: qui est la p publique ocmpétente ? cst celle qui est compétente dans la
matièrefaisant l’objet du contrat, soit toutes les personns publiques sont compétentes pour signer un
truc dans son domaine de compétence.
Le 2 è me problème : quelle autorité est compétente au sein de la personne pbublique compétente ?
uel estb l’organe compétent ? Pour l’Etat normalement la compétence est déconcentrée,
normalement cst le préfet qui est copétent sauf lsq un texte donne compétence au ministre,
notamment pour des contrats qui divent s’exrer au niveau national. Pour les contrats des CT et des
Etab ublics, cst la compétence de l’exécutif après l’autorisation de l’rorgane déliberante ( commune :
le maire après autorisation du conseil muicipal) : la procédre s tun peu lourde, raison pour laquelle
un certain nombre de délégtoions sont possibles au profit de l’eécutif, soit lorgane déliberant peut
autorisé l executif à signer tout un ensemble de contrats à venir sans autorisaiton préalble de sa
part ;
La compétence est ici d’ordre public, le juge doit la relever d’office en cas de contentieux.
Il y a aussi une deuxième : ce sont les conventions d’occupation du domaine public : le CE considérait
tdntnllmnt que leur passation n’était soumise à aucun ppe général qui imposerait la publicité et la
mise en concurrence. Ce ass 2010 ASS PARIS JeanBouin à propos de l’attriution du stade de mm nom
de rugby ( 10min) . Mais cst une solution (absece de regle de publicitté et de mise en concurrenceà) a
été condamnée par la cour de justice, du moins lsq la convention docuupation du domaine pub a été
passée avec une entreprise et à des fins d exmploitation économique : CJUE 14 JUILLET 2016 promo
impresa. Suite à cla une ordonnance de avril2017 a instauré ppour les conventions de occup du
domaine pub passée avec entreprise et a fins écnomiques institué une prcédure de publicié d emise
en concurrence, mais peu contraignante car déterminée librement par la pers publique sous réserve
du respect de cette publicité de mise en concurrence.
2) Le critère du mode de rémunératin : en effet le titulaire d’un marché public est rémunéré par un
prix, versé par la personne publique et calculé en fonction de la valeur de la prestation. Dans la
concession par contre, la rémunération est assurée au moins pour une part par le droit d’exploiter le
service ou l’ouvrage. I.e. par ex le dt pour le titulaire du contrat de fair payer une rdevance aux
usagers de l’ouvrage ou du service ( dt d’exploitation donc). Ce dt d exploittion peut etre complétée
par u prix. Quelle proportion des deux modes de rémunération ?? Le CE semblat considéré que dès
lors que la réunération du co contractant etait assuré par au moins 33 pour cent de l exploiation du
servie ou d el ouvrage, il y a bien cncessions.
3) Le critère du risque financier d’expoiation : apparu tardivemnt, d’abord en JP fin 2000 et ajd par le
code de comm publique. Dans une concessionn, le risque financier est ransféré au concessionaire,
soit si l’exlploitaotion n est pas rentable, scst lui qui supporte les pertes. Alo que dans un marché
public, ce risque financier reste à la charge de la personn eublique. Si on prend le cas de l’arret
commune aix en provence : une commune confie par marché public la gestion d un fstival, si jmais
pas bon cst l pers publi uqui assuera les risques.
A) Au sein de marchés publics on distingue ceux d’ordiaire et ceu x de partenariat.
Les March2 spubl oridnaires ne confient à leur co contratant qu une seule mision soit travaux soit
serivecs, soit fournitures ou à l a limite deux de ses missions en combinaison. S’agissant de l’autre il
confie à leur titualaire un ensemble de mission ( mission globale) qui peut se décopmposer et qui peu
tinclure la conception , le ifncnamenet, la construcition, l’’amnégaement, l’entretien, la maintenance,
la gestion, l’exploitation, la transformtion, l réovation, le dm=émantèlement, ou enfin la destruction
d’un équipement, ou d’ouvrage, voire la gestion d un SP auquel ct équipement ou uvrage est affecté.
Le titulaire d un contrat de partenariat peut etre chargé d un ouvage, d un éuipement , du début jsq ‘
à la fin. Tdnllmnt le dt public frs interdisait de tels marché public comlexe pour des raisons qui
tenaien tau fait qu en regroupant les taches, seul les tres gdes entreprisesse porteraient volontaires
et cela poerterai atteinte à l’aegalité. Cst pour ça que l’ ordonnance d eujuillet 2004 a institué en
marge des archés pubkics ces marchés de partenariat que lrdonn de 2015 a rappatrié dans catégorie
de marché public : marché de partenariat. LEUR R2GIME est diférent de ceux publics oridnaires : la
rémunération : ils recoivent le titutlaires, des paiements différés tout au lng d l exécution du contat,
qui pvnt etre fort long ; en continu donc.
S’agissant des concessions, pas trop de diff de régime : mais distinguer concessions de services, et
concessions de travaux qui porte sur la réalisation de travaux et gestion de l’ouvrage qui en résulte. A
l’intérieur des deux cat on peut encore subdiviser. Au sein des concessons de serive, on a celles de
délégation de SP et celles portant sur les activités non constitutves de services publiques. Quand aux
concessions de travaux , soit concessions de travaux publics ou concessions de travaux non publics.
Parfois une concession peut avoir pls objets, par ex peut etre à la fois de travaux et de services : ex :
concessions d autoroute : la construire l’exploiter puis de la gérer.
II) Règles de passation des contrats de la commande puublique
Distinguer marchés publics et concessions, car règle pas la même. Dans les deux cas, il faut respecter
ppe d acces, d egalité et de transparnce.
A) Règles de passation des marchés publics
Les règles sont relativeemnt rigoureuses ici. A cela, deux raisons :
1)l’influence du dt de l’UE qui s interesse deuis 30 ans au dt des marchés publics et notamment à la
concurrence dedans. On transpose périodiquement des directives européennes.
2)Considérations internes delutte contre le favoritisme et la corruption. La fin des ans 80-90 avec
scandae politico financiers liées aux corruption dans les marchés publics : les ct accordés
relativemetn de marchés publics aux entreprises qui financaient leur campagne ( aussi affaire où
président conseil gnéral avait accordé marché public a entrepris emoyennant la réalisation et
construction gratuite d’une piscine chez lui).
Mais ces règles strictes entraînent insatbilité de la matière. Y a eu une époque où ce dt changeat sans
arrêt. Le code des marhés publics en place en 75 a changé finans 90 pour tenir compte des premières
directives européennes, qui aura tenu jsq en 2001, puis qui a duré 3 ans, remplacé en 2004 donc et
ce troisième code a dure jsq en 2006 ( là on a déjà eu 4 codes des marché spublics). QD au code de
2006, ça a tenu longtemps mais avec révisions régulières et abrogé par une rdonnance du 23 7 2015,
mais 9 ans ct dja bien hihi, et intégrée en 208 dans le nouvea code de la omande publique. Onc cst
une matière insatble et technique. Le ppe : procédure de osumission à de s mesures de publicité et
de mise en concurrence rigiureuse. Seule excpeion : hypothèse où la pers ublique attribue le marché
à une quasi régie ( le in-house) ie. Lsq le titulaire du marché est une structure sur laqeuelle la
personne publique exxerce un contr^^ole analogue au contrôle qu’elle exerce sur son propore
service et qui accompli l essentiel de ses missions pour le compte de la perosonne publiqe en cause.
C’est une structure qui ne trvaille que pour la pers publique et entièrement contrôlée par elle . En
pareil cas donc pas de publicité ni de mise en concurrence car on considère que la perspubli tracte
avec elle mêe.
Das les autre cas on a les procédures epub et mise en concurrence avec la procédure de droit
commun qu’on appelle : l’appel d’offre. En théorie y a encadrement fort. L’appel d offre s ouvre par
un avis de marché dont le contenu est étroitement encadré psq il doit dfinir les critères de sélection
des offres,étant précisé que ces critères dvnt etre en rapport avec l’objet du marché . S il y a pls
critères, il doit également précier leur hiérarchisation et leur pondération, (quelle note à chacu d
entre eux et quel coef par ex) donc les entreprises candidates connaissent les modalités d’avluation.
Les règles depublication de l’avis de marché sont précisément fixées aussi, où, durée, etc… Ensuite
on l’étape 2 : sélectin du titulaire de marché : pour l’Etat et ses établissements publics ici cst le
signataire du marché ( autorité compétente ) qui va choisir le titulaire de marché. Pour les CT et étap
publ , la séléction se fait par un organe à part : la commission d’appel d’offre ( méfiance stricte
envers l’exécutif) ( ça change que dans la commission y a aussi des membres de l’opposition ). Mais
en tte état de cause, que ce soit le signataire qui choisisse ou une commission d’appel d’offre
collégiale, l’autorité compétente n a pas bcp de marg d appréciation car est tenu de donner le
contrat au candidat qui respecte au mieux les critères de sélection prédéfinis, « sans possibilité de
négociation », donc au mieux disant. PAR EXCEPTION ? IL Y A DES PROC2DURES D2ROGATOIRES
POUR CTNS MARCH2S/ IL Y A DES procédures allégées pour les marchés de faibles montants. Il existe
pour chacune des trois catégries de marché publics, des seuils et la procédure d’appel d offre
estobligatire au dessus des seuils, et facultative en dessous. Mais adapté ici signifie toujours
respecter oblgation de publicité et mise en concurrence sauf pour les très petits marchés, et puis le
ppe d attributin au mieux disant s applique toujour toujours.
L’autre procédure spéciale cst celle négociée en raison d elobjet spécifiue de ctns amrchés ex marché
d epartenariat vu leur objet complexe.
B) Les règles de passation des concessions
Ici on a u encadreent plus osuple, et pus historiqueent , il est largement d’origine interne : le dt
européen ne sy est vrm intéressé que dans les années 2010, dcp par ex on n a ici en dernière
réforme l’r=ordonnance de janvier 2016, qui constitue une transposition du dt de l’UE. Ce qu’il y
avait avant, ct essentiellement des règles d’origine nationale. Les txt antérieures voulaient éviter
u favoritisme exccessif. La loi de janv 1993 dite loi sappin qui était ue loi de lutte contre les
corruptions ( à l’époque on avait bcp de corruptions dans lepolitique), mais sans pour autant
arriver jsq à un strict reglement comme dans les marchés publiques, pq ? car on considère que la
concession suppose une part d’intuitue personae (pris een considératin de la personne.). En effet
ne pas néliger que dans une concession la pers publique transfère une de ses compétences à l’un
de ses contractans : elle lui transfere la gestion d un SP QU elle aurait vocatin à gérer elle-même,
ou l exploittion d un ouvrage qu elle aurait vocation à gérer ellle mm : donc ue telle mission
suppose relton de confiance entre al perspublique et son co contractant, et cete relation de
confiance ne peut se résumer à un des critères hiérarchisées et pondérées : humainement on
peut ressentir qu y a des gens qu on peut trouver nice du ppov de leurx experienes et
compétences, mais humainemen ton ne les sent pas, « on a pas besoin d etre très copain avec le
concessionaire qui truc notre caisse, mais on voudrait qd mm apprendre un peu plus sur celui q
=à qui on liue la maison ». Donc ici concrètement, on a publicité avec avis publlié qui permet aux
entreprise sinteressees de déposer leur candidature. Puis mise en concurrence. Pour autant, ici cst
plus léger que dans les marchés publics. En effet, une négociation s engage librement avec les
entreprises qui ont déposées leur offre et surtotu la personne publilque chisit librement le
titulaire de la concession au vu de la négociation. Néanmoins, pour les concessions des CT, la
confiance ne règne pas ( on a des commissions des concessions, car les ct ne voulaient pas laisser
à lexecutif le libre choix des concessionnaires).
I) Clauses défendues.
Le ppe de légalité s appliquent aux contrats qui sont inséerés dans la légalité admin,( hiérarchie des
normes au mm niveau que les AAU. )Un contrat ne peut comporter de clauses illégales contraires à
une nrme supérieure dans la hiérarchie des normes. Cela dit il faut dire qu en matiere contractuelle,
le ppe de légalité s applique d manière plus souple qu’en matière de AAU. Il ya des regles ou ppes
pourtan fixées à un niv supérieur dans la lhierarchie normalenne auxquelles les parties pvnt deroger
au nom de la liberté contractuelle des lors que les deux parties sont d accord. Ex : ppe de non
retroactivité : y en a pas en atiere d eontrat admin, mais si les deux parties sont da ccord qu ils vlnt
rétroagir pas de pbm. Autrement dit, pour chaque norme de la légalité , il faut se demander si cst
impératif ou si les parties pvnt y déroger. On retrouve les mm distinctios qu en dt privé ie. Les règles
dites d’ordre public et celles supplétives de volonté ( qui s’appliquent en l’absence de vté des
parties).
A) Le pouvoir de résiliation unilatérale : Cst un ppe générale des ctrats admin CE ASS 2 mai 1958
distillerie de Magnac- Laval. Ca singnifie qu en l absence de clauses le prévoyant ( les clauses qui les
prévoient sont exhorbitantaes du dt commun) ce pouvoir s’applique, et les clauses par lesquelles l
admin y renoncent sont illégales : CE sect 6 mai 1985 associatin eurolate. Cela dit : ce pouvoir n’est
pas inconditionné et ce pour deux raisons :
- dans son ppe mm , le ppe de résiliation unilatérale dt etre justifié par un motif de fait ou de droit
d’intérets géénrale ( ex : évolution de la loi, volonté d el administation de réorganiser le serv public
ce qui rend les contrats existans inutiles) et le juge contrôle la petinence et l’actualité d el’intérêt
générale ex CE ASS 2 fev 1987 sté TV6 qd la loi a changé le mode d’emission des tv privés :
auparavant les tv privés devaient signer contrat de concess privées avec l ETAT et puis a changé ar un
syst d autorisation unilatérale. Le Ce dit qu effectivement le changeent de législation justifier la
résilitaion mais le juge censure car la loi n’était pas encore entrée en vigueur, donc ici l’actualité
faisait défaut).
-En ppe la résiliation unilatérale sans faute suppose l’indemnisation intégrale du co contractant.
Cependant, cette règle n’est pas d’ordre public, le contrat peut y déroger et le co contractant peut
renoncer totalement ou partiellement à son droit d etre indemnisé, sans autre limite que de tenir
compte du ppe selon lequel l administrationn ne peut pas s engager à une spayer une somme qu elle
ne doit pas ou de renoncer à percevoir une smme qui lui est du CE 4mai 2011 CCI de Nîmes,Uzès,Le
Vigan : concrètement ça veut dire que le montant d’indemnité peut être négocié à la baisse et jamais
à la hausse.Puis lsq le contrat est conclu entre deux personnes publiques il n’est pas possible de
négocier ce montant.
Néanmoins
1) La force majeure administrative
Elle concerne les memes faits que l’imprévision, mais lorsque ces évènements présentent un
caractère de perennité tel que le bouleversemnt d el equilibre financier du contrat apparait définitif
ou dépassant le délai raissonable ex CE, 14 juin 2000, Commune de Staffelfelden à propos de
pollution souorce d eau potbal pour durée de 200 ans ; en effet l entreprise peut dire que la source
est définitivement impropre à la consommation. L’idée cst que l’imprévision a vocation a être
temporaire, lsq devient définitive plus de l’intérêt de personne de continuer le contrat, que ce soit du
cocontract ou de l’admin qui pourrait trouver soluc moins onéreuse. Imprévisibilité, extéeriorité,
irrestitibilité on l’a du fait que le désequilibre est permanent, définitif est l’évenement, et donc il
appartient aux parties dde se emettre d accord pour mettre fin au contrat, et si elles n y parviennent
pas n improte laquelle peut saisir le juge pour qu il prononce l arésiliation du contrat Ce 9 12 1932
arret d eppe cgnie des tramways de cherbourg, soit la conséquence de cette théorie, cst que le
contrat prendra fin soit par accord des parties soit ar décisions du juge, mais cela ne privera pas le
coc ocntactant privé de l indemnité d imprévision tatn qu il aura exécuter le contrat jsq a son terme ;
le fait pour le co contractant privé de saisir le juge pendant qu il prononce la résilitaiton du contrat n
est pas un motif pour le priver d el’indemnité d mprévision, en effet il ne fait qu utiliser une voie que
le droit lui ouvre.
Le deuxièmee changment opéré par Bézier I tient aux moyens invocables psq l’arrêt insature un ppe
de loyauté des relations contractuelles qui interdit aux requérants d’invoquer les vices dont il est à
l’origine. Cst un peu une application “nulle ne peut se prévalir de sa propore turpitude”.
Bref à retenir que -Ce Ville de Lisieux= les contrats de recrutement des agents publics ressemblent
beaucoup aux AAU de nomination des fonctionnaires, qui eux peuvent faire l’objet d’un REP, donc
alignement du régime qui tous deux sont contestables par les tiers via rep.
- Ce syndicat national des personnels FO: Les contrats de creation de GIP qui
ressemblent beaucoup aux aau qui créent EP et qui sont contestables par rep
par les tiers
A) Le recours contre les clauses reglementaires
Clauses reglemntaires)= acte reglemntaire inséré dans le contrat. La logique voudrait donc que le
régime contentieux des clauses reglementaires soit le meme que celui des actes reglementaires, pas
des contrats. Ce qui s est impose rapidement: des le début 20 eme siècle, le juge a considéré que les
clauses reglementaires sont invocables par les tiers dans le cadre du contentieux d execution Ce 1906
Syndicat des propriétaires et contribuables du quartier seguey Tivoli ,dans cet arrêt le ce a estimé
qu a l occasion d un reoccur contre un acte d execution d un contrat, les tiers poovaaient se prvaloir
d un acte reglementaire. Si DANS LE CONTRAT DE CONCESION DU SP DE CLASUES REG ONT 2T2
INS2REERES POUR PRéVOIR UNE FR2QUENCE DE LIGNES DE TAMWAYS PAR EX ET QUE PAS RESPECT2
ALORS LES TIERS PEVENT SE PR2VALOIR CONTR ELUI, ex aussi pas respect du temps de passage par h.
On aurait pu imaginer que les tiers puissant aussi contester par voie de rep qd ca les convient pas,
bah il aura fallu attendre ce 1996 CE ASS Cayzeele (90 ans) POUR QUE LES CLAUSES
REGLEMENTAIRES PUISSANT FAIRE L OBJET D UN REP DE LA PART DES TIERS.
Le requérant par la voie du REP, saisi le juge du caractère illegal de l’acte detachable. Si l vice
qui entache l’acte detachable est d ‘une illégalité grave, ou si l illégalité de l acte detachable
entache sur le contrat, ce n’est pas que ceci soit ainsi établi qu’il appartiendra au juge du rep
d’annuler à son tour le contrat.
Le contrat: il appartient aux parties de tirer les consequences de l’annulation d actes détachables sur
le contrat, en clair les parties mettent fin si le contrat a été entché d illégalité révlée par l’annulaiton
de l acte detachable: cst un appel manifete à la bonne volonté, les parties pvnt tres bien etre
satisfaites du contrat qd bien mm illégale, cst un vieux pieux qu on a tire aux parties. Pdt tres lgntmps
onaurait pu parler d effets assez platoniques. Cst au fin 20 début 21 que le juge s est saisi de l
aquestion à partir du moment ou il a été siasi d u pouvoir dinjonction à l’égard de l administration: loi
de 1998; le ce a déduit dans CE sect sté hertz France 1999 que le juge de l exes de pouvait à l
occasin de l annulation d u acte detachable prononcer une injnction à l egard des parties. ( le
pronocé d ue injunction ce n est pas l exces d epvoir, exces d epouvoir cst déja le plein contentieux).
Le juge qd annule lacte detachable peut enjoinder aux parties de s emettre d accord pur résilier le
ocntrat dans un durée détermné, uou si pas d ‘accord possible, de saisir le juge, du contrat cette fois-
ci. Là cst intéressant, on donne l ordre a qlq qui n a nul envie de saisir l ejuge de le faire car lui seul le
peut, les parties ne ovulant pas résilier.
