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SOMMAIRE

INTRODUCTION

I. DEFINITION ET HISTOIRE
A. DEFINITION
B. HISTOIRE
II. LES AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE LA NOUVELLE
TECHNOLOGIE DE L’INFORMATION
1. LES AVANTAGES DES NOUVELLES TECHNOLOGIES DE
L’INFORMATION
2. LES INCONVENIENTS
III. IMPACT ET SON INFLUENCE ET PROBLEMES DE LA NOUVELLE
TECHNOLOGIE DE L’INFORMATION
A. IMPACT
1. LA REVOLUTION NUMERIQUE
2. MONDIALISATION ET NOUVEAUX COMPORTEMENTS
3. UNE NOUVELLE TENDANCE
B. INFLUENCE DU CONTEXTE ; LES MILITAIRES ET LES
CONCURRENCES INTERNATIONALES
C. PROBLEMES ACTUELS
1. DERIVES COMMERCIALES
2. MULTIPLICATION DES SOURCES
3. DES PROBLEMES JURIDIQUES

CONCLUSION
‘ »
Introduction
« Nos vieux ordinateurs sèment la mort » telle est l’accroche employée par le magazine Géo1 pour
mettre en avant les conséquences écologiques négatives des technologies de l’information (TI) en
fin de vie. Depuis leurs apparition, les TI ont été étudiées par rapport aux avantages et aux
opportunités qu’elles offrent aux entreprises et aux citoyens. Aujourd’hui, ces technologies sont
considérées comme un moyen d’information. Notre étude portera d’abord sur la définition de la
technologie de l’information et son histoire ensuite, les avantages et inconvénient la nouvelle
technologie de l’information enfin, l’impact et son influence et quelques problèmes quelles
entrainent.
I. Définition et histoire

