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Le protocole IPv6 et le Réseau

6LowPAN

SAADALLAH Amina Wafaa

1er novembre 2017


Table des matières

Table des Matières . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1


1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
2 Le passage de l’IPv4 à l’IPv6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
3 Le protocole IPv6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
3.1 Qu’est-ce que le protocole IPv6 . . . . . . . . . . . . . 3
3.2 Représentation d’une adresse IPv6 . . . . . . . . . . . 3
3.3 Explication des champs de l’en-tête ipv6 . . . . . . . . 7
4 Internet Of Things . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
4.1 Définition de l’I.O.T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
4.2 Pourquoi le protocole IPv6 plutôt qu’un autre pour
l’I.O.T . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
4.3 Standard 802.15.4 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
5 6LowPAN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
5.1 Qu-est-ce qu’un réseau 6LowPAN . . . . . . . . . . . . 9
5.2 Architecture d’un réseau 6LowPAN . . . . . . . . . . . 9
5.3 Couche d’adaptation du 6LowPAN . . . . . . . . . . . 10
5.4 Routage dans 6LowPAN . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
5.5 Exigences de routage 6LowPAN . . . . . . . . . . . . . 12
5.6 Exigences de routage 6LowPAN . . . . . . . . . . . . . 12
5.7 Les protocoles 6LowPAN existants . . . . . . . . . . . 12
6 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14

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1 Introduction
L’émergence de l’internet des objets ouvre de nouvelles perspectives dans
le domaine des réseaux de capteurs sans fil avec comme objectif de connecter
ces derniers au web pour permettre le partage en temps réel. Cependant,
sans protocole adapté, les communications d’un nœud mobile sont limitées
au réseau dans lequel il se trouve. C’est là qu’intervient le protocole ipv6,
vu le grand nombre d’objets à vouloir connecter à Internet et la nécessité
d’un immense espace d’adressage. Le protocole 6LoWPAN a donc vu le jour
et a été conçu pour inclure la technologie de l’IPv6 dans le cadre des objets
communicants à faible puissance.

2 Le passage de l’IPv4 à l’IPv6


Les protocoles de routages IPv4 et IPv6 sont des protocoles routés, où le
routage des paquets est effectué à partir de l’adresse de destination contenue
dans l’en-tête, Cependant il a été constaté que le protocole IPv4, technologie
qui est définie par un plan d’adressage à classe allait atteindre ses limites
en terme de capacité d’adressage, étant codé sur 4 octets (soit 32 bits) puis-
qu’il permet d’utiliser au maximum 232 adresses, soit environ 4 milliards
d’adresses. Représentée en Décimal avec quatre nombres compris entre 0 et
255 séparés par des points

Figure 1 – Représentation IPv4

Des mesures d’assouplissement ont alors été misent en place comme le


CIDR et l’utilisa-tion de la traduction d’adresse (NAT). Cependant, elles
posent d’autres problèmes et ne résolvent pas le problème principal sur le
long terme. Cette pénurie d’adresses IPv4 a inspiré donc la mise en place de
la technologie IPv6, qui a augmenté la taille de l’adresse pour la porter à 128
bits. Son plan d’adressage est hié-rarchisé et à classe

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3 Le protocole IPv6
3.1 Qu’est-ce que le protocole IPv6
IPv6 (Internet Protocol version 6) désigne un protocole réseau sans connexion,
utilisé pour l’attribution des adresses IP aux ordinateurs. Successeur de
l’IPv4, officiellement arrivé à saturation depuis 2011. est codé sur 16 octets
(soit 128 bits). Il est représenté en notation hexadéciamale. Chaque quartet
peut prendre une valeur comprise entre 0 (4 bits à ZERO) et F (4 bits à UN).
L’adresse est découpée en 8 mots de 16 bits, séparés par le caractère « : ».
Les 64 premiers bits sont réservés au codage du réseau et les 64 bits restants
sont dévolus à l’utilisateur du réseau.

