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Introduction à l’informatique
Sommaire
Dans ce chapitre, nous introduisons l’informatique en commençant par
définir les concepts de base de cette science, et donnant ensuite une brève
histoire de son évolution, en fonction des technologies utilisées. Nous finirons
par donner, de manière non exhaustive, quelques domaines d’applications de
l’informatique.
I.1.1. Informatique
1
Un système abstrait de traitement de l’information est un système formel
définissant des objets qui peuvent représenter ce qu'on appelle de procédures de
calcul, des algorithmes ou des programmes. Ils définissent ensuite un moyen
systématique d'appliquer ces procédures, c’est-à-dire de calculer.
Exemples
– Machine de Turing
– Lambda-calcul
– Complexité algorithmique
– Traitement du signal
– calculabilité
– Théorie de l'information,
– etc.
Edsger Dijkstra
I.1.3. Traitement
Un traitement est dit rationnel lorsqu’il est fondé sur de la logique c.-à-d.
un semble de règles ou des lois conduisant à une suite d’opérations pour un
traitement performant ou efficace. Un tel traitement possède les caractéristiques
recherchées suivantes : pérennité, accessibilité, rapidité, cohérence, partage,
sécurité, sur des grandes tailles des données.
I.1.4. Ordinateur
4
Rôle de l‘ordinateur : Stocker, gérer, traiter, échanger et transmettre
l’information. Nous pouvons donc dire : « pas d’informatique technique sans
ordinateur ».
I.2. Historique de l’Informatique
Une forme particulière d’abaque, appelée bouclier, est apparue un peu plus
tard. Il y avait plusieurs différentes versions :
– chinoise (XIIème siècle)
– japonaise (XIVème siècle)
5
– russe, française
Ces boucliers avaient les fonctionnalités suivantes :
– 4 opérations arithmétiques (+, -, *, /)
– racines carrés et cubiques
6
a) b)
7
a) b)
D’un autre côté, il y a eu des automates (sorte des machines qui fonctionnent sans
intervention de l’homme, avec des manivelles, elles peuvent effectuer certains
mouvements répétitifs), souvent des simples jouets, sont apparus (Figure 5).
8
Les automates ont été améliorés pour donner des machines appelées « métier »
capables de réaliser une tache spécifique (Exemple le tissage). Le métier à tisser de
Jacquard (Figure 6 a) en 1801, inaugure les machines programmables à l’aide
de cartes perforées (Figure 6 b). La tache à effectuer dépend de la disposition des
troues sur les cartes.
a) b)
Les machines à calculer ont été par la suite combinées aux automates pour donner
les calculateurs. Le travail mécanique des machines est effectué par des automates
programmables. Exemple : Calculateur de Babbage (Fig.7 a et b). Le travail
intellectuel de l’homme est réalisé par les programmes.
9
a) b)
1936, Alan Turing propose un concept qui permettrait à une machine d’interpréter
un code et donc d’effectuer des calculs de type différents. Ce qu’on appelle la
machine de Turing n’est alors qu’un modèle théorique et non une réalisation
complète mais elle sera la base du développement informatique et du
fonctionnement par algorithme.
En 1938, Konrad Zuse invente un ordinateur qui fonctionne grâce à des relais
électromécaniques: le Z3. Cet ordinateur est le premier à utiliser le binaire au lieu
du décimal.
En 1947, le Mark II voit le jour, ses engrenages sont remplacés par des
composants électroniques.
10
1500 m2. Il fut utilisé pour des calculs ayant servi à mettre au point la bombe H.
Alan Turing travaille dans le service anglais de décryptage des messages secrets
allemands (codés suivant le système appel´e «Enigma») : il réalise une machine à
décrypter qui contribuera `a la victoire des alliés.
John Von Neumann, travaille sur les calculs de balistique nécessaires au projet
Manhattan (conception et réalisation de la première bombe atomique américaine).
1945 : John Von Neumann écrit un rapport où il propose l’architecture interne d’un
calculateur universel (ordinateur), appelée désormais «architecture de Von
Neumann».
En 1948, le transistor est créé par la firme Bell Labs (grâce aux ingénieurs John
Bardeen, Walter Brattain et William Shockley). Il permet dans les années 50 de
rendre les ordinateurs moins encombrants, moins gourmands en énergie électrique
donc moins coûteux: c'est la révolution dans l'histoire de l'ordinateur!
A partir de cette date, l’ordinateur existe et son histoire matérielle se réduit donc à
l’´evolution des progrès technologiques, qu’on découpe habituellement en termes
de «générations». Les avancées conceptuelles les plus spectaculaires concernent,
principalement la conception de nouveaux langages de programmation évolués.
11
Les premiers essais de programmation avec le langage FORTRAN (FORmula
TRANslator), encore utilisé de nos jours pour le calcul scientifique.
Les premiers ordinateurs à lampes et à tubes à vide sont commercialisés par IBM.
L’informatique est d’usage scientifique et militaire (Astronomie, météorologie,
balistique, décryptage, etc.). Seules les très grandes nations possèdent l’outil
informatique.
b) Deuxième génération 1958-1960 : intégration du transistor
La technologie basée sur le transistor et le circuit imprimé est utilisée, l’IBM 7044,
64 K octets de mémoire, est le premier ordinateur intégrant des transistors. Le
langage Fortran règne en maître incontesté. Le langage de programmation Cobol
(Common Business Oriented Language) orienté gestion et domaine bancaire,
devient un concurrent de Fortran. L’informatique cesse d’être un simple outil de
calcul, il ya naissance de l’informatique de gestion.
Les nations riches et les très grandes entreprises accèdent à l’outil informatique
Le circuit intégré (circuit électronique miniature) est mis au point en 1958 par
Texas Instruments, il permet de réduire encore la taille et le coût des ordinateurs en
intégrant sur un même circuit électronique plusieurs transistors sans utiliser de fil
électrique.
Dans les années 1960, l'informatique devint une discipline à part entière. Le
premier département d'informatique fut créé en 1962 à l'Université de Purdue; le
premier Ph.D. d’informatique fut délivré à Richard Wexelblat par l’Université de
Pennsylvanie, en décembre 1965
1968 : Doug Engelbart et son équipe font la démonstration pour la première fois de
la souris d'ordinateur à l'université de Stanford en Californie.
1969 : premier essai de transfert de fichier à distance par le réseau Arpanet,
Ancêtre d’Internet ; invention du langage PASCAL par Nicklaus Wirth
1971 : introduction des disquettes pour l’IBM 370.
1971 : La société américaine "Intel" lance sur le marché informatique l'invention
de Marcian Hoff, le microprocesseur. Baptisé "Intel 4004"
12
Les ordinateurs occupent moins de volume, consomment moins d’électricité et sont
plus rapides. Les ordinateurs sont utilisés le plus souvent pour des applications de
gestion. Les PME et PMI de tous les pays peuvent se procurer des matériels
informatiques.
14
Chapitre II.
Sommaire
a) Système
b) Système informatique
15
II.1. Les matériels
II.1.1. Définition
a) Les mainframes
b) Le Pc de bureau
c) L’ordinateur portable
Le PC portable : Lap top ou notebook. Composé d’un boîtier qui intègre tous les
composants, carte mère, écran, clavier,… il est aussi équiper de plusieurs sorties
pour diverses périphériques. Dans la famille des PC portables on distingue :
16
Fig.9. Exemple d’un Lap top
17
II.1.3. Composition minimale d’un ordinateur
a) Unité centrale
a1) Le processeur
La mémoire vive est appelée RAM (Random Access Memory, traduisez mémoire
à accès direct ou aléatoire).
18
b) Périphériques
19
le haut parleur : organe de sortie des données sonores.
la télécopie : photocopie à distance.
le graveur : périphérique permettant d’écrire des données sur les CD ou
DVD, etc.
c) Les mémoires de masses
La mémoire morte, appelée ROM pour Read Only Memory (traduisez mémoire
en lecture seule) est un type de mémoire permettant de conserver les informations
qui y sont contenues même lorsque la mémoire n’est plus alimentée
électriquement. A la base ce type de mémoire ne peut être accédé qu’en lecture.
Toutefois il est désormais possible d’enregistrer des informations dans certaines
mémoires de type ROM.
20
Il existe plusieurs types de mémoire auxiliaires :
La surface magnétisée peut être située d’un seul côté (simple face) ou des deux
côtés (simple face) du disque. Les disques sont divisés en secteurs, un secteur
constituant la plus petite surface d’adressage. En d’autres termes, on sait lire ou
écrire des zones débutant sur un secteur et couvrant un nombre entier de secteurs.
La taille d’un secteur est le plus souvent de 512K.
La petite information stockée sur un disque est un bit qui peut valoir 0 ou 1. Les
bits sont groupés par 8 pour former des octets, et une suite d’octets forme un cercle
ou piste sur la surface du disque.
Un disque est entraîné dans un mouvement de rotation régulier par un axe. Une tête
de lecture (deux si le disque est double-face) vient se positionner sur une des pistes
21
du disque et y lit ou y écrit les données. Le nombre minimal d’octets lus par une
tête de lecture est physiquement défini par la taille d’un secteur (en général 512K).
Cela étant le système d’exploitation peut choisir, au moment de l’initialisation du
disque, de fixer une unité d’entrée/sortie supérieure à la taille d’un secteur, et
multiple de cette dernière. On obtient des blocs, dont la taille est typiquement
512K (un secteur), 1024K (deux secteurs) ou 4096K (huit secteurs).
Chaque piste est donc divisée en blocs (ou pages) qui constituent l’unité
d’échange entre le disque et la mémoire principale.
Les disques souples (floppy disk) ou disquettes. Ils sont déplaçables. On
distingue : la disquette 5 pouces ¼ (environ 13,5 cm de coté) et la disquette 3
pouces ½ (environ 9 cm). Les disquettes ne sont plus utilisées actuellement.
Les mémoires amovibles (mémoire flash): CD-Rom, CD+R, DVD, les Blu-Ray,
les clef USB, les cartes mémoires ou la SD Card (Secure Digital card) (également
utilisée dans les appareils photo-numériques, Caméoscopes digitaux, PDA, ... Les
dimensions sont normalisées: 24 mm de haut, 32 mm de large et 2,1 mm
d'épaisseur), les Carte microSD, les cartes MMC (MultiMedia Card) ou cartes
mémoire multimédia ( généralement, pour le stockage des clichés numériques dans
les appareils photo numériques), la SDHC (Secure Digital High Capacity) (Figure
13).
22
d) Les Bus
Pour les bus externes, il existe des « Bus série » qui transportent les bits les uns à
la suite des autres, et les « bus parallèles » qui transportent parallèlement les bits
d’un octet. Les deux plus récents concurrents équipent les matériels de grande
consommation : USB et Firewire.
On peut citer trois grands groupes de logiciels : les logiciels de base, les logiciels
outils et les logiciel d’application.
