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ç1 er niveau d eproblème 

: qui est la p publique ocmpétente ? cst celle qui est compétente dans la
matièrefaisant l’objet du contrat, soit toutes les personns publiques sont compétentes pour signer un
truc dans son domaine de compétence.
Le 2 è me problème : quelle autorité est compétente au sein de la personne pbublique compétente ?
uel estb l’organe compétent ? Pour l’Etat normalement la compétence est déconcentrée,
normalement cst le préfet qui est copétent sauf lsq un texte donne compétence au ministre,
notamment pour des contrats qui divent s’exrer au niveau national. Pour les contrats des CT et des
Etab ublics, cst la compétence de l’exécutif après l’autorisation de l’rorgane déliberante ( commune  :
le maire après autorisation du conseil muicipal) : la procédre s tun peu lourde, raison pour laquelle
un certain nombre de délégtoions sont possibles au profit de l’eécutif, soit lorgane déliberant peut
autorisé l executif à signer tout un ensemble de contrats à venir sans autorisaiton préalble de sa
part ;
La compétence est ici d’ordre public, le juge doit la relever d’office en cas de contentieux.

Paragraphe 2 : la procédure


La procédure de passation des contrats admin est libre. La persone publ la mène comme elle l entend
et choisi librement son co contractant. En réalité, les textes encadrent de plus en plus fréquemment
les procédures d epassation des contrats admin, et en particulier pour deuc catgores.
Historiquement, l encadrement de la procédure concerne les contrats de la commande publique ie
ceux par leuqles les pers publics se procurent ctns biens ou services auprès d’opérateurs
éconoliques. Depuis 2018 on a un code le commande publique. Cett commande publique est régie
par des ppes de valeurs constitutionnels, dégagé par e conseil constit DC 26 JUIN 2003  et qui sot
repris das le ccomm ublique article L 003 : il s’agit : 1) liberté d’accès à la command epublque : soit
tute etreprise doit etre en état et potentiellemnt se voir attribuer un cntrat de la commande
publique ;2) l’égalité entre les candidats, 3) transparence des procédures. Soit il faut des procédures
de publicité et d emis en concurrence prélable à la passation des contrats.

Il y a aussi une deuxième : ce sont les conventions d’occupation du domaine public : le CE considérait
tdntnllmnt que leur passation n’était soumise à aucun ppe général qui imposerait la publicité et la
mise en concurrence. Ce ass 2010 ASS PARIS JeanBouin à propos de l’attriution du stade de mm nom
de rugby ( 10min) . Mais cst une solution (absece de regle de publicitté et de mise en concurrenceà) a
été condamnée par la cour de justice, du moins lsq la convention docuupation du domaine pub a été
passée avec une entreprise et à des fins d exmploitation économique : CJUE 14 JUILLET 2016 promo
impresa. Suite à cla une ordonnance de avril2017 a instauré ppour les conventions de occup du
domaine pub passée avec entreprise et a fins écnomiques institué une prcédure de publicié d emise
en concurrence, mais peu contraignante car déterminée librement par la pers publique sous réserve
du respect de cette publicité de mise en concurrence.

Essentiellement néanmoins cette année on va s’intéresser aux contrats de la commande publique.


Les règles ne sont pas les mêmes selon les catégories de contarat de la commande publique

I) Identiication des catégories des contraats d el acommande publique


Le deux gdes catégories : marchés publics et les concssions : qui comportent elle-même des sous
cat »gories. DISTINCTION DES MAARCH2S PUBLICS ET DES CONCESSIONS ; Il existe trois critères :
1) l’objet du contrat : la cocnession en effet transfert à son titulaire la gestion même d’un service ou
d’un ouvrage. Là où l’objet d un marché publiue est se procurer des travaux, edes fouritures ou des
services. Ce critère doit etre relativisé car un amarhé public peut fort bien memporter transfert de
gestion d’un service ou d’u oivrage. Le Ce dans SECT 2007 commune d aix en provence : le ce
admets qu un marché public d eservice puisse porter sur la gestion d un service public. Si le service
en cause est un serv publlic, la pers public peut procéder à la dévolutin de service au moyen d un
marché public de service.. De même pour les marchées de partenariat, l rdonannce de 2015 préoit
que ce marché puisse confier a son partenaire la gestion d’un aéquipement ou d’un service public,
sot le critère d el’objet d u contrat n est apas un critère décisif.

2) Le critère du mode de rémunératin : en effet le titulaire d’un marché public est rémunéré par un
prix, versé par la personne publique et calculé en fonction de la valeur de la prestation. Dans la
concession par contre, la rémunération est assurée au moins pour une part par le droit d’exploiter le
service ou l’ouvrage. I.e. par ex le dt pour le titulaire du contrat de fair payer une rdevance aux
usagers de l’ouvrage ou du service ( dt d’exploitation donc). Ce dt d exploittion peut etre complétée
par u prix. Quelle proportion des deux modes de rémunération ?? Le CE semblat considéré que dès
lors que la réunération du co contractant etait assuré par au moins 33 pour cent de l exploiation du
servie ou d el ouvrage, il y a bien cncessions.
3) Le critère du risque financier d’expoiation : apparu tardivemnt, d’abord en JP fin 2000 et ajd par le
code de comm publique. Dans une concessionn, le risque financier est ransféré au concessionaire,
soit si l’exlploitaotion n est pas rentable, scst lui qui supporte les pertes. Alo que dans un marché
public, ce risque financier reste à la charge de la personn eublique. Si on prend le cas de l’arret
commune aix en provence : une commune confie par marché public la gestion d un fstival, si jmais
pas bon cst l pers publi uqui assuera les risques.
A) Au sein de marchés publics on distingue ceux d’ordiaire et ceu x de partenariat.
Les March2 spubl oridnaires ne confient à leur co contratant qu une seule mision soit travaux soit
serivecs, soit fournitures ou à l a limite deux de ses missions en combinaison. S’agissant de l’autre il
confie à leur titualaire un ensemble de mission ( mission globale) qui peut se décopmposer et qui peu
tinclure la conception , le ifncnamenet, la construcition, l’’amnégaement, l’entretien, la maintenance,
la gestion, l’exploitation, la transformtion, l réovation, le dm=émantèlement, ou enfin la destruction
d’un équipement, ou d’ouvrage, voire la gestion d un SP auquel ct équipement ou uvrage est affecté.
Le titulaire d un contrat de partenariat peut etre chargé d un ouvage, d un éuipement , du début jsq ‘
à la fin. Tdnllmnt le dt public frs interdisait de tels marché public comlexe pour des raisons qui
tenaien tau fait qu en regroupant les taches, seul les tres gdes entreprisesse porteraient volontaires
et cela poerterai atteinte à l’aegalité. Cst pour ça que l’ ordonnance d eujuillet 2004 a institué en
marge des archés pubkics ces marchés de partenariat que lrdonn de 2015 a rappatrié dans catégorie
de marché public : marché de partenariat. LEUR R2GIME est diférent de ceux publics oridnaires : la
rémunération : ils recoivent le titutlaires, des paiements différés tout au lng d l exécution du contat,
qui pvnt etre fort long ; en continu donc.
S’agissant des concessions, pas trop de diff de régime : mais distinguer concessions de services, et
concessions de travaux qui porte sur la réalisation de travaux et gestion de l’ouvrage qui en résulte. A
l’intérieur des deux cat on peut encore subdiviser. Au sein des concessons de serive, on a celles de
délégation de SP et celles portant sur les activités non constitutves de services publiques. Quand aux
concessions de travaux , soit concessions de travaux publics ou concessions de travaux non publics.
Parfois une concession peut avoir pls objets, par ex peut etre à la fois de travaux et de services  : ex :
concessions d autoroute : la construire l’exploiter puis de la gérer.
II) Règles de passation des contrats de la commande puublique
Distinguer marchés publics et concessions, car règle pas la même. Dans les deux cas, il faut respecter
ppe d acces, d egalité et de transparnce.
A) Règles de passation des marchés publics
Les règles sont relativeemnt rigoureuses ici. A cela, deux raisons :
1)l’influence du dt de l’UE qui s interesse deuis 30 ans au dt des marchés publics et notamment à la
concurrence dedans. On transpose périodiquement des directives européennes.
2)Considérations internes delutte contre le favoritisme et la corruption. La fin des ans 80-90 avec
scandae politico financiers liées aux corruption dans les marchés publics : les ct accordés
relativemetn de marchés publics aux entreprises qui financaient leur campagne ( aussi affaire où
président conseil gnéral avait accordé marché public a entrepris emoyennant la réalisation et
construction gratuite d’une piscine chez lui).
Mais ces règles strictes entraînent insatbilité de la matière. Y a eu une époque où ce dt changeat sans
arrêt. Le code des marhés publics en place en 75 a changé finans 90 pour tenir compte des premières
directives européennes, qui aura tenu jsq en 2001, puis qui a duré 3 ans, remplacé en 2004 donc et
ce troisième code a dure jsq en 2006 ( là on a déjà eu 4 codes des marché spublics). QD au code de
2006, ça a tenu longtemps mais avec révisions régulières et abrogé par une rdonnance du 23 7 2015,
mais 9 ans ct dja bien hihi, et intégrée en 208 dans le nouvea code de la omande publique. Onc cst
une matière insatble et technique. Le ppe : procédure de osumission à de s mesures de publicité et
de mise en concurrence rigiureuse. Seule excpeion : hypothèse où la pers ublique attribue le marché
à une quasi régie ( le in-house) ie. Lsq le titulaire du marché est une structure sur laqeuelle la
personne publique exxerce un contr^^ole analogue au contrôle qu’elle exerce sur son propore
service et qui accompli l essentiel de ses missions pour le compte de la perosonne publiqe en cause.
C’est une structure qui ne trvaille que pour la pers publique et entièrement contrôlée par elle . En
pareil cas donc pas de publicité ni de mise en concurrence car on considère que la perspubli tracte
avec elle mêe.
Das les autre cas on a les procédures epub et mise en concurrence avec la procédure de droit
commun qu’on appelle : l’appel d’offre. En théorie y a encadrement fort. L’appel d offre s ouvre par
un avis de marché dont le contenu est étroitement encadré psq il doit dfinir les critères de sélection
des offres,étant précisé que ces critères dvnt etre en rapport avec l’objet du marché . S il y a pls
critères, il doit également précier leur hiérarchisation et leur pondération, (quelle note à chacu d
entre eux et quel coef par ex) donc les entreprises candidates connaissent les modalités d’avluation.
Les règles depublication de l’avis de marché sont précisément fixées aussi, où, durée, etc… Ensuite
on l’étape 2 : sélectin du titulaire de marché : pour l’Etat et ses établissements publics ici cst le
signataire du marché ( autorité compétente ) qui va choisir le titulaire de marché. Pour les CT et étap
publ , la séléction se fait par un organe à part : la commission d’appel d’offre ( méfiance stricte
envers l’exécutif) ( ça change que dans la commission y a aussi des membres de l’opposition ). Mais
en tte état de cause, que ce soit le signataire qui choisisse ou une commission d’appel d’offre
collégiale, l’autorité compétente n a pas bcp de marg d appréciation car est tenu de donner le
contrat au candidat qui respecte au mieux les critères de sélection prédéfinis, « sans possibilité de
négociation », donc au mieux disant. PAR EXCEPTION ? IL Y A DES PROC2DURES D2ROGATOIRES
POUR CTNS MARCH2S/ IL Y A DES procédures allégées pour les marchés de faibles montants. Il existe
pour chacune des trois catégries de marché publics, des seuils et la procédure d’appel d offre
estobligatire au dessus des seuils, et facultative en dessous. Mais adapté ici signifie toujours
respecter oblgation de publicité et mise en concurrence sauf pour les très petits marchés, et puis le
ppe d attributin au mieux disant s applique toujour toujours.
L’autre procédure spéciale cst celle négociée en raison d elobjet spécifiue de ctns amrchés ex marché
d epartenariat vu leur objet complexe.
B) Les règles de passation des concessions
Ici on a u encadreent plus osuple, et pus historiqueent , il est largement d’origine interne  : le dt
européen ne sy est vrm intéressé que dans les années 2010, dcp par ex on n a ici en dernière
réforme l’r=ordonnance de janvier 2016, qui constitue une transposition du dt de l’UE. Ce qu’il y
avait avant, ct essentiellement des règles d’origine nationale. Les txt antérieures voulaient éviter
u favoritisme exccessif. La loi de janv 1993 dite loi sappin qui était ue loi de lutte contre les
corruptions ( à l’époque on avait bcp de corruptions dans lepolitique), mais sans pour autant
arriver jsq à un strict reglement comme dans les marchés publiques, pq ? car on considère que la
concession suppose une part d’intuitue personae (pris een considératin de la personne.). En effet
ne pas néliger que dans une concession la pers publique transfère une de ses compétences à l’un
de ses contractans : elle lui transfere la gestion d un SP QU elle aurait vocatin à gérer elle-même,
ou l exploittion d un ouvrage qu elle aurait vocation à gérer ellle mm : donc ue telle mission
suppose relton de confiance entre al perspublique et son co contractant, et cete relation de
confiance ne peut se résumer à un des critères hiérarchisées et pondérées : humainement on
peut ressentir qu y a des gens qu on peut trouver nice du ppov de leurx experienes et
compétences, mais humainemen ton ne les sent pas, «  on a pas besoin d etre très copain avec le
concessionaire qui truc notre caisse, mais on voudrait qd mm apprendre un peu plus sur celui q
=à qui on liue la maison ». Donc ici concrètement, on a publicité avec avis publlié qui permet aux
entreprise sinteressees de déposer leur candidature. Puis mise en concurrence. Pour autant, ici cst
plus léger que dans les marchés publics. En effet, une négociation s engage librement avec les
entreprises qui ont déposées leur offre et surtotu la personne publilque chisit librement le
titulaire de la concession au vu de la négociation. Néanmoins, pour les concessions des CT, la
confiance ne règne pas ( on a des commissions des concessions, car les ct ne voulaient pas laisser
à lexecutif le libre choix des concessionnaires).

Paragraphe 3 : LA FORME


Ill n y pas d obliations générales d eforme qu seraient valable spour tous les cntrats
administratifs, en particulier il n y a pas d obligations qu ils présentent un caractère écrit. Ainsi on
peut avoir des contrats purement verbaux ex : arrêt époux berthin. Cela dit ajdhui, l écrit est de
plus en plus souvent exigé directement ou indirectement. Directement, on a des textes qui
imposent l’écrt ( pour tous les marchés publics déposant un ctn montant, le ct doit etre écrit). De
même les cocnessions dvnt ajdhui etre écrites, de même pour les conventions d’occupation du
domaine public. Pour l exigence indirect : les textes dvpnt de plu sen plus des exigences relatives
au contenu du contrat( qui doit etre précis) et qui pour des raisons pratiques de preuve
encouragent le recours à l’écrit. ( ex : iamaginons un txt qu dit que le contrat dt mentionner prix,
délai d execution. Alors comment le prouver si on n a aucun écrit ?? Pour les marchés publics
aussi mm en dessous du seuil, pour des raisons de preuve, on recours svnt à l’écrit).

Section 2 : le contenu du contrat


Paragraphe 1 :: le contenu positif
Ici s’applique aux pers publiques les mm ppes de liberté contractuelle qui s’appliquent aux pers
privés. En dt public comme privé, les parties son tlibres de placer dans les contrats les
stipulations de leurs choix dès lors qu il y a accord de volontés, et sous réserve aussi de clauses
prohibées. Néanmoins, d’un pov formel, les contrats pvnt ne pas comprtete rttes les stipulations
desuqelles les parties sont d’accord. C’est ainsi qu il peut renvoyer à des docuets annexes
notamment à un cahier des charges : contrat type adopté par voie reglementaire et dontc à l
adisposition des pers publiques qui veulent y recourir, mais cst pa sobligatoire les parties pvnt y
déroger mais à leur risques et périls, ils sotn résponsables psnnlmnt t du pov pénal des csquences
dommageables des clauses différentes de celles présentes dans les cahiers des charges. Dans le
mm ordre d’idée le contrat peut constituer un simple acte condition i.e. sa signatre, sa passation
se borne à déclencher l’application d’un statut réglementaire et légal. (ex  : cas des recrutements
des agents publics. Ne nous leurrons pas si on est recruté comme agent public contractuel on ne
négocie rien, ni slaire ni congé, y a un statut légal auquel on est soumis) ( On peut aussi citer
contrat passé entre SP et ses usagers où gnlmnt y a pas e négciations possibles. Ex  : qd l etat
gérait l’abonnement téléphonique : l abnné acceptait les conditions tarifaires fixées par la loi et
les reglements). Inversement, figure parfois dans le contrt des stipuations qui ne résultent pas de
la volonté bilatérale des parties, autrement dit, elles n’ont pas le choix de les inséerer ou non).
Cst ainsi que dans ctns contrats ( contrat de concessions et conventions d occupation domaine
public) figurent à côté des clauses contractuelles des clauses dites réglementaires : ce sont des
clauses fixant le règlement du service, son organisation, foncitonnement, qui s’appliquerait de la
mm facon si les services n’étaient pas concédées ou déléguées. Mm CHOS EPOUR CONV DE
DOMAINE PUBL. Pendant très lgntps, ces clauses reglementaires n etaien tpas tres bie défniies,
mais avec CE,2018, Communauté d’agglomération Val d’Europe , cst chose faite , qui définit
désomrais comme clause reglementaire les clauses qui par elle-même ont pour objet l
organisatin et le fonctinnement du service. L’arrêt nous donne des ex de clauses qui fixent l objet
de la concession, le contenu de la prestation, les conditions dutilisation des ouvrages ou encore
les tarifs dûs par les usagers. L’intérêt de distinguer les clauses contractuelles des cclauses
reglementaires : les clauses regleemntaires dérogent aux ppes d’efet relatif du contrat : elles
sont invocables par les tiers notamment les usagers du cservice qui pvt s en prévaloir et elles
sont contestables par eux comme un acte reglementaire, autrement dit ce sont des actes
reglementaires.

A partir de 15h : Paragraphe 2 : Contenu prohibés


I ) Les objets défendus
Il y a de shypothèses où le recours au procédé contractuel est ntnerdit, sit il est obligatoire de
recourir à l’AAU. Et bien on peut distinguer toris hypothèses d interdiciton :
1) Il nest pas possible de transfére à autrui par contrat un pouvoir de décision. On l’a vu au S1 ,
un acte exist e pou ça, la délégation de pouoir qui est un AAU. Donc ca cst premièr
einterdiciton
2) Impossibilité de s’engager par contrat sur un AAU à venir : s’engage par contrat à adopte un
AAU ou modifier une réglementation, on ne peut pas de manière contractuelle s engage sur
un AAU à venir.
3) Il est interdit de substituer le contrat à l’acte unilatéral lsq elui ci est prévu par u texte. Lsq un
txt dit tel ou tel mesure est adopté par l’arrêté municipal, alors la commune ne peut pas
passer tel contrat à la place de l’arrêté (2min :30)
On ne peut pas en vertu de ces trois, déléguer le pouvoir de police administrative.
Comment se fait-il qu on ne puisse recourir au contrat dans ces trois ?
Cst une qusetion d ecmpétence, car recourir au contrat conduit à transférer pour partie le pouvoir de
décision au co contractant alors que celui-ci devait etre réservé seul à l’adinistration( autorité
administrative). C’est le ppe d’indisponiilité des compétences. Le détenteur de la comp ne peut en
faire ce qu il veut comme il l esouhaite. Il ne faut pas néanmoins sur-interpéreter cette interdicition.
E sur quoi il est interdit de recourir au contrat cst le pouvoir de décision même. En revanche les
modalités pratiques d’exercice du pouv de décision peuvent donner lieu à contrat. Ex :1) il n’est pas
possible de transférer par contrat le pouv de décision à un tiers, en revanche des convnetion spvnt
regler les modalités de transfert de compétences
2) on ne peut pas transférer le pouv de décision en matière de police par contrat, en revanche de
taches matérielles , connexes au maintien de l’ordrepvnt donne rlieu a un contrat tant que pas
etroitemen tliées au maintien de l’ordre, domaine public. Ex : collecte de déchet u serive pmpes
funebres peuvent donne rlieu a cnontrat, mais ne peut etre transférer le poouvoir de réglementer
par ex le dépôt des déchets (7min).

I) Clauses défendues.
Le ppe de légalité s appliquent aux contrats qui sont inséerés dans la légalité admin,( hiérarchie des
normes au mm niveau que les AAU. )Un contrat ne peut comporter de clauses illégales contraires à
une nrme supérieure dans la hiérarchie des normes. Cela dit il faut dire qu en matiere contractuelle,
le ppe de légalité s applique d manière plus souple qu’en matière de AAU. Il ya des regles ou ppes
pourtan fixées à un niv supérieur dans la lhierarchie normalenne auxquelles les parties pvnt deroger
au nom de la liberté contractuelle des lors que les deux parties sont d accord. Ex  : ppe de non
retroactivité : y en a pas en atiere d eontrat admin, mais si les deux parties sont da ccord qu ils vlnt
rétroagir pas de pbm. Autrement dit, pour chaque norme de la légalité , il faut se demander si cst
impératif ou si les parties pvnt y déroger. On retrouve les mm distinctios qu en dt privé ie. Les règles
dites d’ordre public et celles supplétives de volonté ( qui s’appliquent en l’absence de vté des
parties).

Section 3 : L’exécution du contrat admin


Elle se caratérise par son caractère inégalitaire. Le contrat admin attribue à l’amdinistration des
prérogtives supérieurs à celles de son co-contractant. Il y a une inégalité donc au profit de
l’adinistration, mais ça ne signifie pas que le co cotractant soit désarmé et soumis à la volonté
arbitraire de la personne publique, soit quoi il n’aurait aucun intérêt à contracter avc l’administrtion
si il n’y avait aucun intérêts. IL y a aussi les règles juridiques et la réalité pratique. Dans un cntrat entr
une petite commune et un gros groupe, laquelle des parties est la plus puissante ?? hihi .

Paragraphe 1 : Les prérogatives de l’administration


Sont justifiées par la mission d’intérêt général de l’administration. Csr ainsi que l’admin tient des
pouvoirs exhorbitants du dt commun :
1) Pouvoir de direction et de ontrôle :
L’administration a le pouvir de diriger et de contrôler l’exéction du contra par le co-
contractant : elle peut diligenter des inspections, elle peut préciser uunilatéralement ctnes
modalités d’exécution du contrat, elle peut donner des ordres à son co contractant. Le co
contractant ne peut se soustraire à ses ordres sans commettre une faute contractuelle.
Il est certains que les clauses contractuelles prévoyant ces pouvoirs sont légales, mais il n’est
pas certain que ces pouvoirs s’appliquent de plein droit même en l’absence de clauses les
prévouant.
2) Pouvoir de sanction : l’admini a le pouvoir de sanctionner unilatérlement son co contracttn
en cas d emanquement de celui-ci à ses obligations contractuelles : elle n’a pas l’obligation
de recourir au juge, cntrarement à un contrat de dt privé. Ce ouovoir est d autant plus
exhorbtant psq n a pas de réciproque, ie n est pas inversmeent attrubué au co contratant
privé, cce dernier en effet doit saisir le juge pour une éventuelle contestation. Ce pouvoir est
une règle générale applicable aux Cadimin mm lsq aucune clause les prévoient CE 31 Mai
1907 Deplanque … On peut aussi dire que sûrement cst d ordre public, si par une clause l
admin renonce àà son pouvoir de sanction, cette lause serait illégale. L’admin peut
prononcer :
a) sanctions coercitives : contraindre le co contractant à s’exécuter. On n’a pas perdu espoir
encore que le co conractant puisse s’exéuter. Ex en cas de défaillances du co-contractant  ,
l’admin peut recourir à un autre entrepreneur aux frais et risques du premier.
b) Les sanctions pécuniaires : pénalités financières pour retard ou malfaçon.
c) La sanction résolutoire : résiliation unilatérale du contra pour faute. Longtemps ,les
contrats de concession ont échappé à ce pouvoir, la résiliation du contrat appellée
déchéance pour faute ne peouvaiat etre prononcée p=que par le juge Ce cpgne
départemmentale des eaux 1905 : on justifiait ceci par le fait que la charge des
investissements pesant sur le co contractant dans un contrat de concession, il pouvait etre
injuste mm par ssa faute de rompre unilatéralement le contrat alors qu il n a pas eu le temps
d amortir ses investissements. ais pourtant, les concessions ont fini par revenir dans le dt
commun, ce qu’=e prévoit le code de la commande dpublique de 2018. Qlq remarques : sur
la forme il faut que ce soit précéder de mise en demeure, donner au co contractant une
dernière chance de s’exécuter. Par ailleurs, elles dooivent donner lieu au respect des droits
de la défense. Sur le fond : la sanction doit être proportionnée à la gravité de la faute ( le juge
peut annuler une sanction disproportionnée).

3) Les pouvoirs de modification et de résilliation unilatérale : L’administration a le ppouvoir de


résilier unilatéralement le contrat ou de le modifier unilatéralement et ce même sans faute
du co-contractant. Donc les crats admin derogent à l’art 1103 du cciv qui disent les
conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites : le contrat qu’il
peut changer n est pas vraiment une loi donc.

A) Le pouvoir de résiliation unilatérale : Cst un ppe générale des ctrats admin CE ASS 2 mai 1958
distillerie de Magnac- Laval. Ca singnifie qu en l absence de clauses le prévoyant ( les clauses qui les
prévoient sont exhorbitantaes du dt commun) ce pouvoir s’applique, et les clauses par lesquelles l
admin y renoncent sont illégales : CE sect 6 mai 1985 associatin eurolate. Cela dit : ce pouvoir n’est
pas inconditionné et ce pour deux raisons :
- dans son ppe mm , le ppe de résiliation unilatérale dt etre justifié par un motif de fait ou de droit
d’intérets géénrale ( ex : évolution de la loi, volonté d el administation de réorganiser le serv public
ce qui rend les contrats existans inutiles) et le juge contrôle la petinence et l’actualité d el’intérêt
générale ex CE ASS 2 fev 1987 sté TV6 qd la loi a changé le mode d’emission des tv privés :
auparavant les tv privés devaient signer contrat de concess privées avec l ETAT et puis a changé ar un
syst d autorisation unilatérale. Le Ce dit qu effectivement le changeent de législation justifier la
résilitaion mais le juge censure car la loi n’était pas encore entrée en vigueur, donc ici l’actualité
faisait défaut).
-En ppe la résiliation unilatérale sans faute suppose l’indemnisation intégrale du co contractant.
Cependant, cette règle n’est pas d’ordre public, le contrat peut y déroger et le co contractant peut
renoncer totalement ou partiellement à son droit d etre indemnisé, sans autre limite que de tenir
compte du ppe selon lequel l administrationn ne peut pas s engager à une spayer une somme qu elle
ne doit pas ou de renoncer à percevoir une smme qui lui est du CE 4mai 2011 CCI de Nîmes,Uzès,Le
Vigan : concrètement ça veut dire que le montant d’indemnité peut être négocié à la baisse et jamais
à la hausse.Puis lsq le contrat est conclu entre deux personnes publiques il n’est pas possible de
négocier ce montant.

B° Le pouvoir d emodification unilatérale


Ca a mis plus lgntmps à être admis : les arrêts de ppe n’étaient pas tres parlant : CE, 1902,
Compagnie nouvelle du gaz de Deville-lès-Rouen : où on admettait qu’une commune puisse impoer
à son co contractant de remplacer le chauffage au gaz au profit du chauffage électrique. LE PBM CST
QUE LE CONTRAT PR2VOYAIT LUI MM LA modification unilatérale. L’autre arrêt ! CE, 21 mars 1910,
Compagnie générale française des tramways mais là encore le pouvoir de odif unilatérale est
parasitée par le fait qu un txt reglementaire ou législatif le prévoyait. Dcp après ces deux arrets on ne
savait tjrs pas si ce pouvoir existait en l’absence de txt legisl ou reglmentaires ou si aucunes clauses le
prévoaient. Pour cela il a fallu attendre CE, 2 février 1983, Union des transports publics urbains et
régionaux: consacre ceci comme un ppe génral applicable aux contrats adinistratifs mm sans clause
le prévoyant, ce qui supose aussi que l admin ne peut y renoncer contractuellement. Ca peut paraire
curieux psq le pouv de résiliaiton unilat était admise deuis lgemps or qui peut le plu speu le moins,
donc on ne voyat pas qu il puisse y avoir autan d obstacle à ce ue ladmin puisse commodément
modifier au lieu de le résilier. Cette logique n est pas forcément juste et à bien des égards la modif
unilatérale est plus contraignant pour le co contractant que la résiliation. On retrouve dans ce pouv
les mm conditions que pour la résliation unilatérale : unmotif d iteret géné et une indenisation en
ppe intégral du co contractant sous réserve d une négociatin contractuelle dans le respect du ppe
que la dmi ne peut renoncer à une somme qui lui est due ni payer une somme qu il n a aps à payer ,
mais on trouve aussi des condition ssupplémentaires : ex : il y a deux types de clauses ne pouvant fair
el’objet d’une modification unilatérale :
1) les clauses essentielles du contrat : celles qui définissent le contrat, son objet et son but .
Effectivemetn si cct le cas le contrat serait dénaturé en pratique la prétendue modif aboutirait à
un nouveau contrat. De même
2) les clause =s financières qui prévoient la rémuération du co contractnt ne peuvent etre
modifiées : ) A leur propos elle pvnt etre modifies en fonction des modification des taches ( si on
ajoute tache bien sur on ajoute thune et inversement) , l interdicitn cst modifciatin de la thune
sans modif des taches du co contractant.

Paragraphe 2 : Les droits du co contractant


A) L’exception d’inexécution
C’est la possiblité pour le co contractant de reefuser de continuer à exécuter le contrat voire à y
mettre fin en cas de faute de l’administration. Ce pouvoir jsq en 2014 a été refusé au co contractant
privé au nom de la continuité du SP. Le CE a en 2014 ouvert la porte à celle-ci CE, 8 octobre 2014,
Société Grenke location : ça ouvre timidement la voie d e l’exeption d inexécution et de façon très
encadrée. C’est admis que le co contract puisse mettre fin au contrat en cas de faute de l’admin sauf
dans les contrats relatifs à l’exécution même du service public, donc c possible qd cst pas relatif à
l’exeution d un sp et même pour ceci une stipulation dans le contrat peut y déroger donc en le
rendant pas possible, et même lsq aucune stipulation ne l’interdit , la pers publique peut toujours s’y
oposer pour un motif d’intérêt général, évidemment sous contrôle du juge.
B) Les droits financiers
Le cocontractant a le droit à l’équilibre financier du contrat. Selon les cas, cela peut emporter
indemnisatin totale ou partielle.
1) Le dt à indemnisation totale : trois hypothèses ici :
-la théorie du fait du prince : c’est la principale hypothèse. Protège le co cotractant contre toute
action de son co contractatn public qui modifie légalement le contrat d emanière directe ou indiecte.
En effet, il convient de préciser que cette théorie ne s’applique que lorsque la modificaation est le
fait du co contractant public lui-même. Qd cst une autre pers publique qui intervient dans la modif
du contrat pour le modfier cst une autre théorie qui joue : l’imprévision CE 1971 cgnie du chemin de
fer de bayonne à biarritz : Y avait une cgnie locale de train liée par contrat avecc le département des
aka basses pyrénées, voilà que pdt la SGM o l a obligé à ransporter gratos les soldats allemands, donc
la gnie a mis en œuvre le fait du prince mais le juge a dit non car cst une autre perso publique en l
occurrence l ETAT qui a modifié le truc.
En revanche là où y a une incertitude mais de faible prttée pratique, cst de savoir si le fait du prince
recouvre tte intervention du co contractant public, qu il modifie diretcement le contrat(changer
diretcemen tune clause) ou indirectement(r adopter un AAU) ; EN pareille hypothèse, ça veut dire
que le pouvoir de modificatio unilatérale n est qu une des variétés du fait du prince. D4AUTRES
Auteurs retiennent une autre cocneption plus restrictive comme quoi l’intervention du prince serait
la seule intervention indriecte de la pers publique ( à un autre titre que celui de partie au contrat),
par ex en tatn qu autorté d epolice admin : une commue passe contrat avec entprise d ecollecte des
dechets, et voilà que le maire en tant qu autorté de police admi adopte une reglementation d
hygiène nvlle qui affecte les conditions d execution du contrat, si on retient la conception stricte, la
modification unilatérale du contrat ( changer une clauseà) et le fait du prince ( on adopte une
emesure unilatérale qui modifie temres du contrat)de l’autre coté sont deux théories distinctes .
Mais cette controverse n a aucune portée pratique car dans l’un ou l’autre cas ca revient à une
indmenisation intégrale du co contractant ( là cst davoir le sexe de l’ange).

2) Les sujétions imprévues


Cst spécifique aux contrats de tavaux. On peut résumer comme ci suit : lsq le titualire d un tel
contrt rencontre dans l euecution de celui-ci de circonstaces iprévues et imprévisibles qui
rendent plu sonéreuse l executio des tavvaux il a le dt d etre integralement indemnisé ex :
entrprise chargé de creuser sol, les sondages révélant uniquement un truc or de manière
imprévu on a des roches qu il faut faire sauter par explosifs, ça coute plus cher donc
indemnisation hihi. Idem qd une entreprsie est chargée de creuser tunnel et les sondages
révèlent sols stables puis d un coup on découvre nappes instables, le co contractant a le dt d etre
indemnisé du surcoût.
3) Les prestations supplémentaires : Cst propore encore aux contrats de travaux et concernent l
hypthese ou le conctractant estamené a effectuer des trvaux non prévues dans le contrat ou
prestations supplémentaires. Alors on écarte tt de suite l hypothese ou ses travaux lui sot
ordonnées par l admiistraton ou ce sera modif unilatérale du contrat et indemnisation totale
donc. On vise uniquement l hypothese u l entrepreneur accompli les travaux de sa
proppore initiative, doit elle payer ? IL S agit de ménager deux équilibres contradictoires :1
encourager l esprit d initiative de l’entrepreneur et 2 – ne pas obliger l administration à
payer les travaux qu elle n a pas souahaitée( une entreprise est chargé de recouvrir ardoise
du toit d un bat public, il le fait sans changer la charpent pourrie et que tt s effondre bientôt,
bien evidemment la ctvité publique peut etre mécontente mais le co contract dira vous m
avez pas dit… et en mm temps on ne peut demander a l admi de payer systeamiquement
trvaaux qu elle a pas dmandé) La solution : qd les travaux supplémentaires sont
indispensables, ils sont indemnisés intégralementàà l’entrepreneur, lsq sont simplement
utiles, ils ne sont indemnisés que si l’amdinistraiton y a consentis, son silence valant
acceptation

B° Les conséquences de la survenance d ecirconstances imprévues


S’applique soit :
1) L’imprévision :
Théorie reconnu par CE 1916 arret du gaz de bordeaux et est lgntmps restée le propore des ctrats
admin car le juge civil refusait souven l’imprévision. Cette théorie consiste en ce que
l’administaration doive aider financièrement son co contractant lsq survient un bouleversement de
l’équilibre financier du contrat dû à un évènement imprévisible et extérieur au parti, qlq soit cet
évènement : catastroge cimatique, accident, hausse prix, intervention d’une pers publique autre que
le co contractant ( bayonne à biarritz cf). En pareille hypthèse d equilibre cnontrat buleversé par
evenement imprevisible et irresistible, une aide doit etre veréssée par la pers ubique a sn co
contractant et cette indemnité ne correspond pas à un mécanisme de repsonsabilité, le contactant
public n y est pour rien, la cause lui totu aussi étrangère. C(est simplement un mécanisme de
solidarité : la partie la plus forte aide celle la plus faible à poursuivre ses prestations contractuelles, il
s’agit ici de favoriser la cocntinuité du SP, en ne faisant pas jouer la théorie de la force majeure. C’est
un peu l’idée que l’évenmenet imprévisible et extérieur n est pas irresistible si l’adiinistration aide
financièrement son co contractant, ca repose sur l’idée que l evenement imprévisible et exterieur n
est pas ppour autant irresistible de slors que l admi aide financ son cocontra t ca permet de faire
continuer le contrat. Ca pemet d ejustifier deux élemnts du régime d el’imprévisio :
1) l’indemnté n est due que si le co contactant continue à exécuter le contrat jusqu’à son
terme. S’il cesse unilatéralement d’exécuter le contrat( ses activités), il perd le bénefice de
l’indemnité et s’expose a des sancitons Ce sect 1982 Société propétrole : une entrperise sous
pretexte que les prix du pétrole ont augmenté a cessé ses livraisons et don cperd béndfcfice
d indemnisation ; mais s il est allé au terme du contrat, il peut solliciter à titre retrospectif
mm s il a refusé renouvellemnt du contrat ce sect 1976 département deq hautes pyrenes à
propos d une sté ferroviere qui a expploité la ligne jusqu a l a fin du contrat mm si ct pas
rentable et l ejuge a dit cst pas que le contrat a pris fin que le co contract perd le benefice del
indemnité d imprévision.
2) Deuxieme élément, elle n est que partiele l indemnité , elle ne correspond jamais à la
totalité du surcout, elle est partielle car une partie de l’aléa contractuelle est laissée à la
charge du co contractant, car cst pas responsabilité mais soldartié et pas raison que latotalité
de l’aléa contract soit lassée à la charge totale de ladmonitation, mais néanmoins la part d
aléa contractuelle laissée au contractant est résiduelle vers 5 -8 pour cent.

Néanmoins
1) La force majeure administrative
Elle concerne les memes faits que l’imprévision, mais lorsque ces évènements présentent un
caractère de perennité tel que le bouleversemnt d el equilibre financier du contrat apparait définitif
ou dépassant le délai raissonable ex CE, 14 juin 2000, Commune de Staffelfelden à propos de
pollution souorce d eau potbal pour durée de 200 ans ; en effet l entreprise peut dire que la source
est définitivement impropre à la consommation. L’idée cst que l’imprévision a vocation a être
temporaire, lsq devient définitive plus de l’intérêt de personne de continuer le contrat, que ce soit du
cocontract ou de l’admin qui pourrait trouver soluc moins onéreuse. Imprévisibilité, extéeriorité,
irrestitibilité on l’a du fait que le désequilibre est permanent, définitif est l’évenement, et donc il
appartient aux parties dde se emettre d accord pour mettre fin au contrat, et si elles n y parviennent
pas n improte laquelle peut saisir le juge pour qu il prononce l arésiliation du contrat Ce 9 12 1932
arret d eppe cgnie des tramways de cherbourg, soit la conséquence de cette théorie, cst que le
contrat prendra fin soit par accord des parties soit ar décisions du juge, mais cela ne privera pas le
coc ocntactant privé de l indemnité d imprévision tatn qu il aura exécuter le contrat jsq a son terme ;
le fait pour le co contractant privé de saisir le juge pendant qu il prononce la résilitaiton du contrat n
est pas un motif pour le priver d el’indemnité d mprévision, en effet il ne fait qu utiliser une voie que
le droit lui ouvre.

Section IV : Le contentieux des contrats administratifs


C’st à la fois un contentieux important notamment économiquement, c’est aussi un contentieux
devenu extrêmement compliqué, complexe. Les litiges relatifs aux CA doivent être portés devant le
JA et ils sont portés devant ce juge au moyen d’un certain nombre de recours contentieux. Ce régime
est compliqué parce qu’il est dominé par la recherche d’un équilibre entre des préoccupations
contradictoires. D’un côté il y a le respect du principe de légalité qui vaut pour les AAU mais
également pour les CA et autre considération : il faut assurer une protection suffisante des droits des
tiers. De l’autre coté préoccupation d’assurer stabilité des CA, préoccupation de sécurité juridique.
Parce que ces contrats sont liés à des missions d’intérêt général, l’autre préoccupation c’st la
protection de l’intérêt général au service duquel le C se trouve.L’équilibre de sécurité de l’égalité
s’est modifié au profit de la sécurité juridique parce que le JA a connu un développement de ses
pouvoirs considérables et ceci est vrai en matière contractuelle et cette mutation est aussi liée à un
facteur important : l’influence du droit à l’UE qui s’intéresse à la question. Traditionnellement, le
contentieux contractuel c'était un contentieux de pleine juridiction. Des recours portés devant le JA
et qui étaient ouverts aux partis seulement. Mais, le souci de protéger la légalité, les tiers,
préoccupations du droit de l’UE, a conduit à faire une place au REP, à des procédures d’urgences
ouvertes aux tiers et également d’ouvrir au profit des tiers des recours de plein contentieux alors
qu’ils étaient réservés aux partis.

CHAPITRE 1: Contentieux de formation/ ou passation du contrat


C’est celui qui vise à contester le contrat pour les mêmes raisons qu’on contesterai un aau; des
raisons de légalité externe incompetence, vice de proédure , de forme ou interne ex illégalité d’une
clause, vices de consentement du droit privé s’appliquant aussi au dt admin. Il faut distinguer l’action
contractuele, le REP et enfin le plein contentieux ouvert aux tiers.

Paragraphe 1: L’action contractuelle


C’est celle exercée par les parties et uniquement par les parties. Il s’agit d’un plein contentieux
subjectif. En effet, les parties ne cherchent pas du moins cele requérante le respect de la légalité
mais de prtoéger ses dts subjectifs. Néanmoins,cela n’avait pas une très grande incidence sur le
spovuoirs du jug epsq depuis 2009, dès lors que le cotrat etait entaché d ‘un vice externe ou interne,
le juge en constatait qu Il y a nullité, d ‘où on surnommait cette action “l’action en nullité”. Ajd les
choses ont un peu change, le contentieux s’est subjectivisé(au senso ù le juge a le chix entre diverses
sanctions) Ce ass 28 12 2009 commues de bézier I. Changement ici pour deux raisons: - la sanction
change ,il ne s’git plus systématiquement d ela nullité du contrat i.e. le constat rétroactif de ce que le
contrat n’appartient pas à l’ordre jurdique. Désromais le terme nullité est remplacé par annulation,
faisant Plaisir à la doctrine, en pratique ne change pas grand chose, psq toutes deux ont effet
rétroactifs, la difference que la nullité c st déclaratif, l annulation cst constitutif. Quoi qu il en soit, l
annulation n est plus reserve aux cas d’illégalités les plus graves, l’arrêt commune d ebéziers
insataure tte une gamme de sanction au profit du juges en cfonction de la gravité de l’illégalité
commise.
On peut regrouper les sanctions en trois categories: le juge peut decider de la poursuite du contrat,
éventuellement sous reserve de régularisation. Pour les cas moins graves, le juge peut decider que le
contrat continue sous reserve de régularisation, mais cst pas obligatoire ( donc sans régularisaion ou
sous reserve de régularisation). L’idée est que our des vice bénins on ne va pas faire chier aux
voloontés des parties.
Deuxième type de sanction: prononcer la résiliation: mettre fin de manière non retroactive au
contrat. Ici? Le recours est conditionné car l’arrêt dit qu il faut que la réslitation ne porte pas une
atteinte excessive à l’intérêt general. Autrement dit y a des cas iu le juge constate que la sancton du
contrat illégale est moins bien pour l intérêt Générale ex contrt pour collecte déchet , ce contrt est
entéché d un vice, si le juge réislie, qui collectera les déchets ménagers en attendant la passation d
un nouveau contrat. Le juge toutefois peut prononcer la résiliation avec effet immédiat ou différé, il a
le choix. .
Puis l’annulation est la sanction la plus grave, réservée aux vices les plus graves: contenu illicité du
contrat, en une de ses clauses par ex ( clause s est immiscée dans un domaine non permis), ou bien
les vices d’une particulière gravité tenant aux conditions dans lesquelles les parties ont donné leur
consentement (erreur, dol violence) ç a peut aussi etre méconnsissance des règles de pub et de mise
en concurrence. Voilà pour la grille de sanction.

Le deuxièmee changment opéré par Bézier I tient aux moyens invocables psq l’arrêt insature un ppe
de loyauté des relations contractuelles qui interdit aux requérants d’invoquer les vices dont il est à
l’origine. Cst un peu une application “nulle ne peut se prévalir de sa propore turpitude”.

Paragraphe 2: Le recours pour excès de pouvoir


La question se pose pour savoir si les tiers pvnt contester le contrat?
L a solution de ppe est negative, pour des raisons qui tiennent au ppe d ‘effet relative du contrat.
Cette solution fait abstraction du fait que des tiers pvnt parfois etre afectées indirectement par le
contrat. Ce ppe d interdiction du REP ne connaît que de rares exceptions ou il est possible de l utilizer
soit contre le contrat soit contre des actes détachables du contrat.
I) Le recours contre le contrat lui meme
C’est tout à fait exceptionnel d’avor un recours contre le contrat ou une de ses clauses. Slmnt deux
hypotheses.
A) Le recours contre ctnes categories de contrat
Les categories de contrat pouvant fair el’objet de rep sont très rares, ca cocerne ppalement les
contrats d’engagement des agents public: Ce sect ville de Lisieux 1998 a considéré que les contrats d
engag de sagents publics pouvaient faire l objet d un Rep, car un tel contrat a une function très
proche de l’aau de recrutement d’un fonctionnaire, qui lui peut faire l’objet d’un REP , le juge n a pas
voulu faire de difference pour les tiers selon que l agent publlique est recruté par voie unilatérale ou
par contrat. Autremet dit,un tiers peut contester par rep le contrat d engagement d un agent public
contrctuel. L’autre catégorie concerné est moins etendue, ce sont les contrats par lesuqles est crée
un groupemnt d’intérêt public CE 1998: syndicat national des personnels FO . La raison cst la
proximité du pov d el objet avec l acte unialtérale. La creation par cotnrat d un gip ressmeble bcp par
son objet à celle par voie unlatérale de creation d un etab publilc, qui peut etre contesté.

Bref à retenir que -Ce Ville de Lisieux= les contrats de recrutement des agents publics ressemblent
beaucoup aux AAU de nomination des fonctionnaires, qui eux peuvent faire l’objet d’un REP, donc
alignement du régime qui tous deux sont contestables par les tiers via rep.
- Ce syndicat national des personnels FO: Les contrats de creation de GIP qui
ressemblent beaucoup aux aau qui créent EP et qui sont contestables par rep
par les tiers
A) Le recours contre les clauses reglementaires
Clauses reglemntaires)= acte reglemntaire inséré dans le contrat. La logique voudrait donc que le
régime contentieux des clauses reglementaires soit le meme que celui des actes reglementaires, pas
des contrats. Ce qui s est impose rapidement: des le début 20 eme siècle, le juge a considéré que les
clauses reglementaires sont invocables par les tiers dans le cadre du contentieux d execution Ce 1906
Syndicat des propriétaires et contribuables du quartier seguey Tivoli ,dans cet arrêt le ce a estimé
qu a l occasion d un reoccur contre un acte d execution d un contrat, les tiers poovaaient se prvaloir
d un acte reglementaire. Si DANS LE CONTRAT DE CONCESION DU SP DE CLASUES REG ONT 2T2
INS2REERES POUR PRéVOIR UNE FR2QUENCE DE LIGNES DE TAMWAYS PAR EX ET QUE PAS RESPECT2
ALORS LES TIERS PEVENT SE PR2VALOIR CONTR ELUI, ex aussi pas respect du temps de passage par h.
On aurait pu imaginer que les tiers puissant aussi contester par voie de rep qd ca les convient pas,
bah il aura fallu attendre ce 1996 CE ASS Cayzeele (90 ans) POUR QUE LES CLAUSES
REGLEMENTAIRES PUISSANT FAIRE L OBJET D UN REP DE LA PART DES TIERS.