Le ce a précisé dans CE 10 12 2003 institu de recherchepour le dvélepoment que le juge du contrat
n etait pas tenu par les appreciations du juge pour excès de pouvoir. En réalité qui peut apprécier les
consequences de l annulation de la cte detachable sur le contrat, cst bien le juge du contrat, le juge
pour exces d epouvoir au oment ou il a anulé l acte detachable s est borne d emmettre unavis qu il
faut annuler le contrat, et qu il conviendrait de saisr le juge du contrat pour que celui si mette fin si
les parties ne veulemnt pas,m ais le juge du contrt est libre, il peut ne pas partgé l avis du juge pour
exces de puvoir, il peut dire que l annulton de l acte detachabl n esuffi tpas pour faire annuler le
contrat. Depuis Bézier I ,qd bien mm le juge du contrat estimerait que l annulationde lacte
detachable rejailli sur le contrat, l annulation n est qu une sanction parmi tant d autres, depuis 2009
on peut considerer que l illegalité du contrat n est pas sufisament grave pour qu on l annule mais
slmnt on le résilie, voire vrm pas gravedu tt pour que le contrt s epoursuive.
Pour que l annualtionde l acte detachable emporte celle du contrat, y a au moins troisfacteurs: 1 ) les
incidences d el illégalité de l acte detachable sur le contrat ( il n apporte pas tjrs l illegalité de cleui ci)
2) la bonne vlonté de parties 3) l’appréciation du juge du contrat sur les liens entre l illeglaité de l
acte detachable et le contrat et 4) gravité du vice qui commande la gravité d ela asanction. Bref
chemin long qui s etend entre l annulation de lacte detachable et eventuellement, ptt un jour celle
du contrat.
Ajd, cette voie de dt a Presque disapru.
Enfin , on peut penser que les tiers qui n ont pas intérêt suffisant pour exercer le recours directement
contre le contrat peut contester au moins les actes détachables.
Système créé par la loi du 2 mars 1982 sur la décentralisation ; il peut être exercé contre un acte
administratif unilatéral des CT et un contrat (natures différents) des Ctcvtés territoriales.
Jsq en 2011 le déféré prefectoral était considéré comme un rep qlq soit l’acte contre lequel il est
exercé (aau ou contrat). Mais en 2011 CE, 23 décembre 2011, Ministre de l’Intérieur c/ SIAN : le
déféré pref contre un contrat devient un plein contenieux dans lequel le juge dispose des mm
ppouvoirs que ceux dont ils disosent dans le recours de Béziers I ; tandis que d autre part ça reste un
rep pour les AAU. En 2014, la situation s’est obscurcie puisque le préfet peut désormais exercer le
recours tarn et garonne contre le contrat. Est-ce que ledéféré préfectoral de tarn et garonne sont
deux recours distincts, ou est ce que le recours tarn et garonne absorbe le déféré prfectral, ON AUAIT
DIT LA deuxieme solution, le préfet contre les contrats des ct exerce le recours tarn et garonne en la
forme du déféré prefectoral. Le ce vide le déféré prefectoral, recours crée par la loi pour appliquer
un recours qu il a crée ( par tarn et garonne).
III°°-) Les référés
Si référé = provisoire, ces deux référés seront marqués par des trucs définitifs.
A) Le référé précontractuel
Crée par loi de 4 janv 92, ajdhui codifé aux art L451-1 ET svants du COj admin. Ce recours est ouvert
contre les contrats de la commande publique, il n’est pas ouvert contre tous les contrats admisitratifs
donc. La raison : il ne peut etre soulevé qu’à propos d’une méconnaissance des règles de publicité et
de mise en concurrence, et du coup uniquement par les concurrents évincés. Pour savoir si le
concurrent évincé est le meme que ceux au sens de jp tropic bon bref ces concurrents )= celui qui na
pas pu présenter sa candidture alors qu il aurait pu.
Etant précisé que ce référé présente un caractère strictement préventif, il est précntractuel. Ca veut
dire non seulement qu il doit etre exrecé et déposé avant la signature du contra,tmais mm qu il doit
etre tranché par le juge avant la signature du contrat. Soit en l’état initial de la loi, la signature du
ocntrat était une cause d enon lieu : s ladmin et son co contract siganti le contrat apres depot de
reocurs et avant ue le juge examinait le rreocurs, le juge pouvait dire non lieu : ca deveait course de
vitesse ; heureusement ajdhui il est suspensif. ( ca s est fait en deux étapes, en 2000 puis en 2009) ?
SOIT son simple dépôt empeche les parties de signer le contrat jsq a ce que le juge statue .
D’ajouter que depuis 2008, le requérant ne peut pas invoquer tous moyens, avant oui. Depuis 2008
et CE arrêt de sect du 3 12 2008 SMIRGEOMES, le requératn ne peut plus invouer que les
méconnsaisances des regles de publicité et de mise en concurrence qui le lèsent personnellemnt (l
ont privé reellement de chance d avor le contrat), le ce a transformer un référé objectif à un référé
subjectif .
Ici les pouvoirs du juge sont :
- D’ordonner aux parties de se conformer à leurs obligations de publicité et de mise en
concurrence, dans l intervalle de suspendre passatin du contrat ou lexecution de tute
décision qui s y rapporte,
- Annuler les décisions relatives à la passation du contrat ( qd mr disait que ct pas provisoire, le
juge en annulant par ex la décision de signature d un contrat) et ça cs tpa sprovisoir heheh.
A) Le référé contractuel
Cst l’orodnnance du 7 mai 2009 qui le crée. Est codifié aux art L541-13 et s du COJADMIN. Ce référé
contractuel est applicable aux meme contrats que le référé précontractuel : contrat de commande
publlic et ouvert aux meme requerants : concurrent évincés.
Mëme lorsue les eux référés sont suscptibles de s appliquer à un même contrat , ils ne peuven tfaire
double emploi psq l exercice du référé précontratuel emeche tout exercice par le meme requérant
du réfré contractuel . Sauf exception ici dans qlq cas :
-la loi evoque comme exception l’hyoppothès eoù le contrat a été signé malgré l’exercice d’un réfré
précontraactuel : logique, car ici le référé précontraftuel sera forément transformé en référé
contractuel, ce qui a du le sera ;
-Lsq les parties ne se confrment pas a lordonnace de référé precontractuel qui leur avait enjoint de
suspendre la signature du contrat, ici encore on transforme le réfré precontrat en réfré contractuel.
-Le juge a ajouté dans CE 2010 France AGRIMER : hypothèse ou le requérant exerce un référé
précontractuel contre un contrat déjà signé mais où ignore cette signature du contrat car les partis
ont manqué à leur obligation d’informer. Le juge peut suspendre le contrat mais peut également
prononcer son annulation, peut décider de son abrègement=raccourcir la durée du contrat, enfin
infliger des pénalités financières aux parties.
Section 2 : Le contentieux de l’exécution du contrat
Ici, le contxte est different, le requératn conteste une mesure d execution du contrat, en se prévalant
du contrat le plus o=souvent. EN CLAIR, il invoque le contrat en estimant que tells ou telle smesurs d
execution est conraire au contrat mais ne la conteste pas. A titre esentiel les partie spvnt agir
eventelement les tiers.
Paragraphe 2:Le recours des tiers contre les actes d’exécution du contrat
Malgré l’effet relative des contrats, le juge a considéré que vis a vis des tiers, les actes d execution du
contrat etaient detachables de celui ci, soit le juge a éténdu aux actes d execution le régime des actes
détachables. Ce sont alors des AAU, lesquels peuvent etre contestés par un REP. Cela dit, on ne peut
invoquer que la violation des lois et règlements et non celle des clauses du contrat du a l effet
relative, dans le cadre du rep bien sur. La seule exception, les parties peuvent se prévaloir des clauses
reglementaires ( arret proprio et contribuables quartier Tivoli). Mais les clauses regementaires dirait
on ne sont peut etre pas des lauses contaacteulles non?
Depuis 2017, un régime contenitieux particulier concerne l’un des actes détachables, cst le refus de
‘administration de résiliation du contrat. EN VERTU DE l arret CE, sect., 30 juin 2017, Syndicat mixte
de promotion de l’activité transmanche, il s’agit désormais d’un recours de plein contentieux, et son
régime est le même que celui du recours tarn et garonne(par les mêmes requérants= articluier léses
psnllmnt ; pour les ctrats des cvvtés terr par les préféts ou un memebre de l assemblée délib locale).
Pour quelle raison un tel régime particulier : en réalité les deux recours ont le mm objet, que le tiers
exerce le recours tarn et garonne contre le contrt en vu de le faire supprimer ou que demande a l
admin de le supprimer et agisse contre le refus d el admin de le supprimer, dans les deux cas le tiers
demande que le contrat soit fini.
QCQ une activité de SP?? Pour voir si une activité est ou non un SP?? Premier reflexe= voir la loi.
Est un sp une activité qualifiée comme telle par la loi et inversement, si une activité est disqualifiée
de sp excpliciteent(rare) ou implicitement par la loi, alors n est pas un SP ( ex pour disqualifier explicit
ou implicitemenet une active de sp: qd la loi soumet une activité à dses regle sincompatibles avec le
régime des sp, elle n a pas entendu en faire un sp : arret CE sect 2007 APREI) . Si on écarte
l’hypothèse de l exclusion legislative et on s interesse aux ypthèses de qualif legislative, ca rleve du
bon sens: on trouve tres peu d activités qualifies par la loi de sp alors que le juge ne les aurait pas
qualifier cmme telle ex: l education, la justice, l activité des etablissement de santé(hopitaux, de
manièe mons evidente les activités sportives , l approvisionnement en electricité, les activité postales
de base ( distribution courier), de manière moins evidente,l amelioration des races de chevaux, donc
surprise ici, à l egard des criteres jpdentielles de tells activités seraient qualifies de sp. Donc lsq pas
de qualif legislative, on se refere aux critères de qualification jpdentiel, et ces critères conduisent non
pas à une mais deux definitions du sp; l une faisant appel a trois critères= déf de droit commun; l
‘autre permet de qualifier une acitvité de SP en l’absence de l un des trois criteres normalement
requis cst a dire la purgative de puiss publique.
Par contre, l ‘inverse: l absence de lucrativité peut etre un indice du critère d el’interret general.
( au moins on peut se dre que pas destine à procurer revenue à celui qui sy livreex: : releèe
comme indice de ce que le serice legifranc est un sp son absence de lucrativité: CE, sect., 17
décembre 1997, Ordre des avocats à la Cour d’appel de Parisl etat ne s enrichit pas en dvlppant
ce site .
Un questionnement: on a lgntmps pensé que parmi les indices, y en avait un qui était plus qu un
indice : est une veritable condition du SP sans laquelle y a aps de SP: cst l initiative publique d el
adctivité ce sect 2007 aix en provence a contredit cette affirmation en disatn qu il peut exister des sp
d’initative privée. Soit que lorigine d la ctivité soi tune initaitve d el aprt d une association privée pers
privé donc et cst après que la pers publique reconnaisse cette activité en tant que SP en la
reconnaisant etassurant le contrôle. Ici en l’epsèce une asso a pris l initative d un festival, puis des
années après la commune a décidé de prendre en charge et contôle les activités mais laisse
l’association à la direction du truc toujours, dès lors en acquiscant l econt^role de l a pers publique,
on aura un SP ??? Le truc privé ici per den autonomie mais gagne en moyens.
2) Le financement
Ca doit être comparable à celui d’une entreprise privée, cst a dire qu il doit etre assuré
majoritatirrment par les prix versés par les usagers. La seule difference ici du spic par rapport à une
activité economique rivée est qu il n a pas pour vocation de réaliser le pprofit mais on exige de lui qu
il soit capable de s ‘équilibrer financièrmeent, autrmeent dit qu il soi ten mesure de se financer par
les primes verses paar les usagers, le profit nest donc pas le but preier mame si peut etre.
INVERSMEENT spa se finance par des ressoucrces externs au service, soit impot, subvention suqi lui
sont versées ( ca signael activité non rentable) mêm si il n est pas exclu qu un SPA soit finance en
partie par les usagers , o a des spa qui sont payants, dès lors que le paiement mapar les usagers ne
constituent qu une part minoritarie du fincnamcemnt du service , le service ne serait â susce^tble de
se financer uniquement par ce que âye les usagers, on a spa ex (univ on paye frais mais ça ne
correspond pas au cout de la scolarité , si on étati dans une lgoqeu indusrt et comm ce serati
gravement élevée, donc l univ mm si pas gratuite est un spa car ne se finance pas par elle mem,
ppaleme tpar subvention se l etat). La mm activité selon que financée pr usagers ou par des
ressources externs, peut etre un spic ou ssoit un spa avis ce 1992 sarl HOFFMILLER à propos de
service d améangements des déchets ménagers : qd le service d enlevement est finance par une taxe
d enlevement , ie un impot, cst un spa car impot est payé par tous les contriubuables de la commune
et selon un tarif qui ne depend pas des ordures qu’elles produisent (on payee n function de la Valeur
locative du bien don’t on est proprio en tant que taxe.
En revanche si le service se finance par redevance d enlevement de sordures acquitée par les seuls
utilisateurs du service et selon un tarif qui varie en fonctin des déchets qui ls produisent alros cst un
SPIC.
Question: les critères son tils alternatifs ou cumulatifs? Réponse dissimétrique. Ils son tcumulatifs
pour les SPIC, soit l arret syndicat industrie aeronatuique le precise: un service pub lest un spic si
reemsble a un enetreprise privé des trois pov citées là ( objet, financement, modaitéd e
foncitonement). Dès lors qu il s en distingue par l un de ses troi scritères cst un spa. Le spic on voit cs
tune activitéé éco financée par ses usagers et gérér comme l entreprise, un spa cst tout ereste, ca
peut atre activité eco, ou activité éco qu on a choisi de ne pas faire financer par usaegrs mais par
impots, ptt atctiviét eco finance pra ses usagers mais géré sur un mode administrative. Un sp est
présumé spa sauf si se ressemble a un eentrerpise à ces troi spov( obj , finance, mode de fonctionn).
Mais le juge fait prevue de souplesse dans la qualification des SP . Les arrêts qui identifient les spa et
spic ne sont pas toujours le splus faciles à commenter car on peut consatter que le juge est moin
srigoureux dans la pratique que ce qui est dit ici. La souplesse se reflete à deu xpov:
1) Il est loin de tjrs verifier l emode d eofncitonnement. Faut pas paniquer si dans un arrêt on
identify sp sans verifier mode de fonctionement, ce denier critère estambigu car s inéresse
déjà au régime, or ca devrait etre l inverse ( regardé si le sp fonctioone seon regle de dt pv ou
de dt publ on déduit si spic ou spa , or normalement on devrait chercher si spa ou spic avtn d
en deécouler le régime applicable ) cst un critère ambigu , la vérificatin du mode d
efonctionnnement n intervien tque lsq l examen des deux autres critères n abouti pas à un
rsultat tranché.
2) Le juge tend parfois à presumer ctns sp en disant qu il ssont spa ou spic en voyant seuelemnt
l’objet. Ex: le juge considère par ex que la construit net l entretien des route sconstituent tjrs
un spa meme qd l usage des routes est payante ce 1985 Jeissou Idem pour sp de la
transfusion snaguiine avis du ce 2000 mme Torrent . Inversmeent: le sp de distribution d eau
potable est présumé etre un spic sauf lsq il ne donn elieu a aucune facturation périodique à
l’usager, présomption simple donc tc 2005 mme albertit Scott. Dans cet arrêt mm si le
montant de notre facture d eau est lojn de orrespeondre au cout de revient du servie cst qd
mm un spic ( à la difference de l unviersité ici.)
Paragraphe 2 : SP marchand et SP non mrchant
Distinction apparu recement sou sl influence du dt d el ue. Cst la soumission au dt d ela concurrence.
Il faut ben identifier et la distinction spm et sp non m ne correspond pas tltment a la distinction spic
spa. En effet, le Meilleur moyen pouridentifier cette distintion cst de se réferer au dt d ela
concurrence et art du code cdde cimmm precise que le dt de la concurrence s apllique (L 410-1 ) à
l’ensemble des activités d’objet économique, don ici l eseul critèere de distinction cst l’objet.
Autrement dit, une activité économique, mm si l’Etat a hcoisi d en e pas la faire financer par les
usagers ou de la farie gérer comme une administration, ca rest un sp marchand. Donc cette
distinction échappe à la vté de la per publique, l objet d el’activité est independent de la vote de la
pers publique, elle n est pas tributaire de son choix ( cst ce que veut l UE).
Le critère de l objet est assez objectif mais cst pas absolu. Le dt frs et le dt de l ue ne sont pas trop d
accord sur la déf de ce qu est l objet économique et ce que ça n’est pas . La OU CA S accorde cst pour
considerer le caractère non économique des acitivtés de puissance publique et de reglementation, ni
les activités exclusivemtn socaiels fondées sur le ppe de solidarité, soit les régimes obligatoires de
sécurité socile (cjce 1993 épitre), mais les activités de smutuelles= activités économiques. Ca cst là ou
cst d accord, mais le dt frs aurait tendance à rajouter parmi activité non éco comme les activités
culturelles et artistiques ( arret commune ai xen prov le dit ), de même les activité concourant au
xmission sesentielles de letat ass 2006 orne des avocats à la ca de paris à propos d activité de conseil
juridique aux perosnnes publiqes ( une admin de l etat donnait coneil juridique auprès de CT . Le dt
de l ue oconsidère qu une accitivté culutrrelle cs tune aitvité économique et qu une activié de cons
juridique mm qd ça vise à truc de l etat ce sont des acitivtés économiques.
Chapitre 2 : Le Régime juridique des services publics
Js =q en 1921 l ecole du sp a soutenu que le régime jur des sp etait unifiée et de dt public. Depuis
1921, ce n’est plus le cas, ajd le régime jur des sp n est plus uniforme. Et voilà qu’il va nous imposer
d’étudier adans sect 1les léemtns communes, puis sect 2 les specifités.
2° Les sp locax
Ce sont ceux crées par les CT . En effet, une Ct peut être compétente pour créer un SP lsq la loi lui
donne cette competence. En effet , en vertu de art 72 C ° cst le législ qui fixe la competence des c ten
vertu d ppe du libre admin des CT. On a vu en institutions admin en L1 : à ce titre les CT pvnt dispsoer
de deux types de compétence : 1) les compétences qui leur sont expréssement attribuées par la loi :
les communes assurent l enlevement des dechets ménagers, les départemetns assurent l entretien
des collèges. Deuxième titre de compétence : clause génrale de cométence : dispostion génerla de la
loi attibuant aux ct la competence piur régler toute quesiton d interet locales des lors qu aucn texte
ne la confie à une autre perosnne publique. Depuis 2015 suele la commune en dispose de cette
clause gene de scompétences.
Bref Soit donnée par la loi donc, soit pour la commune par intérêt communale en vertu de cette
clause.
Cst normalement l organe déliiberatn , au sein de la ct, conseil mun, dpart ou regio qui es tompétent
pour créer ou suppirmer le SP.
2) Les SP interdits
Savoir si ctns secteurs d activités eraient interdits aux perosnnes publiques?? Donc pour etre
résevées aux pers privées. La réponse est non, en tout cas jamais de manière systématique. On a pu
se poser la question à propos des acitvités économiques, psq nous vivons dans une éocnomie de
marché, marché libérale. Les activités éco son ten ppe reserves aux pers privées, pour autant pas d
interidciotn aux pers publiques d intervenir en aiere economet et d eriger l actifvité eco en SP, qd
bien mm l inerventio iéconomique de la pers pub ptt apparatitre de nature à étouffer la concurrence
privée. Compte tenu des ressources e tinstruments juidique don tdisposent la pers publ, pl aper
sprivée ptt anéantie si la per spublque le souhaite.