II.2.2. Les logiciels de base
Cette gestion doit assurer l’équité d’accès aux ressources matérielles et assurer
également que les accès des programmes à ces ressources s’effectuent
correctement. Chaque ressource a ses propriétés et son mode de gestion déterminé
par le constructeur de la machine. Le SE doit assurer la communication entre ces
ressources.
24
Par ressources, on entend :
- Le processeur
- La mémoire principale
- Les mémoires de masse
- Les données
- Les autres périphériques
25
La gestion des entées et sorties : les unités d’I/O sont fort divers et fonctionnent à
des vitesses très différentes de celle de l’unité centrale. Les transferts
d’informations entre les périphériques et l’unité centrale ont lieu par
l’intermédiaire des unités d’échanges (canal, mémoire tampons,…).
La gestion des fichiers : Elle se fait par des gestionnaires des fichiers qui offrent :
La gestion des fichiers dont ceux des utilisateurs enregistrés sur la mémoire
auxiliaire.
La protection des données
La gestion de la bibliothèque des programmes
26
Voici les logos de quelques systèmes d’exploitation (Figure 14) :
Ces sont des logiciels qui ont pour but d’aider le système d’exploitation à mieux
remplir son rôle. On peut citer :
Les éditeurs
Ce sont des programmes d’emploi facultatif correspondant à des fonctions que l’on
retrouve sur toutes les machines. Parmi ceux-ci on peut retrouver des :
27
c) Les programmes de traduction et les pilotes
Les pilotes ou Drivers sont des programmes qui permettent de gérer les
périphériques, c’est-à-dire lui envoyer les bonnes commandes au bon moment. Ils
prennent en charge les spécificités techniques particulières d’un périphérique par
rapport aux autres périphériques.
29
Chapitre III.
Le Système d’Exploitation
Sommaire
Windows est une gamme de systèmes d’exploitation produit par Microsoft (Société
Américaine créée par Bill Gates et Paul Allen en 1975), principalement destinés
aux PC. Il possède un statut de quasi-monopole.
30
Il existe plusieurs versions de Windows. Dans le cadre de ce cours, seule la version
Windows 7 sera considérée à titre illustratif.
Les versions de Windows ont des noms plus ou moins étranges qui ne répondent
pas forcément à une logique inflexible. Nous pouvons citer :
Windows 95 (août 1995), Windows 98 (juin 1998), Windows NT, Windows 2000
(février 2000), Windows Me (septembre 2000), Windows XP (octobre 2001),
Windows Vista (janvier 2007), Windows 7 (octobre 2009), Windows 8 (Octobre
2012), Windows BLUE (juin 2013).
Le Bureau
Le bureau est la zone de travail de l’écran dans laquelle apparaissent les fenêtres,
les icônes, les menus et les boîtes de dialogue. C’est la première zone qui apparait
une fois Windows chargé.
Les Menus
Le menu est en fait un mode d’organisation des commandes qui facilitent leur
repérage et donc leur utilisation. Un menu peut comporter des sous-menus,
indiqués par des petites flèches. Certaines commandes d’un menu s’exécutent
directement et d’autres passent par des étapes intermédiaires (qu’on va appelées
31
boîte de dialogue) qui proposent des plus amples options et ou de spécifications
supplémentaires avant de s’exécuter. Dans un menu, ces commandes sont suivies
par trois points. Selon les circonstances, certaines commandes d’un menu peuvent
être indisponibles, elles prennent dans ce cas, une couleur pale.
Menu contextuel
Un Menu contextuel est un menu dont le contenu dépend du contexte, c’est-à-dire
de l’endroit où il est ouvert.
Commandes indisponibles
Commandes qui
ne s’exécutent
pas directement
Sous-menu
Fig.20. Exemple d’un menu contextuel et Menu contextuel de mise ne forme rapide
Le menu démarrer
La partie blanche permet d'accéder à tous les programmes installés sur le système.
La liste visible est constituée des programmes que vous utilisez le plus souvent,
elle évoluera donc automatiquement.
La partie grise contient également une liste de noms. Mais celle-ci n'évoluera pas
avec le temps. Les différents liens tels que « Documents », « Images », «jeux » ou
« Musique » permettent d'accéder à vos documents, vos images, etc.
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Ordinateur : ce lien sert à accéder aux différents lecteurs de votre ordinateur
(disque dur, lecteur CD/DVD, carte mémoire d'appareil photos, etc.).
Panneau de configuration : il vous permettra de faire tout un tas de réglages sur
votre ordinateur.
En bas de la partie grise, vous pouvez voir le bouton « Arrêter ». Il sert, bien
entendu, à arrêter correctement votre ordinateur.
En
permanence
Programmes
récemment
utilisés
33
Les Fenêtres
Une fenêtre est une portion de l’écran dans laquelle les programmes peuvent
s’exécutés. Vous pouvez ouvrir plusieurs fenêtres à la fois. Par exemple, vous
pouvez consulter vos messages électroniques dans une fenêtre, travailler sur une
feuille de calcul ouverte dans une autre fenêtre. Les fenêtres peuvent être fermées,
redimensionnées, déplacées, réduites en bouton dans barre des tâches ou affichées
en plein écran.
Fermer
Barre de recherche
Réduire
Panneau de
navigation
Glisser les
Ascenseur bordures
pour
redimension
ner la
Barre de défilement
fenêtre
Défilement
Tout ce que vous allez utiliser sur votre ordinateur sera dans une fenêtre, que ce
soit la navigation dans Windows ou bien l’utilisation d’un programme. D’où le
nom du système : Windows (fenêtre, en anglais).
Les icônes
Petite image affichée à l'écran qui représente un objet pouvant être manipulée par
l'utilisateur. Les icônes servent de moyens mnémotechniques visuels et permettent
aux utilisateurs de contrôler certaines actions de l'ordinateur sans avoir à se
souvenir des commandes ou à les taper au clavier.
Les barres et les boutons
Case à cocher
Petite case carré apparaissant dans une boîte de dialogue. Elle contient une coche
lorsqu’elle est activée. Elle permet de faire des choix.
Zone de notification
Zone de la barre des tâches située à droite des boutons de la barre des tâches. La
zone de notification affiche l’heure et peut aussi contenir des raccourcis permettant
35
d'accéder rapidement à des programmes tels que le Contrôle du volume et les
Options d'alimentation. D’autres raccourcis peuvent s'afficher temporairement dans
cette zone et fournir ainsi les informations sur l’état de certaines activités. L'icône
de raccourci de l’imprimante, par exemple, apparaît dès qu'un document a été
envoyé à l'imprimante et disparaît lorsque son impression est terminée.
Fig. 23. Zone de notification
dialogue
36
Onglets
Boutons
Fichiers et dossiers
Le fichier est unité basique de stockage en Windows. Tout document traité par
l’ordinateur avec Windows est un fichier. (Photo, vidéos, audio, texte, base de
données, page web, etc.)
Les fichiers sont caractérisés par un nom et une extension. Les deux sont séparés
par un point. L’extension permet à Windows de sélectionner le logiciel qui
permet d’ouvrir le fichier souhaité (exemple : Photo.jeg, musique.mp3,
syllabus.doc, etc.). Chaque type de fichier porte un icône conformément au logiciel
utilisé pour le traiter.
Les fichiers sont souvent regroupés en Dossier. Les dossiers sont aussi
placer dans d’autres dossiers et forment ainsi une Hiérarchie ou arborescence des
37
dossiers. Chaque dossier ou fichier porte un nom. Dans un dossier les fichiers
portent des noms différents s’ils ont le même format ou type.
Le disque dur est la mémoire de votre ordinateur. Quand vous enregistrez quelque
chose, c'est inscrit sur le disque dur. Cela permet à l'ordinateur de se souvenir de
vos fichiers, même lorsqu'il est éteint.
38
Bibliothèques créées
Bibliothèques par
défaut
Mes document est un dossier spécial dans lequel on stocke des documents, des
graphismes ou d'autres fichiers auxquels on peut accéder rapidement. Lorsque
vous enregistrez un fichier dans un programme, ce fichier est automatiquement
placé dans Mes documents, à moins que vous ayez spécifié un emplacement
différent. C’est la zone de stockage par défaut de Windows.
La corbeille est la une zone de stockage des documents supprimés. Pour des
raisons de sécurité un élément supprimé est temporairement conservé dans la
corbeille pour prévenir des suppressions accidentelles. On peut donc récupérer ou
restaurer un fichier de la corbeille. Lors qu’on vide la corbeille, les éléments
supprimés sont définitivement perdus (en théorie).
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Le point d’insertion
Le point d’insertion est un trait vertical clignotant qui indique l’emplacement où
s'insérera le prochain caractère qui sera frappé au clavier. Pour déplacer le point
d’insertion vous pouvez agir soit : sur les flèches droite, gauche, basse et haute du
clavier ou positionner le pointeur de souris là où vous désirez placer le point
d’insertion, puis cliquez.
a) b) c)
Fig. 28. Souris, pointeur de souris et Point d’insertion
Info bulle
Information qui apparait dans une bulle indiquant les spécifications de l’icône sur
laquelle vous pointez.
Exemple d’info
bulle
Le clavier
Selon l’arrangement des lettres latines sur le clavier, on distingue la disposition
AZERTY (Francophone) ou la disposition QWERTY (anglophone).
40
Fig. 29. Clavier AZERTY
A B C
, , , etc. : Lettres courantes sans diacritique des différents alphabets (latin,
cyrillique, grec, etc.)
é à ç é
, , , , etc. : Lettres avec diacritiques (accents, cédille, etc.), caractères
spécifiques d’un alphabet.
: , ! , #, $, etc. : Ponctuation, caractères spéciaux, symboles
(disposition variable en fonctions des langues)
1 , 2, 3, etc. : Chiffres
+ - * /
, , , ,: Opérateurs mathématiques
41
Ensert ou Ens : Touche insertion
: : Barre d’espace
Elles modifient l’effet produit par la prochaine touche enfoncée (par exemple, sur
un clavier azerty français ou belge : ^ pour saisir â, î ou ï).
^
Les Touches de combinaison
Ctrl : Contrôle
ou Home ou
Début ↖ : Touche début
Fn : Touche fonction des ordinateur portable (ne pas confondre avec les
touches F1, F2, etc.) ;
Impr. écran ou Print scrn : Impression écran
43
III .1.3. Les manipulations de base
Fermer un document :
b) Poste de travail
Poste de travail est aussi directement disponible sur le bureau et affiche les
ressources ou les informations dans différents lecteurs ou zone de stockage : disque
local (C ou D), disquette (A), CD-ROM (D), flash (E, F, G, …), document
partagés…
c) Explorateur Windows
Cliquer sur Démarrer, pointer sur tous les programmes, puis sur accessoires,
choisir enfin Explorateur Windows.
Pour XP, certains dossiers ou lecteurs sont précéder des signes + ou - . Cliquer sur
le signe + pour afficher le contenu d’un dossier ou d’un lecteur toujours dans la
partie gauche.
Pour Windows 7 les dossiers sont précédés des flèches pour le même rôle.
NB : vous pouvez explorer vos disques à partir de n’importe quel dossier ouvert.