I) Le recours contre les actes détachables du contrat


Psq les tiers ne pouvaient qu exceptionnellement agir contre les contrats lui mm, le juge a considéré
que ctns actes relatifs à la passation du contrat se détachaient du contrat et pouvaient fair el’objet d
un REP. MAIS CE Palliatif était loin d etre satisfaisatn, e tout eu égard aux buts poursuivis par le tiers.

A) La notion d’actes détachables


Ce Martin 1905: arrêt fondateur: ctns actes s inscrivant dans le cadre d eporcédure de passation de
contrat se détache de celui ci et revet le caractere d’AAU contestable par consequent par la voie du
rep. Le juge a retenu de cette notion d acte detachables une conception particulièrement large en
admettant que la détachablité ne soit pas suelement formelle, mais puisse être aussi intéllecutelle ie
ne se révéler que psq le but poursuivi par l acte n est pas tt a fait celui poursuivi par le ocntrat, alors
que pas de support distinct. Oneut trouver comme acte detachable l’autorisaitn donnée à un exécutif
local de signer le contrat, mais aussi la decision de signer le contrat, qui bien souvent ne se révele par
u acte distinct; le juge a déduit du contrat signé par lexécutif que l executive a décidé de signer le
contrat et que cette decision unilatérale pouvait faire un REP, autant donner autant que possible aux
tiers la ppossibilité de contester. Etat-ce efficace.

B) L’incidence d el’annulation de l’acte detachable sur le contrat


Le requérant ce qu il veut cst la suppresision du contrat, mais il peut pas agir directement. Estce que l
annulation de lacte détachbale par le jugae aura des onsséquences sur le contrat? Eh bah pas
toujours:
L’illégalité même de l’acte detachable n entache pas toujours le contrat d’illégalité. Tout depend de
la gravité du vice entachatn l acte detachable et de son carctère propre ou non à l’acte detachable,
ou si le vice peut rejaiilir sur le contrat;
-qd bien mm l illglaité d el acte detachable rejaillitsur le contrat, il n appartient pas au juge de lexces
d epouvoir d annuler le contrat, ce nest pas son objectif, il n’ est pas saisi du contrat, le juge annul e
lacte don’t il estsais ie l acte detachable et slmnt lui.

 Le requérant par la voie du REP, saisi le juge du caractère illegal de l’acte detachable. Si l vice
qui entache l’acte detachable est d ‘une illégalité grave, ou si l illégalité de l acte detachable
entache sur le contrat, ce n’est pas que ceci soit ainsi établi qu’il appartiendra au juge du rep
d’annuler à son tour le contrat.
Le contrat: il appartient aux parties de tirer les consequences de l’annulation d actes détachables sur
le contrat, en clair les parties mettent fin si le contrat a été entché d illégalité révlée par l’annulaiton
de l acte detachable: cst un appel manifete à la bonne volonté, les parties pvnt tres bien etre
satisfaites du contrat qd bien mm illégale, cst un vieux pieux qu on a tire aux parties. Pdt tres lgntmps
onaurait pu parler d effets assez platoniques. Cst au fin 20 début 21 que le juge s est saisi de l
aquestion à partir du moment ou il a été siasi d u pouvoir dinjonction à l’égard de l administration: loi
de 1998; le ce a déduit dans CE sect sté hertz France 1999 que le juge de l exes de pouvait à l
occasin de l annulation d u acte detachable prononcer une injnction à l egard des parties. ( le
pronocé d ue injunction ce n est pas l exces d epvoir, exces d epouvoir cst déja le plein contentieux).
Le juge qd annule lacte detachable peut enjoinder aux parties de s emettre d accord pur résilier le
ocntrat dans un durée détermné, uou si pas d ‘accord possible, de saisir le juge, du contrat cette fois-
ci. Là cst intéressant, on donne l ordre a qlq qui n a nul envie de saisir l ejuge de le faire car lui seul le
peut, les parties ne ovulant pas résilier.
Le ce a précisé dans CE 10 12 2003 institu de recherchepour le dvélepoment que le juge du contrat
n etait pas tenu par les appreciations du juge pour excès de pouvoir. En réalité qui peut apprécier les
consequences de l annulation de la cte detachable sur le contrat, cst bien le juge du contrat, le juge
pour exces d epouvoir au oment ou il a anulé l acte detachable s est borne d emmettre unavis qu il
faut annuler le contrat, et qu il conviendrait de saisr le juge du contrat pour que celui si mette fin si
les parties ne veulemnt pas,m ais le juge du contrt est libre, il peut ne pas partgé l avis du juge pour
exces de puvoir, il peut dire que l annulton de l acte detachabl n esuffi tpas pour faire annuler le
contrat. Depuis Bézier I ,qd bien mm le juge du contrat estimerait que l annulationde lacte
detachable rejailli sur le contrat, l annulation n est qu une sanction parmi tant d autres, depuis 2009
on peut considerer que l illegalité du contrat n est pas sufisament grave pour qu on l annule mais
slmnt on le résilie, voire vrm pas gravedu tt pour que le contrt s epoursuive.
Pour que l annualtionde l acte detachable emporte celle du contrat, y a au moins troisfacteurs: 1 ) les
incidences d el illégalité de l acte detachable sur le contrat ( il n apporte pas tjrs l illegalité de cleui ci)
2) la bonne vlonté de parties 3) l’appréciation du juge du contrat sur les liens entre l illeglaité de l
acte detachable et le contrat et 4) gravité du vice qui commande la gravité d ela asanction. Bref
chemin long qui s etend entre l annulation de lacte detachable et eventuellement, ptt un jour celle
du contrat.
Ajd, cette voie de dt a Presque disapru.

A) LA QUASI DISPARITION des recours contre les actes détachbales


Depuis 2007, les tiers disposent du recours direct contre le contrat CE, ass., 16 juillet 2007, Société
Tropic Travaux Signalisation Guadeloupe ;. Ce recours ayant été éar=largie par CE ass 2014,
Département du Tarn-et-Garonne. Ajd tiers en justifiant intérêts suffisant peut contester le contrat
lui mm. DANS CES CONDITIONS? TANT TROPIQUE DE 2007 QUE 2014 GARNNE PRENNENT LE SOIN DE
PR2CISER RQUE LES TIERS B2N2FICIANT DE CETTE NVLLE VOIE DE DT se voie correlativement fermer
lereours contre les détachables. Y a pas de concurrence des recours. De tte façon, il faut etre fou
pour préférrer le recours contre actedétachable qd on est tiers. Cpdt dans qlq hypotheses le reoccurs
scontre acte detachal subsistent:
-ca subsite lsq le contrat est de dt privé: en effet les ctes détachabkes de la passation de un contrat d
edt privé par ue pers publique n en sont pas moins des actes administratifs unilatéraux. Bref
autorisatin de signer contrat de dt privé ou la décisin de signe run ctrat d edt privé ce sont décsions
admin unil pouvan faire objet de recour pour execs ouvoirs. MAIS LE contrat de dt prv=ivé ne eut
fairr objet de recours devant le Jadmin, avant trpiuqe et garone, deux raisons pour que juge pas saisi
du contra t:
-le cotrat n est pas un ctrat administratif
Soit qd le cotnrat est de dt privé, le tiers ne peut que contester les actes détacabkes car le contrat n
est pas du resort du JA .
Ensuite, deuxième exception, l arret department garone le préicse:
Le préfet et lui seul a le choix entre contester directmeent le contrat ou contester les
actesdétachables. Car le préfet est un requérant particulier car il n agit pas dans son intéret mais en
tant que gardien de la légalité et il agit vers ce but. Il détemrine le plus adéquat ppour assure rle
repsect d ela légalité.

Enfin , on peut penser que les tiers qui n ont pas intérêt suffisant pour exercer le recours directement
contre le contrat peut contester au moins les actes détachables.

Paragraphe 3: Les pleins contentieux ouverts aux tiers


Le juge adin n a pas souhaité génralisé le rep contre le contrat, il a crée un reoccurs particulier, un
recours direct au fond contre le contrat, la loi a crée deu xautres reoccurs: déféeré prefec et ctns
référés.
I) Le recours direct au fond contre le contrat ou recours tropique par l’Etat
En 2007, dans ass 2007 sté tropic Guadeloupe, le juge a institué u nrecours direct contre le contrat
ouvert aux tierse t exrcable dans les deux mois de l accomplisssment des formalités de publication
du contrat et pouvant donner lieu en parrallèle à une demande de référé suspension en vertu de l’art
L521-1 du code de just admin. Simplement ce recours tropique n etati ouvert qu à un nb limité de
tiers, en l occurrence les concurrents évincés, ie. Ceux qui ont été canddiats à l attiebuton du contrat
sans se le voir attribué soit ceuc pour des raisons d illégalité n ont pas pu alors qui ls auraient pu. Cst
un nb réduit d etiers. En 2014, le Ce ass dans depart tarne et Garonne a elargi ce recours à tous tiers
susceptibles d etre lésés dans ses intérêts par la passation du contrat peut le contester, ça peut etre
un concurrent évincé, ça peut etre aussi le contribuable local don’t les impôts ont augmenté, ça peut
etre lusager du sp qui va etre affecté, bref cst plus important. Le meme arret étend ausi ce recours au
préffet. Enfin les members de l assemblée délbierante locale peuvent le contester: transformer l
opposition du politique en juridique.
Précision: -cst un recours subjectif en partie. A L ORIGINE EN 2007 il ne l etait pas forcément, mais en
2014 dans Garonne le ce a estimé que le requratn ordinaire ne pouvati invoquer a l appui de ce
recour sque les moyens qui le lesent personnellement. On ne peut invoquer tous moyens d illéglaité.
Ex: le concurrent evince ne peut faire gd chose s il n avait que juste peu de chances ou pas du tt d
avoir l offer donc n considère que ne l aurait pas lésé personnellement, il faut montrer que l illégalité
commise l a particulièrement lése. MAI SPOUR les préfets et members de l assmeblée deliberant
locale qui sont gardien de la légalité le reoccurs est objectif.
- Enfin , l office du juge: clairmeent on est dans le plein contentieux. La sanction n est pas l
annulation, la rret tropique 2007 a inaiguré la game de santion graduée don’t dispose le juge,
qui a été reprise dans Béziers I de 2009. Y a nénamoins en 2007 une difference: un quatrième
pouvoir etait reconu au juge, celui de modifier le contrat ( ct contesté au nom d ela liberté
ocntractuelle). Un tiers mm le juge donc est vu contester pour tel ci, d ou en 2009 on n a pas
repris le truc. Et s agissant du recours des tiers, l arret 2014 fait que les anctions don’t
disposent le juge sont les mm dans le cadre du recours des tiers que dans cleui du recours de
parties: pourusite contrat avec possibilté de régularisaton, résiiation, annulation pour les cas
le splu sgraves.

II. Le déféré préfectoral

Système créé par la loi du 2 mars 1982 sur la décentralisation ; il peut être exercé contre un acte
administratif unilatéral des CT et un contrat (natures différents) des Ctcvtés territoriales.
Jsq en 2011 le déféré prefectoral était considéré comme un rep qlq soit l’acte contre lequel il est
exercé (aau ou contrat). Mais en 2011 CE, 23 décembre 2011, Ministre de l’Intérieur c/ SIAN : le
déféré pref contre un contrat devient un plein contenieux dans lequel le juge dispose des mm
ppouvoirs que ceux dont ils disosent dans le recours de Béziers I ; tandis que d autre part ça reste un
rep pour les AAU. En 2014, la situation s’est obscurcie puisque le préfet peut désormais exercer le
recours tarn et garonne contre le contrat. Est-ce que ledéféré préfectoral de tarn et garonne sont
deux recours distincts, ou est ce que le recours tarn et garonne absorbe le déféré prfectral, ON AUAIT
DIT LA deuxieme solution, le préfet contre les contrats des ct exerce le recours tarn et garonne en la
forme du déféré prefectoral. Le ce vide le déféré prefectoral, recours crée par la loi pour appliquer
un recours qu il a crée ( par tarn et garonne).
III°°-) Les référés
Si référé = provisoire, ces deux référés seront marqués par des trucs définitifs.
A) Le référé précontractuel
Crée par loi de 4 janv 92, ajdhui codifé aux art L451-1 ET svants du COj admin. Ce recours est ouvert
contre les contrats de la commande publique, il n’est pas ouvert contre tous les contrats admisitratifs
donc. La raison : il ne peut etre soulevé qu’à propos d’une méconnaissance des règles de publicité et
de mise en concurrence, et du coup uniquement par les concurrents évincés. Pour savoir si le
concurrent évincé est le meme que ceux au sens de jp tropic bon bref ces concurrents )= celui qui na
pas pu présenter sa candidture alors qu il aurait pu.
Etant précisé que ce référé présente un caractère strictement préventif, il est précntractuel. Ca veut
dire non seulement qu il doit etre exrecé et déposé avant la signature du contra,tmais mm qu il doit
etre tranché par le juge avant la signature du contrat. Soit en l’état initial de la loi, la signature du
ocntrat était une cause d enon lieu : s ladmin et son co contract siganti le contrat apres depot de
reocurs et avant ue le juge examinait le rreocurs, le juge pouvait dire non lieu : ca deveait course de
vitesse ; heureusement ajdhui il est suspensif. ( ca s est fait en deux étapes, en 2000 puis en 2009) ?
SOIT son simple dépôt empeche les parties de signer le contrat jsq a ce que le juge statue .
D’ajouter que depuis 2008, le requérant ne peut pas invoquer tous moyens, avant oui. Depuis 2008
et CE arrêt de sect du 3 12 2008 SMIRGEOMES, le requératn ne peut plus invouer que les
méconnsaisances des regles de publicité et de mise en concurrence qui le lèsent personnellemnt (l
ont privé reellement de chance d avor le contrat), le ce a transformer un référé objectif à un référé
subjectif .
 Ici les pouvoirs du juge sont :
- D’ordonner aux parties de se conformer à leurs obligations de publicité et de mise en
concurrence, dans l intervalle de suspendre passatin du contrat ou lexecution de tute
décision qui s y rapporte,
- Annuler les décisions relatives à la passation du contrat ( qd mr disait que ct pas provisoire, le
juge en annulant par ex la décision de signature d un contrat) et ça cs tpa sprovisoir heheh.
A) Le référé contractuel
Cst l’orodnnance du 7 mai 2009 qui le crée. Est codifié aux art L541-13 et s du COJADMIN. Ce référé
contractuel est applicable aux meme contrats que le référé précontractuel : contrat de commande
publlic et ouvert aux meme requerants : concurrent évincés.

Quel différences alors avec le référé precontractuel ?


 Le refere contracteul est post contractuel, après la siganture du contrat donc. Plus
précisément, il es exercé lsq le contrat a donné lieur à un avis d’attibutuion publié, au plus
tard e 31ème jour suivant la publication de lavis d attributon du contrat, si un tel avis pas
publié, dans un délai de 6 mois à copter la sihganture du contrat.
 Les motifs our leuel il peut été exercé sont plus retreints que le r precontact, soit il s agit
uniquement de ctnes regles de mise en concurrence : plus précisément soit de l’absence de
publicité( ya eu aucune information sur le fait que la procédure fut lancée), méconnaissance
de ctne smodalité de mise en concurrence et enfin non respect du « délai de stay an steel »
soit délai minimal qui doit séparer la décision ou la notification au concurrent évinncé de la
décision d’attibution du contrat, de la signature du contrat. Entr el emoment où la pers
publiq choisie son cocontractant et en infoorme les autres ; et le moment où il signe le
contrat, il doit attendre un certain temps, pour permettre l’exercice du référé contractuel. Et
pour ce torisieme moyen de non repetc du délai minimal, il faut en plus que son nom respect
ait empêché le requérant d etre choisi en tant que co contractant. Donc des conditions plus
restreintes pour c troisième truc.

Mëme lorsue les eux référés sont suscptibles de s appliquer à un même contrat , ils ne peuven tfaire
double emploi psq l exercice du référé précontratuel emeche tout exercice par le meme requérant
du réfré contractuel . Sauf exception ici dans qlq cas :
-la loi evoque comme exception l’hyoppothès eoù le contrat a été signé malgré l’exercice d’un réfré
précontraactuel : logique, car ici le référé précontraftuel sera forément transformé en référé
contractuel, ce qui a du le sera ;
-Lsq les parties ne se confrment pas a lordonnace de référé precontractuel qui leur avait enjoint de
suspendre la signature du contrat, ici encore on transforme le réfré precontrat en réfré contractuel.
-Le juge a ajouté dans CE 2010 France AGRIMER : hypothèse ou le requérant exerce un référé
précontractuel contre un contrat déjà signé mais où ignore cette signature du contrat car les partis
ont manqué à leur obligation d’informer. Le juge peut suspendre le contrat mais peut également
prononcer son annulation, peut décider de son abrègement=raccourcir la durée du contrat, enfin
infliger des pénalités financières aux parties.
Section 2  : Le contentieux de l’exécution du contrat
Ici, le contxte est different, le requératn conteste une mesure d execution du contrat, en se prévalant
du contrat le plus o=souvent. EN CLAIR, il invoque le contrat en estimant que tells ou telle smesurs d
execution est conraire au contrat mais ne la conteste pas. A titre esentiel les partie spvnt agir
eventelement les tiers.

Aragraphe 1: Le recours de plein contentieux ouvert aux parties


Hypothèse où une des parties n execute pas son engagement contratuel, l autre peut saisir le juge d
une action contentieuse, l une et l autre cst qd l administration n execute pas on engagement
contrct, le contraft privé peut saisir le juge; l hypothèse inverse est rare ( l admin a bcp de pouvoirs
contr ele coc contract privé sans saisir le juge: pénalités etc…
Deux choses:
 Il n’a pas vocation à se tansformer en contentieux de la formation. Autrement dit, à
l’occasion d un litige portant sur lexécution du contrat, le requérant n a pas vocation à
contester la légalité du contrat. L’arrêt Béziers I de 2009 posait néanmoins exception: lsq le
contrat est entaché d un vice justifiant son annulation. Ici on coprend que le juge ne vuille
pas faire executer un contrat entaché d une illegalité grave, dans ce cas le juge de l’exécution
doit écarter le contrat et régler le litige sur le terrain extra contractuel. En clair on a une
action en resposnabilité extra contractuelle, ou quasi délictuelle.
 Il tient au pouvoir du jugedans le cadre du cotentieux d execution: le juge de plein
contentieux ne dispose pas du pouvoir d annuler les actes d’exécutin pris par l adinistraatin
en méconnasisance du contrat: le co contractant privé obtiendra dommage se tinteres e tnon
annulation du contrat , cst une auto limitation des povoirs du juge que la doctrine critique.
Néanmoins il y a des exceptions: pour qlq hypotheses où le juge dispose du pouvoir
d’annulation.
En revanche cst plus frequent, depuis 2011 Ce sect Béziers II, il existe contre la décisio d
eladminisrtration de résilier unilaéalement le contrat une action en reprise des relation
scontractuelles. Soit, lsq lmainitration résilie unilatéralement le contrat soit pour fate soit
pour motif d interet general, l anc co contractant peut saisir le juge pour qu il ordonne la
reprise des relations cotractuelles au motif que la résiliatio unialtérale ici est illégale. Il doit
exercer cette action endéans deu xmois la résilitaiton, qu il peut accompagenr d une
demande de référ suspensive. Ici , le juge ne va pas annuler la résiliation, mais il va orodnner
al reprise des relatios contractuelles.
CELA DIT, la simple illégalité de la decision de résiliation n entraine pas automatiquemennt
une injunction de rerise des raltions ontactuelles. LE JUGE VA SE PRONNCER SU RLE
FONDEMENT DE LA GRAVIT2 DES VICES CONSATatés, les eventuels manquemmats du co
contractant à se sobligations contractuelles, ca s applique aussi aux resiliaitons pour faute
(imaginons le co contrat privé qui se comprte mal, l amdin a le mallheur dentacher sa
decision de résiliation unulat d un vice minime de procedure, ce serait pas normal que le juge
ordonne la reprise des relations contractuelles. Egaement, prendre en compte la situation
eventuelle d un nouveau contractant d’administration. Suite à la résilitaion l adiistrtion a pu
contracté avec un nuveau contractant, qui lui n es tpour rien si le precedent contra test
rompu, il ne doit pas etre pénalisé. Le juge donc in fine apprécie si il y a lieu d ordonner la
reprise des relations contractuelles.
Est ce qu on peut l’exercer contre une décisio de modification unilatérale? Compte tenu du fait la
résiliati et la modif unilaterale sont proches, et bien non, on ne peut pas.

Paragraphe 2:Le recours des tiers contre les actes d’exécution du contrat
Malgré l’effet relative des contrats, le juge a considéré que vis a vis des tiers, les actes d execution du
contrat etaient detachables de celui ci, soit le juge a éténdu aux actes d execution le régime des actes
détachables. Ce sont alors des AAU, lesquels peuvent etre contestés par un REP. Cela dit, on ne peut
invoquer que la violation des lois et règlements et non celle des clauses du contrat du a l effet
relative, dans le cadre du rep bien sur. La seule exception, les parties peuvent se prévaloir des clauses
reglementaires ( arret proprio et contribuables quartier Tivoli). Mais les clauses regementaires dirait
on ne sont peut etre pas des lauses contaacteulles non?
Depuis 2017, un régime contenitieux particulier concerne l’un des actes détachables, cst le refus de
‘administration de résiliation du contrat. EN VERTU DE l arret CE, sect., 30 juin 2017, Syndicat mixte
de promotion de l’activité transmanche, il s’agit désormais d’un recours de plein contentieux, et son
régime est le même que celui du recours tarn et garonne(par les mêmes requérants= articluier léses
psnllmnt ; pour les ctrats des cvvtés terr par les préféts ou un memebre de l assemblée délib locale).
Pour quelle raison un tel régime particulier : en réalité les deux recours ont le mm objet, que le tiers
exerce le recours tarn et garonne contre le contrt en vu de le faire supprimer ou que demande a l
admin de le supprimer et agisse contre le refus d el admin de le supprimer, dans les deux cas le tiers
demande que le contrat soit fini.

Conclusion : il a été renouvellé ces quinze dernières années.

Partie 3  : L’étude des missions de l’administration


Soit le Sp soit la police administrative. Sans doute la police admin est un SP mais tlm particulier que
voilà.

Titre 1er: le service public


Introduction générale
Un courant doctrinal a vu la théorie explicative bref le critère du dt admin dans le SP. Ajd cst plus le
cas mais le sp conserve une place importante en dt admin, ce que va illustrer l ‘étude de la notion du
sp et son régime.

Chapitre 1er: La notion de SP


Elle est hétérogène, certes y a une definition commune mais il existe à l’intérieur de ces def
communes, pls categories de SP.
SECTION 1ère: la definition de SP
La défitniton ici est une déf materielle, nous allons voir quelles activités pvnt etre qualifiées de SP. On
aurait pu retenir une déf organique ( institutions) mais ceci ne préesente pas d itérets ici car les
institutions qui pvnt etre qualifiés de sp sont celles qui exercent un sp au sens materiel, donc ca
rejoint à ça tjrs.

QCQ une activité de SP?? Pour voir si une activité est ou non un SP?? Premier reflexe= voir la loi.
Est un sp une activité qualifiée comme telle par la loi et inversement, si une activité est disqualifiée
de sp excpliciteent(rare) ou implicitement par la loi, alors n est pas un SP ( ex pour disqualifier explicit
ou implicitemenet une active de sp: qd la loi soumet une activité à dses regle sincompatibles avec le
régime des sp, elle n a pas entendu en faire un sp : arret CE sect 2007 APREI) . Si on écarte
l’hypothèse de l exclusion legislative et on s interesse aux ypthèses de qualif legislative, ca rleve du
bon sens: on trouve tres peu d activités qualifies par la loi de sp alors que le juge ne les aurait pas
qualifier cmme telle ex: l education, la justice, l activité des etablissement de santé(hopitaux, de
manièe mons evidente les activités sportives , l approvisionnement en electricité, les activité postales
de base ( distribution courier), de manière moins evidente,l amelioration des races de chevaux, donc
surprise ici, à l egard des criteres jpdentielles de tells activités seraient qualifies de sp. Donc lsq pas
de qualif legislative, on se refere aux critères de qualification jpdentiel, et ces critères conduisent non
pas à une mais deux definitions du sp; l une faisant appel a trois critères= déf de droit commun; l
‘autre permet de qualifier une acitvité de SP en l’absence de l un des trois criteres normalement
requis cst a dire la purgative de puiss publique.

Paragraphe 1: La definition de droit commun


 Ce sect 1963 Narcy : est un sp une activié d interet gen prise en charge par une personne
publique et dispsosant de prerogative de puissance publique.
I) Lintérêt general
Le SP DOIT presenter un critère d’intérêt general. La caractère lucratif de l activité n est pas
incompatible avec l interet general.
A) La déf de l’intérêt general
La notion d interet general presente un caractère éminemment subjectif, on a du mal a le définir, on
peut estimer que l interet ge cst l interet d el acollectivité envisagé comme un tout. Autrement dit, ca
n est pas l interet de l ensemble des members de la collectivité ( unanimitaire), mr doute qu on ait
tous un interet commun ; et cst pas non plus l intérêt de la majorité, mm si parfois on le degage en se
refrant a l interet d el amajorité, psq sic t le cas l interet general ne serait qu une somme algebrique
d interet indivudelle, ce que l interet ge n est; cst juste l interet d el actvté elle même. Ex qui montre
que ca peut etre d ailleurs iteret minoritaire: il faut organizer un galop d essai, pour qu on ait note et
s entrainer. Quand? Samedi matin car on est occupé dans la semaine, et qd on ne lest pas les amphis
sont indisponibles, imaginons que ca ait ete ent dt des obligations l aprem, ce créneau ne convient
pas à la majorité d entr nous, ni aux surveillants, mais il faut le faire car cst dans l interet general, les
reglements nous dissent qu il faut qu on compose au moins une fois sur table,d onc voilà). L intéret
gé cst un peu ce que l autorité chargé de diriger la collectivité définie d interet ge sous le controle du
juge. Mais il faut tepérer ce constat: ctnes activités sont plus d intérets ge que d autres. Il env a des
activitésregaliennes, mais ctns contestest que police ou justice soi t d interet ge. Ou bien les activités
destines à la satisfaction des besoins alimentaires de la opulation ( alimentation, lgement, satnté,
education, sur les premiers on a contestation, à un moment donné, des gens diront que moins on sait
plus on est heureux). Pour d autres activités, l intert ge est plus contingent, il évolue selon l etat des
consciences) , on peut citer le cas des activités culutrelles, sportives et de loisirs. Initialement, de
teles activité n etaient pas considérées comme ne tant pas d intéret general CE 1916 Astruc: à propos
activité d un théatre que c edit cst pas int ge, puis Maurice hauriou ayant approuvé la solution et dit
que a l l inconvenient d”habituer l esprit a du fictive, d exciter passiojns de l’amour, et ça cst
dangereux etc… “. Puis le Ce 1923 Gheusi : activités culuturelles le sont comme théatre. Puis dautres
acitivtés de loisirs aussi comme par ex feux d artifice: CE commune de saint priest la plaine 1946, qui
engage le rég du sp pour des victims de ceci, si on engage régime sp donc cst forcéent un SP. On a
aussi les activités balnéaires: l actvuté des plagistes CE, 21 juin 2000, SARL Plage Chez Joseph.
Mais ona limite : le CE A TJRS REFUS2 DE CONSID2RER QUE LES JEUX D4ARGENT SOIENT d intérêt gé,
pour raison smorales, (casino etc .. ) : CE 1966 Ville de Royan ; les loteries non plus CE sect 1999
Rolin ; puis les activté s de paris (pmu).

B) Intérêt gé et activités lucratives


L’intérêt gé n exclue pas la luccrativité en dt frs, le dt de l’ue est d avis contraire. En fr donc, les
raisons de ceci:
- Intérêt économique en soi est un motif d intérêt gé: crétation de richesse, d employ,
- Psq ctnes activités de prestations econo desitnées à satisfaire les besoins essenntielles de la
population sont d intérêt gé qd bien mm ca procure des revenus à celui qui s’y livre ( iaginons
cas dactivité general mais prvé, donc ne sont pas SP car pas le crtères 2 et 3, personne n
epeut dire que production du blulanger doit etre à titre gratuity, ourtant cst l intérêt gé quoi;
donc on ne voit pas pq les personnes publiques feraient tjrs du bénévolat qd ells prennent en
charge l intéret ge); donc ce qui compte pour qualifier linteret gee n dt frs ccst la finalité à
l’égard de la population ( celui qui vont recevoir ) et non sa finalité à l’égard de celui qui le
livre.
En revanche s agissant des activités purement lucratives, à priori e seraient pas d interet gé, y
compris si ells sont gérrées par des personne spubliques ex lesjeux d argent : des étab qui en font
sont gérés par l etat pour ctns, de meme ctnes banques avant et assurance publiques, le juge a
tjrs dit qu y a pas de SP bancaires ou d assurance; ou encore avant qd renaut etait detenu par l
etat la fabrication d auto n ajms ete considéré ciomme d interet gé. Le seul element qui pourrait
dire que ces activitéspurement lucratifs opourraient etre d intéret ge cst qd les fonds qu on y
retire sont destines à financer des acitvités générales non rentables. Autrement dit, l arret Royan
par ex dit que les activités des casinons pvnt etre d intéret gé y compris le sjeux d argent non pas
en tant que tells ammais psq aussi ont pour mission de délivrer des prestations générales
culturelles, y a donc un lien entre les jeux dargent qui vont serivrent à financer les prestatiojns
culturelles qui s’y déroulent (concerts, expositions, animations Culturelle etc ;;;) et qi sont d
itnréet Générale

Par contre, l ‘inverse: l absence de lucrativité peut etre un indice du critère d el’interret general.
( au moins on peut se dre que pas destine à procurer revenue à celui qui sy livreex: : releèe
comme indice de ce que le serice legifranc est un sp son absence de lucrativité: CE, sect., 17
décembre 1997, Ordre des avocats à la Cour d’appel de Parisl etat ne s enrichit pas en dvlppant
ce site .

I) La prise en charge par une personne publique


Une acitivtié d interet ge ne peut etre un sp que sip rise en charge par une pers publ de manière
directe ou indirccte. Qd ca n existe pas: y a aps de sp, qd ca n’existe plus,il disparait le caractere
de sp. Ex: depuis 1905, les eglses ne sont plus controles par l etat, y a plus de SP.

A) La prise en charge directe par une per spublique


Cst l hypothèse où l activité est géré par la pers publique elle meme i.e. par ses propores . Là ou
le sbms de qualification se posent cst dans le B
Droit administratif du 10 février 2022 ( à faire les deux heures d’avant )
B) La prise en charge indirect epar un epersonne publique
Le ce a retenu une conceptin soupel du critère organique en matière de SP puisq il a estimé dans
arrêt de ppe CE, ass., 13 mai 1938, Caisse primaire Aide et protection qu un SP pouvaot être assure
ou géré par une pers privée dès lors que celle-ci agit sous le contrôle d’une personne publique. Là ou
ca se complique: quells indices ou critère spermettent de reconnaitr si y a contrôle de la part d une
perso publique? Technique: meéthode du faisceau d’indices : -initiative de l’activité? ( initiative d une
per publique ou gesitonnaire privée pour l’activité), - creation de la per privée gestionnaire par une
personne publique, si l’association ou la sté qui gère le SP es tune creation de la commune ou du
département??? On peut regarder pour la société la composition du capital; - plu slargement la
rerésentatio de la perosnne publiqey ay sein des organs de direction de la perosnne privée ( particie t
elle à la designation de lexécutif? Droit de regard sur les activités d ela perosnne privée); on pourrait
ainsi multiplier les indices qui révèlent un contrôle de ??? Il peut y avoir un controle orgaique, la pers
publique ont^role l ordgansation , les activités de la personne privée qui doit render compe de la
gestin de l’activité à la pers publiqe (= cntrôle materiel). D autres ex où y a pas controle: arretCE,
sect., 3 décembre 2010, Ville de Paris et Association Paris Jean-Bouin, le ce a esitmé qu’un club
sportif profesionel ne gerait pas un SP qd bien même il occupe une ppté publique( occupant du
domaine public communal et paye une redevance à la commune en cause), dès lor sue la commune n
a pas de droit de regard patiucluer sur les activités du club, on n epeut pas considerer qu I y a
contrôle de l apart de la pers publiqe. SI par contre en échange de la mise à dispo du stade, la
commune exigeait une mise en place de sensibilization, ou ouvrture de mesures pour les personnes
défavirisées, là y aurait débats.
Même chose pour l’activité d’un cinema asossicatif CE, 5 octobre 2007, Société UGC-Ciné-Cité: un
ciné asociatif meme subventionné par une commune ne gère pas un SP dès lors que la comue qui la
subventionne ne lui impose aucune contrainte particulière en terme de programmation ou de
tariffs .. Si on lui imposait u npourcentage pminumum de atégorie de film, ou des tariffs réduit, là on
pourrati débattre. Ce qui importe cst de savoir si le gestionnaire privé exerce l’activité dans des
conditins comparables à une entreprise privée. S’il se voit imposer aussi des obligations particulières
y a contrôle, car la pers publlique attribute une activité et la surveille.

Un questionnement: on a lgntmps pensé que parmi les indices, y en avait un qui était plus qu un
indice : est une veritable condition du SP sans laquelle y a aps de SP: cst l initiative publique d el
adctivité ce sect 2007 aix en provence a contredit cette affirmation en disatn qu il peut exister des sp
d’initative privée. Soit que lorigine d la ctivité soi tune initaitve d el aprt d une association privée pers
privé donc et cst après que la pers publique reconnaisse cette activité en tant que SP en la
reconnaisant etassurant le contrôle. Ici en l’epsèce une asso a pris l initative d un festival, puis des
années après la commune a décidé de prendre en charge et contôle les activités mais laisse
l’association à la direction du truc toujours, dès lors en acquiscant l econt^role de l a pers publique,
on aura un SP ??? Le truc privé ici per den autonomie mais gagne en moyens.

III ) Les prerogatives de puissance publique


Normalement, un SP dispose de prerogatives de puissance publique. Depuis 1 siècel, cette
théorie est caduqeu, mai sl’idée est que même pour les spic ils dérogent au droit commun. L idée
est que tt service publique meme ceux soimis aux dt privés (spic) dérogent qd meme meme un
peu au droit commun. Par quells moyens? On peut citer l ‘existence d un monopole qui peut
révéler l existence d un SP, mis cst qu un indice cst pas force. Aussi la possibilité de recourir à de
sprocédés d autorité ( etat exécutoire) pour assurer e recouvrement des créances: faire payer au
débiteur sans passer par le juge en emmettant à leur égard un acte de puissance publique pour
motif d’impayé = indice de purgative de puissance publique. En tout cas il résulte qu une activité
gérée dans les conditions rigoureusement analogues à celle d une activité privée n est
normalement pa sun SP , ex CE, sect., 13 octobre 1978, ADASEA du Rhône: s’agissatn d une
association ( per rivée) , le ce constate qu elle fonctionne sou sle controle d une prs pblique (le
department), elle remplit un emission d inté^rêt ggénérale, ct une association d inteventoi
nagricole, mais pourusivait but d intéret general, mais dès lorqu que l asso a été constitué et
fonctionne selon les règles de dt privé, sans déténir la mindre purgative d epuisse publique, elle
ne gère pas un SP .

Paragraphe 2: la caractrisation du SP en l absence de purgatives de puissance publique.


Ce dernier critère est le plus fragile des trois, le Ce a deuis lgntmps estimé qu il était qd mm possible
de qualifier une activité de SP qd bien mm elle ne disposerait pas d une purgative de puiss publiqe
( en l’absence de purgative d epuiss publique), et si on veut synthétiser l’essence de la jp ( qui n a pas
bcp evlué), l idee ct que qd l interet genrale de l activite est particulieremen tevident, ou qd les liens
du gesitonaire ave cune per spubliqe est particulierement evident, pas besoin de purgative de
puissance publique pour dire qu cst SP. Cst ce qu a fait Tc 1978 bernardi à propos d une activité
médicale privée: de slors qu elle porusuit objectif d interegt enraleévidente ( santé = evidememnt
interet gen) , on se dispose de la question de savori si la Clinique dispose ou non de la rpgative d
eouiss publqieu. Egalement arret 1990 Ville de Melun: à propos d un controle en esitmant qu une
association transparente gère un SP qd elle pourusit intérêt gen et mm qd elle ne dispose pas de
pgative de puiss publqiue, et l assoc est gére directement par une puissance publique . Une asso
créee par une commune et entièrement liée à la commune puisqu orgnaiquement non distincte d ela
commune ( les statuts prevoyant que le conseil d administration de lasso est composée de dt par les
mebmres du conseil municip, identité absolue entre la commune et l’asso) en réalité les organs de
l’asso sont les organs de la commune. Dès lors que n plus, cette asso était hébergée dans les locaux
communaux, que son budget est itnégraement alimentée par le bidget communal ( ses resource
ssont a cen tpur cent des subvention sde la cmmune, et un personnel ntégralement mis a disp de
manière gratuity par la cimmune, une telle asso est un SP qd bien mm elle ne dispose pas de
purgative de puiss publiqeu. Et donc le Ce a fini par synthétiser cette Jp dans CE, sect., 22 février
2007, Association du personnel relevant des établissements pour inadaptés : en effetle ce a ici
estimé “que eu égard à linteret génrale de son activit, aux coditions de sa creation, de son
organosatin ou de son fonctionement, aux obligation sui lui sont imposes ainsiquaux esr=ures prise
spour verifier que les objectifs qui luis sont assignees sont atteints, une activité gérer par les per
privéed o=doit etre ocnsidérer comme un SP qd bien mm elle ne disposerait pas de prgtive d epuiss
publilque. ( qd l’intéret génrale de la per privée est particuloèrement evident ou que son contrple par
la pers publquue est partiuclieremnt etroi,, pas beosin de rechercher l existence de pgative de puiss
publique pour qualifier le SP).
Ensuite, il faut constater qu il existe differente catégorie de SP, ce qui va nous amener à pratiquer
deux typologies: la distinction la plus connue concernce la distinction des SP admin et des SP
industirlels et commericaux , mais il existe aussi une autre distinction qui ten dà prendre d el
importance: distinction entre SP marchand et SP non marchand. Etant précisé qu’elles ne sont pas
uniquement dotirnales , elle semportent de idfférences de régime juridique.

Pargraphe 1: DIsitnciton SP administrative et SP industriel et commercial


La distinction remonte à TC, 22 janvier 1921, Société commerciale de l’Ouest africain distingue deux
cat de SP: SPA et SPIC. Ce faisant, il met fin au fait que SP = criète de dt admi. Cette distinction est
exhaustive, tt SP est soit spa soit spic.
La tentative du tc dans les années 1950 d instituer une e3eme cat de SP : les SP sociaux tc 1955
Naliato, ces sp avaent objets sociales, et pas industry et comm, tout en étant soumis au dt privé, ct ça
l idée soumettre au dt privé cette catégoriede sp tout en n etant pas d objet industry comm 30min
20; mais la jp naliato n a aps prospéré , à l’époque s appliquait aux acitivtés sociales …Le ce n a jms
vrm voulu rperdnere ca a son compte puis dans arret bambini 1983 tc a abadnooné ça et on est à 2 .
Le Tc en 1921 avait pour distinguer d un pov notinnel les spa et spic émis l’idée que les spic tout en
étant d interet gen s apparentait a des activites que pourraitn exercer des entreprises privées. C’est
au Ce qu il revenue de préciser à quell pov ouait cette resemblance, et il l’a fait dans ASS 1956 uion
syndical des industriels aéronautiques dans lequel il a psoé tori scritères de ditcintion des spa et
spic:
1) Leur objet :
L objet dun psic dt etre coparable a celui d une entreprise rivée. Soir, il sagit d une activité
économique ( production ou distributn d un bien ou prestation de services.) mis à part qui ci elle est
d intéret Générale, mais y a des activités privéds non constituves de SP qui sont d’intérêt gé
(commerce alimentaire,activités médicales liberals…)
Inversement l objet d un spa le plus souvent consiste dans une activité qu une entreprise privée
serait insuscptrible d’exercer. On peut penser ici à activité de reglementation, de controel, de police.
Mê^me si l’objet d un spa peut etre identique a celui d un spic il s identifie par un autre critère. Voilà
pour le critère de l’objet:

2) Le financement
Ca doit être comparable à celui d’une entreprise privée, cst a dire qu il doit etre assuré
majoritatirrment par les prix versés par les usagers. La seule difference ici du spic par rapport à une
activité economique rivée est qu il n a pas pour vocation de réaliser le pprofit mais on exige de lui qu
il soit capable de s ‘équilibrer financièrmeent, autrmeent dit qu il soi ten mesure de se financer par
les primes verses paar les usagers, le profit nest donc pas le but preier mame si peut etre.
INVERSMEENT spa se finance par des ressoucrces externs au service, soit impot, subvention suqi lui
sont versées ( ca signael activité non rentable) mêm si il n est pas exclu qu un SPA soit finance en
partie par les usagers , o a des spa qui sont payants, dès lors que le paiement mapar les usagers ne
constituent qu une part minoritarie du fincnamcemnt du service , le service ne serait â susce^tble de
se financer uniquement par ce que âye les usagers, on a spa ex (univ on paye frais mais ça ne
correspond pas au cout de la scolarité , si on étati dans une lgoqeu indusrt et comm ce serati
gravement élevée, donc l univ mm si pas gratuite est un spa car ne se finance pas par elle mem,
ppaleme tpar subvention se l etat). La mm activité selon que financée pr usagers ou par des
ressources externs, peut etre un spic ou ssoit un spa avis ce 1992 sarl HOFFMILLER à propos de
service d améangements des déchets ménagers : qd le service d enlevement est finance par une taxe
d enlevement , ie un impot, cst un spa car impot est payé par tous les contriubuables de la commune
et selon un tarif qui ne depend pas des ordures qu’elles produisent (on payee n function de la Valeur
locative du bien don’t on est proprio en tant que taxe.
En revanche si le service se finance par redevance d enlevement de sordures acquitée par les seuls
utilisateurs du service et selon un tarif qui varie en fonctin des déchets qui ls produisent alros cst un
SPIC.

3) Les modalités de fonctionnement du service


Sont comparables à celles d’une entreprise privée. Il peut ainsi etre gérer par un epers privée, et
quand il nest pas est soumis à de smodes de geestion issus du dt privé ( soummission à la
cmmptabilité privée, employ d agents privée, passatio nde contrat de dt privé ) don cles conditons de
gestion qui sont celes de l entreprise privée; même qd le spic est géré par pers publique, les règles
son tplu sproches d une entreprsie qu une administration. Ainsi, la même activité est alors mm qu
elle ne changerait pas le mode de financement peut etre soit un spa soit un spic sleon la mnère don
telle est gérée ( don’t elle fonctionne), le plus bel expmple: poste de telecommunication
électronique: depuis les origins n a pas change ni d objets ni meme de modes de financement, pour
la poste n ajms ete gratuity, y atjrs eu prix du timbre. : de tells activités son trestées spa tant que
gérées en rége par l eta tie sleon un ode administrative (administratin des ptt) tc 1968 ursot; mais
dèslrors que la loi en 1990 a cofié leur gestio nà deu xétabliss publics industry et commerci
fonctionnant largemen tcomme des entrpersies, la poste et fr telecom sont devenus des spic tc
matisse 1993.

Question: les critères son tils alternatifs ou cumulatifs? Réponse dissimétrique. Ils son tcumulatifs
pour les SPIC, soit l arret syndicat industrie aeronatuique le precise: un service pub lest un spic si
reemsble a un enetreprise privé des trois pov citées là ( objet, financement, modaitéd e
foncitonement). Dès lors qu il s en distingue par l un de ses troi scritères cst un spa. Le spic on voit cs
tune activitéé éco financée par ses usagers et gérér comme l entreprise, un spa cst tout ereste, ca
peut atre activité eco, ou activité éco qu on a choisi de ne pas faire financer par usaegrs mais par
impots, ptt atctiviét eco finance pra ses usagers mais géré sur un mode administrative. Un sp est
présumé spa sauf si se ressemble a un eentrerpise à ces troi spov( obj , finance, mode de fonctionn).
Mais le juge fait prevue de souplesse dans la qualification des SP . Les arrêts qui identifient les spa et
spic ne sont pas toujours le splus faciles à commenter car on peut consatter que le juge est moin
srigoureux dans la pratique que ce qui est dit ici. La souplesse se reflete à deu xpov:
1) Il est loin de tjrs verifier l emode d eofncitonnement. Faut pas paniquer si dans un arrêt on
identify sp sans verifier mode de fonctionement, ce denier critère estambigu car s inéresse
déjà au régime, or ca devrait etre l inverse ( regardé si le sp fonctioone seon regle de dt pv ou
de dt publ on déduit si spic ou spa , or normalement on devrait chercher si spa ou spic avtn d
en deécouler le régime applicable ) cst un critère ambigu , la vérificatin du mode d
efonctionnnement n intervien tque lsq l examen des deux autres critères n abouti pas à un
rsultat tranché.
2) Le juge tend parfois à presumer ctns sp en disant qu il ssont spa ou spic en voyant seuelemnt
l’objet. Ex: le juge considère par ex que la construit net l entretien des route sconstituent tjrs
un spa meme qd l usage des routes est payante ce 1985 Jeissou Idem pour sp de la
transfusion snaguiine avis du ce 2000 mme Torrent . Inversmeent: le sp de distribution d eau
potable est présumé etre un spic sauf lsq il ne donn elieu a aucune facturation périodique à
l’usager, présomption simple donc tc 2005 mme albertit Scott. Dans cet arrêt mm si le
montant de notre facture d eau est lojn de orrespeondre au cout de revient du servie cst qd
mm un spic ( à la difference de l unviersité ici.)
Paragraphe 2 : SP marchand et SP non mrchant
Distinction apparu recement sou sl influence du dt d el ue. Cst la soumission au dt d ela concurrence.
Il faut ben identifier et la distinction spm et sp non m ne correspond pas tltment a la distinction spic
spa. En effet, le Meilleur moyen pouridentifier cette distintion cst de se réferer au dt d ela
concurrence et art du code cdde cimmm precise que le dt de la concurrence s apllique (L 410-1 ) à
l’ensemble des activités d’objet économique, don ici l eseul critèere de distinction cst l’objet.
Autrement dit, une activité économique, mm si l’Etat a hcoisi d en e pas la faire financer par les
usagers ou de la farie gérer comme une administration, ca rest un sp marchand. Donc cette
distinction échappe à la vté de la per publique, l objet d el’activité est independent de la vote de la
pers publique, elle n est pas tributaire de son choix ( cst ce que veut l UE).
Le critère de l objet est assez objectif mais cst pas absolu. Le dt frs et le dt de l ue ne sont pas trop d
accord sur la déf de ce qu est l objet économique et ce que ça n’est pas . La OU CA S accorde cst pour
considerer le caractère non économique des acitivtés de puissance publique et de reglementation, ni
les activités exclusivemtn socaiels fondées sur le ppe de solidarité, soit les régimes obligatoires de
sécurité socile (cjce 1993 épitre), mais les activités de smutuelles= activités économiques. Ca cst là ou
cst d accord, mais le dt frs aurait tendance à rajouter parmi activité non éco comme les activités
culturelles et artistiques ( arret commune ai xen prov le dit ), de même les activité concourant au
xmission sesentielles de letat ass 2006 orne des avocats à la ca de paris à propos d activité de conseil
juridique aux perosnnes publiqes ( une admin de l etat donnait coneil juridique auprès de CT . Le dt
de l ue oconsidère qu une accitivté culutrrelle cs tune aitvité économique et qu une activié de cons
juridique mm qd ça vise à truc de l etat ce sont des acitivtés économiques.
Chapitre 2 : Le Régime juridique des services publics
Js =q en 1921 l ecole du sp a soutenu que le régime jur des sp etait unifiée et de dt public. Depuis
1921, ce n’est plus le cas, ajd le régime jur des sp n est plus uniforme. Et voilà qu’il va nous imposer
d’étudier adans sect 1les léemtns communes, puis sect 2 les specifités.

