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Finance

La finance recouvre un domaine d'activité — celui du financement — qui consiste à fournir l'argent nécessaire à la réalisation d'une opération économique. Ce
domaine concerne aussi bien les individus, les ménages que les entreprises publiques ou privées, mais aussi les États.

La recherche de financement obéit à deux types d'objectifs suivant le volume initial de capital :

à niveau de capital restreint, on cherche à obtenir des capitaux nécessaires et suffisants pour entreprendre, maintenir ou développer une
activité ;
à niveau de capital avéré, l'objectif est de trouver les placements les plus pertinents en performance et en sécurité en fonction de la valeur
temps de l'argent.

Le mot « finance » peut également désigner :

soit les techniques qui permettent de façon raisonnée d'obtenir et de placer des capitaux ;
soit les agents économiques ou les institutions qui recherchent des capitaux disponibles ou souhaitent en placer (soit une définition
liminaire qui serait : acheter ou vendre de l'argent).

Pour se financer, un agent économique (une organisation privée ou publique, ou un particulier) peut procéder :

par autofinancement, c'est-à-dire en utilisant ses bénéfices antérieurs ou ses réserves financières disponibles ;
par financement direct en faisant appel au marché financier (émission d'actions ou d'obligations) ;
par financement indirect ou intermédié en ayant recours au crédit bancaire.

Étymologie et Histoire
Le terme «  finance  » est dérivé du mot latin finis qui signifie «  le terme  ». En français du
e
xiii  siècle, le verbe finer veut d'abord dire « finir une transaction et donc payer ». Par la suite,
le mot évolue pour désigner des «  ressources financières  » et à partir du xvie  siècle des
1
« affaires d'argent » .

Au xve  siècle apparaissent en France les «  gens de finances  », qui sont des fonctionnaires,
recrutés par les princes, chargés de gérer l'argent issu des privilèges  : plus tard, ces charges
deviennent héréditaires. Ce n'est pas le cas en Angleterre ou en Italie, où les rôles (et contre-
rôles) financiers vont échapper très tôt, d'une part à la morale ecclésiastique qui voit en l'argent
Schéma synoptique des pans de la finance.
et sa gestion un péché (lié à la vénalité, à l'avarice), d'autre part, aux emplois sous tutelle
d'État. La France va donc prendre un retard considérable dans le commerce de l'argent et le
2
développement des banques . Le premier traité sur ces questions, celui de Nicole Oresme, date de 1355.

Cependant, se produit le développement des bourses de valeurs : cette éclosion a été accélérée par la croissance de places financières et commerciales en Europe
avant le développement du commerce maritime international : des flux sensibles se mettent en place très tôt entre des places d'argent comme Venise et Gênes, mais
aussi Anvers, Troyes et Londres, Brême et Augsbourg, etc.
3
Même si de nombreux livres lui sont consacrés entre le milieu du xviiie siècle , et le début du xixe  siècle, au moment de l'éclosion de l'École classique, c'est
seulement à partir de 1958 que la finance est devenue une sous-discipline de l'économie, en lui empruntant ses raisonnements formalisés et ses mécanismes
d'optimisation. Auparavant, la gestion financière consistait essentiellement en un recueil de pratiques qui n'étaient pas nécessairement encadrées ou réglementées
par des institutions légales.

La finance est largement devenue de nos jours un négoce d'instruments et de transfert des anticipations de revenus et de risques, dont les prix peuvent être négociés
sur des marchés ou auprès d'institutions. Les risques peuvent être ainsi transférés à ceux disposés à les prendre (contre des revenus espérés), et les intermédiaires
financiers peuvent pratiquer une compensation des risques inverses (par exemple, le risque de change d'un importateur est inverse de celui d'un exportateur, le
risque de taux d'un prêteur est inverse de celui d'un emprunteur…), la diversification des risques, etc.

Parties prenantes à l'activité financière


Tous les agents économiques ont vocation pratiquement en permanence à recourir aux moyens offerts par la finance :

les particuliers pour leurs placements et leurs emprunts ;


les entreprises pour obtenir des capitaux et gérer leur trésorerie ;
l'État et les collectivités publiques pour assurer l'équilibre entre leurs dépenses et leurs recettes et financer leurs projets d'infrastructure ou
d'équipement ;
les institutions financières elles-mêmes pour ajuster leurs ressources et leurs emplois. Elles interviennent pour leur besoin propre sur les
marchés financiers ;
les intermédiaires financiers, dont la vocation est de faciliter le rapprochement entre l'offre et la demande de produits financiers.