Certes, la liberté de commerce et d industrie n empeche pas la per public d intervenir en matière eco
mais elle encadre nénamoins cette activité. Et la jp est allée en s assouplissant au fil du temps de
sorte à faciliter les possiilité d interventi econoique des personnes publiques, ce ui peut paraitre
ontradictoire au mvmvnt de libéralisation de l’economie. En effet au depart l ineterventn éco des
pers publiqesues etaien tsbordonnés à des circonstances exeptionnelles: 1901 ce Casanova. Ensuite
d_ès les années 30 un premier assouplissemnt, sect 1930 Ch syndicale du commerce en detail de
nevers , le ce n eige plus que des circonstances particulières, donc ce n es tplu sexcepitonneles, soit il
faut une carence de l initiative privée. Il faut que la pers publ montre qu il n yavait pas id initiative
privée pour entrer en mati économique. Le jgue considérait comme carence non seulement l absence
mais aussi l insfuissance numérique de cette iniative privée, don cune commune peut ouvrir
boulangerie qd il n y en a pas et qd il n y en a aps assez eu egard au nb d habitants, et mm lsq cette
insuffisance n etati pas que quantitative mais qualitative, ou bien mpeme lsq il y a un einadéquatin
tarifarie entre le tarif d el activit& eco privé et les ressources des usageers privés. Le ce depuis ass
2006 ordre avocats ca paris, le ce s econtente d exieger un interet public tenant notamment, mais
pas exclusivement donc, à la carence des initiatives privées.
I) L’organisation des SP
A) La competence pour organiser les SP
Ctee competence relève en ppe ud pouv reglementaire, sou sla meme reserve que le creation et
suppression des SP, ie qu il y a qlq matières relevant de la loi. La competence pour organizer le SP est
la même que pour les créer. MAIs IL N’EN A PAS Toujours été ainsi. En effet , av 1958, et alors mm
que le domaine d ela loi etait illmitée, le ce avait estimé que l orgnaisation des SP relevait d’un
pouvoir reglementaire autonome ( arret babin 1906) qui nous montre que cst avant 58 que le puv
rglemtnarie a acquis compétence pour orgnaiser à ctnes mesure le SP . Aussi, le chef de service
dispose d un pouv reglementaire d organization interne de son service dans le silence d ela loi et de
lareglementaion generale 1936 Jamart CE. Si on réussit un cocnours admin et qu on sera chef de
service, on aura )à prendre des décisions de reglementation de service.
B) Le mode de gestion du SP =qui va gérer le sp
Pour determiner le mde de gestion du SP , la pers publque compétente dispose d un choix
totalement discrétionnaire. Même des contraintes externs ne sont pas venues rellement le
contraidnre, un eliebrté totale dans le choix de mode de gestion que le dt de l ue n est pas venue
retreindre ( qui qd impose des contraintes en matières de sp, c’est hors le mode de gestion du sp qui
a été retenu par la pers publique) . Autrement dit, es hypotheses où un mode de gestion donné soit
imposé ou interdit est rarissime. Il existe qlq hyothèses d interdiction qui porte sur linterdiciotn de
déléguer ctns services publics à des personnes privées. Le CE l’avait indiqué dans un avis de 1986
que ctns SP ne poouvaient etre délégués en raison de leur nature ou d une disposition
consittutionnelle expresse. C’est la cas notamment du pouvoir de police dministrative ( qui
normalement ne peut etre délégée). Cst également le cas pour le SP pénitentiaire, en tout cas le
noyau dur de ce service ie les activités de direction ,de greffes et de surveillance n epvnt etre
déléguées et dvnt don crestées gérers par lETAT: Dc aout 2002, bref on ne peut avoir en fr des
prisons privées. On pourrait ajouter des activités tells que l ajustice qu on imagine mal déléguée à
une perosnn privée, ou encore le simpotes, bref tt ce qui concernaerati activités régaliennes. La
distribution d electricité en vertu de la loi doivent etre délguées. La personne publique a le choix
entre pls modes de gestion publique ou privée ( ici gestion cst au sens organique= personne qui vont
gérer le service et non gestion publique= soumission au dt publique et gestion privée= soumission au
dt privée)
1) La gestion
On a deu xformes:
a) Régie direct
Cs tl hypothèse où la pers publique compétente: Etat ou Ct gère elle mpee le SP, et donc le SP ne
dispose pas alors d une personnalité juridique propre. LA SUELE perosnne juridique cst la perosnne
publique qui gère le service soit l etat soit la CT. Ca n empeche pas neanmoin sune ctne
individualization possible du service. D’abord en effet, dun pov orgnaique, il peut etre érigé en une
administration distcinte au sein mm de l’ Etat ( ex on n econfond pas ensiegnement sup et finance
publiques, certes n a pas la psnnalité juridique mais a qd mm une structure propre et placée sou sl
autorité huerarchique des dirigeants de la personne publique, (70 : régie des postes et telecom=
services de l’Etat, ex régie des finance publiques= n a pas personnalité juridique mais cst un service
distinct au sein de l’Etat). Donc individualisation organique. Mais aussi, la régie n exclue pas une ctne
autonomie financiere qui peut exister, materialisée par un budget propre. Ca peut etre une
obligation cette autonoie financière, ainsi la loi l exige pour les spic des CT, pour les spa des CT cst
facultative. Cst pour voir d ou vien tl argent et a quoi cst utilisé ( si se finance par les usagers…).
Prendre garde a ce qu un ctn nombre de services nommé régie n en sont pas au sens jrudique du
terme car possedent une personnalité juridique. AU NIVEAU national, la ratp, es ten réalité un
etablissemnent public, cst un epic national. De même, la loi et le code gen des ct a crée une forme d
ineptie jure n qualifant les etablissemnt publics locax ( des ct) de régie dotée or de la personnalité
juridique, ce qui n a doctrinaleemnt aucun sens : s ils sont dotés de la personalit é jur ce sont des
ETAB PUB, pas des régies.
b) Letabliisement Public
Cest un service personnalisé de dt public auquel on a attribué une psnalité jur disctinte d el etat ou
ct. Svnt cs tune forme de decentralization technique ou decentralization fonctionnelle afin de
permettre une plus grande autonomie de gestion. IL PEUT arriver mais cst rare que l etbalissemnt
public ait un substrat humain ie qu il concerne une collectivité humaine auquel cas on dira
etbalssement public corporative représentant une communauté de professionnel, et d’usagers. Cs tle
cas pour les ch consulaires, les ch de metiers et de l’aartisanat, chamre d’agriculture, chambre
consulaire, ch de commerce et de l’industrie, cst aussi le cas pour les universiés (etabl pubic qui
amdinistre une communauté d ensiegnant et d etudiants). Qd l etablissemen tpublic a un sbrat
humain, ne s administer ^pas de la meme manière que qd cst un etab publ purement fonctionnel ou
purement fonctionnel.
L etabliss ublic se singularize des autres pers publques par deux aspects:
1) Spécialité: Il est chargé en ppe de la gestion d une seule activité qui peut etre un SP
générallement mais peut etre des acitvités non constitutives de SP , du moins ct dans le
passé, cette suele activité cst celle confiée par le texte l instituant. Normalement l etabl
public n a pas voatio a dvper d autres activités que celles relevant de sa spécalité . CA CST SA
PREMIE7RE CARACT2RISTIQUEcontrairemtn aux autres pers publiques, l’Etat, la CT,
2) Son rattachement
Il depend d une autre pers publique, soit d el Etat soit d une CT. S il depend d elEtat , on dira etbl
publ national, si d un ect on parlera d etabl publ local ( regional , départemenatal, communal ). Là
encore le rattachement est explicité par le texte qui institute l’établissement public. A CET
2GARD, les qualification spvn etre tromepueses: un etabl pub nation rattaché à l Etat peut exercé
son activité dan sun cadre territorial delimité ou déterminé. Par ex les sch consulaires ont un
ressort territorialié normalement regional mai spour autant sont rattachées et dependent de l
Etat; dem piur université qui sont etabl ûbl nationaux ells on tnéanmoin sune vocation
géographique de ppe. Inversmeent un etabliss public local peut particper a l execution d un SP
national ex: les collèges sont des etabl publ departemenatau,les lycées udes etab publ réigonaux
mais assusrent le SP national de l’éducation. Enfin, le ratachemen tdt être distingué de la tutelle,
ce qui n’est pas toujours evident: les etab publics comme toute personne publique sont soumis à
une tutelle mais celle ci n est pas forcéement celle de la personne publique de rattachement.
POUR LES ETAP PUBL NATIONAUX CA COINCIDE DONC SOUMIS 0 LA TUTELLE DE L etat, mais
pour les etab publ locaux, certes ils sont rttachés à une CT mais ils osnt soumis à la tutelle de
l’Etat.
A propos de la tutelle, un etab public est nmlmnt soumi à une tutelle, cst celle de l’Etat psq la fr
est centralisé. Les etab sont moin sautonomes que les ct car ne beneificent pas du ppe
constitutinonnel de libre administration. Ici, les situations son ttrès hétérogènes d un
établissement public à l’autre: ctns établ publics sont plus autonomes que d autres, en particular
qd letab public a un substrat humain, il n est pas rare qu ils s adimistrent par des organs élus: cst
le cas à la fac qui s adminitre par des consiels élus qui élisent le présiden td elunivrsite. MAis dans
les etab publ purement techniques, svnt le dirigzneat est nommé par la pers publique de
rattachement, ou par celle de tutelle. Par ailleursn , il n est pas rare que subsiste des proceeds de
contrôle asse ppoussé teles que l exigence d approbation de ctnes decision par l autorité de
tutelle (pvnt entre ren viguru que si l autorité de tutelle approuve ou au oins que l autorité de
tutelle dispose de pouvoir d annulaton si pas d’accord, l’Etat ne dispose plus d un tel pouvoir.
A) L’habilitation unilatérale :
> pour la pers publique de prendre Un AAU , ou une loi éventuellement ; désigantn une personn
privée souvent créer ad hoc pour prendre en charge un SP.
Ici on est en présence d un procédé proche de la création dun Etap publi si ce n est que la pers
morale qu on créée est de droit privé et non un étab pubique.
Les deux arrêtspar lequel le ce admet qu une pers privée puisse gérer un service publ : CE, ass.,
13 mai 1938, Caisse primaire Aide et protection et CE, 20 décembre 1935, Établissements Vézia.
Dans les deux cas ça parle d’habilitations unilatérales. Dans le premier, une sté de prévoyance
indigène ( ca disait les noirs ne sont pas faits pour l’économie…) ; le second : caisse primaire aide
et concernait caisse sécurité sociale.
L’habilitation unilatérale est sscetpible de concerner tous types de SP. Il est vrai qu elle apparait
particulièrement adaptée aux spa lsq la pers privée ne suit aucun but lucratif. Par ex les
associations, les fédérations ssportives qui de part une habilit unilateral gere telle ou telle activité
sportive ? Donc les associations, ca peut etre des ordres professioneles, ca peut etre aussi caisses
locales de sécu sciale et non caisse nationale qui elles sont des établissement publics. ; ca peut
etre le cas de … et aussi des caisses « locales »(orgnaisem mutualiste de pers privée) de sécu
sociale, et non caisse nationale qui sont des etabl publics.
Le procédé tend à se multiplier pour les spic, psq la plupart des anciens epic nationaux qui
avainet été crée par la loi pour gérer les spic ont étébtransformées en société que la lo cotntinue
à charegr du SP. Pq multiplication des habilit unlatérales des pers privées à gérer spic ? bah voilà
quoi.
C’st ainsiq que qd fr tel en 96 a étét transformée en sté, la loi l’a chargée du SP de la télécom
devenue communication éléctronique ajd, et ajd orange gère toujours ce qui reste de ce SP. De
même pour edf et gdf devenu engie ( edf et gdf transformé en sté mais la loi continue à le
charger du SP de gaz) ; aéroport de paris en 2005 transformée en sté mais désignée par la loi
comme gestionnaire des aéroports ; la poste en 2010 devenue sté mais reste en charge du SP
postale, enfin la sncf en 2018 ; ptt un jour la ratp. L habilitaiton unilaterale peut parfoi setre
addréssée à une pers privée transparente, on rappelera Jp ville de Melun souvent qd un sp est
géré par une pers privée transparente, cst souvent en vertu d’une habilitaiton unilatérale, car l
acte unilat crée une personne privée à laquelle elle ne laisse aucune autonomie et la charge d’un
SP.
B° DEVOLUTION CONTRACTUELLE
Contrat ici confie le sp à une personne privée et le contrat est forcément administratif ( epoux
berthin : cotnrat de dévolution du sp sont par leur objet des ct admin) .
Y a deux types de contrats : ppalment le contrat qu on appelle la délégation de SP ( ici cst composite
mais regorupe trois catégries d econtrats preexistants presentant un point commun : le gestonnaire
de service (délégataire) voit sa rémunératuon lié substantiellement aux résultats d exploitation et cst
lui qui asume le risques d expoitatiàn = pas de reultats, pas de rémuerations )
Ces contrats : il y a d abord : la concession de SP au sens traditionnel qui est un contrat dans lequel le
concessionnaire est rémunéré par les usagers ( payer redevances e péages pour les rémuneérer les
stés d autoroute).
On a aussi – la fermage ( le fermier se remunere sur les usagersmais la difference avec les
concssions= le fermier n a aps la charge de réallise les infrastrucutres du service qui sont mis à
dispostion par l apers publique et le fermier en contraprtie paye un loyer a la pers publique ; ce qui
est un procédé commode qd les infrastrucutres du servce sont preexistantes : assez souvent les
cgnies de distribution d eau qui passent commande d’affernage avec les commune fin l’inverse. ;
différence ici avec la sté d’autoroute, l autoroute a été construite par la sté et qui paye pas de loyers
à l’Etat)
Enfin la 3 eme catégorie : la régie intéressée, qui est un contrat dans lequel le régisseur est payé par
la pers ublique et non les usagers, mais cette rémuéation comprend un interessement sur la base ou
fondée sur des résultats d exploitations . Ce qui est commode quand les dits résultatts ne consistent
pas simplement dans la féuqentaton la plus large des srvrices, mais dans de objectifs qualitatifs et
autres.
Voilà les trois contrats qui composent la délégation de SP. Depuis 2016 les délégations de sp sont
comprises dans al catégorie des concessions au sens de l’ue et cst plus vaste. La concessio au sens de
l ue cst lus large qu au sens de concessions de sp dans e dt frs, car cst une variété de délégation de
sp. L’autre variété concession de travaux publics en effet.
Néanmoins, cela peut etre aussi des marchés publics, la délégation des sp est particulièrement plus
adaptée pour les spic car fait paye les usagers, et moins pour les spa sauf la régie intéressée,
essentielement la concession au sens stricte et l’affermage cst pour spic, et pas spa car dans les spa
nmmnt on ne fait pas payer les usagers, pour les régies intéressées ça peut être hybride,on peut mm
penser que si y a aunce rémunratio par les usagersn, le service par régie intéreressée n est carrement
pas un spic. )
L’autre gde catégirie de contrat= recourir aux marchés publicsq et pécialement les m pub de services,
dans lesquels on peut confier la gestion du SP à une per privée rémunéré par un prix versé par la pers
publique= commune aix en provence CE sect 2007: le marché publ de service peut etre un
instrument de dévolution du service, ca peut etre eployé aussi bien pour spic que spa, puisque le
mode de rémunération du cocontractant n est pas assuré par les usagers. On s etati posé avant que
ca n integre le champs des marchés publics si les contrats d epartenariat publi et privé pouvaient par
les multiples missions qu il confiati au contractant pouvaient lui confier la gestin du SP : la loi etati
muette, la doctrine en gros était défavorable ; l ord d e2015transformant contrat de partenariat en
amrché de partenariat et intégrant marché public prévoit désormais qu il puiss eporter sur la gestion
d’un sp.
De même l ppe de cotinuité ne s appique pas non plu saux activitées des entreprises et assoc qd bien
mm leur activités est nécessaire pur satisfaire les besoins essentiels de la ppluation ( ex affaire sur la
requisiton de transporteurs de pdts almentaires ou carburents : pas d interdition possible du dt de
greve. )
I) La continuité du SP
A) Définition : C’est l’obigation pour le service de fournir sa prestation en tout temps et en tout
lieu du moins dans la mesure nécessaire à l’exercice correcte de la mission du ervice( sachant
que tout est question de prpoprotion= tout dépend de e qui est nécessaire à lexercice
correcte de la mission du service : y a des servies qui pour etre correct en terme de
focntionnement impkiquen tqu il ne puissent jms s interrpompre ex police justice santé ;
pour d autres il speuvent s interrompre sans que foncitonement normal ne soit affecté ex l
education. )
B) Valeur : la continuité a valeur consittutionnelle. Ce qui est surperenant car n est nulle part
consacré dans la constitution ni dans le blo c de constitutionnalité d ailleurs. Néanmoins le CE
l a recoonu des CE, ass., 7 juillet 1950, Dehaene et ce implicitement souvent , car le ce a
estimé que le ppe pouvait justifié une limitation du dt de grève qui est un ppe
constitutoionnel= limiter un ppe consittutionnel paar un autre ppe constitutionnel ahah
malin x) ). Au demeurant le conseil l a cnfirmé en 1979 C. Const., décision n° 79-105 DC du 25
juillet 1979, Loi relative à la continuité du service public de la radio et de la télévision que
ce ppe avati vakeur constitutionnelle.
C) Conséquences de la continuté du SP :
1° Sur les statuts du personnel
a) Sur le dt de grève : le ppe de continuité conduit à pouvoir limiter l’exercice du droit de grève
dans les SP. A l’origine ct même bcp plus rigoureux que cela, CE, ass., 13 juin 1980, Mme
Bonjean avait interdit simplement le dt de grève dans les SP. En gros, il faisait de la grève
l’équivalent de ce qui existe encore en dt la cfocntion publ qui est l abandon de poste=
déserter l armée. A l epoque ce dt de greve n avait pas valeur consittuionnel. Ca a changé en
1946 avec l art 7 du prémbule C 46 : le dt de greve est prevu pour tus les trvaailleurs, y
compris dasn Les SP, reconnaissant donc ce dt de grève pour tous les trvailleurs dans le
cadre de lois qu elle reglementent : le législateur peut vnir regementer /limiter le dt de
greve au nom de ctns autres impératifs et le ce a confirmé dans dehaene la continuité du SP.
Car ce nest qu une partie de dehaene, en effet l arre enchaine en interprétnt largement la
ompétence pour déroger ou limiter le dt de grève, cst une innovation ici stt compte tenu de
CE, 7 juillet 1909, Winkell, ce qui n était pas attendu, (selon dehaene) cst que en l absence d
elois venant encadrer de manière gen le dt de greve dans les SP, un tel encadrement relève
mm ou peut relevr des compétences du chef de service en vertu de Jamart. Cst ainsi que
dans dehaene un prefet a pu reglement l’exercice du dt de grve par les agenst de sa
prefecture, idem en 2013 le ce a admis la compétence de la direction d edf pour reglementer
le droit de greve dans les centraes nucléaires ; aussi en 2006 le ce a reconnu implici la
compétence de la direction de la ratp pour reglementer dt e greve à la ratp …
Donc du pov du fond, quel peut etre l ampleur de la limitation ? Tout dépend de l ampleur
des exigence des contiuités : dans les sp qui divent foncitonnes de manière ininterrompues,
le dt de greve peut etre ismplement et purement interdis. La loi le fait pour les policiers,
militaires, magistrats, gendarmes. La Jp a étendu cette solution à des agents exercant des
fonctions d autorité, ou bien encore les foncctioonnaires assurant des missions
indispensables de sécurité : cont^roleur aérien ou les agents du service des urgences à
lhopital( hypothèse la plus rigoureuse). Quand les policiers ou magistrats manifestent ils
prennet un jour de congé. DANS L AUTRE SP, le niv d exigence descend d un cran, cst lervice
inimum qui est mis en place . Ie. L accomplissement des fonciton sessentiels du service : les
agents peuvent se mettre ne greve mais sous revserve que les missions essentielels soient
asurées. A cet égard, le juge vérifie que sous couvert d un servie minimum ce n est pas un
foncitonnement nrmal du service uqi est mis en place ( dc 1979 : le juge constit, psq la loi
limitait le dr t de greve … ce nest pas un servie min qui es tmis en lplace, en l occurrence il a
censuré le soit disant serv minimum a la radio… donc vérifier que cst un serie min qui est
insatlé mais non foncitonnement normale). Puis le juge vérifie si le service min est ce qui est
nécessaire pour assurer une continuité sufissante du sevice ; soit si une continuité suffisante
peut ettre assurée par des disposition s moins atentatoires au dt de greve que le serrv min,
alors le serv min es timpossi CE, 8 mars 2006, Onesto et autres: direction de ratp ne pouvait
mettre en place un serv min a la ratp car d autres dispositifs plus legers permettent un
fonctionnement minimal duservice, le juge adm ptt prend peu le metro par temps de greve
car … boff). :
Dans les autres SP, et bien il n y a pas d autre slimitation sdu sdroit de grev, ue celles posées
par la loi de 1963 interdisant ctnes modalités de greve(greve tournante : le personnel se
concerte pour se donner le rôle, le tour eest interdite, aussi la greve perlée l est : inteddire le
trvaail pendant une gde periode pour desorganiser le servie ex : mr se déclare en greve
uniquement a telle heure tel jour ; aussi est interdit, puis le greve sur le tas avec occupation
de slocaux est illégal car les gravistes dvnt lasiser les personnels non gerevistes se rendrent
au trvail)) et exigeant ctnes odalités formelles et prcédureales ( s incarnent dans l obligaiton
d un préavis , avant pour dire qu on va cesser le travail donc) . Pour en terminer avec cette
question, ctns dispositifs législatifs depuis une quainszaine d anneées tendet à renforcer les
exigences de la loi de 1963, et uniquement pour certains services. Pour le dire plu
sclariement, ils imposent des modalités plus durs de préavis, ils imposent en cas de préavis
de grève une obligation de négociation préalable, et enfin ils permettent aux chefs d eservice
de réaffecter des agents non grévistes our assurer la réaffectation des agents non gravistes
sur des taches qui sont pas les leurs pour assurer foncitoneent noraml du service ; LA LOI D
AOOUT 2007 DANS LES TRANSPORTS TERRESTES DE VOYAGEURS NOTAMMENT LES TRAINS a
ouvert cette voie. ON PEUT AUSSI CITER LOI DE AOU 2008 POUR LE SERIE PRIMAIRE AVEC LE
SERICE MINIMAL D Accueil ; aussi loi de mars 2012 pour transrts aériens de voyageurs ; et
enfin la loi du 6 8 2019 pour un ctn nb de SP locaux, tels le service des déchets ménagers,
celui de l aide aux personnes ages handicaés, ou ncore serice tel que creche, cantine. Cpdnt
ces lois ne mettent pas en place un service minimum, la loi d e2007 avait été présentée par
sarko comme loi allant mettre serv min dans les transports, juridiquement ct pas lecas psq il
n est nullement possible en vertu de ces loi sd interdire le dt de grève à ctns agents.