Section 1: Les élements communs à tous les SP


Ces éléments sont de deux orders: on a les règles résidant à la creation, à l organization, à la
suppression des SP qui sont les mm qlq soit le s pen cause. On a aussi ctns gds principes relatifs a
foncitonnement du SP :les lois du SP qui sont nmlmnt communs à tou sles SP
Paragraphe 1: creation, organisatn=on, et suppression des SP
I) La creation et la suppression des SP
Pour la creation et suppression, les règles sont same, parralleisme des competence s applique. Cette
creation et cette suppression émane de sper publiques. Un seul bemol: les Sp d initative privée qui
sont crées à l’initiative d un epers privées, mm si cst un eper pubilique qui les reconnait en tant que
sp. Donc l’initiative de creation d un sp peut émaner de l’un ou l’autre mais L’initiative de la
reconnaissance appartient à la pers publique.
Deux questions: 1) qui est competent pour créer ou supprimer des sp; 2) la marge d appreciation don
tdispose lautorité.

A) La competence pour créer ou supprimer les SP


Distinguons deux categories: les SP naitonaux et les SP locaux.
1) Les SP nationaux
Ce sont ceux crées par l’Etat. Quelle autorité au sein de l’Etat? EN ppe le pouvoir eglementaire. En
effet, avant 1958, le domaine de la loi étant illimité, la creation de sp relevait du légslateur. Mais avec
la constit de 58 ca change, et aucune disposition de la constitu de la 5eme , n inclue la creation des sp
et don cleur suppreresion dan sle domaine de l a loi. Conclusion: ils son tdu domaine du reglement,
en ppe . En effet, il y a des excpetions. En effet d autree dispositions ocnstitutionnelles peuvetn
conduire à donner competence a légslateur pour la création de ctns SP. Ces dispositons sont même
assez nombreuses :Qd le SP est crée suite à une nationalisation ( d’une entreprise rivée); lsq le sp est
confié à une nvlle catégorie d établissement publics ( scst la loi ui crée les categories d etabssemnt
pulics). Lsq le SP intéeresse les ppes fondammentaux de l enseignemnt, de la défense natinale, ou de
l sécurité sociale ( l art 34 prévoit que les ppes fondam ed el enseign, ceux da lsécu sociale… son
tfixées par la loi, au moins dan sleur ppes fondamentau, donc créatin meme). Aussi ldsq le serv publ
crée ou ilimite l exercice d une liberté publique, psq en ppe seul le législateur peut limiter les libertés
publiques. Les sp qui pportent cincurrence à une activité eco privée snt censées etre créer par la loi) .
Il n empehce, dans les autres cas, la competence est regementarie: ce 1997 ordre de avocats a la ca
parisà propos de la cration sp legifracne, ca appartenait cette competence au pouv regl car ne
relevati d aucune categori ou l’intervention du legislateure etati requise.

2° Les sp locax
Ce sont ceux crées par les CT . En effet, une Ct peut être compétente pour créer un SP lsq la loi lui
donne cette competence. En effet , en vertu de art 72 C ° cst le législ qui fixe la competence des c ten
vertu d ppe du libre admin des CT. On a vu en institutions admin en L1 : à ce titre les CT pvnt dispsoer
de deux types de compétence : 1) les compétences qui leur sont expréssement attribuées par la loi :
les communes assurent l enlevement des dechets ménagers, les départemetns assurent l entretien
des collèges. Deuxième titre de compétence : clause génrale de cométence : dispostion génerla de la
loi attibuant aux ct la competence piur régler toute quesiton d interet locales des lors qu aucn texte
ne la confie à une autre perosnne publique. Depuis 2015 suele la commune en dispose de cette
clause gene de scompétences.
Bref Soit donnée par la loi donc, soit pour la commune par intérêt communale en vertu de cette
clause.
Cst normalement l organe déliiberatn , au sein de la ct, conseil mun, dpart ou regio qui es tompétent
pour créer ou suppirmer le SP.

A) La lberté pour créer ou suprimer les SP


Ca soulève la distincton entre SP obligatoire, facultative ou interdit.
1) Les sp obligatoires
Ce sont ceux don’t la creation est obligatoire, et en ppe ne pvnt etre supprimé psq doivent exister.
Donc tenu de créer t interdiction de supprimer. La SOURCE DE Lobligaton peut résulter de textes
varies: constitution qui impose lexistence de ctns SP ( les sp constitutionnels): cst essentiellemnt le
cas de service liés aux activités regaliene s de l Etat, la diplomatie par ex (art 14 C) , la déf ntionalen
(15,20,,21,34,) ou enore la justice ( 64 et 66) . On trouve également imposer ctns SP sociaux: sécu
sociale ( art 34 et 47-1), l’éducation et la culture ( al 13 du prémbule de 46), santé et aide sociale ( 11
du préambule de 46). Ainsi, de tells SP dvnt etre crées psq la C l impoe et ne pvnt etre supprimée que
n vertu d une revision constitutionnelle.
Dnas les autres cas le splus nbx, cs tla loi ou le regl qui impose la creation de ctns SP: leconseil constit
l a indique 1986 relatives au xprvatisaiton que n vertu du parallelism, ce que la loi ou le reglemen ta
fait, ils peuvetn le défaire. Donc mm si cst bligatoire, cst tributare de la vté du législataire ou du pv
reglementaire.

Deux categories qui méritent de l’attention:


- Il existe des SP locaxu obligatoires: ce snt des SP que la loi impose aux Ct d ‘assurer, leur
interdit de ne pas assurer. On peu tpenser à l’nelèvement des déchets ménagers,
l’asainissement collectif( egouts) les pompes funèbres pour les communes; l action sociale,
les serviced dincedies et secours, les archives : pour les départements; les transports inter
regionals pour les regions. Donc, le statut de ces PS locaux pbli: obligatoires pour la ct
compétente, pas de choix; mais l aloi elle peut leur retirer ce caractère obligatoire.
- La deuxième remarque conssite à évoquer l al 9 du prémbule de la Cstit de 46 qui semble
rendr eobligatoire les SP nationaux et aussi l’érection en sp de smonopoles de faits psq l al 9
du preamb de 46 indique que l Etat doit nationaliser les SP nationaux et les monopoles de
fait. Le degrès de contraitne pesant su rlEtat est ici limité pour plusieurs raisons: ces notions
revocoivent une definition restrictive. Sp national ca passe encore mais monopole de faits le
conseil consti dans dec de 86 indique qu un monopole de faits s apprécie au niveau national.
Don cpar ex le juge va dire les autoroutes ne sont pas un monopole de faits psq il y a pls
compagnies d autorioutees usr le terriotire national( mm si y a qu’une cpgnie dans une
région et qui a un monopole là, sur le territore national y en a pls don cpas de monopole) ces
notins sn tdéfinies retrictivement. Ensuite deuxième raison: il n existe pas de sancotin à l
obigtio nde nationalizer psq c st l elégisalteur qui est competent, il n’y a pas de procedure
permettant de sancitonne rune action du législateur : si le législateur ne nationalise pas, qui
pourrait le faire ? aucun ( on ne peut saissr le conseil constit que d une loi et non de l
absence d une loi)
donc obligation certes mais sans contrainte. Puis enfin le parallelisem des compétences
joue :si ON pense que des monopoles de fait ou des sp ne pvnt etre privatisés cst faux, il
suffit que la loi retire à telle ou telle activité sa qualification de de SP national auquel cas
place cette actiivté en situaiton de concurrence, pour ue du coup il n y ai tplus de sp national
ou de monopole de fait, pour que l activité devienne privtisable, ou mm pourrait on le
supprimer.
1) Les Sp facultatifs
La réation est possible mais sans etre obligatoire et la suppression est possible. La créatin et la
suprpesision sont à la discretion des autorités en cause. Ca concerne des spnation aux mais ussi
locaux, que la loi laisse les ct libre de créer mais sans les y obliger. Les communes peuvent créer des
consevraotiresn des muses ou des bibliothèques mais elles n y sot pas tenues.

2) Les SP interdits
Savoir si ctns secteurs d activités eraient interdits aux perosnnes publiques?? Donc pour etre
résevées aux pers privées. La réponse est non, en tout cas jamais de manière systématique. On a pu
se poser la question à propos des acitvités économiques, psq nous vivons dans une éocnomie de
marché, marché libérale. Les activités éco son ten ppe reserves aux pers privées, pour autant pas d
interidciotn aux pers publiques d intervenir en aiere economet et d eriger l actifvité eco en SP, qd
bien mm l inerventio iéconomique de la pers pub ptt apparatitre de nature à étouffer la concurrence
privée. Compte tenu des ressources e tinstruments juidique don tdisposent la pers publ, pl aper
sprivée ptt anéantie si la per spublque le souhaite.
Certes, la liberté de commerce et d industrie n empeche pas la per public d intervenir en matière eco
mais elle encadre nénamoins cette activité. Et la jp est allée en s assouplissant au fil du temps de
sorte à faciliter les possiilité d interventi econoique des personnes publiques, ce ui peut paraitre
ontradictoire au mvmvnt de libéralisation de l’economie. En effet au depart l ineterventn éco des
pers publiqesues etaien tsbordonnés à des circonstances exeptionnelles: 1901 ce Casanova. Ensuite
d_ès les années 30 un premier assouplissemnt, sect 1930 Ch syndicale du commerce en detail de
nevers , le ce n eige plus que des circonstances particulières, donc ce n es tplu sexcepitonneles, soit il
faut une carence de l initiative privée. Il faut que la pers publ montre qu il n yavait pas id initiative
privée pour entrer en mati économique. Le jgue considérait comme carence non seulement l absence
mais aussi l insfuissance numérique de cette iniative privée, don cune commune peut ouvrir
boulangerie qd il n y en a pas et qd il n y en a aps assez eu egard au nb d habitants, et mm lsq cette
insuffisance n etati pas que quantitative mais qualitative, ou bien mpeme lsq il y a un einadéquatin
tarifarie entre le tarif d el activit& eco privé et les ressources des usageers privés. Le ce depuis ass
2006 ordre avocats ca paris, le ce s econtente d exieger un interet public tenant notamment, mais
pas exclusivement donc, à la carence des initiatives privées.

I) L’organisation des SP
A) La competence pour organiser les SP
Ctee competence relève en ppe ud pouv reglementaire, sou sla meme reserve que le creation et
suppression des SP, ie qu il y a qlq matières relevant de la loi. La competence pour organizer le SP est
la même que pour les créer. MAIs IL N’EN A PAS Toujours été ainsi. En effet , av 1958, et alors mm
que le domaine d ela loi etait illmitée, le ce avait estimé que l orgnaisation des SP relevait d’un
pouvoir reglementaire autonome ( arret babin 1906) qui nous montre que cst avant 58 que le puv
rglemtnarie a acquis compétence pour orgnaiser à ctnes mesure le SP . Aussi, le chef de service
dispose d un pouv reglementaire d organization interne de son service dans le silence d ela loi et de
lareglementaion generale 1936 Jamart CE. Si on réussit un cocnours admin et qu on sera chef de
service, on aura )à prendre des décisions de reglementation de service.
B) Le mode de gestion du SP =qui va gérer le sp
Pour determiner le mde de gestion du SP , la pers publque compétente dispose d un choix
totalement discrétionnaire. Même des contraintes externs ne sont pas venues rellement le
contraidnre, un eliebrté totale dans le choix de mode de gestion que le dt de l ue n est pas venue
retreindre ( qui qd impose des contraintes en matières de sp, c’est hors le mode de gestion du sp qui
a été retenu par la pers publique) . Autrement dit, es hypotheses où un mode de gestion donné soit
imposé ou interdit est rarissime. Il existe qlq hyothèses d interdiction qui porte sur linterdiciotn de
déléguer ctns services publics à des personnes privées. Le CE l’avait indiqué dans un avis de 1986
que ctns SP ne poouvaient etre délégués en raison de leur nature ou d une disposition
consittutionnelle expresse. C’est la cas notamment du pouvoir de police dministrative ( qui
normalement ne peut etre délégée). Cst également le cas pour le SP pénitentiaire, en tout cas le
noyau dur de ce service ie les activités de direction ,de greffes et de surveillance n epvnt etre
déléguées et dvnt don crestées gérers par lETAT: Dc aout 2002, bref on ne peut avoir en fr des
prisons privées. On pourrait ajouter des activités tells que l ajustice qu on imagine mal déléguée à
une perosnn privée, ou encore le simpotes, bref tt ce qui concernaerati activités régaliennes. La
distribution d electricité en vertu de la loi doivent etre délguées. La personne publique a le choix
entre pls modes de gestion publique ou privée ( ici gestion cst au sens organique= personne qui vont
gérer le service et non gestion publique= soumission au dt publique et gestion privée= soumission au
dt privée)

1) La gestion
On a deu xformes:
a) Régie direct
Cs tl hypothèse où la pers publique compétente: Etat ou Ct gère elle mpee le SP, et donc le SP ne
dispose pas alors d une personnalité juridique propre. LA SUELE perosnne juridique cst la perosnne
publique qui gère le service soit l etat soit la CT. Ca n empeche pas neanmoin sune ctne
individualization possible du service. D’abord en effet, dun pov orgnaique, il peut etre érigé en une
administration distcinte au sein mm de l’ Etat ( ex on n econfond pas ensiegnement sup et finance
publiques, certes n a pas la psnnalité juridique mais a qd mm une structure propre et placée sou sl
autorité huerarchique des dirigeants de la personne publique, (70 : régie des postes et telecom=
services de l’Etat, ex régie des finance publiques= n a pas personnalité juridique mais cst un service
distinct au sein de l’Etat). Donc individualisation organique. Mais aussi, la régie n exclue pas une ctne
autonomie financiere qui peut exister, materialisée par un budget propre. Ca peut etre une
obligation cette autonoie financière, ainsi la loi l exige pour les spic des CT, pour les spa des CT cst
facultative. Cst pour voir d ou vien tl argent et a quoi cst utilisé ( si se finance par les usagers…).
Prendre garde a ce qu un ctn nombre de services nommé régie n en sont pas au sens jrudique du
terme car possedent une personnalité juridique. AU NIVEAU national, la ratp, es ten réalité un
etablissemnent public, cst un epic national. De même, la loi et le code gen des ct a crée une forme d
ineptie jure n qualifant les etablissemnt publics locax ( des ct) de régie dotée or de la personnalité
juridique, ce qui n a doctrinaleemnt aucun sens : s ils sont dotés de la personalit é jur ce sont des
ETAB PUB, pas des régies.

b) Letabliisement Public
Cest un service personnalisé de dt public auquel on a attribué une psnalité jur disctinte d el etat ou
ct. Svnt cs tune forme de decentralization technique ou decentralization fonctionnelle afin de
permettre une plus grande autonomie de gestion. IL PEUT arriver mais cst rare que l etbalissemnt
public ait un substrat humain ie qu il concerne une collectivité humaine auquel cas on dira
etbalssement public corporative représentant une communauté de professionnel, et d’usagers. Cs tle
cas pour les ch consulaires, les ch de metiers et de l’aartisanat, chamre d’agriculture, chambre
consulaire, ch de commerce et de l’industrie, cst aussi le cas pour les universiés (etabl pubic qui
amdinistre une communauté d ensiegnant et d etudiants). Qd l etablissemen tpublic a un sbrat
humain, ne s administer ^pas de la meme manière que qd cst un etab publ purement fonctionnel ou
purement fonctionnel.
L etabliss ublic se singularize des autres pers publques par deux aspects:
1) Spécialité: Il est chargé en ppe de la gestion d une seule activité qui peut etre un SP
générallement mais peut etre des acitvités non constitutives de SP , du moins ct dans le
passé, cette suele activité cst celle confiée par le texte l instituant. Normalement l etabl
public n a pas voatio a dvper d autres activités que celles relevant de sa spécalité . CA CST SA
PREMIE7RE CARACT2RISTIQUEcontrairemtn aux autres pers publiques, l’Etat, la CT,
2) Son rattachement
Il depend d une autre pers publique, soit d el Etat soit d une CT. S il depend d elEtat , on dira etbl
publ national, si d un ect on parlera d etabl publ local ( regional , départemenatal, communal ). Là
encore le rattachement est explicité par le texte qui institute l’établissement public. A CET
2GARD, les qualification spvn etre tromepueses: un etabl pub nation rattaché à l Etat peut exercé
son activité dan sun cadre territorial delimité ou déterminé. Par ex les sch consulaires ont un
ressort territorialié normalement regional mai spour autant sont rattachées et dependent de l
Etat; dem piur université qui sont etabl ûbl nationaux ells on tnéanmoin sune vocation
géographique de ppe. Inversmeent un etabliss public local peut particper a l execution d un SP
national ex: les collèges sont des etabl publ departemenatau,les lycées udes etab publ réigonaux
mais assusrent le SP national de l’éducation. Enfin, le ratachemen tdt être distingué de la tutelle,
ce qui n’est pas toujours evident: les etab publics comme toute personne publique sont soumis à
une tutelle mais celle ci n est pas forcéement celle de la personne publique de rattachement.
POUR LES ETAP PUBL NATIONAUX CA COINCIDE DONC SOUMIS 0 LA TUTELLE DE L etat, mais
pour les etab publ locaux, certes ils sont rttachés à une CT mais ils osnt soumis à la tutelle de
l’Etat.

A propos de la tutelle, un etab public est nmlmnt soumi à une tutelle, cst celle de l’Etat psq la fr
est centralisé. Les etab sont moin sautonomes que les ct car ne beneificent pas du ppe
constitutinonnel de libre administration. Ici, les situations son ttrès hétérogènes d un
établissement public à l’autre: ctns établ publics sont plus autonomes que d autres, en particular
qd letab public a un substrat humain, il n est pas rare qu ils s adimistrent par des organs élus: cst
le cas à la fac qui s adminitre par des consiels élus qui élisent le présiden td elunivrsite. MAis dans
les etab publ purement techniques, svnt le dirigzneat est nommé par la pers publique de
rattachement, ou par celle de tutelle. Par ailleursn , il n est pas rare que subsiste des proceeds de
contrôle asse ppoussé teles que l exigence d approbation de ctnes decision par l autorité de
tutelle (pvnt entre ren viguru que si l autorité de tutelle approuve ou au oins que l autorité de
tutelle dispose de pouvoir d annulaton si pas d’accord, l’Etat ne dispose plus d un tel pouvoir.

Qui est l’autorité compétéente pour créer un etab public??


Cst partagé entre le législateur et le pouvoir reglementaire. En effet, lart 34 C PR2VOIT que le
législateur es tcompétent pour créer les categories d etablissement public et définir leurs règles
constituves ie leurs spécalité et leur rattachement. Ce qu on appelle catégorie désigne un ensemble
abstrait d etablisemnt upublics qui partagent les memes caractéristiques de spécialité et de
rattacchement par ex les universités sont un ecatégorie d etablisse pblique : font la mm chose en
étant rattachée à l’Etat. A lintérieur d une catégorie jur existante, la creation et la suppreisson releve
du pouvoir reglementaire : ajd seule la loi pourrait suprimer les univ en tatn qe catégorie d etab publ,
en revanche si demain on veut supprimer une université a st alo,ou brest, le pv regle est coméptent.
Il est imprtatn desouligner que la catégorie n est pa sune affare de nom: un établissemen tubllic peut
constituer à lui seul ne catégorie si il est le seul a avoir une activité et un rattachement donnés.
Enfin, ilconvient de distinuer au sein des établissement publics deu xgrandses sortes etablissemen
tpubics selon leurs activités, les établiss publics amdnistatifs et les etabl publics industrels et
commercieaux. ( epa et epic). Epa ) gérer spa et epic= vocation à gérer spic. Vocation car celle ci peut
susciter des exceptions.
Ex d’EPA: etablissemrnt d enseignement : college, lycées; les etbalssement de recherche cnrs; les
etab publucs dneseigne et de recherche type fac et gdes ecoles; les musées; les hopitaux; les ciasses
natonales de sécu sociale, les cente scomunaux d acito socale; ou encore les services
dépratementaux d incendie et de secours.
Ex Epic: y en amoins ajd car bcp d epic ont été transofrmérs en société: la poste, fr telecom, edf ,gdf,
sncf ont été des epic mais ne le sont plus, on peut encore citer ajd nénamoins la ratp, l office
nationale de forêts, au niv local les office spubliqeus d habitat et les offices de tourisme;.
Des difficultés pvnt etre plus que des difficultés spatiales.
( Galop le 12 jsq au SP et TD 4 inclus)
Cours du 24/02/2022
Pour distinguer les EPA, il faut examiner la nature d eeur missions:: EP : vocation et juste “vocation”
normale à gérer spa et epic spic. Mais parfois ce n’est pas comme ça, un spa peut etre géré par une
autre structure qu un epa et de même pour les spic; par ex des pers privées et autres… donc ça c’est
enc as d’absences textuelles puisque:
Il arrive que des qualifications textuelles s’en mêlent et qualifient les EP soit D EPA soit EPIC. Mais
ces qualifications textuelles ne correspondent pas toujours ou pas tjrs totalement à la nature relle de
l activité d el etablissement. Ainsi, nous avons des établissemnt publ à double visage, et des établ
publics à visage inverse.

I) Etablissement publics à double visage=


Ceui dont la qualificaiton textuelle ne correspond que partiellement à son activité.Autrement dit, cst
un établissement ublic qualifié par un texte d’epa mais qui en réalité gère à la fois un spa et n spic, ou
plu sfréauelmment cst un etab publiq qualifé d epic par les textes et gérant à la foi sspa et spic. Ici cst
ne volonté de fair eechapper à un régime de dt public pour un rég de dt privé plus osuple alors mm
que ces epic sot plu sconernés par le spa, et moins directement un spic or cst un epic. Bref epic, mais
gère plus spa que spic, mais ne veut pas un rgime de dt public contraignant dcp se cache derrière
l’epic.
EN areil cas qu fait le juge ? Normalement, son attitude est la mm que s il n’existait pas de
qualification textuelle : il epeut appliquer une approche distributive ; est appliqué à l etab publ le
régime qui a vocaitn etre le sien : soit dt public pour les activiés de spa et dt privé pour les activtés
de spic. Nous avons une jp sur les ports autonomes, sont qualifiés d epic par les textes, mais le juge
leur applique le dt publ pour les activités de spa( contr^le et navigation -cirvculation des bateaux et
de l activité maritime ( accostage de bateau)) ;inversmeent activités de débarquement bateaux et
marchandises ( docakires) sont de droit privé , spic dans cette situaiton donc.
Cette démarche traditionnelle fait largement abstraction de la qualification textuelle on dirait que ce
que les juges font ne tient pas trop compte des textes ! Et ça ca peut poser pbm quand la
qualification qui emane de la loi ; car la loi est censée s impoer aux juges admin. ET DONC le TC 29 12
2004 epouc blanckeman a largement infléchi ( cs pas un revirement) pour donner une meilleure
plcace à la qualification législative , autrement dit abordant le cas d un etab pub qualifé d epic par la
loi par ex, en l’occurrence voie navire de France, le ja considère que les acctivités de l etab sont
présumés etre des SPIC, excpeté les activités de reglementation de police et de contrôle traduisant
lexercice des pgatives de puissance publique et donc releve du spa. L idée de cette jp est que la
qualification de l etablissemen test censée emportée qualificarion des activités jusqu a preuve de
contraire cst a dire les activités insusceptibles detre assimilés a des activités industrielles et
commrciales. Ce que ca change par rapport a la jp antérieure, cst que les activités tangeantes qu on n
es sait si cst spa ou spic ( objet cst comm ùmais leur financement pas vraiement ) alors là
qualification législative est censée faire foi, soit pour ces activits où la nature réelle est incertaine
entre spa ou spic, la qualification législative devrait emporter. : Cette jp fait que l’on donne une
meilleure place à la qualif législative, par des présomptions déjà jsuqu’à preuve du contraire ; mais
aussi pour les activités incertaines, pour lesquelles la quaification législtive l’emporte.
Désormais donc bref, la qualifciation législative es tmoeux prise nn compte par les Juges admin.

II) Etabl pubics à visage inversé.


Ici la qualifciation legislative ne correspond pas à son activité. Soit on est en présence d un EPA uqi
gere un spic u plus frequemment d un epic gérant un spa. Comment se comporter en pareil cas ?
La postiin du juge consiste à déterminer si laqualification émane d unne loi ou d un règlement. Y A
UNE différence entre les deux car la qualif legislative s impose aux juges, la qualification
règlementaire non, le juge puvat rectifier la qualif regleentaire s il ne le stime pas exact et cst ce que
le juge faisait : si la qualif reglementaire lui paraissait inexact, il n en prenait pas compte ( TC 24 06
1968 Société Distilleries bretonnes : epic qualifiée comme tel par voie reglementaire, néanmoins le
juge va qualifié les activités de spa) ; (Y a des casou le juge requelifie carrément l epic d’ EPA ce 4 7
1986 berger). Les conséuences sont différentes qlq fois entre changer le nom ou pas (le txt dit que
les contats passés par un epic sont des contrats de dt privé, si jamais cet etab pub est à visage
inversé, pour changer la nature du contrat ca suffit pas de dire que son activité est un spa, car les
contrats resteront de dt privé vu le contrat, là si le juge requalifie en epa alors les contrats selon de
droit public  )
>Là où cst plu scompliqué, cst quand la qualifiction émane de la loi. Il ne peut pas requalifier en epa
un epic qualifiié par la loi mm si cet epic gère en r »alité un spa. Le ce a depuis les as 90 tenté de
controuner la loi en dissociant la qualificatiojn de la nature de l’activité et la qualification de
l’établissement faite par la loi : CE sect 9 07 1997 agence nationale pour la participation des
employeurs à l’effort de construction (ANPEEC):ET ici le ce va considérer que la quaifciation
textuelle de l’etablissemnt n emport epas quaif textuelle del activité : si la qualification textuelle est
epic, ça ne eveut pas dire que la qualification textuelle entrâine de qualifier l’activité d’epic. Soit mm
si la loi qualifie un etap puub d epic rien n interdit au juge de constater que son activité est en ralité
un spa et d’en tirer ainsi les conséquences juridiques nécessaires. En pareil cas, le juge appliquera
conformément à la qualif législative les règles dont la qualification dépend de la nature de le
tablissement telle que déterminée par la loi ; par contre cst sur la base de ses propores critères
jpdentielles qu il determiera les regles découlant de la nature de l activité : on va dir que ca permet
de controuenr largement la qualficiatin législatvie.
Ajdhui faudra t il relire ceci à la lumière de la jp epoux blanckeman, qui implicitement on peut
déduire que qd un etap pub est qualifé d epic par la loi alors jsq a preuve du contraire ses ativité
sont censées etre spic. En clair, y a que si les activités de cet etab sont uniquement des actiivtés de
reglementation de poice et de contrôle que le juge ajdhui appliquera ANPEEC, sinon e présence
d’activité tangeante, hybride il considèrera que la qualification de l’établissement emporte
qualification de l’activité. Si on applique cuulativement blancmenet et ANPEEC, ANPEEC ne s
applique plu sque si les mission sdu pretendus epic ne sont plus que desmissions d activité de police
et de contrôle.

2° La gestion par les personnes privées : Association ou société.

Y a deux moyens d econfier un SP à une per privée : l’habilitation uniilatérale et la dévolution


contractuelle.

A) L’habilitation unilatérale :
> pour la pers publique de prendre Un AAU , ou une loi éventuellement ; désigantn une personn
privée souvent créer ad hoc pour prendre en charge un SP.
Ici on est en présence d un procédé proche de la création dun Etap publi si ce n est que la pers
morale qu on créée est de droit privé et non un étab pubique.
Les deux arrêtspar lequel le ce admet qu une pers privée puisse gérer un service publ : CE, ass.,
13 mai 1938, Caisse primaire Aide et protection et CE, 20 décembre 1935, Établissements Vézia.
Dans les deux cas ça parle d’habilitations unilatérales. Dans le premier, une sté de prévoyance
indigène ( ca disait les noirs ne sont pas faits pour l’économie…) ; le second : caisse primaire aide
et concernait caisse sécurité sociale.
L’habilitation unilatérale est sscetpible de concerner tous types de SP. Il est vrai qu elle apparait
particulièrement adaptée aux spa lsq la pers privée ne suit aucun but lucratif. Par ex les
associations, les fédérations ssportives qui de part une habilit unilateral gere telle ou telle activité
sportive ? Donc les associations, ca peut etre des ordres professioneles, ca peut etre aussi caisses
locales de sécu sciale et non caisse nationale qui elles sont des établissement publics. ; ca peut
etre le cas de … et aussi des caisses « locales »(orgnaisem mutualiste de pers privée) de sécu
sociale, et non caisse nationale qui sont des etabl publics.

Le procédé tend à se multiplier pour les spic, psq la plupart des anciens epic nationaux qui
avainet été crée par la loi pour gérer les spic ont étébtransformées en société que la lo cotntinue
à charegr du SP. Pq multiplication des habilit unlatérales des pers privées à gérer spic ? bah voilà
quoi.
C’st ainsiq que qd fr tel en 96 a étét transformée en sté, la loi l’a chargée du SP de la télécom
devenue communication éléctronique ajd, et ajd orange gère toujours ce qui reste de ce SP. De
même pour edf et gdf devenu engie ( edf et gdf transformé en sté mais la loi continue à le
charger du SP de gaz) ; aéroport de paris en 2005 transformée en sté mais désignée par la loi
comme gestionnaire des aéroports ; la poste en 2010 devenue sté mais reste en charge du SP
postale, enfin la sncf en 2018 ; ptt un jour la ratp. L habilitaiton unilaterale peut parfoi setre
addréssée à une pers privée transparente, on rappelera Jp ville de Melun souvent qd un sp est
géré par une pers privée transparente, cst souvent en vertu d’une habilitaiton unilatérale, car l
acte unilat crée une personne privée à laquelle elle ne laisse aucune autonomie et la charge d’un
SP.
B° DEVOLUTION CONTRACTUELLE
Contrat ici confie le sp à une personne privée et le contrat est forcément administratif ( epoux
berthin : cotnrat de dévolution du sp sont par leur objet des ct admin) .
Y a deux types de contrats : ppalment le contrat qu on appelle la délégation de SP ( ici cst composite
mais regorupe trois catégries d econtrats preexistants presentant un point commun : le gestonnaire
de service (délégataire) voit sa rémunératuon lié substantiellement aux résultats d exploitation et cst
lui qui asume le risques d expoitatiàn = pas de reultats, pas de rémuerations )
Ces contrats : il y a d abord : la concession de SP au sens traditionnel qui est un contrat dans lequel le
concessionnaire est rémunéré par les usagers ( payer redevances e péages pour les rémuneérer les
stés d autoroute).
On a aussi – la fermage ( le fermier se remunere sur les usagersmais la difference avec les
concssions= le fermier n a aps la charge de réallise les infrastrucutres du service qui sont mis à
dispostion par l apers publique et le fermier en contraprtie paye un loyer a la pers publique ; ce qui
est un procédé commode qd les infrastrucutres du servce sont preexistantes : assez souvent les
cgnies de distribution d eau qui passent commande d’affernage avec les commune fin l’inverse.  ;
différence ici avec la sté d’autoroute, l autoroute a été construite par la sté et qui paye pas de loyers
à l’Etat)
Enfin la 3 eme catégorie : la régie intéressée, qui est un contrat dans lequel le régisseur est payé par
la pers ublique et non les usagers, mais cette rémuéation comprend un interessement sur la base ou
fondée sur des résultats d exploitations . Ce qui est commode quand les dits résultatts ne consistent
pas simplement dans la féuqentaton la plus large des srvrices, mais dans de objectifs qualitatifs et
autres.
Voilà les trois contrats qui composent la délégation de SP. Depuis 2016 les délégations de sp sont
comprises dans al catégorie des concessions au sens de l’ue et cst plus vaste. La concessio au sens de
l ue cst lus large qu au sens de concessions de sp dans e dt frs, car cst une variété de délégation de
sp. L’autre variété concession de travaux publics en effet.
Néanmoins, cela peut etre aussi des marchés publics, la délégation des sp est particulièrement plus
adaptée pour les spic car fait paye les usagers, et moins pour les spa sauf la régie intéressée,
essentielement la concession au sens stricte et l’affermage cst pour spic, et pas spa car dans les spa
nmmnt on ne fait pas payer les usagers, pour les régies intéressées ça peut être hybride,on peut mm
penser que si y a aunce rémunratio par les usagersn, le service par régie intéreressée n est carrement
pas un spic. )
L’autre gde catégirie de contrat= recourir aux marchés publicsq et pécialement les m pub de services,
dans lesquels on peut confier la gestion du SP à une per privée rémunéré par un prix versé par la pers
publique= commune aix en provence CE sect 2007: le marché publ de service peut etre un
instrument de dévolution du service, ca peut etre eployé aussi bien pour spic que spa, puisque le
mode de rémunération du cocontractant n est pas assuré par les usagers. On s etati posé avant que
ca n integre le champs des marchés publics si les contrats d epartenariat publi et privé pouvaient par
les multiples missions qu il confiati au contractant pouvaient lui confier la gestin du SP : la loi etati
muette, la doctrine en gros était défavorable ; l ord d e2015transformant contrat de partenariat en
amrché de partenariat et intégrant marché public prévoit désormais qu il puiss eporter sur la gestion
d’un sp.

Paragraphe 2  : Les «  lois  » du SP


Les lois en cause ici ne sont pas celles au sens juridique ie votées par le parlement ; mais ce sont des
ppes généraux de fonctonnement des SP. Lois ici cst plus au sens scientifque quoi, genre loi de
gravité et tout. Cst la dccotrin euqi a théorisée dans las années 30 ces lois du SP , à partir de la JP. Il
faut citer le rôle de Louis Rolland, ou il a formaisé les lois du SP, qu on appelle ajd les lois de rollalnd
et il en a identifé trois : continuité, qualité, et mutabilité. Cette trilogie presente un caractere
exhaustif. Mais avant tut ça , à signaler que ces loiS DU SP sontà la fois communes à tous les SP et à
la fois propores aux SP . Communes aux SP = s applique peut importe que le service en casue soit spa
ou spic, que soit géré par pers publ ou pers privée, bref indépendanmment de la nature du service et
l identité de son gestionnaire ( 2 illutratons en 2013 ; Cass. soc., 2013, CPAM de Seine-Saint-Denis a
considéré que le ppe de laicité s appliquait aux cpam , pers privée gérant un spa, soit le salarié d une
cpam n a aps le dt de porter un foulard pdt son trvaail. Qlq semaine plus tard CE, ass., 12 avril 2013,
Fédération FO Énergie et Mines: le ppe de continuité s applique à edf pourtant pers prive gérant un
spuc : bref on peut limiter le dt de greve des personnels d edf au nom de ce ppe. ) donc ts les sp sont
concernés mais slmnt les SP. En effet les activités privées non constitutifs de SP ne son tpas soumises
aux lois du sp ( ex le code d trvail préoit qu n ne peut interdire le por de signes religieux dans une
entreprise que lsq cela : bref pas possible d interdire ce port de signes religieux par les personnels
dentrprise ou d’associationos, le reglement intérieur de l entrepr ou de l asso ne peut inteddire le
port de signes religieux que si cela est necessaire pour l’accomplissement des taches de l’entrperise
ou de l’ssociation en cause).

De même l ppe de cotinuité ne s appique pas non plu saux activitées des entreprises et assoc qd bien
mm leur activités est nécessaire pur satisfaire les besoins essentiels de la ppluation ( ex affaire sur la
requisiton de transporteurs de pdts almentaires ou carburents : pas d interdition possible du dt de
greve. )

I) La continuité du SP
A) Définition : C’est l’obigation pour le service de fournir sa prestation en tout temps et en tout
lieu du moins dans la mesure nécessaire à l’exercice correcte de la mission du ervice( sachant
que tout est question de prpoprotion= tout dépend de e qui est nécessaire à lexercice
correcte de la mission du service : y a des servies qui pour etre correct en terme de
focntionnement impkiquen tqu il ne puissent jms s interrpompre ex police justice santé ;
pour d autres il speuvent s interrompre sans que foncitonement normal ne soit affecté ex l
education. )
B) Valeur  : la continuité a valeur consittutionnelle. Ce qui est surperenant car n est nulle part
consacré dans la constitution ni dans le blo c de constitutionnalité d ailleurs. Néanmoins le CE
l a recoonu des CE, ass., 7 juillet 1950, Dehaene et ce implicitement souvent , car le ce a
estimé que le ppe pouvait justifié une limitation du dt de grève qui est un ppe
constitutoionnel= limiter un ppe consittutionnel paar un autre ppe constitutionnel ahah
malin x) ). Au demeurant le conseil l a cnfirmé en 1979 C. Const., décision n° 79-105 DC du 25
juillet 1979, Loi relative à la continuité du service public de la radio et de la télévision que
ce ppe avati vakeur constitutionnelle.
C) Conséquences de la continuté du SP  :
1° Sur les statuts du personnel
a) Sur le dt de grève : le ppe de continuité conduit à pouvoir limiter l’exercice du droit de grève
dans les SP. A l’origine ct même bcp plus rigoureux que cela, CE, ass., 13 juin 1980, Mme
Bonjean avait interdit simplement le dt de grève dans les SP. En gros, il faisait de la grève
l’équivalent de ce qui existe encore en dt la cfocntion publ qui est l abandon de poste=
déserter l armée. A l epoque ce dt de greve n avait pas valeur consittuionnel. Ca a changé en
1946 avec l art 7 du prémbule C 46 : le dt de greve est prevu pour tus les trvaailleurs, y
compris dasn Les SP, reconnaissant donc ce dt de grève pour tous les trvailleurs dans le
cadre de lois qu elle reglementent : le législateur peut vnir regementer /limiter le dt de
greve au nom de ctns autres impératifs et le ce a confirmé dans dehaene la continuité du SP.
Car ce nest qu une partie de dehaene, en effet l arre enchaine en interprétnt largement la
ompétence pour déroger ou limiter le dt de grève, cst une innovation ici stt compte tenu de
CE, 7 juillet 1909, Winkell, ce qui n était pas attendu, (selon dehaene) cst que en l absence d
elois venant encadrer de manière gen le dt de greve dans les SP, un tel encadrement relève
mm ou peut relevr des compétences du chef de service en vertu de Jamart. Cst ainsi que
dans dehaene un prefet a pu reglement l’exercice du dt de grve par les agenst de sa
prefecture, idem en 2013 le ce a admis la compétence de la direction d edf pour reglementer
le droit de greve dans les centraes nucléaires ; aussi en 2006 le ce a reconnu implici la
compétence de la direction de la ratp pour reglementer dt e greve à la ratp …
Donc du pov du fond, quel peut etre l ampleur de la limitation ? Tout dépend de l ampleur
des exigence des contiuités : dans les sp qui divent foncitonnes de manière ininterrompues,
le dt de greve peut etre ismplement et purement interdis. La loi le fait pour les policiers,
militaires, magistrats, gendarmes. La Jp a étendu cette solution à des agents exercant des
fonctions d autorité, ou bien encore les foncctioonnaires assurant des missions
indispensables de sécurité : cont^roleur aérien ou les agents du service des urgences à
lhopital( hypothèse la plus rigoureuse). Quand les policiers ou magistrats manifestent ils
prennet un jour de congé. DANS L AUTRE SP, le niv d exigence descend d un cran, cst lervice
inimum qui est mis en place . Ie. L accomplissement des fonciton sessentiels du service  : les
agents peuvent se mettre ne greve mais sous revserve que les missions essentielels soient
asurées. A cet égard, le juge vérifie que sous couvert d un servie minimum ce n est pas un
foncitonnement nrmal du service uqi est mis en place ( dc 1979 : le juge constit, psq la loi
limitait le dr t de greve … ce nest pas un servie min qui es tmis en lplace, en l occurrence il a
censuré le soit disant serv minimum a la radio… donc vérifier que cst un serie min qui est
insatlé mais non foncitonnement normale). Puis le juge vérifie si le service min est ce qui est
nécessaire pour assurer une continuité sufissante du sevice ; soit si une continuité suffisante
peut ettre assurée par des disposition s moins atentatoires au dt de greve que le serrv min,
alors le serv min es timpossi CE, 8 mars 2006, Onesto et autres: direction de ratp ne pouvait
mettre en place un serv min a la ratp car d autres dispositifs plus legers permettent un
fonctionnement minimal duservice, le juge adm ptt prend peu le metro par temps de greve
car … boff). :
Dans les autres SP, et bien il n y a pas d autre slimitation sdu sdroit de grev, ue celles posées
par la loi de 1963 interdisant ctnes modalités de greve(greve tournante : le personnel se
concerte pour se donner le rôle, le tour eest interdite, aussi la greve perlée l est  : inteddire le
trvaail pendant une gde periode pour desorganiser le servie ex : mr se déclare en greve
uniquement a telle heure tel jour ; aussi est interdit, puis le greve sur le tas avec occupation
de slocaux est illégal car les gravistes dvnt lasiser les personnels non gerevistes se rendrent
au trvail)) et exigeant ctnes odalités formelles et prcédureales ( s incarnent dans l obligaiton
d un préavis , avant pour dire qu on va cesser le travail donc) . Pour en terminer avec cette
question, ctns dispositifs législatifs depuis une quainszaine d anneées tendet à renforcer les
exigences de la loi de 1963, et uniquement pour certains services. Pour le dire plu
sclariement, ils imposent des modalités plus durs de préavis, ils imposent en cas de préavis
de grève une obligation de négociation préalable, et enfin ils permettent aux chefs d eservice
de réaffecter des agents non grévistes our assurer la réaffectation des agents non gravistes
sur des taches qui sont pas les leurs pour assurer foncitoneent noraml du service ; LA LOI D
AOOUT 2007 DANS LES TRANSPORTS TERRESTES DE VOYAGEURS NOTAMMENT LES TRAINS a
ouvert cette voie. ON PEUT AUSSI CITER LOI DE AOU 2008 POUR LE SERIE PRIMAIRE AVEC LE
SERICE MINIMAL D Accueil ; aussi loi de mars 2012 pour transrts aériens de voyageurs ; et
enfin la loi du 6 8 2019 pour un ctn nb de SP locaux, tels le service des déchets ménagers,
celui de l aide aux personnes ages handicaés, ou ncore serice tel que creche, cantine. Cpdnt
ces lois ne mettent pas en place un service minimum, la loi d e2007 avait été présentée par
sarko comme loi allant mettre serv min dans les transports, juridiquement ct pas lecas psq il
n est nullement possible en vertu de ces loi sd interdire le dt de grève à ctns agents.
Autrement dit, leur limite résulte dans le nb de grévistes( en terme d efficacité) , ce sont de
sloi squi lsq le nb de grevistes est limité, car le pouvoir d affectation des agents non
grevistses permettent de porurvoir aux misons essentielles du service ; la limite du sdispositif
cst qd y a trop de grvistes et donc pas possible les reaffectations : ct là en 2019 dcp des lignes
de métro ont silpmlnt été interompus a paris : donc ce n est pas un vrai service minimal.
Idem pour le serv min d acueil dans les ecoles car si ts les personnels a l ecole font greve
alors plus rien. Le CE a dit sur ratp en 2010 syndicat sud ratp : la loi de 2007 n empeche pas
le chef d eservice a ratp de regleementer le dt de greve à ratp qui est entrprise ubl : donc cst
pas ue limitation du dt de greve au sens du preamb de 46.
Dans tous les SP MM dns ceux ou y a pas limitations du dt de greve Un erequisition du
personnel es tpossible mais dans des circonstances qu il faut qualifier d exceptionnels : CE,
sect., 24 février 1961, Isnardon il faut que soit porté une atteinte suffisamement grave à la
cntinuité du SP et à la satisfaction des besoins de la population ( il faut que les poubleles
soient bcp dans les rues et dangers sur hygiene avatn de faire requissionts pour les
ebueuers ; aussi le ce a admis qu en cas de greve les amdin peuvent engager personnels d
appoint, mais avec les rges du dt publicCE, ass., 18 janvier 1980, Syndicat CFDT des PTT du
Haut-Rhin; en pratique ca aboutit a empecher le recrutement personnel d’appoint psq les
personnels d interim ne pvnt etre mobilisés car qd on recourt aux serv d une entreprise
temporaire cst selon regles de dt privé ( salarié d l entreprise d interim et ca ca repond pas
aux exigeances du ce. )

b) Cas d’ obligation de résidence : Pour ctns agents du SP, cst prévu qd un texte le prévoit, sans
texte on habite ou on veut et par ailleurs mm qd ca existe ca doit etre proportoionné aux
besoins du SP. Donc effectivement, dans les cas où la cntuité est la plus essentielle, l agent
ptt obligé de loger sur son lieu de travail ( prefet recteur , diret d hopital) ; dans d autres cas
est prévu un perimetre de résidence visant à s assurer que l agent ne réside pas trop loin du
lieu de travail.
Mais interrogeons-nous sur la légalité de cette obli ? Les universitaires ont obligation de résience
mais les présidents d univ ne le font respecter que tres rarement car couteux  ; aparfois on le concoit
qd les travux conssitent à ceux dans les labos, ais dans la pluaprt des cas, on voit par ex que nos
ensignants habitent asse loi, sans que ca affecte l enseignement, et font bcp de travux de rechrches
chez eux.