A. Qu’est-ce que les technologies de l’information?


L’ère du numérique suscite de grands changements de paradigme à travers le globe. L’informatique,
Internet et son lot de procédés scientifiques ont révolutionné le quotidien des entreprises. Face à la
multitude d’informations qui circulent à travers le monde et l’informatisation des systèmes, un
secteur technique a vu le jour, celui des technologies de l’information.
De plus en plus dans le milieu de l’entreprise, nous entendons parler des nouvelles technologies de
l’information (TI). Bien plus qu’un système de développement de logiciels, elles font référence à
un large volet de techniques et de compétences qui touchent à la création, la manipulation et la
diffusion de l’information. On y retrouve le développement d’applications en tout genre, la gestion
de bases de données et la mise en place de réseaux informatiques complexes.
Dans un monde informatisé, il est devenu nécessaire de s’adapter. Les compagnies ont donc fait le
choix d’intégrer un pôle informatique en leur sein ou de sous-traiter ces services. Parmi les emplois
du secteur, nous trouvons le développeur logiciel, l’administrateur réseau, le gestionnaire de bases
de données, le designer UI/UX, le support technique et de nombreuses autres professions connexes.
B. Histoire
Le séminaire a permis de mener une réflexion collective autour des technologies de l’information et
de la communication, en s’intéressant aux acteurs de l’innovation (individuels et collectifs), à leurs
interactions, à la charnière des mondes politiques, économiques et sociaux et à des circulations des
savoirs, des pratiques et des techniques à des échelles nationales et transnationales.
Deux séances ont montré comment des techniques nouvelles tracent leurs chemins vers les usagers,
en dépassant des échecs et en élargissant les marchés. Patrick Fridenson (EHESS) a analysé les
modalités du passage du GPS du militaire au civil, son appropriation par des entreprises privées ou
d’autres pays que les États-Unis. Les pratiques de co-innovation, de réception, la formation d’un
marché, avec notamment des conflits entre recherche fondamentale et appliquée ou les rapports des
constructeurs automobiles à l’électronique ont témoigné que l’histoire du GPS dépasse la seule
question technique ou l’intégration dans une économie innovante, mais interroge également les
imaginaires, soulève la question des brevets et de la normalisation, aussi bien que des enjeux
politiques et territoriaux.
Elvina Fesneau (Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne) a présenté le contexte du lancement des
postes à transistor en France au milieu des années 1950 (réticences des industriels, études de marché
peu engageantes, échec relatif du Regency, développement de postes portatifs à lampes aux États-
Unis...), et en particulier le cas du Solistor industrialisé et commercialisé par la CSF. Spécialisée au
départ sur les séries militaires, la CSF se tourne à partir de 1954 vers le marché grand public. Elvina
Fesneau a analysé les raisons de l’échec du Solistor, qui tiennent autant à des problèmes de fixation
des prix, qu’à des accords peu féconds avec Philips ou aux difficultés de l’entreprise à passer d’une
« culture lampiste » à une « culture transistor ». Le rôle de précurseur de la CSF n’a pas été garant
d’un succès qui l’obligeait à s’improviser experte sur le marché grand public. Elvina Fesneau a
montré comment la France devient ensuite le premier pays européen équipé en postes à transistor,
pour des raisons notamment techniques : le contexte du double réseau radiophonique français
favorise l’arrivée massive de postes à transistor japonais équipés de la modulation d’amplitude au
milieu des années 1960. Elle a par ailleurs analysé les conditions de développement de l’objet
nomade transistor, et établit des liens féconds entre radio et TIC sous l’angle de la portabilité et de
la mobilité, qui invitent à penser ces notions dans le temps long.
Trois autres séances ont insisté sur l’Imbrication entre technique et politique. L’une d’entre elles,
organisée autour de l’ouvrage de Steven T. Usdin, Engineering Communism. How Two Americans
Spied for Stalin and Founded the Soviet Silicon Valley (New Haven, Londres, Yale University
Press, 2005) a permis d’aborder l’Introduction des innovations technologiques dans le contexte
soviétique, en montrant que le patronage des dirigeants haut placés était un facteur essentiel pour le
succès d’une Innovation. Une comparaison avec la réception d’autres technologies dans le contexte
soviétique a servi à souligner une vision absolument linéaire du progrès technique en URSS, sans
droit à un tâtonnement, à une erreur ou à une impasse. La crainte des répressions de la part des
ingénieurs et le caractère planifié de l’économie expliquent la tendance des Soviétiques à
développer les technologies déjà testées dans les pays capitalistes et à opter en faveur de
l’espionnage industriel. Cette particularité du régime soviétique révèle l’importance des passeurs
(go-betweens) et des circulations transnationales pour les développements des TIC en URSS.
La séance « Gouverner dans la “société de l’information” : les TIC au secours de la démocratie
européenne », animée par Romain Badouard (Université technologique de Compiègne) a, quant à
elle, analysé les relations de la Commission européenne aux TIC, et l’utilisation dans le cadre des
politiques publiques des TIC, en particulier pour communiquer avec les citoyens. À travers l’étude
des dispositifs participatifs et des stratégies mises en place, qui s’apparentent parfois à des
communications de crise, à travers l’analyse des consultations européennes via Internet, qui
mobilisent souvent davantage les acteurs de la société civile, plus rarement le citoyen européen, à
travers celle des interactions qui se nouent autour des plateformes de discussion et de la rencontre
d’un projet politique et de l’inventivité des internautes, ont été posées des questions essentielles, qui
touchent à la démocratie technique, à la participation citoyenne, à la représentativité de la société
civile, au multilinguisme européen ou encore au rapport culturel aux TIC et à la démocratie
européenne.
La question de la démocratie technique a aussi été au cœur de l’intervention de Marie Carpenter
(Télécom École de management), « La bataille des télécoms. Vers une France numérique ». Elle a
montré comment, dans les années 1970, le changement du dispositif politique (apparition d’une
petite équipe soudée autour des dirigeants d’État) et institutionnel (l’autonomisation de la DGT
(Direction générale des télécoms) vis-à-vis des PTT et sa récupération du contrôle stratégique des
produits, des technologies et des procédés), la restructuration industrielle (la montée en puissance
de Thomson), ainsi que la création des associations des ingénieurs des télécoms et des usagers ont
autorisé le développement de la téléphonie pour tous. Les liens étroits entre la recherche, le service
et les usagers ont été présentés comme des conditions indispensables à la progression de
l’innovation.
Deux autres séances ont suscité une réflexion sur l’épistémologie des sciences de l’innovation et des
TIC. L’intervention de Xavier Sené (BnF) consacrée aux collections de jeux vidéo à la BnF a révélé
les enjeux du dépôt légal et de la patrimonialisation des TIC. Il a pu ouvrir aux problématiques qui
prennent les jeux vidéo pour objet de recherche, notamment la question du jeu comme forme de
communication et de sociabilité. Jean-Michel Besnier (Université Paris-Sorbonne) a proposé une
réflexion autour des relations entre éthique et innovation, posant notamment la question des finalités
des technologies. Il a abordé la question des imaginaires portés par les innovations technologiques
et des représentations que les sociétés s’en font, dans une perspective diachronique. Il a proposé un
parcours centré autour des questions médicales et des idéologies transhumanistes, qui voient
l’innovation de plus en plus comme un fétiche pour se débarrasser du corps et aller vers la
« cyborgisation de l’humain ».
II. Les avantages et inconvénient de la nouvelle technologie de L’information