Autrement dit, leur limite résulte dans le nb de grévistes( en terme d efficacité) , ce sont de
sloi squi lsq le nb de grevistes est limité, car le pouvoir d affectation des agents non
grevistses permettent de porurvoir aux misons essentielles du service ; la limite du sdispositif
cst qd y a trop de grvistes et donc pas possible les reaffectations : ct là en 2019 dcp des lignes
de métro ont silpmlnt été interompus a paris : donc ce n est pas un vrai service minimal.
Idem pour le serv min d acueil dans les ecoles car si ts les personnels a l ecole font greve
alors plus rien. Le CE a dit sur ratp en 2010 syndicat sud ratp : la loi de 2007 n empeche pas
le chef d eservice a ratp de regleementer le dt de greve à ratp qui est entrprise ubl : donc cst
pas ue limitation du dt de greve au sens du preamb de 46.
Dans tous les SP MM dns ceux ou y a pas limitations du dt de greve Un erequisition du
personnel es tpossible mais dans des circonstances qu il faut qualifier d exceptionnels : CE,
sect., 24 février 1961, Isnardon il faut que soit porté une atteinte suffisamement grave à la
cntinuité du SP et à la satisfaction des besoins de la population ( il faut que les poubleles
soient bcp dans les rues et dangers sur hygiene avatn de faire requissionts pour les
ebueuers ; aussi le ce a admis qu en cas de greve les amdin peuvent engager personnels d
appoint, mais avec les rges du dt publicCE, ass., 18 janvier 1980, Syndicat CFDT des PTT du
Haut-Rhin; en pratique ca aboutit a empecher le recrutement personnel d’appoint psq les
personnels d interim ne pvnt etre mobilisés car qd on recourt aux serv d une entreprise
temporaire cst selon regles de dt privé ( salarié d l entreprise d interim et ca ca repond pas
aux exigeances du ce. )
b) Cas d’ obligation de résidence : Pour ctns agents du SP, cst prévu qd un texte le prévoit, sans
texte on habite ou on veut et par ailleurs mm qd ca existe ca doit etre proportoionné aux
besoins du SP. Donc effectivement, dans les cas où la cntuité est la plus essentielle, l agent
ptt obligé de loger sur son lieu de travail ( prefet recteur , diret d hopital) ; dans d autres cas
est prévu un perimetre de résidence visant à s assurer que l agent ne réside pas trop loin du
lieu de travail.
Mais interrogeons-nous sur la légalité de cette obli ? Les universitaires ont obligation de résience
mais les présidents d univ ne le font respecter que tres rarement car couteux ; aparfois on le concoit
qd les travux conssitent à ceux dans les labos, ais dans la pluaprt des cas, on voit par ex que nos
ensignants habitent asse loi, sans que ca affecte l enseignement, et font bcp de travux de rechrches
chez eux.
2° Régime :
Ctns mécanismes applicables aux aau ou aux contrats peuvent se justifier par la contnioté du SP .
Pour les AAu, le rgime de l interim et de la suppléance sont jusitfiées par la cntinuité du sp bien
évidement ; poour les contrats cst plus récent ( l imprévision ou encore encadrement de l excetion d
inexéceution par les co contractans privés).
1) Sur les régimes des biens des SP :
Le statut des biens publics comporte des éléments destinés à assurer la continuité du SP. Le fait que
le sbens des personne spubliques soient insaisissables par ex : on ne peut pas faire ça pour assurer le
couronement de leur tete ; ou encore quel ccoupation privative du domaine public ( autoriser
particuler à occuper parcelle du comaine pubic) n epeut se faire que si cst compatible avec la
continuité du sp.
2) Les pouvoirs de l’admijnistatoion dans ctnes circonstances :
Le juge a dvp la théorie des circonstances exeptionnelles ( théroie jpednetielle donc) qi consiste à
élargir les pouboirs de l adminstration dan des circonstance sexceptionnelles( étendre les frontières
de la légalité) et parmi les mtifs qui peuvent justifier ceci y a le maintien de l ordre public ( parmi les
moif s justifiant la mise en oeuvr ede cette théorie, y a la continuité du sp, lordre public, et l arret de
ppe sur cette théorie CE, 28 juin 1918, Heyriès: rendu dans le cadre lde la protecton du ppe de la
continuité du SP, qui admet qu en cas de circonst excepitn geurre ici, ctns garantes statutaires des
fonctionnairs puissent etre suspendues au nom de la continuté du sp.
Deuxh xhoses : la prise en compte d une différence de situation n est qu une faculté pour
ladinistration. Soit, il n existe pas dans la compréhensin frs du ppe d egalité de dt a une différence
de traitment qui serait fondée sur une diffrence de situation. Si l adminsitration veut bien tant
mieux, sinon on peu tpas l obliger. Ensuite, tte différence de situations mm pouvant etre prises en
compte ne justifie pas non plus tte différence de traitment. Dpeuis CE, ass., 28 juin 2002, Villemain:
le ce impose une exigence d absence de disproiton anifeste entre l ampeur de l adiférence de
situation et l ampleur de la difference de traitment ; soit des différnces de situation mnimes ne dvnt
pas vaboutir a de grosses diff de traitement : on a un contrôle de l absence de disporportion
manifeste, pas d eplein contrôle de proporitonnalté.
1) La sanction de l arupture d’égalité : un acte admin qui pratique différence de traitement est
illégal donc encourt l annulation sauf justifié par difernce de situatin, ou un motif d inter
general soit par une loi. Des lors qu illégal engage la resp pour faute de l auteur. Mais mm si
cst légal la différence de traitement, il est possible d’engager dans ctns cas la resp asans
faute de son auteur.
A) ) La neutralité du SP
1) Un ppe dcoroolaire de celui d égalité : Dc 1986 dit que la neutralité du sp est u corrollaire du
ppe d eagalite. Mais si on va plu sloin, cett posiitj est justifieées des lors qu on cherche à
définir le ppe d eneutralité du sp.. QCQ la neutralité ? CST L INTERDCITON POUR LE SERICE D
ACCORDER DES PRF2RENCES 0 CTNS ADINISTR2S SUR LE FONDEMEN TDE LEURS CONVICTION
SPOLITI ? PHILOSO ? OU RELIGIEUSES. Ou au contraire de les défavoriser, sur le fondement
de telles convictions. Autrement dit, cst une interdiciton de pratiquer des différences de
traitement sur le fodemen t de diférences de situations sans rapports avec le seriv =
convictions poli, philos, et religieusese.
TT d emm u éléme d el aneutralité dispose d un fondement constitutonnel autonome : la
laicité ( neutralité religieuse) consacrée par lart1er de la consittu.
Même si les organes du service sont polotisés, les CT ne pvnt arborer les emblemes politiques des
partis qui sont maoritaires : ce 2005 commune de ste annne : embleme partis arboré au fond dune
marie. De mm pas possible d arborer signe religieux CAA Nantes, 4 février 1999, Association civique
Joué Langueurs sur un crucifix dans une salle des marages de la cimmune. Mais la mise en pratque
ptt plus délicate lsq le signe en cause n a pas uniquement une conootation politique ou religieuse …
( nnotamment les creches d enoel deux arrets CE, ass., 9 novembre 2016, Commune de Melun et
Fédération de la libre pensée de Vendée : certes ct pas a vocation des ct d installer des creches de
noel dans leurs locaux car ca csst cysymbole de conootatin dreligieuse, mais que par exception
linstallatin d une telle crech est possible lsq les circonstances particulieres de lespece demontrent
son caracter uniquement culturel, artistique ou festif de la creche, qui peuvent justifier qu elles
pusisent etre installées). (S agissant ensuite des agents, et bien ca ne nou s surperdnra pas, les agents
se voient imposer al mm obligatin de neutralité stricte que les usagers eux mm pusq incarnent le
servce. : au yeux de susagers tte maniestation philo,po ou rel d el agent peut manifester une
manifstation ainsi du service ex : un agent public n a pas le droit de porter signe religieu dans le cadre
de son seriv prof CE, avis, 3 mai 2000, Mlle Marteaux. La difficulté peut consister à idntifier l agent
par rapprot a lusager en efft commnt triater usager qui prete benevolement son concours au
service : le parent qui encadre une sortie scolaire, le parent qui pratique des activités éducatvies ou
parascolares dans les établissemtns, la jp ici s es divisée. Pour les accompagnateurs de sortie
sccolaire, un tribadmin avait commencé par juger dans un jugement de 2011 TA Montreuil, 22
novembre 2011, Mme Osman que le aprent d eleve devait etre assimilé a un agent don cne pvait pas
porter un signe religieux. Sauf que le CE dans un eétude consacrée à cette questio le 19 12 2013 a
estimé e contraitre : le parent d eleve qui encadre la sortie scolarie est avant otut un usager uqi
bénéfiie d un drt a une ctne forme d’expression religieuse : droit d’exprimer sa religion tant que ne
porte pas atteinte au bon fonctionnement du service.
TA Nice, 9 juin 2015 Mme DAHI déjugé son clègue de montrueil et a estimé que comme otut usager,
le parent acocopganant eleve ors d une sortie peut porté signes religieux tant que ca cmpormet pas
le bon foncitonnemen tud service.
Le pbm cs que s agissant des parents d eleves uqi interivenentn en classe, la CAA Lyon, 23 juillet
2019, Mmes Hassani et Millard, a considéré qu ici les arents exercaieent des foncitnsanalogues a
celle s des enseignants car intrvenaient en callsse et don cse voyaient iposer les mm obligation s de
neutralité que les enseigantants, et qd ils agissent cmomme tel ils devraient etre taiés comme un
agent.
b) Les obligations des usagers :
s agissant d eux , leur obligation vis a vis du service sont plus réduits, ils bénéficient au nom
de leur liberté de conscience atrt 10 ddhc , dispose du dt d exrpimer leurs conviction sdans le
cadre du servicetant que cette expression ne copromet pas le bon foncitonnement du service
ie le fnctionnemen tgénral du service, tant qu elle ne porte non plu pas atteinte a l alliberté
des autres usagers ( notamment par comportements proséites), ou tant enfin que cette
expression ne remet pas en cause l’ordre public, la santé ou la sécurité au sein du servie, si le
signe relig ptt dangereux pour la santé ou la scruté ( obets trnachants dans le cadre d ativi
sportifs) CE Kherouaa 1992 a propos de ports de signes religieux dans les établissements
d’enseignements ; Donc ce ppe possible sous les réserves vues là ; De la mm façon d’ailleurs,
les usagers peuvent demander des aménagements du service par ex des autorisations d’
absence tant que n’est pas compromis le bon fonctionnement du service ce ass 1995Koen et
Consistoire central des israélites de France: ici le ce esitme que porte atteint au bon
fonctinnement du service une deande d absence systematique le surs d evaluation pourl
etudiant sou spretexte que samedi cst chabat alrs qu il est jif, et les colles de sa classe praeap
aont lieu samedi ?? La reserve cst que ces amenagements d eservie outre que ne doit pas
perturber son bon fonctonnement ne doit pa snonplus imposer au srie des charges
excessives ce a considéré dans CE, 11 novembre 2020, Commune de Chalon-sur-Saône que
la mise en place de menu de substitutions da scantne scolaire n’est pas interdit mais n’est en
aucun cas une obligation pour les communes. Mm dans les prisons m e cotexte est diférent
car là la restauratoi est différente car les prisonniers usagers ne pvn tchosir d laler ailleurs s n
aiment pas là, ce a estimé en 2016 cadar que certes l amise en place de menu de substituion
ici était un eobligation de ppe compte tenu de la situatio pratique d elusager , mais « dans la
limite de smioyens financiers et materiels du service ». EN clarir, le ce se contente du fait que
systématiquement, y ait un menu sans porc pour que les détenus musulmans puissent
manger mais ne pvnt réclamer menu halal tous les jours. Ca s applique sous réerve de
legislation contraire ce régime, comme il peut en exister desormais dan sl enseignemtn
primarie et secondaire public a l egard des eleves, psq depuis loi 15 3 2004, les élèves ici n
ont plus le droit d’arborer le moindre signe religieux ostensible dans l’ établissement. Que ce
soit un signe objectivement religieux ou un signe utilisé dans un but religieux , ex bandana
portée par une musulamne élève : donc régime plus restricitf que régime noram mais ca se
justifie par la situatio paticulièr ede eleves à savoir leur minorité. ç
Cours du 10/03/2022 : Désormais tous les signes religieux ostensibles= qui pvnt etre vus sont
interdits. En faveur donc d’un équilibre avec la laïcité. Nénamoins, d’abord, elle a été adopté pour
résoudre un ctn nb de difficulté d’application de la jp antérieure. Donc on a que pas de signes relig
ostensibl dans les étab scolaires. SAUF QUE lois mm si rédigés en terme clair, n empeche on a de
sdifficultés d’interprétation. Qcq un sgne religieux ?? Ctns vetements ou objets sont objectiv
religieux, d autre sle sont en raison du contexte ; donc l interprétation d un signe religi peut poser
pbm. Par ailleurs, autre difficulté, la notion mm de signes ostensible peut porter à confusion, donc les
signes discrets sont admis, mais quelle est la limite du discret ?? La visibilité ou cst quoi ?
La deuxieme remarque, la jp mene une interprétation restrictive de cette loi. Elle ne s applque la
regle que dans les etab primaires et secondaires publiqes, pas dans le privé, ni dans le supérieur, qui
restent régis par la jp kherouaa ; aussi ca ne concerne que le port de signes religieux ( pas les signes
politiues et autres) ; elle est liimitée aux eleves, non pas aux parents dans le cadre de srotie par ex,
cette loi ne semble pas trouver de justif juridique que dans la situation personnelle des adultes par
rapport aux mineurs, on considère que mineur pas assez de discernement ??
Cette loi a réussi alors à franchir le cap de la cedh, un arret de 30 06 2009 qui considère cettte loi pas
contraire à la liberté religieuse, justement psq elle est limitée, et justifiée par la situation partiuclière
des adultes ?? On n’a pas eu de qpc sur cette loi, et pas de raison d epenser que le conseil consti
raisonnera autrement.
I) La mutabilité du SP
C’est le droit ou l’obligation pour le sp de s’adapter aux évlutions d intérêt général. Peut etre même
oligation psq souvnt on dit que des trois loi sdu sp, elle est la seule a ne pas avoir de fondement
constitutoionnel. Mr n’en est pas cpdtn sûr, il pense notamment à la bonne gestion des deniers
publics art 14 ddhc. En effet, quel intérêt à maintenir un sp que soit des données technique, soit la
fréquentaiton par les usagers, soit l evoutoion des besoins de ceux-ci ont rendu obsolètes . Le sp
pèse sur les deniers publics, faut les financers, sans que ce coût soit justifié par l’intérêt général. Pour
le ce ca legitime l’évolution du dt de ce servie en changeant la nature de certaines presttons , voire
les supprimer, ex (supprimer papiers au profit de la démat. Le ce a dit dans CE sect 1961 Vannier à
propos de l’obsolescence technique de l’émetteur de tv. Entre les années 30 et années 50, la tenique
de la tv a bcp pgssé, nénamons qd on a mi sen place apres guerre de nvx emetteurs plus
performants, on a laissé en place l anc emmetteur afin de ne pas pénaliser eux qui avaient les
pemiers tv old gen et qui coutaient qd mm chers, il fallait qu ils puissent avoir acces qd mm a la tv,
dcp on a laissé l anc eettur ^pdt dix ans. On a vu qu engagment pas tenu car l emetteur a pris feu,
l’Etat n a pas voulu réparer, maintenir et entretenir cst une chose, réparer cst une autre ; on sait que
ct obsolte techniquement et le réparer coutait trop cher compte tenu du faible parc installé, le ce a
alors décidé que les usagers n ont jamais de droits acquis concernant les sp de l’Etat.
Même solution dans un arrêt CCI DE LA ROCHELLE 1977, : un sp peut etre supprimé en raison de sa
fréuentation insuffisante : e une ligne aérienne ou férroviaire, on va déduie du faible nb d usagers,
passagers que ne correspond plus a l int gé. Donc le serivce a le droit de faire évoluer la prestation
sans que les usagers puissent opposer le moindre chose à dire. Est-ce que le service a l obligation de
s’adapter ? Pourrait on imposer au sp de supprimer des pretations devenues trop néruex ? Pourrait
on l obliger a dvp une nvlle prestain qd ca apparait écessaire ? le juge n ajamais répondu tres
clairmeetn, disons que en fonction de sa propore initiative, le service s adapte sans obligation.
Néanmoins la llimité, cst le maintien du sp obligatoire et cst aussi la continuuité du sp : ce 1969 arrêt
Vincent : le ce censure les nouveaux hroraires de la poste mais de facon restrictive de osrte à porter
attainte à la continuité du sp.
On s’est demandé si la loi peut attribuer la qualité de foncitonnaires aux agents des spics
gérés par la personne privée. La question est extrememnt importante. On avait dans le passé
des agents de communication, qui était fonctionnaire à l’époque de la régie des PTT, qui ont
gardé leur qualité de foncitonnaires quand cette régie a été divisée en deux epic, France
telecom et la poste de par une précision de la loi. MAIS QUE SE PASSE T IL LSQ ON
TRANSFORME ES ETAB PUBL EN SOCI2T2 ? ET CE POUR France TELECOM QUI FUT
TRANSFORM2E EN ST2 ; Le légsilat voulait que les agents en place et déjà foncitnnaire
gardent leur statut, si du moin sils ne voulaient pas changer de statut pour arborer celui de
salarié de droit privé. Le ce en 1993 dans un avis avait estimé qu il étati possible ceci donc à
deux conditons : 1 ) que la personne privée gère un SP, et 2) que son capital soit
majoritirement détenu par une personne publique. Ce qui était le cas au départ pour fr
telecom, n’est plus le cas aujourd’hui car fr tel est deveu orange et est privtisé. ON S EST
donc dmandé si ct constitutionnel de continuer à …. Les focnitonnaires ? La répnse est
positive, le ce n a pas repris a son compte les réserves du CE dans qpc 2012 enestimant qu
aucun principe constitutionnel ne s oppose a ce que la loi attribue la qualité de
focnitonnaries à ctns employés de la société. Peu importe l’aactivté de la société, peu
importe que le capital soit publi ou pas , la loi peut librement faire ce qu elle veut.