Utiliser le panel gauche de la fenêtre du dossier, la barre d’adresse, les flèches qui
précédent les dossiers, les flèches précédent et suivants.
45
III.1.4.2. Travail dans les documents
Créer un nouveau dossier : clic droit sur le lecteur ou dossier, choisir nouveau,
puis dossier. Donner ensuite un nom à votre nouveau dossier et valider.
Modifier le nom : clic droit sur le dossier, choisir renommer, taper un nouveau
nom et valider.
Sélectionner un document : cliquer sur l’icône du document.
Sélectionner tout les éléments d’un document ou dossier : utilisez la
combinaison CTRL+A
46
supprimer un fichier ou un dossier, Windows le place dans la corbeille. Si vous
voulez supprimer directement un fichier ou un dossier sans passer par la corbeille,
appuyer sur Shift et supprimer.
III.1.4.3. Configuration
Double clic sur l’icône qui contient les paramètres que vous recherchez (apparence
et thème pour modifier l’arrière plan du bureau, l’écran d’éveille, la couleur…)
La grande majorité des logiciels fonctionne sur le même principe. Évidemment ils
ne fonctionnement pas tous exactement de la même manière, mais un certain
nombre d'éléments sont similaires d'un logiciel à l'autre :
Ils se démarrent et s'arrêtent de la même façon ;
On enregistre notre travail de la même façon ;
On accède aux options de configuration de la même façon ;
On imprime son travail de la même façon ;
Certains menus sont identiques ;
etc.
Vous trouverez toujours des logiciels qui ne fonctionnent pas comme les autres...
Mais c'est plutôt rare. Bref, quand on en connait un, on en connait cent
Lorsqu'on clique sur le menu Démarrer, une liste apparait. Elle contient les
logiciels les plus couramment utilisés (très pratique). Si vous n'avez pas encore
beaucoup utilisé votre ordinateur, vous aurez une liste sans grand intérêt, mais peu
importe.
Cliquez sur le bouton Tous les programmes pour accéder à la liste complète de vos
logiciels, dans laquelle certains sont rangés par catégories.
47
Méthode 2 : avec le champ de recherche
Ouvre le menu Démarrer et tapez les premières lettres du nom du programme que
vous voulez lancer dans le champ de recherche :
Au fur et à mesure que vous tapez le mot, la liste est filtrée et seuls les éléments
correspondant à ce que vous tapez sont affichés. Vous avez alors très vite accès au
logiciel désiré. Essayez par exemple avec le mot "Bloc-notes" (nous allons nous en
servir dans la sous-partie suivante.
Si en plus vous avez plusieurs sessions sur votre ordinateur (Plusieurs utilisateurs),
cliquer sur le nom de la session que vous voulez ouvrir, entrez le mot de passe
(éventuel), appuyez sur la touche entrée ou cliquer sur le bouton OK. Attendre de
nouveau le chargement des vos paramètres personnels. Le processus d’allumage se
termine lorsque le bureau apparaît.
III.1.4.6.Fermeture de l’ordinateur
Cliquer sur démarrer, puis sur arrêter l’ordinateur, et enfin sur le bouton arrêter.
Au lieu d’arrêter l’ordinateur, vous pouvez le mettre en Veilleuse ou en
hibernation. La veille est le mode de fonctionnement d’un équipement dans lequel
tous les sous systèmes sont éteints sauf un circuit qui permet de le réveiller
rapidement. L’hibernation est l’état dans lequel passe un ordinateur (portable)
48
quand on doit économiser son énergie, avant de s’éteindre l‘ordinateur sauvegarde
tout son environnement (applications ou fenêtres ouvertes, etc.) qu’on retrouvera
tel quel au rallumage.
a) Le système Linux
Les systèmes Unix étaient encore, au début des années 1980, propriétaires. Le
besoin a pour ainsi dire suscité des initiatives alternatives, dont la première fut en
1983 le lancement du projet GNU par Richard Stallman. En 1984, ce dernier a
créé la Free Software Foundation (FSF, fondation du logiciel libre), cadre juridique
au projet GNU. L’objectif de ce projet était d’écrire un système Unix complet en
repartant de zéro, de manière compatible avec les systèmes existants, et sous forme
de logiciel libre.
Au début des années 1990, tous les éléments du système GNU étaient prêts. Seul
manquait le noyau, cœur assurant la liaison de l’ensemble, couche intermédiaire
entre le matériel et les éléments du système.
Le cœur qui manquait a été écrit par un étudiant finlandais du nom de Linus
Torvalds. C’est noyau a été appelé LINUX en hommage de son concepteur
(Linux= Unix de Linus). Son projet, initié en 1991, est rapidement devenu
49
fonctionnel. Dès 1993, les premières solutions complètes intégrant le noyau Linux
et le système GNU, ainsi que quelques applicatifs, ont vu le jour. Elles n’ont
depuis pas cessé de se développer en volume, qualité, et base installée.
Par la suite la FSF a demandé qu’on lui rende hommage en réservant le mot «
Linux » au seul noyau et en utilisant l’expression « GNU/Linux » ou « GNU-Linux
» pour le système complet.
Dans la pratique, les distributions Linux constituent une alternative mondiale dans
le domaine du système d’exploitation face au géant Windows et le particulier Mac
OS.
Il existe des distributions principales (ou majeures, moins d’une dizaine) et des
distributions secondaires (ou mineures, plus de trois cents). Parmi les principales,
citons :
Debian : la distribution de référence.
Red Hat : l’autre distribution de référence maintenant commerciale et pour
les serveurs d’entreprise.
Gentoo : la distribution à partir des sources.
Slackware : la distribution la plus ancienne.
Ubuntu : la distribution la plus aboutie basée sur la distribution Debian.
Fedora : la version communautaire et grand public de la distribution Red
Hat.
Centos : la version communautaire strictement équivalente à la version
commerciale de la Red Hat Entreprise recompilée à partir des sources.
50
OpenSuse : au préalable basée sur une distribution Slackware, maintenant
autonome et passée sous contrôle de l’entreprise Novell.
Mandriva, la distribution d’origine française basée sur une distribution Red
Hat.
Knoppix : Distribution basée sur Debian, la Knoppix connaît un succès
grandissant ! Cette distribution s’amorce directement depuis un CD-Rom,
sans installation ni partitionnement, et offre un système Linux complet, prêt
à l’emploi, abritant environ 2 gigaoctets de logiciels utilisables.
d) La distribution Ubuntu
La distribution Ubuntu est née en 2005 par la Ubuntu Fondation (dont le but
avéré est de contribuer à la popularisation du système d’exploitation Linux). Cette
fondation appartient au multimillionnaire sud africain Mark SHUTTLEWORTH.
e) Philosophie d’Ubuntu
f) La promesse d’Ubuntu :
Ubuntu sera toujours gratuit, ainsi que ses versions pour les entreprises et
ses mises à jour de sécurité.
Ubuntu est accompagné d’un support commercial de Canonical et des
centaines de prestataires dans le monde.
51
Ubuntu propose les meilleures traductions et la meilleure accessibilité que la
communauté des logiciels libres puisse offrir.
Les principales applications d’Ubuntu sont gratuites et leurs sources sont
disponibles.
g) Ubuntu sur le plan technique
52
/boot : contient les fichiers nécessaires au démarrage.
/cdrom : lien vers le répertoire /media/cdrom.
/dev : contient les fichiers spéciaux descripteurs de périphériques.
/etc : contient les fichiers de configuration utilisés par les programmes.
/home : contient les données propres à chaque utilisateur du type
/home/nom_utilisateur.
/initrd : répertoire utilisé par le système pour le démarrage du noyau et des
modules via un disque virtuel en RAM.
/lib : contient les bibliothèques du système et des binaires.
/lost+found : répertoire contenant les fichiers orphelins ou endommagés
après une vérification, il indique que le répertoire courant est sur une
partition dédiée.
/media : répertoire de montage des périphériques temporaires comme le
CDRom,les clés USB, etc.
/mnt : répertoire ayant autrefois le rôle de /media, sert maintenant d’espace
de montage de test pour l’administrateur.
/opt : contient les paquetages logiciels supplémentaires et particuliers
(comme la taille) nécessitant un espace d’installation différent.
/proc : interface contenant un système de fichiers virtuel pour les
informations sur le noyau et les processus.
/root : répertoire spécifique et séparé de l’administrateur.
/sbin : contient les fichiers binaires exécutables plus spécialement pour
l’administrateur.
/srv : contient les données des services offertes par le système, comme par
exemple le système LTSP.
/sys : contient les informations en provenance de /proc donc de la part des
gestionnaires de périphériques sous la forme d’un pseudo-système de
fichiers.
/tmp : espace de stockage des fichiers temporaires.
/usr : contient les données statiques exploitées par les utilisateurs : sources,
exécutables, documentation, bibliothèques, etc.
/var : contient des fichiers à variables comme par exemple les journaux, les
bases de données...
53
L’arborescence s’obtient sur la distribution live par les menus Raccourcis Poste
de travail. L’item Système de fichiers affiche les icônes des répertoires de
l’arborescence.
III.2.3. Utilisation d’Ubuntu
Comme sur Windows, on utilise la souris pour naviguer sur le bureau, ouvrir des
applications, déplacer des fichiers et réaliser la plupart des autres tâches. En
résumé, les choses sont orientées visuellement. Lorsque vous lancer le système,
l’interface suivant s’ouvre :
55
Tableau de bord
Autres applications
Lentille sélecteur
d’espace de travail
Zone des indicateurs
Corbeille
a) b)
Les espaces de travail sont également considérés comme des bureaux virtuels. Ces
vues distinctes de votre bureau vous permettent de regrouper des applications, et ce
faisant de réduire l’encombrement et améliorer la navigation dans votre bureau.
Par exemple, vous pouvez ouvrir toutes vos applications multimédia dans un
espace de travail, votre suite bureautique dans un autre, votre navigateur internet
dans un troisième. Ubuntu dispose par défaut de quatre espaces de travail.
Pour basculer entre les espaces de travail, cliquez sur le sélecteur d’espace de
travail, que vous trouverez dans le lanceur. Cet outil vous permet d’afficher un
aperçu des espaces de travail (que ceux-ci contiennent ou non des applications
ouvertes) et de choisir celui désiré.
Lorsque vous ouvrez un programme dans Ubuntu une fenêtre apparaît sur votre
bureau. Dans Ubuntu, les fenêtres sont très similaires à celles que l’on trouve avec
Microsoft Windows ou Mac OS X
Dans Ubuntu il y a de nombreuses façons de passer d’une fenêtre ouverte à une
autre :
56
Si la fenêtre est visible sur votre écran, vous pouvez cliquer sur n’importe
quelle partie de celle-ci pour la porter au-dessus de toutes les autres fenêtres.
Utilisez Alt+Tab pour choisir votre fenêtre de travail. Maintenez la touche
Alt enfoncée tout en appuyant successivement sur Tab jusqu’à ce que la
fenêtre recherchée apparaisse au-dessus des autres.