Ces intermédiaires financiers se distinguent par la nature des services qu'ils rendent à leur clientèle et des produits qu'ils sont à même de négocier :

les conseillers financiers, conseils en patrimoines et gestionnaires de fortune ;


les banques qui recyclent les dépôts et l'épargne ;
les organismes de crédit aux particuliers ou aux entreprises ;
les marchés organisés (bourses) où s'échangent divers actifs financiers négociables ;
les caisses de retraites, fonds de placement, et institutions uniques ;
les compagnies d'assurances qui doivent préserver la valeur des réserves ou provisions venant en garantie des risques qu'elles assurent ;
les entreprises d'investissement, héritières des sociétés de bourse depuis la loi de modernisation financière de 2006.

Une classe particulière d'organismes financiers est constituée par les instances de régulations nationales et internationales ainsi que par les agences de notation. Les
marchés financiers sont en effet marqués par des épisodes de croissance exubérante et de dépression sévère qui posent le problème toujours renouvelé de leur
régulation.

Domaines d'activité de la finance


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Selon Dembinski , la finance est un sous-système économique qui remplit trois fonctions spécifiques :

tout d’abord, garantir la circulation des transactions financières ;


ensuite, réunir l’épargne et la mettre au service de projets d’investissement ;
enfin, évaluer le risque, lui attribuer une valeur et faire en sorte qu’il soit rentable.

Types de finance

La finance se subdivise traditionnellement en plusieurs périmètres d'activité définis par la clientèle servie :

La finance publique recouvre le financement des actions et du budget de l'État, des collectivités
publiques et des organismes sociaux.
La finance privée concerne la gestion de patrimoine et des revenus personnels, préparation de la
retraite.
La finance d'entreprise accompagne la gestion financière des entreprises, en matière
d'exploitation (trésorerie de court terme) ou d'investissement (moyen et long terme).
Salle de marché du NYSE avant
Rôle des marchés l’introduction des écrans et de la cotation
électronique
La finance de marché désigne les mécanismes par lesquels il est possible de faire appel aux marchés pour se financer
directement, opérer des placements, se couvrir, ou d'utiliser des instruments financiers complexes, comme les options.
Les marchés financiers sont devenus depuis les années 1980 l'un des principaux circuits de financement de l'économie, en complément des banques. Aux États-
Unis, le recours aux marchés est plus répandu qu'en Europe continentale. Ils comprennent :

Les marchés d'actions, qui sont les plus connus du grand public, mais pas les plus actifs.
Les marchés de taux d'intérêt qui, par leurs cotations en continu, constituent de très loin le plus grand marché de la planète et se
subdivisent en :
Marché monétaire pour le court terme
Marché obligataire pour le moyen-long terme.
Le Marché des changes ou Forex.
Il existe par ailleurs de nombreux marchés de matières premières et de produits de base (pétrole, blé, etc.) qui peuvent donner lieu à
des interventions motivées par des ressorts financiers alors qu'en principe leurs transactions sont réputées contribuer à l'établissement des
prix des produits dits « de base ».

Disciplines mobilisées dans le cadre de la finance

Plusieurs visions théoriques et outils d'optimisation existent qui sont destinés à faciliter les prises de décisions financières.

Au niveau de la microéconomie

Mathématiques financières : ensemble d'outils de calcul pour la modélisation et l'aide à la décision utilisés dans les différentes branches
de la finance, notamment les calculs sur les taux d'intérêt et les instruments financiers.
Choix d'investissement : critères et méthodes pour sélectionner des investissements en fonction de leur rentabilité prévisionnelle ou de
leur création de valeur.
Évaluation financière : estimation de la valeur des actifs, que ceux-ci soient financiers (actions, obligations, options, voir actif financier), ou
des entreprises (voir évaluation d'entreprise) ou encore des biens immobiliers.
Politique financière : choix des financements des sociétés, dans le but d'optimiser leur Coût Moyen Pondéré du Capital (CMPC). La
répartition entre le financement par Capitaux propres et par dettes, la politique de dividende sont des questions centrales de la politique
financière.
Théorie moderne du portefeuille : optimisation de la répartition des actifs par diversification. Initialement développée pour les marchés
financiers, cette discipline sert également au champ de la finance d'entreprise. Plus généralement, on parle de gestion du risque.
Finance comportementale : identification des facteurs psychologiques individuels et collectifs intervenant dans les décisions financières
et leurs effets sur la formation des prix et sur les rendements financiers.