B-) S’agissant des usagers des spic, sont toujours de droit privés. Que le gestionnaire soit une pers
privée ou publique et il n’y a aucune exception.
C-) S’agissant des actes unilatéraux, en ppe les actes de gestion des spic sont des actes de droit privé,
la seule exception elle concerne les actes règlementaires d’organisation du service qui sont des actes
de droit public ( Epoux Barbier )
D-) Les biens : Les biens affectés au spic font partie en ppe du domaine public si ils appartienent à
une personne publique, ce sont des pptés privées si appartienent à une personne privée. si le
gestionnaire est une pers publiques, le sbien sappartiennet au doain epublic,sinon cst de droit privé.
E-) La responsabilité extra contractuelle : elle est de droit privé. Ca a un perimetre plus restreint que
pour les spa, la resp extra contract des spic ne peut conerner les dmmages causés aux usagers car les
usagers sont dans une situation contractuelle donc ca ne concernera plus que les seuls domamges
causés a des tiers au service, pour lesquels on aura extra contractuelle. Alors que pour spa cst les
deux. La seule exception : cst l hypothese ou le dommage résulte d un aau, ie d un reglement d
organisation du service= dt public. Et de mêmelsq le dommage résulte de travaux publics.
Hypothèse où les mêmes agents exercent en même temps une mission de polic admin et une misson
e police judicaire. Imaginons par ex des agents chargés d une lission de surveillance générale ( police
admin). Et également d’arrêter un individu qui leur a été signalé comme suspect d avoir commis une
infrciton ( po jud). DANS UN ARRET TC, 29 octobre 1990, Mlle Morvan, une approche distributv=ive
fut envisagée, on a deux opératons ssimultanées et chacune des deux est régie par le régime
juridique qui lui est propore dt publ ppour po admin et dt privé pour po jud. Donc si jms par ex y a un
incident, arrestation puis coup de feu et blessés, tout dépend de fatits à lorigine de lincident : si à l
occasion d arrestatio d un idnvidu particulierement signalé = poice jud, si à loccas de contrôle par ex
et passant refuse= police admin juge admin. Donc voilà pour cette histoire de simultanéité.
Paragraphe 2Les conséquences de la distinction entre po adinnet po jud du pov de leur régime
juridique
On en a sur d’abord les :
I) Conditions de réalisation des opérations de police
Première différence :
DU POV ORGANIQUE : classiquement ce sont les mêmes agents qui sont en charge des deux
misisons po admin et po jud sauf le cas des agents de police municipale. En revache les
donneurs d’ordre ne sont pas les mêmes. POUR police admin, les opératns s’exercent à
l’initative des autorités admin en tout cas de celles dotées de pouvoir en la matiere ex
pministre, maire, prefet, bref cst l’admistration quoi. La police jud est placée sous l ‘autorité
du proc de la rép ou du juge d el’instruction bref du magistrat judiciaire quoi. Le plus
souvent, ces opération s sexercent sur réquisition d’un magistrat judiciaire, qui lui donne
l’ordre par ex de ratisser x quartier pour arrêter x personne. Et mm lsq les agents de police
judiciaire afgissent de leur porore intiative souvent en urgence, le but est tjrs de présenter la
persone arrêtée devant le magistrat judiciaire. Par contre son but reste d eprésenter le plus
vite possible les personnes appelées à une autorité judiciaire. De ttue façon cst l autorité jud
qui contrôle le éroulement de loperation. Cst devant elle que les agents que les agents
rendornt compte, l’opératn s exerce sous leur autorité. Dans le cadre d epolice jud,
l’administration cst le bras armé de la police judiciaire, certes l admin agit mais en tant qu
orgne executif d el ajustice.
DU pov des pouvoirs de police : Les pouv de police jud sont plus importants en ppe que ceux
de la police admin. La po jud a en effet nmlmnt le monopole de smesures privatives de
liberté individuelles, autrement dit, les arrestations et placement en garde à vue mais
également des atteintes à la vie privée ou à l’inviolabilité du domicile ( surveilalnce des
communications comme écoute telehniques, aces aux données de conenxion internet,
peruisitions, siasie,etc).Néanmoins cette distinction tend à s’estomper : en effet les pouvoirs
de la police administrative tendent à s’accroître notamment dans le cas de certaines polices
administratives spéciales, nous signalerons que dans le cadre de ctnes polices administratives
speciales, l autorité de police a le dt d eprendre meures privaives d eliberté ex police des
étrangers ( peut place run etranger en rétention administrative ; l etranger n a commis
aucune infraction mis est ensitutionirreguière sur le territoire frs donc pas po jud) ou police
des malades mentaux ( l hopsitalisation forcée, contrele gré du malade ental pour OP). Et par
ailleurs, le dvpmnt de la meace terroriste a entraîné le dvpmnt d une police spéciale de la
prévention du terrorisme qui est bien un epolice admin mais dispse d epouvir identique à l
apolice judiciaire( le terrorisem cst un crime dépendat e la police jud, mais la police spéciale
de la préventiin du terorisem= surveiller activement des personnes suspectées d
encommettre ou d fréquenter des personnes en commettant) : la police spéciale a des pouirs
identiques a ceux de la police jud( surveilance, perquisition etc… Et comme
traditionnellement la police admin présente par rapor tà l apolice jud un avantage
structurel : son autonomie, en effet ele s exerce hors de la surveilalnce de la pol jud, et dnc
pour le slibertés publiques le fait que la police admin empiète de plus en plus sur les
compétences de la police jud et que la police adm a avantage structurelle sur la policee jud
psq elle est indépendante cst dangereux donc. Elle est plus libre et aussi est puissante. Y a
une tendance tres nette à faire passer dans la police amdin des comportements pourtant
bien passer dans police jud, avec les garanties en oins ex Dieudonné affaires. Ex aussi cadre
police spéciale de prvention du erorisme, prsuqisitons et saisies. POUR LES MESURES
privatives de lnerté, mm quand cst la police admn qui agit ca reste sous contrôle du juge
judiciaire mais voilà quoi.
I) La jurdiciton compétente pour connaître de l’opération de police
Traditionnellement, le juge compétent pour conaître des deux polces n’est aps l emême.
Contentieux de la police admin est en ppe portée devant juge admin et inversement. On peut
s’interroger sur les raisons de cette compétne du juge judiciaire sachant que dans la
psycholgie SPA, SPIC, la polic judiciaire es tncontestableemnt un SPA, malgré son nom, cst
clairement pas un Spic, donc on doit la qualifier de SPA. Pq l apolice judicirie ?? 1) un lien
avec la justice judciaire, atreent dit controler la police judciairie cst controler la justice
judiciaire, vérifier si le proc d el rep n a pas commis d erreur en ordonannt une opération de
police jud, bref les liens entre sp police jud et de la justice jud sont extrememnt etroits, et si
le juge admin controlait la police jud alors très vite ce serait porter atteinte à l’indépendance
de la justice judciairie. 2) la sauvegarde la liberté individuele dont le juge judicairie est le
protecteur (art 66 C) et dans la mesure où ug ejud doit prendre mesures priv de lib il est
normal qu a ce titre il soit controlé par le juge judicaire. EN revanche il est très important de
savoir que cette distinction des juridictions coméptentes netrainent pas unedifférence des
droits légaux, mais les deux polices sont bien soumises au droit public, nonobstant l efait que
police judiciaire relève du contentieux du juge judicaiire : Cass. civ. 2e , 23 novembre 1956,
Trésor public c/ consorts Giry à propos de dommages causés par poice jud à un
collaborateur occasionel , un médecin appelé pour identifer cause d el ammort suspecte de
deux gens, et qd un agent de police a allumé l electricité pour allumer la scène on a compris
la cause de l amort des deu perosnnes sans l’aid edu édecin, ct le gaz, la veuve du médecin
explosé la dedans a engagé la resp de l’ETAT et qui a dit on applique la resp admin : la
collaboration occasionnelle au SP. Donc droit public tjrs qlq soit le juge compétnt.
De toute façon ajdhui la distinction des juridcitons compétentes tend à s’estomper, rest en
ppe valable mais connaît de plus en plus de dérgations, il est de moins en moins rare que la
police admin relève du contrôle du juge judiciaire ex cas qd elle prononce mesures priatives
de liberté ( les mesures de rétention admin, de placement en zone d attente, dhospitlisaiton
forcée qui sont suises a contrôle du juge judiciaire, releève de sa compétence. PAR AILLEUR
SLE conseil constit a estimé dans DC 1981 Sécurité et liberté qu l n était pas interdit d unifier
le régime juridique y compris la compétence contentieuse au profit d el apolcie judiciare dès
lors que cette implication est favorable aux libertés en instituant un contole du juge judicaire.
C’est ainsi que par ex les contrôles d identité depuis une loi de juin 1983 et fouille de vicule
depuis loi de 1995 sont soumis au contrôle contentieux du juge judiciaire, qlq soit leur but ;
évidemment y avait contrôle d identité d epolice amdin ou des fouilles de véhicule de police
admin, on n accuse pas d etre auteur d el’infraction mais n fouille le spasaants véhicules car il
y a une menace à lOP dont on veut s assurer que l on puisse anticiper prévenir la menace/ y a
controole du proc rep sur le déroulement de l’opération et compétence contentieuse du juge
judicaiire si y a dysfonctionnement. DE même dans toutes les hyothèses où la police admn
dispose de pouv de perquisitons et de saisies cst sous contrôle de uge judi ex perquis et
saisie en matière d terrorisme, en matière fiscale( pour éviter ssutraction d’argent) ;
perqustion douanière, puis au titre de la législation sur la concurrence. LA SEULE exeption cst
celle réalisées en période d’Etat d’urgence. Terminons par un rappel : l’usage de l’une des
deux polices dans le cadre d’un but poursuivi par l’autre est un détournement e pouvoir CE
ass 1960 Sté Frampar : dtournement de pouvoir : usage de la police judiaicair edans un but d
eplice adminsitrative. L4INVERSE EST PROBABELEMTN VRAIE . Dans l’arrt sté franaprt, le
préfet d alger a mis en œuvre pouvoir d epolice admin et a saisi les journaux or ca cst pouvoir
de police jud détenus au titre de sinfractions de presse or en lespce aucune infraction de
presse constaée, mais slmnt y a vait risque de trouble à l’OP car journal favorable à
l’indépendance ; dcp on ne pouvait pas recourri a la police admin d ou recours olice jud mais
détournement de pouvoir.
1) La sécurité publique
Cst la protection physqiue des personne et de biens contre les accidetns que pourraient leur causer d
autres personne sou des choses ou des éléments naturels. A ce titre par ex releève de la mission de l
apolce admin la règlementation de la circualtion sur les voies publiques y compris la commodité de la
circualtin et du stationnement. A ce ttire ie au nom de la sécu publique , la policegénrle peut liter la
vitesse de circulation , interdire la circulatan de ctns véhicules ou leur imposer de circuler sur ctnes
voies, interdire stationnement, le rendre payant ou limiter sa duréée, instituer des stationnemnts
réervés ( handicapés etc), suspendre le permis de conduire des personnes condamnés pour
infraction judicaire : les deux polices peuvent se cumuler ici, le amendes pronncées pour infractions
routière= justice judiaciaire mais retrait de points ou de permis = mesure d epolice amdinistrative. Il
n y a que qd le permis de conduir est retiré par le juge pnal pour ancton pénal qu on a mesure de
police judiciaire. Egalement la sécurité publ permet à la police admin de lutter cotre catastrophe,
incendies-innondation-évboulement soit à tiitre preventif soit à poseteriori enorganisant les secours.
On peut égalemet citer ici l’encadrement voir interdiction des activités dangereuses ou la lutte contre
la divagation d’animaux dangereux.
B-) La tranquilité publique
Protéger les personnes contre les phénnomènes de nature à les déranger, à menacer la
paisibilité de leur mode de vie. Autrement dit, elle permet d’encadrer voire interdire les
activités sources de violence et de bruit : les atroupements, la mendicité aggressive. Ici la
tanquilité va plus loin que la sécurité, il n est pas indispensable que soit menacee ici la
sécurité, l intégrité physique il faut tout simplement que soit menacée la paisibilité de leur
vie quotidienne. Les mesures de police judiciaire qui aurait pu prendre la forme d epolilce
admin se base sur la même ordre d’idée … De mêmeencore la tranquilité publique protège
contre les activités bruyantes , mal odorantes ainsi ctnes activités commerciales si ne pvnt
trabailler d enuit ct pour préserver tranquilité voisinage, dem usage de ctns engins avc
nuiages sonores, partut ex reglementation sur usage engins mécaniques ( tondeuse interdits
au moment ou le voisinage est censé se reposer, ide radio, musique…)
Conclusion : les autorités d epolice spéciale sont parfois différentes de sautorités de polcie générle,
et parfois ce sont les mêmes. MAIS PQ DONC INSTAURER police spéciale ? UNE police spéicale peut
avoir un ordre public visé autre, puis les pouvoirs conférés peuvetn différés quand bien meme l
ordrepublic visé serait le même.
Paragraphe 1 : Contenu
S agissatn des contenus de mesure de police, distinguons les situaitons noramles de spériodes d
excption.
1) Période normale : La situaiton noramle conduit à prohiber ctnes mesures de polices et à
conditionner les autres, en effet la police admnstrative est libérale. Un commisaire du gouv
Corneille concluant sur un arret Baldy 1917, avait résumé la philosophie de la police
admnitrative par « la liberté est la règle, la restriction de police l’exception ». Ca conduit à
proiber ctnes mesures de polices.
A) Les mesures de polices prohibées :
a) SOUMISSION A AUTORISAITON PREALABLE : n est pas possible de soumettre une activité à
autorisation prélable, en tout cas en principe : CE Daudignac ASS 1951.EN EFFET une telle mesure
inverserait le raisonnement libéra vu supra, par Corneille, si on institue une autorisatio préalable,
tout ce qui n’est pas expressement autoriséest interdit. Or le ppe, cst tout ce uqi nest pas interdit est
autorisé. En tout cas ca n’est pas possible pour la police géénrale, soit il nest pas possible d insttuer
écanisme d autorisaiton réalable ci ; mais cimme ce ppe n a pas de valeur constitutionnelle, les lois
instituant police spéciale peuvent instituer un mécanisme d autorisatio préalable ou de déclaration
préalable, et ces lois ne s’en privent pas. Ex : la police de l’iurbanisme : on ne peut construire maison
sans titre d eplice d urbaise, et le cinéma, : la diffusion d un film n est pas possible san sautorisaiton
du ministre de la culture.
2. L’encadrement de l’exécution des mesures de police
D’abord, l’autorité de police générale ne peut imposer les moyens par lesquels devront être
respectées les obligations qu’elle impose → CE, ass., 4 janvier 1935, dame Baron.
>> Le choix des moyens appartient à l’administré
Ex : divagation des chiens peut être interdite sans imposer aux propriétaires d’avoir un chenil. A
chacun de se débrouiller pour que chacun ne divague pas. La limite cst quand y a qu une seule
moyen d y arriver car làà les mesures de police. ne limite pas les moyens, les administrés étaient déjà
contraints de ne pouvoir avoir recours qu’à celle-ci.
Concernant les règles d'exécution forcées ou exécution d’office, elles sont en ppe interdites ( cf sté
immobilière de SAINT Juste ) sauf ctns cas notamment :
-prévues par la loi (ex : bâtiments menaçant ruine) ça concernce la police spéciale et non générale.
-en cas d’urgence : ca arrive souvent en matière d epolice. Ce 2001 ville d orléans et CE 2001 Prefet
du baucluse : dans les deux cas étaient aen cause les couvre feu pour mineur ; l arret ville d orleans
valide l execution d office car imitée à l hypothèse d urgence, le mineur court un danger à rester seul
la nuit, l execution forcée cst la reconduite d el’enfatn chez lui. Dans l autre arret, un arreté qui
prévoit l executi forcée systématique ( tout mineur de -13 ans surpris seus che lui à partir d une ctne
heuresera raccmpagnée= illégal).
-Il n ‘ y a aucune autre voie de droit + mauvaise foi de l’administré ; très improbable car la
méconnaissances des mesures de police générale est une infraction donc il y a toujours une autre
voie de droit poour cette hypothèse dans le cadre des mesures de police.
Aussi l’arrêt commune de crégols précise qu’elles osn tappréciées au moment de l’adoptin de la
mesure de police mais aussi en continue tout au long de son maintient, de son exécution. Soit la
nécessité, sot l’adaptation , soit la proportionnalité , ref l un des trois disparaît, la mesure de plice
devient illégale et devra dès llors etre abrogée. Voilà comment le juge maintient équilibre entre
respect de l’OP et sauvegarde des lib publ.
Par ailleursn on présente souvent la triple exigence comme prohibant les interdictions génrales et
absolues. I est interdit d interdire de manière générale et absolue. Mr dit ce n est pas totalement
vraie : certes interdire une acitivté en tout temps et en tout lieu est le plus souvent disproportionné,
donc illégal car conduit à l interdire ans des hypothèses où elle ne trouble pas l’OP. Prenons
l’hypothèse de l’arrêt DAUDIGNAC : le maire d’une commune en avait après la profession de
photographe filmeur dans la rue, il estimait que ca ortait atteinte à la sécurité publique. Or le mare
ne pouvait soumettre la profession à auorisation prélable. Mais en partant du ppe que l’acitivté de
photographe filmeur est permise mais que elle va etre interdite lsq elle trouble l OP, ca veut drie qu
on e=ne peut l interdire qu a ctns moments dans ctns endroits. Imaginons RENNES, pas d’intérêt de
le faire en général, sauf dans des endroits à circulation automoblière intense peut etre, mais sur tout
rennes tlt cst pas proportioné. Or l interdiciton géné et absolue ne sont pas toujours illégales, y a des
acitvités qui qlq soit le lieu , qlq soit le moment trouble lOP, et dans ce cas ci on n a que l interdiciton
gén et absolue, car elle sera proportionnée ici. Ex Morsang sur orge, qu on lance l nain le jur ou l
anuit, en aplhi, devant resto, ou ailleurs, ça porte atteinte à l’OP, donc voilà on interdit partout et en
tout temps. En réalité donc, qd on annule une mesure d epolice, cst pas qu elle est générale et
absolue, cst qu elle est trop générale et trop absolue compte tenue des crconstance del ‘espèce,
donc le contrôle de l alégalité de smesures d epolice suppose un examen attentif des faits, de
l’espèce, il faut vérifier si la mesure d epolice est matériellement, spatialment, temporellement
adaptée aux motifs qui la justifient ? Prenons encore ville d’Orléans avec les enfants, cst excessif l
interdiciton nocturne de smineurs non accomagnés dans ctns secteurs d une gde ville ou ne sevit pas
particulierement la délinquance ; alors que par ex dans une affaire V ille d etamp de 2001 , est validé
l interdiciton sur l ensemble du territoire urbain de la commune car elle était plus petite, donc ici les
délinquants passent très vite d’un quartier à l’autre, doù aucune zone n est vraimentà l’abri ,
justifiant la proportionnalité d el’interdiciton. Dans de socmmmunes encre plus petite, aurait on pu
inclure mm le territoire rural … En matière teporelle, plu sla ville est petite, plus on est exigeant, plus
la ville est grande plus on admet de fourchettes d interdiciton large ; ans un epetite commune on
ommence à 11 h du soir cst pas admissible, on est exigeant dessus, dans la gde ville cst légal de
commencer à 11h car la délinquance cmence plut$ot.Bref casuistique
1) La police spéciale
En réalité on retouve la triple exigece vue plus gaut, mais bon nombre de ces olices spéciales ont
lgntmps été caractérisé par un controle minimal : simple contrôle d el’erreur manifeste
d’appréciation ou de l’absence de disporportion manifeste. Bref ici le juge laissait plus de marge de
manoevres a l autorité de police par cette pratique du cotr^le « minimal ». Mais ajd cst plus le cas, on
passe à un plein contrôle de proportionalité, tatn sur necessité, adaptabilité, que necessité. Il existe
une police SP2CIALE : celle des publications étrangères soumises à un contrôle minimal du jugé ( livre
ou reveus edité a letrger ou dans une langue etrangère ou régionale autre que le France ( ex breizh),
et ct confié au min de l’intérieur et contrôle min CE ASS 1973 STE librairie françois mazteraud ; et en
1997 c est passé à un contrôle normal CE 1997 Asso Equin ; et ca a disparu car la CEDH l’a censurée
en déclarant ceci contraire aux drits garanties par la convention CEDH 2001 Asso Euqin ; puis à la
suite un décret l’a supprimée. On a constaté que controel normal pas suffisant car les textes ne
disaient pas exactement ni précisément les raisons qui peuvent pousser à interdire par ex la
publicaton d une revue etrangère ?