Cliquez sur l’icône correspondante sur le Lanceur. Déplacez votre souris sur
le côté gauche de l’écran pour afficher le Lanceur, et cliquez droit sur
l’icône de l’application. Si plusieurs fenêtres de l’application sont ouvertes,
double-cliquez sur l’icône afin de sélectionner la fenêtre que vous voulez.
Menu Aller à
Pour accéder au menu Aller à, déplacez votre souris au-dessus de la barre de titre
et choisissez Aller à. Vous pouvez parcourir les fichiers de votre ordinateur en
choisissant Poste de travail dans ce menu. Si vous avez paramétré un réseau
domestique, vous trouverez un élément de menu pour accéder aux fichiers ou
dossiers partagés.
Votre dossier personnel
Le dossier personnel vous sert à stocker vos fichiers personnels. Son nom
correspond à votre nom d’utilisateur. Lorsque vous ouvrez votre dossier personnel,
vous verrez qu’il contient plusieurs dossiers supplémentaires, à savoir le Bureau
(qui contient tous les fichiers visibles sur le bureau), les dossiers Documents,
Images, Modèles, Musique, Public, Téléchargements et Vidéos. Ces dossiers sont
créés automatiquement pendant le processus d’installation. Vous pouvez ajouter à
votre guise et à tout moment des fichiers ou dossiers supplémentaires.
57
d) Gestionnaire de fichiers Nautilus
Tout comme Windows a l’Explorateur Windows pour parcourir les fichiers et les
dossiers, Ubuntu utilise par défaut le gestionnaire de fichiers Nautilus. Lorsque
vous choisissez le raccourci Dossier personnel dans le lanceur, que vous cliquez
sur un dossier dans le tableau de bord ou que vous double-cliquez sur un dossier de
votre bureau, la fenêtre du gestionnaire de fichiers Nautilus s’ouvre. Par défaut, la
fenêtre contient les fonctions suivantes : La barre de menus, la barre de titre et la
barre
58
f) Options de session
Grâce à l’Indicateur de session (tout à fait à droite dans la barre de menus), vous
pouvez Fermer la session, Mettre en veille, Redémarrer ou Éteindre votre
ordinateur. Dans l’Indicateur de session, vous pouvez choisir de Verrouiller
l’écran (demande un mot de passe pour pouvoir à nouveau utiliser l’ordinateur).
III.2.4. Travailler avec Ubuntu
Si vous effectuez une migration à partir d’une plate-forme Windows, vous pouvez
vous demander si les programmes que vous avez déjà utilisés sont disponibles pour
Ubuntu. Certains des programmes que vous utilisez déjà ont des versions natives
Linux. Et, pour ceux qui n’en ont pas, il existe des applications libres et open
source qui couvriront vos besoins. Le tableau suivant, reprends les logiciels les
plus utilisés :
Catégorie logiciel Ubuntu Windows
59
Messenger, Google
Talk
60
une machine virtuelle et des bibliothèques permettant d'exécuter des
programmes prévus pour la plate-forme Java
un framework - kit de développement d'applications
III.3.3. Les applications d’Android
Vous êtes ensuite invité à créer un compte Google ou à vous connecter à votre
compte Google, puis à prendre des décisions initiales sur l’utilisation des
fonctionnalités d’Android et de Google.
61
b) Présentation de l’écran d'accueil
Lorsque vous vous connectez, l'écran d'accueil s'affiche. Il s'agit du point d'accès à
toutes les fonctionnalités disponibles sur votre téléphone. Il présente des icônes
d'applications, des widgets, des raccourcis et d'autres fonctionnalités. Vous pouvez
personnaliser l'écran d'accueil en y affichant le fond d’écran et les éléments de
votre choix.
Pour afficher les autres parties de l’écran d’accueil, faites glisser l'écran d’accueil
vers la gauche ou la droite avec votre doigt. Les extensions de l’écran d’accueil
offrent plus d'espace pour les widgets, les raccourcis et les autres éléments.
c) Utilisation de l’écran tactile
Appui : Pour agir sur les éléments affichés, saisir des lettres et des symboles à
l'aide du clavier à l’écran, ou appuyer sur les boutons à l’écran, il suffit de les
toucher avec votre doigt.
62
Action de glisser : Effectuez un appui prolongé sur un élément, puis déplacez
votre doigt sans le décoller de l’écran jusqu'à la destination souhaitée. Cette action
permet de déplacer des éléments sur l'écran d'accueil.
Appui double : Appuyez deux fois rapidement sur une page Web, une carte ou un
autre écran pour zoomer.
Pincer : Dans certaines applications (Google Maps, Navigateur et Galerie, par
exemple), vous pouvez effectuer un zoom avant et arrière en plaçant deux doigts
en même temps sur l'écran et en les pinçant (zoom arrière) ou en les écartant (zoom
avant).
Rotation de l’écran : Sur la plupart des écrans, l’affichage pivote si vous inclinez
le téléphone sur le côté. L’affichage reprend sa position initiale lorsque le
téléphone est de nouveau droit. Pour savoir comment activer ou désactiver cette
fonctionnalité, voir la section "Paramètres d'affichage" à la page.
63
touche Microphone, puis en la faisant glisser vers l’icône Paramètres dans la
petite fenêtre qui s’ouvre.
64
Lorsque la saisie de texte à l’aide du clavier à l’écran est possible, la saisie vocale
l’est également.
1. Appuyez sur ACCUEIL, MENU, puis sur Paramètres > Langue et clavier >
Clavier Android.
2. Appuyez sur Saisie vocale.
3. Appuyez sur l’option permettant de définir l’emplacement de la touche
Microphone (sur le clavier principal ou le clavier des symboles). De même, vous
pouvez appuyer sur Désactivée pour désactiver la saisie vocale.
65
Chapitre IV. Microsoft WORD
IV.1. Présentation générale des logiciels de traitement de
texte
IV.1.1. Définition et concepts clés
Ruban
Boutons Groupes
Zone de
saisie
Barre d’état Barres de défilement
D’éta Barre affichage
69
Boutons qui affichent un menu : ,
Le bouton Office se trouve dans le coin supérieur gauche de la fenêtre Word. Son
icône est : . Il permet d’afficher le menu qui comporte les commandes de base
à savoir celles permettant d’ouvrir, d’enregistrer et d’imprimer, d’envoyer, de
Préparer, ou de Publier votre fichier
Par défaut, la barre d’outils Accès rapide se trouve dans la partie supérieure
de la fenêtre Word . Elle permet d’accéder rapidement aux outils
que vous utilisez fréquemment. Vous pouvez personnaliser la barre d'outils Accès
rapide en y ajoutant des commandes.
La barre de statuts donne des informations sur la position du curseur, le
nombre de page, le nombre des mots, la langue du document, la section se
rapportant au document actif.
La zone de saisie représente virtuellement une feuille de papier (avec les
dimensions paramétrables). Par défaut, la dimension de la feuille est A4. C’est
dans cette zone que se fait la saisie proprement dite.
IV.3. Quelques manipulations de bases
b) Document existant
Pour ouvrir un document qui a déjà été enregistré, vous pouvez cliquer sur la
commande Ouvrir. Cela ouvre une boîte de dialogue dans laquelle il vous faut
70
spécifier l’endroit où se trouve le document. Vous pouvez entrer dans le dossier
qui contient votre fichier et faire un double clic sur votre document. Le bouton
ouvrir se trouve dans le menu Office.
71
Pour activer une commande, il faut cliquer sur le bouton de cette commande.
Certaines commandes présentent des sous-commandes, des listes déroulantes ou
même des boîtes de dialogues. On les remarque par une petite flèche. Pour
retrouver les commandes, commencer par cliquer sur l’onglet qui contient cette
commande.
72
Positionner le curseur à l’endroit d’insertion et activer la commande clic
droit droit/Coller pour restituer le contenu de la mémoire.
Remarque
Le contenu de la mémoire tampon reste actif jusqu’à ce que vous la
remplaciez par une autre zone en cliquant de nouveau sur le bouton copier. La
mémoire tampon contient l’information et celle-ci peut être restituée dans
n’importe quel document Word ou même dans n’importe quel programme office.
La notion de Copier/Coller est une fonction essentielle de l’environnement
de Windows, qui vous permettra de mélanger ou de récupérer un grand nombre
d’informations tout au long de votre travail.
La notion de Couper/Coller fonctionne exactement de la même façon que la
commande Copier/Coller à la différence près que dans un cas vous déplacez la
zone sélectionnée et dans l’autre cas vous la recopiez.
c) Effacer du texte
La zone sélectionnée étant toujours influencée par la ou les commande(s)
activée(s), il en va de même pour les touches claviers. Si vous sélectionnez un mot
et que vous appuyez sur la touche [Del] le mot sera effacé.
Remarque : Pour remplacer un texte, il n’est pas nécessaire d’appuyer sur la
touche [Del] après avoir sélectionné votre zone, étant donné que le 1er caractère
saisi au clavier remplacera votre sélection.
d) Mise en forme d’un texte
Pour modifier un texte on peut changer la police des caractères, la taille, la
couleur de la police, la couleur de surbrillance. Le texte peut être centré, justifié,
aligné à gauche ou à droite, on peut appliquer un style de textes pré définit. Toutes
ces fonctionnalités sont des commandes disponibles dans l’onglet Accueil, groupe
Police, Paragraphe, ou Style.
Exemple de mise en forme de texte :
Police de caractère Times New Roman
Police de caractère Arial
Police de caractère Courier New
Police de caractère Comic Sans MS
Police de caractère Lucida Calligraphy
Police de caractère Tahoma
Police de caractère Segoe Script
73
Taille de police 20
Taille de police 11
Taille de police 36
Taille de police 12
Texte gras, Texte en italique, Texte souligné, Texte Barré
e) Insertion d’objet
Dans Word 2007 l’onglet insertion vous permet d’ajouter d’autres objets à
votre texte. C’est le cas des tableaux, des illustrations (images, graphiques, formes,
etc.), des numéros de pages, des en-têtes et pied de pages, des symboles ou
caractères spéciaux, des équations mathématiques, etc.
Fig.4. Boîte de
dialogue impression
74
Choisissez la plage ou l’étendue de page à imprimer, le nombre de copie, le
nombre de page par feuille, l’imprimante puis cliquer sur OK.
IV.4. Quelques manipulations avancées
Les équations insérées peuvent être modifiées. Pour insérer une nouvelle
équation, cliquer dans ce même menu sur la commande « Insérer une nouvelle
équation » ou cliquer directement sur le bouton « équation » du groupe Symbole
de l’onglet Insertion. Cela va ouvrir un nouvel onglet « Outils d’equation » et va
placer un élément indiquant l’endroit où placer l’équation.