Au niveau de la macroéconomie

La Politique monétaire et Finance publique internationale servent des objectifs macroéconomiques. Par exemple, la politique monétaire est menée par les
banques centrales, avec des interactions avec les organismes officiels internationaux (FMI, Banque mondiale, Banque des règlements internationaux, BEI, BERD,
etc.).

Enjeux et finalités de la finance


Rémunération de la finance

La finance est d'une certaine manière un service rendu. La question est ouverte - et largement débattue- quant à la rémunération de ce service.

Sur un plan « opérationnel », l'idée d'indemnité est censée rétribuer différents éléments :

l'aptitude à concilier les exigences des offreurs et des demandeurs de capitaux ;


l'aptitude à décider et opérer des placements ou capitaux afin d'en obtenir la valeur financière la plus grande, pour un niveau de risque
approprié.

Dans une perspective plus large, il convient de trouver des outils d'optimisation des flux financiers capables de prendre en compte la complexité et la variété des
situations : biais de la finance comportementale, prise en compte des intérêts divergents des parties prenantes, rationalité limitée…

Finance et mondialisation

Compte tenu de l'extension de la convertibilité des monnaies et de la mondialisation des échanges, la finance est désormais internationale. L'apparition de produits
financiers internationaux complexes et d'opérateurs non régulés agissant à partir des paradis fiscaux a largement été associée au développement de la crise des
marchés financiers qui paralyse actuellement l'économie mondiale, posant la question de la mise en œuvre de régulations mondiales renforcées.

Le système financier est international : il est présent dans chaque pays, avec des flux circulant de l'un à l'autre avec toutefois certaines restrictions locales.

Il rassemble un ensemble d'acteurs, reliés entre eux par un réseau de communication, formant une série de marchés financiers spécialisés visant chacun à équilibrer
l'offre et la demande dans un actif financier particulier. Cet équilibre est obtenu par la confrontation des ordres entre les divers acteurs détenteurs de moyens
monétaires ou financiers et notamment :

Au niveau des institutions financières, le système comprend entre autres les banques supra-nationales (par exemple la Banque Centrale Européenne, la Banque des
règlements internationaux), les Banques Centrales nationales, les banques commerciales, les sociétés financières, les caisses de retraites, la sécurité sociale et les
caisses de prévoyance, les compagnies d'assurances, le Trésor public, les marchés financiers.

La superposition des différents marchés financiers (actions, taux d'intérêt, devises et matières premières) et son extension à tous les pays, forment ce qu'on appelle
le système financier international.

Le système financier cherche à faciliter une bonne allocation des capitaux, favorable à l'essor économique. Ce rôle primordial explique la place importante de la
finance dans les pays développés, avec une part de 5 % à 10 % du PIB (Produit intérieur brut).

Financiarisation et bien commun


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Selon l'Observatoire de la Finance , « la montée en puissance de pratiques, de techniques mais aussi de représentations et de valeurs inspirées par la finance se
traduit par un processus de “financiarisation”.

– Cette mutation a transformé l'économie et la société contemporaines en les organisant autour d'une nouvelle cohérence articulée sur l'efficacité financière et sur
une vision du temps linéaire spécifique à la finance.

– Cette cohérence s'approche avec la crise actuelle de son point de rupture, ce qui expliquerait l'atmosphère de “fin de règne” ressentie par certains » ».
6 7
Selon Denis Dupré, spécialiste des risques financiers et écologiques , la démesure de notre système financier reflète une «  Économie-Titanic  » minée par la
puissance exponentielle de l'économie nuisible. Les financiers, contrairement aux économistes parmi lesquels des opinions différentes s'expriment, forment un
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corps soudé d'«  experts  » souvent complices par leur silence et inaction sur la lutte contre les pratiques mafieuses, la corruption et les paradis fiscaux . La
10, 11
profession financière s'oppose aux réformes urgentes que sont notamment la mise au service des citoyens de la BCE , la séparation des banques, l’interdiction
12 13
de la finance casino , la réforme des marchés boursiers . Gaël Giraud propose de considérer comme un bien commun la liquidité des actifs sur les marchés
14
financiers et le crédit .

Quelle place dans l'économie ?

Le débat sur la place de la finance dans l'économie se ranime chaque fois que surviennent des crises financières. En France, le débat a été relancé après la première
vague de libéralisation des marchés :

Le Monde Affaires du 28 février 1987 titre ainsi : « L'industrie malade de la finance, une déclinaison du mythe » de l'économiste libéral
15
Bertrand Jacquillat .
16
Paul Dembiski, fondateur de l'Observatoire de la Finance, fait paraître un ouvrage intitulé Marchés financiers, une vocation trahie ? .
17, 18
200 milliards de dollars par jour, du banquier Gérard Worms .