D2SORMAIS les meurres prises dans le cadre de l’état d urgnece font l’bjet d un plein
contrôle de nécessité et de proportionalité. Av 2015 ct slmnt contrôle restreint, à
l’occasion de l adernière mise en œuvre de l’etat d urgence cst le cons costit dans DC
2015 DOMANJOU qui a précisé qu il faut le plein cntrole de nécessité et de
proportionnalité pour les assignations à résidence puis la déision a été étendue à tous les
pouvoirs.
3) L’état d’urgence sanitaire :
Crée par la loi du 23 03 2020. Les cironstance slà c’es tplus restreint : hypothèse d’une
catastrophe sanitaire mettatn en péril par sa natur et sa gravité la santé de la population.
Et il a donc été mis en œuvre à deux reprises depuis, pour la même raison qu’est la covid
19, en métropole. En outre mer, on a eu des dates différentes et plus longues. En réalité
meme si formellement levé entre juillet et ocobre 2020 et depuis ju=anvier 2021, on
n’est jamais revenu à la normale, psq sa levée a été acompagnée de lois spéciales, visant
à encadrer la sortie de l’état d’urgence snitaire et qui en étant moins rigoureuse que
l’état d urgence sanitaire sont plus rigoureuse que l’état du droit normal.
-Procédure : proche de l’état d’urgence mais n’en est pas pour autant absolument
identique. Point commun : déclaré en conseil des ministres, et on a un décret. C’est le
même décret en effet qui déclare et délimite les zones où le régime s’applique.
Egalement on retrouve nécessité d’une prolongation par la loi au dela d un ctn délai,
mais qui plus long est ce délai non 12 jours mais un mois ici.
-Régime : mm qu’état d’urgence, le décret es susceptible de recours sous réserve que
pas ratifié par le parlement lorsque clui ci autorise prolongation. Idem pour possibilité de
dm au prép de l’annuler et de constater le refus le cas échéant.
-Conséquences : élargisement pouvoir des autorités de police mais plus ciblé surla
protection de la santé. Il peut s’agir de l’interdiciton ou restriction de l acirculation dans
ctns endroits, à ctns moments. Ca peut etre la possibilité d’ordonner un cofinement de la
populaiton ; le placement en quarantaine des potentiels porteurs du virus ; placement à
l’isolement des malades ; fermeture des réunions ou établissements accueillant du
public ; limitation ou interdiction des rassemblements sur la voie publique ; réquisition
de biens ou services ; contrôle des prix de certains produits ; mise à disposition de tous
médicaments appropriés ; limitation de la liberté d’entreprendre (mise en place de
disppositif privilégiés en masque). Ces mesures doivent être strictement justifiées par la
nécessité de protéger la santé publique. Là aussi, il existe un plein contrôle de leur
nécessité et de leur proportionnalité.
S’est posé la question de savoir si la déclaration de l’état d’urgence sanitatire
dépossaidait ls autorités locales de leur pouoirs d epolice général ? Sachant que dans le
cadre d’urgence sanitaire le pouvoir est confié aux autorités de l’Etat, au niv centrale :
premi min et eventuelemen tmin de la santé, et locale : préfet. LE MAIRE garde t il
pouvoir d intervenir. LE CE DANS ordonnance avril 2020 commune de sceaux n a pas
exclu tout concours d epolice mais l’a limité à des raisons impérieuses liées à des
circonstances locales et a posé comme condition que la mesure locale de police par le
maire ne compromette pas la cohérence et l’efficacité des actions de l’Etat.
4) Article 16 de la constitution :
Déclenchement lsq l’indépendance de la nation, l’exécution de ses engagements internationaux, les
institutions de la république, l integrité de son territoire sont menacés de manière grave et
immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu.
ON a eu cet article à l’occasion du putsch des générals d’Alger.
Procédure :
- Décision du président de la république de mettre en œuvre l’article 16= acte de
gouvernement CE 1962 Rubin de Servens ; il a uste l’obligation de consulter ctns autorités
mais avis non liants. Pour y mettre fin, jsq en 2008 ct le bon vouloir du prés rép ; avec la
révision du 2008 il existe une procédure de saisine du conseil constitutionnel.
Périodiquement le conseil constit soit est saisi par des autorités soit se saisir tout seul après
un ctn délai pour émettre son avis public. SI le prép l’ignore tous le sauront.
- -Conséquences : tous les pouvoirs sont transférés au prépublique : pouvoir légisaltif, tous les
pouvoirs exécutifs y compris les pouvoirs de police. L’art 16 autorisé le président à prendre
« toutes mesures exigées par les circonstances ». Sachant que ces mesures sont des lois si
interviennent dans domaine de la loi ; si dans le domaine du règlemnt sont réglementaires.
Conséquences : La théorie permet de déroger à la légalité ordinaire ex déroger aux règles de formes
et de procédure, si elles sont prévues par la loi ( Heries : suspension des garanties procédurales
applicables aux fonctionnaires) ; il peut s’agir de mesures dérogeant aux règles de fond ex : arrestatio
de personnes en dehors de tout mandat judiciaire ; interdiction d’accès à ctns lieu ou obligation de
les quitter ; ou CE 1983 Rodes : évacuation forcéd de la population, en lèespèce crainte de révil d’un
volcan. Et dans ctns cas dérogation aux règles de compétence : c’est la théorie des fonctionnaires de
fait : tout administré peut en défaillance des autorités pulbliqes normalement compétentes peut se
subsituter à elles et prendre les mesures nécessaires. Enfin les cirocnstances exeptionnelles ne
permettent pas toout de même de justifier toute atteinte à la légalité. Il ya bien sur ces mesures un
contrôle de nécessité et de prportionnalité de la part du juge, et le juge le vérifie. Les circonstances
exceptionnelles bref peremttent de déplacer le curseur de la légalité ie que ctnes mesures en temps
normal auraient été illégales et dès lors dmerent légales ;de meme ctnes mesures en temps normal
auraient constitutés des voies de fait ex arrestation de personnes peuvent constituer de simples
illégalités ( TC 1952 DAME DE la murette en constatnat que le fait de procédéer à une arrestati
arbitraire de la personne n était pas justifiée par les circonstances, mais que pour autant cette
illégalité qui en teps nroaml aurait été voie de fait ne constituaient vu les circonstances qu’une
simple ilégalité, autrement dit pas de compétence du juge judicaiire pour connaître mais simplement
du JA.
Paragraphe 2 : L’obligation d’exercice du pouvoir de police
L’exercice du poivoir de police n est pas qu un droit, ca peut devenir une obligation ; soit le non
exercice sera constitutif d’une illégalité. La logique voudrait que les deux aspects droit d agir et
oblifation d agir soient symétriques. AUTREMENT dit que le pouvoir de police et l obligaton d agir a
chaque fois que cela est nécessaire , elle pourra adopter de smesures propotionnées. Pourtant ,
contrairemnt à l attente, lobligatio d agir a un périmètre plus restreint que le droi td’agir. Ca ne s
observe pas tlmnt qd il s agit de mettre en œuvre des mesures existantes. Le CE l’a dit dans SEct
1962 Doublet 2 : l autorité de police, toute autorité de police a l’obligation de prendre les mesures
matérielles et juridiques d’application des mesures de polce existantes meme si elle ne les a pas
edictées elle-même soit toute autorité de police a l obligaito nd assure r la mise en œuvre des
mesures de police existantes y copris si ne sont pas les auteurs de la mesure d epolice initiale. Soit un
maire est tenu de mettre en œuvre une mesure d epolice adoptée par le préfet il ne peut s’y
soustraire.
Là où la dissymétrie apparaît cst pour l’adoption de mesures de polices initiales, ie qu il n y a pas
encore de mesures de police et on se demande s il faut en adopter. Le CE dans DOUBLET 1 de 1959 a
précisé qu el’obligation d’adpter des esures de police initaile est suborodnnée à l’existence d’un péril
sufisamment grave résultant d’une situation particulièrmeen tdangereuse pour l’ordre public, et que
cette mesure de police serait indispensable pour faire cesser, autrement di til faut vraiment ici une
nécessité renforcée, pour quel préfet d epolice soit tenu d’adopter la mesure. Comment l’expliquer
u une simple nécessité ne suffise pas a entrainer l obligatio n d agir<, Ca protège à la foi sl autoirté d
epolice elle-même, le juge ne voit pas qu on voit facilement reprocher a l autorité de police son
inaction.Mais ça protège aussi les libertés publilques : en effet une obligation d’agir trop largemen
interprrétée pourrait encourager l’autoirté d epolice à une forme d’activisme en matière de police et
qui serait préjudiciable aux libertés publiques ( ce n est pas dans le dout =e agissons mais plutît il faut
que dans le dout en agssons pas soyons certaines qu’il faille agir !).
I) LA GRAVITE DE LA FAUTE
Ne se pose pas en dt civil car ici toute faute engage la responsabiilté de son auteur, l’élément fait
doageeable sera considéré satisfait. En DA ce n’est pas le cas , il existe un ctn nb activité adin ou on
exige que la faute préente un ctn caractère de gravité. En effet, le JA prend en compte la difficulté de
l’action administratie pour lui aménager « une franchise de responsabiilité ». : considérer que les
fautes peu graves n’engagent pas sa responsabilité. Toute la question est de savoir quel est le degrès
de grvaité que la faute doit présenter pour engager la respnsablité de l’administration. Au départ ce
degres était extrêmement élevé. Gnéralament lsq on a admis la resp de l admin on l a subordonnée à
la comissin d une faute d une exceptionnelle ou du moins dune ctne ou particulière gravité. CE
PREMIER temps a prgssvmnt cédé la place dans les ans 60 à un standard moins exigeant : celui de la
faute lourde. QCQ la faute lourde ?? Difficile à définir : c’est la faute plus grave qu une simple faute
mais sans pour autant présenter un extrême gravité. Soit, le passage à la faute lourde a constitué un
progrès pour la victime lsq a eu lieu. Mais bien évidemment ce temps est révolu, ajd on regarde du
côté du dt civil pour constater que le DA exige une faute lourde ie qualifiée là om le dt civi n en exige
pas et le sens de l histoire serait la disprition de la faute lourde car est plus exigeant envers la victime
que n est le dt civil, donc pour raiosn d équité tend à décliner, d o hypohèses où elle a disparu et
hypoèe ou elle subsite ais jms à titre exclusif.
A) LA DISPARITION TOTALE DE LA FAUTE LOURDE
On a quatre domaines : 3 certains et un probable.
4-) Services de police : Evidemment on va voir police admin, mais le régme de resposnabilité cst le
même que pour la police judicaire, juste que pour police judic, cst le juge jud qui est compétent pour
les appliquer.
La resp de l’Etat à l’époque ou de la commune a été longue à admettre, cst seulment depuis CE 1905
Tomaso que la responsabilité des services de police est admise (bref 30 ans après Blanco qd même).
Pour des raisons analogues aux services fiscaux, on va objecter du fait que c’est une activité
régalienne aussi comme la fiscalité, d’où tard à petre admis.
L’état du droit a été marqué par une relative complexité, coexistence de faute simple et lourde. La
Ligne de partage : distinction entre activité juridique et activité matérielle : les activités jur en ppe
sont soumises à la faute simple, les activités matérielles soumises en ppe à la faute lourde, on
considère que les activités juridique n’étaient pas particulièrement difficiles, dans la police ct les
opératins matérielles (intervenios sur le tarrain) qui étaient délicates. Le commissaire de gouv Rivet
disait » Il ne faut pas que la police confrontée à la tache délicate de maintenir l’ordre public dans la
rue voit son action enervée par la menace permanente de contentieux ». Mais dans les deux cas, on
avait des exdeptions : le CE admetait que ctnes acitivtés matérielles peu délicate,s peu compliquées
soit soumises à un régime de faute simple : la reconnaissance des dangers sur les pistes de
ski( activités matérielles mais pas très compliquées) ; à l’inverse ctnes activiés juridiques jugées
complexes obéissaient à un régime de faute lourde, notamment on pense à la réglementation de la
circulation et du stationnement Paris, CE ASS 1972ville de paris contre marabout : reglementation
circulaton et stationnement à paris assez délicates pour que ce soit faute lourde qui soit en jeu.
Il semble pour autant que la faute simple à aprtir début an 2000 se soit généralisée. Mais ce qui
conmplique l’affirmation : on n’a pas d’arrêt de principe, les activités en cause sont en efet très
hétérogènes que ca devient difficiles de systématiser. Alors pourquoi affirmer la disparition de la
faute loure et la généralsation de la faute simple ? Par deux indices : des oérations avant régies par la
faute lourde ont été soumises fin an 90 début 2000 à la faute simple : ex : à propos de l’adoption de
mesures de polices de lutte contre le bruit, on a considéré que ct une activité juridique délicate, mais
à partir de 2000 : faute simple : CE massy cramayel ; Ex : Arret 2006 commmune de bale devient
faute simple pour police des batiments menacant ruines qui avant étaient pourtant considérés
comme délicates. Bref la faute lourde perd de sa place. En deuxième indice, on a le passage sous le
régime des fautes ismples des services de secours en urgence : ça avait commencé avec les servces
médicaux d’urgence, CE Theux 1997 : on a pensé que services secours mdicau d urgence n ont pas
été performants : faute simple ; aussi CE sect 1998 : pour secours en mer n a la même chose ;
également on a ca pour services de lutte contre incendie CE 1998 commune de Hannapes. Dans le
même ordre d’idée Avis ASS 2016 Napol et autrre :s : les perquisition réalisées en période d’Etat
d’urgence obéissait à un régime de faute simple nonobstant les circonstances exceptionnelles. PAR
UN Raisonnement à fortiori, si les activités les lus difficiles obéisse à un régime de faute simple, on
peut se dire que les activiés moins délicates sont elles aussi soumises à un régime de faute simple.
Voilà en quoi on peut affirmer la généralisation de la faute simple. On est obligé de reconnaître qlq
arrêts isolés qui maintiennent la faute lourde : CE 2007 sté France telecom : à propos de la
substitution d’action du préfet au maire en matière de police : faute lourde ; idem pour activités de
services de enseignements CE 2018 consorts Chennouf : affaire mohammed merah ; plus récemment
à propos police sanitaires dip=sositifs médicaux CE 2020 Mme Keratepe : faute lourde aussi. Ces trois
ex sont assez différents, d’où l afaute lourd epas disparue ? M onsieur n en est pas sur car ces trois
sont en conlence aux activigés de police et activités de contrôle, or les activités de contrôle restent
soumises en parte au moins à un régime de faute lourde. Donc il pense que c’est le régime des
activigés de contrôle qui a déteint sur l régime des activités d epolice, le juge considère que ces trois
activités sont plus des activités de contrôle que des activités d epolice. Et puis disons le y a une ctne
forme de confusion entre les deux de la part du CE : Mme Keratepe est assez revelateur en l’epsèce,
entr eleglementation de sdispositifs médicaux et contrôle des dispositifs médicaux le CE mlange un
peu.
1) Les activités de contrôle : On peut définir les activités de contrôle comme des activités de
surveillance soit de personnes publiques soit de personnes privées, traditionnellement, la
responsabilité était pour faute lourde pour activités de coontrôle CE ASS caisse d’assurance
sociale de moselle : à propos de l’afaire stavinski, escro ayant escroquer particulier,
institutions publiques dans des histoires d elacements hasardeux, avant de dispraître dans un
chalet ou il s’est suicidé de plusieurs balles dans le dos. En quoi une activité de cont^role est
pariculièrement difficile au pont qu’une simple faute ne suffise pas ? La raison tient dans la
liberté de la personne contrôlée , dou cst difficile. PAR D2FINITION IL N Y A CONTROLE QUE SI
LA PERSONNE controlle est libre. Or la personne contrôlée , notamment si il est contrôle par
son gré peut et retenté d’user de sa liberté pour se soustraire au cont^rôle, y a parfois risque
de mauvaise volonté de la part de la personne contrôlée. Y a ussi un erison morale ne pas
facilement sbsituter la resposabilité du ontroleru à celle du contrôlé. N oubions pas que dans
la majorité des cas, cst le comportmeent du controlé qui est la cause ppale du dommage, qu
il soit la victime du dommage, ou que ce soit un tiers. La vicitme n’a pas cette tendance
systematique à suivre le controleur, que contre l’auteur immédiat des faits jsq en 25min. Ceci
étant dit , vers 90 on a eu offensive de la faute ismple en matière d’a tivités de contrôle. Qlq
exemples : contrôle sur centre de transfusion snaguine : CE ass 1993 DGB : faute simple pour
sang contaminé par virus de sida car on n a pas chauffe le produit sanguin pour éliminer le
virus ; autre ex : activités de cont^role technique : sur navire 1998 Améon : ca pouvait aussi
etre sur automobilie ou avion. FIN ans 90, la doctrine n emajirité dit qu’on n’avait pas d arret
de ppe, mais la faute lourde avait vécu, erreur ! Parallèlement le CE a réaffirmé la faute
lourde ex CE 2000 Commune de saint florent à propos contrôle légalité acte admin par le
préfet sur les actes des CT, ici faute lourde si y a préjudice. L’état du droit était donc plus
simple, et le CE dans un nouvel arrêt de principe dans CE Ass 30 11 2001 min de l éco des fin
et d el’industrie contre Kechichian et autres, le ce a dit qu’en matière d’activités de contrôle
le principe reste celui de la faute lourde, mais qu’il peut en aller différemment à raison de
l’étendue des pouvoirs de contrôle dont dispose l’administration. Autrement dit, plus les
pouvoirs de contrôle sont étendues, moins la faute est excusbale, et plus on retiendra la
faute simple, car si on n empeche pas la personne d agir or qu’on pouvait alors on pourra
moins nous excuser d’où faute simple. On peut considérer que dans les affaires DGP et
AMéon, on a retenu faute simple car on peut se dire que les controles présentes dans les
affaires étaient assez poussées pour que le contrôle du contrôleur soit inexcusable d’où juste
faute simple exigée. Dans commune saint florent, peu de temps après , le ce a dit que cotrole
des budgets locaux par le prefet était aussi faute lourde Ce 2005 sect Sté femière de
Campoloro. En matière de substit du préfet au maire pour police du maire, on peut se dire
que l’activité est assez délicate pour justifier la faute lurde( 31min° ). Mais à partir ans 2010
nvlle offensive de faute simple : CE 2010 min ecologie contre consorts ceyrot : En matière de
cotnrole aérien ; Le contrôle sur le sintalalations classés CE 2014 : min ecologie contre gilbert
et époux mollin à propos explosionusine zf à toulouse encore aussi CE 2015 alim et enni à
propos du fait que Etat n a pas reussi à empecher jeune fille d aller en Syrie faire djihad>
cont^role aux fronitères ici.
SAUF à aucun moment le ce ne jsutifie la faute simple par les pouvoirs d el’administration ?
Est-ce que l ajp a evolué ?? En 2020, le ce a rféaffirmé la jp Kechichian, dans rret mme
Karatépé 2020 sur les dispositfis médicaux, et un mois après sur les contrôles par l’inspection
du travail CE 2020 min travail contre Antoniotti. Bref, suite à ca on peut retenir que les
hypothèses dfaute simple mm quand le ce ne le dit pas explicitement ne sont que des
dégaton squ ppau ppe de faute lourde, dérgaton justifiés par l’étendue des pouvoirs de
contrôle de l’admnistration.