75
Pour placer une table des matières, le document doit être numéroté de
préférence (Word compte les pages par défaut). Les titres, sous titres et points du
texte doivent être configurés en style. Utiliser donc le groupe Style de l’onglet
Accueil (figure 6) pour configurer les différents titres qui doivent faire parti de la
table des matières. Vous n’avez plus qu’à sélectionner un titre et ensuite cliquer sur
son style. Répéter l’opération sur tout le document. Exemple de configuration de
style (Taille, couleur, type de la police et le nom du style):
Fig.8.a) Menu du bouton Table des matières b) Menu du bouton Table des matières
76
Choisissez le type de table de matières que vous voulez insérer. Word
générera automatique une table des matières comme celle illustrée par la figure 8.
Si vous n’avez pas configuré les titres, Word utilisera les numérotations des
titres et les numéros de pages implicites. Ceci ne donne pas toujours des résultats
satisfaisants. C’est pourquoi, il faut recourir à la méthode évoquée ci haut.
A partir de la table des matières vous pouvez directement vous rendre sur la
page qui contient un titre en effectuant CTRL plus clic sur le titre en question.
77
Il existe plusieurs formes de citations. On les appelle styles ou standard. Elles
reprennent pour la plus part le nom ou les initiales de l’auteur ou des auteurs et
l’année de publication ou d’accès. De fois on trouve seulement des numéros entre
Crochets ou entres parenthèses.
Pour placer automatiquement une référence, commencer par fournir toutes les
informations en rapport avec chaque source d’informations utilisée. Pour cela,
placer le curseur à l’endroit où sera la citation, ouvrez l’onglet Références, dans le
groupe citations et bibliographie, cliquer sur la commande Insérer une citation,
un menu s’ouvre (les sources déjà utilisées dans le document apparaissent dans ce
menu), choisir la commande Ajouter une nouvelle source…(Figure 11).
Insertion
Style
Sources
Créer la biblio déjà
utilisées
Nouvelle
source
78
Utiliser la liste déroulante pour choisir les types de document
Les types de sources peuvent être : ouvrage, journal, article d’un journal,
rapport, compte rendu de conférences, site web, article d’un site web, document
électronique, document audio,…
Les autres informations dépendent du type du document : les noms des
auteurs, le titre du document, institution qui l a produit, l’année de publication,
l’année de consultation, le nom de la page web, l’URL de la page, etc.
Vous pouvez les informations à tout moment, utiliser la commande Gérer les
sources pour cela.
Pour placer la bibliographie, utiliser la commande « Bibliographie ». Vous
pouvez choisir le style de la bibliographie en utilisant sa liste déroulante. La
commande style modifier le style de la citation et non de la bibliographie.
79
Chapitre V. Internet et Web
V.1. La technologie Internet.
a) Définition du réseau
80
b) Définition et exemple des protocoles réseau
81
Les données sont généralement numérisées et codées sur le support. Par
exemple la différence de tensions (ou courant) du courant électrique alternatif est
utilisée pour transmettre un 0 ou un 1. Une horloge mesure le temps pendant
lequel une tension est maintenue.
Pour la fibre optique, les ondes lumineuses changent de fréquence chaque fois
pour transmettre un 1 ou un 0.
Les transmissions sans fil utilisent les ondes porteuses pour transmettre des 0
et des 1. On utilise une variation des caractéristiques de l’onde porteuse
(amplitude, fréquence ou de phase). On parle de transmission par modulation
d’onde porteuse (Figure 61).
82
Un nœud est un point de rattachement à un réseau. L’Internet est composé
d’équipements interconnectés entre eux par différents types de liaisons au niveau
des nœuds. Un nœud peut être un ordinateur ou un routeur.
On trouve principalement deux classes d’équipements : des équipements
terminaux, tel qu’un simple micro-ordinateur, et des routeurs, destinés à relayer
les informations entre les équipements terminaux. Tous ces équipements sont
qualifiés de nœuds du réseau.
Certaines machines du réseau contiennent (hébergent) des logiciels
répondant à des requêtes en provenance d’autres nœuds. On qualifie ces machines
de serveurs, et les logiciels qu’elles hébergent sont appelés logiciels serveurs.
Un client est tout ordinateur du réseau demandant des services un serveur.
Il faut dispose également d’un logiciel client.
Un service est une fonctionnalité offerte par le logiciel hébergé sur un
serveur. A chaque service correspond des logiciels de type client, des logiciels de
type serveur, et un protocole leur permettant d’échanger des informations.
Exemple de services: téléphonie, télévision, messagerie, etc.
Toute machine sur l’Internet possède un code d’identification unique, appelé
adresse IP. C’est un numéro de genre 137.194.168.13.
Les adresses IP sont utilisées par les logiciels clients et serveurs. Quand un
utilisateur veut accéder à un serveur, il doit utiliser le nom de domaine du serveur.
Donc à chaque adresse IP correspond un et un seul nom de domaine.
b) Historique du réseau internet
Au départ, il n’y avait que deux ordinateurs reliés par ARPANET. Puis,
d’autres ont été inclus au réseau. Tous faisaient parti de centres de recherche ou
d’Universités. En 1970, ARPANET raccordait 4 universités américaines de Santa
Barbara, de l'Utah, de Stanford et de Los Angeles.
83
Le réseau s’est agrandi pour accueillir des centres du département de défense
américain, des sites universitaires et des centres de recherche. Au fil des années, ce
sont de plus en plus d'ordinateurs qui se sont connectés...
En 1980, les protocoles TCP/IP (Transmission Control Protocol/Internet
Protocol) sont créés et sortent du secret militaire et entrent dans le domaine public
; n’importe qui peut les utiliser gratuitement. L’ARPANET devint au fur et à
mesure de ses évolutions notre Internet. Ce réseau est désormais public et
n’appartiens à personne.
L’Internet est maintenant constitué d’une dorsale vBNS (very high speed
Backbone Network Service) qui fait le tour des Etats-Unis, interconnectant des
réseaux régionaux ainsi que d’importants centres de calcul. Elle est reliée en cinq
nœuds principaux à des points d’échange de trafic commercial situés dans les
régions de Chicago, Los Angeles, New York, San Francisco et Washington
(Figure 14).
Les fournisseurs Internet du monde entier viennent se connecter chacun sur
plusieurs de ces points ou sur leurs sous nœuds (Qui peuvent être à l’extérieur des
Etats-Unis).
De part cette architecture, 70% des informations qui circulent sur le réseau
internet passe par le territoire Américain. Ce qui leur donne une grande capacité de
surveillance et d’espionnage.
84
l’attribution des noms de domaines.
Nous pouvons citer les organismes tels que : Merit, Information Sciences Institute
(ISI), Internet Society, Iana (Internet Assigned Numbers Authority), RIPE,
APNIC, InterNIC, etc.)
85
V.2. La technologie Web
a) Définition du web
Le Web est avant tout une méthode d’exploitation des données basée sur les
liens hypertextes.
Un lien hypertexte est un moyen de navigation dans un ensemble
d’informations : celles-ci sont reliées les unes aux autres par l’intermédiaires des
liens. Lorsqu’on clic sur un lien dans un document, on aboutit directement au
point correspondant dans un autre document, et ainsi de suite.
Les hypertextes sont généralement mis en relief (gras, souligné, en
couleur, etc.) pour les distingués des autres textes. Lorsqu’on utilise d’autres
icônes ou images comme lien, on parle d’hypermédia.
Le texte que cache un lien peut se trouver sur un autre ordinateur connecté
par n’importe quel réseau. Ce mode de fonctionnement permet ainsi d’afficher le
contenu d’un ordinateur distant. C’est-à-dire utiliser les liens pour charger dans
la mémoire vive d’un ordinateur, le contenu se trouvant dans la mémoire
secondaire d’un autre ordinateur.
C’est le britannique Tim Berners-Lee (du CERN en suisse) qui inventa le Web.
b) Le web et le WWW
Le web a été implémenté sur le réseau internet pour faire le « World Wide
Web » ou WWW qu’on pourrait traduire par « Grande toile d'araignée mondiale ».
La toile fait bien sûr référence à l'immense réseau qu’est Internet. Le WWW est
souvent appelé Web. Donc web +Internet = WWW.
86
Il se présente comme est une gigantesque base de données multimédia
stockée sur des serveurs dits « serveurs web » accessibles sur le réseau internet.
Par abus de langage le WWW est aussi appelé « web ». Ce grand Web est
un système d’information multimédia fondé sur un protocole (HTTP : HyperText
Transfer Protocol) et un standard de formatage des pages (HTML : HyperText
Services Markup Language). Ses principales caractéristiques sont les suivantes :
Une délocalisation totale du contenu, puisque les documents sont accessibles
indifféremment depuis n’importe quel nœud du réseau.
La possibilité de faire référence à n’importe quel objet ou document au sein
d’un autre document (c’est la notion de lien hypertexte ou hypermédia).
La capacité à acheminer l’information vers des applications externes, ce qui
en fait un outil complètement extensible.
Un document web est un ensemble des ressources web. Une ressource web
est un fichier multimédia (Texte, image, son, vidéo, graphiques, etc.) stocké sur un
serveur web. Un serveur web est un ordinateur puissant connecté en permanence à
internet et proposant les fonctionnalités du web.
Chaque ressource du web possède une adresse unique qui le distingue des
autres. Cette adresse est appelée URL (Uniform Resource Locator). Les différentes
ressources du web sont regroupées souvent en dossiers qui possèdent à leur tour
des URL et sont appelés Pages Web.
Les pages web d’une organisation sont aussi regroupées dans un dossier qui
doit lui aussi posséder une URL. Ce grand dossier est appelé Site web. Il est erroné
de parler de « site internet ». Un site web est donc une arborescence des pages web
et des ressources.
87
L’adresse d’un site web se présente de cette façon : http://www.radiookapi.net
http:// : Protocole utilisé. La plupart du temps, on ne l’écrit pas car il est
implicite. Autrement dit, il est ajouté automatiquement par l’ordinateur.
www : Ces trois www signifient... « World Wide Web ». Notez que tous les
sites n’ont pas forcément ces « www » dans leur adresse.
radiookapi : Le nom du site. C’est la partie centrale qui, en général,
correspond au nom de la société ou de l’organisme en question.
net : le domaine de premier niveau. Il donne une première indication sur le
contenu du site.
Le Web 1 est vue comme un ensemble de pages statiques, élaborées par des
professionnels, à des internautes qui les visionnaient. Il s’agissait de donner des
informations descendantes de celui qui les possède vers celui qui les consulte.
Le Web 2.0 démocratise la création des contenus. Il marque l’évolution d’une
consommation passive à une participation active où l’internaute, tout en demeurant
consommateur, est aussi auteur et évaluateur.
Le Web 3.0 désigne, pour sa part, différentes possibilités d’évolutions futures
du Web. La vision la plus courante est d’un Web sémantique où des ordinateurs
utilisent des programmes intelligents pour analyser toutes les données sur le Web
(contenu, liens, transactions), qu’elles soient en langage naturel ou non.