3.2 Représentation d’une adresse IPv6


Exemple d’adresse : 5800 :10C3 :E3C3 :F1AA :48E3 :D923 :D494 :AAFF
Dans IPv6 les masques sont exprimés en notation CIDR.
Il y a plusieurs façons de représenter les adresses IPv6.

Figure 2 – Représentation IPv6

• Représentation des adresses IPv6 : forme préférée


Notation : "x :x :x :x :x :x :x :x" où x représente les valeurs hexadéci-
males des 8 portions de 16 bits de l’adresse.
A noter : les lettres peuvent être écrites aussi bien en majuscules qu’en
minuscules.
Exemples d’adresse :
2001 :0660 :7401 :0200 :0000 :0000 :0edf :bdd7
3ffe :0104 :0103 :00a0 :0a00 :20ff :fe0a :3ff7

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• Représentation des adresses IPv6 : forme abrégée
Notation : les zéros à gauche de chaque groupe peuvent être omis, un
ou plusieurs groupes de zéros consécutifs se notent " : :".
La séquence " : :" ne peut apparaître qu’une seule fois dans une adresse.
L’adresse donnée en exemple peut donc s’écrire :
2001 :660 :7401 :200 : :edf :bdd7
• Représentation des adresses IPv6 : forme mixte
— L’adresse IPv6 compatible IPv4
Elle est utilisée dans un contexte particulier : les tunnels 6 to 4
permettant de relier des réseaux IPv4 à des réseaux IPv6.
Soit une adresse IPv4 notée a.b.c.d , son équivalent IPv6 se notera :
0 :0 :0 :0 :0 :0 :0 :a.b.c.d/96
ou en forme abrégée : : :a.b.c.d/96
Exemple :
: :132.64.16.25
— L’adresse IPv4 mappée
Un hôte IPv6 étant capable de communiquer aussi bien avec un
hôte IPv4 qu’avec un hôte IPv6, il utilise des adresses IPv4 map-
pées pour communiquer avec les autres machines IPv4 et utilise
des adresses IPv6 normale pour communiquer avec les autres ma-
chines IPv6. Ces adresses sont de la forme : :ffff :a.b.c.d .
Exemple :
: : ffff : 132.64.16.25
— L’adresse de bouclage qui correspond à 127.0.0.1 en IPv4
0000 :0000 :0000 :0000 :0000 :0000 :0000 :0001
L’adresse de bouclage ou localhost se note en abrégé :
: :1
— L’adresse indéterminée qui correspond à 0.0.0.0 en IPv4.
Elle caractérise l’absence d’adresse. Elle est utilisée lors de cer-
taines phases d’initialisation. C’est une adresse transitoire. Elle se
note 0 :0 :0 :0 :0 :0 :0 :0 ou : :
• Représentation des Masques de sous-réseaux Leur notation clas-
sique comme en IPV4 est impossible avec 128 bits, c’est donc la notation
CIDR, plus simplement appelée notation "slash" qui est utilisée.
Exemple l’adresse fe80 : :20d :61ff :fe22 :3476/64 a un masque de 64
bits.

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• Représentation des Ports Pour éviter toute ambuiguité dans l’asso-
ciation d’une adresse IPv6 et d’un numéro de port, l’adresse IPv6 est
incluse entre deux crochets[ ] : [2001 :DB : :8 :800 :200C :417A] :8000
Etant donné la taille imposante allouée aux adresses de la source et désti-
nation de l’IPv6 qui est de 16 octets, la taille de l’entete (40 octets) est par
conséquent plus importante que celle du porocole IPv4 (20 octets).
En-tête IPv4