En matière d’acte de sonn scourants : présomption de fautes ; si on ressort brulé du fait qu on nous a
posé compresse, on doit présuer que la copresse etati trp chaude, sinon comment on aurait pu subir
un dommage pour un acte courant comme ça. De même qd les conséquences de l acte médical sont
sans rapports évidents avec l’bjet de cet acte : on présuppose que ca a été mal réalisé ; si après acte
médical on est atteintde pathologies qui narrive jamais normalement suite à un tel acte médical, on
suppose qu y a un truc anormal qui est arrivé ( ex on nous opère d el ajambe et on sort avec bras
cassé, donc ptt on nous a trp fort attachés). Idem à propos infections nosocomiale, le juge avait
instauré une présomption de faute ( on rentre à l hopital en s opérant d appeindicite et on e resort
avec staphylcoques dorés, cst que probablement y aeu manque d hygiène). Ajdhuit la loi insittue un
régime de responabilité sans faute. Enfin toujours en matière médicale, faute simple en matière
d’informatio médicale, CE SECT 2000 Consorts Telle : cst à lhopoital qu il incombe de poruver en cas
d accidetns qu il a corretment informé le patient des risques encourus. LE juge considère qu on peut
présumer que si le patient a été correctement et dument informé des risques, il aurait choisi de ne
pas recourir aux opéations, interventions réalisées, dnc à charge pou rl hopital de prouver le
contraire, or souvent on nous fait signer un papier heheh. Dernière exemple : le CE 2012 mslle bussat
et époux bussat a reconnu une rpéomptn de faute du service d aide social à l’enfance lsq la mère d
un enfatn né sous x a pu obtenir infos sur le nouvel état civil de son enfant, malgré l’obligation de
confidentialité qui pèse normalement sur le service public. En l’espèce la mère est venue embetee sa
fille, les arents adoptifs ont engagé la resp des services sociales à l’enfance. Ca fonctionne aussi lsq la
mère d el enfatn a exrpesement emis le souahit de ne pas pouvoir etre identifié, en l affirmant ou en
n ayant laissé aucune preuve, si son identité est dévoilé, la pres de faute s applique aussi. Cette
présomption néanmojs dans ce cass ci est irréfragable, les services d aide soc a l enfance ne peuvent
se soustraire à leur resp. Cette solution on pense est ransposable aux hypoithèses dans lesquelles le
sevice pubilc est tenu au secret professionnel et que celui-ci est rompu.Imaginons que l’un d’entre
nous fasse part à M sous le secret prof de difficultés personnels, médicales, et qu ensuite àa se
retrouve sur les réseaux sociaux, cst que sans doute monsieur a trop parlé.
A)
1) Les choses dangereuses : Hypothèse ou l admin emploie des choses ou objets présentant
un danger. Quelles peuvent être ces choses : ca peut etre instruments, ou engins
dangereux. C’est à leur propos qu’on a eu la 1ere jp pour le risque danger, en l
occurrence les explosifs : CE, 28 mars 1919, Regnault-Desroziers: exl=plosion d un dépôt
de munitions, le fort d e la petite couronne à Paris pdt la PGm. A cette occasion, le ce
reconnait la resp de l’Etat du fait d’un objet dangereux, plus on en stocke en effet plu
scst dangereux. Le juge n’a pas tranpsosé cette solution aux feux d’artifices, qui pourtant
explosent aussi ( ptt psq y a moins de poudres). Puis CE ass 1949 Consort lecomte : les
armes à feux : ca produit un effet assez importatn en matière d epolice que ce soit admin
ou judiciaire : en ppe la resp des services d epolice et une resp pour faute, ajd faute
simple, par exception cst sans faute… cette jp extensible aux autres armes utilisées par
les forces d epolice ?? Ca Nantes 2018 a étenduaux flash bowl cette jp. Par contre pour
les autres armes non y compris les grandes lacrymogènes qui donc ne sont pas
consdérées comme engins et instruents dangerieux. Il est iportant de siganliser que le
bénéifce de la resp sans faute est limité aux tiers. Soit les agents n’y ont pas droit ( olicier
se faisant explosr armes a feu a l afigure) ; et les usagers non plus (dans jp consort le
conte, qd on est personne visé par le tir ex peroque l police voulait arreter et a visé donc
pas visé), cst vraiment par ex le passant dasn le cadre d opération sde police, le voisin
dans le cadre d explsions depot de munitons, bref les tiers vraiment qui netaient pas
cvsés.
2) Les ouvrages publics dangereux : CE ASS1973 DALLEAU: lsq un ouvrage public etati
exceptionnellemnt dangereux, il engageait la resp sans faute du maitre douvrage en cs
de dommages accidentels subi par un usager. On déroge au régime de faute présumé
déjà favorable au bénéifce d une resp sans faute. MAISI ICI il faut que ce soit
exceptionnellement dangereux, mais ce qui n a été reconnu qu’une fois, route réunion
très dangeureuse en haut de falaise. Le juge n a jms accepté d etendre cette soution a d
autes ouvrages publics y cmoris routes de montagne ordinaires, mais qu’on ne considère
pas comme exceptionnellement dangereise. (17 :30)
3) Les produits dangerux : ex dans les établissemnts hospitaliers. C’est le cas pour porduits
sanguins : CE Ass1995 consorts ngiyen, et parents : en quoi le sang est dangereux, ici
affaires sang contaminé, en effet peut etre porteur de virus, donc sang est
otentiellement dangereux s il est vicié. De même les produits et appareils de santé ( ex
scanners ( on est à la limite d engins) , radios et autres IRM …) enganet resp sans faute CE
2003 APHP contre mme marzoux), et y compris les prothèses CE sect 1993 Falempin.
Mais ce qui s apllique aux porthses ne s applique pas aux organes dans le cadre de dons
d’organe. En tout cas dans toutes ces hypothèses, le bénéifciaire de la resp sans faute cst
les usagers.
Revoir plan
B°)Les méthdes dangeureuses :
Qd l admin emploie des méthodes libérales ( 22min)
a) Méhodes libérales relatives à l’enfermement : plutôt que d’enfermer (placer en détention ou
interner) ctns adminsitrés à risque ( délinquants, malades pmentaux), l’admin emploie à leur
égard de sméthodes libérales, donc alternatives, donc les laissent dans situation de liberté ou
semi liberté étroitement survéillés. Mais ces métoodes font courri rosques à l’égard des tiers
amenés à les cotoyer ou entrer en cotnact avec eux. Que faire ? L’Etat est responsable sans
faute à l’égard des tiers , uniquement à leur égard ! A L’exclusion des agents ( si on est agent
de prhobation et on rend visit e à un détenu et on surprend qu il fait un truc ps bien on ne
beneficie pas de resp sasn faute) ; et les usagers non plus ( 25min) . Les tiers peuvent
néanmoins avoir lien familial avec l’auteur du dommage, ca peut etre des parents, des
proches… A l’origine, cette responsabilité a été consacré à l’égard des ineurs délinquants CE
sect1956 THOUZELLIER : en l’espèce la resp etati limitée à l hypothèse ou l emineur
délinquant était placé dans une institution publique d éducato survéillée, plutôt que d’être
interné ; mais ça a été progressivement étendue à l’hypothèse où le mineur délinquant est
placé auprès d instituon privéd CE 1959 etablissemnt délanois ; ou mm désormais lsq on le
place auprès de prsonne digne de confiance CE Sect 1997 min justice contre pele : dans cet
affaire on a confié le mineur à une association, n empeche s il est violent et blesse qlq , ce qui
s est passé dans stage de voile, y a bien resp sans faute d el’Etat. Pour les mineurs
délinquants, seul limite, cas ou places au près des parents, car là ne l’est pas en vertu de
mandat de l etat mais autrté parentale, cst pas l etat qui confie par mandat donné aux
parent,s cst l exercice de l'autorité parentale. Mais plus largement, ca vaut aussi pour les
dlinquants, même majeurs. Ex détenis placés en permission de sortie CE 1985 Mme Henri ;
idem pour les détenus placés en liberté conditionnelle ou semi liberté, qui peut donner lieu à
l’engagement de resp sans faute, ici y compris si hebergé chez parents car étant majeur, y a
plu sd’autorité parentale, donc ce n est pas un obstacle ici. Extension ussi aux malades
mentaux qui st noramelent internées et placés en sortie d’essai, y compris si ils sont confiés à
leurs familles, y a plus d’autorité parentale qui tien CE1967 Départment de l amoselle ; MAIS
NE SONT pas cocnernés les malades mentaux dits « en service libres » ici on ne les applique
pas de metghodes liberales d enfermement, s il est libre cst pas par décision de l etat, cs
juste qu il est pas sufisamment dangeruex, idem aussi pour malade mental soignée en
hopital de jour (32min),
On aaussi cas surveillance policière des personnalités , ne sont certes pas délinquants ou
malades mentaux, mais qd necessite surveillance ex font objet de menace pour leur sécurtié,
le fait de les laisser circuler sou sescort policieres que de les placer à l’isolement est une
métode libérale ; donc si l escrote polici provoque dommae, cst une resp sans faute de l’Etat,
Trib de grnoble ici à récouter… En l’espèce un membre de la fmaille de monaco, puis qui
voulait skier, et le gendarme aussi a été obligé mais n a pas été ouff dcp a percuté un autre
skieur, dcp resp sans faute, car si on avait laissé en bonne garde a lamison la princeesse rien
de cel an aurait été.
c))Les situaitons dangerueuses : hypothese ou l admin pae ctns de ses aget sdans sitatons
particulierement danegruesue, menacnant leur vie ou itégration physique, où les risques excedenet
( 41min.
Arret Perruche CE sect 1962 : Diplomate obligé de rester à son poste dans pays en guerre : guerre de
corée et nord correnn ont niqué le sud et on n a pas évacué l’ambassadeur, donc était soumis à un
risque partiuclièrmeent élevé, don csituaton particulièrement danegeureuse. MAIS CA S APPLIQUE
EVIDEMMENT PAS AUX MIIATIRES. Cette jp s applique aussi à une ensignante qui doit restée à son
pooste en période d’épidemei CE 1968 DAME Saulze : l institutrice a été contrainte de rester à son
poste qd plusieurs enfants de sa classe eétaent ateints de maladie contageiurse susceptibles de
conduire à malformation de fœtus et alors qu elle était enceinte et ca s est produit. Cette resp
néanmoins est logquement refusée aux peronnels de anté, qui ne peuvent engager la resp sans faute
au motif qu il sosnt exposés à risuqe de maladie contagieuses torp éléves, cst leur métier comme
pour les miitaitre.
Normalement, seul l agent peut y prétendre, mais pnctueleent il est arivé que les proches de l’agent
bééneifcient de cette repsosabilité alro smeme que l’agent lui-même n y aurait pas droit, TRIB
ADMIN PARIS 1970 : le conjoit d une infirimière put bénéficier de cette respalors mm que sa conjoite
n en beneifciait pas du fait que pour elle le risuqe profesionnel n etati pas anormal ; elle avait été
contaminée dans le cadre professionnel par virus sida ( mordu par malade positif ou s est piqué) , ce
sont les risques normaux du métier , sauf qu elle a contaminée son mari, et la cst pas risque noram
que doit courir le conjint d un personnel médical. Idem on peut tnasposer à militair qu on envoie en
mission et l Etat le froce à emmener sa fmille, si la famille sera vicite de représailles, ce sera resp sans
faute pour la famille alors que lui n’aura pas droit.
III°) La garde
Avant 2005 , la resp du fait de la garde était assez rare en DA, qui admetait la rsp sans faute d
el’admin du fait de dommages causés par des choses dont elle avait la garde, soit que ces choses
causent un dommage soit que le subisse ex avion confié à admin pour essai en vol. Néanmoins cst en
2005 dans l’arrêt CE sect 2005 GIE AXA courtage que la garde a trouvé sa pleine utilité : admet la resp
sans faute de l’admin du fait des dommages causés par les mineurs faisant l’objet d’assisstance
éducative.> A l’origine en 2005 étaient en cause les mineurs protégés au titre d el’ordonnance d
e1935 au titre de enfance en danger. Mais ce régime a été étendue pgssvmnt à d autres mienrurs à
de spupilles de l’ETAT = orphelins qu Etat doit prendre en charge AINSI QUE LES MINEURS
D2LINQUANTS ; Or les mineurs délinqants font déjà l objet d une jp : touzelliers, mais concrètement il
existe pour eux deux régimes de resp concurrent, et à la vitime de choisir le terrain sur lequel il
entend se placer : soi tpoursuvre l Etat du fait des méthodes libérales= jp touzelliers ; soit poursuivre
le gardien qui n’est pas forcément l’Etat du fait de la garde ; sahant que de tte façon celle des deux
personnes qu elle aura poursuivie sera subrogée dans les doirts de la vitime et pourra donc exercer
contre l autre personne une action subrogatoire ( être subrogé = bénéficier des mêmes droits que la
personne que l’on a dédommager, soit l aciton subrog cst l aciton que la victime elle-même aurait pu
exercer si on ne l’avait pas désintéresser) ( les organismes d assurance sont svnt subrogées à la
victime) : CE sect 2006 Min justice c MAIF. Précisons que les champs d’applicaiton ne sont pas
rigoureusement identique, en effet la resp pour fait de garde béneficie aussi bien aux tiers qu’aux
autres uagers de service, autrement dit l’option ne bénéficie qu’aux tiers, l’usager n’a pas totalement
le choix. Donc voilà, le CE s’inspire de 1242 al 1 er qui dispose « des personnes dont on a sous sa
garde », néanmoins il ne l’applique pas formellement. Le CE dégage à cette occasion un ppe général
de la garde dont s’inspirerait le code civil. La question c’est de savoir s il s agit vraiment d un risque la
garde est elle un risque. S on excepte les délinquants, les mineurs en cause n ont pas vocation
spéciale à commettre des dommages sauf à considérer qu un mineur est en soi un individu
dangereux, don cà priori pas de danger spécial, autrement dit on admet ici une nouvelle conception
du risque ; le rapporteur publque dit que Ce n’est pas un nouveau fondement de resp sans faute à
côté du risque et d el arupture d egalité devant les charges publiques, mais ct une nouvelle variété de
risuqes : le risque autorité ou risque social fondé sur le fait que l’amdinistration « organise , dirige ou
cojntrôle le mode de vie du mineur ». Cest un risque autorité, social, lié a ce que l’dmin dirige le
mode de vie du mineur. Pour ex : la repsosabilité du gardien peut etre engagée y compris lsq le
mineur cause un dimmage pendant la période où il a été remis à ses parents ( donc touzelliers et axa
courtage fonctinnent dans ces cas : CE sect 2016 ST2 groupama grand est : l’admin conserve la prise
ne carge durable et globale du mineur en permanence, autrement dit si le mienur est ici chez ses
parents cst psq l’amdin le veuille bien et l emineur n y est que l=pour la période temporelle qu elle
aura déterminée.
Il est vrai que les actes non réglementaires se prêtent assez bien à rompre l’égalité devant les charges
publiques puisqu’ils ne visent qu’une personne (acte individuel) ou une opération déterminée (décision
d’espèce) ; il est donc assez facile pour eux de traiter cette personne ou cette opération d’une façon
particulière qui romprait l’égalité.
>> Qui ferait peser à l’encontre d’un administré en particulier des charges excédant les contraintes
normales résultant de la vie en société.
L’arrêt “Couitéas” nous en donne un bon exemple puisqu’il admet la responsabilité sans faute de
l’Etat du fait de son refus de prêter le concours de la force publique à l'exécution d’une décision de
justice.
En l’espèce, Couitéas avait acheté des terrains en Tunisie, déjà occupés par des tribus nomades ; le tri -
bunal a reconnu son bon droit pour faire expulser ses tribus sauf que les autorités du protectorat ont re -
fusé de prêter le concours de la force publique à l’exécution de cette décision au motif du trouble à
l’ordre public qui risquait d’en résulter.
En principe, le refus de l’Etat de prêter un tel concours est illégal. Lorsque l'intérêt général fonde ce
refus (ici ; protection de l'ordre public), il y a lieu d’engager la responsabilité sans faute de l’Etat si la
charge pesant sur le bénéficiaire de la décision de justice apparaît disproportionnée.
Le cours de LILA s’arrête là : normalement le refus de prêter la puissanc eublique à l’exécution de
décision de justice est illégale mais peut etre légale qd cst justifié par motifs d ordre public.
Néanmoins ces deux limites ont tendu à s’attenuées, sans disparaître. Tout d’abord la vté du
légisalteur d’exclure toute indemnisation : le législateur déjà a-t-il le droit d exclure toute
indemnisation , au regard de la constituton ? LE CONS COSNTIT A DANS UNE D2CISIONDE 2001 a
limité ce droit en indiquant que « les lois ne sont pas conformes à la csntit si l exclusion de l
indemnisation qu elle prononce provoque une rupture caracterisée de l egté dev les charges
publiques », autrent dit une rupture importante, « sauf à ce que l’économie générale du texte
l’impose » autrement dit sauf à ce que ceci soit justifié et nécessaire au regard de la loi. Soit une
loi dont l obet est dleiberement discriminatoire et justifiée par l intérêt gé pourrait totalement
exclure l’indemnisation.SAUF DANS LES CAS Où cst imoé par l objet ou l economie générale du
txt, la loi peut exclure l indemnité à condition que ca ne provoque pas des conséquences trop
importantes.
Voilà pour cette première évolution. Deuxième évolution qui a disparu maintenant : ca porte sur
les objets tenant à un motif d interêt général préeminent. Ca a donc regrésseé CE ect 2003
assocaititon pour le vpmnt d el aquaculture en région centre ADARC : en effet le ce devait se
pronocne rune nvll fois su rl indelnsation des agriculteurs vicitems de dégats causés par des
espèces protégés, est ce que l etat peut etre reposnable ? Dans CE 1998 min d el environ contre
Plan, le ce a appliqué CE Rouillon, donc pas d’indemnisation. Mia rveiremnt de JP en 2003 s
agissant de pissiscutleurs dont les elevages etaient décimés par une espèce protégée , et le ce
accepte de les indemniser en distinguant selon ce qu el’ctivité de la vicime est ou non contraire à
l’objet de la loi, soit les personnes don tl activité est dirtment contraire à l objectif poursuivie par
la loi continueront à ne pas etre indemnisés ie le taxidermistes ou l echasseur ne pourront l etre,
en revanche les personnes adont l aiivté n est pas contraire à l objet de la loi et subissent
préjudice auront drit à indenité par e les agriculteurs pour lesuqels leur acitivté n est pas
contraire à l objet de la loi. Donc première brèche ici mais CE 2005 Sté coopérativ agricle ax’ion :
le ce ne considère plus l objectif d intéet génral préeminent comme étant un motif d’eclusion
de l’indemnité. Il ne mentionne plus que l avolonté exprese ou implicite du légisalteur.
S’agissant des rapports entre l’administration et ses agents, la seule possibilité est celle de l’action
récursoire ie deux isntants successives attendent que la personne poursuivie par la vicitme soit
condamnée avant qu elle ne se retourne dans une snde action contre d eventuels co-resposnables.
( y a aussi l’appel en garantie qui est une autre procédé d obligation à la dette qu on verr al’an pro si
DA des biens. ) 21 44
Jsq en 1491 la jp du CE consistait à refuser l’action récursoire : avec dvpmnt cumul des fautes et stt
cumul des repsonsabilités , ce refus n’était plus tenable, d’où deux arrêts ASS 1951 la ruelle et
neville : le ce a admis l’ation récursoire, que ce soit d el’amdin contre l’agent ou de l’agent contre
l’’agent.
Arrêt Morritz 1954 CE : tranche en faveur d ea compétence adminstrative.> Ca ne releve pas de soi
car on est présence d une ccmptéence dirigée ontre un particulier, or généralement cst plut$ot la
personne du défendeur qui détermine le juge compétent, limite on s en fiche de l’identité du
demandeur, comment une action contre un particulier meme émanant d el’administration … (2min )
… la compétence du JA s explique par le fait q ju une telle aciton est indétachable à ré-ecouter
CHAPITRE 3 : LA CAUSALITE
Il ne suffit pas préjudices subi et qu’il existe un fait dommaeable, encore faut il qu il existe entre les
deux un lien de causalité.
Dans le chapitre 1 on a vu tte illégalié est fautive, en revanche une illegalité externe ne provoque pas
de préjudice quand la mesure est légale sur le fond= CE 1981 Mme Carliez. On a été sancitonné mais
peut importe que l’auteur de la sacntion soit une autorité incompétente ( ex direct adjoint mais sans
délégation de son chef de service), bah peut importe la décision aurait été la même que si l’on était
sanctionnée par une autorité formellement compétente.