1. Les avantages des nouvelles technologies de l’information


S’informer est un droit pour tous. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les professionnels des
médias se gênent tout le temps. Avec l’arrivée et l’évolution de la technologie, l’information est à la
portée de tous. Que ce soit sur le net ou à la télévision, l’information est devenue facile d’accès au
public et sa sauvegarde n’est plus un souci.
 Les principaux avantages des NTIC
Les NTIC (Nouvelle Technologie de l’Information et de la Communication) sont un système qui
regroupe un très grand nombre de méthodes servant à communiquer. Ces méthodes permettent
notamment de réduire les distances, les coûts et les délais. Avec cette modernité, la terre est
devenue un village planétaire favorisant ainsi les échanges.
L’utilisation des NTIC présente de nombreux avantages aux entreprises. Elles permettent à ces
sociétés de faire face à la concurrence. Aussi, les employés arrivent à facilement travailler sans
beaucoup de difficultés. Grâce aux NTIC des cartes de crédit sont disponibles pour rendre la vie
facile. Aussi, des télévisions numériques, des téléphones mobiles, des DVD sont réfléchis et conçus
pour permettre à tous de s’informer. Ces nouvelles avancées n’épargnent personne, car vieux,
jeunes et enfants y sont embarqués.
2. Les nouvelles technologies de l’information sont-elles sans inconvénients ?
Évidemment que non. Tout ce qui a des avantages présente également des inconvénients. Les
principaux inconvénients créés par l’utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la
communication sont multiples. D’abord, elles créent par exemple du stress dans le quotidien de
l’homme. Aussi, L’arrivée des NTIC a créé le chômage dans les industries de fabrication. Les
robots et autres machines viennent en remplacement à l’homme dans les différentes tâches. La vie
privée des utilisateurs est souvent compromise du fait des systèmes de stockage des informations.
De même, il arrive que les systèmes tombent en panne, ce qui paralyse les activités durant le temps
de réparation.
III. Impact et son influence et problemes de la nouvelle technologie de l’information

A. Impacts de ces nouvelles technologies : l’ère de l’information

1. La révolution numérique : engouement pour le multimédia


Le développement de ces nouvelles technologies fait que nous sommes à l’aube d’une nouvelle ère,
celle de l’information. Toutes les innovations présentées dans la première partie s’accompagnent
d’une révolution en matière de traitement de l’information. Tout document est désormais
susceptible d’être numérisé, c’est-à-dire converti dans un langage structuré en bits, unité
fondamentale d’information électronique. Le signal numérique rend possible les communications
« multimédia », rassemblant sur un même support des informations de nature différente, images,
animations, vidéo, sons, programmes informatiques,… Le codage numérique d’un signal a trois
principaux avantages : On peut désormais transmettre et stocker une information sur des supports
physiques variés (câbles électriques, fibres optiques, ondes satellites, support magnétiques et
optiques…). La transmission et la copie se font quasiment sans perte d’informations, et le traitement
automatique des informations est très aisé.