Le débat va s'amplifiant avec les polémiques soulevées par le krach boursier d'octobre 1987 et surtout par la crise des subprimes de 2007-2008. Le poids du
secteur financier dans l'ensemble des activités économiques à l'échelle de la planète est tel qu'il serait potentiellement créateur de déséquilibres pouvant conduire à
des crises graves :

Concernant le poids dans l'économie, l'économiste Thomas Philippon a calculé que le secteur financier représente 8 % du PIB en 2006,
19
probablement au moins 2 % au-dessus de la taille qu'il devrait avoir pour exercer sa tâche normale de financement de l'économie .
Concernant l'endettement non maîtrisé - sinon le sur-endettement - de certains agents économiques (ménages, collectivités locales, voire
États réputés « souverains »…) dont la charge financière fixe n'est plus compatible lorsqu'elle est excessive avec des revenus sujets aux
évolutions de la conjoncture.
Concernant les rémunérations, l'économiste Thomas Philippon (Université de New York et École d'économie de Paris) a calculé vers 2008
20
que les salaires de la finance sont 40 % au-dessus de « ce à quoi on pourrait s'attendre », soit l'écart le plus important depuis 1929 .
Concernant l'emploi des diplômés, selon l'économiste Esther Duflo (MIT, École d'économie de Paris), 15 % des diplômés de Harvard de
21
l'année 1990 travaillent dans la finance contre 5 % en 1975 . Elle estime que « ce que la crise révèle de manière brutale (et coûteuse) est
22
que toute cette intelligence n'est pas employée de manière particulièrement productive » .
23
23
Selon l'Afic, les entreprises soutenues par le capital-investissement représentent 1,5 million de salariés en France en 2006 .
24 25
Georges Pauget précise que le secteur financier représente « 1 million de collaborateurs en France » , dont 40 % pour le seul secteur bancaire . Fin 2011, les
26
sociétés d'assurances avaient investi 925 milliards d'euros dans les entreprises, soit 54 % de leurs actifs .

Outre l'immobilier, les Français auraient 3 600 milliards d'euros de placements financiers dans leur patrimoine en 2011, dont 39 % sur des comptes d'assurance-
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vie .