88
V.2.2. Navigation et Recherche sur le web
Il y a plusieurs façons d’atteindre un site Web. Bien sûr vous pouvez taper
son adresse dans la barre prévue à cet effet de votre navigateur. Mais bien souvent,
on atteint un site Web l’en ayant cherché depuis un moteur de recherche : un site
d’un genre particulier qui permet, comme son nom l’indique, de chercher sur le
Web.
Les moteurs de recherche sont des sites Web un peu spéciaux qui permettent
de chercher d’autres sites. Cela dit, ils restent des sites comme les autres : on peut
donc par exemple les mettre en favoris pour ne pas avoir à taper leur adresse à
chaque recherche.
89
Onglet du navigateur
Barre d’adresse
Ajouter un
Onglets du moteur
onglet au
navigateur (Types de recherche et Nom du site
services (moteur de
recherche)
Barre de recherche
Boutons de recherche
Fig.15. Moteur de recherche Google lancer avec FireFox
Lors d’une recherche sur le Web, la plus grande « difficulté » est de bien
définir ses mots-clés. Les moteurs de recherche associent les sites Web (ou toute
autre ressource du web) à des mots-clés. Le but du jeu est de trouver ces mêmes
mots-clés. Prendre le temps de trouver de bons mots-clés est très important. Cela
permet non seulement de cadrer la recherche, mais aussi de réduire le nombre de
résultats possibles.
NB : Google n’est pas la source des informations qu’il vous propose après vos
requêtes. Il ne faut jamais donc dire : « j’ai tiré ces informations dans Google ».
La plus part des moteurs de recherche, bien que disposant des moyens de
corrections orthographiques et de reconnaissance typographique (suggestions au
cours de la frappe), ne sont pas intelligents et ne comprennent pas par conséquent
les questions qui leurs sont posés. Il ne sert donc à rien de taper dans la barre de
recherche toute votre question. Vous n’aurez pas de réponse à votre question mais
des références vers les sites qui contiennent vos mots clés indexés.
Les résultats d’une recherche se présentent sous la forme d’une liste de
liens. Chacun de ces liens mène potentiellement vers le site qui vous intéresse. Ils
sont accompagnés d’un petit texte descriptif ainsi que de l’adresse exacte du site en
question. Sur certains sites très fréquentés, un plan plus ou moins détaillé peut
même être affiché :
90
le titre du site ;
un petit texte descriptif ;
l’adresse web du site (en vert) ;
un plan du site (ce dernier n’apparaît que sur certains gros sites)
Petits textes
descriptifs
Adresse des
sites
Il est souvent difficile d’afficher tous les résultats sur une seule page. Le
moteur vous propose des résultats sur plusieurs pages. On y accède soit en cliquant
sur le numéro de la page soit en cliquant sur suivant. Le moteur vous propose
également des recherches qui peuvent être associées à votre recherche. Cette
fonctionnalité est très utile la figure suivante le montre :
91
Cliquer sur un lien
pour démarrer une Le mot clé
nouvelle recherche d’origine
avec les mots clés
proposés
Numéros des
pages
92
Les opérateurs de base
93
Les opérateurs avancés
94
Un site Internet cache:adresse du site Lorsqu’un site est répertorié sur Google, ce
dont je connais moteur de recherche en sauvegarde une copie
l’adresse, mais exemple : complète.
qui ne semble De ce fait, si le serveur hébergeant un site donné
plus être en ligne cache: www.googleguide est en panne, fermé, ou non accessible, il peut
être encore possible de consulter la copie
sauvegardée sur le serveur de Google.
Pour ce faire, inscrivez dans votre requête
cache: suivi de l’adresse du site ou encore,
cliquez sur le lien «cache» qui apparaît sous le
résultat concerné.
Des informations location: nom de l'endroit Un opérateur pratique lorsque l'on veut se tenir
provenant d'une exemple : informer de ce qui se dit ou se passe ailleurs sur
région location:France notre belle petite planète.
particulière du
globe.
Des informations terme1 terme2 source:nom du Cet opérateur fonctionne seulement avec les
95
concernant un média médias qui ont site d'information en ligne.
sujet particulier et exemple:
provenant d'un scandale commandite
média précis. source:cyberpresse
(avec Google
News)
Des sites book:titre du livre Avec cet opérateur, Google vous proposera une
présentant ou liste de sites offrant des critiques, des analyses
diverses books:titre du livre et des extraits du livre choisi.
informations exemple :
relatives à un book:la guerre des mondes
livre dont vous ou
connaissez le books:la guerre des mondes
titre…
Remarque
Ces opérateurs peuvent bien entendu être combinés entre eux pour obtenir
une précision de recherche encore plus accrue.
Lors de la recherche, si vous tapez un calcul, Google vous renvoie le
résultat. Par exemple, la recherche 10*23 renvoie 230.
Vous pouvez accentuer la précision de la recherche. Ceci signifie que vous
avez une idée très précise de ce que vous recherchez et que vous savez plus
ou moins où chercher. Cela veut aussi dire que si vous entrez trop de
précision dans votre requête et que celle-ci n’est pas formulée exactement de
la même manière à c’elle répertoriée dans Google, vous risquez de n’avoir
aucun résultat.
c) Les moteurs de recherche sémantique
96
géologie ou science de la terre, physique, géographie, ingénierie, informatique et
nouvelles technologies, alimentation et nutrition, histoire, etc.
La seule difficulté avec ces moteurs est de « comment rédiger sa question
pour qu’elle soit compréhensible pour les moteurs ? » En effet, ils ont une façon
de poser des questions. Il faut connaitre avant tout ce langage.
Les sites vitrines sont des sites de présentation ou de publicité sur le net d’une
entreprise.
Les portails sont des sites web destinés à accueillir les internautes d’un de leur
début de surf.
c) Les blogs
Le mot wiki vient due l’expression hawaïen « WikiWiki » qui veut dire « rapide
».
La communauté qui suit un utilisateur des micros blogs est appelée « Followers ».
Exemple : Twitter
Les réseaux sociaux ou la toile à visage humain sont des espaces Web
conçus pour le partage de renseignements entre un individu et son réseau de
relations sociales, directes et indirectes. Utilisés pour retrouver des relations,
connaître leur réseau social et échanger avec les personnes choisies des
renseignements sur soi (profil : état d’esprit, activités, photos, etc.) ou sur un sujet
d’intérêt.
Ces sites sont des sites où l’on peut héberger et partager des médias divers
(vidéo, photo, audio ou autres). Ces sites sont utilisés pour diffuser largement des
médias que l’on a produits, les regrouper, les partager avec d’autres, les indexer,
les commenter ou les utiliser dans la formation.
VI.1.1. Définitions
Un Tableur est un logiciel outil qui permet d’effectuer des calculs répétitifs
de façon massive. Un tableur traite les données représentées sous forme de
tableau à deux dimensions. Le mot « tableur » vient donc du mot tableau. Les
tableurs ont été également appelés « Chiffrier électronique ».
Il existe de nombreux tableurs développés par les grands éditeurs. Les principaux
tableurs sont :
Microsoft Excel, de la suite bureautique Microsoft Office
StarOffice Calc, de la suite StarOffice
Calc de la suite libre Office.
IBM/Lotus 1-2-3 de la suite SmartSuite.
Corel Quattro Pro de la suite WordPerfect.
KSpread de la suite libre KOffice sous Linux.
99
VI.1.3. Fonctionnalités importantes
100
VI.2. Présentation de Microsoft Excel
En-tête de
Cellule
colonne
active
Classeur
Cellules
Numéro Barre de
des défilement
lignes Feuilles du
Barre d’état,
classeur
affichage et zoom
101
VI.2.2. Notions de cellules et de références des cellules
On appelle « cellule » l’intersection entre une ligne (horizontale) et une
colonne (verticale) de la feuille de calcul. Ainsi le nom de la ligne combiné au nom
de la colonne donne les coordonnées ou adresse d'une cellule.
On distingue deux styles de référence des cellules :
Le mode dit L1C1 (Ligne 1, Colonne 1) où la cellule est repérée par le
numéro de ligne précédé de la lettre L et le numéro de la colonne précédé de
la lettre C.
Le mode dit A1 où les numéros de ligne sont repérés par des chiffres et les
colonnes par des lettres.
102
VI.3.4. La Saisie des données
103
d) Saisie semi-automatique de données de type texte
Lorsqu’on effectue des saisies de type texte dans une colonne, Excel les
mémorise. Après avoir tapé une ou plusieurs lettres dans une nouvelle cellule de la
colonne, dès qu’Excel reconnaît une saisie précédente, celle-ci est
automatiquement proposée. Il ne doit pas y avoir de cellule vide entre la cellule
active et la cellule reconnue. Tapez sur Entrée pour valider la saisie proposée et
passer à la cellule suivante.
VI.3.6. La Sélection
a) La sélection d’une Cellule
Pour sélectionner une cellule :
Pointez sur la cellule. Le pointeur ayant l’aspect d’une croix blanche,
cliquez.
Ou bien, atteignez la cellule avec les touches fléchées du clavier.
Si vous êtes en cours de saisie, validez (par exemple, en tapant Entrée),
avant de sélectionner cette cellule en cliquant dessus.
b) La sélection d’une Plage de cellules
Tout rectangle de cellules est appelé « plage de cellules », ou « plage ».
Dans une plage, la cellule active par défaut est la cellule située en haut à gauche.
106
On désigne une plage par la référence de sa première cellule en haut à
gauche, suivie d’un double-point, puis de la référence de sa dernière cellule en bas
à droite (exemple : B2:D9).
Pour sélectionner une plage de cellules :
Cliquez-glissez de la première à la dernière cellule.
Ou bien sélectionnez la première cellule, puis appuyez sur la touche Maj et
sélectionnez la dernière cellule de la plage.
Lorsque plusieurs cellules sont sélectionnées, le fond de la cellule active reste
blanc, tandis que les autres cellules sélectionnées changent de couleur (Figure 23).
107
Le pointeur ayant l’aspect d’une flèche, cliquez.
Sélectionnez la première.
Puis Ctrl + clic pour sélectionner chacune des autres.
Avec la souris : pointez la case de l’intersection entre les deux lignes d’en-
têtes (horizontale et verticale). Le pointeur se transforme en croix blanche ;
cliquez.
Avec le clavier : Ctrl + A.
VI.3.8. Impression
Idem au traitement de texte. Il faut préciser que les lignes de quadrillages ne
sont pas des caractères imprimables par défaut. Lorsque vous voulez les imprimer,
108
il vous faudra le paramétrer dans l’onglet « Mise en page », groupe « Options de la
feuille de calcul ». Activer la case à cocher « imprimer » dans la partie
Quadrillage.
Série linéaire
Une série linéaire est une suite de nombres, chacun (à partir du 2ème) étant
obtenu en ajoutant un nombre fixe à l’élément précédent. Le nombre ajouté est
appelé « incrément » ou « pas ».
Exemple : 2, 4, 6, 8,10. Le pas de cette série linéaire est 3. Figure
109
Fig.26. Exemple d’une
série linéaire
Poignée Info-bulle
Pour créer une suite de nombres de valeur constante (exemple : 10, 10, 10) :
saisissez ce nombre. Après validation, sélectionnez la cellule et effectuez un
cliqué-glissé sur la poignée. Une seule cellule étant sélectionnée, Excel applique un
pas nul (Figure 28).