2° Régime :
Ctns mécanismes applicables aux aau ou aux contrats peuvent se justifier par la contnioté du SP .
Pour les AAu, le rgime de l interim et de la suppléance sont jusitfiées par la cntinuité du sp bien
évidement ; poour les contrats cst plus récent ( l imprévision ou encore encadrement de l excetion d
inexéceution par les co contractans privés).
1) Sur les régimes des biens des SP :
Le statut des biens publics comporte des éléments destinés à assurer la continuité du SP. Le fait que
le sbens des personne spubliques soient insaisissables par ex : on ne peut pas faire ça pour assurer le
couronement de leur tete ; ou encore quel ccoupation privative du domaine public ( autoriser
particuler à occuper parcelle du comaine pubic) n epeut se faire que si cst compatible avec la
continuité du sp.
2) Les pouvoirs de l’admijnistatoion dans ctnes circonstances :
Le juge a dvp la théorie des circonstances exeptionnelles ( théroie jpednetielle donc) qi consiste à
élargir les pouboirs de l adminstration dan des circonstance sexceptionnelles( étendre les frontières
de la légalité) et parmi les mtifs qui peuvent justifier ceci y a le maintien de l ordre public ( parmi les
moif s justifiant la mise en oeuvr ede cette théorie, y a la continuité du sp, lordre public, et l arret de
ppe sur cette théorie CE, 28 juin 1918, Heyriès: rendu dans le cadre lde la protecton du ppe de la
continuité du SP, qui admet qu en cas de circonst excepitn geurre ici, ctns garantes statutaires des
fonctionnairs puissent etre suspendues au nom de la continuté du sp.

D-)Les conséquences de la rupture du ppe


La premiere tendance : un acte adin conraire au ppe de continoté est illégal ? en quoi un aau peut
etre contraire a ce ppe ? ( ex préfet qui décide de fermer service de l etat dans le départment, les
plus souvents les décision contestées sont celles par lesqueles ladi refusent de rétablir la contioté du
sp rompue par de smouvements de greve, evenmnt naturelle par occupation des infrastructure du
service par ex. ) A vrai dire, le contentieux est extremement rare, le plus souvent de telles décision
sson tcontestées sur le fondement du ppe d egalité, ou du ppe de mutabilité, rarement sur le
fondment de la contuité et il est encore plu srare que l illegalité soit admise. Pour prendre ex CE, 18
mars 1977, CCI de La Rochelle, la fermeture d une ligne aérienne a été considére comme justifiée ici
au regard u ppe de mutabilté du serie ; le plu ssouvent qd l usager cnteste une mesure de femreture
du sevie, on lui réponnd une autre loi dus ervice pb justifie cette fermeture en l ocurence e ppe de la
mutabilité. ) FINAlEMENT LES EX D ASISSION D UN EILL2GALIT2 SONNT RES RARES T IL FAUT UNE
RUPTURE CARACT2RIS2E DE L ACONTINUIT2 PDT UNE LINGUE P2RIODE O% LE SPARENT SDU LYC2EN
AVATI OBTENU L ANNULATION DE REFSU DE L ETABLISSEMENT DE ROUVRIR SES CLASSES SACHANT
QUE FEMREES PDT 2 MOIS POUR L ORGANSIATON DU BAC en privant don cles autres usagers de tt
accès au service= excessif. On peut aussi envisager k engagement de la repsosabilité comme sanciton
mais il est fréquent que le juge oppose la force majeure a l engagement de la resposbailti, ou
constate, soit que la rupture d el acontinuité n est pas fautive, soit qu elle nengendre pas un pjdice
de nature réparable.
I) L’égalité devant le SP
A) De l’égalité stricto sensu :
1) Définition : Le ppe d egalité devant le sp est une branche du ppe d égalité plus large e
timpose de traiter d emanirere identique les usagers entre eux, d autre part les agesns entre
eux, dès lors qu ils sont classés dans une situation identique.
2) 2) Valeur : CE, sect., 9 mars 1951, Société des concerts du conservatoire ppe génral du
droit ; mais cst aussi ajdhui un ppe consitutionnel DC 1986 : contrairement à la continuité ,
les fondements textuels ne manquent pas comme art 1 C, art 2 et 6 du ddhc 1789.
3) Conséquences :
Peu étendues. La possibilité de différence de traitement ne peut etre empechée par le ppe. Le ppe e
pose pas obligation géénrale de traiter d el a mm manière tous usagers du sp ou ses agents. Ses
motifs qui jusitifient différence de triatement sont les mm dans la jp administrative que
constitutionnelle. Ce a posé 3 motifs CE, sect., 10 mai 1974, Denoyez et Chorques, que le c constit a
repris en 1988 à l’exception du dernier motifs puisque ces trois motifs son tdifférence de situeaiton,
intérêt général, et l existence d une loi mais évidmeennet l existence d une loi devant le conseil
cnstiti ne pèse pas lourd.

A) La possibiité de traiter differement des situatio sdifférentes 


D un pov conceptuel ce nest pas une exception au ppe d’égalité, cst plutôt une concséquenc eà
cotrario du champ d application du ppe d égalité.
Le ppe d’égalité en tt etat de cause ne vaut qu entre situations identiques : ca ne s impose pas en cas
de différences de situations. Pour autant, selon la jp il faut que cette différence soit appréciable
(objectif) , légitime (des motifs ne dvnt aoirl ieu detre , origine, orientation s …) et en rapport avec
l’objet du service, car nous sommes tous dans des situations sdfifférentes, aucun d entre nous n est
strictement identique aux autres. Ex : ctns d entre nous à la fac sont hommes et ctns femmes, est ce
que ca a rapport vec l enseignemnt sup, non donc pas de raisons de triater diféremment. Dans le
sport, les performances sportives des femmes sont svnt diffrentes de celles des hommes, la
fédération met en place une distinction entre compet masc et compét feminines. MAIS EST-CE QUE
CA DOIT ENTRAINER UNE DIFF2RENCE DE PRIMES ?? Le juge admin dit oui. C’est une solution simple,
unraiosnnment fondé sur la dépense d’énergie physique aurait cnduit à une autre solution.
Pour qlq illustrations de ces possibilités, l’arret CE, sect., 10 mai 1974, Denoyez et Chorques prévoit
possibilités en prévoyant pour tarrif de fixationd un bac reliant iles au continent, qu un tarif différent
et inférieur bénéficie aux résident d el ile par rapports aux résident sud continent : les deux catégries
sotn daans des situaions diffrentes eu égard à l’objet du service  : bref pour les insulaires utliser le
bac est une nécessité pour allr sur le continnent, y faire les courses etc or que l’usage du bac pour les
ocntinentaux cst un agrément,nul nest obligé d aller a l ile de raie s il n a pas envie. IDEM pour arret
1984 qui admet qu une cmommune pouvait fixer tarif prféentiel pour les usaers originaires de la
commune. L arret de onouer et shork avait jug contraire dix ns plus tot car avait admis plein tarif
pour contneutaux, tarif intermidaire pour habitants charnet mar ne résidant pas l ile, et tarif réduit
pour résident d el ile ; le ce dix ans plus tard retient sur la base du même argument fiscal une solution
différente : s agissant pour le bac d un sp départmental, pour la cantine d un sp communal  ; dans le
premier cas habitants du dpéart et dans le deuieme ca sle shabitants de la commune financent déjà
ce service par un cout en tant que contriubuable, ces services sont spa, financés par impot en gros. Et
donc, l argument fisacal fut rejetté en 74, cst pas que habitants finances déjà bac qu ils auront prix
réduits, mais reivrement en 84 à propos de la commune :lsq le service est un spa la qualité de
contribuable finançant déjà un serivce en qualité de contribuable peut justifier un prix préférentiel,
contrairement aux usagers qui ne sont pas contribuables.
Dans cette mm logique, le ce a admis qu il soit possibe de réserver laccès au service aux
contribuables de la personne publique, qui financent déjà le servie par les impôts.

Deuxh xhoses : la prise en compte d une différence de situation n est qu une faculté pour
ladinistration. Soit, il n existe pas dans la compréhensin frs du ppe d egalité de dt a une différence
de traitment qui serait fondée sur une diffrence de situation. Si l adminsitration veut bien tant
mieux, sinon on peu tpas l obliger. Ensuite, tte différence de situations mm pouvant etre prises en
compte ne justifie pas non plus tte différence de traitment. Dpeuis CE, ass., 28 juin 2002, Villemain:
le ce impose une exigence d absence de disproiton anifeste entre l ampeur de l adiférence de
situation et l ampleur de la difference de traitment ; soit des différnces de situation mnimes ne dvnt
pas vaboutir a de grosses diff de traitement : on a un contrôle de l absence de disporportion
manifeste, pas d eplein contrôle de proporitonnalté.

B) La dérgaton au pe d eglaité fondé sur un motif d interet general :


Ici cst une vraie dérgation car concerne des usagrs placés en situations identiques. Pour autant,
une différence de traitement est possible lsq elle sont justifiées par un motif d inter gen e
rapport ave l objet du service. Le plus bel exemple concerne la modulation des tarifs des sp en
fonction du niveau de ressources des usagers. Le motif d intérêt général on le voit bien,
permettre l acces du plus gd nb au servcic sans que l apauvreté soit une circontanc epermettant
d empecher l acces au service. Mais est ce qun tel motif d interet gé est en rapport avec l’bjet du
service ? Le ce a jugé que oui a props des services à objets sociales, CE, 20 janvier 1989, CCAS
de La Rochelle à propos d une creche, effectivement cst en raport aec l objet d un serive social
que de facvoriser l acces au plus grands nombres et aux de splus démnis au service ( grille
tarifaire qui change en focniton des rebvenus) ; en revanche le ce a refusé pris en compte des
resousces pour les services à objet culturels CE, sect., 26 avril 1985, Ville de Tarbes
Huresmeenrt revir jp CE, sect., 29 décembre 1997, Commune de Nanterre: le ce s est ravisé en
conidérant desormais cmme motif d inter gen en rapport avec le service l acces du plu sgd nb aux
svces culture ; ici la seule limite cst que le tarif le plus élevé avec la gradation ne soit pas
supérieur au cout de rveient du service ; soit il n est pas questio d installer un péréquation entre
les usagers, pas question de farie payer les usagers les plus aisés plus qui ils ne devraient, plus
que ce que le servic e coûtequoi. Il faut se débrouiller pour trouver les ressources manquantes
autement : subventions, impots ou autres mais pas recours aux autres usagers donc.

C) L dérogatin au ppe d egalité fondé sur la loi.


Envsagé par noyer et shork : de usagers placés en situation identiques pvnt ou doivent etre traités de
facnon diff lsq la loi le prévoit. De telles limite sne pvnt etre imposées au coneil constit, car la loi ne
saurait avoir une autorité absole, n est conforme a la constituion que si justifie le difference de
traitement par une différence de situaiton ou par un motif d interet général. Ajd eixtse le qpc et
déteint sur le ja car qd l admin veut appliquer une loi, tojours est déposée une qpc pour voir la
constittionnalité de la loi.

1) La sanction de l arupture d’égalité : un acte admin qui pratique différence de traitement est
illégal donc encourt l annulation sauf justifié par difernce de situatin, ou un motif d inter
general soit par une loi. Des lors qu illégal engage la resp pour faute de l auteur. Mais mm si
cst légal la différence de traitement, il est possible d’engager dans ctns cas la resp asans
faute de son auteur.

A) ) La neutralité du SP
1) Un ppe dcoroolaire de celui d égalité : Dc 1986 dit que la neutralité du sp est u corrollaire du
ppe d eagalite. Mais si on va plu sloin, cett posiitj est justifieées des lors qu on cherche à
définir le ppe d eneutralité du sp.. QCQ la neutralité ? CST L INTERDCITON POUR LE SERICE D
ACCORDER DES PRF2RENCES 0 CTNS ADINISTR2S SUR LE FONDEMEN TDE LEURS CONVICTION
SPOLITI  ? PHILOSO  ? OU RELIGIEUSES. Ou au contraire de les défavoriser, sur le fondement
de telles convictions. Autrement dit, cst une interdiciton de pratiquer des différences de
traitement sur le fodemen t de diférences de situations sans rapports avec le seriv =
convictions poli, philos, et religieusese.
TT d emm u éléme d el aneutralité dispose d un fondement constitutonnel autonome : la
laicité ( neutralité religieuse) consacrée par lart1er de la consittu.

2) Les conséquences de la neutralité.


Cette neutralité fait peser ctnes obligation ssur le service : cst en qlq sorte un droit pour les usagers,
mais elle fait egalement peser ctnes obligtions sur les usagers. Voyons successvement ce qu il en est.

A° les obligations du service.


S agissant du service lui mm en tant qu institution)et de ceux qui l incarnent, la neutralité a une
portée quasi absolue .
a) Pour le service publique lui mm en tant qu institution : le sp ne dt transmettre aucun
message ideogoqieu,, aucune prise d epostio d ordre polit ni philoso ou relgieux.. MM les
services qui ont un but informtif ou éducatif dvnt le faire avec une stricte neutralit ex pour
laudiovisuel publque, le conseil consti 1986 DC : cst la ocatin du sp d el audio visuel de
trnasmettedes infor y copris de nature poli, philo,relig mis doivent le faire avec neutralté
sans prendre parti ; et le servie lui mm ne dt doner l imprressin de favoritisme. Idme dans le
sp de l’éducation : ses pgmes, actions, ne dvnt coporter l expression d aucune opinion
partisane : par ex, le ce dans arret CE, 6 octobre 2000, Association Promouvoir a été saisi a
propos de capagne d information dans colleges et lycées a propos d association. Le ce rejette
le recours en disant que cette camagne était neutre, strictement informatif, nencourageait
pas les etudiants à avoir vie sexuelle,, mais seuleme tque si ls veulent en vavoir leudr dietnd
comment eviter grosssses, mst et … Si la campgane derive de c ebut informatif, là ca encourt
la nullité.
Mais la neutralité ce n est pas l indifférence fac aux valeurs, ex valeurs essentielels de la citoyenneté,
civisme etc… Neutralté n est pas donc ça ! ecole a pour but de ofrmer a l acitoyenneté en inculquant
de svaleurs que tous devnt s y reconnaitre sans donner l ipression que l ecole nest pas neutre en les
enseignant.

Même si les organes du service sont polotisés, les CT ne pvnt arborer les emblemes politiques des
partis qui sont maoritaires : ce 2005 commune de ste annne : embleme partis arboré au fond dune
marie. De mm pas possible d arborer signe religieux CAA Nantes, 4 février 1999, Association civique
Joué Langueurs sur un crucifix dans une salle des marages de la cimmune. Mais la mise en pratque
ptt plus délicate lsq le signe en cause n a pas uniquement une conootation politique ou religieuse …
( nnotamment les creches d enoel deux arrets CE, ass., 9 novembre 2016, Commune de Melun et
Fédération de la libre pensée de Vendée : certes ct pas a vocation des ct d installer des creches de
noel dans leurs locaux car ca csst cysymbole de conootatin dreligieuse, mais que par exception
linstallatin d une telle crech est possible lsq les circonstances particulieres de lespece demontrent
son caracter uniquement culturel, artistique ou festif de la creche, qui peuvent justifier qu elles
pusisent etre installées). (S agissant ensuite des agents, et bien ca ne nou s surperdnra pas, les agents
se voient imposer al mm obligatin de neutralité stricte que les usagers eux mm pusq incarnent le
servce. : au yeux de susagers tte maniestation philo,po ou rel d el agent peut manifester une
manifstation ainsi du service ex : un agent public n a pas le droit de porter signe religieu dans le cadre
de son seriv prof CE, avis, 3 mai 2000, Mlle Marteaux. La difficulté peut consister à idntifier l agent
par rapprot a lusager en efft commnt triater usager qui prete benevolement son concours au
service : le parent qui encadre une sortie scolaire, le parent qui pratique des activités éducatvies ou
parascolares dans les établissemtns, la jp ici s es divisée. Pour les accompagnateurs de sortie
sccolaire, un tribadmin avait commencé par juger dans un jugement de 2011 TA Montreuil, 22
novembre 2011, Mme Osman que le aprent d eleve devait etre assimilé a un agent don cne pvait pas
porter un signe religieux. Sauf que le CE dans un eétude consacrée à cette questio le 19 12 2013 a
estimé e contraitre : le parent d eleve qui encadre la sortie scolarie est avant otut un usager uqi
bénéfiie d un drt a une ctne forme d’expression religieuse : droit d’exprimer sa religion tant que ne
porte pas atteinte au bon fonctionnement du service.
TA Nice, 9 juin 2015 Mme DAHI déjugé son clègue de montrueil et a estimé que comme otut usager,
le parent acocopganant eleve ors d une sortie peut porté signes religieux tant que ca cmpormet pas
le bon foncitonnemen tud service.
Le pbm cs que s agissant des parents d eleves uqi interivenentn en classe, la CAA Lyon, 23 juillet
2019, Mmes Hassani et Millard, a considéré qu ici les arents exercaieent des foncitnsanalogues a
celle s des enseignants car intrvenaient en callsse et don cse voyaient iposer les mm obligation s de
neutralité que les enseigantants, et qd ils agissent cmomme tel ils devraient etre taiés comme un
agent.
b) Les obligations des usagers :
s agissant d eux , leur obligation vis a vis du service sont plus réduits, ils bénéficient au nom
de leur liberté de conscience atrt 10 ddhc , dispose du dt d exrpimer leurs conviction sdans le
cadre du servicetant que cette expression ne copromet pas le bon foncitonnement du service
ie le fnctionnemen tgénral du service, tant qu elle ne porte non plu pas atteinte a l alliberté
des autres usagers ( notamment par comportements proséites), ou tant enfin que cette
expression ne remet pas en cause l’ordre public, la santé ou la sécurité au sein du servie, si le
signe relig ptt dangereux pour la santé ou la scruté ( obets trnachants dans le cadre d ativi
sportifs) CE Kherouaa 1992 a propos de ports de signes religieux dans les établissements
d’enseignements ; Donc ce ppe possible sous les réserves vues là ; De la mm façon d’ailleurs,
les usagers peuvent demander des aménagements du service par ex des autorisations d’
absence tant que n’est pas compromis le bon fonctionnement du service ce ass 1995Koen et
Consistoire central des israélites de France: ici le ce esitme que porte atteint au bon
fonctinnement du service une deande d absence systematique le surs d evaluation pourl
etudiant sou spretexte que samedi cst chabat alrs qu il est jif, et les colles de sa classe praeap
aont lieu samedi ?? La reserve cst que ces amenagements d eservie outre que ne doit pas
perturber son bon fonctonnement ne doit pa snonplus imposer au srie des charges
excessives ce a considéré dans CE, 11 novembre 2020, Commune de Chalon-sur-Saône que
la mise en place de menu de substitutions da scantne scolaire n’est pas interdit mais n’est en
aucun cas une obligation pour les communes. Mm dans les prisons m e cotexte est diférent
car là la restauratoi est différente car les prisonniers usagers ne pvn tchosir d laler ailleurs s n
aiment pas là, ce a estimé en 2016 cadar que certes l amise en place de menu de substituion
ici était un eobligation de ppe compte tenu de la situatio pratique d elusager , mais «  dans la
limite de smioyens financiers et materiels du service ». EN clarir, le ce se contente du fait que
systématiquement, y ait un menu sans porc pour que les détenus musulmans puissent
manger mais ne pvnt réclamer menu halal tous les jours. Ca s applique sous réerve de
legislation contraire ce régime, comme il peut en exister desormais dan sl enseignemtn
primarie et secondaire public a l egard des eleves, psq depuis loi 15 3 2004, les élèves ici n
ont plus le droit d’arborer le moindre signe religieux ostensible dans l’ établissement. Que ce
soit un signe objectivement religieux ou un signe utilisé dans un but religieux , ex bandana
portée par une musulamne élève : donc régime plus restricitf que régime noram mais ca se
justifie par la situatio paticulièr ede eleves à savoir leur minorité. ç
Cours du 10/03/2022 : Désormais tous les signes religieux ostensibles= qui pvnt etre vus sont
interdits. En faveur donc d’un équilibre avec la laïcité. Nénamoins, d’abord, elle a été adopté pour
résoudre un ctn nb de difficulté d’application de la jp antérieure. Donc on a que pas de signes relig
ostensibl dans les étab scolaires. SAUF QUE lois mm si rédigés en terme clair, n empeche on a de
sdifficultés d’interprétation. Qcq un sgne religieux ?? Ctns vetements ou objets sont objectiv
religieux, d autre sle sont en raison du contexte ; donc l interprétation d un signe religi peut poser
pbm. Par ailleurs, autre difficulté, la notion mm de signes ostensible peut porter à confusion, donc les
signes discrets sont admis, mais quelle est la limite du discret ?? La visibilité ou cst quoi ?
La deuxieme remarque, la jp mene une interprétation restrictive de cette loi. Elle ne s applque la
regle que dans les etab primaires et secondaires publiqes, pas dans le privé, ni dans le supérieur, qui
restent régis par la jp kherouaa ; aussi ca ne concerne que le port de signes religieux ( pas les signes
politiues et autres) ; elle est liimitée aux eleves, non pas aux parents dans le cadre de srotie par ex,
cette loi ne semble pas trouver de justif juridique que dans la situation personnelle des adultes par
rapport aux mineurs, on considère que mineur pas assez de discernement ??
Cette loi a réussi alors à franchir le cap de la cedh, un arret de 30 06 2009 qui considère cettte loi pas
contraire à la liberté religieuse, justement psq elle est limitée, et justifiée par la situation partiuclière
des adultes ?? On n’a pas eu de qpc sur cette loi, et pas de raison d epenser que le conseil consti
raisonnera autrement.

I) La mutabilité du SP
C’est le droit ou l’obligation pour le sp de s’adapter aux évlutions d intérêt général. Peut etre même
oligation psq souvnt on dit que des trois loi sdu sp, elle est la seule a ne pas avoir de fondement
constitutoionnel. Mr n’en est pas cpdtn sûr, il pense notamment à la bonne gestion des deniers
publics art 14 ddhc. En effet, quel intérêt à maintenir un sp que soit des données technique, soit la
fréquentaiton par les usagers, soit l evoutoion des besoins de ceux-ci ont rendu obsolètes . Le sp
pèse sur les deniers publics, faut les financers, sans que ce coût soit justifié par l’intérêt général. Pour
le ce ca legitime l’évolution du dt de ce servie en changeant la nature de certaines presttons , voire
les supprimer, ex (supprimer papiers au profit de la démat. Le ce a dit dans CE sect 1961 Vannier à
propos de l’obsolescence technique de l’émetteur de tv. Entre les années 30 et années 50, la tenique
de la tv a bcp pgssé, nénamons qd on a mi sen place apres guerre de nvx emetteurs plus
performants, on a laissé en place l anc emmetteur afin de ne pas pénaliser eux qui avaient les
pemiers tv old gen et qui coutaient qd mm chers, il fallait qu ils puissent avoir acces qd mm a la tv,
dcp on a laissé l anc eettur ^pdt dix ans. On a vu qu engagment pas tenu car l emetteur a pris feu,
l’Etat n a pas voulu réparer, maintenir et entretenir cst une chose, réparer cst une autre  ; on sait que
ct obsolte techniquement et le réparer coutait trop cher compte tenu du faible parc installé, le ce a
alors décidé que les usagers n ont jamais de droits acquis concernant les sp de l’Etat.
Même solution dans un arrêt CCI DE LA ROCHELLE 1977, : un sp peut etre supprimé en raison de sa
fréuentation insuffisante : e une ligne aérienne ou férroviaire, on va déduie du faible nb d usagers,
passagers que ne correspond plus a l int gé. Donc le serivce a le droit de faire évoluer la prestation
sans que les usagers puissent opposer le moindre chose à dire. Est-ce que le service a l obligation de
s’adapter ? Pourrait on imposer au sp de supprimer des pretations devenues trop néruex ? Pourrait
on l obliger a dvp une nvlle prestain qd ca apparait écessaire ? le juge n ajamais répondu tres
clairmeetn, disons que en fonction de sa propore initiative, le service s adapte sans obligation.
Néanmoins la llimité, cst le maintien du sp obligatoire et cst aussi la continuuité du sp : ce 1969 arrêt
Vincent : le ce censure les nouveaux hroraires de la poste mais de facon restrictive de osrte à porter
attainte à la continuité du sp.

II) Le caractère exhaustif des lois du sp


Y a des « prétendues »lois du service pub qui ne sont pas ppour autant des lois.
A) La gratuité du sp  : ceci se distingue parmi les autres. Ce n’est pas une loi du sp car n
est pas un ppe général car non applicable à tous les sp. Parfois, la loi ou l aconsittuion
impose la gratuité de ctns sp. Ex : ens priaire et secondaire public. Priaire depuis lois
ferry de 1881 ; secondaire depuis loi du 31 05 1933. Ajd, le prémabule d e46
constitutionnalise le ppe de gratuité de ces ens prim et sec publ. La jp auss des fois
impose la gratuité pour les sp obligatoires, et pour les sp incombant par nature à
l’Etat. Mais cette gratuité de ppe des sp oblig et sp incombant par nature à l etat
vont connaitre des dérogations legislatives, le cconstit a estimé dans une dcision du
29 12 98 qu un sp obligatoire pouvait donner lieu à paement de la part des usagers si
cst dans l intérêt du service et que le montant de la somme demandée à l’usager
reste limitée ex cas ou le serv rénove ses infrastrucutres et fait contribuer mais
modéremment les usagers. Par ailleurs il y a des cas ou la loi permet ou imose le
paiement dun prix : par ex la loi peut rendre ctns frais de secours payants ( en mer,
en montagne…) : ca faisait suite à un fait divers choquant, des alpinistes bloqués
dans les alpes, réfugiés dans une grotte, provoquant une énorme mobilisaiton de
moyens logistiques, la prmeiere chose qu ils ont fait après etre descendus ct de
vendre témoignage et dt à l’image, ca a choqué vu le cout mobilié.
Ni la loi, ni la jp n impose ou n interidse de faire payer l usager, la gratuité est au
choix d el admnistraiton ex transport public ou des fois cst payant, dans d autres cst
rgratuit : la gratuité d aileurs permet de faire distinguer spa de spic, ce dernier ne
peut etre payant, mais il peut y avoir spa payant si le service est ifnancé par des
usagers. Ce n est don cpas une loi du service public ni loi du spa, qui peut etre
payant.
B) Les nouveaux principes de foncitonnement du sp  :
Ce sont des ppes que la loi tend à promouvoir dpeui sune trentaine d années : la
transparence, la participation, la qualité qui sincarnerait par la simplcité du sp
( démarche administrative simple) et l’accessibilité du sp. En réalité ce ppes ne pvnt
etre qualifiés de lois n ont pas de portée générale ; pvnt etre institué de manière
ponctuelle pour telle ou telle service ou pour tel ou tel prestation mais n ont pas de
portée gé. Transparence : on a certes depuis loi 17 06 1978 instaurant un dt à la
communication des docs administratifs ; aussi depuis loi 12 04 2000 les auteurs de
décisions admin dvnt indiquer nom prenom qté admin sur les décision qu’ils signent,
mais ca ne suffit pas pour parler de ppe général de transparence. S’agissant de la
participation y a des sp dont les organes de directin comprennent des repréenatants
de susagers ex université… et aussi y a nversment des sp ou on a aucun representant
d usagers dans la direction. Concernant l’accessibilité, une loi vise à facilitéer l acces
des handicapés aux sp, ( ex adaptéer les batiments, possibilité de rassemblr les sp
dans des locaux communs), mais est ce que de ces dispositifs peut-on faire lois du
service public. Du coup voilà pourquoi ces trois restent exaustifs.
Section 2  : les éléments distinctifs des sp
Paragraphe 1 : Sp administrratif et sp ind et comm
Les spa son tsoumis au dt public et spic au dt prvé. Néanmoins il faut nuancer.
I) La soumission des spa au dt public
Ce ppe est relativement fort avec peu d’exceptions, celles-ci du fait du gestionnaire de service qui
pvnt etre des personnes privées.
- SI on examine la situaito des agents des spa, si ils sont gérés par des personne spublics, ils
sont des agents de droit public : fonctionnaires, contractuels de droit public ils seront. Par
contre si le spa est géré par une personne privée, les agens sont de droit privé.
- S’agissant des usagrs, on retrouve quasiment la même distinction. Si le spa est géré par une
personne publique, l’usager est dans une situation de droit public, en ppe légal et
réglementaire, par exception contractuel mais de droit public. A l inverse si spa géré par
personne privée, il y a pour l usager une situaiton contractuelle de droit privé. Dans TC, 11
juin 2012, Société GTM Génie civil et services, le ce a estimé que les spa qui pvnt etre géré
par les prsonnes privées, dans les établissements pénitentiaires, entretiennent avec les
usagers des relations de droit public ( en milieu pénitentiaire donc cst comsa)m dans cet
arret y avait activité de santé en cause, les associatios qui gerent activité de santé, cultrelle,
etc en prison certes sont de droit privvées ces personnes, mais les usagers osnt placés en
situaiton extra contractuelle de droit public. En effet, lactivité pentieaire ne peut etre géré ue
par l Etat, on ne va pas s’amuser à mliplier les régies juridiques en prison.
- S’agissant des actes unilatéraux , evidemment, les au adoptés par les pers puliques pour
gérer leur spa sont des aau mais les acte adoptés par les pprivées pour la gestion des spa
sont aussi des aau lsq mettent en œuvre prégrogatives de puissane public ( montpeurt,
magnier).
- S’agissant des biens maintenant , la questio de savoir sils font partie du domaine puic ou du
domaine privé( donc sous le dt publ ou sous le dt privé), dépend de leur propriétaire. Les
biens appartenant à la person publqieu sont de spropriétés du domaine public et pareil pour
les biens apparteneant à une personne privée.
- S’agissant de la responsabilité extra-contractuelle, les dommages causés par une personne
publique dans le cadre de spa sont soumis à un régime de dt public, les dommas causés par
une personne privée gérant un spa sont soumis au droit de la responsabilité civile. Mais
exceptions concernant : 1) le cas ou l epjdice résulte de la ise en ouvre par une personne
privée d une prgative de puissance publique : alors là ce sera soumis au régime du droit pu
blic : CE, 23 mars 1983, Société Bureau Véritas: cst logique car l acte à lorgiine du dommage
est un aau, et mettant en œuvre des pgatives de puissance publi, d ou soumis a un régi de dt
publ. 2) Les dommages résultant de travaux publics sont tjrs soumis au dt public.

I) La soumission des SPIC au dt privé


A) Les agents des spic sont normalement des contractuels de droit privé. Et peu importe de savoir si
c’est une eprsonne publique ou privée qui gère. Mais il y a qlq exceptios :
- qd le spic est géré par une personne publique, a été admis qu une voire deux personnes avaient le
statut d’agent public. Il s’agit du directeur de service, et du comptable public si y en a un i.e si le spic
est soumis à la compta publique. Ces deux sont donc des agents publics  : CE, 26 janvier 1923, de
Robert Lafreygère et CE, sect., 8 mars 1957, Jalenques de Labeau? Le premier arret considérait
comme agent public ttes les personnes exerçant des fonctions de direction dans le service(ex
directeur adjoint, directeur des subdivisions etc). C’est le second arrêt qui a restreint la règle.
- Des fonctionnaires peuvent faire l’objet d’un détachement dans les spic. Et qd ils sont en
détacheent, ils gardent leur statut, = agent public.
-Enfin la loi elle-même peut qualifier d agent public, voire de fonctionnaires ctns agents des spic. La
loi qualifie de fonctionnaires les agents de l office nationale de forets, gérant pourtant un spic. En
effet l’onf est un epic, gérant un spic.

 On s’est demandé si la loi peut attribuer la qualité de foncitonnaires aux agents des spics
gérés par la personne privée. La question est extrememnt importante. On avait dans le passé
des agents de communication, qui était fonctionnaire à l’époque de la régie des PTT, qui ont
gardé leur qualité de foncitonnaires quand cette régie a été divisée en deux epic, France
telecom et la poste de par une précision de la loi. MAIS QUE SE PASSE T IL LSQ ON
TRANSFORME ES ETAB PUBL EN SOCI2T2 ? ET CE POUR France TELECOM QUI FUT
TRANSFORM2E EN ST2 ; Le légsilat voulait que les agents en place et déjà foncitnnaire
gardent leur statut, si du moin sils ne voulaient pas changer de statut pour arborer celui de
salarié de droit privé. Le ce en 1993 dans un avis avait estimé qu il étati possible ceci donc à
deux conditons : 1 ) que la personne privée gère un SP, et 2) que son capital soit
majoritirement détenu par une personne publique. Ce qui était le cas au départ pour fr
telecom, n’est plus le cas aujourd’hui car fr tel est deveu orange et est privtisé. ON S EST
donc dmandé si ct constitutionnel de continuer à …. Les focnitonnaires ? La répnse est
positive, le ce n a pas repris a son compte les réserves du CE dans qpc 2012 enestimant qu
aucun principe constitutionnel ne s oppose a ce que la loi attribue la qualité de
focnitonnaries à ctns employés de la société. Peu importe l’aactivté de la société, peu
importe que le capital soit publi ou pas , la loi peut librement faire ce qu elle veut.

B-) S’agissant des usagers des spic, sont toujours de droit privés. Que le gestionnaire soit une pers
privée ou publique et il n’y a aucune exception.
C-) S’agissant des actes unilatéraux, en ppe les actes de gestion des spic sont des actes de droit privé,
la seule exception elle concerne les actes règlementaires d’organisation du service qui sont des actes
de droit public ( Epoux Barbier )
D-) Les biens  : Les biens affectés au spic font partie en ppe du domaine public si ils appartienent à
une personne publique, ce sont des pptés privées si appartienent à une personne privée. si le
gestionnaire est une pers publiques, le sbien sappartiennet au doain epublic,sinon cst de droit privé.
E-) La responsabilité extra contractuelle : elle est de droit privé. Ca a un perimetre plus restreint que
pour les spa, la resp extra contract des spic ne peut conerner les dmmages causés aux usagers car les
usagers sont dans une situation contractuelle donc ca ne concernera plus que les seuls domamges
causés a des tiers au service, pour lesquels on aura extra contractuelle. Alors que pour spa cst les
deux. La seule exception : cst l hypothese ou le dommage résulte d un aau, ie d un reglement d
organisation du service= dt public. Et de mêmelsq le dommage résulte de travaux publics.

Paragraphe 2  : Distinction entre sp marchand et sp non marchand


Nous n’allons ps subdiviser, la différence réside dans le fait que les sp marchands sont régis , soumis
au dt de la concurrence. Ca, le code de commerce le dit, il soumet au droit de la concurrence ttes les
activités econoiques, mm celles issues de pers publique. SUR ce point cst une exigence européenne.
Quels conséquences à cette soumission au dt de la concurrence ?
-Les actes admin qui déterminent l’organiation et le fonctionnement du service sont soumis au dt de
la cocnurrence et dvnt la respecter : ce sect 1997 sté million et marais.
-Dans leur fonctionnemet même, les SP marchands doivent respecter les regles du dt de la
cncurrence , sinon commettent des pratiques anti concurrentiels qui leur soumet à des sanciton sde
la autorité de la concurrence. L autorité de l acon peut sancitonner entreprises privées, mais aussi
personne publique au titre de leur sp marchands.
> Le droit de l ue ne pose qu’une seule exception, graduée, s’agissant des servics d interet
économique générales , soit cst la partie non rentable des aivités des sp marchands. Ca renvoir d
ailleurs au fait qu en dt frs l intérêt gé n est pa sincmpatibe avec le profit, avec le dt de l ue il y a bien
au sen des acitvités marchadns, ce qui est rentableet ce qui ne lest pas et l intérêt gé cst une
qualification pour la sule partie non rentbale. Ex : our le sp postal, le sieg cst la distribuion du courrier
de base a un prix unique, sur tout le territoire, et au moins obligatoire 5jours sur 7. Le dt de l ue
accepte que les sieg puissent bénéficier de dérogation au dt de la concurrence qd cst necessaire à
leur activité et doit etre proportionnel à ce qui est nécessaire à leur activité  : Arret cjue 1993 Corpo,
Et CJUE commune d’almeno pour l’éléctricité. Dcp le ppe cst que mm les sieg sont soumis au dt de la
concurrence, cst excpetonnel qu on les exempte.

Ensuite , les sp marchands sont msoumis au dt de la consommation CE 2001 . Les usagers du sp


marchands bénéficient des dispositions législatives qui protegent le consommateur en droit privé.
L’uesager devient d eplus en plus client, et meme consommateur.

TITRE II  : La police administrative


C’est l’activité par laquelle l’administration veille au maintien de l’ordre public. C’est la déf
matérielle. Du pov organique : la police désigne les agents assurant cette mission. Que le maintien
de lOP relève de l’administration n’était pas une évidence. Et bien on pourrait penser au législateur
en effet. Car le maintien de l OP suppose une limitation des libertés publiques, or en ppe cst le lég qui
est compétent pour de telles restrictions ( constit de 58). Donc la police admin est un eespèce
d’exception à l’ordre normale des compétence spsq permet à l’amdin d etre compétent pour limiter
les lbertés publiques tant que cst au nom de la protection de l’Op. Est-ce que cst contestable d un
pov d el aconstitution, le Cconstit Loppsi 2011 a reconnu cette compétence de l apolice
administrative comme constitutionnelle et pour deux raisons :
1-le but de son intervention est limté à l’OP
2-psq il existe un contrôle du JA sur la nécessité et la prportionnalité des mesures de police
administrative.
Autrement dit on ne laisse pas l autoité de police de faire ce qu’elle veut qd il s’agit de porter atteinte
aux libertés publiques.

CHAPITRE 1 : La notion de police administrative


D’abord il faut dissocier la police admin de la police judiciaire, puis la police admin est plurielle,
polymorphe, il en existe pls formes.

Section 1 : Distinction entre p adm et po jud


Cette distinction est notionnelle et en terme de régime juridique

Paragraphe 1  : Les critères de distinction entre po adm et po jud


Il faut écarter le critère organique, institutionnelle qui n’est pas vrmnt opérante, globalement ce sont
les memes autorité et mm agents qui interviennent. Mais il y a qd mm qlq différences. Ex : Maire=
autorité décisionnelle que ce soit po adm ou po jud, mais en po adm intervient au nom de la
commune et en po jud intervient au nom de l’Etat en ppe. On peut également signaler le cas des
agents d epo municipale qi ne peuvent normaelemnt intervenir que dans des activités de po admin :
le maintien de l OP ; la po jud normalement ce sont des forces d’Etat qui interviennent, po nat,
gendarmerie nat. Mais ceci nest pas suffisant car ces denriers intervienent aussi bien dasn des tâches
de po admin. Dans d’autres pays on a une différence sur ce point.
Le seul véritable critère c’est :

I) La finalité de police des opérations en cause  : le critère finaliste


Le but de l’opération est le seul véritable critère de dsitinction.
La po admin est destinée à protéger l’OP. Elle n’a donc pas de vocation répressive elle n’est pas
destinée à arrêter des indiv pour les traduire devant les tribunaux. A l’inverse la po jud s’attache à
poursuivre une infraciton déterminée, en appréhendant son auter, ses auteurs afin qu il s soit ent
traduit s deavt un tribunal. Ce critère de dsitinction est posé depuis 70 ans CE sect mai 1951 Consorts
baux+ TC juin 1951DAME noualeck. Autrement dit le critère temporel qui est parfois avancé par la
doctrin est bcp trop approximatif pour permettre de réellement distinguer les deux polices. SI on
carricature, on pourrait dire que l apolice admin est préventive et la olice jud est répressive. Mr est
d’accord mais si on en déduit pas que la police admin agit avant les faits, et la ppolice jud après bref il
ne faut pas prendre les choses temporellement. En examinant les deux polices, la police admin, son
caractère préventif peut s’exercer avant les faits, mais également après aussi pour y mettre fin ou
éviter qu’ils se renouvellent. Avant les faits pou rempêcher la commission dès renseignement sur
ceci. S’agissant de la police jud, cst plu délicat, imaginons qu elle puisse itervenir avant l’infraction, il
faut qd mm un min d indices. Que la policejud intevienne à titre repressif n empehe pas qu elle
puisse intervenir en flagrant délit = pendant, voire avant si l agent d epolice a l aconvictioon qu une
infnraciton determinée est sur le point d etre commise, qu’en arrêtant un indivdu il empêhce la
commisisn de l infraciton TC 1968 Consorts ferran . Autrement dit un agent d epolice voit
un individu masqué bizarrement hors covid, se précipiter arme vers banque, s il l arret cst une
opération de po jud. D ailleurs l’arrêt indique que la conviction de l’agent d empecher est le seul à
prendre en compte, peu importe que ce soit fondé ou non. Ex : il est possible que cet indiv se rend
masqué car se rend à un bal costumé et le pistolet est factice et par ailleurs marche vers s caisse
stationnée près de la banque. Drnière remarque : articulation des qualification s de troubles à l’OP et
d’ifraction pénale. En effet les deux qualifications sont independantes , on peut commettre un
trouble à l’OP sans pour autant commetre une infraction pénale. Un agissement est infraction pénale
que si cst défini ainsi par la loi, mais la loi et les reglements sont loin d erigés ts les troubles à l op
eninfraction pénale. O peut avoir infraction pénale sans trouble à l OP= délinuance ne col blanc  :
détournement de fonds etc= infractioon pénale mais est ce qu y a vrnt trouble à l OP. MAIS CES DEUX
QUALIFIATIONS PEUVENT S4OP2RER AUX MM FAITS. Ca n est pas rare, le meme fait peut etre une
infraction pénale et un trouble à l OP. Tetntatin donc d eployer celui des deux procédés qui aparait le
plus efficace, lex qui a doné lieu à l ajp dans les années récentes : humouristes dieudonné qui tient
spectacle avec propos tendancieux mais commet en mm temps infraciton pénale car nie génocide
etc . DANS LES ANS 2015 ? LE Ja a dit cst mieux d agir sur fondemen tPolic admin / INTEERDIRE
spectacle de dieudonné plutôt que police jud et don cle poursuivre, mais ca ne l a pas epeche de
continuer de lui condamner à des anedes déjà. Le ce dans un arret CE 2015 ASSO géné contre le
racisme et pour le respec de l’identité francaise chréteienne l’aggrif : le ce a une formulation
curieuse en indiquant que le but de la police admin était de prévennir la commission d’infraction.
Deux choses : 1) Le CE n’nvente pas cette expression , le cc l’a employé avant lui DC 2006 , pour
reconnaitre que la police admin a pour but de protégéer l OP mais aussi de prévenir commisison d
infraction.
2)Mais en réalité cette formulation est un peu makheureuse, il faut comprendre que la police admjn
a pour but de prévenir la commisison d infraction en tatn que ces infraction sconsittuent un trouble à
l’ordre public et non en tant qu’elles soient des ifnractions. L aggrif repprochera le fait d avoir eu
recours à po amdin que voie répresive.

II) Les opérations mixtes


Mixte car soit ctnes opératins ont en mm temps le caractère d’opération de police admin et de police
jud, ou elle speuvent aussi changer de nature.

A) Le caractère simultané des deux oprations

Hypothèse où les mêmes agents exercent en même temps une mission de polic admin et une misson
e police judicaire. Imaginons par ex des agents chargés d une lission de surveillance générale ( police
admin). Et également d’arrêter un individu qui leur a été signalé comme suspect d avoir commis une
infrciton ( po jud). DANS UN ARRET TC, 29 octobre 1990, Mlle Morvan, une approche distributv=ive
fut envisagée, on a deux opératons ssimultanées et chacune des deux est régie par le régime
juridique qui lui est propore dt publ ppour po admin et dt privé pour po jud. Donc si jms par ex y a un
incident, arrestation puis coup de feu et blessés, tout dépend de fatits à lorigine de lincident  : si à l
occasion d arrestatio d un idnvidu particulierement signalé = poice jud, si à loccas de contrôle par ex
et passant refuse= police admin juge admin. Donc voilà pour cette histoire de simultanéité.

