques (10.18 et 10.19) représentent la contrainte maximale produite
dans la machine, en MPA, pendant un cycle où aucune charge n'est produite entre les pièces
forgées (F=0). La tension varie de 45 à 90 MPa lorsque la machine tourne à 5 rad/s, dans le
graphique suivant la tension varie de 0 à 170 MPa en doublant la valeur de la vitesse de
rotation de la machine à 10 rad/s.
Graphique 10.18 : contrainte dans la section R sans force produite dans la forge à une vitesse
de 5 rad/sec Graphique 10.19 : contrainte dans la section R sans force produite dans la forge à
une vitesse de 10 rad/sec
Les graphiques 5.20 et 5.21 ne font varier que la valeur de la force exercée entre les pièces
forgées lors de l'augmentation de l'épaisseur de la pièce (dp), de 10 à 20 mm. Et les deux à une
vitesse de 5 rad/s. On rappelle que le dp est égal à la déformation verticale du maillon 3 lorsque
la distance minimale entre les pièces forgées est égale à 0.
On observe que pour des charges produites par dp=10 mm et moins, la tension diminue, ceci
est dû au fait que le moment produit par la force F est dans le sens opposé au moment produit
par le poids du maillon 4 et la force d'inertie causée par celui-ci lors de l'arrêt de la masse
Lorsque dp>10 mm, la Force provoque plus de tension que celle causée par le poids et l'inertie
de la masse 4. Dans le graphique 10.21 nous aurions une tension maximale de 180 Mpa causée
par une déformation de 20 mm.
La limite d'élasticité de l'acier normalisé est d'environ 275 MPa, dans le fonctionnement des
machines avec des charges cycliques, comme c'est le cas, cette limite est réduite par le
comportement à la fatigue du matériau.Par conséquent, la contrainte normale de
fonctionnement doit être inférieure à la limite de fatigue de le matériel.
Marcos Benito Bustos
Diplôme en génie mécanique
61
Graphique 10.20 : effort dans la section R (effort maximal dans la machine) lorsque l'épaisseur
de la pièce est de 10 mm Graphique 10.21 : effort dans la section R (effort maximal dans la
machine) lorsque l'épaisseur de la pièce est de 20 mm
10.8 Calcul de l'inertie
Ensuite, la figure 10.17 montre les scripts utilisés pour calculer l'inertie ramenée à l'axe
principal de la machine, celui de la liaison poulie 1.
Le calcul de Ir est déduit de la formule d'énergie cinétique obtenue dans la section 8.
L'inertie réduite ne dépend pas de la vitesse de rotation du mécanisme, elle dépend
uniquement de la configuration géométrique et des masses et inerties de ses maillons.
Figure 10.17 : script principal 7/7
Résultats obtenus:
Graphique 10.24 : valeur de l'inertie ramenée à l'arbre de transmission de la poulie
Marcos Benito Bustos
Diplôme en génie mécanique
63
Dans le graphique 10.25 la valeur de 𝐼𝑟𝑒𝑑 est représentée tout au long d'un cycle de rotation
de la poulie, de 0 à 2*pi radians, on peut définir une valeur moyenne d'inertie réduite de 0,65
𝑘𝑔∙𝑚2
𝐼orgeorge = 𝐼1+𝐼3 ∙ (𝑙1 ∙ ιι histoire (𝜑2+𝜑1) 𝑙3 ∙ ιering +𝜑1)𝑙3∙𝑠𝑒𝑛(𝜑3−𝜑2))2 (8.5)
On voit que sur le graphique l'inertie du mécanisme est proche de zéro, cela est dû à la faible
inertie de la poulie, qui est la seule qui reste constante lors de la rotation autour de la
coordonnée généralisée 𝜑1. La masse qui influence le plus l'inertie est m4 (biellette du vérin)
puisque c'est la plus grande.
11.1 Contrôle du couple par tension de courroie
Une façon de régler manuellement la machine consiste à augmenter la tension de la courroie
qui transmet la rotation de l'arbre du moteur à l'arbre de la poulie principale. Ceci est réalisé
grâce à un galet et un levier actionnés par le pied de l'utilisateur de la machine [8].
Nous allons définir l'effort maximum que peut transmettre la poulie sans pré-tension de la
courroie, cet effort maximum va permettre à la courroie de supporter les conditions du chapitre
précédent où le couple maximum est de l'ordre de 50 Nm.
Pour effectuer les calculs, on représente la géométrie de la transmission, on a que le rayon
géométrique de la petite poulie est de 90,5 mm et celui de la grande poulie est de 319,5 mm,
l'entraxe est de 425 mm et l'angle embrassé par les poulies ils sont 2 596 et 3 668 rad.
Figure 11.2 : géométrie de la courroie de transmission en fonction des diamètres des poulies et
de l'entraxe.
Un glissement se produit si : 𝑇1>𝑚∙𝑇2 (11.3) [8]
Où 𝑇1 et 𝑇2 correspondent respectivement aux tensions des branches les plus et les moins
tendues de la courroie, si la poulie tourne dans le sens des aiguilles d'une montre la branche la
plus tendue est située en haut de la poulie, on veut qu'il en soit ainsi pour que notre rouleau
appuie de le fond et augmenter l'angle entretoisé et plus de moment peut être transmis.
La valeur de 𝑚1 correspond à la petite poulie et 𝑚2 à la grande m est la valeur minimale entre
ces deux, 𝑚1=𝑚. Les angles 𝛼1 et 𝛼2 sont dérivés par géométrie de l'Illustration 11.3. 𝑚1=𝑒𝜇
´∙𝛼1=𝑒0,877∙2,596=9,74 (11.4) 𝑚2=𝑒𝜇´∙𝛼1=𝑒0,877∙3,688=25 (11.5)
Pour les courroies trapézoïdales, le coefficient de frottement augmente par rapport à la valeur
𝜇= 0,3 en raison de sa forme. 𝜇´=𝜇𝑠𝑒𝑛𝛽=0.3𝑠𝑒𝑛(40°)=0.877 (11.6)
La tension de la branche lâche peut être augmentée en appliquant une force à travers un galet
tendeur 𝐹𝑚𝑎𝑥 est la force maximale qui peut être transmise par la courroie, elle se rapporte à
la petite poulie et est liée au moment passant par le rayon.
Ensuite, on calcule la tension qu'il faut augmenter dans la branche la moins tendue pour que le
couple à transmettre puisse passer de 50 Nm à 100 Nm 𝑇2=𝐹𝑚𝑎𝑥(𝑚−1) (11.7)
Le rapport de transmission est le suivant : 𝑚 =𝑀𝑚𝑎𝑥2𝑅=100∙0,280,159=176 𝑁 (11.11)
𝑇2=1768.74=20 𝑁 (11.12)
On voit que la tension dans la branche lâche passe de 10 à 20 N, la différence serait moindre
puisque nous avons considéré la même valeur de m, mais en resserrant l'angle embrassé par la
courroie elle augmenterait.
Enfin, on détermine la courroie à utiliser, qui influera sur la conception des poulies et dépendra
de la puissance à transmettre et de sa longueur primitive. 𝐿𝑝=1.57∙(𝐷+𝑑)+2∙𝐴+
(𝐷−𝑑)24∙𝐴=1524.5 𝑚𝑚 (11.13)
Cette longueur correspond à une longueur nominale de 1532 mm, 59 po pour la section de type
A selon le tableau du tableau 11.1