Série géométrique
Une série géométrique est une suite de nombres, chacun (à partir du 2ème)
étant obtenu en multipliant par un nombre fixe l’élément précédent.
Exemple : 4, 8, 16, 32, 64. Le pas de cette série géométrique est 2.
Pour créer une série géométrique, procédez ainsi :
Saisissez le premier élément. Validez.
Puis, au choix, sélectionnez :
o Soit toutes les cellules à remplir,
o Soit uniquement la cellule du premier élément. Indiquez alors la
dernière valeur (exacte ou approximative) de la série. Le nombre de
termes sera fonction de cette dernière valeur.
Affichez la fenêtre « Série de données »
Choisissez vos options. Si vous n’avez sélectionné que la cellule du premier
élément, indiquez la dernière valeur de la série.
111
Fig.31. Série géométrique de 7 termes à partir de 2 et de pas 3
Série chronologique
Une série chronologique est une suite de dates, chacune (à partir de la 2ème)
étant obtenue en ajoutant la même durée à la date précédente. La durée ajoutée est
le « pas » de la série.
Exemple : 10/05/2013, 17/05/2013, 24/05/2013. Le pas de cette série
chronologique est 7.
Comme pour la création d’une série linéaire, on peut utiliser pour créer une
série chronologique : cliqué-glissé sur la poignée de la sélection, balise active et
fenêtre « Série de données ».
Nous pouvons aussi générer les séries avec les jours de la semaine, les mois de
l’année, etc.
112
Fig. 33. Série sur les jours de la semaine
Série alphanumérique
Les valeurs d’une série alphanumérique sont constituées d’un texte fixe et
d’un nombre qui peut être incrémenté.
Pour créer une série alphanumérique, procédez ainsi :
Saisissez le 1er élément (exemple : Interro 1) ou les deux premiers éléments
(exemple : forme 5 et forme 7). Validez (cliquez dans une autre cellule).
Etendez le contenu de la cellule, ou des deux cellules, par cliqué-glissé sur la
poignée de la sélection (on obtient dans le premier exemple : Interro 2,
Interro 3... et dans le second exemple : forme 9, forme 11...).
La fenêtre « Série de données » n’est pas utilisable pour une série alphanumérique.
Dans l’incrémentation, Excel ne prend en compte que le nombre situé le plus à
droite (c’est-à-dire la dernière décimale).
Ouvrez ensuite la fenêtre des options comme indiquer ci-haut, cliquer sur le bouton
, sélectionner la plage des cellules de B3 à B13. Cliquer de nouveau sur le
114
Fig.35. Fenêtre des options « listes pers »
Cliquer sur OK pour valider et la liste est ajouter. Cliquer de nouveau sur OK.
Pour générer automatiquement une série de cette liste, Saisissez dans une cellule
une province. Validez. Faire glisser la poignée de la sélection :
Fig. 36. Création de la série à partir d’une liste personnalisée des provinces du Congo
115
Les opérations de copier, couper et coller d’Excel sont identiques à celles de
Word. Déplacer, copier ou coller ne changent pas généralement les références des
cellules existantes. Ces actions n’entraînent aucun décalage de cellules, sauf dans
le cas où ces elles nécessitent une insertion.
Pour effectuer ces opérations, on peut utiliser au choix, soit les raccourcis
clavier (CTRL+C, CTRL+X, CTRL+V), soit les boutons du groupe « presse-
papiers » de l’onglet Accueil, soit les commandes du menu contextuel.
Une manière d’effectuer rapidement ces opérations dans Excel est d’utiliser le
cliqué-glissé :
Pour déplacer (couper et coller) une cellule ou une plage (Contenant et non
contenu), sélectionner la cellule, pointer une bordure de la cellule (pas la
poignée) de manière à avoir comme pointeur . Glisser jusqu’à l’endroit
souhaité.
Pour copier et coller une cellule ou une plage, maintenir la touche la touche
Ctrl enfoncée pendant que vous pointez sur la bordure de la sélection.
Lorsque le pointeur se transforme en pointeur de copie , faites glisser la
cellule ou la plage de cellules vers un autre emplacement.
Pour déplacer des valeurs de colonnes ou de lignes, procédez ainsi :
Sélectionnez les valeurs en cliquant-glissant sur les cases d’en-tête. Ou bien
sélectionnez la 1ère, puis en appuyant sur Maj, sélectionnez la dernière.
Pointez sur le contour de la sélection, et cliquez-glissez jusqu’à
l’emplacement souhaité.
116
Fig. 37. Cellule copiée ou coupée
Excel dispose des fonctionnalités supplémentaires de collage. Avant de coller un
élément, on peut choisir la forme de collage qu’on souhaite utiliser selon nos
besoins.
Dans le menu déroulant du bouton « Coller », situé dans le groupe « Presse-
papiers », onglet Accueil.
117
Dans la fenêtre « Collage spécial ».
Pour afficher cette fenêtre, choisissez l’option « Collage spécial » du bouton
Coller du groupe Presse-papiers, ou bien choisissez cette même option après
avoir fait un clic droit sur cellule de destination (Figure 38).
Rubrique « Coller »
Cette rubrique permet de choisir les éléments qui seront collés.
Tout : c’est l’option par défaut. Il y a collage de « tout », excepté des
largeurs de colonnes.
Formats : collage uniquement de la mise en forme. C’est l’équivalent du
bouton « Reproduire la mise en forme », situé dans le groupe Presse-papiers.
Largeurs des colonnes : collage uniquement des largeurs des colonnes des
cellules.
Commentaires : collage des seuls commentaires.
Validation : collage des seuls paramètres de validation.
Rubrique « Opération »
Il est possible d’effectuer des opérations entre les données à coller et les
données contenues dans les cellules de destination : addition, soustraction,
multiplication et division.
Il existe d’autres options disponibles après collage. Il faut dérouler le bouton
qui s’affiche après collage pour voir les autres options.
c) Le tri
Pour trier une colonne de cellules :
Cliquez sur une cellule quelconque de la colonne : avec cette méthode, le tri
s’arrêtera à la première cellule vide trouvée.
Ou bien sélectionnez la colonne de valeurs à trier. Dans un ordre croissant,
les cellules vides seront placées en dernier.
118
Sous l’onglet Accueil, dans le groupe « Edition », activez le bouton « Trier
et filtrer », puis choisissez l’option souhaitée. Pour afficher la fenêtre « Tri
», cliquez sur l’option « Tri personnalisé » (Figure 38 a et c)
Ou bien : sous l’onglet Données, dans le groupe « Trier et filtrer », activez
le bouton « Trier de A à Z » ou le bouton « Trier de Z à A ». Pour afficher
la fenêtre « Tri », cliquez sur le bouton « Trier » (Figure 39 b).
NB :
119
En ordre croissant, les chiffres sont placés avant les lettres.
Si les données sont des dates, il est proposé comme ordre de tri : « Du plus
ancien au plus récent » ou « Du plus récent au plus ancien ».
Les bases de données sont appelées en Excel des listes ou des tableaux de
données. Une liste est une plage de données comportant des en-têtes et les données
dans une ligne sont de même nature. Une liste se termine soit par une ligne ou une
colonne vide, soit par les lignes ou les colonnes d’en-tête d’une feuille. Une liste
de doit donc pas contenir des lignes ou des colonnes vides. Un exemple est donné
pour illustration :
Fig. 40.
Exemple
d’une liste
Soit vous souhaitez choisir un style applicable dès sa création : sous l’onglet
Accueil, dans le groupe « Style », activez le bouton « Mettre sous forme de
tableau » et choisissez un style. La fenêtre « Créer un tableau » s’affiche.
Modifiez-la si nécessaire, puis validez.
On peut sélectionner une colonne de la liste en pointant sur la bordure
supérieure de sa case d’en-tête, puis quand le pointeur se transforme en flèche
noire, cliquez. La méthode est similaire pour sélectionner une ligne (pointez sur la
bordure gauche de sa case d’en-tête).
L’intitulé de chaque colonne est doté d’un menu déroulant, permettant de
trier et de filtrer les données. La dernière ligne est une ligne supplémentaire qui
permet d’ajouter les données d’un nouvel enregistrement. A sa droite, une poignée
de dimensionnement permet d’agrandir ou de réduire le tableau par cliqué-glissé.
NB : Plusieurs tableaux peuvent être créés sur une même feuille.
121
Fig.43. Bouton Trier et Filtrer et fenêtre Supprimer les doublons
c) Filtre automatique
Le filtre automatique est par défaut activé, d’où la présence d’un menu
déroulant dans la case d’en-tête de chaque colonne. Sinon, pour passer en mode «
Filtre automatique » : activez le tableau en cliquant dans l’une de ses cellules, puis
sous l’onglet « Données », cliquez sur le bouton « Filtrer » (Figure 43).
123
d) Filtre avancé
Un filtre avancé combine des critères sur plusieurs données, permettant
d’obtenir des filtres qu’il serait impossible d’obtenir en mode « Filtre automatique
». Pour activer la fenêtre « Filtre avancé », clique sur le bouton avancé dans le
groupe « Trier et Filtrer » de l’onglet « Données » (Figure 47).
Dans cette fenêtre, commencer par définir la zone de critères, avant
d’appliquer le filtre. Il s’agit de définir d’abord la zone de critères. La zone de
critères est une plage de cellules dont :
La première ligne contient des en-têtes du tableau de données. Il suffit de
saisir ceux sur lesquels porteront les critères. Il peut y avoir duplication
d’en-tête.
Les lignes suivantes contiennent les définitions des critères. Les critères qui
sont précisés sur une même ligne doivent être respectés simultanément (cela
correspond à l’opérateur « et »).
a) Les formules
124
L’onglet « Formules » regroupe les commandes spécifiques aux formules.
On utilise également la barre des formules pour traiter les formules. On peut
remplacer le signe = par le signe +, ou par le signe – si la formule débute par un
nombre négatif.
Une formule est dite indépendante lorsqu’elle n’utilise pas la valeur d’une
autre cellule (exemple = 8 * 6 -5). Dans le cas contraire, on dit qu’elle est
dépendante (exemple = B3 + B4). Voir les figures 48 et 49.
125
Si vous changez la valeur dans l’une des cellules d’une formule dépendante
(par exemple 63 au lieu de 83), le résultat change automatiquement (de 139 à 119).
C’est pour cette raison qu’une telle formule est dite dépendante.
On peut utiliser plusieurs opérateurs dans une même formule. Les opérateurs
possibles sont (par ordre de priorité):
puissance ^ (saisi en tapant Alt Gr + touche 9 du pavé lettres) (exemple
=3^2)
multiplication * et division /
addition + et soustraction -
Exemple : la saisie =3^2*4+1 affiche comme résultat 37 (est calculé
d’abord 3^2, puis 9*4, puis 36+1).