B) La succession des deux opérations


hypothèse où une opération change de nature au cours de sa réalisation. Le plus souvent, c st une
ipération de police amdin qui se transforme en opération de police judicaire. Effectivement ca
semble assez logique : des agents sont chargés d’une mission de surveillance génrale et à cette
occasion détecte une infraction en train ou qui vient d etre ou qui va etre commise et ils
entreprennent d arreter lauteur= opération de police judicaire. Quelles cnséquences en tirer ? PAR
UNE APPROCHE distributive, le juge va chercher autant que possible à chercher un régime
unique aux deux oération squi sera le régime de l’pratin dominante : TC 1978 Sté le profil, à propos
du cadre venant d étre évoqué : des agents de police escortent un convoyeur de fonds, opératin de
police admin ; amis se fait attaqué ce convoyeur : les agents échouent à arrêter ceux-ci = police jud ;
pour autant l enseble de l’opératinsera soumise au rgme d el apolice admin car le tc estime que cst le
dysfoctionnement de l opéraitn de la lice admin, la 1ère dans le temps qui a mal tourné , si ct pas ansi
pas d infracitn e tpas besoin de police jud. Néanmoins, cette tentative d’unité de régime juridique
cède lsq le sliens entre les deux opération sse distendent en raison du temps : on retombe sur une
approche distibutive : les Opératon ssont réges par leur rg jur propore TC 1977 Demoiselle motsch :
en l espece l opration de po admin a echoué, contrôle routier dans barrage don cpo admin. Or il se
trouve qu un autoobilitste a forcé le barrage= infrciton mais pas arêté tt de suite, si ct ca on aurait
appliqué jp le profil ; sauf que là la voiture s efuit commet d autres fnractions routi_res avant d etre
arretes de façon musclée, la victime s est pris auto stoppeuse. Ici le tc considère que le régime de l a
police jud qui est à orgiine du dommage subi par l auto stoppeuse car à lorigine y avait pas
dysfnctionemnt d el aplice admin, mais ct y a lgntmps les deu xopératonsne se sont pas suivies donc
disconiuité.
Mais l’inverse est vraie aussi : une opréation de polic jud, peut se transofrmer en opérationd epolice
admin, mais l hyothèse est plus rare : ex enlèvement d un véhicule en stationnementinterdit sur la
voi epub lique, il est verbalisé po jud, il est enlevé la voiture là ca commence à etre po admin
( enlèvement par fourrière), et ensuite on stocke le véhicule en fourrière =po admin. On a trop peu
de Jp pour affirmer avec certitutde mais il smeblerait que l ejuge retiene la mm approche que dans le
cs d une opération de police admin se transfrme en opérati de police jud : essye autatn queposible d
appliquer régime unfiorme : ic icelui de la police jud, mais sous réserve que le temps ne rompe pas le
lien entre les deux opératns, et sur ce denier CE 1981 CONSORTS FERRAND : véhicule endommagé
lors de sa présence à la fouriière,le ce dit que cst un dommage de police admin, certes le véhicule a
été enlevée après infraitonpénael, mais ct y a logntmps, et pas d eliens diretcs entre la verbalisation
du vérhicule par la polic jud et e fait que pdt sa présence à la fourrière il a été endommagé. Mais ce
que cet arret ne permet pas de résoudre, cst que se passe t il si le dommage se passe pdt le moment
d enlevement du véhicule, m pense qu on applquerait rég po jud car l operation d eplice admin suit
immédiatement l peration de police jud ( comme dans le profil quoi). Voilà dnc

Paragraphe 2Les conséquences de la distinction entre po adinnet po jud du pov de leur régime
juridique
On en a sur d’abord les :
I) Conditions de réalisation des opérations de police
Première différence :
 DU POV ORGANIQUE : classiquement ce sont les mêmes agents qui sont en charge des deux
misisons po admin et po jud sauf le cas des agents de police municipale. En revache les
donneurs d’ordre ne sont pas les mêmes. POUR police admin, les opératns s’exercent à
l’initative des autorités admin en tout cas de celles dotées de pouvoir en la matiere ex
pministre, maire, prefet, bref cst l’admistration quoi. La police jud est placée sous l ‘autorité
du proc de la rép ou du juge d el’instruction bref du magistrat judiciaire quoi. Le plus
souvent, ces opération s sexercent sur réquisition d’un magistrat judiciaire, qui lui donne
l’ordre par ex de ratisser x quartier pour arrêter x personne. Et mm lsq les agents de police
judiciaire afgissent de leur porore intiative souvent en urgence, le but est tjrs de présenter la
persone arrêtée devant le magistrat judiciaire. Par contre son but reste d eprésenter le plus
vite possible les personnes appelées à une autorité judiciaire. De ttue façon cst l autorité jud
qui contrôle le éroulement de loperation. Cst devant elle que les agents que les agents
rendornt compte, l’opératn s exerce sous leur autorité. Dans le cadre d epolice jud,
l’administration cst le bras armé de la police judiciaire, certes l admin agit mais en tant qu
orgne executif d el ajustice.
 DU pov des pouvoirs de police : Les pouv de police jud sont plus importants en ppe que ceux
de la police admin. La po jud a en effet nmlmnt le monopole de smesures privatives de
liberté individuelles, autrement dit, les arrestations et placement en garde à vue mais
également des atteintes à la vie privée ou à l’inviolabilité du domicile ( surveilalnce des
communications comme écoute telehniques, aces aux données de conenxion internet,
peruisitions, siasie,etc).Néanmoins cette distinction tend à s’estomper : en effet les pouvoirs
de la police administrative tendent à s’accroître notamment dans le cas de certaines polices
administratives spéciales, nous signalerons que dans le cadre de ctnes polices administratives
speciales, l autorité de police a le dt d eprendre meures privaives d eliberté ex police des
étrangers ( peut place run etranger en rétention administrative ; l etranger n a commis
aucune infraction mis est ensitutionirreguière sur le territoire frs donc pas po jud) ou police
des malades mentaux ( l hopsitalisation forcée, contrele gré du malade ental pour OP). Et par
ailleurs, le dvpmnt de la meace terroriste a entraîné le dvpmnt d une police spéciale de la
prévention du terrorisme qui est bien un epolice admin mais dispse d epouvir identique à l
apolice judiciaire( le terrorisem cst un crime dépendat e la police jud, mais la police spéciale
de la préventiin du terorisem= surveiller activement des personnes suspectées d
encommettre ou d fréquenter des personnes en commettant) : la police spéciale a des pouirs
identiques a ceux de la police jud( surveilance, perquisition etc… Et comme
traditionnellement la police admin présente par rapor tà l apolice jud un avantage
structurel : son autonomie, en effet ele s exerce hors de la surveilalnce de la pol jud, et dnc
pour le slibertés publiques le fait que la police admin empiète de plus en plus sur les
compétences de la police jud et que la police adm a avantage structurelle sur la policee jud
psq elle est indépendante cst dangereux donc. Elle est plus libre et aussi est puissante. Y a
une tendance tres nette à faire passer dans la police amdin des comportements pourtant
bien passer dans police jud, avec les garanties en oins ex Dieudonné affaires. Ex aussi cadre
police spéciale de prvention du erorisme, prsuqisitons et saisies. POUR LES MESURES
privatives de lnerté, mm quand cst la police admn qui agit ca reste sous contrôle du juge
judiciaire mais voilà quoi.
I) La jurdiciton compétente pour connaître de l’opération de police
Traditionnellement, le juge compétent pour conaître des deux polces n’est aps l emême.
Contentieux de la police admin est en ppe portée devant juge admin et inversement. On peut
s’interroger sur les raisons de cette compétne du juge judiciaire sachant que dans la
psycholgie SPA, SPIC, la polic judiciaire es tncontestableemnt un SPA, malgré son nom, cst
clairement pas un Spic, donc on doit la qualifier de SPA. Pq l apolice judicirie  ?? 1) un lien
avec la justice judciaire, atreent dit controler la police judciairie cst controler la justice
judiciaire, vérifier si le proc d el rep n a pas commis d erreur en ordonannt une opération de
police jud, bref les liens entre sp police jud et de la justice jud sont extrememnt etroits, et si
le juge admin controlait la police jud alors très vite ce serait porter atteinte à l’indépendance
de la justice judciairie. 2) la sauvegarde la liberté individuele dont le juge judicairie est le
protecteur (art 66 C) et dans la mesure où ug ejud doit prendre mesures priv de lib il est
normal qu a ce titre il soit controlé par le juge judicaire. EN revanche il est très important de
savoir que cette distinction des juridictions coméptentes netrainent pas unedifférence des
droits légaux, mais les deux polices sont bien soumises au droit public, nonobstant l efait que
police judiciaire relève du contentieux du juge judicaiire : Cass. civ. 2e , 23 novembre 1956,
Trésor public c/ consorts Giry à propos de dommages causés par poice jud à un
collaborateur occasionel , un médecin appelé pour identifer cause d el ammort suspecte de
deux gens, et qd un agent de police a allumé l electricité pour allumer la scène on a compris
la cause de l amort des deu perosnnes sans l’aid edu édecin, ct le gaz, la veuve du médecin
explosé la dedans a engagé la resp de l’ETAT et qui a dit on applique la resp admin : la
collaboration occasionnelle au SP. Donc droit public tjrs qlq soit le juge compétnt.
De toute façon ajdhui la distinction des juridcitons compétentes tend à s’estomper, rest en
ppe valable mais connaît de plus en plus de dérgations, il est de moins en moins rare que la
police admin relève du contrôle du juge judiciaire ex cas qd elle prononce mesures priatives
de liberté ( les mesures de rétention admin, de placement en zone d attente, dhospitlisaiton
forcée qui sont suises a contrôle du juge judiciaire, releève de sa compétence. PAR AILLEUR
SLE conseil constit a estimé dans DC 1981 Sécurité et liberté qu l n était pas interdit d unifier
le régime juridique y compris la compétence contentieuse au profit d el apolcie judiciare dès
lors que cette implication est favorable aux libertés en instituant un contole du juge judicaire.
C’est ainsi que par ex les contrôles d identité depuis une loi de juin 1983 et fouille de vicule
depuis loi de 1995 sont soumis au contrôle contentieux du juge judiciaire, qlq soit leur but ;
évidemment y avait contrôle d identité d epolice amdin ou des fouilles de véhicule de police
admin, on n accuse pas d etre auteur d el’infraction mais n fouille le spasaants véhicules car il
y a une menace à lOP dont on veut s assurer que l on puisse anticiper prévenir la menace/ y a
controole du proc rep sur le déroulement de l’opération et compétence contentieuse du juge
judicaiire si y a dysfonctionnement. DE même dans toutes les hyothèses où la police admn
dispose de pouv de perquisitons et de saisies cst sous contrôle de uge judi ex perquis et
saisie en matière d terrorisme, en matière fiscale( pour éviter ssutraction d’argent) ;
perqustion douanière, puis au titre de la législation sur la concurrence. LA SEULE exeption cst
celle réalisées en période d’Etat d’urgence. Terminons par un rappel : l’usage de l’une des
deux polices dans le cadre d’un but poursuivi par l’autre est un détournement e pouvoir CE
ass 1960 Sté Frampar : dtournement de pouvoir : usage de la police judiaicair edans un but d
eplice adminsitrative. L4INVERSE EST PROBABELEMTN VRAIE . Dans l’arrt sté franaprt, le
préfet d alger a mis en œuvre pouvoir d epolice admin et a saisi les journaux or ca cst pouvoir
de police jud détenus au titre de sinfractions de presse or en lespce aucune infraction de
presse constaée, mais slmnt y a vait risque de trouble à l’OP car journal favorable à
l’indépendance ; dcp on ne pouvait pas recourri a la police admin d ou recours olice jud mais
détournement de pouvoir.

Section 2  : Distinction entre plice amdinstrative g  »nrale e olice admin spéciale


On aurait pu dire polices dmi spéciales, donc au pluriel car y en aplusieurs. LA DISTINCTION
TIENT dans ce que l’ OP protégé n’est pas le même. La olice admin géénrale protège l OP
générale et la police admin spéciale protège les OP spéciaux.

Paragraphe 1 : L OP général


Est cmposé d’un triptyque traditionnel, puis élr=argissement = tendance.
La protection de l’OP géénral est un objectif de valeur consttutionnel.
I) Le tryptique traditionnel
Tdtnnlmnt l op général est composé de trois éléments qui lui donnent «  le caractère d’un
ordre matériel et extérieur ». Matériel par opposition à intellectel et extérieur par opostion à
subjectif, ie un ordre objectif. Autrement dit la déf tdtnlle de l OP relève d une conception
liébrale de la sté ( restrcictive au sens de libertés) qui vise à limiter au max que la police
admin s immisce dans les consciences et soit la gardienne de valeurs ubjectives. Cst pas un
hasard si l op général se défini au début IIIe reme : age d or de slierrés puliques : conceptin
libérale d el asté, la police ne doit s immiscer dans les consciences et etre gendarme de
valeurs subjectifs. CA DOIT etre encadrement des comprtements et non encadrment pensée.
Ceci étantdit y a aps de df textuel précise de l’op générale autrement dit cst le juge qui l’a
défini, ayant pris appui sur l’article 92 de loi du 5 avril 1884 : loi de décentralisation
communale : loi qui donne des pouvoirs pour first time aux communes et l’art 92 ici qui etst
toujours en vigueru et codiéfié a art L2212-2 du CGCT et énumère missiosn du maire en
matière de police, en le rendant responsable du bon ordre,de la sûreté , de la sécurité et de
la salubrité publique. Et finaleemnt le rôle du juge était de considérer que cette mission ne
valait pas simplement pour le maire mais en réalité toutes les autorités de polce générale et
que cette mission comporte troi séléemnts :

1) La sécurité publique 
Cst la protection physqiue des personne et de biens contre les accidetns que pourraient leur causer d
autres personne sou des choses ou des éléments naturels. A ce titre par ex releève de la mission de l
apolce admin la règlementation de la circualtion sur les voies publiques y compris la commodité de la
circualtin et du stationnement. A ce ttire ie au nom de la sécu publique , la policegénrle peut liter la
vitesse de circulation , interdire la circulatan de ctns véhicules ou leur imposer de circuler sur ctnes
voies, interdire stationnement, le rendre payant ou limiter sa duréée, instituer des stationnemnts
réervés ( handicapés etc), suspendre le permis de conduire des personnes condamnés pour
infraction judicaire : les deux polices peuvent se cumuler ici, le amendes pronncées pour infractions
routière= justice judiaciaire mais retrait de points ou de permis = mesure d epolice amdinistrative. Il
n y a que qd le permis de conduir est retiré par le juge pnal pour ancton pénal qu on a mesure de
police judiciaire. Egalement la sécurité publ permet à la police admin de lutter cotre catastrophe,
incendies-innondation-évboulement soit à tiitre preventif soit à poseteriori enorganisant les secours.
On peut égalemet citer ici l’encadrement voir interdiction des activités dangereuses ou la lutte contre
la divagation d’animaux dangereux.
B-) La tranquilité publique 
Protéger les personnes contre les phénnomènes de nature à les déranger, à menacer la
paisibilité de leur mode de vie. Autrement dit, elle permet d’encadrer voire interdire les
activités sources de violence et de bruit : les atroupements, la mendicité aggressive. Ici la
tanquilité va plus loin que la sécurité, il n est pas indispensable que soit menacee ici la
sécurité, l intégrité physique il faut tout simplement que soit menacée la paisibilité de leur
vie quotidienne. Les mesures de police judiciaire qui aurait pu prendre la forme d epolilce
admin se base sur la même ordre d’idée … De mêmeencore la tranquilité publique protège
contre les activités bruyantes , mal odorantes ainsi ctnes activités commerciales si ne pvnt
trabailler d enuit ct pour préserver tranquilité voisinage, dem usage de ctns engins avc
nuiages sonores, partut ex reglementation sur usage engins mécaniques ( tondeuse interdits
au moment ou le voisinage est censé se reposer, ide radio, musique…)

C-) Salubrité publique


Vise à protéger les individus contre les atteintes à leur santé ou leur hygiene . Cst ainsi que la
police admin a vocation à lutter contre les épidémies mais aussi contre les épisodes mais
églamelent contre activiés insalubres et polluantes ; plus largemnt à lutter contre les polutins
ou à veiller à la qualité des produits mis en circulation. Donc voilà ;
I) L’extension de l’ordre public
La trilogie a été dépassée et l OP s’est élargie à des éléemnts d ordre moral A) ainsi qu a la
protection des indivdus contre eux même. Ajdhui la police admin devient de lus en plu
soralisatrice et paternaliste. Cst peu libéral mais ptt justifié car qd les etres humain sse
comportent en petit garçon il appartient ptt a la polc admin de se comporter en bon papa ou
en bonne maman.
A) L’élargissement à des éléments d’ordre moral
L’ordre moral, ou moralité publique n’est pas un élément de l’odre ublic, en tout cas de l’ordre pubic
général. Ca ne correspond pas à la notion d’ordre matériel et extérieur tel qu Hauriou le définissait,
or ce n’est pas le cas de la moralité publique, elle est évidemment très subjective, utile, contingente
car évolue selon les époques, il fut un temps ou la femme mini-jupe était tlm osée que ça pouvait
entraîner licenciement. On est ici sur une valeur différente de la salubrité publique, de la continuité
publique et de l’autre là. Des notions telles que celles d’ordre moral, d’hygiène mentale n’ont jamais
été prônée par des régimes libéraux. Pour autant, et depuis très longtemps, des éléments de bon
ordre moral ont été intégrés à l’ordre public. Ce sont des éléments suffisamment objectifs et
normalement consensuels pour que l’atteinte qu’il aurait porté soit communément considéré
comme choquant. ( la neutralité ce n’est pas non plus l’indifférence face aux valeurs, ce n’est pas
considéré que tout se vaut). Ce faisant, depuis longtemps, des activités particulièrement immorales ,
obscènes ont du etre interdites au nom de l’ordre public général. On peut ici penser aux exhibitions  :
on a arrêt 1924 qui censure pour détournement de pouvoir décision d un maire d une commune
balnéaire d obliger les usagers à se chaneger dans les cabines de la commune municipale, le ce dit qu
en soit ça aurait u etre légal si avait reellement poursuivi mesure d ordre public qui était la
bienséance en publique quoi ( d’ailleurs ajd, bcp de communes balnéaires ont des règlementaitons
interdisant de déambuler en maillo hors de l’enceinte de la plage) et si la mesure fut annulée ct que y
avait surtout une intention financière derrière. Egalement on avait interdiction spectacle forain,
interdiction monstre humain dans les foires depuis longtemps, en fr un maire aurait les pouvoirs
pour interire ctnes illustrations en foire, genre des divinités bizarres ; puis y a des activités de
débauche ex lieux close, bar où se livre des activités de débauche connue, ex bar à hotesse qui
peuvent petre fermées si trop ostentatoire. Tout ce mouvmement a connu un regain qd le CE a érigé
en 95 la dignité de la personne humaine en élément de l’ordre public général, arrêt CE ASS 1995
Commune de Morsang sur Orge : question du lancers de nain, à travers de l’interdiction par
plusieurs maires de cette activité de distraction devant les discothèques, et le ce a suivi les maires sur
fondement de la dignité huaine, désormais consacrée comme élément de l’ordre public géénral. Puis
l’an dernier ce ppe de l adignité huaine fut constitutionnalisé par le Cconstit. Toute activité qui
viserait à représenter l’être humain d’une façon attentatoire à sa dignité, toutes ces pratiques,
comprotements qui consistent à réifier l’être humain sous prétexte qu’il est handicapé ou autre, tout
ça est ajdhui considéré comme choquant et puet etre interdit au nom de la dignité humaine.
Nénamoins outre les gestes, il y a aussi les paroles CE, 9 janvier 2014, Ministre de l’Intérieur c/
Société Les Productions de la Plume et autre: la dignité de la personne humai epouvait conuire a
interdire ctns spectacles ou conférences ou seraient tenus des propos attentatoitres à la dignité
humaine ( ex spectacle qui banalise crime de génocide, en niant crime contre l’humanité… etc ). Donc
la dignité de la personne humaine constitue ajd un fondement de l’ordre public général, c’est un
élément d’ordre moral mais n’est pas le seul, on a vu en 95 sans passer par la dignité hulaine, on a vu
le juge admettre ‘interdiciton de la dignité humaine jugée obscène. On pense à interdiction
publicitaire montrant photos explicites et séduisantes, un peu provocant sans délicatesse Ce 1997
commune d’arcueil , également CE, 8 juin 2005, Commune de Houilles, ouverture d’un sexshop à
côté d’une école primaire. Donc l’obscénité, ainsi que l’ateinte à la dignité humaine constitue
(0 :01min).
SANS ALLER jsq a l’obscénité, la police admin peut également interdire des activités moralement
choquantes, on peut citer l’interdiction de film : depuis 1959, le CE admet dans CE sect 1959 sté des
films lutetia : un maire peut interdire la diffusion dans sa commune d’un film immoral. L’immoralité
peut être par ex l’obscénité même au sens trop « osé ». Cette jp va au-delà de la lutte contre
l’obscnité puisque peut permettre d’interdire la diffusion de film qui peut etre de nature à choquer la
conscience des administrés pour toute autre raison que l’obscénité, ex film qui dénigrerait la
commune où l’on interdit la diffusion. De même si le film traite d’évènements qui se sont déroulés
autour de la commune et rappellent des souvenirs polémiques, douloureux CE 1985 Ville d’Aix en
Provence.
Peut également être interdit le dépot au pied d un monument au mort une gerbe en faveur de
l’interruption l’avortement Ce 1993 Association laissez les vivre  Néanmoins le bon ordre moral ne
s’étend pas à la laicité. LE ce l’a dit dans ordonance aout 2016 ligue des drotis de lhimme  : le maire
n epeut interdire sur la place de la cimmune une tenue de bain avec le burquini au nom de la laicité,
qui nest pas un élément de l’ordre public géénral= on n a pas à imposer en milieu public une tenue
religieuse, l’équilibre entre libertés d’expression -de conscience et l’rdre publique serait trop
desequilibrée si la laicité faisait partie de l’ordre public général.

B) LA PROTECTION DES INDIVIDUS CONTRE EUX-MEMES


Traditionnellemnt, l’o publiq visait à rotéger les indivuds contre autrui ( animal, homme ), contre des
lenaces exogenes ; or mtn il y a des esures qui protègenet les administrés contre leur propore
comprotemet, soit si on a pas assez d bon sens pour nous préserver ( santé, tranuqilité, sécurité etc)
la police peut le faire à notre place. (7min si tu veux revoir).
L’affirmation que la police nous protège contre nous-même n’est pas evidemment vraie psq les
mesures nen cause vise aussia proteger contre autrui. On pense aux limitations de vitesse CE, 25
juillet 1975, Chaigneau :possible de limiter vitesse sur route pour protéger l automobilisste qui roule
trop vite mais aussi pour protéger ceux qu ils croisent(piétons, automboilistes etc…) ; aussi on
l’interdiciton de fumer dans les lieux collectifs CE sect 1997 mme le gac : on protège aussi ceux qui
entourent le fumeur du tabagisme passif. On peut penser aussi à l’institution d’obligation vaccinale
contre des maladies graves et très cntagieuses arrêt CE 2019 ligue nationale pour la liberté des
vaccinations : en imposant la vaccination on protège l’individu contre lui mee et egaement de
transmettre la maladie aux autres. Egalement l’arret morsang sur autres, certes ça protège le nain
contre lui-même , or il est consentant déjà , c’est un professionnel, c’était de ça qu’il vivait,… mais à
travers lui on protège la dignité des autres personnes de petite taille et aussi les clients de
discothèques afin que ceux-ci ne s’adonnent pas à de telles choses.
Y a des cas où on peine à valider les mesures de police pourtant validées par le juge  : ex obligation de
ceinture de sécurité Ce 1975 Bouvet de la Maisonneuve : bon à qui d’autres ça nuirait si nous on ne
portait pas sa ceinture. Puis Ce 2001 Orléans : interdiciton de sortie nocturne pour mineure -13 ans
non accompagnés, on protèe aussi a collectivité ?? Non mais on craint qu’ils soient vicitmes
d’attauqe, ou voient des choses qui les traumatiseraient éventuellement. Ou bien encore CAA Paris,
21 décembre 2004, Association Droit au logement: l’envoie des sdf en centre d’hebergement contre
leur gré en période de grand froid : le jgue a validé : on peut se poser la question bon si les sdf
refusent ptt cst psq la bas on leur interdit chiens, ptt ils vont se faire tabasser, dcp ls préférent rester
dehors dans le froid plutôt que ça. Dcp, entre liberté et paternalisme, le débat social est loin d’être
initéressant.
Paragraphe 2 : Les ordres publics spéciaux.
Des txt particuliers pvnt instituer polce spéciale chargée de défendre ordre publics spéciale, que le
text eégisaltif défini. Voilà de sbuts que la police générale ne pourrait poursuivre. L4INT2RËT CST D
INCLURE DANS LORDRE PUBLIIC autre qui est « spécial »DES BUTS NOUVEAUX . On pense à
l’esthétique dans le cadre de certaines olices spéciales sachant que l’esthétique n’est pas un élement
de l’ordre CE, sect., 18 févr. 1972, Chbre syndicale des entreprises artisanales du bâtiment de la
HauteGaronne a propos des monuments funéraires, on ne peut en vertu de a police géénral d edifier
un monumet funéraire qu el apoice trouverat inélegant ou inesthétique. Par contre y a de splices
spéciales qui défendent l’esthétique : la police de l’urbanisme, c’est un de leursbuts rincipaux qu’est
l’ethétique, la beauté, heheh. De même la police de l’afficaheg concue spécialement pour éviter la
multiplciation d’affichage ublicitarie disgracieur notamment aux abords des villes. La moralité : dans
l’ordre public général, y a des polices qui visent de spréoccupation morales bcp plus étendues, qd le
min de la culture décide de limiter l acces a un film sur le nvieau national c est sur ce fondement
quoi. ( recouter depuis 20min 35). De ême la poice de publicaiton déstinée à la jeunesse  : dans le
journal de mickey on ne peut pas montrer n’importe quoi, c’est la moralité heheh !. La défense de
l’economie, le ce a dit dans CE SECT 1991 Brasseur : a censuré un arret munciial visant à protéger
comecants locaux contre commercants ambulants, cst pas possible au nom de la olice générale !
Mais il existe des polices éco spéciales qui défent d=l interet des consommateurs, evitentn
concurrence déloyale, contribue au maintien du bon fonctionnement du marché. On peut citer
encore la protection de l’environnement, dans le cadre de la olice génrale, l’envronnement ne peut
etre protégée qu’en tant que les atteintes à lenvironement potraient aussi atteintes à la salubrité
publique, l environnement protège l(Homme et non l’environnement en tant que tel. Bien
évidemment, y a de splices environnementales qui visent à protéger l’environnement : la police des
eaux , la police des OGM, la police de la chasse et de la pêhce, ou même encore l police spéeiale des
RAVES PARTYS : évéenements musicaux organsiant en plein air et sans autorisaiton, cete
reglementation vise entre aute a protéer l aenvironnement, pour éviter que m x s isntalle dans des
lieux fragiles et y sacagent tout. De même qd n organise des comptitions sportives hors stades
comme moto, faut veiller à un environnement adéquat, pas trop fragile.
Nénamoins :
1-) il y a ajdhui encre des buts qui ne peuvent été poursuivies ni par police génral ni par police
spéciale (encore non crée ad hoc) : par ex la protectoion des rlations diplomatiques de la France CE
1997 min inériur contre association tibétaine : objet chinois : on ne peut interdire à une asso de
recevoir un dalai lama sous pretexte que ca ne plaise pas à la chine. De même intérêt financier de la
sécu sociale : larret chaigneau ce 1975 permet d elimite la vitese automob au nm de la sécu publique
mais pas au nom de la défnese ds intérêts d elas écurité sociale.
2-) Le sordres pblics spéciaux ne sont cependant pas toujours déiiférents ou teès différents de
l’rdrepublic géénral. Ex : police spéciale qui vise à protéger la sécurité publique ex celle visant à
protéger la menace des batiments en rune ; ex aussi police (environnementale) des installations
classées pour la protection de l’environement : vise à protéger l environnement mais aussi la sécu
publquer et sablburité publique contre les instalaltions dangeueueses.
Mais quel interet d avoir une police speciale ayant meme but que police général  ? Ce serait donner
compétence à une autorité particulière, Ca pourrait etre de donner des pouvoirs particuliers par ex
à la police spéciale.

CHAPITRE 2  : LE REGIME JURIDIQUE DE LA POLICE ADMINISTRATIVE


Ce régime est par principe celui des AAU, pour la raison que la mesure de police administrative est un
AAU. Voir cours du S3 sur régime des aau et contentieux . Néanmoins, les mesures d epolice
présente qlq particuluarités du point de vue de leurs titulaires,et aussi leurs conditins d’exercice.

Sections 1  : les titulaires du pouvoir de police


32 min .
On va définir les ocpétences de chaque autorité et verrons comment ca s’articule.

Paragraphe 1 : la situation normale


A titre préliminaire, l’attribution de compétence en matière de police est insusceptible de
dérogation. Ce pouvoir de police administrative ne peut être en effet délégué. LE Ce l’a affirmé dans
CE SECT 1932 Ville de Castelnaudary, puis réaffirmé dans CE 1994 Ville de Menton. Le conseil
constitutionnel y a vu un principe constitutionnel, dans une décision du 10 Mars 2011, se basant sur
art 12 ddhc qui prévoit l’existence d’une force publique pour la garantie des droits. Postérieurement
à notre cours sur le droit de l’UE, le conseil consttutionnel y a vu un principe inhérent à l’identité
constitutionnelle de la f=France Cconstit 15/10/2021 société air France : on ne peut convfier le
pouvoir d’édiction des mesures de pocie à des perosnnes privées. PAR contre on peut leur confier
des tâches matérielles mais ondition qu’elle restent connexes à la olice, cst a ire ne fasse pas partie
du noyau dur de l’exercice de prérogatives de puissance publique. Ex on peut déléguer l’enlèveent
des rdures ménagères, les éboueurs ne détiennet pas la préogative de la puissance publique, mais ca
aide à assurer salb=ubrité publique. MaIS LE CONSEIL A DIT QU ON NE PEUT D22GUER 0 UNE
ENTREPRISE PRIV2E L4EXPLOITATION DE SYST7ME DE surveillance vidéo sur la voie publique car c’est
une prérogative de puissance publique. En réalité, des perosnne sprivées ne peuvent êtr associées à
de smissions de police impliquant l execie de puissance plique que si elels agissent sou slautorité
directe d une puissance publique ou autorité publique, ex : les peronn publ pvnt recourir à sté de
gardiennage pou( 39min ).

I ) Les détenteurs du pouvoir de police général


On a 3 nvraux : national, départmental et communal =. Donc pas de région régional.
A) Au niveau national
C’est à ce niveau que le débat fut le plus ardu, faute de texte prévoyant un tel pouvoir. On se
retrouve face à une situation curieuse, car dans les autres niveaux on a des textes législatifs, nada.
C’est alors le juge qui a comblé ces lacunes, carences, dans un arrêt CE 1919 Labonne, déjà en
reconnaissant l’existence d’un pouvoir de police général au niveau national, c’était pas évident, on
aurait pu se dire c’est au législateur d’adopter des mesures visant à protéger l’ordre public, car en
même temps en plus, ca limite les libertés publiques. Le CE reconnaît l’existence d’un pouvoir
règlementaire d epolice au niveau national, puis c’ets un pouvoir réglementaire autonome, mais dans
un sens autre que art 37 C, mais donc peut s’exercer sans loi, sans intervention du législateur. EN
plus dans le contexte de l’époque, le domaine de la loi était illimitée, oawww voir aussi arrêt Babin.
Le second apport de cet arrêt est qu’il identifie le détenteur du pouvoir de police au niveau national,
ce sera le détenteur de pouvoir règlementaire général tel qu’identifié par la consittuion : a l’épouqe
ct le président républ en vertu des lois cnstitu de 1875 ; ensuite ct l eprésident du conseil ( CE ASS
1960 SARL restaurant Nicolas). Sous la 5ème République, ce sera de nouveau le premier ministre :
détenteur du pr=v regementaire art 21 ; CE 1973 association culturelle des israélites nord africains.
ON peut ajouter un bémol ici, sous réserve des cas où la mesure est délibérée en conseil des
ministres où c’est le prés rép qui sera compétent pour la signer. Même si le CE cite la consttution (art
21 et 13)ce n’est pas pour fonder le pouvoir de police sur celle-ci , c’est uniquement en tant que ces
articles identifient le titulare du pouvoir reglementaire gnéral, et lui permet en mm temps
conformément à jp LABONNe d’identifier le titulaire du pouvoir de police. Nulle part dans la constit
on n everra l amention d un pouvoir d epolice que détiendrait le premi ministre, ni mm un pouvoir de
police tout court. Et d’ailleurs, autre élément qui montre que cette constructoion jpendtielle est en
marge de la constitution, le pouvoir de police y compris pv reglementaire de polcie reconnu dans
Labonne nest pas un pv relgementaire autonome au sens de l’art 37 C : particulier car selon CE ? CST
EN MARGE DE LA DISTINCTION Du domaine de la loi et du règlement défini par les art 34 et37 C. Le
ce a dit ça en 1978 pour la première fois dans arret CE 1978 février 1978 Association comité pour
léguer l’ esprit de la résistance : les art 34 et 37 sont sans incdience sur l’étendue de la compétence
du puvoir reglementaire d eplice, autrment dit, il peut interveir en toute matière, meme celles qui
rleevent du domaine de la loi en very de l art 34 , tant que c’st pour maintenir l’ordre public. ( en
effet art 37 n institue qu epouv regl autonome d=que dans maitere ne relevant pas du domaine de la
loi, eh bien ca s applique pas au pouv regl de police). La seule limite, c’est que le pouvoir
regementaire de polcie ne peut contredire la loi si une loi est déjà intervenue  : Ce sect 1978 union
des ch syndicales d’affichage : la hiérarchie des normes joue ! Est-ce que c’est conformer à la
constitution ? Le conseil constit a constitutionnalisé la j Labonne, y compris que le pouvoir de police n
est pas tributaire de article s34 et37 dans Dc 1987 Code rural et DC 2020 Loi relative à la chasse. Dans
la prmière décision : décision rendue en vertu de 37 al 2 soit la délégalisation , celle de 2000 ct pour
le contrôle de la consittuionnalité de slois ; dans la premiere on s interese a lautorité compétente, en
2000 on sinterooge surla ocnformité de la mesure de poice à la loi intervenue avant elle.

B) Le pouvoir de police au niveau départemental


1) Le pouvoir de poice du préfet
Art L 2215-1 et s du code général des CT : Pouvoir de principe du préfet : le préfet exerce le pouv de
police général y compris au niveau départemental, ou sinon même dès que le champ d’appkcation
dépasse le territoire d’une seule commune. IL ARRIVE même que la loi lui donne compétence pou
rprendre des mesures applicables au niveau communal. Ex Loi LOPSI 2011 lui donne compétence
pour insituter couvre feu pour mineur non accompagnée -13ans.
Mais deux cas particuliers :
1-) A paris il y a pas de police au niveau départemental, car paris est à la fois commune et
départment, pas de sens d’avoir à la fois pouvoir de police départemental et communal exercant sur
le meme teritoire, autrement dit le préfet de paris n’a pas de pouvoir de police.
2-) Il y a un départmeent où le pouvoir de polcie n’est pas cofié au préfet mais à un préfet
particulier : dans le départ bouche de rhone ou on a a cote un préfet d epolice uqui exerce le pouvoir
de police général au niveau départmenta. BREF ON A ENELV2 UN POUOVOR du préfet de pollce du
département des bouches du rhone, vu le nb trp eleve de délinquants ! PAR EXCEPTION ,

2) LE POUVOIR DE POLICE DU PRESIDENT DE CONSEIL DEPARTMENATAL :


Là cst u=pouvoir décentralsé, celui-ci exerce le pouvoir de police gnéral sur les propriétées du
départment( les espaces 18min 45) au nom du départmeent . Ce n’est pas rien car ca lui permet de
reglementer la circulation sur les routes dpaartmentales, hors agglomération qui relève du maire, cst
le président du conseil depart donc qui fixe ces regles de circulation : a on a vu avc la limitaiton a 80k
h sur les routes depart à deux voies non éparées par terre plein ou … bref o s’en fout !
A) Le pouvoir de police au niveau communal
C’est le maire qui détient ici le pouvoir de police, sous réserve de cas particuliers.
1) Le pouvoir de police du maire
Cst l autorité de police énéral au niveau communal, pour édicter mesures appcables sur tout
( totalité) ou partie du territoire communal, L 212-1 et s code gen des CT
IL Assure ce pouvoir au nom de la commune. PARFOIS le maire en effet exerce compétence au nom
de l’Etat, ici il n’en est rien. Néanmoins, il y a un contrôle du préfet, qui dispose du ppouvoir
d’exercer le déféré préfectoral contre les mesures adoptées par le maire, mais surtout il dispose d’un
pouvoir de substitution d’action ( le préfet) et sur le maire en cas de carence de celui-ci dans
l’exercice de ses pouvoirs de police. Soit, si le préfet estime que le maire aurait du agir, ou que son
action est insuffisante, il peut le mettre en demeure d’agir, et si le maire agit ou persiste par
l’inaction, alors le préfet peut se substituer à lui, donc agir à sa place, au nom de la commune ici et
sous la responsabilité de la commune( qui sera responsable en cas de dommage).

2) Les cas particuliers


Il sont de trois ordres :
 Paris est soumis à un statu particulier lié à son statu de capital, et don cde siège des pouvoirs
publics. LE MAINTIENT DES POUVOIRS PUBLICS Y EST UN TÄCHE particulièrmeent lourde.
Quand des manifs ont lieu, svnt c’est là bas, qd y a des attentats cst souvent là bas . Y a une
autre raison moins noble, le pouvoir central s’est toujours méfié des autorités parisiennes !
Pendant très longtemps, Paris n’a pas eu de maire, et même maintenant, on s’est gardé de
lui donner des pouvoirs de police car un maire de paris trop puissant pourrait exercer une
pression sur le pouvoir central ( à l’époque de la Révolution, la municipalité était le véritable
maître du pays, car à chauqe que l’assemblée ne votait pas dans son sens , la commmune
lachait de ssans culottes qui faisaient que tout s araange). Donc pour ses raisons, le maire de
paris co existe avec un foncitonnaire d’Etat : le préfet de police et les deux coexistent avec ii,
préfet de police communal. La dernière réforme de la commune de paris a un peu
réequilibrer les choses , mais un peu quoi. ( réecouter 5min pour plus de compréhension si
jamais). On laisse le maire s occuper des pécadille :s reglementation baignade, bon rdre sur
foires et marchés, asalubrité plluqe police sur les petites voies publique, lutte contre les
incendies ; le préfet de police se garde le pouvoir de police sur le grandes voies publiques.
 Les commune ssoumises au régime de la police d’Etat :: L 2214-1 et s du code. Quelles
communes concernées ? comment fonitonne le régime ? Qlq soit la taille, les chefs lieux de
départments sont soumis au régime de police d’Etat. CA PEUT ETRE aussi le cas des cmmunes
qui sans etre chef lieu de départ compte +20000hab et où sévit une délinquance de type
urbain. Là cst par décision spéciale que le régime de police d’Etat s’applique et non de plein
droit, si la commune est d’accrd, un arrêté interministériel suffi pour le mettre en place,
autrement il faut un décret pris après avis du CE. Ce régime consiste à : dans ces communes
police d Etat, le préfet se voit transféré la police de la tranquillité à l’occasion des
rassemblements occasionnels ( les manifestations quoi).
 Le pouvoir de police des présidents d’inter-communalité : En effet, il est assez logique que
dans le cadre de l’inter communalité, le président de l’itnercommunalité soit compétent
pour exercer les pouvoirs de police dans les matières tansférées à cet établissement, ex
président de communauté de ocmmune, de comunautés d agglomérations, de métropole,d e
communutés urbaines. La premeirer loi qui a attibué un pouv de plice au presidn d inter
comm = loi de 13 aout 2004 et cette loi ne prévoyait que des tansferts facultatifs autrement
dit il fallait accord de socmmunes , (si pas accord les maires restet compétents) et d’autre
part cst un transfert partiel car on aua une compétence partagée entre le maire des
communes membres et le président d interocmm. La loi du 16 12 2010 fait élargir le pouvoir
de police des présidents d inter, car tous les tansferts de police sont ésormais intérgrées  : qd
y a transfert, qu il soit « obligatoires » ou facultatif », le président est inégralement
compétent, et psq y a as=ussi ouveuté de l’obligatoire, plus d accord parfois n’est exigée( des
lors qu une amtie , donc on aura compétence exclusive. Reecouter 2min. ex en matière
d’assiassinessment, de deéchet, d accueil des gens du voyage cmpétence sont transférées
aux intrcommunalits, de plein droit cst leprésident de l inter commm qui sera compétent, et
non plus le maire. Sinon à côté reste des transfertsfacultatifs : reglmentation circulation et
stationnement ou encore manifestation culturelleet sportive, mais si ces matières restent
des cas de transfert facultatifs et si y a accord ce sea toujours transfert à titre intégral.
I) Les détenteurs de pouvoir de police spéciale
En rélalité cst très diffiicle de systématiser, chaque txt istituant une police spéciale detemrine son ou
ses titulaires. Généralement, ces polcies sont rlativement concentrées, une suele autoité est
généralement compétente, e tl eplus osuvent u niveau national, par ex : le président de la r
épublique en consel des misnitres exerce la police des groupes de combat (decret lois 1936 qui
permet groupement extremistes … bref on s en fout), dans un registre plus pacifiue, le min de la
culture exerce la police du cinéma ; le minstre d el’intérieur la police de publications pour la
jeunesse. Le pouvoir d epolcie peut aussi été ocnifé à des Autoirté amistratives indéPENDANTES, pu a
de sautorités pubiques indépentdantes, voire des etabliss publics, voire de spersnnes prvées. On
peut avoir des polices concentrés à un niveau local, ex le préfet est autorité de police spéciale dans
nombre de domaines au nom de l’Etat par ex police des installations classiques , police des gares et
aéroports, police de la chasse et de la pêche, ou encore police des mines et des carrières etc… Le
maire est aussi autorité d epolice spéciale dans ctns domaines ex polie des batimenat mencancants
enruine, ou police d el’affichage.
PAR excpeon on peut avoir pluralité de=’autorité de police compétentes= plusieurs autorités
compétentes : ex :police des étrangers, ou police de prévention du terorisme et donc ona plusieurs
niveaux : au niv nation : min de lintérieure, au niv déprarmtenetal : préfet.
Puis il y a un cas particulier : police de l’urbanisme norameemnt détenu par la commune mais avec
patage de compétence entre le conseil municipla aqui adopte les(activités de reglemenation) plans
de l’urbanisme et le maire délivre les permis de construire (autorisation individuelle).

Conclusion : les autorités d epolice spéciale sont parfois différentes de sautorités de polcie générle,
et parfois ce sont les mêmes. MAIS PQ DONC INSTAURER police spéciale ? UNE police spéicale peut
avoir un ordre public visé autre, puis les pouvoirs conférés peuvetn différés quand bien meme l
ordrepublic visé serait le même.

Paragraphe 2  : Les concours de police


LES autorités de police peuvent se recouper. Ctnes compétences peuvent avir vocatin a entre dans le
champ de compéence de plusieurs autorités. Dans ce cas comment arrtiucler les compétence sd
epolcices ?3 cas donc que l’on verra. A revoir 1min
1°) LE CONCOURS DE POLICE GENERAL
Chaque autorité de police génral exrece son pouvoir au niveau territorial qui est le sien. Le pm
au niv national, prefet niv départ et maire au niv national. Se pose la quesiton de savoir si dans la
cirocnsrcription qui est la laeur le sautorités inférieres peuvent agir au risque de contredire ce qu’ a
décidé l’autorité supérieure ? C’est une questin d’autoirté du pouvoir supérieure (naitonale) sur les
pouvoirs locaux, c’est une question de hiérarhcie. Comment faire coexister les différents niveaux tout
en faisant respecter l autorté supéreire ? AALORS TANT que l autoité sup n a pas agi, l auto inf le peut
dès lors qu’il existe un trouble à l’ordre publique dans sa circonscription, peu importe que le trouble
a l ordr epubl soit specifique a l aocmmune ou dépattment en cause, l autorité infer lcoale peut
intervenir. Ex : commune morsang sur orge, la lancers porte atteinte a la dignité humaine partout
quoi, (5min) .
C’ets lsq l autoirté supérieure es déjà intervenue que les pbms pvnt se poser. Il faut pas permette à l
autorité inférieure d econtredire l autorié supérieure, e mm temps on doit admettre que l autorité
sup qd adopte mesure n a pas pu prendre en compte toute les particuartiés locales. Et donc
comment cel as’articule t il ? L autorité inférieure a le droit d’agir si il existe des circonstance slocales
particulères autrement dit des circonstances que l autrotié supérieure n a pas pu prendr en compte
et à conition d agir uniquement dans le sens d’un renforcmeent des mesures décidées par l’autorité
supérieure. Autrement dit, on considère que lsq on ajoute on ne contredit pas, cst lsq on retranche
qu on contredit/ CE, 18 avril 1902, Commune de Néris-les-Bains: le maire a le droit si le prfet est déjà
intervenu de udurvcir dans csa commuen la reglementtion prefecotrale a raison de circonstances
particulières a sa commune ; arret labonne : articulaton en tre autorité nationale et aurotirté locale.
Les choses sont claires : dans le cas d une reglementa prefect qui impose aux bars de ferer à une
heure , le maire d une gde ville peut décider que chez lui ce sera minuit car y a bcp trop de petits
fous, par contre le maire d une petite commmuen rurale ne pourrait pas décider que si y a pas de
pbms chez lui il va femrr café a 2h, là cst pas possible, car on va dans le sesn de l’allègment.
Néanmins des txt pvnt autoriser l autorité ifnérieure a assouplir les mesures prises par l autriuté
supérieures ppur des raisons liées à des circostance slocales artuclieres ex en matiere de code de la
rout, nmlmnt le code fixe sur otut le territoire les vitessses max autorisées, mais ilautorise par ex les
maires à déroger aux principes des 50 km /h en agglomération pour porter laivtesse à 70 km h si les
caractéristuqes de l a route le justifie. De meme, sur les routes departmentales, si pas 4 voies ou sans
dispositifs de séparatin des voies nmln cst 80 km h m i le
president du conseil depart meut le porter à 90 pour des raisons partiucli-res.