Figure 3 – Représentation d’une en-tête IPv4

En-tête IPv6

Figure 4 – Représentation d’une en-tête IPv6

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Visant à apporter une meilleure performance quant au traitemeent du
paquet par les routeurs, le protocole ipv6 a introduit des simplifications par
rapport au protocole ipv4. Les champs suivants ont alors été supprimés :
— IHL , en-tête IPv6 a une longueur fixe de 40 octets
— Identification, Flags, Fragment Offset car la fragmentation fait l’objet
d’une extension
— Header Checksum, car on considère que la transmission est de bonne
qualité et que les erreurs binaires sont peu fréquentes
— Les Options ont été retirées de l’en-tête de base et remplacées par de
nouveaux en-têtes appelés extensions

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3.3 Explication des champs de l’en-tête ipv6
— Version : ce champ codé sur 4 bits présente le numéro de version du
protocole IP. La valeur est égale à 6.
— Traffic Class : ce champs codé sur 1 octet est équivalent aux champs
DSCP (permettre la différenciation de services) et ECN (avertir d’un
début de congestion) de l’IPv4.
— Flow label : ce champ codé sur 20 bits présente un numéro unique choisi
par la source, il a but de faciliter le travail des routeurs pour la mise
en œuvre des fonction de classification pour un flux
— Payload length : ce champ codé sur 2 octets présente la taille des don-
nées encapsulées par l’en tete ip.
— Next header : ce champ codé sur 1 octet présente l’identifiant du pro-
chain entete des données encapsulées par l’entete ip
— Hop limit : ce champ codé sur 1 octet est équivalent au champ TTL de
l’entete ipv4
— Source address : ce champ codé sur 16 octets présente l’adresse ip de
la source du paquet
— Destination address : ce champs codé sur 16 octets présente l’adresse
ip du destinataire du paquet
— Vient ensuite un en-tête d’Extensions ou la charge des données utiles.

4 Internet Of Things
4.1 Définition de l’I.O.T
L’Internet des objets est un réseau de réseaux qui réconcilie le virtuel
et le réel. Il permet d’identifier directement et sans ambiguïté des entités
numériques et des objets physiques et ainsi de pouvoir récupérer, stocker,
transférer et traiter des données qui y sont rattachées sans discontinuité entre
tous les points du réseau. L’Internet des objets est aujourd’hui présent dans
les équipements, les capteurs et les données que la plupart des entreprises
exploitent, chaque objet présent sur la terre pourrait disposer d’une adresse
Internet
— D’un point de vue conceptuel, l’Internet des objets caractérise
des objets physiques connectés ayant leur propre identité numérique
et capables de communiquer les uns avec les autres. Ce réseau crée
en quelque sorte une passerelle entre le monde physique et le monde
virtuel.

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— D’un point de vue technique, l’IdO consiste en l’identification nu-
mérique directe et normalisée (adresse IP, protocoles smtp, http...) d’un
objet physique grâce à un système de communication sans fil qui peut
être une puce RFID, Bluetooth ou Wi-Fi.

4.2 Pourquoi le protocole IPv6 plutôt qu’un autre pour


l’I.O.T
Le protocole IPv6 dispose d’un très grand nombre d’adresses, ce qui per-
met l’attribution d’une adresse à chaque objet, il permet même de leur en
donner plusieurs. Si chaque objet n’avait qu’une seule adresse, il deviendrait
trop facile d’en prendre possession à distance de façon malveillante, comme
c’est déjà le cas avec les ordinateurs.
L’abondance d’adresses permet une toute autre gestion : lorsque l’on sou-
haite rendre accessible un objet par un biais particulier (par exemple via le
web) pour une durée limitée, il devient possible de lui donner une adresse
uniquement pour cet usage et de la « jeter » ensuite.
De même, il devient possible de disposer d’une adresse physique (baséE
par exemple sur le numéro de série de l’objet) qui facilite l’autoparamétrage
du réseau d’objets tout en restant invisible aux utilisateurs, c’est là qu’inter-
vient la technologie 6LowPan (ipv6 based low-power wireless personal area
network), qui traduit une adresse Zigbee (basée sur la norme IEEE 802.15.4)
en ipv6 pour permettre aux réseaux d’objets de s’insérer dans l’internet.