On peut utiliser des parenthèses pour préciser la priorité des calculs. Le
nombre de parenthèses ouvrantes doit être égal au nombre de parenthèses
fermantes. La formule de l’exemple précédent peut également être écrite
=((3^2)*4)+1.
NB : Une formule peut générer des erreurs. Exemple une division par 0 (Une
cellule vide vaut 0). Excel affiche dans ce cas le message d’erreur : .
Dans une formule dépendante, on peut désigner une cellule soit par sa
référence Colonne-Ligne (exemple : = 6+A3), soit par son nom (Exemple :
=6*quantité, si la cellule A3 a été nommée quantité).
Pour insérer une référence d’une cellule dans une formule, nous pouvons :
Soit saisir avec le clavier : on tape la lettre de colonne suivi du n° de ligne,
Soit sélectionner avec la souris, méthode particulièrement intéressante quand
il s’agit de sélectionner des plages de cellules.
Une référence de cellule peut être, dans une formule, soit une référence relative,
soit une référence absolue et soit une référence mixte.
Une formule faisant appel à une cellule avec sa référence relative, mémorise
la position de cette cellule par rapport à celle dans laquelle la formule est saisie. Si
une telle formule est déplacée, elle se déplace avec les références. Exemple soit la
formule =A3+B3, saisie dans la cellule C3.Son résultat sera 10 soit 4+6. Si on
copie et on colle cette formule dans la cellule C4, le résultat sera 8 c'est-à-dire 5+3
et non plus 4+6 (Figure 50).
126
Fig.50. Exemple de copie d’une formule avec références relatives
On utilise fréquemment des références relatives en effectuant la copie d’une
formule sur plusieurs cellules d’affilée. Pour une recopie verticale, on peut glisser
la poignée d’une formule ou on peut faire un double clic sur la poignée pour
recopier rapidement la formule sur l’ensemble de la plage (Traitement qui s’arrête
dès qu’une cellule vide est rencontrée) (Figure 51).
Fig.51. Copie d’une formule avec références relatives sur une plage
Pour une recopie horizontale, seule la méthode du glissé est d’application (Figure
52).
Fig.52. Copie d’une formule avec références relatives sur une plage en horizontale
127
Lorsque la référence à une cellule est absolue, il convient de le préciser sous
la forme : $colonne$ligne. Dans ce cas, même si la cellule est recopiée, la valeur
reste celle de la cellule d’origine. Le symbole $ fige la colonne ou la ligne qui le
suit.
Pour placer les symboles $, en fin de rendre une référence absolue, nous
pouvons soit taper ces symboles dans la barre de formules, soit appuyer sur F4
après avoir cliqué dans cette même barre à l’endroit voulu (Figure 53).
Les références absolues sont utiles lorsqu’on doit faire référence à une
cellule qui contient une valeur qui doit être conservée quelque soit l’endroit de la
feuille où l’on place une formule qui l’utilise. C’est le cas du taux de change, taux
de TVA, la valeur d’une constante (Pi, k, etc.), etc.
Une référence peut aussi être figée sur la colonne et non la ligne ou sur la
ligne et non la colonne. Une telle référence est dite mixte. Exemple : $B3 et B$3.
b) Les fonctions
Les fonctions sont des formules prédéfinies. Excel vient avec un grand
nombre des fonctions (300), permettant de réaliser des calculs dans plusieurs
domaines.
Sauf exceptions, une fonction requièrent des données, appelées arguments,
pour retourner un résultat. Les arguments sont mis entre parenthèses. On place des
parenthèses même en l’absence d’argument, afin d’indiquer qu’il s’agit d’une
fonction (et non d’un nom de cellule). Quand il y a plusieurs arguments, ils doivent
être séparés par un point-virgule.
128
Une formule peut comporter plusieurs fonctions. Si la fonction est en début
de formule, elle doit être précédée du signe égal.
Exemples des fonctions :
=AUJOURDHUI() renvoie la date courante.
=MOYENNE (3:3) renvoie la moyenne des valeurs de la ligne 3. Les valeurs qui ne sont pas
numériques sont ignorées.
=ENT(SOMME(E6:G8)) renvoie la partie entière de la somme des valeurs de la plage E6:G8.
Pour utiliser une fonction dans une formule, deux cas se présentent : si vous
connaissez le nom de la fonction, saisissez-le directement. Une info-bulle vous
aidera si nécessaire pour l’écriture des arguments (Figure 54 et 55).
Autres fonctions
commençant avec so
Fig. 55. Saisie d’une fonction avec info sur les arguments
129
Si vous ignorez le nom de la fonction à utiliser mais vous savez ce que vous
voulez obtenir, Il vous faut alors passer par la fenêtre « Insérer une fonction ».
Cette fenêtre peut être ouverte soit en cliquant sur le bouton fx de la barre
des formules, soit en cliquant sur le bouton fx du groupe « bibliothèque de
fonctions » dans « l’onglet Formules ».
130
En Excel il suffit d’utiliser les boutons du groupe « Graphiques » de l’onglet
« insertion » (Figure 58) :
Fig.59. Groupe
graphiques de
l’onglet insertion.
131
Table des matières
Chapitre I .................................................................................................. 1
Introduction à l’informatique .................................................................... 1
I.1 Définition de l’informatique................................................................................................... 1
I.1.1. Informatique ................................................................................................................... 1
I.1.2. Information et donnée .................................................................................................... 3
I.1.3. Traitement ...................................................................................................................... 3
I.1.4. Ordinateur....................................................................................................................... 4
I.2. Historique de l’Informatique ................................................................................................. 5
I.2.1. Origine de l’ordinateur.................................................................................................... 5
1.2.2. Les générations de matériels et l’évolution de l’informatique .................................... 11
I.3. Domaines d’application de l’informatique .......................................................................... 14
Chapitre II. .............................................................................................. 15
Structure d’un système informatique ...................................................... 15
II.1. Définition d’un système informatique ................................................................................ 15
II.1. Les matériels ....................................................................................................................... 16
II.1.1. Définition ..................................................................................................................... 16
II.1.2. Type de matériels ou famille d’ordinateurs ................................................................. 16
II.1.3. Composition minimale d’un ordinateur....................................................................... 18
II.2. Les logiciels ......................................................................................................................... 24
II.2.1. Introduction ................................................................................................................. 24
II.2.2. Les logiciels de base .................................................................................................... 24
II.2.2 Les logiciels outils.......................................................................................................... 28
II.2.3. Les logiciels d’applications ........................................................................................... 29
Chapitre III. ............................................................................................. 30
Le Système d’Exploitation ....................................................................... 30
III.1. Système d’exploitation Windows ...................................................................................... 30
III.1.1 Définition et présentation........................................................................................... 30
III.1.2. Les objets utilisés dans WINDOWS ............................................................................ 31
III .1.3. Les manipulations de base ......................................................................................... 44
III.1.4. Activités évoluées ....................................................................................................... 44
III.2. Introduction au système d’exploitation Linux Ubuntu ...................................................... 49
III .2.1. Présentation de Linux/Ubuntu................................................................................... 49
III.2.2. Arborescence des fichiers de Linux-Ubuntu ............................................................... 52
132
III.2.3. Utilisation d’Ubuntu.................................................................................................... 54
III.2.4. Travailler avec Ubuntu ................................................................................................ 59
III.3. Introduction au système d’exploitation mobile Android .................................................. 60
III.3.1. Présentation d’Android ................................................................................................... 60
III.3.2. Structure du système Android .................................................................................... 60
III.3.3. Les applications d’Android .......................................................................................... 61
III.3.4. Utilisation d’Android ................................................................................................... 61
Chapitre IV. Microsoft WORD .................................................................. 66
IV.1. Présentation générale des logiciels de traitement de texte ............................................ 66
IV.1.1. Définition et concepts clés ......................................................................................... 66
IV.1.2. Exemples ..................................................................................................................... 67
IV.1.3. Fonctionnalités importantes....................................................................................... 67
IV.1.4. Interface utilisateur .................................................................................................... 67
IV.2. Microsoft Word ................................................................................................................. 68
IV.2.1. Interface utilisateur de Word 2007 ............................................................................ 68
IV.3. Quelques manipulations de bases ..................................................................................... 70
IV.3.1. Ouvrir un document ................................................................................................... 70
IV.3.2. Enregistrement d’un document ................................................................................. 71
IV.3.3. Déplacement dans le document ................................................................................. 71
IV.3.4. Activer une commande............................................................................................... 71
IV.3.5. La Saisie du texte dans un document ......................................................................... 72
IV.3.6. Traitement des textes ................................................................................................. 72
IV.3.7. Mise en page d’un document ..................................................................................... 74
IV.3.8. Impression d’un document ........................................................................................ 74
IV.4. Quelques manipulations avancées ................................................................................... 75
IV.4.1. Insertion d’équations .................................................................................................. 75
IV.4.2. Insertion de la table des matières .............................................................................. 75
IV.4.3. Insertion des citations et des références.................................................................... 77
Chapitre V. Internet et Web .................................................................... 80
V.1. La technologie Internet. ..................................................................................................... 80
V.1.1. Notion de réseau et de protocole réseau .................................................................... 80
V.1.2. Le réseau internet ........................................................................................................ 82
V.2. La technologie Web ............................................................................................................ 86
V.2.1. Définition et présentation du web .............................................................................. 86
V.2.2. Navigation et Recherche sur le web ........................................................................... 89
133
V.2.3. Quelques types de sites Web ...................................................................................... 97
Chapitre VI. Microsoft Excel .................................................................... 99
VI.1. Présentation générale des logiciels tableurs ..................................................................... 99
VI.1.1. Définitions................................................................................................................... 99
VI.1.2. Exemples des logiciels tableurs .................................................................................. 99
VI.1.3. Fonctionnalités importantes..................................................................................... 100
VI.1.4. Interface utilisateur .................................................................................................. 100
VI.2. Présentation de Microsoft Excel ...................................................................................... 101
VI.2.1. Description de l’interface utilisateur d’Excel ........................................................... 101
VI.2.2. Notions de cellules et de références des cellules ..................................................... 102
VI.3. Quelques manipulations de base ................................................................................... 102
VI.3.1. Ouvrir un classeur ..................................................................................................... 102
VI.3.2. Enregistrement d’un classeur ................................................................................... 102
VI.3.3. Déplacement dans le classeur .................................................................................. 102
VI.3.4. La Saisie des données ............................................................................................... 103
VI.3.5. L’insertion et suppression d’objets........................................................................... 105
VI.3.6. La Sélection ............................................................................................................... 106
VI.3.7. Mise en forme et mise en page ............................................................................... 108
VI.3.8. Impression ................................................................................................................ 108
VI.4. Quelques activités évoluées ............................................................................................ 109
VI.4.1. Travail rapide ............................................................................................................ 109
VI.4.2. Liste ou base de données Excel ................................................................................ 120
VI.4.3. Les formules et les fonctions ................................................................................... 124
VI.3.4. Insertion des graphiques .......................................................................................... 130
134