2-) CONCOURS POLICE GEENRAL ET POLICE SPECIALE


Ici le pbm est celui de la priorité du spéciale sur le général qui est le principe. SI le général pouvait
primer sur le spécial, y aurait aucun intérêt à instituer des polices spéciales. Pour autant, quand une
acitivté entre à la fois dans le champ e la police spéciale et de la police génrale, est ce que la polcie
géénrale put inetevrnir ? Il faut distinguer plusieurs hypithèses :
 Le txt instituant la police spéciale peut prévoir qu elle s appliquera à titre exclusif, évincant
toute possibilté d interventio d une autre ppolice notamment celle générale. Ce qui ets plu
smabigu cest que parfois le juge peut le déduire du texte, sans que le texte le dise
expréssement. EN particulier, plu sl’orre public spécial ressemble à l’ordre public général,
plus le jgue aura tendance à l’exclusivité de la police spéciale : ex en matière d eplice des
gares et aéroports : un arrt CE 1935 sté établissemnt sapin qui indique qu el preet n tatn qu
autorité d epolce speciale a exclusivité de compétence dans gares et aéroports car protège la
même chse ici que le maire. Un autre indice peut permettre de déduir el’exclusivité : la très
gde précision des txt relatifs à la police spéciale, précision des textes notament sur l’bjet, sur
les titulaores, sur les modaiteés d’exercice. Ainsi on a vu florir une srie de jp en matière
nevironnementale, à propos du pouv de police geneal du maire d intervenir dans le champs
de ct ( 11min 50) et à chque fois le ce a déduit lexclusivité de la police spéciale : ex 1 : à
propos instalaltion antenne relais = le Ce dans ASS 2011 commune de saint denis y a
exclusivité de la police spéciale confiée aux autorités nationaes, soit le maire ne peut en
vertu de sa police génrale reglementer l installation des antennes relais sur le terirtoire de sa
ommune, du fait de la gde précisi des txt instaurant ici une commuen spéciale. Si ctsn
auteurs ont pu déduire que cet arret iterdisait juste au maire d adopter txt généraux, et non
rien d interdire l instalaltion de tel ou tel antenens dans des crinsocsatance particulière par e
x rproches d ecole ou hioptl, la jp postérieure de préciser que non, cst non en tout sens !
Même soluton à propos de la culture des OGm CE 2012 commune de Valence : i existe polcie
spéciale de sogm, c st pas au maire de reglementer culutere d ogm sur le territoire de sa
commune , ou d interdire la culture d ogm sur tel ou telle partie de sa commune. Même
chose pour l’interventio du maire en amtière d’installation de compteurs electoniqes dit
intelligents CE 2019 COMMUNE CAST/ IL EXISTE COMMUNE SP2CIALE DE protection cotnre l
expoisito aux chams elctromagnétiques et cst exclusif, le maire n y peut rien. Ou bien
encore ) propos d el itnerventio du marie en matière d eculrutre de speesticides : CE 2020
COMMUNE d arcueil : le maire n est pas compétent pour reglementer l utilisation des
pesticiedes sur le territoire de sa commune, il y a de sporoduits speciaux phytosanitaires qui
sont exclusifs. 16min 40. Tout ca cst pour des raisns politiques en partie : empecher le maire
d agir par militatnisme ou sous la pression des electeurs, qu il se maire d affaires qui
interessent la police speciale, souvent etenue par organisme nationale, souvent par epert.
 Qd la poilice spéciale n interdit pas le concours de police, et ne peut etre intertprété comme
l’interdisant, le concours reste possible et est la même qu’en matière de concours de police
gnérale (possible tant que autorité supe pas intervenu, mais si autorité police spéciale dja
intervneu, lautorité de police géné ne peut interveni que ppour durcu=ir les mesures prises
et à raison de motifs particuliers qui peuvent etre plus ou moins suples. Ca peut etre simples
circonstances locales particulères : cst le cas par ex pour concours entre plice génrale du
maire et police spéicilae du maire : ex ciné lutecia, le maie peut interdire dans sa cmomuune
un fim autorisé surle teritoire nat, si pour des raisons partculières ex risque de troule aà la
trnquilité publique du fait de la résence dans la commune de faits sensibles à ce film, que
raisons historiques ou autres bref … Et dans d’autres cas cst plus rigoureux, il faut un péril
imminent :). ( réecouter 19 min). cst ex le cas pour un concours entre police génréale et
police installation classées CE (22min) …… Y a vingt ans suite à un cata, un ctn nb de
maire a renforcé les mesures de protection décidées par le préfet, ce que le ce a rappelé que
ct pas possible sans présence d epérils imminents.
JSQ L0 POLICE G2NRALE ET police spéciale n etaient pas detenues par la m autorité, mais ce
ssolution svalent qd le t=détenteur est le même. CE 2012 COMMUNE de valence. Autrement
dit 24 min…

III-) LES CONCOURS DE POLICE SPECIALE


Au sein d unem polce speciale qd détenue par la mm autorité, cst le txt instituant la poice speciale
qui articule la comptétence des diffrentes autorités. L a ou ca peut tre compiqé, cst entre polce
spéciale diférente : là on applique le ppe de l indépendance des législations : autrement dit qd une
mm activié a vocatin à entrer dans le champ d epls polices speciales, eces polices speciales s
aplliquent tous à elles cumulativement ex si on veut exploiternstallation calasser pour installation de
lenvironement, il faut obtenir titre d autrisation indiv du maire pour urbanisme et autorisatin d
exploitati d epoice (26 min 25
Section 2  : les conditions d application des mesures de police
Etudions le contenu, puis ..

Paragraphe 1  : Contenu
S agissatn des contenus de mesure de police, distinguons les situaitons noramles de spériodes d
excption.
1) Période normale : La situaiton noramle conduit à prohiber ctnes mesures de polices et à
conditionner les autres, en effet la police admnstrative est libérale. Un commisaire du gouv
Corneille concluant sur un arret Baldy 1917, avait résumé la philosophie de la police
admnitrative par «  la liberté est la règle, la restriction de police l’exception ». Ca conduit à
proiber ctnes mesures de polices.
A) Les mesures de polices prohibées :
a) SOUMISSION A AUTORISAITON PREALABLE : n est pas possible de soumettre une activité à
autorisation prélable, en tout cas en principe : CE Daudignac ASS 1951.EN EFFET une telle mesure
inverserait le raisonnement libéra vu supra, par Corneille, si on institue une autorisatio préalable,
tout ce qui n’est pas expressement autoriséest interdit. Or le ppe, cst tout ce uqi nest pas interdit est
autorisé. En tout cas ca n’est pas possible pour la police géénrale, soit il nest pas possible d insttuer
écanisme d autorisaiton réalable ci ; mais cimme ce ppe n a pas de valeur constitutionnelle, les lois
instituant police spéciale peuvent instituer un mécanisme d autorisatio préalable ou de déclaration
préalable, et ces lois ne s’en privent pas. Ex : la police de l’iurbanisme : on ne peut construire maison
sans titre d eplice d urbaise, et le cinéma, : la diffusion d un film n est pas possible san sautorisaiton
du ministre de la culture.
2. L’encadrement de l’exécution des mesures de police

D’abord, l’autorité de police générale ne peut imposer les moyens par lesquels devront être
respectées les obligations qu’elle impose → CE, ass., 4 janvier 1935, dame Baron.
>> Le choix des moyens appartient à l’administré
Ex : divagation des chiens peut être interdite sans imposer aux propriétaires d’avoir un chenil. A
chacun de se débrouiller pour que chacun ne divague pas. La limite cst quand y a qu une seule
moyen d y arriver car làà les mesures de police. ne limite pas les moyens, les administrés étaient déjà
contraints de ne pouvoir avoir recours qu’à celle-ci.

Concernant les règles d'exécution forcées ou exécution d’office, elles sont en ppe interdites ( cf sté
immobilière de SAINT Juste ) sauf ctns cas notamment :
-prévues par la loi (ex : bâtiments menaçant ruine) ça concernce la police spéciale et non générale.
-en cas d’urgence : ca arrive souvent en matière d epolice. Ce 2001 ville d orléans et CE 2001 Prefet
du baucluse : dans les deux cas étaient aen cause les couvre feu pour mineur ; l arret ville d orleans
valide l execution d office car imitée à l hypothèse d urgence, le mineur court un danger à rester seul
la nuit, l execution forcée cst la reconduite d el’enfatn chez lui. Dans l autre arret, un arreté qui
prévoit l executi forcée systématique ( tout mineur de -13 ans surpris seus che lui à partir d une ctne
heuresera raccmpagnée= illégal).
-Il n ‘ y a aucune autre voie de droit + mauvaise foi de l’administré ; très improbable car la
méconnaissances des mesures de police générale est une infraction donc il y a toujours une autre
voie de droit poour cette hypothèse dans le cadre des mesures de police.

A) Les mesures conditionnées


1°) Mesures de police générale
On part de Corneille encore une fois «  La liberté est la règle, la restrictiion l’exception »= uene
mesure restricitve ne peut ntervenir sans riaison partiulière, puisqu’elle est l’exception, elle doit etre
dûment justifiée. MAIS COMMENT ? PAR Deux éléments qui sont devenus trois :
-De lngue date , la léglit interne des esures d epolices a été suborodonées à deux exigences  : de
nécessité et d eproportionnalité. Ceci a été constittionnalis édans DC LOPSI 2011 : si l institution de l
apoice admin est conforme à la constit alors qu elle conduit à limter libertés publiques par
ladministration cst pour deux raisons : y a un motif d ordre public, et y a un contrôle juridictinnel sur
a proporitnlaité et la nessité de a mesure. Sous l’influence du droit de l’UE on a une troisième
condition, désormais on distingue nécessité, adaptation et proportionnalité : désormais triple
exigence. Aujourd’hui le dt français le fait en matière d epoice par ex arrêt CE AGGRIF 2015 ( police
admin pour prévenir commission d infraction). Sur le fond ca ne change pas grand-chose, l’adaptatin
d aujourd’hui était déjà dans le droit frnçais se situant entre la nécessité et la proportionnalité.
-La nécessité= il doit exister un trouble particulier à l’ordre public que la mesure de police entnd
prévenir ou faire cesser. A cet égrard, l’existence de cette nécesité est contrôlée compte tenued es
éléemnts de connaissance dint dispose l’autorité de police au moment où elle prend sa décision . Le
CE a précisé ceci dans l’arrêt commune de crégols du 31 08 2009 qui précise que quand ces infos sont
erronées, pour autant la mesure d epolice n est pas dépourvue de nécessité/n’est pas illégale.
Autrement dit , on ne porra pas lui reporcher de ne pas avoir pris de mesure de police si elle ignorait l
existene d un trouble à l’OP, mai son ne pourra lui reprocher d avoir pris une mesure de olice si en
fnction des éléments dont elle dispsait on aurait pu penser qu il existait un risque de toruble à l’OP.
-ADAPTATION= Une mesure d epolice est dite adaptée lsq elle es tpropre à empecher ou à faire
cesser le trouble.
-Proportionnalité : un emesure de police est proportionnée lsq lampleur des limites qu elle pose aux
liberés publiuques est adéquate , ajustée, à l’ampleur/à la gravité du trouble à l’Ordre public. On a vu
ca dans CE 1933 Benjamin. Autrement dit une mesure de police n est légale que si l ordre public ne
peut etre maintenue ou rétablie par une mesure moins contraignante ; soit la mesure proportionnée
cst toujours celle la plus efficace et en mm temps la plus respecteueuse des libertés publiques. Ici
admin est don cen compétence liée. On pourait aussi reprocher à la esure d epolice dans le sens
inverse d’être trop souple, de ne pas avoir fait assez.

Aussi l’arrêt commune de crégols précise qu’elles osn tappréciées au moment de l’adoptin de la
mesure de police mais aussi en continue tout au long de son maintient, de son exécution. Soit la
nécessité, sot l’adaptation , soit la proportionnalité , ref l un des trois disparaît, la mesure de plice
devient illégale et devra dès llors etre abrogée. Voilà comment le juge maintient équilibre entre
respect de l’OP et sauvegarde des lib publ.
Par ailleursn on présente souvent la triple exigence comme prohibant les interdictions génrales et
absolues. I est interdit d interdire de manière générale et absolue. Mr dit ce n est pas totalement
vraie : certes interdire une acitivté en tout temps et en tout lieu est le plus souvent disproportionné,
donc illégal  car conduit à l interdire ans des hypothèses où elle ne trouble pas l’OP. Prenons
l’hypothèse de l’arrêt DAUDIGNAC : le maire d’une commune en avait après la profession de
photographe filmeur dans la rue, il estimait que ca ortait atteinte à la sécurité publique. Or le mare
ne pouvait soumettre la profession à auorisation prélable. Mais en partant du ppe que l’acitivté de
photographe filmeur est permise mais que elle va etre interdite lsq elle trouble l OP, ca veut drie qu
on e=ne peut l interdire qu a ctns moments dans ctns endroits. Imaginons RENNES, pas d’intérêt de
le faire en général, sauf dans des endroits à circulation automoblière intense peut etre, mais sur tout
rennes tlt cst pas proportioné. Or l interdiciton géné et absolue ne sont pas toujours illégales, y a des
acitvités qui qlq soit le lieu , qlq soit le moment trouble lOP, et dans ce cas ci on n a que l interdiciton
gén et absolue, car elle sera proportionnée ici. Ex Morsang sur orge, qu on lance l nain le jur ou l
anuit, en aplhi, devant resto, ou ailleurs, ça porte atteinte à l’OP, donc voilà on interdit partout et en
tout temps. En réalité donc, qd on annule une mesure d epolice, cst pas qu elle est générale et
absolue, cst qu elle est trop générale et trop absolue compte tenue des crconstance del ‘espèce,
donc le contrôle de l alégalité de smesures d epolice suppose un examen attentif des faits, de
l’espèce, il faut vérifier si la mesure d epolice est matériellement, spatialment, temporellement
adaptée aux motifs qui la justifient ? Prenons encore ville d’Orléans avec les enfants, cst excessif l
interdiciton nocturne de smineurs non accomagnés dans ctns secteurs d une gde ville ou ne sevit pas
particulierement la délinquance ; alors que par ex dans une affaire V ille d etamp de 2001 , est validé
l interdiciton sur l ensemble du territoire urbain de la commune car elle était plus petite, donc ici les
délinquants passent très vite d’un quartier à l’autre, doù aucune zone n est vraimentà l’abri ,
justifiant la proportionnalité d el’interdiciton. Dans de socmmmunes encre plus petite, aurait on pu
inclure mm le territoire rural … En matière teporelle, plu sla ville est petite, plus on est exigeant, plus
la ville est grande plus on admet de fourchettes d interdiciton large ; ans un epetite commune on
ommence à 11 h du soir cst pas admissible, on est exigeant dessus, dans la gde ville cst légal de
commencer à 11h car la délinquance cmence plut$ot.Bref casuistique

1) La police spéciale
En réalité on retouve la triple exigece vue plus gaut, mais bon nombre de ces olices spéciales ont
lgntmps été caractérisé par un controle minimal : simple contrôle d el’erreur manifeste
d’appréciation ou de l’absence de disporportion manifeste. Bref ici le juge laissait plus de marge de
manoevres a l autorité de police par cette pratique du cotr^le « minimal ». Mais ajd cst plus le cas, on
passe à un plein contrôle de proportionalité, tatn sur necessité, adaptabilité, que necessité. Il existe
une police SP2CIALE : celle des publications étrangères soumises à un contrôle minimal du jugé ( livre
ou reveus edité a letrger ou dans une langue etrangère ou régionale autre que le France ( ex breizh),
et ct confié au min de l’intérieur et contrôle min CE ASS 1973 STE librairie françois mazteraud  ; et en
1997 c est passé à un contrôle normal CE 1997 Asso Equin ; et ca a disparu car la CEDH l’a censurée
en déclarant ceci contraire aux drits garanties par la convention CEDH 2001 Asso Euqin ; puis à la
suite un décret l’a supprimée. On a constaté que controel normal pas suffisant car les textes ne
disaient pas exactement ni précisément les raisons qui peuvent pousser à interdire par ex la
publicaton d une revue etrangère ?

On a aussi CE 2000 Asoociation promouvoir : ciné : un film « Baise-moi » très provocateur, la


minsitre de la culture ne l’avait pas interdit totalement mais aux mineurs de -18 ans ; et l’asso
promouvoir catholique et tout a trouvé ça trop souple ce qui a été pris ; or la police du ciné est
soumise à autorisaiton réalable ; le CE censure le visa en tatn que cst insufisamment rigoureuse la
décision de la ministre compte tenu des diffférentes possibilités offertes à l’époque. DANS LA POLICE
S2PECIALE A L EPOQUE ? L INTERDICTONAUX MOINS DE 18 Ne figuraient pas ; on n’avait que -16 ans
et au dessus on avait classemetn film X qui entraine autre chse qu interdiction -18 ans, cst aussi
interdiction de diffusr le film ailleurs que dans des salles spécialisées et aussi avec une fiscalité
dissuasive. Le Ce a conclu que interdic ca existe pas donc illégale ; et -16 ans pas suffisant ; donc la
seule possibilité cst classement Porno à raison des caractères sexuelles ouf et violences…Puis après
cet arrêt on a révisé les txt de la police du ciné pour créer la catégorie -18 qui permettait d interdire
le truc à tous les mineurs, sans avoir à le classer dans X qui signerait la mort du film.

I) L’élargissement exceptionnel de spouvors d epolice


Ici y a des circonsatnces exceptionnelles oùles trouls a OP sont d’une certaine gravité que les
pouvoirs d el’autorité de police sont élargies afin de leur permettre d’établir l’ordre plus
efficacement.

A) Les lois spéciales


Il y a ici 4 dispositifs de renforcement des pouvoirs de police
1) Etat de siège : Loi du 9 aout 1849 mentionnée à l’art 46 C. Dans quelles circonstances  ?
En cas de périls imminents résultant d’une guerre étrangère ou d’une insurrection
armée. Autrement dit, il a été mis en œuvre à l’occasion de la guerre de 1870 puis de la
commune de paris puis des deux guerres mondiales.
-La procédure : déclarée par décret en cons des minstres ; au-delà de 12 jours doit l etre
par une loi.
-Conséquences : Ca tient à °la compétence : puisque l epouvoir de police est transféré
aux autotés militaires ( cst un régime militaire).
Ca tient aussi au fond : Pouvoirs supplémentaires :droit de perquisiton permanente ,
droit d’éloigner les non residants, droit d xiger la remise de toutes les armes et de toutes
les munitions, droit d interdire toutes publicaitons et toute réunion
2) L’Etat d’urgence : loi du 3 Avril 1955 modifiée à d emultiples reprises depuis notammen
pour modifier les pouv de l autorité de police en période d etatd’urgence. Il n est pas
mentionné dans la constitution, ce qui ne l’empêche pas d etre conforme à celle-ci DC
1985 loi relative etat d urgence en nvlle calédonie…
-Circonstances ; Moins restricitve ue le premier ; il suffit d’un péril imminent résultant d
atteinte graves à l OP u d’événement présentant par leur nature et leur gravité le
caractère de calamités publiques. Ca a été institué à l’occasion de la guerre d’Algérie, en
effet le fait d emettre siège cst reconnaître la guerre , on a évité ceci. Sinon en 1984 et 85
en nvlle calédonie dans le cadre destroubles indépendantistes. Entre 2005 et 2006. Enfin
sur la totalité du territoire pour la première fois suite aux attauqes teroristes de 2015 et
ce pour deux ans ( sa plu slongue application temporelle).
-Procédure : Ressemble au premier : déclaré par décret en cons des ministres. Mais ce
premier décret est complété par un autre qui détermine les zones où l’etat d urgence est
applicable. Donc on a deux décrets : la déclarant et la délimitant. AU DELA de doouze
jours, sa prolgnation doit aussi etre autorisée par le législateur.
-Statut des actes qui la déclare : actes admin pour les deux décrets susceptibles de
recours devant le uge pour exces de puvoirs qui contrôlent leur necesité et leur
proportionnalité CE ass 2006 Rolland et bavouerd. Mais quoi d autre ça pourrait etre  ?
Bah un acte de gvnmnt rubin de servens mais ca ne l est pas. L arrt rollin de 2006 là dit
aussi que l autorisation donnée par le légisalteur d erolonge rl etat d urgence ratifie le
décret qu le déclare, il ne sera donc plus susceptible de contrôle. Par contre le decret d
edélimitaton après prolongation de l etat d urgence par le législ, il sera tjrs susceptible de
contrôle. De mêe il est possible nonobstant l autorisation législative de dm à tout
moment au presi rep de ever l etat d urgence, et si non de contester son refus devant le
juge. Le législ autorise la prlongation de l’etat d urgence mais il n impose pas que cela
soit tenu, en effet si l executif estime non necessaire qlq temps après de le maintenir,
mm si accord du législateur, l executif peut supprimer ceci.
-Conséquences : C’est un régime civil : le pouv d epolice reste confié aux autoités civiles,
mais élargis sont leurs pouvoirs. Le cons cosntit etati améené a controler en 2017 par qpc
pls de ces pouvoirs, en a censuré pls non dans leur principe mais que les conditions de
leur uage n’étaient pas sufisamment encadrées. Ex : restriction de circulation, remise des
armes, fermeture de lieux de réunions, notamment a précisé la loi à partir de 2016 les
lieux de culte ; interdicito ndes rassembleemnts sur la voie publique dès lors qu’ils
peuvent constituer une surce de désordre et que l autorité de police n a pas es moyens d
assurer lerur sécurité, réalisation de perquisition sans autorisation judiciaire, assigner à
résidence ctnes personnes pour une durée max de douze mois ; prononcer des
interdicitions de séjour dans ctns lieux sauf le domicile ; bloquer des site sinternet,
dissoudre des associations ou groupement de fait ; prcéder à des cntroles d identité et à
des fouilles du véhicue without autoriaton du min public, ou encore instituer des znes ou
la circulation et le séjour pvnt etre restreintes… bref t=bien étendus comme pouvoir mais
les conditin s demploi de ces pouvoirs sont précisément étables par la loi de 55 , ce qui
netait pas bien préciser donc censurer par cons constit.

D2SORMAIS les meurres prises dans le cadre de l’état d urgnece font l’bjet d un plein
contrôle de nécessité et de proportionalité. Av 2015 ct slmnt contrôle restreint, à
l’occasion de l adernière mise en œuvre de l’etat d urgence cst le cons costit dans DC
2015 DOMANJOU qui a précisé qu il faut le plein cntrole de nécessité et de
proportionnalité pour les assignations à résidence puis la déision a été étendue à tous les
pouvoirs.
3) L’état d’urgence sanitaire :
Crée par la loi du 23 03 2020. Les cironstance slà c’es tplus restreint  : hypothèse d’une
catastrophe sanitaire mettatn en péril par sa natur et sa gravité la santé de la population.
Et il a donc été mis en œuvre à deux reprises depuis, pour la même raison qu’est la covid
19, en métropole. En outre mer, on a eu des dates différentes et plus longues. En réalité
meme si formellement levé entre juillet et ocobre 2020 et depuis ju=anvier 2021, on
n’est jamais revenu à la normale, psq sa levée a été acompagnée de lois spéciales, visant
à encadrer la sortie de l’état d’urgence snitaire et qui en étant moins rigoureuse que
l’état d urgence sanitaire sont plus rigoureuse que l’état du droit normal.
-Procédure : proche de l’état d’urgence mais n’en est pas pour autant absolument
identique. Point commun : déclaré en conseil des ministres, et on a un décret. C’est le
même décret en effet qui déclare et délimite les zones où le régime s’applique.
Egalement on retrouve nécessité d’une prolongation par la loi au dela d un ctn délai,
mais qui plus long est ce délai non 12 jours mais un mois ici.
-Régime : mm qu’état d’urgence, le décret es susceptible de recours sous réserve que
pas ratifié par le parlement lorsque clui ci autorise prolongation. Idem pour possibilité de
dm au prép de l’annuler et de constater le refus le cas échéant.
-Conséquences : élargisement pouvoir des autorités de police mais plus ciblé surla
protection de la santé. Il peut s’agir de l’interdiciton ou restriction de l acirculation dans
ctns endroits, à ctns moments. Ca peut etre la possibilité d’ordonner un cofinement de la
populaiton ; le placement en quarantaine des potentiels porteurs du virus ; placement à
l’isolement des malades ; fermeture des réunions ou établissements accueillant du
public ; limitation ou interdiction des rassemblements sur la voie publique ; réquisition
de biens ou services ; contrôle des prix de certains produits ; mise à disposition de tous
médicaments appropriés ; limitation de la liberté d’entreprendre (mise en place de
disppositif privilégiés en masque). Ces mesures doivent être strictement justifiées par la
nécessité de protéger la santé publique. Là aussi, il existe un plein contrôle de leur
nécessité et de leur proportionnalité.
S’est posé la question de savoir si la déclaration de l’état d’urgence sanitatire
dépossaidait ls autorités locales de leur pouoirs d epolice général ? Sachant que dans le
cadre d’urgence sanitaire le pouvoir est confié aux autorités de l’Etat, au niv centrale :
premi min et eventuelemen tmin de la santé, et locale : préfet. LE MAIRE garde t il
pouvoir d intervenir. LE CE DANS ordonnance avril 2020 commune de sceaux n a pas
exclu tout concours d epolice mais l’a limité à des raisons impérieuses liées à des
circonstances locales et a posé comme condition que la mesure locale de police par le
maire ne compromette pas la cohérence et l’efficacité des actions de l’Etat.

4) Article 16 de la constitution :
Déclenchement lsq l’indépendance de la nation, l’exécution de ses engagements internationaux, les
institutions de la république, l integrité de son territoire sont menacés de manière grave et
immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu.
ON a eu cet article à l’occasion du putsch des générals d’Alger.
Procédure :
- Décision du président de la république de mettre en œuvre l’article 16= acte de
gouvernement CE 1962 Rubin de Servens ; il a uste l’obligation de consulter ctns autorités
mais avis non liants. Pour y mettre fin, jsq en 2008 ct le bon vouloir du prés rép  ; avec la
révision du 2008 il existe une procédure de saisine du conseil constitutionnel.
Périodiquement le conseil constit soit est saisi par des autorités soit se saisir tout seul après
un ctn délai pour émettre son avis public. SI le prép l’ignore tous le sauront.
- -Conséquences : tous les pouvoirs sont transférés au prépublique : pouvoir légisaltif, tous les
pouvoirs exécutifs y compris les pouvoirs de police. L’art 16 autorisé le président à prendre
« toutes mesures exigées par les circonstances ». Sachant que ces mesures sont des lois si
interviennent dans domaine de la loi ; si dans le domaine du règlemnt sont réglementaires.

A) Les circonstances exceptionnelles


En déhors de toute disposoitons élgislatives, le CE a consacré une théorie jpdentielle, celle des
circonstances exeptionelles qui permet un élargissement des pouvoirs de l’autorité administrative :
CE HERIES 1918. Cet arrêt ne concerne pas la police mais un élargissement des pvoirs de l’admin en
vue de maintenir la continuité des services publics mais la théorie des CEXCEPT permet aussi
élargissement des pouvoirs de polic : CE 1919 Dame DOL et Laurent : à propos de l’interdiciton de la
porstitution par le préfet d etoulon dans un port de guerre, compte tenu des circonstnces il craignait
que les prostitués poouvaient transmettre infos secretes recltées auprès de clients marins français
pour transmettre aux clients allemands par ex… On peut appliquer théorie des circonstances
exceptionnelles soit dans des périodes où aucune des législation spéciales n’est appliquée, soit dans
des périodes e mise en œuvre de l’état de sige, de l’état d urgence et les deux autres mais pour
prendre des mesures que les législations spéciales ne permettraient pas d’adopter. Donc les deux
régimes spéciaux peuvent se cumuler. On peut mettre en œuvre cette théorie qd trois condition
ssont réunies :
1) L’existence de circonstances exceptionnelles, qui sortent très inhabituellement de la normale
(guerre, insurrection, catastrophe naturelle, mouvement sociaux d une extrême ampleur
etc…
2) Il faut qu’elles mettent l’administration dans l’impossibilité d’agir dans le respect de la
légalité (légalité ordinaire, règles noramles).
3) Un intérêt suffisamment important doit justifier l’atteinte à légalité, pour répondre au 2)
(maintient ordre public, continuité SP ; etc…)

Conséquences : La théorie permet de déroger à la légalité ordinaire ex déroger aux règles de formes
et de procédure, si elles sont prévues par la loi ( Heries : suspension des garanties procédurales
applicables aux fonctionnaires) ; il peut s’agir de mesures dérogeant aux règles de fond ex : arrestatio
de personnes en dehors de tout mandat judiciaire ; interdiction d’accès à ctns lieu ou obligation de
les quitter ; ou CE 1983 Rodes : évacuation forcéd de la population, en lèespèce crainte de révil d’un
volcan. Et dans ctns cas dérogation aux règles de compétence : c’est la théorie des fonctionnaires de
fait : tout administré peut en défaillance des autorités pulbliqes normalement compétentes peut se
subsituter à elles et prendre les mesures nécessaires. Enfin les cirocnstances exeptionnelles ne
permettent pas toout de même de justifier toute atteinte à la légalité. Il ya bien sur ces mesures un
contrôle de nécessité et de prportionnalité de la part du juge, et le juge le vérifie. Les circonstances
exceptionnelles bref peremttent de déplacer le curseur de la légalité ie que ctnes mesures en temps
normal auraient été illégales et dès lors dmerent légales ;de meme ctnes mesures en temps normal
auraient constitutés des voies de fait ex arrestation de personnes peuvent constituer de simples
illégalités ( TC  1952 DAME DE la murette en constatnat que le fait de procédéer à une arrestati
arbitraire de la personne n était pas justifiée par les circonstances, mais que pour autant cette
illégalité qui en teps nroaml aurait été voie de fait ne constituaient vu les circonstances qu’une
simple ilégalité, autrement dit pas de compétence du juge judicaiire pour connaître mais simplement
du JA.
Paragraphe 2  : L’obligation d’exercice du pouvoir de police
L’exercice du poivoir de police n est pas qu un droit, ca peut devenir une obligation  ; soit le non
exercice sera constitutif d’une illégalité. La logique voudrait que les deux aspects droit d agir et
oblifation d agir soient symétriques. AUTREMENT dit que le pouvoir de police et l obligaton d agir a
chaque fois que cela est nécessaire , elle pourra adopter de smesures propotionnées. Pourtant ,
contrairemnt à l attente, lobligatio d agir a un périmètre plus restreint que le droi td’agir. Ca ne s
observe pas tlmnt qd il s agit de mettre en œuvre des mesures existantes. Le CE l’a dit dans SEct
1962 Doublet 2 : l autorité de police, toute autorité de police a l’obligation de prendre les mesures
matérielles et juridiques d’application des mesures de polce existantes meme si elle ne les a pas
edictées elle-même soit toute autorité de police a l obligaito nd assure r la mise en œuvre des
mesures de police existantes y copris si ne sont pas les auteurs de la mesure d epolice initiale. Soit un
maire est tenu de mettre en œuvre une mesure d epolice adoptée par le préfet il ne peut s’y
soustraire.
Là où la dissymétrie apparaît cst pour l’adoption de mesures de polices initiales, ie qu il n y a pas
encore de mesures de police et on se demande s il faut en adopter. Le CE dans DOUBLET 1 de 1959 a
précisé qu el’obligation d’adpter des esures de police initaile est suborodnnée à l’existence d’un péril
sufisamment grave résultant d’une situation particulièrmeen tdangereuse pour l’ordre public, et que
cette mesure de police serait indispensable pour faire cesser, autrement di til faut vraiment ici une
nécessité renforcée, pour quel préfet d epolice soit tenu d’adopter la mesure. Comment l’expliquer  
u une simple nécessité ne suffise pas a entrainer l obligatio n d agir<, Ca protège à la foi sl autoirté d
epolice elle-même, le juge ne voit pas qu on voit facilement reprocher a l autorité de police son
inaction.Mais ça protège aussi les libertés publilques : en effet une obligation d’agir trop largemen
interprrétée pourrait encourager l’autoirté d epolice à une forme d’activisme en matière de police et
qui serait préjudiciable aux libertés publiques ( ce n est pas dans le dout =e agissons mais plutît il faut
que dans le dout en agssons pas soyons certaines qu’il faille agir !).

Partie 4  : La responsabilité de l’administration


Etudions ici ce qu’on peut appeler la « responsabilité civile de l’administration » autrement dit la resp
réparatrice d l’admnistratin. En effet, elle est civilement responsable de l’exercice de ses activités.
Autrement dit, elle est tenue d’indemniser par des dommages et intérêts les préjudices que
provoquent son activité. Précisons que y a d autres resp de l’admiistration ex resp pénale, les agents
publiques et mm les personnes publiques sauf l Etat son tpénalement respnsables, mais ça ça relève
du droit pénal. Y a que la resp civile de l’admin qui soit soumise à des règles particulières.
Cette responsablité d el’adminiistration est soumise à un droit particulier, elle existe mais selon un
droit particulier, à cet égard il faut reciter l’arrêt Blanco TC 1873. Parce que cet arrêt affirme deux
choses : 1) l’administraiton est par principe resposable de son action ( don con officilaise le ppe de la
resp de l’admin) ; autrement dit on intevertit la situation antérieure qui était la non responsabilité de
l’administration et par exception respnsable. Depuis 1873 elle est par principe responsable exception
les hyothses où par exception elle n’est pas resposable. AJDHUI Y A-T-IL ENCORE DES Hypothèses
d’irresponsabilité d el’admin ?? Rares ex opératin smilitaires : l’Etat est irresponsable du fait de ses
opératin smilitaires : CE 2010 sté couax.
2-) Deuxième apport : impliquer que cette resposabilité n’obéit pas aux règles du droit privé du code
civil mais à des règles particulières de droit public. SUR LE FOND les règles du droit admiistratiff de la
repsosabilité ne sont pas fondamentalement différentes de celles du droit civil, le juge admin s’en est
bcp inspiré. Tout au plus, on peut dire que ce droit a été pdt lgntmps moins favorable à la victime et
plus favorable à l’auteur du dommage, que ne l’aurait été le droit civil. Ce droit est caractérisé par
une meilleure protection de la personne responsable, mais après a largement évolué au profit de la
victime, mais pas au point d’être au même niveau que le droit civil.
Ce régime particulier de la responsabilité à propos du champ d’application :
 Fondamentalement, la resp administrative s’appliqu sur la base d’un critère organique, en
réalité c’est sur la base d’un critère organique, c’est la responsabilité des personnes
publiques. Soit ce n’est que par exception que les epersonnes rivées gestionnaires de SPA ou
de SPIC peuvent voir leur responsbilité engagée selon les règles du droit public. Pour
l’essentiel, les deux hypothèses où une personne privée est responsable selon les règles du
droit public cst soit lsq elle a causé dommage dans le cadre de travaux publlics ou soi tle
dommage est liée à un AAU qu’elle a adopté en vertu de prérogatives de puissance publique.
Et en deuxième condition responsabilité des personnes publiques à raison de leur activité de
SP administratifs : la resp des spic mm gérée par des pers publiques ne relevent qu
exceptionnellemnt du droit public ( les exceptions comme supra travaux public et Adoption
d’un AAU).
-Tenir compte des compétences naturelles du juge judiciaire en matière de protection de la
liberté ndividuelle et de proporiété ( soit théorie de voie de fait et d e l’emprise s’appliquent ici
en matière indemnitaire.
-La resp de la justice judicaire ou de l apolice judici ne peut relever du JA. ( indépendance du juge
jud).
-Tenir compte aussi du fait que la responsabilité administrative ne fait pas partie des domaines
constitutionnellement reservée aux JA en vertu du Conseil de la concurrence de 87. Autrement
dit , la loi peut librement y déroger pour donner compétence au juge judiciaire.
Enfin s’agissant de la procédure : le juge compétent est le juge administratif en matière de resp
admin, sous réserve de shpothèses où la loi donne compétence au juge jud, et réserve faite de la
resp de la police judiciaire, dont le contentieux de la responsabilité est sooumis au droit admiistratif
de la responsabilité mais devant le juge judiciaire Cour de cassation 1956 trésor publi c consort
giroux.
Le JA est compétent à ceci près qu’il ne peut pas être saisi directement du litige, il existe en effet
depuis les origines du DA une règle qu’on appelle la règle de la décision préalable et qui impose à la
victime de commencer par solliciter une indemnisation auprès de l’administration et c’est la décision
de refus de l’administration qu’elle contestera ensuite devant le juge. On peut évidemment cerner
l’intérêt d’une telle exigence : cela donne une chance au litige d etre reglee a l amiable avant la
saisine du juge, ca permet d avoir à apporter devant le juge des litiges qui ne devraient pas etre dans
la mesure ou on pourrait de dm à l’admin une demande. Ceci explique que l’on ait généralisé la règle
de la décision préalable sachant qu elle connaissait qq exceptions jsq en 2016, mais à l heure actuelle
tout le contentieux de la resp administratie est soumise à la règle de la décision préalable  : il faut
d’abord saisir l’administration ; avant toute saisine du juge.

TITRE Ier  : REGIME GENERAL DE LA RESPONSABILITE ADMINISTRATIVE


Le schéma général de la resp admin n’est pas fondamentalement différent de celui du dt civil de la
responsabilité. Autrement dit, il faut qu’un fait générateur , un fait dommageable quoi imputable à
une personne provoque un préjudice,

CHAPITRE Ier  : Le fait géénrateur


Il y a toujours en toute responsabilité à l’origine un fait dmmageable. Ce fait peut etre en réalité une
absence de fait ie une carence. En revanche ce fait dommageable n’est pas nécesairement fautif,
certes en ppe il doit l’être pour engager la resp de l’admin: c’est la resp pour fautif . Mai son admet
dans ctns cas qu il ne puisse pas être fautif.
Section Iere : La responsabilité pour faute
C’est le principe. Mais comment identifier la faute et comment établir son existence ?
Paragraphe Ier  : LA FAUTE SUSCEPTIBLE D4ENGAGER LA REPSPONSABILIT2 DE L4ADMINISTRATION
En droit civil, ce serait se poser ce qu’est une faute ? Mais en dt admin, la réponse n’est pas
suffisante, l faut aussi se demander sur le degrés de gravité ue doit revêtir la faute pour engager la
responsabilt de l’administration.
I) LA NOTION DE FAUTE
La faute en effet en DA ne se définie pas autrement qu’en droit civil. Autrement dit et pour reprendre
la définition donnée par Marcel Planiol «  il s’agit d’un manquement à une obligation préexistante ».
ENSUITE il faut constater plusieurs catégories de faute, notamment deux typologies :
Tout d’abord il y a la distinction des fautes par action et des fautes par abstention. La faute par action
est une action positive d el’admin qui est l’origine du dommage : consiste à agir. Ex adoption acte,
comportement . Alors que abstention = inaction : juridique, matérielle.

 Aussi on a la distinction entre faute matérielle et faute juridique :
-faute juridique= celle qui résulte de l’adoption d’un acte admin (par action) ou de l’absence
d’adoption d un acte admin ( par inaction). Soit c’est l’acitivté normative de l’administration
qui est ici en cause. Dans un tel cadre, la faute elle peut être très simplement identifiée  :
c’est l’illégalité. En effet il y a une corresponsance systématique entre la légalité et la
responsabilité sur ce point, soit toute illégalité est une faute et inversmenent aucun acte
légal ne peut être fautif.
Ct pas comsa avant jusque CE sect 1973 Driancourt : «  tte illégalité qu elle soit interne ou
externe, et qlq soit sa gravité est fautive » et inversement « un acte légal ne peut pas être
fautif CE sect 1980 Rigal. SI l’acte que nous adoptons est légal, même si il est au plu sppoint
innoportun , ne ser a pas fautif. Don correspondance notion d’illégalité et de faute.
-Faute matérielle : résulte des activités opérationnelles ,sur le terrain, matérielles de
l’adinsitration. L’identification peut etre plus cmpliquée car il faut se référer à un standard de
bon comportement. Quel serait le comportement d’un adminstrateur dilligent en pareil cas ?
SI l’admin s’en écarte positivemenr tpar une action matérielle soit négativement par une
inaction matérielle alors faute ( agir mal qd doit agir ou n’agit pas qd devrait agir= faute).

I) LA GRAVITE DE LA FAUTE
Ne se pose pas en dt civil car ici toute faute engage la responsabiilté de son auteur, l’élément fait
doageeable sera considéré satisfait. En DA ce n’est pas le cas , il existe un ctn nb activité adin ou on
exige que la faute préente un ctn caractère de gravité. En effet, le JA prend en compte la difficulté de
l’action administratie pour lui aménager « une franchise de responsabiilité ». : considérer que les
fautes peu graves n’engagent pas sa responsabilité. Toute la question est de savoir quel est le degrès
de grvaité que la faute doit présenter pour engager la respnsablité de l’administration. Au départ ce
degres était extrêmement élevé. Gnéralament lsq on a admis la resp de l admin on l a subordonnée à
la comissin d une faute d une exceptionnelle ou du moins dune ctne ou particulière gravité. CE
PREMIER temps a prgssvmnt cédé la place dans les ans 60 à un standard moins exigeant : celui de la
faute lourde. QCQ la faute lourde ?? Difficile à définir : c’est la faute plus grave qu une simple faute
mais sans pour autant présenter un extrême gravité. Soit, le passage à la faute lourde a constitué un
progrès pour la victime lsq a eu lieu. Mais bien évidemment ce temps est révolu, ajd on regarde du
côté du dt civil pour constater que le DA exige une faute lourde ie qualifiée là om le dt civi n en exige
pas et le sens de l histoire serait la disprition de la faute lourde car est plus exigeant envers la victime
que n est le dt civil, donc pour raiosn d équité tend à décliner, d o hypohèses où elle a disparu et
hypoèe ou elle subsite ais jms à titre exclusif.
A) LA DISPARITION TOTALE DE LA FAUTE LOURDE
On a quatre domaines : 3 certains et un probable.

a) Le service public hospitalier


A l’origine dans cette matière, y avait double distinction qui prenait en compte le degres de
difficulé de la tâche d el’amdinistration :
1) Entre les activités juridiques et les activités matérielles : pour activités juridiques : la solution
a tjrs été celle de la faute ismple : organiser un hoputal n est pas considéré comme une tache
spécilement difficile . Don cla faute lourd en el était que pour les actiivtés matérielles, mais
diffuculté entre les actes médicaux et les actes de soins courants. Les actes médicaux ce sont
ceux qui ne peuvent être exécutés que par un médecin ou chirurgien ou du moin sosu sa
repsponabilité ou surveillance directe. Bref cst le + technique don conexigeait pour lui la
faute lourde. S’agissant en revanche de l’acte de soiin courant : la faute simple suffisait CE
1962 Meyer : la faute simple suffisait déjà ; si l aide soigannt ou sbrule en posnt compresse
chaude, si l infirmier rate pdt piqure, en ravanche chirugien qui rate sonopéaration il faut
faute ismple.
Puis CE ASS 1992 bouvet qui fait passer acte médiacaux sous le régime de la faute simple.
Pour des raisons d’équité en l’espèce. D abord dans les cliniques privées la faute lourde
n’étaot pas requise. Soit pénalisé etions ous si opéré dans une ’hopotal publique plutôt que
clinique privée. Deuxième rison d equité : svnt ce sont les actes médicaux qui proposaient les
dommages les plus lourds or paradoxleemnt on avait le plus de mal à dm l indemnisation de
ces dommages. Voilà pq on a eu cette évolution, et ce de manière grauelle qd même  : la
dame V dans larret était victime de plusieurs erreurs médicales dont aucune prise isolément
n était pas consttutve de faute lourde, soit série de faute simple en additionnant ne donne
pas faute lourde. A l’ epoque est ce qu une faute ismple isolée aurait suffit ?? LA REPONSE
PAR JP postérieure qui est oui.
Evidemment on peut objecter qu on ne prend plus en compte la difficulté ou spécificité d’un
acte médical ? Et bah oui cst pas tlmonde qui pvnt opérer. EN réalité le juge prend qd meme
tjrs en copte la difficulté de actes édicales mais tout simplement au stade del aqulfification
de fatue il dépalce le pbm, arua tendance ne pas qualifier de fautif de actes accomplis dans
des considérations , circonsances partiulièrement difficiles. Ctns auteurs disent qu ajd la
faute médicale est plus difficile a caractriser que dans d autes domaiens. That s why il y existe
ans ce domaine pletore de regime legilatif particulier favorable à la victime.
a) Le servie public pénitentiaire
A l’orogine téait soumise régime de faute lourde : CE sect 1958 Rakotoarinovy. Ici la
difficulté : l’usager du SP pénitentairie est un usager particulièrement difficile. Il est difficile à
encadrer , à canaliser. Il est plus enclin à commettre de fautes sans que l’admin ne puisse l’en
empecher que ce soit à ‘égard des tiers en prison ou vis-à-vis d autres détenus ; d ou régime
de faute lourde . Et pourtant ce régime a lui aussi disapru : CE 2003 Mme CHABBA : faute
simmple désormais. D’ailleurs selon un schéma qui fait penser à l’arrept epoux v, car dans
mme chabba on avait succession faute simple que le juge ne voulat pas qualifier de faute
lourde. Il existe aussi un régi legisl particulier pour les violences entre détenus ayant entriné
la mort et ct un régime plus favorable que la faute simple, ceci par loi de 2009.
b) Services fiscaux : Sagissant de ceci, ct dernier domaine où la resp de l’Etat ait été admise.
Cst slmnt depuis 1927 que la resp de l’Etat est admise ,assez tardive, et par ailleurs elle a
qd meme été jsq en 1962 subordonnée à une faute d’une particulière gravité, autrement
dit la faute lourde en matière fiscale n appaaît qu en 1962 CE Sect 1962 DAME Usongier  ;
la faute lourd edéjà ne s est impoée qu avec retard. Why ? Evidement par la tache
difficile des SP fiscaux : le contribuable est enclin à dissimuler sa mtière imposable pur ne
pas etre imposée, ou à se soustraire lsq il le peut au recouvrement par ex en se déclarant
insolvable. S agissant de l obejt du SP fiscal , lusager n est pas nécessairemnt tres
coopératif, ce qui aconfere a l activité des SP fiscaux une ctnes difficulté, or il faut
surveille rl econtribuable. Et comme preuve de ce qu M indique, cst qu il y a un domaine
où la faute simple a suffi dès le départ cst hors du cadre de l etablissement du
recouvrement d el impot , cst sur la repartition du produit d el ipot entre se sdifférents
bénéficiaires : s agissatn des fautes commises par l etat entre ses différents bénéf, la
faute simple a tjrs suffi : mm les impots locaxu sont percus par l etat et calculés par elle,
ya aps de sp locales d impot. Qd l eaat se tormpe dans la répartitin des produits des
ilmpots locaux entre les dftes Ct, la faute simple a tjrs suffi car cst cimple e calculer CE
sect 1986 Commune de vitalar. EN réalité la faute lourde ct pour les relations en tre le
contrubuable et l’admin, mais mm là ca a regressé pour disparaître. Régresser tout
d’abord : Arrêt CE sect 1990 Bourgeois : Cet arrêt explique qu el a faute lourde n est plus
exigée que dans les cas ou l admin fiscale s est heurtée à de réelles difficultés autrement
dit on ne postule plus e manière générale la dfficulté de l’acitivté fiscale, on fait le
risonnement au cas par cas. Etant précisé qu y avait m pas darret de ppe, ct au cas par
cas qu on démontrait la difficulté, mais pas de présomption. MAIS LE R2GIME DE LA
FAUTE LOURDE ICI A DISPARU DANS ce SECT 2011 kruppa/ le syst de la faute ismple en
amtière simple est généralisée devient le ppe. Reste le cas des services de police, plus
compliqué.