4.3 Standard 802.15.4


Le standard 802.15.4 de l’IEEE définit les spécifications pour les commu-
nications sur un réseaux sans fil LR-WPAN, qui est un réseau de commu-
nication simple, peu coûteux, permettant des liaisons sans fil avec peu de
puissance, un taux de transfert bas et opérant sur de faibles distances.
IEEE 802.15.4 est utilisé par de nombreuses implémentations basées sur
des protocoles propriétaires ou sur IP, comme le ZigBee et le 6LoWPAN.

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5 6LowPAN
5.1 Qu-est-ce qu’un réseau 6LowPAN
6LoWPAN, alias IPv6 over Low power Wireless Personnal Area Networks,
est le nom d’un groupe de travail créé afin de développer un réseau de com-
munication pour des systèmes embarqués à puissance limitée, sur la couche
physique 802.15.4 C‘est un réseau de communication simple, à bas coût,
permettant d’avoir une connectivité sans fil utilisant une adaptation du pro-
tocole IPv6. Il est formé par des équipements, en général compatibles avec
le standard IEEE 802.15.4, qui sont caractérisés par une courte portée, un
faible débit, peu de mémoire et un faible coût. Contrairement aux réseaux
IP standards, un réseau 6LoWPAN est organisé comme un arbre.

5.2 Architecture d’un réseau 6LowPAN


Il est possible de distinguer trois acteurs dans un réseau 6LoWPAN : le
routeur de bordure, le routeur et l’hôte.
— Le routeur de bordure (ou 6LoWPAN Border Router (6LBR)) est la
racine d’un réseau 6LoWPAN. Il connecte le réseau au reste de l’Inter-
net et est responsable de la propagation des préfixes IPv6 au sein du
réseau 6LoWPAN.
— Les routeurs (ou 6LoWPAN Router (6LR)) sont des équipements in-
termédiaires dont le but est d’étendre la superficie du réseau.
— Finalement, les hôtes sont les équipements feuilles du réseau.

Figure 5 – Représentation de l’architecture d’un réseau 6LowPAN

Un réseau 6LoWPAN peut supporter deux types de protocole de routage :


route-over et mesh-under. Afin de permettre l’utilisation IPv6 tout en pré-

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servant de l’espace pour les données applicatives, une couche d’adaptation
a été mise en oeuvre. Cette couche d’adaptation a pour objectif de réduire
la surcharge de l’en-tête IPv6 et se place entre la couche MAC et la couche
réseau.

5.3 Couche d’adaptation du 6LowPAN


Elle est chargée de réduire la taille des en-têtes en utilisant la compression
pour adapter des paquets IPv6 dont le MTU est de 1280 octets dans des
trames avec un MTU de taille égale à 127 octets. Elle propose également des
en-têtes supplémentaires lui permettant de fragmenter un paquet IPv6 si ce
dernier ne peut pas être contenu dans une trame MAC.
Son objectif est de bénéficier de la compatibilité des adresses IPv6 (com-
pressées pour l’occasion) pour faciliter l’intégration du réseau d’objets dans
l’ensemble du réseau des réseaux internet, mais en s’appuyant sur le réseau
Zigbee pour une consommation modérée.
• Compression de l’en-tête IPv6
Un mécanisme de compression nommé HC1 est utilisé pour réduire la
taille de l’en-tête IPv6, il omet des champs spécifiques de l’en-tête IPv6 car ils
sont considérés comme implicites. En rompant la règle principale du modèle
OSI, qui implique que chaque couche doit être indépendante des autres. Seul
le champ Hop Limit de l’en-tête IPv6 reste toujours non compressé.
L’encodage HC1 utilise un pseudo en-tête de 2 octets : un octet pour
déterminer le contenu suivant, le champ dispatch, (entête IPv6, en-tête de
fragmentation, etc.) et un second octet pour décrire comment chacun des
champs de l’en-tête IPv6 est compressé. Un troisième octet, placé après le
champ d’encodage HC1, contient la valeur non compressée du champ Hop
Limit. Ce mécanisme de compression est donc capable de réduire l’en-tête
IPv6 de 40 octets à 3 octets.