Notes et références
1. in Dictionnaire étymologique Larousse, 1971. 12. Denis Dupré, Marc Chesney et Paul Jorion, « La finance Casino
2. Philippe Wolff, « Commerce et Marchands de Toulouse », in La risque de détruire nos sociétés » (http://www.cerag.org/IMG/jpg/Le_t
France à la fin du XIVe siècle, renouveau et apogée, Paris, Actes emps_120926_Finance_Casino_16_.jpg), Le Temps de Genève, 26
publiés par le CNRS, 1994. septembre 2012.
3. En France, Turgot fut l'un des premiers à penser le concept. 13. Marc Chesney, Denis Dupré et Olivier Taramasco, « Arrêtons la
cotation en temps continu sur les marchés financiers » (https://www.l
4. Dembinski, Paul H. et Morais, Natasha (Coord.), Sortir du dédale de
emonde.fr/idees/article/2012/11/26/arretons-la-cotation-en-temps-co
la financiarisation : pour une finance au service du Bien Commun,
Observatoire de la Finance, novembre 2001. (http://infotek.fph.ch/d/f/ ntinu-sur-les-marches_1796084_3232.html), Le Monde.fr, 27
1943/1943_FRE.pdf?public=ENG&t=.pdf) novembre 2012.
5. Fondation de droit suisse domiciliée à Genève où elle jouit d'un 14. Gaël Giraud, L'illusion financière, Ivry-sur-Seine, éditions de
statut d'utilité publique ([1] (http://www.obsfin.ch)). l'Atelier, 2012, 168 p. (ISBN 978-2-7082-4258-6).
6. « Travaux et recherches » (https://sites.google.com/site/financeresp 15. Bertrand Jacquillat Lettre d'Information de l'AFFI no 29, avril 1987
onsable/denis-dupre). 16. Edit FIPH, fondation pour le progrès de l'homme
7. Denis Dupré, « Une confiance arrogante, une visibilité réduite... La 17. in la revue Communications, 1989, numéro 50, pages 213-225]
mondialisation c'est un peu le Titanic. Et le tiers monde, la troisième 18. Gérard Worms (http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/artic
classe. L'économie Titanic a-t-elle assez de canots de sauvetage? » le/comm_0588-8018_1989_num_50_1_1764),
(http://www.liberation.fr/tribune/0101259852-une-confiance-arrogant 19. Étude citée par Esther Duflo in Libération, 7 octobre 2008, p. 37
e-une-visibilite-reduite-la-mondialisation-c-est-un-peu-le-titanic-et-le
20. Étude citée par l'économiste Esther Duflo (MIT, École d'économie
-tiers-monde-la-troisieme-classe-l-economie-titanic-a-t-elle-assez-d
de Paris), in Libération, 7 octobre 2008, p. 37
e-canots-de-sauvetage), Libération, 13 octobre 1998.
21. In Libération, 7 octobre 2008, p. 37.
8. Denis Dupré, « Du sauvetage des banques au naufrage des États :
silence des financiers et hypocrisie de l'Europe. » (https://www.lemo 22. In Libération, 7 octobre 2008, page 37
nde.fr/idees/article/2012/07/16/du-sauvetage-des-banques-au-naufr 23. [PDF] Étude du 28 novembre 2006 par l'AFIC et Ernst & Young :
age-des-etats-silence-des-financiers-et-hypocrisie-de-l-europe_173 4850 entreprises soutenues par le Capital Investissement emploient
3314_3232.html), Le Monde, 16 juillet 2012. 1,5 million de salariés en France (http://www.afic.asso.fr/Images/Upl
9. Denis Dupré, « Le sauvetage des banques chypriotes a épargné les oad/DOCUMENTS/cp_poids_eco_281106.pdf)
mafias, mais pas les contribuables » (https://www.lemonde.fr/econo 24. Allocutions du 23 janvier 2013 lors de la remise du deuxième livre
mie/article/2013/04/15/le-sauvetage-des-banques-chypriotes-a-epar blanc sur l'assurance dans les locaux de Finance Innovation
gne-les-mafias-mais-pas-les-contribuables_3159888_3234.html), 25. Le secteur bancaire emploie environ 390 000 personnes (chiffres
Le Monde, 15 avril 2013. FBF 2008). (http://www.cbanque.com/pratique/finance/chiffres-franc
10. Denis Dupré, « La création monétaire ne doit pas être un crime e-europe.php)
contre les peuples, 17 février 2012 » (https://www.letemps.ch/Page/ 26. Fin 2011, les sommes investies dans les entreprises atteignaient
Uuid/3a348854-58e7-11e1-b40a-d17757e84d1d/La_cr%C3%A9ati 925 milliards d'euros et représentent ainsi 54 % des actifs des
on_mon%C3%A9taire_ne_doit_pas_%C3%AAtre_un_crime_contre sociétés d'assurances (http://www.ffsa.fr/sites/jcms/p1_673777/assu
_les_peuples#.UHVfIFEQbIU), sur letemps.ch. rance-les-resultats-de-lannee-2011?cc=fn_7345)
11. Denis Dupré, « Sauver l’Europe avec la BCE dans le cadre des 27. « Les Français épargnent-ils trop ? » par Christian Chavagneux, in
traités existants » (http://www.cerag.org/IMG/jpg/Le_TEMPS_12100 Alternatives économiques, septembre 2012, no 316, p.60.
3.jpg), Le Temps de Genève, 3 octobre 2012.

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Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes : Encyclopædia Britannica (https://www.britannica.com/topic/finance) ·


Encyclopédie Treccani (http://www.treccani.it/enciclopedia/finanza) · Store norske leksikon (https://snl.no/finans)
Notices d'autorité : Bibliothèque du Congrès (http://id.loc.gov/authorities/sh2002007885) ·
Bibliothèque nationale de la Diète (http://id.ndl.go.jp/auth/ndlna/00565882) ·
Bibliothèque nationale d’Israël (http://uli.nli.org.il/F/?func=find-b&local_base=NLX10&find_code=UID&request=987007558926605171) ·
Bibliothèque nationale tchèque (http://aut.nkp.cz/ph114548)
(fr)La Finance pour tous (https://www.lafinancepourtous.com/), site éducatif français soutenu par la banque de France, l'AMF et les
principales banques françaises
(fr)AMF, Autorité des Marchés financiers (https://www.amf-france.org/fr), autorité de régulation des marchés financiers
(fr)Site de la Banque de France - Eurosystème (https://www.banque-france.fr/), autorité de régulation monétaire et des banques

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