4-) Services de police : Evidemment on va voir police admin, mais le régme de resposnabilité cst le
même que pour la police judicaire, juste que pour police judic, cst le juge jud qui est compétent pour
les appliquer.
La resp de l’Etat à l’époque ou de la commune a été longue à admettre, cst seulment depuis CE 1905
Tomaso que la responsabilité des services de police est admise (bref 30 ans après Blanco qd même).
Pour des raisons analogues aux services fiscaux, on va objecter du fait que c’est une activité
régalienne aussi comme la fiscalité, d’où tard à petre admis.
L’état du droit a été marqué par une relative complexité, coexistence de faute simple et lourde. La
Ligne de partage : distinction entre activité juridique et activité matérielle : les activités jur en ppe
sont soumises à la faute simple, les activités matérielles soumises en ppe à la faute lourde, on
considère que les activités juridique n’étaient pas particulièrement difficiles, dans la police ct les
opératins matérielles (intervenios sur le tarrain) qui étaient délicates. Le commissaire de gouv Rivet
disait » Il ne faut pas que la police confrontée à la tache délicate de maintenir l’ordre public dans la
rue voit son action enervée par la menace permanente de contentieux ». Mais dans les deux cas, on
avait des exdeptions : le CE admetait que ctnes acitivtés matérielles peu délicate,s peu compliquées
soit soumises à un régime de faute simple : la reconnaissance des dangers sur les pistes de
ski( activités matérielles mais pas très compliquées) ; à l’inverse ctnes activiés juridiques jugées
complexes obéissaient à un régime de faute lourde, notamment on pense à la réglementation de la
circulation et du stationnement Paris, CE ASS 1972ville de paris contre marabout : reglementation
circulaton et stationnement à paris assez délicates pour que ce soit faute lourde qui soit en jeu.
Il semble pour autant que la faute simple à aprtir début an 2000 se soit généralisée. Mais ce qui
conmplique l’affirmation : on n’a pas d’arrêt de principe, les activités en cause sont en efet très
hétérogènes que ca devient difficiles de systématiser. Alors pourquoi affirmer la disparition de la
faute loure et la généralsation de la faute simple ? Par deux indices : des oérations avant régies par la
faute lourde ont été soumises fin an 90 début 2000 à la faute simple : ex : à propos de l’adoption de
mesures de polices de lutte contre le bruit, on a considéré que ct une activité juridique délicate, mais
à partir de 2000 : faute simple : CE massy cramayel ; Ex : Arret 2006 commmune de bale devient
faute simple pour police des batiments menacant ruines qui avant étaient pourtant considérés
comme délicates. Bref la faute lourde perd de sa place. En deuxième indice, on a le passage sous le
régime des fautes ismples des services de secours en urgence : ça avait commencé avec les servces
médicaux d’urgence, CE Theux 1997 : on a pensé que services secours mdicau d urgence n ont pas
été performants : faute simple ; aussi CE sect 1998 : pour secours en mer n a la même chose ;
également on a ca pour services de lutte contre incendie CE 1998 commune de Hannapes. Dans le
même ordre d’idée Avis ASS 2016 Napol et autrre :s : les perquisition réalisées en période d’Etat
d’urgence obéissait à un régime de faute simple nonobstant les circonstances exceptionnelles. PAR
UN Raisonnement à fortiori, si les activités les lus difficiles obéisse à un régime de faute simple, on
peut se dire que les activiés moins délicates sont elles aussi soumises à un régime de faute simple.
Voilà en quoi on peut affirmer la généralisation de la faute simple. On est obligé de reconnaître qlq
arrêts isolés qui maintiennent la faute lourde : CE 2007 sté France telecom : à propos de la
substitution d’action du préfet au maire en matière de police : faute lourde ; idem pour activités de
services de enseignements CE 2018 consorts Chennouf : affaire mohammed merah ; plus récemment
à propos police sanitaires dip=sositifs médicaux CE 2020 Mme Keratepe : faute lourde aussi. Ces trois
ex sont assez différents, d’où l afaute lourd epas disparue ? M onsieur n en est pas sur car ces trois
sont en conlence aux activigés de police et activités de contrôle, or les activités de contrôle restent
soumises en parte au moins à un régime de faute lourde. Donc il pense que c’est le régime des
activigés de contrôle qui a déteint sur l régime des activités d epolice, le juge considère que ces trois
activités sont plus des activités de contrôle que des activités d epolice. Et puis disons le y a une ctne
forme de confusion entre les deux de la part du CE : Mme Keratepe est assez revelateur en l’epsèce,
entr eleglementation de sdispositifs médicaux et contrôle des dispositifs médicaux le CE mlange un
peu.

B)La subsitance de la faute lourde


Qc ca subsiste cst jms à titre exclusif.

1) Les activités de contrôle : On peut définir les activités de contrôle comme des activités de
surveillance soit de personnes publiques soit de personnes privées, traditionnellement, la
responsabilité était pour faute lourde pour activités de coontrôle CE ASS caisse d’assurance
sociale de moselle : à propos de l’afaire stavinski, escro ayant escroquer particulier,
institutions publiques dans des histoires d elacements hasardeux, avant de dispraître dans un
chalet ou il s’est suicidé de plusieurs balles dans le dos. En quoi une activité de cont^role est
pariculièrement difficile au pont qu’une simple faute ne suffise pas ? La raison tient dans la
liberté de la personne contrôlée , dou cst difficile. PAR D2FINITION IL N Y A CONTROLE QUE SI
LA PERSONNE controlle est libre. Or la personne contrôlée , notamment si il est contrôle par
son gré peut et retenté d’user de sa liberté pour se soustraire au cont^rôle, y a parfois risque
de mauvaise volonté de la part de la personne contrôlée. Y a ussi un erison morale ne pas
facilement sbsituter la resposabilité du ontroleru à celle du contrôlé. N oubions pas que dans
la majorité des cas, cst le comportmeent du controlé qui est la cause ppale du dommage, qu
il soit la victime du dommage, ou que ce soit un tiers. La vicitme n’a pas cette tendance
systematique à suivre le controleur, que contre l’auteur immédiat des faits jsq en 25min. Ceci
étant dit , vers 90 on a eu offensive de la faute ismple en matière d’a tivités de contrôle. Qlq
exemples : contrôle sur centre de transfusion snaguine : CE ass 1993 DGB : faute simple pour
sang contaminé par virus de sida car on n a pas chauffe le produit sanguin pour éliminer le
virus ; autre ex : activités de cont^role technique : sur navire 1998 Améon : ca pouvait aussi
etre sur automobilie ou avion. FIN ans 90, la doctrine n emajirité dit qu’on n’avait pas d arret
de ppe, mais la faute lourde avait vécu, erreur ! Parallèlement le CE a réaffirmé la faute
lourde ex CE 2000 Commune de saint florent à propos contrôle légalité acte admin par le
préfet sur les actes des CT, ici faute lourde si y a préjudice. L’état du droit était donc plus
simple, et le CE dans un nouvel arrêt de principe dans CE Ass 30 11 2001 min de l éco des fin
et d el’industrie contre Kechichian et autres, le ce a dit qu’en matière d’activités de contrôle
le principe reste celui de la faute lourde, mais qu’il peut en aller différemment à raison de
l’étendue des pouvoirs de contrôle dont dispose l’administration. Autrement dit, plus les
pouvoirs de contrôle sont étendues, moins la faute est excusbale, et plus on retiendra la
faute simple, car si on n empeche pas la personne d agir or qu’on pouvait alors on pourra
moins nous excuser d’où faute simple. On peut considérer que dans les affaires DGP et
AMéon, on a retenu faute simple car on peut se dire que les controles présentes dans les
affaires étaient assez poussées pour que le contrôle du contrôleur soit inexcusable d’où juste
faute simple exigée. Dans commune saint florent, peu de temps après , le ce a dit que cotrole
des budgets locaux par le prefet était aussi faute lourde Ce 2005 sect Sté femière de
Campoloro. En matière de substit du préfet au maire pour police du maire, on peut se dire
que l’activité est assez délicate pour justifier la faute lurde( 31min° ). Mais à partir ans 2010
nvlle offensive de faute simple : CE 2010 min ecologie contre consorts ceyrot : En matière de
cotnrole aérien ; Le contrôle sur le sintalalations classés CE 2014 : min ecologie contre gilbert
et époux mollin à propos explosionusine zf à toulouse encore aussi CE 2015 alim et enni à
propos du fait que Etat n a pas reussi à empecher jeune fille d aller en Syrie faire djihad>
cont^role aux fronitères ici.
SAUF à aucun moment le ce ne jsutifie la faute simple par les pouvoirs d el’administration ?
Est-ce que l ajp a evolué ?? En 2020, le ce a rféaffirmé la jp Kechichian, dans rret mme
Karatépé 2020 sur les dispositfis médicaux, et un mois après sur les contrôles par l’inspection
du travail CE 2020 min travail contre Antoniotti. Bref, suite à ca on peut retenir que les
hypothèses dfaute simple mm quand le ce ne le dit pas explicitement ne sont que des
dégaton squ ppau ppe de faute lourde, dérgaton justifiés par l’étendue des pouvoirs de
contrôle de l’admnistration.

2) Le service de la justice administrative


La resp des servic jud est régie par un txt législatif spécial qui n’exite pas pour les servi de just admin,
d’oùù CE ass 1978Darmont : cet arrêt nous dit deux choses :
-nous sommes ecore en matière de jsutice admiistrative dans une hypothèse d’irrepsonabilité au
moins partielle de l’administration, ou du moins à titre partiel. L’arrêt D’Harmon précise que le
contenu même de sjugements est insusceptible d’engager la responsabilité de l’Etat. Autrement dit
qd on fait recours dev trib admin et qu on se fait débouté, et en appel et en cassation cependant le
Ce nous done raisn, pas la peine de poursuivre l’Etat du fait qu on a du attendre parce ue les juges du
fond ont mal interprété leur trvaail et tout, le juge va nous dire cst comme ca, la jsutice est
souveraine.
-Ce qui peut engager la responsabilité de l’Etat cst uniquement les foncitnnements des services de
justice amdinistrative. Autrement dit, si la cause d enotre préjudice cst le contenu déficitent des
décisins de justice on n’a réparation que si cst du au déficit de foncitonement des services ex activités
matérielles justes quoi. Aussi cette responsabilité n’est engagée que pour faute lourde . A l’heure
actuelle cette jp est la solution de ppe en vigueur.
Mais elle connaît qlq exceptions, en effet la faute ourde n existe plus a titre exclusive qd elle existe.
-Dérogation au ppe d’irresponsabilité du fait des contneus et décisions de justice : ca concerne
l’hypothèse où le contenu de la décision de justice méconnaît le droit de l’UE. Ne nous leurrons pas,
cette innovation n’est pas venue de la jp du CE, c’est une contrainte du dt de l’UE, qui entend
qu’aucune violation du dt de l’ue ne soit commis, qlq soit l’autorité de l’Etat ayant commis cette
violation. On retrouvera cette pbm à propos du législateur. La violation du dt d el ue par
l’administration= pas de souci particulier. La cjue a dit dans 2003 K^bler : resp de l etat du fait des
contenues des décisions des juridctions. Et donc le ce a du suivre dans arrêt CE 2008 GESTAS : mais il
l’a fait en suivant la jp de la cour de justice, «  à minima », ie a trnaposer les exigences de la cjue sans
aller plus loin, il a subrodonnée la resp de l etat a ce que la décsisond ejustice en cause viole
manifestement une norme de dt de lue et encore attribue des droits au particuliers. Dans avis sté
lactalys ingrédient, cette notion de violation manifeste du droit de lue est une resp pour faute lourde.
On déroge au ppe d’irresponsabilité mais non pas pour tomber dans un régime de faute simple, cst
un régime de faut elourde. N y a-t-il don cpas d hypothese de faute simpel ? Si dans CE ASS 2002 Min
justice contre Magira : le dépassement par la justice admin d’un délai raisonnable de jugement
engageait la resp de l’Etat pour faute simple. Evdemment ca n entache pas le jugement tardif d
illegalité mais en terme de responsabilité ca permet d engger la resp de l etat pour faute simple, et
cst d ailleurs le seul as ou on a faute smple dans ce domaine.

PARAGRAPHE 2  : La preuve de la faute


Normalement la responsabilité pour faute de l’amdinistraiton, c’est une responsabilité pour faute
prouvée. Autrement dit, il appartient à la victime d’apporter la preuve que l’administration a commis
une faute. Ce n’est pas à ladmin de prouvr qu elle n’a pas commis de faute. Cst le ppe  : à celui qui
allègue de prouver, charge de la preuve incombe au demandeur ; Néanmoins en amtiere de resp de
just amdin, on a qlq hypothèses de présomption de faute. Ex : dommages accidentels des travux
publics subis par les usagers ( si le toit de l’amphi nous tombe dessus,) la resp du maitre d ouvrage
est egagé pour ce que le juge qualifie de « défaut d’entretien normal) , il faut établir que l’ouvrage
n’était pas correctement entretenu, sauf que cest une resp pour faute présumée, ce n’est pas à la
viti de démotrer qu l ouvrag n etati pas correctemnt maintenue, cst au maitre de l ouvrage de
démontrer que malgré le fat qu y a eu accidents, ce défaut d’entretien n’était pas anormal : bref
inverion charge de l apreuve. Deuxième série d’exemple : en matière hospitalière : en l’espèce la
preuve de la faute est une opération très délicate, il arrive que les experts n’arrivent pas à se mettre
d’accord sur la démonstration de l’origine de tel ou tel dommage. (50min30

En matière d’acte de sonn scourants : présomption de fautes ; si on ressort brulé du fait qu on nous a
posé compresse, on doit présuer que la copresse etati trp chaude, sinon comment on aurait pu subir
un dommage pour un acte courant comme ça. De même qd les conséquences de l acte médical sont
sans rapports évidents avec l’bjet de cet acte : on présuppose que ca a été mal réalisé ; si après acte
médical on est atteintde pathologies qui narrive jamais normalement suite à un tel acte médical, on
suppose qu y a un truc anormal qui est arrivé ( ex on nous opère d el ajambe et on sort avec bras
cassé, donc ptt on nous a trp fort attachés). Idem à propos infections nosocomiale, le juge avait
instauré une présomption de faute ( on rentre à l hopital en s opérant d appeindicite et on e resort
avec staphylcoques dorés, cst que probablement y aeu manque d hygiène). Ajdhuit la loi insittue un
régime de responabilité sans faute. Enfin toujours en matière médicale, faute simple en matière
d’informatio médicale, CE SECT 2000 Consorts Telle : cst à lhopoital qu il incombe de poruver en cas
d accidetns qu il a corretment informé le patient des risques encourus. LE juge considère qu on peut
présumer que si le patient a été correctement et dument informé des risques, il aurait choisi de ne
pas recourir aux opéations, interventions réalisées, dnc à charge pou rl hopital de prouver le
contraire, or souvent on nous fait signer un papier heheh. Dernière exemple : le CE 2012 mslle bussat
et époux bussat a reconnu une rpéomptn de faute du service d aide social à l’enfance lsq la mère d
un enfatn né sous x a pu obtenir infos sur le nouvel état civil de son enfant, malgré l’obligation de
confidentialité qui pèse normalement sur le service public. En l’espèce la mère est venue embetee sa
fille, les arents adoptifs ont engagé la resp des services sociales à l’enfance. Ca fonctionne aussi lsq la
mère d el enfatn a exrpesement emis le souahit de ne pas pouvoir etre identifié, en l affirmant ou en
n ayant laissé aucune preuve, si son identité est dévoilé, la pres de faute s applique aussi. Cette
présomption néanmojs dans ce cass ci est irréfragable, les services d aide soc a l enfance ne peuvent
se soustraire à leur resp. Cette solution on pense est ransposable aux hypoithèses dans lesquelles le
sevice pubilc est tenu au secret professionnel et que celui-ci est rompu.Imaginons que l’un d’entre
nous fasse part à M sous le secret prof de difficultés personnels, médicales, et qu ensuite àa se
retrouve sur les réseaux sociaux, cst que sans doute monsieur a trop parlé.

Section 2  : RESPONSABILITE SANS FAUTE


Par except, la resp de l’admin peut etre engagée sans faute de sa part. Traditionnellement, il existe
deux fondements à cette responsabilité sans faute : le risque ( resp pour risque), et la ruputre
d’égaité devant les charges publiques.
Plus récemment, a été ajouté un troisième que l’on qualifierait de respnsabilité objective. Mais
comme nous verrons, cette variété de resp sans faute a plus avoir avec la resp pour faute qu’avec les
resp sas faute traditionnelles. EN réalité cst une resp pour faute que le juge se refuse à officialiser
comme tel ( resp pour faute innommée quoi).
Nénamoins avant tout ca , y a deux apticularités des resp sans faute :
- Leur caractère subsidiaire, soit le jgue commence toujours apr vérifier l’existence d’une
faute, c’est seuelement en l’absence de faute qu’il recherche si l’espèce n’entre pas dans le
cadre d’une responsabilité sans faute. Contrairement à la resp pour faute, la resp sans faute
est un moyen d’ordre public. Soit le juge doit la releveer d’office meme si la victime ne
l’invoque pas. Autrement dit, il peut arriver que le juge examine direct la resp sans faute,
dans ce cas là car la vicite adirectement agi sur le fondement de la resp sans faute. 4min
45 .SI on peut agir uniquement sur let errain de res pour faute, le juge après avir constaté
l’absence de faute, examinera d office si la resp sans faute existe ou pas. LE FAIT que ce soit d
ordre public la resp sans faute ça s explique par le soucis de juge de ne pas contraindre la
victime pas fragiliser son argumntatio tenant à demontrer l existence d une faute. Donc si on
est vicitme on peut plaider juste pour faute et mm si le juge nous déboute il examnera qd
mm si y a resp sans faute, cst favorbale à la victime.
Paragraphe 1  : LA RESP POUR RISQUES
Cst hétérogène de ouff. CAR ELLE CORRESPOND à des hypothèse nettement différentes qu’on peut
regrouper en trois grandes catégories. Tout d’abord le risque danger, qui est le risque d’ailleurs au
sens propre du terme. Mais il y a d’autres hypothèses, il y a également le risque absence de profit.
Enfin il y a la garde.

I) La responsabilité fondée sur le danger


C’est l’hypothèse ou l’admin fait courir aux administrés un danger particulier, et qui suffit à engager
la resp de l’admin si jamais le danger se réalise. Les hypothèses de risque danger sont elle-même
assez nbses : choses dangerueuses, situaitonsdangerueuses, et ;.

A)
1) Les choses dangereuses : Hypothèse ou l admin emploie des choses ou objets présentant
un danger. Quelles peuvent être ces choses : ca peut etre instruments, ou engins
dangereux. C’est à leur propos qu’on a eu la 1ere jp pour le risque danger, en l
occurrence les explosifs : CE, 28 mars 1919, Regnault-Desroziers: exl=plosion d un dépôt
de munitions, le fort d e la petite couronne à Paris pdt la PGm. A cette occasion, le ce
reconnait la resp de l’Etat du fait d’un objet dangereux, plus on en stocke en effet plu
scst dangereux. Le juge n’a pas tranpsosé cette solution aux feux d’artifices, qui pourtant
explosent aussi ( ptt psq y a moins de poudres). Puis CE ass 1949 Consort lecomte : les
armes à feux : ca produit un effet assez importatn en matière d epolice que ce soit admin
ou judiciaire : en ppe la resp des services d epolice et une resp pour faute, ajd faute
simple, par exception cst sans faute… cette jp extensible aux autres armes utilisées par
les forces d epolice ?? Ca Nantes 2018 a étenduaux flash bowl cette jp. Par contre pour
les autres armes non y compris les grandes lacrymogènes qui donc ne sont pas
consdérées comme engins et instruents dangerieux. Il est iportant de siganliser que le
bénéifce de la resp sans faute est limité aux tiers. Soit les agents n’y ont pas droit ( olicier
se faisant explosr armes a feu a l afigure) ; et les usagers non plus (dans jp consort le
conte, qd on est personne visé par le tir ex peroque l police voulait arreter et a visé donc
pas visé), cst vraiment par ex le passant dasn le cadre d opération sde police, le voisin
dans le cadre d explsions depot de munitons, bref les tiers vraiment qui netaient pas
cvsés.
2) Les ouvrages publics dangereux : CE ASS1973 DALLEAU: lsq un ouvrage public etati
exceptionnellemnt dangereux, il engageait la resp sans faute du maitre douvrage en cs
de dommages accidentels subi par un usager. On déroge au régime de faute présumé
déjà favorable au bénéifce d une resp sans faute. MAISI ICI il faut que ce soit
exceptionnellement dangereux, mais ce qui n a été reconnu qu’une fois, route réunion
très dangeureuse en haut de falaise. Le juge n a jms accepté d etendre cette soution a d
autes ouvrages publics y cmoris routes de montagne ordinaires, mais qu’on ne considère
pas comme exceptionnellement dangereise. (17 :30)
3) Les produits dangerux : ex dans les établissemnts hospitaliers. C’est le cas pour porduits
sanguins : CE Ass1995 consorts ngiyen, et parents : en quoi le sang est dangereux, ici
affaires sang contaminé, en effet peut etre porteur de virus, donc sang est
otentiellement dangereux s il est vicié. De même les produits et appareils de santé ( ex
scanners ( on est à la limite d engins) , radios et autres IRM …) enganet resp sans faute CE
2003 APHP contre mme marzoux), et y compris les prothèses CE sect 1993 Falempin.
Mais ce qui s apllique aux porthses ne s applique pas aux organes dans le cadre de dons
d’organe. En tout cas dans toutes ces hypothèses, le bénéifciaire de la resp sans faute cst
les usagers.
Revoir plan
B°)Les méthdes dangeureuses :
Qd l admin emploie des méthodes libérales ( 22min)
a) Méhodes libérales relatives à l’enfermement : plutôt que d’enfermer (placer en détention ou
interner) ctns adminsitrés à risque ( délinquants, malades pmentaux), l’admin emploie à leur
égard de sméthodes libérales, donc alternatives, donc les laissent dans situation de liberté ou
semi liberté étroitement survéillés. Mais ces métoodes font courri rosques à l’égard des tiers
amenés à les cotoyer ou entrer en cotnact avec eux. Que faire ? L’Etat est responsable sans
faute à l’égard des tiers , uniquement à leur égard ! A L’exclusion des agents ( si on est agent
de prhobation et on rend visit e à un détenu et on surprend qu il fait un truc ps bien on ne
beneficie pas de resp sasn faute) ; et les usagers non plus ( 25min) . Les tiers peuvent
néanmoins avoir lien familial avec l’auteur du dommage, ca peut etre des parents, des
proches… A l’origine, cette responsabilité a été consacré à l’égard des ineurs délinquants CE
sect1956 THOUZELLIER : en l’espèce la resp etati limitée à l hypothèse ou l emineur
délinquant était placé dans une institution publique d éducato survéillée, plutôt que d’être
interné ; mais ça a été progressivement étendue à l’hypothèse où le mineur délinquant est
placé auprès d instituon privéd CE 1959 etablissemnt délanois ; ou mm désormais lsq on le
place auprès de prsonne digne de confiance CE Sect 1997 min justice contre pele : dans cet
affaire on a confié le mineur à une association, n empeche s il est violent et blesse qlq , ce qui
s est passé dans stage de voile, y a bien resp sans faute d el’Etat. Pour les mineurs
délinquants, seul limite, cas ou places au près des parents, car là ne l’est pas en vertu de
mandat de l etat mais autrté parentale, cst pas l etat qui confie par mandat donné aux
parent,s cst l exercice de l'autorité parentale. Mais plus largement, ca vaut aussi pour les
dlinquants, même majeurs. Ex détenis placés en permission de sortie CE 1985 Mme Henri ;
idem pour les détenus placés en liberté conditionnelle ou semi liberté, qui peut donner lieu à
l’engagement de resp sans faute, ici y compris si hebergé chez parents car étant majeur, y a
plu sd’autorité parentale, donc ce n est pas un obstacle ici. Extension ussi aux malades
mentaux qui st noramelent internées et placés en sortie d’essai, y compris si ils sont confiés à
leurs familles, y a plus d’autorité parentale qui tien CE1967 Départment de l amoselle  ; MAIS
NE SONT pas cocnernés les malades mentaux dits « en service libres » ici on ne les applique
pas de metghodes liberales d enfermement, s il est libre cst pas par décision de l etat, cs
juste qu il est pas sufisamment dangeruex, idem aussi pour malade mental soignée en
hopital de jour (32min),
On aaussi cas surveillance policière des personnalités , ne sont certes pas délinquants ou
malades mentaux, mais qd necessite surveillance ex font objet de menace pour leur sécurtié,
le fait de les laisser circuler sou sescort policieres que de les placer à l’isolement est une
métode libérale ; donc si l escrote polici provoque dommae, cst une resp sans faute de l’Etat,
Trib de grnoble ici à récouter… En l’espèce un membre de la fmaille de monaco, puis qui
voulait skier, et le gendarme aussi a été obligé mais n a pas été ouff dcp a percuté un autre
skieur, dcp resp sans faute, car si on avait laissé en bonne garde a lamison la princeesse rien
de cel an aurait été.

b)  Méthodes thérapeutiques dangerueuses : etbal hospitalers emploient methides medicales


danegrueuse, le CE dans CE 1993 BIANCHI a retenu que sa resp peut etre engagée sans
faute, mais à des conditions extrêmement reigoureuses. En effet il faut que l’acte médical en
cause soit nécessaire au diagnostic ou aux traitements du patient, soit tout ce qui est ate de
cofnort, pas nécesaire pour diagnostiuqer ( ex opéraiton s de chirrugie esthétoque) ne sont
pas concernées. Deuxième condition : il faut que ça présente un rs=ique connu, si ne présent
euacun rique documenté à l’avance, si on est rprmeier viciteç l’égard du quel le risque se
révle, cst pas pris en compte. TROISIME CONDITION : aucune rason ne permet de penser que
le patient osit particulièrement exposé à ce risque, qd bien mm on sait qu el erisque existee.
Et denrière condition : que l’acomplsiseemnt de cet acte entraine domamge d’une extreme
gravité et sans rapport avec l’évolution prévisible de la maladie ; soit on est atteint d une
maladie pour le traitement ou diagnositc de laqulle un acte médical est nécesaire, mais on
sait que cet acte est sans risuqe, mais y a pas de raison sde penser que ce risuqe soit plu
seleve chez nous que d autres, mais le risque se rélaise avecc conséquence grave et ca ne se
contente pas d etre un simple accelerateur des conséquences noramels de notre mladie…
( 39min) . Ajd cette jp ne s aplplique plus trop, est concurrencée par un rég législatif issu du 4
mars 2002, plu sismple ; mais seuls dans qlq cas on applique bianki.

c))Les situaitons dangerueuses : hypothese ou l admin pae ctns de ses aget sdans sitatons
particulierement danegruesue, menacnant leur vie ou itégration physique, où les risques excedenet
( 41min.

Arret Perruche CE sect 1962 : Diplomate obligé de rester à son poste dans pays en guerre : guerre de
corée et nord correnn ont niqué le sud et on n a pas évacué l’ambassadeur, donc était soumis à un
risque partiuclièrmeent élevé, don csituaton particulièrement danegeureuse. MAIS CA S APPLIQUE
EVIDEMMENT PAS AUX MIIATIRES. Cette jp s applique aussi à une ensignante qui doit restée à son
pooste en période d’épidemei CE 1968 DAME Saulze : l institutrice a été contrainte de rester à son
poste qd plusieurs enfants de sa classe eétaent ateints de maladie contageiurse susceptibles de
conduire à malformation de fœtus et alors qu elle était enceinte et ca s est produit. Cette resp
néanmoins est logquement refusée aux peronnels de anté, qui ne peuvent engager la resp sans faute
au motif qu il sosnt exposés à risuqe de maladie contagieuses torp éléves, cst leur métier comme
pour les miitaitre.
Normalement, seul l agent peut y prétendre, mais pnctueleent il est arivé que les proches de l’agent
bééneifcient de cette repsosabilité alro smeme que l’agent lui-même n y aurait pas droit, TRIB
ADMIN PARIS 1970 : le conjoit d une infirimière put bénéficier de cette respalors mm que sa conjoite
n en beneifciait pas du fait que pour elle le risuqe profesionnel n etati pas anormal ; elle avait été
contaminée dans le cadre professionnel par virus sida ( mordu par malade positif ou s est piqué) , ce
sont les risques normaux du métier , sauf qu elle a contaminée son mari, et la cst pas risque noram
que doit courir le conjint d un personnel médical. Idem on peut tnasposer à militair qu on envoie en
mission et l Etat le froce à emmener sa fmille, si la famille sera vicite de représailles, ce sera resp sans
faute pour la famille alors que lui n’aura pas droit.

I) LA RESPONSABILITE FONDEE SUR L’ABSENCE DE PROFITS


Ici , il n’existe aps réellement de dangers anormaux. EN revanche , l’aministré n’a aucun espoir de
retirer un profit de l’activité administrative en cause, alors que par contre peut en subir des
conséquences défavorables. Cela vut aussi qd les espoirs de profit existent mais disporporitonné par
rapport aux dangers. BREF ANALYSE COUT BENEFICE DESANVANTAGEUSE. DANS CE CAS SI
DéSGRéMENT SLOURDS SE R2ALISETN POSSIBILIT2 DE B2NFECICIER DE RESPONSABILIT2 SANS faute.
Y a deux hypthèses : dommages accidentels des travaux publics causés à de tiers et puis
collaborateurs ocasionels des services publics

A) Dommages accidentels de travaux publics causés à des tiers.


Effectivement, dans les deux hypothèses déjà vus, étaient en cause des usagers, en ppe resp
pour faute presumée sauf si ouvrage particulièrement danegreux alors resp pour risque
dangers.
S’il s’agit d un tiers celui-ci auassi benef de régime de resp sans faute, sect 1952 Gros. Le Ce
n’a jms vrmnt justifié en tant que tel mais on peut penser que le fondemnt le plus perientn
cst l’absence de profit, que le tiers retire d un travaux publi ou ouvrage public. PSQ IL EST
TIERS IL NE PEUT AVOIR PROFIT DE CEUX-CI ? IL NE PEUT QU EN ETRE VICTIME, dangers pas
exceptionnelement élevés d ou on parle pas de risque dangers, mais dans le meilleur des cas
on n en tirera ni profit ni dommage, mais possiblement dommages dans le pire des cas, donc
resp sans faute.

B) Les collaborateurs occasionnels du SP


L’origine du régime de resp sans sfaute bénficiant à celui-ci vient d arrt CAMes CE 1895 mais dont le
contexte était très différent psq institutait une resp sans faute d el’admin à l’égard de ses empoés à
l’égard des accidents de travail qu’il subissait lors de leurs fonctions : resp sans faute de l admin à
l’égard de ses agents dans le cadre du travail en cas de maladies profess. En réalité cette jp visait à
supplér le fait qu a lepoque y avait aucun régime légal de sécu socaile en cas d accidents de travail.
D’ailleurs il a suscité un tel régime une loi de 1898, larret cam a donc accelere les choses. Le régime
de l’arret cam est resté applicable aux seules personnes non concernées par la législation sur les
activités de travail, ie des personnes qui tout en agissant pour l’administration n’entretiennenet avec
elles aucun lien formel, ce sont les collaborateurs occasionnels du SP. Ce régime s appliuait aussi à
une autre catégorie «  les appelés contingents » qui n’étaient pas non plus considérés comme
employés de l’administration. Ces derniers n existent plus vu qu y a plus de régime militaire.
Il faut définir qui peut bénéficier d’un tel régime, qcq un collab occasionnel du SP ??? Cst là le vrai
pbm. Quelles conditions pour être colab occasionnel ?
- IL faut que soit en cause un SP. L’aciton sera dirigé contre le gestionnaire du service, jusqu’à
présent on a l’impression que cela ne justifie pas les dvpmnts, mais comme y a pas de lien
formel entre le SP et le collaborateur occs du service, il n est pas tjrs évident d identifier le
service publ pour le compte duquel le collaborateur occasionnel a agi. Qd on est
fonctionnaire ou contractuel, cst simple, cst l employeur le responsable. Dans notre cas y a
pas d employeur. On CE 1988 Le boff :un promeneur secourt un alade mental echaoée d un
hopital psu=yxchiatri qui se noie dans une marre. Il prete son concours au sp hospitalier ou
sp de police adin. Le ce dit police admin car au moment ou il plongeait, la personne qui
securt ne sait pas que le gars était malade mental, il remplace juste la pers du sp pde police
admin.
- Ensuite deuxième condition, la vicitme doit pouvoir etre qualifiée d ecollaborateur. Elle
apporte son concours au servie pour exercer une tache identique à celle qu aurait accompli
un agent. Ainsi pour prendre ex d ue difficulté que peut occasionner cette condition ex  :
sport compétition et les participants à la compétitn ex marathon on n’est pas collaborateur
du service publ on est usager. Le collaborateur ce serait celui qui distribue eau ou
alimentains aux participants ou a la limite garde la sécurité.
- 3ème condition : la collaboration doit etre occasionnelle, si elle était régulière, on parlerait
d’agent de service concernée par la législation du travail. Par contre elle n’a pas à être
bénévole, il peut exister un profit mais trop faible parrapport au danger. La collaboration ne
doit pas forcément etr ebenevole quoi. EX : CE 2017 fievet :la collab aurait pu voir s’appliquer
un indicateur des services de police , de douane, des services de renseignements ; des
rémunérations peuvent se faire sur les indicateurs. Il y a des ennuis par ex quand s’engage à
des activités délictuelles et se rend compte que c’est un mouchard… Ne pas s’inquiéter si un
jour on nous sollicite à la commune et tout et qu’on nous propose un petit truc, si on a
accident on bénéficie qd mm de la resp ans faute. Ex ya des communes qui rémunèrent pour
garder les trucs éléctoraux.
Cependant, toute collaboration occasionnelle n 'emporte pas automatiquement
indemnisation. Cela dépend des conditions dans lesquelles une personne qui n’avait pas une
vocation particulière à participer au service l’a fait. 

Trois catégories de collaborateurs :


  Les collaborateurs requis (pour eux que le régime a été institué au départ) ; ceux auxquels
l’administration a donné l’ordre de collaborer sans qu’ils puissent refuser.
Exemple : l’automobiliste dont la voiture a été arrêté par la police qui doit poursuivre une
autre voiture.
 Les collaborateurs sollicités ; les personnes auxquelles l’administration a demandé leur
concours mais qui étaient libres de refuser. Ils bénéficient du régime de la collaboration
occasionnelle depuis 1946 (il s’agit de récompenser le civisme).
>> CE, ass., 22 novembre 1946, Commune de Saint-Priest la Plaine

Deuxième catégorie : les collaborateurs spontanés ie ceux dont le concours à l’administration ne


résulte pas d’une demande de l’administration mais de leur propre initiative. Pas question de
systématiqueent les indemniser car il est des hypothèses où la collaboration est nuisible à
l’administration, dans ctns as leurs intervention n est ni soushaitbale, ni utile, est contreproductif
parfois. Dcp, qui indemnise – t-on ? Car y a des circostances où faut appuyer l initaitve citoyenne,
ceux qui on n a rien dm pourtatn aident l’admin.
On a donc :
-L’urgence  : uoique spontané la collaboration mais a répondu à une urgence nécessité, le
collaborateur sera indemnisé : CE 1970 Commune de Pas sur Mer : un promeneur se jettant à l’eau
pour secourir personne se noyant bénéficiera de responsabilité sans faute. Y avait pas de
sureillavance baignade, aucun agent d epolice ne pouvait interveir dans l’immédiat, dcp soit noyade,
soit intervention e la personne.
En revanche lorsqu’il n’y a pas urgence il faut que la collab soit soit acceptée par l’administration,
soit que l’intervention soit utile. Et autant dire que dans la plupart des cas elle ne l’est pas ex  : Arrêt
Guinard : un malade hospitalisé est venu en aide à un autre infirmier pour mobiliser un autre malade
plu scorpulent or que les infirimiers étaient en nb suffisants, le mec s est vu etouffé mais pas
indenisation. Aussi CE 1989 : un proprio bateau avait evacué resortissants frs en pays etrangers qd
bien mm la repulique frs avit les moyens de le faire mais navait pas jugé utile de le faire ( les
désordres n etaient pas suffisants pour décider évacuation ; le mr a pénétré dans les eaux teritoriales
d un autre Etat, les marines l ont arrêté, puis pris son bateau, il s est mele de ce qui ne lui regardait
pas, dnc pas d indmenisation.

III°) La garde
Avant 2005 , la resp du fait de la garde était assez rare en DA, qui admetait la rsp sans faute d
el’admin du fait de dommages causés par des choses dont elle avait la garde, soit que ces choses
causent un dommage soit que le subisse ex avion confié à admin pour essai en vol. Néanmoins cst en
2005 dans l’arrêt CE sect 2005 GIE AXA courtage que la garde a trouvé sa pleine utilité : admet la resp
sans faute de l’admin du fait des dommages causés par les mineurs faisant l’objet d’assisstance
éducative.> A l’origine en 2005 étaient en cause les mineurs protégés au titre d el’ordonnance d
e1935 au titre de enfance en danger. Mais ce régime a été étendue pgssvmnt à d autres mienrurs  à
de spupilles de l’ETAT = orphelins qu Etat doit prendre en charge AINSI QUE LES MINEURS
D2LINQUANTS ; Or les mineurs délinqants font déjà l objet d une jp : touzelliers, mais concrètement il
existe pour eux deux régimes de resp concurrent, et à la vitime de choisir le terrain sur lequel il
entend se placer : soi tpoursuvre l Etat du fait des méthodes libérales= jp touzelliers ; soit poursuivre
le gardien qui n’est pas forcément l’Etat du fait de la garde ; sahant que de tte façon celle des deux
personnes qu elle aura poursuivie sera subrogée dans les doirts de la vitime et pourra donc exercer
contre l autre personne une action subrogatoire ( être subrogé = bénéficier des mêmes droits que la
personne que l’on a dédommager, soit l aciton subrog cst l aciton que la victime elle-même aurait pu
exercer si on ne l’avait pas désintéresser) ( les organismes d assurance sont svnt subrogées à la
victime) : CE sect 2006 Min justice c MAIF. Précisons que les champs d’applicaiton ne sont pas
rigoureusement identique, en effet la resp pour fait de garde béneficie aussi bien aux tiers qu’aux
autres uagers de service, autrement dit l’option ne bénéficie qu’aux tiers, l’usager n’a pas totalement
le choix. Donc voilà, le CE s’inspire de 1242 al 1 er qui dispose « des personnes dont on a sous sa
garde », néanmoins il ne l’applique pas formellement. Le CE dégage à cette occasion un ppe général
de la garde dont s’inspirerait le code civil. La question c’est de savoir s il s agit vraiment d un risque la
garde est elle un risque. S on excepte les délinquants, les mineurs en cause n ont pas vocation
spéciale à commettre des dommages sauf à considérer qu un mineur est en soi un individu
dangereux, don cà priori pas de danger spécial, autrement dit on admet ici une nouvelle conception
du risque ; le rapporteur publque dit que Ce n’est pas un nouveau fondement de resp sans faute à
côté du risque et d el arupture d egalité devant les charges publiques, mais ct une nouvelle variété de
risuqes : le risque autorité ou risque social fondé sur le fait que l’amdinistration «  organise , dirige ou
cojntrôle le mode de vie du mineur ». Cest un risque autorité, social, lié a ce que l’dmin dirige le
mode de vie du mineur. Pour ex : la repsosabilité du gardien peut etre engagée y compris lsq le
mineur cause un dimmage pendant la période où il a été remis à ses parents ( donc touzelliers et axa
courtage fonctinnent dans ces cas : CE sect 2016 ST2 groupama grand est : l’admin conserve la prise
ne carge durable et globale du mineur en permanence, autrement dit si le mienur est ici chez ses
parents cst psq l’amdin le veuille bien et l emineur n y est que l=pour la période temporelle qu elle
aura déterminée.

PARAGRAPHE 2  : La reposnabilité pour rupture d’égalité devant les charges publiques


Cette resp sans faute poour rupt d gté dev charge publique est un ppe constitutionnel ( art 13
ddhc)+ ppe général du dt. Vision naive ferait penser qu une rupture d egalité devant les charges
publiques cs tune illégalité donc une faute. C’est vrai qu’elle l’est assez souvent, car illégale. Mais
il y a des cas où ol est possible de romrpe légalement l’égalité ex une différence de situation ou
un motif dinéreêt gén qui permet de rompre le ppe en tte lgalité : cst là qu’on peut avoi rresp
sasn faute. Cette rupture légale d egté dev les charges uliques permet ainsi d engager la esp de l
admin soit du fait d’acte soit à raison de ctns faits.

I) Les dommags causés par des actes ou normes


- Deux catéories d’actes concernés : actes admin réguliers, ceux qui sont légauc, mais aussi des
acctes non adminstratifs ( dans la mesure ou le JA nest pas compétent pur controler leur
légalité , il est bien obliger de les postuler légaux)

A) Les actes admin réguliers


1) Actes non reglementaires
Ce sont ceux qui sont spécialement concernés, et ayant donne a l arret de ppe pur a rputre dvant
les charges publiques, CE, 30 novembre 1923, Couitéas. Pq sont ils spécialmaent concrnés ? Car
l’acte non reglementaire vise un nb limité d’amdinistré= 1 seul administré : on conoit qu il puisse
reserver à un adminstré en particulier un sort spécielemnt défavorable qui occasionne pour lui
un pjdice excédant les ccharges normales de la vie en société. ( bref charges exceptiionels cas). L
arret en est tres revelatauer, en lespecce un adminstré auquel l administration avait refusé le
concours de la force publique pour eécuter une décision de justice qui lui était favorable. Est-ce
légal de refuser d empliyer la force publique pour excuter décision de justice. LE CE DIT OUI DES
LORSQ UE CST FONDé sur un motif d’inté^ret général, ici l’ordre public. En l’espèce ca se passait
en tunisie, qlq avait obtenu expulsion de tout une trbue nomade qui séjouranti sur les terres que
ladmin a donné a Mr, sauf que ladmin coloniale a dit onn ne risquerait pas de pvoqyer troubele à
lordre public en les expulsant. Mai spsq l Etat renonce à fare executéer la justice, il doit en
répondre sans faute devant la vitime, donc mr a été indemnisé.
C’est à leur propos qu’est apparue la responsabilité sans faute pour rupture d’égalité devant les
charges publiques.
>> CE, 30 novembre 1923, Couitéas (arrêt de principe)

Il est vrai que les actes non réglementaires se prêtent assez bien à rompre l’égalité devant les charges
publiques puisqu’ils ne visent qu’une personne (acte individuel) ou une opération déterminée (décision
d’espèce) ; il est donc assez facile pour eux de traiter cette personne ou cette opération d’une façon
particulière qui romprait l’égalité.
>> Qui ferait peser à l’encontre d’un administré en particulier des charges excédant les contraintes
normales résultant de la vie en société.

L’arrêt “Couitéas” nous en donne un bon exemple puisqu’il admet la responsabilité sans faute de
l’Etat du fait de son refus de prêter le concours de la force publique à l'exécution d’une décision de
justice.
En l’espèce, Couitéas avait acheté des terrains en Tunisie, déjà occupés par des tribus nomades ; le tri -
bunal a reconnu son bon droit pour faire expulser ses tribus sauf que les autorités du protectorat ont re -
fusé de prêter le concours de la force publique à l’exécution de cette décision au motif du trouble à
l’ordre public qui risquait d’en résulter.

En principe, le refus de l’Etat de prêter un tel concours est illégal. Lorsque l'intérêt général fonde ce
refus (ici ; protection de l'ordre public), il y a lieu d’engager la responsabilité sans faute de l’Etat si la
charge pesant sur le bénéficiaire de la décision de justice apparaît disproportionnée.

Cet arrêt a été étendu à bien d’autres décisions individuelles.

Le cours de LILA s’arrête là : normalement le refus de prêter la puissanc eublique à l’exécution de
décision de justice est illégale mais peut etre légale qd cst justifié par motifs d ordre public.

Y a til d autres illustratons ? oui, mais pas tte à faut la mm chose :


Ex : -refus de la police d’ expluser greviste des usines qu’ils occupent : CE ASS 1938 Sté
cartonnerie Saint Charles
-refus de l’administration de faire évacuer des installations portuaires occupées par de
smanifestants CE sect 1979 Sté Les fils d’Henri Ramel ;
Raisons du refus dans les deux cas cst le risque de faire plus de mal que de biens, risque de
causer mécontentements et affrontements donc pas bon pour l’intérêt général. Dans ces deux
cas les victimes sont des usagers.
Néanmoins il peut s’agir aussi de tiers par rapport à une décision individuelle
Ex : -Ce sect 2005 Sté fermière de compoloro : était en cause le refus du préfet d’exercr le
contrôle financier sur une CT, qui avait provoqué des préjudices à l’égard des tiers. Il y a eu
irrégularités financières ayant mis les tiers en difficulté ;
-Avis ASS 2016 NAPOL ET AUTRES : réalisation d’une perquisition en période d etat d urgence lsq
cause prjdice à un tiers, en l’occurrence le proprio non occupant du logement persuitionné à
l’égard du comprtement du locataire, mais les policiers ont niqué des trucs donc préjudice opur
le proprio.
-Décisions d’espèce n’ayant pas de destinataire particulier : Ce sect 1995 Lavaud : Une sté a
détruit une ensemble de maisons HLM et le pjdice cst par rapport à un commerçant voisin qui a
perdu tte sa clientèle.
Mais cette responsabilité peut aussi concernenr

2) Des actes reglementaires


Ont une portée générale et abstraite et ainsi on a du mal à imaginer que ça rompe l’égalité entre
les administrés devant les charges publiques. Mais jp couitéas s applique aussi ici lsq un acte
reglementaire lèse coplètement un administré ou qlq adinistrés en particulier, malgré sa portée
en théorie générale et abstraites. L4ARRËT DE PPE ce SECT 1963 COMUNE DE GAVARNIE : à
propos d une reglemntation de police admin et plus spéciaemet police mnicipale. A Gavarnie y a
le cirque de agvarnie, mais on n accede aux cirques qu en passant par montagnes étroites, ce que
tlm ne peut faire, donc ils le font par cheval ou à dos de mulet. MAIS la cohabittion de piétons et
de cavaliers sur chemins étroits = pbm de sécurité. Le maire a eu l’idée de réserver ctns chemins
aux piétons et d autres aux touristes aaec animaux. MAIS CA A L2S2 UN commércant qui était sur
un chemin désormais interdit un piétonn, et les cavaliers s’arrêtaient rarement, le piéton lui s
arr^tete, dcp perte de clientèle quoi. LA MESURE D EPOLICE es tlégale, justifiée par la sécurité
publique, mais le commerçant a droit à une respnsabilité sans faute pourrupture d’égalité devant
les charges publiques.
A) Les actes ou normes non administratifs
Pour eux le pbm est un peu différent car ce sont des aces ou normes dont l ejuge amdin n est pas
compétent pour cont^roler a jurdiicté, la légalité disant au sens large. Soit vis-à-vis du ja de tels
actes/ normes sont nécessairemnt légaux, en vrai peuvent ne pas l’être mais il ne peut les
considérer autrement. Donc pour engager la resp de l’administraiton, ca ne peut l’être que sans
faute, car le juge doit les postuler légaux.
1) Les lois
En ppe le JA n’est pas le juge de la juridicité des lois, alors comment faire qd une loi cause un
pjdice ? LE JA NE peut engager que la resp sans faute de l’Etat, en effet le ppe mm d une resp du
fait de slois a été long a admeetre, pdt lgntmps jsq en 1938 le ppe était l irrespnsabilité du
légisalteru. Autrement dit, sauf à ce que la loi elle mee préoit une indemnsiation, dans les autres
cas ct l’irrespnsabilité de l’ETAT . puis ce ASS 1938 sté des produits laitiers lafleurette : le ce
admet la resp de ppe du fait du légisalteur sur un fondement qu il n excplicite pas très clairement
ais qui est nettement la resp sans faute pour rupture d egalité devant les charges publiques  : ca
ressemble à couitéas dans lafleurette meme si le terme ruptur d egalité en l espece n est pas
explifciteent dit, il en s’agit. Effectivement, nous sommes ici en rpésence d un raisonnement qui
sera le même tenu pour les règlements, certes la loi comme le règlment est un acte général et
abstrait mais il peut arriver que concrètement elle porte préjudice aux administrés qui sera
indemnisable pour resp sans aute sur le terrain de l arupture d egté devant les chagres publiques.
On a ensuite étendu la loi au sens large ie tous les actes de valer législative ex ordonnance de art
38 ratifiée CE sect 1963 Bovero.
De même ce régime s’applique aux lois constitutionnels, constitution et ses révisions peuvent
engager la resp sans faute d el’etatpour rupture d egté dev ch pub. CAA Paris 2003 Mme
Demarets : La requrant estmait pjdice du fait de la réviion constit de 98qui instaure autonomie et
autodetermination en nvlle caledonieprévoit qu il est possible pour les election slocales et les
réérendums d autodetemination de reestreindr ele corps electoral aux epersonnes originaires de
nvlle calédonie : il faut etre né ou y résidé depuis un ctn temps, l objectif est d exclure du corps
elecroral les metropolitains de passage ou encore asse nouveau ; mme demarets invioque prjdice
du fait d impossiilité de participer à son droit de vote à l’art 3 Constituion ;
EN réalité et tdnllmnt l’application de ce régime de resp sns faute pour les actes de valeurs legisl
ou supra legisl était traditioonnellemnt exceptionnel, rené chappuis disait que « cette resp c’est
un produit de luxe », effectivement le juge a posé cp de limites à l’usage de la jp lafleurette :
-Pour une première raison en effet, cette resp peut etre exclue par le législateur lui-même, on
inverse le panorama par rapport a ce qu il y avait avant 1938 car là ct irresp sauf si le législateur
le voulait, ici cst resp sauf si le legisl ne veut pas etre resp et qu il exclue l indemnisation soit
excplicitment soit implicitement ( interprété la loi à la lmumière de ses travaux préparatoires ou
débats). 1ère limite inédite ici le resp peut s exonérer de sa responsabilité.
-2ème limite aparu après la fleurette : le juge considère que dans ctn scas l bjet mm de la loi fait
presumer la vté du legislateur d exclure toute indemnisation. Deux cas ici visés : 1) les lois
déliberemment discriminatoires : celles qui ont ouvertement pour objet de pénaliser au nom de
l’intérêt génral une catgorie d’adminsitré. Ex : la loi qui insitue u nrégime rstrictif pour les films
pornographiques interdiciotn – 18 ans, interdiciton de diffusin dans des salle sordinaires , fiscalité
très lourde bref l obj etati de découragercesa ctivités ; la loi serait infeiccace si les producteur de
fims X pouvaient récupérer leur perte en engageant lar esp de l’Etat .
2) Le juge peut considéré aussi que de slois poursuivant de sobj d interts général paticulierement
imrttns puissent exclure toute indemnisation. L idee est que linteret général est préeminent et
l’emporte sur toute indesnsiatin des administrés. MAIS L 4APPR2CIAIN DE LA RP2EMINENCE D EL
IINTERET GE EST SUBJETIF ; ex ;: le juge a considéré com eibjecti fd inteet ge préeminent la
protection de l eoconooie nationale, de la santé publique, ou encore de la nature et à cet égard
l’arert CE 1984 Rouillon nous dit que les taxidrvistes( naturalisateur d animaux morts) ne seront
pas indemnisés du pjdcie qu il ssubisset d u fait d un eloi de prtoectin d el anature de 96 qui
ijnstaure une liste d especes protégés qu on ne peut captures ,c ahasser nin naturaliser.