(1 :09) : De même, ctnes illégalités internes, ex erreur sur motifs, si une décision contenue identique
aurait pu
I) Le préjudcie personnel
Le bénéficiaire de dommages et intérêts cst celui qui a subi le dommage, c’est la victime imédiate,
l’appréciation de ce caractère personnel ne soulève pas de difficultés, en règle général. Néanmoins il
peu ten aller différemment dans deux cas :
A) Premier problèe : la transmission du droit à réaparation
Le dt a réparation est transmissible aux ayants droits, ce qui déroge au caractère personnel du
préjudice. C’est heureux car sinn il suffirait à l’adin de tuer la victime ( que ce soit fait dommagable
ou autrre, en cas de decès le dt est transmis aux ayants droits). La seule limite : les préjudicces
moraux qui étaient considérés comme rigoureusement propores à la vicitme immédiate et donc non
transmissible, ca a été abandonne en 2000 ce c jacquie.
De même les organismes qui ont désintéressées la victime sont subrogés à elle, le droit à réapration
leur est transmis, peuevent agir à la place de la victime et ce contre l’auteur du dommage= action
subrogatoire.
Troisième heure :
A) La nature du préjudice
Selon leur nature ctns préjudices sont plus ou moins facilement évaluables en argent . Pourtant
ajdhui le JA admet l egal réparabilité de spjdices matérielles et de spjdices moraux.
1) Prejudices matériels
Sont le plus facilement évaluable en argent, dommage aux personnes décès , blessure,
invalidité, perte de revenus ; ce sont également des dommages aux biens : desructions,
deterioration, perte de valeur vénale… Pour les préjudcies corporels , le CE depuis début an
2010 applique la meme nmenclature que celle employée par le juge jud celle d’Intillac qui es
tplus fournie que celle que le JA avait personnellemnt élaborée.
2) LES PJDICES ORAUX
Atteinte aux sentiments donc plus difficlement évaluables en argent. Cepednant, certains ont
toujours été cosidérés comme réparables en argent par le ja. Ex : aont tjrs été réaraés atteinte à
l’hnneur ou aux dts moraux, le pjdcie esthétiuque, les divers troubles dans les conditions
d’existence, l’obligation de changer de mode de vie, l’obligation de renoncer à ctnes activités ou
ctnes loisirs car invaides, fin de l avie sexuelle car désormais impuissance ; d emême
l’impossibilité de se préparer à l’eventualité d un préjudice en prenant des disposition
spersonnelles : ex un cas ou on admet indemnsiaiton du pjdic mroal lié à la stérilité d un homme
suite à ne interventio chrgcicale car il n a pas été informé des risques sur la possible infertilité , il
aurait aimé congler aant des gametes pour insemination.
En revanche ctns pjdices oraux étaient tdtnllmnt cconsiérés comme non réparables :
-la souffrance physique
-la douleur morale ie la peine liée à la perte d’un être cher ou l’angoisse ie peur d etre atteint un
jour par la maladie ( ex exposition à radiations ptt un jour cancer mais ptt pas … ).
Pour ceux-ci l adage « les larmes nne se monnayent pas » était apliqué, ce qui était d autant plus
choquant car son homologue udiciaire lui l admettait. Sur la souffrance physique le CE acceptait
de les idnemnsiait si elles etaint excepitonnelles. PUIS ce 1958 grimi : le ce a accepté
d’indemniser toutes les souffrances physiques.
Il a été plus réticent pour douleur morale mais depusi CE ass 1951 consort le tisserand la douleur
es tégalement indemnisée par le juge adinsitratif. PEUT ON DIRE QUE LA SITUATION EST
IDENTIQUE DEVANT LES DEU XORDRES DE JURIDICTION, En théroei oui en pratique pas tout a fait
car le ja a tendance à etre mins génreux su r l appreciation de la douleur morale, et puis retient
souvent uneevaluation forfaitaire ie dépednant de la proxiité familiale et non des sentiments
reels ( on perd un parent eloigne dans l arbre genealogiue mais qu on aime bcp on sera peu
indemnisé).
Le juge peut par ce canal contoruenr le texte relatif aux forfaits de pension en qualifiant le pjdcie de
sorte a ne pas le faire entrer dans le forfait.>
Il convient d indiquer qu une personne publique ne peut etre ocondamnéer à payer ce qu elle ne doit
pas CE 1971 Mergui. Autrement dit elle ne peut etre decarée debitrice d un pjdice qui ne xiste pas ou
condamné à payer une somme excedant la somme d u pjdice existant.
-Concernant l evalutation du montant brut du pjdice : ceci se fait par de sméthodes et à des dates
différentes selon la nature du pjdice. La jp du CE depuis 2 arets de 1947 ass distingue les dommages
aux personnes et les dommages aux biens. Pour les dommages aux ersonnes cst l’arrêt denombri et
sont évalués à la date de la fixatin de l indemnité ie a la date du jugement, soit on tient cmpte de l
ecoulement du temps dpeui sle moment ou l epjdcie est apparu. Pour les dommages aux biens , ce
contre veuve pascal, ils sont evalues en ne prenant pas encompte l’écoulement du temps : ie cst au
jour de leur survenance.
- Dernier point : la qustion des corrections apportables au montat brut du préjudice : ca peut etre des
déductions :peuvent etre deduits du montant de l indemnité les somme sdeja indemnisés par d autre
procédés : ex secu socales, assurance. De même encore les plus values : il peut arriver que les
conséquences d’un meme fait sont ambivalentes : prejudiciables d un cote mais source de plus
values en d autre aspects. (2 H 18 :25)
Au terme de ce raisonnement il apparait possible que le juge das CE AVIS HOFFMAN grieman ( à
propos deportation juif) : certes l’Etat était responsable de la pdéporttion de sjufis pdt l occupation
mais quil n a plus a verser de nouvelle sindemnités des lors que par le passé a déjà pris mesures
suffisantes de compensation des pjdcies materielles et oraux subies (2 :20 :10.
Egalement on peut pratiquer des majorations : cas des intérêts de retard ( ici le ja applique les art du
code civil). Ainsi le JA peut ajouter des intérêts moratoires des art 1231-6 et 7 du code civil, ceux uqi
retard le retard du paiement des domm et interets ; et appliques interets ompensatoires des articles
1231-6 al 3 :compense la mauvaise vojté de l adin à payer.
dépasse les aléas noramux ou les sujétion snormales de la vie en société. ( 2 :26 :00 jsq à end).
Dernier cours du 14/04 :
1) L’exception de précarité :
Hypothèse où on place l’administré dans une situation précaire et il le savait. Il ne peut donc
pas prétendre à indemnité lorsque cette situation prend fin conforméméent aux attentes
12min….
Ex : l’agriculteur à qui les deux parcelles sont sépareés par un cehmein de fer mais à très
faible circulation, l’admin a toléré qu il traverse le chemin de fer avec son truc motorisé, mais
le trafic ferroivère s etant accru sur cette voie, l’addmin a cloturé la voie ferre puis plus
possib=le pour lu de passer, certes y avait tolérence un ctn temps mais voilà cst fini, vous
n’avez pas à vous ne plaindre.
2) L’exception d’illégitimité :
Hypothèse où la victime se place dans une situation illégitime ie illégale, elle ne peut pas
alors etre indemnisée des dommages qu elle peut subir du fait des illégalités dans
lesuqlelles elle s’est elle-même placée. Y a ici une application de nemo auditor « nulle e
peut se prévlaoir de sa prore turpud » » autrmeent dir soit lsq l admin realise lillegalité
de la situation et il y met fin, le prejudice n est pas indemnisable CE ass 1938 cgnie
générale de gde pêche : à propos de l atteinte portée a la contrebande par une nouvelle
règlementation 16min . Soit une seconde hypothèse où l amdinstraton ne réalisant pas l
illégalité de la situation ne la supprmime pas ce qui engendre un dommage pour celui qui
s y livrait et cela expose celui qui beneifciait de la situaiton à des pjdcies, on peut citer ce
sect 1980 sarl 5 7, à propos d’un ffait divvers qui a fait parler à l’époque « incendie
dancing saint laurent », le dancing a brulé y avait eu 40 morts . Il s est avéré que
l’expkloitant du dancing a été condamné à indemniser les victimes,surtout que son
établissement a mqnué à bcp de regles de sécurité, puis ensuite il agit en resp contre l
adminn au titre de ses activités d epolice et de contrôle en estimant que l’amdin aurait
pu le controler davantage et l’alerter sur le mauvais fonctionnement de son illégalité, le
juge répond fort sèchement à ce mr que ans les cironctanxs de l’espece comme il a tout
fait pour échapper au contrôle, qd bien mm l admin n aurait pas été tres vigilante dans l
accomplissemnt des ccontorles, le pjdcie subi par cet occupant n est pas réparable.
Hypothèse om l’administré se place volontairemet dans une situation dont il sait qu il se place d ans
une situation dont il sait qu elle peut l exposer a des dommages car il s agit d une activité risqu »e. Il
n epoorura pas se plaindre si le risque se réalise ne pourra soliciter indemnités si le risque se réalise :
ex arrêt Meunier ce 1996 à propos d un commerçant qui avait installé son commecrce dans un site
fragile alors qu il n ignorait pas les dangers d eboulement qui pouvait affecter ce site, il ne pouvait se
plaindre de ce que l admin par soucis de sécurité puisque sujjete à des eboulemnts le site donc
dangereux, a fermé son etablissement. Ona aussi qlq qui s installe déliberemment près d un dépôt d
ordure par ex et se plaind après : pas indemnisbale, ceci s etent à tous (22min 10) .
b) Que les actes en cause soit qulifiés de délits ou de crimes par le droit pénal.
c) Que le dommage soit la conséuence directe et certaine du comportement du rasseblement
ou attroupement. ON pense ici aux dégats métériels mais le ce a egalement estime dans Avis
1990 kofiroute ue des pjdices commerciaux pouvaient également être indemnisés à ce titre,
s’agissant ici de l’olbligation pour une sté d autoroute d elaisser passer gratuitement les
usagers du fait d attroupements ou de rassemblements.
PAR CONTRE contrairement aux hypthèses de resp sns faute classique , ici on n exige pas que
le pjdice soit anormal ( ? 5min) et spécial. Peut ca va de soi ca l anormalité dans les
destructions et tout. Il est bien difficile d’identifier les auteurs réels des faits, la victime peut
éprouver qlq difficultés à les prouver devant le uge ju( 6min)
Des hopitaux du fait des infections nausocomiales. MAIS C’est un régime de resp sans faute
assez inclassable, s il faut la ranger dans les typolgies, ce serait resp pour risque car qd on
entre à l hopital on sait qu y a de s bactéries qui y circulent, mais on ne peut parler de danger
car ce serait excessif car justement il est hopsitalisé pour ne pas courri un danger, ni absence
de profit, ni garde, aucun ne peut etre remobiliser. Donc des lors qu on contracte infeciton
nausociomial à l hopital on a resp sans faute. Mais la loi pose presomtion de causalité, la loi
dit que qd on entre à l hopital noramelemnt et qu on y sort avec maladie, on dit que voilà on
a attrpé infeciton nausocomiale, présomption simple par contre e tl hptal peut prouver que
ce n est pas une infeciton nausocomiale.
On a aussi la resp du fait du décès d un détenu causé par des vilences cmmises par un autre
détenu : loi 24 11 2009 qui institue ici une resp sans faute de l’Etat qd par ses vilences un
détenu cause la mort d un aute détenu : ce mme chabba. Il faut retenir de cette loi une
conception littérale, ca ne s applique que lsq les faits gnréateurs du dommages sont des
violences commises par un détenu et que le dommage réusulte en la mort d un autre
détenu.
La resp admin n est pas constitutionnellemnt reservée au JA en vertu de la constiuttion, la loi est
parfaitement libre de donner copétence au juge judicaiire sans devoir à s’en justifier. Il n’empêhc qu
eparfis elle s en (10min 30 ).
ON a un exmeple : loi du 31 12 1957 sur ls dommages causées par les véhicules : avant 1957, le
contenteux était réparti sleon que le véhicule en cause était un véhicule privé ou un véhicule de
l’administration. La loi du 31 12 1957 a mis fin à cette division psq elle préboit que les ontentieux des
dommages causées par des véhicules est entèrement causée à la jurdiction judicaire même si ces
véhicules sont la ppté de l’administration ou sont utilisées par elle. La loi va jusqu’ à dire qu’en pareil
cas on applique le dt privé, donc copétence du juge judicairie+application du code civil. LA QUESION
PREMEIR7RE EST DE savoir ce que cst un véhicule au sens de la loi de 1957 ? Si on veut synthétiser la
jp un véhiule au sens de la loi de 57 cst otut engin susceptible de se déplacer sur terre, sur l’eau ou
dans les airs par des moyens propres, en plus pas nécesairement motorisée( don cmotricité propore
= deuième condition), ex une charrette , une brouette est un vehicule, un attelage, une bicyclette,
lamotricité propore n es tpas seulemnt due à un moteur. Il faut encore quil ait une vocation noramle
à se déplacer cst don cla troisième condition : (il faut qu il ait pour vocation ppale de se déplacer ce
qui exclu obe=et doté de dispositif destinée à faciliter leur manitention et non leur permettre de se
déplacer sur e longue distances ainsi tondeuse à gazon n est pas véhicule, les contenurs d ordures
ménageères non plus même montée sur roulette : ca a vocation à ailiter la manitention). Eenfin une
dernière ondition : qu il soit dissociable d un ensemble fixe , ce qui exclu par ex ascenseurs et monte
harges, par contre les bacs qui traversent lacs ou fleuves osn tbien des véhicules mme si attachés ) un
cable ou circule ( 17min15)
1ère limite : la loi de 57 nempech epas la victime d agir le cas échéant su rd autres fodnements que la
loi de 57 et eventuellemnt devant le juge adminsitratif. On pense à qlq exemples :: les action sen resp
extra conctractuelle, de même la victime peut préférer agir sur le fondement de la colaboration
occasionnelle si elle est collaboratrice occasionelle au SP ; le défaut d entretien noral du sp si elle est
usager d un ouvrage pubic mal entretnei ex on fait accident mais psq la route était mal entretnee et
ca a fait quiiter le trajectoire du véhicule ;; ou bien encore déffaut d’organisation ou fonctinnement
défectueux du SP : arrêt à propos d un accident subi par un eleve alor qu il prenait le bus scolaire
( 2min) ; aussi y a l hyptèse des dommages de travaux publics lsq les véhicules n ccupent qu une part
dans la réalisation du dommage, autrement di tlsq le dommage est davatnage imputable a un
eopératon de travau publics dans son ensemble et non pas specialement ou a la seule intervention d
un véhicule TC 2001 Commune de Courdimanche. ( 3min 30)
Les arguments pour la solidarite : ce régime est avantageux pour la vicitme qui n a mm pas a
rechercher le repsnsble. Ni a prouver l exstence d une faute dans le cadre de resp pour faute : il suffit
de prouver l eistence et la cause du préjudice, sachant que parfois la causlaité est présumée. Des lors
ces trois éléemnts possibilité de soliciter indemnisation ;
- D un pov moral, ces mecanismes permettent de donner solution satisfaisantete à des
contentieux de masse ( ex contamniation de maladie) et qui interessent souvent un nb
important de personnes. On parle d’ailleurs de risques sérielles. De tels méccasnismes de
slidarité ne sont pas contraires a l esprit de la constitution, car on peut les rattacher a l al 12
prémabule« solidarité des rs devant les charges qui résultent des calamités nationales » donc
l’Etat quoi, ca peut se fare grace à l impot.
Incnvénients :
-CCa engendre n certain relativisme. AuAutrement dit une certaine indifférenciaiton sur la rectidue
des comportements, soit peu importe qu on ait bien u mal agi, on sera traité de la meme façon on
paiera. A cela s ajoute un aspect frustrant pour la vcitme qui est certes indemnisée mais ne oit pas de
responsables désignée pour son préjudice ( la aute à perosnne, prenez votre argent et voilà) .
Le mécanisme de slidarité est parfois u nprocédé bien commode poir des dommages ou on a pas les
lmoyens ou pas l’envie d identifier les auteurs.
- ENNSUITE ils osnt onéreux pour les fonds publics alors mm que l’Etat n est pas
nécessairement respoonsabel du dommage qu il répare, rn cair il pae pour atrui, ce
mecanisme méonnait le ppe sleon lequel l Etat pne doit pas payer une somme qu il ne doit
pas .
Section 2 exemples :
Paragraphe 1 : dommages dûs à ctnes infractions :
Loi 3 janv 1977 qui a crée régime special d indemnisation pour la réparatin de dommages causés par
ctnes infractions. Deux séries de dommages concenées : infraction ayant entrainé ùmort de la
victime ou interuption de travail supérieur a un mois ou attentats aux mœurs et infraciton s sexueles
- Deuxième série : vovl, escroquerie , abus de confiance lsq on n a pas pu les indemniser de
manière suffisante et effective par leur auteur et que la victime se trouve dcp dans une
situation matérielle ou psyholgique grave ;
Deuxième régime : loi de (26 min) de 9 09 1986 sur l indenisation des vicitmes d acvte de
terorisme : soit les vctimes d attentat commis en France soit les frs victmes d attentas à l’étranger.
Paragraphe2 : Les dommages médicaux
Loi dede 31 12 91 : régime spec d idemnisation pour les victimes de sida suite à une transfusion. A l
origine cette indemnis était confiée à un fonds dindemnsisation spécial. Des victiles du sida, mais
une loi du 9 8 2004 l a supprmée et a transféré ses compétences à une organisme : ONIAM.
LA LOI DE FINANCEMENT de la sécu sociale de 2001 a crée un fonds d ndemnisation des victimes de
l’amiante. Donc tous les travaileurs ( 29min
-troisième meécanisme : loi 4 3 2002 qui a prévu un régime de réparation des accidents méducaux.
Dans toutes le shypoyhèse snous dit elle où la repsnsabilité des etablissmeents de anté ne peut pas
etre engagée, soit psq le soncditions d negamgement de la resp ne sont pas remplies, soit psq le
responsable est défaillant ou inexistant, donc ne peut pas réparer . Deuxième condition pur que la
resp ne puisse etre engagée : que les dommages soient anormales par rapport à l’état de sante du
patient( donc pas tous les dommagss médicales qui sont indemnisés). Cette réparation est assurée
par l’ONIAM, dont les décisions peuvven tfaire l’objet de contentieux adminsitratives. A propos de l
oniam qu elle tend à ressmebler à un couteau suisse car diverses lois lui on tocnifé la resp de ctns
fonds d indensiation : les vaccinatiions obligatoires deuis la loi de 2002( l oniam doit indemnisé les
victimes de vaccins bligatoires depuis ette loi) ; de même l oniam indemnise les pjdices résultant de l
acontamnation par la maladie de freusletez jcb suite à l’injection d hormones de croissance loi du 30
12 2002 :; egalement indmnsiaton de la condamnistation par l esida suite à une transfusion
sanguine ; egalement indmnise la contaminatio par les hépatites b et c suite à une transffuson
snagune (loi du 7 12 2008) ; aussi les victimes de mesures sanitaires d urgence notamment les
victimes de l acontamination contre les virus grippales H1N1. DE MËME les dommages causés par
ctns médicaments le médiator (bainfluorex) o encore la dépaquine ( loi du 23 3 2016) , bref on a l
impression que la compétence de l oniam se concentre autour de tous les scandales snaitaires du
siecel). Depuis une li du 5 1 2010 l’Etat indemnsie les victimes des maladies radio induites suite aux
essais nucléaires français. Depuis 2013 cette répraiton est confiée à un comité d indemnisation des
vicitmes des sessais nucléaires bref organisme special. Mais est ce vriament solidarité ? CAR CST L
ETAT QUI A FAIT EXPLOSE CES BOMES ? MAIS LA LOI DIT SOLIDARIT2 ET NON RESPONSABILIT2. L Etat
dit que je ne suis pas respnsable mais j indemnise qd mm ; on se damnde si en l absence d une telle
loi ce ne serait pas la respsabilité de l etat qu on engagerait, bref cst le reflet de l Etat à engager sa
responsabilité.