2. Mondialisation et nouveaux comportements.


La structure du réseau Internet fait qu’il est aussi simple d’écrire à son voisin que de l’autre côté de
la Terre. C’est ce qui provoque un phénomène de mondialisation, puisqu’il n’existe plus de
frontière. Ainsi, la recherche scientifique ne se conçoit plus indépendamment d’Internet, qui en a
modifié les usages et renforcé le caractère collectif et planétaire. Il faut rappeler que les chercheurs
ont été les architectes et les premiers utilisateurs du net. La révolution des nouvelles technologies de
l’information ne se réduit pas à un aspect technologique. De nouveaux comportements sont apparus.
Les gens ont désormais l’impression, souvent trompeuse, qu’ils peuvent obtenir des réponses à leurs
questions quasiment instantanément. Dans le domaine de l’économie, de profonds bouleversements
ont donné naissance à l’expression « nouvelle économie ».
3. Une nouvelle tendance : la mobilité
Des progrès dans les domaines de l’électromagnétisme et du traitement du signal ont permis
l’arrivée de technologies dédiées à la mobilité, comme le GSM/GPRS (technologies de téléphonie
sans fil), le Wi-Fi, le bluetooth… Toutes ces technologies permettent d’étendre les réseaux hors de
l’enceinte des bâtiments, ce qui permet à l’utilisateur lambda d’accéder à ses informations
personnelles où qu’il soit. Ces technologies sont particulièrement en vogue actuellement. Elles
reposent bien souvent sur les protocoles réseaux existants (en particulier TCP/IP).
B. Influence du contexte : les militaires et les concurrences internationales
Au cours de l’histoire de l’humanité, on s’aperçoit que, bien souvent, les guerres sont à l’origine de
progrès techniques. C’est le cas au XX ème siècle, où les grandes avancées en matière de
technologie ont souvent été initiées par des projets à fin militaire. Les travaux de Von Neumann ont
été en partie commandés par l’armée américaine, qui voulait disposer de calculateurs pour résoudre
des problèmes de balistique et mettre au point l’arme atomique. Les satellites, éléments clés des
progrès des télécommunications, ont largement profité du climat de guerre froide et de la course à
l’espace entre les deux blocs. C’est aussi le cas pour l’origine d’Internet : en 1962, le Département
de la Défense américain souhaitait disposer d’un réseau de communication capable de résister à une
attaque, ce qui est à l’origine de l’idée d’un réseau en forme de toile. Il fut secondé pour son
élaboration par les grandes universités américaines. En 1969, quatre ordinateurs d’université
américaine furent mis en réseau. Le protocole TCP/IP, mis au point en 1977 par Vinton Cerf et
Robert Kahn, a permis le regroupement de plusieurs sous-réseaux, ce qui a conduit à la structure
actuelle d’Internet. Schéma de la structure d’Internet 3- Vers une démocratisation des technologies
de l’information Si on parle de révolution de ces nouvelles technologies, c’est qu'elles ont de
nombreuses applications pour le grand public. En ce qui concerne Internet, seul le courrier
électronique, inventé en 1972, a connu rapidement du succès. L’utilisation du réseau Internet restait
une affaire de spécialiste. Le Web n’a émergé qu’au début de la décennie 1990 de la nécessité de
simplifier l’accès au réseau. On le doit à Tim Berners-lee, qui alors travaillait au CERN, et qui a
conçu le système de navigation. Ce système a permis l’accès du réseau au grand public, qui peut
utiliser le Web comme une immense banque de données « multimédia ». Mais les technologies de
l’information et de la communication ne se réduisent pas à Internet, on les trouve partout autour de
nous. On peut citer une autre grande réussite commerciale et populaire, les téléphones portables, qui
ont connu un succès imprévu et important depuis 5 ou 6 ans
C. Problèmes actuels 
1. Dérives commerciales
Le succès commercial de ces nouvelles technologies a été tel, que de nombreuses sociétés ont
investi de grosses sommes, notamment dans la R&D. La conséquence est l’émergence de
technologies toujours plus performantes et perfectionnées. Toutefois, le consommateur générique
n’a souvent pas besoin de telles performances, et les firmes, pour rentabiliser leurs investissements,
sont obligées de créer artificiellement (souvent grâce au marketing) un besoin, ce qu’on appelle la «
killer-app » (killer application). Un exemple parfait de cette dérive commerciale est le
développement des réseaux de téléphonie de troisième génération, appelé UMTS, ou 3G. Les
compagnies de télécoms ont dû dépenser plusieurs milliards d’euros pour acquérir une licence
d’exploitation de ces réseaux 3G qui offrent un débit plus élevé, et des possibilités de
géolocalisation. Mais la plupart des gens n’ont pas besoin d’un tel débit de données, ou de tels
services de localisation. D’où la recherche par ces compagnies d’une « Killer-app », comme la
vidéoconférence ou les messages multimédia, qui seront présentés comme indispensables par les
diverses campagnes publicitaires…