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Figure 6 – Compression d’une en-tête 6LowPAN

• Compression d’autres en-têtes


La couche d’adaptation proposée par 6LoWPAN propose également de com-
presser l’en-tête UDP. Il permet de réduire la taille cet en-tête de 8 octets
à 2 octets au maximum. Il supprime obligatoirement le champ longueur et
donne la possibilité de supprimer la somme de contrôle.

5.4 Routage dans 6LowPAN


Dans 6LoWPAN , deux approches sont utilisés pour regrouper les proto-
coles de routage l’approche MANET et l’approche ROLL
• L’approche MANET (Mobile Adhoc NETwork)
— Basé sur la technique de routage
— Ils peuvent etre classés en deux catégories (vecteurs distance et
état de lien)
— Elle est basé sur la découverte de chemin(réactif et proactif)

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— Les protocoles qui sont actuellement utilisés pour les MANETs
sont le protocole AODV (Adhoc on demand distance vector), DYMO(dynamic
manet on demand ) et OLSR(optimised link state routing)
Ces protocoles doivent être modifiés pour les utiliser dans les 6LowPAN en
réduisant l’overhead.
• L’approche ROLL (Routing Over Low Lower Lossy Networks)
— Un groupe IETF chargé de developper des protocoles pour les
réseaux à faible énergie (LLN : Low Lossy Network) , ce groupe
a standarisé un protcole nommé RPL (Routing Protocol for Low
power and Lossy Networks)

5.5 Exigences de routage 6LowPAN


Il existe quatre conditions de base pour le routage dans 6LowPAN :
— Le noeud doit supporter le mode "sleep" pour l’économie d’énergie.
— La génération de l’overhead des paquets données doit être minimisée.
— Messagse de contrôle pour le routage doit être minimisé.
— Faible coût de traitement, calcul, et mémoire.

5.6 Exigences de routage 6LowPAN


— Nombre des nœuds et paramètres de réseau.
— Connectivité
— Mobilité
— Vitesse de traitement et taille de mémoire
— Modèle de traffic
— Consommation d’énergie
— Portée de transmission

5.7 Les protocoles 6LowPAN existants


• LOAD
— Basé sur le routage Ad-hoc On Demand Distance Vector (AODV)
— N’utilise pas le numéro de séquence de la destination
— Le RREP est envoyé par la destination seulement
— Envoi d’un ACK au lieu de messages HELLO pour économiser la
consommation

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• DYMO-low
— Basé sur le routage Dynamic MANET On Demand for 6LowPAN
— Tout comme pour l’AODV il fait le découverte de routes et la
maintenance en utilisant des messages de routage RREQ, RREP
et RRER et non en local.
— Utilise le numéro de séquence (16 bits au lieu de 32 bits)
— Contrairemment à l’AODV, il utilise des messages HELLO pour
établir le lien de connectivité
• HiLow
— Routage hiérarchique

— Pour augmenter la scalabilité, HiLow est proposé pour le 6Low-


PAN
— Utilise une adresse de 16 bits (pour minimiser l’usage de mémoire)
— Algorithme Chaque noeud enfant reçoit une courte adresse sui-
vant l’équation : C = MC*AP+N avec (0<N<=MC) sachant :
-> C : adresse du noeud fils
-> MC : nombre max des fils qu’un noeid père peut avoir
-> AP : adresse du noeud père
-> N : noeud nème

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6 Conclusion
Un bref aperçu de la technologie 6LoWPAN et ses différentes caractéris-
tiques a été présenté, fort est de constater que ça reste une solution idéale
pour les applications de IoT, elle offre l’interopérabilité entre les nœuds cap-
teurs à faible énergie et les nœuds IP qui existe déjà, les protocoles de routage
utilisés dans les 6LowPAN ont des avantages et des inconvénients entre eux
selon l’application et sont sélectionnés selon le besoin.

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