2. Multiplication des sources


Un autre problème de l’Internet est la multiplication des sources. Le nombre de sources
d’information augmente avec le nombre d’utilisateurs connectés, à tel point qu’il est désormais très
difficile de trouver une information spécialisée sur le net, même avec un moteur de recherche
performant. Et c’est là le revers de l’ouverture de l’Internet au-delà des universités : les chercheurs
ont de plus en plus de mal à se servir de cet outil qu’ils ont créé. C’est pourquoi ils développent un
nouvel Internet, baptisé simplement Internet 2, qui ne sera, au début, ouvert qu’aux universités, et
qui offrira un débit important permettant un échange instantané de données entre départements et
universités. Un autre aspect de la multiplication des sources est l’arrivée d’un problème
d’adressage. Le nombre de machines connectées dépassera sous peu le nombre d’adresses IP
disponibles à travers le monde. Actuellement, l’Internet est adressé grâce au protocole IPv4. Chaque
adresse est composée de 4 chiffres compris entre 0 et 255, soit un nombre maximum de 256 4
ordinateurs, ce qui s’avère insuffisant. C’est pourquoi est en développement une nouvelle version
d’IP baptisée IPv6, qui permettra d’adresser un bien plus grand nombre de machines.

3. Des problèmes juridiques


Les nouvelles technologies posent aussi de nombreux problèmes juridiques. Tout d’abord, les
différents réseaux sont un redoutable moyen de surveillance, et portent une atteinte à la vie privée,
d’autant plus que l’utilisateur est bien souvent conduit à fournir des informations personnelles. Ces
dernières sont souvent exploitées commercialement, ou revendues par des pirates qui volent les
bases de données de grandes compagnies. D’autre part, le système juridique en lui-même est mis à
l’épreuve par le piratage et la violation répétée des droits de la propriété intellectuelle. Il faudrait
revoir la législation, mais le caractère global de l’Internet fait que cette évolution de la loi ne peut se
faire qu’à une échelle mondiale, ce qui, politiquement, reste encore inenvisageable.
Conclusion

L’effet à long terme de la nouvelle technologie de l’information sur les comportements sociaux ou
économiques reste difficile à cerner, mais il sera sans doute important. Simple progrès technique
accompagné d’une accélération de l’innovation ou bien troisième révolution industrielle, le débat
reste ouvert. On a déjà pu constater combien ces nouvelles technologies ont évolué rapidement avec
l’ouverture au grand public, jusqu’à en détourner ce pourquoi elles avaient été conçues. Le manque
de recul nous conduit à éviter de tirer trop vite des conclusions sur la nature de ces bouleversements
de la société. Il s’agit de garder à l’esprit que l’ère de l’information n’en est qu’à son
commencement, et nul ne peut prédire ce que l’homme sera encore capable d’imaginer dans le futur
ce qu’il en sera.

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