Néanmoins ces deux limites ont tendu à s’attenuées, sans disparaître. Tout d’abord la vté du
légisalteur d’exclure toute indemnisation : le législateur déjà a-t-il le droit d exclure toute
indemnisation , au regard de la constituton ? LE CONS COSNTIT A DANS UNE D2CISIONDE 2001 a
limité ce droit en indiquant que « les lois ne sont pas conformes à la csntit si l exclusion de l
indemnisation qu elle prononce provoque une rupture caracterisée de l egté dev les charges
publiques », autrent dit une rupture importante, « sauf à ce que l’économie générale du texte
l’impose » autrement dit sauf à ce que ceci soit justifié et nécessaire au regard de la loi. Soit une
loi dont l obet est dleiberement discriminatoire et justifiée par l intérêt gé pourrait totalement
exclure l’indemnisation.SAUF DANS LES CAS Où cst imoé par l objet ou l economie générale du
txt, la loi peut exclure l indemnité à condition que ca ne provoque pas des conséquences trop
importantes.

Voilà pour cette première évolution. Deuxième évolution qui a disparu maintenant : ca porte sur
les objets tenant à un motif d interêt général préeminent. Ca a donc regrésseé CE ect 2003
assocaititon pour le vpmnt d el aquaculture en région centre ADARC : en effet le ce devait se
pronocne rune nvll fois su rl indelnsation des agriculteurs vicitems de dégats causés par des
espèces protégés, est ce que l etat peut etre reposnable ? Dans CE 1998 min d el environ contre
Plan, le ce a appliqué CE Rouillon, donc pas d’indemnisation. Mia rveiremnt de JP en 2003 s
agissant de pissiscutleurs dont les elevages etaient décimés par une espèce protégée , et le ce
accepte de les indemniser en distinguant selon ce qu el’ctivité de la vicime est ou non contraire à
l’objet de la loi, soit les personnes don tl activité est dirtment contraire à l objectif poursuivie par
la loi continueront à ne pas etre indemnisés ie le taxidermistes ou l echasseur ne pourront l etre,
en revanche les personnes adont l aiivté n est pas contraire à l objet de la loi et subissent
préjudice auront drit à indenité par e les agriculteurs pour lesuqels leur acitivté n est pas
contraire à l objet de la loi. Donc première brèche ici mais CE 2005 Sté coopérativ agricle ax’ion :
le ce ne considère plus l objectif d intéet génral préeminent comme étant un motif d’eclusion
de l’indemnité. Il ne mentionne plus que l avolonté exprese ou implicite du légisalteur.

2) LES CONVENTIONS ET COUTUMES INTERNATIONALES


En 1966 le ce a transposé la jp la fleurette aux conv inernation que la fr a ratifié et décidé d
introduire dans lordre juridique frs : CE ASS 1966 Cpgnie géénrae d energie radio electrique : l
etat répnd des prejudices que cette conv internationale peut provoquer. LA SEULE incertitude
concernant cette jp concerne la questin de savoir si pour que ce régime s applique la conventin
devait avoir été régulièrment introduit en dt frs ou pas ? La Jp a un peu fluctué. DANS UN
PREMIER temps, le ce avait subordonné l’appicaiton de ce rég de resp sans faute à une
introduction régulière de la convntion en dt frs, autrment dit il fallait que l’acte soit régulieremen
taprouvée ou ratifiée par la fr. Mais CE 2004 Almayrac a estimé que le caracter regulier ou
irreguler de la ratif est indifférente car cette irrégularité procédurale n est pas en totu etat d
cause la cause du préjudice. Certes l irregularité est fautive mais svnt on n indemnise pas l
irregularité externe car pas la ccause du dommage. S’agissant des coonv internat l’argument était
assez spécieux. Si une convneron n est pas reguliermen tratifie n ormalemnt elle n est pas
applicable, si on l applique qd mm cst bien la cause du dommage, d où le CE 2011 mlle susilawati
il est revenuà la conditoin d introducion reguliere d el aconvention en dt franais : il se garde de
nous dire ce qu il arrive quand la cause du pjdice est une convention irregulierment approucvée
ou ratifiée, mais pense à resp pour faute en schant que dpeuis 1998 et l’aret SARL parc d activité
de blotzheim le Ja peut controler la régularité de la prcédure de ratificaiton et si on constate
iregularité dans l intrducitn d el aconv en dt frs, ce sera resp pour faute, et réservant la resp sans
faute aux conventions régulirèremnt introduites en dt frs.
Puis CE sect 2011 Mme SALEH QUI transpose ceci aux coutumes intrnaitonales : les coutumes
internaitonales appliquées par la France ou que la France n a aps choisi d ecarter par l’adoptin d
un eloi contraire engage la resp de l etat pour rupture d egt dev les charges publiqes.

3) Les actes de gouvernemnt et les actes parlementaires


En principe ici il n’y a pas de responsabilité de l’Etat. POUR LES actes parlementaires, les choses nt
changé mais ceci en vertu d’une disposition légisaltive expresse art 8 de orodnnance du 17 11 1958
sur le fonctionnement des assemblées qui prévoit qu e etat est resp des dommmages de tte nature
causées par les ervcies des assemblées, ce qui montre que la resp n’est pas de principe. Pour les
actes de gouvetnemnt ces derniers n engagent tjrs pas la resp de l’Etat  : CE 2018 TAMAZOUNT : à
propos de la écision de la France en 1962 qui na pas voulu évacuer les harkis.
Mais pourquoi ce refus pour les actes de gouvernemnt ? ON AURAIT PU 2TENDRE l erége de la rep du
fait des loi sou conv internat car des lors que cst resp sans faute on ne ccontrole pas le contneu de l
acte, on constate juste que ca cause pjdice qu il convient de réparer… Mais d autres auteurs estiment
que ontrairemnt aux lois ou v=conv internat les actes de gouv ne sont pas vraiemnt des acts de
nature juridique mais politiques. L etat put il etre resp de décisin politiques ? L edébat est légitime !

I) Les dommages causés par des faits


A) Les dommages permanents de travaux publiques
Les dommages accidentels ne sont pas les seuls dmmages que peuvent causer les travaux ub u les
ourages pubiques, qui peuvent aussi provoquer des dommages permanetns,ie dommages liés à l
existence meme ou au foncitonnement meme d une ourag publique ou à la réalisaiton d un travaux
publiques : qlq soi tla manière ou on a concu l ouvrage ou réaliser le travaux les dommages en cause
en sont la conséquence inevitable : qu on construise une centrale nucléaire on ne peut pas l
empêcher de produire fumées. Depuis CE sect 1961 Commune de Vic-Fezensac ; le ce accepte
d’indemniser les dommages permanents de travux publics, sans faute pour rpture d egté deva les chr
publ sur le fondement le plus osuvent de l théorie sur les troubles de voisinage. Le cas le plus
fréquent étant le toruble de voisinage, ouvrage pubique ou travaux publi cause toruble anormal à
l’égard des voisins, a rupture d egté dev les charge spubl permet d engage la resp de l etat à leur
profit.
B) L’absentention légale de l’aministration
L’dmin n adopte aucun acte juridique, sns orcément refuser, parfois y a refus ( acte admin légaux
refus de prendre mesures), mais tout simplement à uneinactin de sa part ( perosnne n a rien
demandé), dnc absence d adoption d acte juriduqes, absence d accomplisemnt de ctnes opérations
matérielles ou activités matérielles : hypothèses d’abstention ou d’inactions certes légales mais
peuventengager la resp de leur non auteur (car n a pas agi) sur le terrain de la rupt d egté dev les ch
publ.
2 exemples : hypothèse d el’arrêt CE sect 2005 sté feemire de Campoloro : le préfet refuse d exercer
son contrôle sur es CT mais y a ici l hypothèse où il s abstient d el’exercer car personne ne lui
demande rien, donc cst pas qu il refuse.
-CE ass 2010 mme bleitrach : absence d adaptation par l’adinistration d un batiment public aux
personnes handiccapées : l’Etat n’a pas aménagé un palais de justice en vue de permettre l’accès des
personnes handicapées, ce qui a empêché une avocate de venir au palais de justice pour exercer son
métier. Est-ce légal ? Oui, y a certes une loi de 2005 qui prévoit dt d acces des perosnne shandic aux
bat pubics mais a laissé a ladmin un délai de 10 ans durant laquele la bstention de l’admin etati
légale. La deuxièeme question posable : n avons nus pas ici une reps du fait de la loi ? Pas besoin d
inviqurer resp du fait d el’inaitn, m dit non car ici cst pas la dispositn de la li qui est en cause, elle
laisse un délai mais ca veut pas dire que l’adin doit en user, l admin peut tres bien avoir manégarer le
paais de jstice mméiatement, on peut difficlement diere que la ccause du pjdice cst que la loi a laisé
un délai , la cause cst que l admin a user du délai . En effet dans l arret bleitrach la solution est
ambigue, tujours étant ue le responable potentiel dans les eux cas cst l etat legislateur ou l etat
proporio du palais de justice. MAI SIMAGINONS que ca était une mairie pas aménagé, l identité du
resp aura été sans doute la mairie, la commune quoi, sans faute certes mais resp qd même. Dans
l’arret ci, la resp est limitée aux seuls avocats et auxiliaires de justice, ca ne s etend pas aux
justiciables, car le pjdice n est pas anormal ni spécial ce qui est noramelemnt requis en cas de resp
sans faute ; autrement dit de tele sinaction snn engagent a resp de leur auteur qu a l’égar de
perosnnes spécialement concernées, ici les profiesionels, empechés d exercer leur profession du fait
de ses inactions.

C) La réalisaiton de perquisitions amdinsitratives


Avis Ass 2016 Napol et autres : à propos de perquisitons réalisés en période d etat d urgence , l
arret indique deux hyotheses de resp ans fate : 1- à l’égard du proporio, qd il n occupe lpas le
logement erquisitonée mais cst une resp du fait d un acte juridique légal, l’ordre de perquisition
nous dit vous allez peruqisitonnée x adresse , les policiers yvont et endomagent la aison, ca cst
resp du fat des actes ;
-2- en revache euième catégeorie : l admin est resp a l egard des voisins qu ils auraeitn
perquisitonées par erreut par ex tormper d adresse ; là on n epeu timputer le dommage à l’ordre
de perquisiton , on est en effet ne présence d un pur fait juridique. Donc cst une resp du fait d’un
fait juridique et non d’un acte juridique. M aimerait dire resp pour faute mais le CE dit cst resp
sans faute car svnt les gens ne mettent pas numéro de portes et tout… Si un jour on avait erreur
grossière possible qu’on ait resp pour faute !
Soulignons que le contnetieux de cette resp est raremnt portée devant le JA, ici cst le cas car les
perquisitons réalisées en période d etat d urgence le sont « sans autorisations du parquet »donc
sansintervenion du Jjudiciaire. Toutes les autres perquisitons s’exercenet après autorisation de la
utorité judciaire. Mais sur e fond ca ne change ren, si on applique la jp consorts giri application
du dt pubi par l ejuge judicaire lsq est en cause la police judicaire, et en ce sens TC 2021 Min
jstice cpntre R à propos de la resp d el Etat à propos de perquisiton par la police jud qui ont
endommagé affaires du colocatare de la personne perquistionné : donc applicatin de l’arêt Napol
resp sans faute qd dommage causé à la peronne non visée par lordre de persquistion.

Ecouter le cours de la semaine dernière  :

Théorie cumul de fautes :


Arrêt de ppe 1911 CE Anguet/ la théorie s’applique lsq un mm dommage résulte de plusieurs
fautes, au moins deux, au moins une faute de service et au moins une faute personnelle. Cette
théorie permet à la victime de poursuivre l’administration devant le juge admin pour faute de
service ( faute personnelle+faute de ou … 1min 20).
L’arrêt Anguet nous donne un bon exemple : un truc entre dans bureau de poste, ceci a fermé de
manièr eprematurée alors qu’il était encore à l’intérieure = faute de service, et les employés ne
voulaient pas ouvrir la porte l’ont conseillée de passer par la porte de service à l’arrière du
bâtiment ; anguet s’est perdu, a débarqué dans une pièce où des postiers triaient de l’argne,t et
ont cru à une tentative de vol, et a violamment sorti mr anguet de la poste= faute personnelle.
Cette théorie n’est pas réellement appliquée en pratique, mais on en trouve qd mm une
application récente, Arret ce ass papon 2002 : qui reconnaît la resp de l’Etat du fait de la
déporttion des juifs de bordeaux pdt la 2 nde guerre mond sous l’autorité du préfet papon en
relevant qu’il y a bien eu ici une faute de service, l’adoption de mesures discriminatoires contre
les juifs et l’aide apportée parPapon aux Alleands a la deportaiton des juifs= 5min 10 ; Quand une
autorité illégitime nous donne des ordres on doit qd même réfrener le truc … mais en tout ca son
peut poursuivre l’Etat pour faute de service et faute personnelle aussi ?? à réecouter jsq a 6min
40
A) Le cumul de responsabiltés
Arret ppe 1918 poulemonnier : hypothèse où une seule faute est à l’origine du dommage mais elle
est susceptible de présenter un double caractère à la fois faute de service et faute personnelle. Là ça
permet à la victime d’avoir le choix entre poursuivre pour aute perso devant le juge judiciaire ou
poursuivre pour faute de service devant le Ja. Majoritaireemnt ce genre de truc= faute personnelle
mais onconsidère que vu leur lien avec la faute de service on peut admettre la qualificaiton de faute
de service dans l’intérêt de a vctime. Dans l’ar^^et epoux lemonnier la faute personelle a été
commise dans le cadre des fontions donc lien étroit exceptionnellemnt avec le service. En l’espèce un
maire en cause qui pdt l organisaiton d une fete forraine avait installé une promenade en ublic
derrière un stand de tir, ce sont les époux qui se sont fait tirés, ils ne sont pas morts, mme monnier a
été réduit à un truc car a pris balle dans la gorge. 10 min 50 on a élargissment avec arrêt  ??? Elle
s’applique désormais aussi aux cas ou la faute personnelle a été commise hors des exercices de la
fonction mais dans le temps du service. Dans l arret deoiselle mimeur, des militaires chargés de
convoyer un véhicule en ont profiter pour faire un détour pour visiterune connaissance, sont repartis
tardivement à la nuit tombée et en reculant ont détruit le mur de la ppté voisine de mm mimeur. Ici il
est possible de poursuivre l Etat, certes ils s’étient éloignés de leur fonction mais dans le temps de
leur service.
Enfin dernière élargissement : CE ASS 1973 Sadoudi : application du cumul de resp à des fautes
commises hors du temps de servie mais non dépourvue de tout lien avec lui. Ici un gardien de la paix
à Paris était obligé par le règlement de servce de garder avec lui son arme de service, la nettoie dans
sa chambre et tue accidentellement le colocataire. L4AGENT 2TAIT VRAISEMBLABLEMENT HORS
fonction mais le lien avec le service ct l obligation regementaire de conserver avec lui l’arme hors du
temps de servcie et d el’entretenir. Dans ctns cas le len avec le service est tlm 15 25 : arrêt époux
Razewski : : une personne qui kiffe violer, enlever femmes etc, mais aussi autre chose, a piéggé
véhicule et a … bref perturbé mais pénalement déclaré irresponsable tjrs jsq au jour où a aggressé,
violé et tué autostoppeuse : ici possible pour les parents de la victime d’agir contre l’Etat car la faute
personnelle du gendarme n est pas dépourvue de tt lien avec le service, le CE DIT 3 QUE L 4AUTEUR
DES FAITS A profiter de sa fonction pour éloigner les soupçons des précédents cirmes de sa
personne »… on considère que si lamarre n’était pas gendarme il aurait été arrêté avant, (film je
viserai le cœur) …. On constate à l’heure actuelle que pour échapper à la théorie du cumul des resp, il
faut des fautes dépourvues de tout lien avec le service.

Paragraphe 2  : Les actions récursoires


Il s’agit de partager la dette entre tous les auteurs réels des faits. 19 min

S’agissant des rapports entre l’administration et ses agents, la seule possibilité est celle de l’action
récursoire ie deux isntants successives attendent que la personne poursuivie par la vicitme soit
condamnée avant qu elle ne se retourne dans une snde action contre d eventuels co-resposnables.
( y a aussi l’appel en garantie qui est une autre procédé d obligation à la dette qu on verr al’an pro si
DA des biens. ) 21 44
Jsq en 1491 la jp du CE consistait à refuser l’action récursoire : avec dvpmnt cumul des fautes et stt
cumul des repsonsabilités , ce refus n’était plus tenable, d’où deux arrêts ASS 1951 la ruelle et
neville : le ce a admis l’ation récursoire, que ce soit d el’amdin contre l’agent ou de l’agent contre
l’’agent.

I) L’action récursoire de l’administration contre l’agent


Hypothèse de l’arrêt La ruelle : On était e présence de cuul de fautes, en l’espèce un militaire qui
avait frauduleusement emprunté n véhicule puis on a eu un accident. On aadmis un cumul de fautes,
faute person du miitaire ( contrarement à demoiselle mimeur le véhicule ne lui a pas été confiée et a
emprunté une voiture snas droit ni titre au garage)+ faute de service car le contrôle des véhicules
sortants du garage était insuffisants. Donc l’administration ayant été poursuivi et condamné, elle
s’est retournée contre l’agent. Ici ct dans le cadre d un cumul de fautes, mais àa peut aussi
également etre dans le cadre de cuumul de reposnablités. DANS LES DEUX CAS  ? LADMIN OURUSIVIE
ET CONDAMN2E PEUT SE RETOURNER CONTRE L4AGENT DS LORS QUE CELUI-CI A COMMIS UNE
FAUTE PERSONNELLE.
Comment régler la contriubution à la dette ? On peut penser qu il faut raisoner sur la base de la part
respective que les fautes ont joué dans la réalisation du dommage, ce qui reviendrait à dire que dans
l’hyppohèse d’un cumul de repsosablité la charg edéfintiive de la dette peserait sur l’agent. Mais en
réalité, ces ppes ne sont pas appliquées, le ce a indiqué dans CE SECT 1957 JEANNIER  : il faut se
fonder sur la graité des fautes en présence, plus la faute commise est grave plus forte sera
l’indemnisation Ctns auteurs ont dit que cst choquant, car ca devrait relevé de la faute disciplinaire…
En pratique cs tblamable car ca conssite tjrs à faire peser la charge la plus lourde aux agents aux bas
de la hiérarchie amdinn car svnt ils commettent la faute la plus immédiate… En lespece des ilitaires
ont eprunté la voiture fruaduleeusement encore… ecouter

Arrêt Morritz 1954 CE : tranche en faveur d ea compétence adminstrative.> Ca ne releve pas de soi
car on est présence d une ccmptéence dirigée ontre un particulier, or généralement cst plut$ot la
personne du défendeur qui détermine le juge compétent, limite on s en fiche de l’identité du
demandeur, comment une action contre un particulier meme émanant d el’administration … (2min )
… la compétence du JA s explique par le fait q ju une telle aciton est indétachable à ré-ecouter

II) L’action récursoire d el’agent contre l’amdinistration


Arrêt Delille 1951 : hypothèse où l’agent est condamné par le juge jud ppour une faute personnelle
alors que l’administration a commis une faute de service ;< L ARRET admet que l’agent uisse alors
agir au moyen d une aciton recursoire contre l’administration, qui a commis une faute de servce. Das
l’arrêt delleville était en cause une nouvelle fois uneun cumul de faute : faute personnelle +,faute de
servie( mauvaise entretien par l’administration du véhicule conduit par le monsieur). L’actin
récursoire es tportée devant le JA , cst bien une action contre l’adminitration, donc naturellement on
a le JA ; Comment répartir la charge de la dette ? L’agent est alors déchargée de la part de
responsabilité dûe à la faute de service. CA NOUS conduit à distinguer trois hypothèses : 1) le JA
estime que l’agent a été condamné à tort, soit conteste la déccision du juge judiciaire en le déjugeant
en disant qu y a pas de faute personnele mais uniquement faute de service. 2) deuxieme hypothese
venant de delleville : cumul de faute (7 min) enfon 3) en cas de cumul de reposbailités, l action
recursoire est tenue en echec car le juge imposera que à l’agent que (8 min)

CHAPITRE 3  : LA CAUSALITE
Il ne suffit pas préjudices subi et qu’il existe un fait dommaeable, encore faut il qu il existe entre les
deux un lien de causalité.

Section 1ère : raisonnement ordinaire


Il existe deux gdes théories de la causalité : équivalence des conditiions et causalité adéquate. LA
PREMIERE est la plus favorable à la victime car cosidère que otus les fats ayant concouru à la
réalisaiton du dommage peuvent en être considéré comme la cause juridique. ON PREND parofis à
titre caricaturale, un agriculteur ayant acheté un aliment (11min)…
Par contre la théorie de la causalité adéqute est plus restrictive : retient comme seule cause juridique
du dommage les faits qui avaient une vocation normale à le provoquer. POUR schématiser, on peut
dire que le juge jud appliqeu l’équivalence de conditions alors que le ja appliqer l’autre.
ON peut illustrer par trois affaires :
- Arrêt Marret CE SECT 1966 : un véhicule de l’admin circule sur une route malentretenue et il
est endommagé. Il est envoyé au garage et est mal réparé et son moteur explose ( le gaagist
en’a pas opéré une fuite dans le circuit de refroidissement. La cause de l’explosion  ? L ece dit
cst pas mauvaise entretien de la route mais cst la mmauvaise réparation ici.
- CE eeeeeeeeeeeeee
Ecouter jsq à 15h09
CHAPITRE 4  : LE PREJUDICE
Pour que l’amdinstration soit condamné à verer des det intérêts, la victime doit avoir subi un
préjudice, en effet l’ indémnité est censée la réparer, on n’est pas dans le cadre d’une responsabilité
sactionnatrice mais indemnitrice. LE PDCE= atteinte aux intérêts de la victime, résultatn du dommage
i.e. d el’atteinte portée à une personne ou un bien. ( 1h 07)

Dans le chapitre 1 on a vu tte illégalié est fautive, en revanche une illegalité externe ne provoque pas
de préjudice quand la mesure est légale sur le fond= CE 1981 Mme Carliez. On a été sancitonné mais
peut importe que l’auteur de la sacntion soit une autorité incompétente ( ex direct adjoint mais sans
délégation de son chef de service), bah peut importe la décision aurait été la même que si l’on était
sanctionnée par une autorité formellement compétente.
(1 :09) : De même, ctnes illégalités internes, ex erreur sur motifs, si une décision contenue identique
aurait pu

Section 1ère  : les préjudices réparables 


Il covidra de distinguer deux séries de conditions : ctnes valables poour tous les préjudices, d’autres
valables implement pour la resp sans faute
Paragraphe 1 : Les exigences valables pour tous les préjudices
Le préjudice doit être personnel, certain, et évaluable en argent. Puis direct mais bon cst lien de
causalité car en est la conséquence directe.

I) Le préjudcie personnel
Le bénéficiaire de dommages et intérêts cst celui qui a subi le dommage, c’est la victime imédiate,
l’appréciation de ce caractère personnel ne soulève pas de difficultés, en règle général. Néanmoins il
peu ten aller différemment dans deux cas :
A) Premier problèe : la transmission du droit à réaparation
Le dt a réparation est transmissible aux ayants droits, ce qui déroge au caractère personnel du
préjudice. C’est heureux car sinn il suffirait à l’adin de tuer la victime ( que ce soit fait dommagable
ou autrre, en cas de decès le dt est transmis aux ayants droits). La seule limite  : les préjudicces
moraux qui étaient considérés comme rigoureusement propores à la vicitme immédiate et donc non
transmissible, ca a été abandonne en 2000 ce c jacquie.
De même les organismes qui ont désintéressées la victime sont subrogés à elle, le droit à réapration
leur est transmis, peuevent agir à la place de la victime et ce contre l’auteur du dommage= action
subrogatoire.

B) 2ème problème : le préjudcie par ricochet


C4EST CELUI subi par les victimes secondaires. C’est celles qui subissent les conséquences
dommageables du dommge subi par la victime immédiate : la perte de revenus. La réparation
des pj par ricochet est admise, à une réserve près : c’est que la situation de la victime par
ricochet dépend de celle de la victime principale. Autrement dit si elle est dans uenes situation
qui ne permet pas de réparer le pj principale ou si (1h 20) alors…

L’existence d’un lien juridique….

Troisième heure :

Les préjudcies évolutifs :


-Le fait que l’ ampleur exact du préjudcie ne soit pas connu ne fait pas obstacle à ce qu’il soit un
préjudice considéré comme certain. Ceci pour pls raisons : il est possible de ré-evaluer sa
demande en cours d’instance. A cet égard elle peut dm au juge d’ordonner l expertise au….
( 1 :44 :10 ; certes le juge peut refuser l expertise mais il ne peut statuer tant qu il n a pas inviter
le requrnt à chiffrer la demande : ce sect mme guerault 1989.
-Le requérant peut en appel accroîte es prétentions en fonction de l’évolution du préjudice. Ce
1956 Ville de paris et urpac. Soit autre hypothèse ou o peut dm augmentation en appel des
prétentions : cst l hpithèse de decouverte d un nveau pjdice CE1998 Lisière.
Evidemment l’admin peut aussi plaider pour une diminution du montant ( pour le défendeur) de
sollicite rune baisse de sindemnités mis a charge a raiosnde evluton du pjdice dans un sens
favorbale à la victime ou de la disparition de ctns préjudices.
C° la presomption de préjudice
En ppe ,cst à la victime de prouver l’existence de son préjudice. Et il faut dire que contrairemnt à
la faut eou à la causalité pendant très longtemps, on n’a pas eu en dt frs de présomptions de
pjdices. Jsq au début an 2000 on n econnaissait pas trop présomption de pjdice, en ce moment
ca existe mais dans des cas relativement rares. D’abord on a comme hypthèse le prjdice moral
résultant d’une durée excessive d un procès) cadre de jp maggira) est présumé : arret CE blain
2007. Depuis d’autres hypothèses, pjdice moral résultatnt d une atteinte au droit à l’image. De
même encore et là on n a pas presomption simple scomme les deux premieres mais
irrefragables, presomptin irrefragable d atteinte à la dignité de la personne humaine du fait des
conditions de detention d un détenu CE 2015 Langlet. Enfin dernière exemple : est egalement
presume de manière irrefragable la souffrance morale resultant d un accidnt médical consécutif
d un défaut d information du patient CE 2016 CHAMPEAUX.

Iii° Le préjudice évaluable en argent


Est nécessaire que le motnant du pjdice puisse etre chiffré en argent  : ca s explique par
la circonstance que la réparation du pjdice se fait prsque tjrs par équivalent ie le
versement d une somme d’argent, soit sous forme de capital, soit rente. Ca n est
qu’exceptionnellemnt que la réparation en nature est admise. Tdnllmnt le juge l admet
mais a titre facultatit ie sous forme de choix laissé à l’administration ( le juge peut lsq il
condamne l admin lui laissr le choix entre payer d int ou répéareren nature). Dpeuis arrêt
CE 2015 Baey les choses ont changé : en effet cet arrêt admet que le juge de la
responsabilité puisse user de ses pouvoirs d’injonctions pour ordonner à l’auteur du fait
dommageale d’y mettre fin au fait générateur causant préjudice ou d’en pallier les effets.
Certains peuvent dire que mettre fin a la cause du pdjce n efface pas le pjdice causé dans
le passé, et ça seule une smme d’argent peut le réparer, pourtant le juge considère cette
injonction comme une réparation suffisante. Simplement, l’usage de cet Jp BAEY
SUPPOSE DEU XCONDITIONS/ 1° que la cause du préjudice ie le fait génrateur exste
toujours ; 2) Ca ne fonctionne qu’en matière de respponsabilité pour faute ie l hypotèse
où le ocmportement de l’administratoi es tuncomportement blamable , defectueux
auquel le juge peut légitimement mettre fin ; dans le cadre d une resp sans faute le juge
n a aucune legitimité à mettre fin ( 1h 57min) …
Ca pose deux questions :

A) La nature du préjudice
Selon leur nature ctns préjudices sont plus ou moins facilement évaluables en argent . Pourtant
ajdhui le JA admet l egal réparabilité de spjdices matérielles et de spjdices moraux.

1) Prejudices matériels
Sont le plus facilement évaluable en argent, dommage aux personnes décès , blessure,
invalidité, perte de revenus ; ce sont également des dommages aux biens : desructions,
deterioration, perte de valeur vénale… Pour les préjudcies corporels , le CE depuis début an
2010 applique la meme nmenclature que celle employée par le juge jud celle d’Intillac qui es
tplus fournie que celle que le JA avait personnellemnt élaborée.
2) LES PJDICES ORAUX
Atteinte aux sentiments donc plus difficlement évaluables en argent. Cepednant, certains ont
toujours été cosidérés comme réparables en argent par le ja. Ex : aont tjrs été réaraés atteinte à
l’hnneur ou aux dts moraux, le pjdcie esthétiuque, les divers troubles dans les conditions
d’existence, l’obligation de changer de mode de vie, l’obligation de renoncer à ctnes activités ou
ctnes loisirs car invaides, fin de l avie sexuelle car désormais impuissance ; d emême
l’impossibilité de se préparer à l’eventualité d un préjudice en prenant des disposition
spersonnelles : ex un cas ou on admet indemnsiaiton du pjdic mroal lié à la stérilité d un homme
suite à ne interventio chrgcicale car il n a pas été informé des risques sur la possible infertilité , il
aurait aimé congler aant des gametes pour insemination.

En revanche ctns pjdices oraux étaient tdtnllmnt cconsiérés comme non réparables :
-la souffrance physique
-la douleur morale ie la peine liée à la perte d’un être cher ou l’angoisse ie peur d etre atteint un
jour par la maladie ( ex exposition à radiations ptt un jour cancer mais ptt pas … ).
Pour ceux-ci l adage « les larmes nne se monnayent pas » était apliqué, ce qui était d autant plus
choquant car son homologue udiciaire lui l admettait. Sur la souffrance physique le CE acceptait
de les idnemnsiait si elles etaint excepitonnelles. PUIS ce 1958 grimi : le ce a accepté
d’indemniser toutes les souffrances physiques.
Il a été plus réticent pour douleur morale mais depusi CE ass 1951 consort le tisserand la douleur
es tégalement indemnisée par le juge adinsitratif. PEUT ON DIRE QUE LA SITUATION EST
IDENTIQUE DEVANT LES DEU XORDRES DE JURIDICTION, En théroei oui en pratique pas tout a fait
car le ja a tendance à etre mins génreux su r l appreciation de la douleur morale, et puis retient
souvent uneevaluation forfaitaire ie dépednant de la proxiité familiale et non des sentiments
reels ( on perd un parent eloigne dans l arbre genealogiue mais qu on aime bcp on sera peu
indemnisé).

A) Le mode d’évaluation du préjudice


Trois choses ici :
D’abord le princip est celui de la réparation intégrale ie tout le préjudice doit etre indemnisé. Ca
signifie à contrario que seul le pjdice doit etr eindemnis ; la viitme ne doit pas etr eindmenisée au
dela du montant réel du préjudice. Cette règle ne fat pas obstacle à ce que soit pratiquée une
éaluation globale des différents hefs de pjdce ou au contraire que soit pratiquée une évalutation par
chef de prejudice ( evalaion détaillée). Bref il faut que ce ne soit ni en deca ni au dela mais egal le
montant ttal de l indemnité à la valeur du préjudice.
Il peut néanmoins arriver que des textes retiennent des solutions différentes : par eemple en
plafonant le montant des indemnités ou prévoir un forfait d epension ie ctns prejudicces seont
evalues de manière forfaiaire et non pas reels. Néanmoins ces textes sont appréciés de manière
assez souples par le juge qui en particulier considère de manière recurrente que les forfaits de
pension ne concernent que le prejudices mentionnés dans le texte et ne concernent ( 2 :12)

Le juge peut par ce canal contoruenr le texte relatif aux forfaits de pension en qualifiant le pjdcie de
sorte a ne pas le faire entrer dans le forfait.>
Il convient d indiquer qu une personne publique ne peut etre ocondamnéer à payer ce qu elle ne doit
pas CE 1971 Mergui. Autrement dit elle ne peut etre decarée debitrice d un pjdice qui ne xiste pas ou
condamné à payer une somme excedant la somme d u pjdice existant.

-Concernant l evalutation du montant brut du pjdice : ceci se fait par de sméthodes et à des dates
différentes selon la nature du pjdice. La jp du CE depuis 2 arets de 1947 ass distingue les dommages
aux personnes et les dommages aux biens. Pour les dommages aux ersonnes cst l’arrêt denombri et
sont évalués à la date de la fixatin de l indemnité ie a la date du jugement, soit on tient cmpte de l
ecoulement du temps dpeui sle moment ou l epjdcie est apparu. Pour les dommages aux biens , ce
contre veuve pascal, ils sont evalues en ne prenant pas encompte l’écoulement du temps : ie cst au
jour de leur survenance.
- Dernier point : la qustion des corrections apportables au montat brut du préjudice : ca peut etre des
déductions :peuvent etre deduits du montant de l indemnité les somme sdeja indemnisés par d autre
procédés : ex secu socales, assurance. De même encore les plus values : il peut arriver que les
conséquences d’un meme fait sont ambivalentes : prejudiciables d un cote mais source de plus
values en d autre aspects. (2 H 18 :25)
Au terme de ce raisonnement il apparait possible que le juge das CE AVIS HOFFMAN grieman ( à
propos deportation juif) : certes l’Etat était responsable de la pdéporttion de sjufis pdt l occupation
mais quil n a plus a verser de nouvelle sindemnités des lors que par le passé a déjà pris mesures
suffisantes de compensation des pjdcies materielles et oraux subies (2 :20 :10.
Egalement on peut pratiquer des majorations : cas des intérêts de retard ( ici le ja applique les art du
code civil). Ainsi le JA peut ajouter des intérêts moratoires des art 1231-6 et 7 du code civil, ceux uqi
retard le retard du paiement des domm et interets ; et appliques interets ompensatoires des articles
1231-6 al 3 :compense la mauvaise vojté de l adin à payer.

Paragraphe 2 : Les exigeces valables pour la resp sans faute


Mr voudrait dire les exigences valables pour ctnes resp sans faute à savoir les resp traditionnelles
pour risque et pour rupture d egalité devant les chagres publiques, pas pour cas de la responsabilité
objective, elle ressmeble a une resp pour faute, on y exige pas que le pjdcie soit special ou anormal
alors que dans les deux autres on lexige.
-Un pjdice spécial cst un pjdice qui ne concerne qu un nb limité de personnes, idéalement une
personne seule ou qlq personne seulement, autrement dit plus le pjdice est largment partagé et
moins il sera largment indemnisé. Une telle exigence es tinhérente à la notin de rupture d eglité
devant les chafres publics car (2 :24 :3)
Mais aussi d emnaière oisn evidente à celle de risuqes car l adminstation est resp qd fait courir a
risques spéciales à ctns admninistrés.
-Un pjdice anormal est un pjdice grave : autrement dit cst un pjdice dont le montant

dépasse les aléas noramux ou les sujétion snormales de la vie en société. ( 2 :26 :00 jsq à end).
Dernier cours du 14/04 :

A)) PR2JUICES NON réparables à raison de leur nature même :


Sont peu nombreux : on en citera deux :
1) La vie 
Ce CHR DE NICE contre époux carez avait jugé que la vie elle-même ne saurait jamais constituer
un préjudice ni pour l’enfant ni pour les parents, quand bien même l’enfant était né handicapé,
voudrait il meux ne vivre du tt ou vivre une misère, aussi misérable que soit la vie, ce n’est jamais
un préjudice. Sur c epoint, la cour de cassation avec époux perruchen’a pas été d’accord du tout,
elle a estimé que la vie était réparable. Finalement c’est la loi qui a tranché : Loi du 4 03 2002 qui
reprend la position du CE en indiquant que nulle n epeut se prévaloir d’un préjudice du seul fait
de sa naissance. Cela vaut ppour l’enfant mais également pour les paretns : la naissance de
l’enfant même non désiré n’est jamais un préjudice réparable : CE ass 1982 Mlle HERR : la
naissance d’un enefant suite à l’echec d une IVG ne peut être indemnisée. Il est clair que cs’t la
vie lele mm qui n est pas un pjdice, les conditions de la vie elles peuvent onsttuer un pjdice  ; ON
A PAR EX L4ARRËT DU ce 1989 Mme KARL A estimé que si l’enfant né mutilé suite à l’echec de
l’ivg ou d une quelconque opération médicale, la mutilation -le handicap lui est indemnisé.
Egalement les troubles dans les conditions d’existence sont indemnisées, la douleur morale aussi

2) Les servitudes d’urbanisme


3) La loi prévoit que les servitudes d’urbanisme ne sont pas indemnisbales L-160 CODE DE
L4URBANISE ; Ici ce sont les pjdices consécutifs au changement des règles d’utilisaiton des
sols. On pense aux cas où le terrain auparavant constructible devient inconstructible suite à
un changement du plan de ‘urbaisme : pjdice énorme car u terain qui valait une fortune puis
plus de construction posssibe : et bien ça cst non indemnsiable. En effet les csquences
financières pour la commune serait désastreuse et lourde si elle devait indemnisé les
proprios a cchaque fois qu elle change les regles d urbaisaiton, d utilisation du sol.
Néamoins CE sect 1998 touziers , on a quelques exception : tout d’abord si le changement de
la règle d’urbanisme emporte un changement de modificaiton de l’état des lieux ex
obligaiton de détruire là y aura indemnsiation. Deuxième hyotuèse cst l’atteinte à des droits
acquis : ex hypothèse où le changement de regles durbanisme impiquerait le retrait des
autorisations d urbanisme déjà utilisé… ex retrat autorisation de construire..
Enfin dernière hypthèse, si de manière exceptionnlelle les srvitudes d urbanisme font peser
une charge spéciale et exorbitante hors de prportion avc l’objectif d intérêt général
poursuivi. ( onn pense que cst dans l intére gé u on change les regles d el rbaisme mais au
fait ca entraîne des pertes énorme en milliers d euros par ex pour l administré alors là ca
peut etre indemnisé).
Paragraphe 2 : Les préjudices non réparables e raison du contexte
Il y a de shypothèses om le comrtement même de la victime fait qu’elle s’est placée dans une
situation qui exclu le dt à réparation. De quoi s’agit-il ?

1) L’exception de précarité :
Hypothèse où on place l’administré dans une situation précaire et il le savait. Il ne peut donc
pas prétendre à indemnité lorsque cette situation prend fin conforméméent aux attentes
12min….

Ex : l’agriculteur à qui les deux parcelles sont sépareés par un cehmein de fer mais à très
faible circulation, l’admin a toléré qu il traverse le chemin de fer avec son truc motorisé, mais
le trafic ferroivère s etant accru sur cette voie, l’addmin a cloturé la voie ferre puis plus
possib=le pour lu de passer, certes y avait tolérence un ctn temps mais voilà cst fini, vous
n’avez pas à vous ne plaindre.

2) L’exception d’illégitimité :
Hypothèse où la victime se place dans une situation illégitime ie illégale, elle ne peut pas
alors etre indemnisée des dommages qu elle peut subir du fait des illégalités dans
lesuqlelles elle s’est elle-même placée. Y a ici une application de nemo auditor «  nulle e
peut se prévlaoir de sa prore turpud » » autrmeent dir soit lsq l admin realise lillegalité
de la situation et il y met fin, le prejudice n est pas indemnisable CE ass 1938 cgnie
générale de gde pêche : à propos de l atteinte portée a la contrebande par une nouvelle
règlementation 16min . Soit une seconde hypothèse où l amdinstraton ne réalisant pas l
illégalité de la situation ne la supprmime pas ce qui engendre un dommage pour celui qui
s y livrait et cela expose celui qui beneifciait de la situaiton à des pjdcies, on peut citer ce
sect 1980 sarl 5 7, à propos d’un ffait divvers qui a fait parler à l’époque «  incendie
dancing saint laurent », le dancing a brulé y avait eu 40 morts . Il s est avéré que
l’expkloitant du dancing a été condamné à indemniser les victimes,surtout que son
établissement a mqnué à bcp de regles de sécurité, puis ensuite il agit en resp contre l
adminn au titre de ses activités d epolice et de contrôle en estimant que l’amdin aurait
pu le controler davantage et l’alerter sur le mauvais fonctionnement de son illégalité, le
juge répond fort sèchement à ce mr que ans les cironctanxs de l’espece comme il a tout
fait pour échapper au contrôle, qd bien mm l admin n aurait pas été tres vigilante dans l
accomplissemnt des ccontorles, le pjdcie subi par cet occupant n est pas réparable.

3) L’exception de risques accepté

Hypothèse om l’administré se place volontairemet dans une situation dont il sait qu il se place d ans
une situation dont il sait qu elle peut l exposer a des dommages car il s agit d une activité risqu  »e. Il
n epoorura pas se plaindre si le risque se réalise ne pourra soliciter indemnités si le risque se réalise :
ex arrêt Meunier ce 1996 à propos d un commerçant qui avait installé son commecrce dans un site
fragile alors qu il n ignorait pas les dangers d eboulement qui pouvait affecter ce site, il ne pouvait se
plaindre de ce que l admin par soucis de sécurité puisque sujjete à des eboulemnts le site donc
dangereux, a fermé son etablissement. Ona aussi qlq qui s installe déliberemment près d un dépôt d
ordure par ex et se plaind après : pas indemnisbale, ceci s etent à tous (22min 10) .

TITRE 2  : Les régimes législatifs de responsabilité


Régime qqui relève de deux philspohies soit la responsabilité ( régimelégislatif qui fait bien peser
laréparation sur l auteur des des faits) ais ctns régimes sont de solidairté qui releve d une logique
assurantiel et qui désige une personne arbitrairement qui n’est pas l auteur des faits pour
indemniser.

Chapitre 1er : Les régimes de responsabilité dérogatoire


Section 1ère : Régime attribuant compétence à la jurdiction administrative
Ici il n y a que le fond du droit qui varie, le juge admin reste tjrs compétent pour juger.
1) Le premier cas : la responsabilité du fait des rassemblements et attroupements :
Régime assez ancien car le premier régime en la matière date d’AVRIL 1914 : resp du fait des
rassemblemets et attroupements. Ceci dit, le régime actuel n’’a rien avoir avec le régme initial,
bien que reste tjrs régime spécial : on est passé d un rég de resp de l acommune devant le juge
judiciaire à une responsabilité de l’ETAT DEVANT le JA. La réforme est survenue en deux temps  :
1983 loi du 7 janvier de cette année qui transfère la repsosnabilité de la commune à l’Etat ; et le
transffert de compétence jurdicitonnel : loi du 9 janvier 86. RQESPONSABIIT2 DE L4Eta s est
opéré car la charge financière pesant sur les comune a été jugée rop lourde pour elle. Quand au
chengement d ejuge, on craignait en 914 que le ja N’atait pas assez géénreux avec les victimes,
mais ces réticences sont aujourd’hui levées. Le point commune qd mm entre les deux régimes
est qu’il s’agisse dans les deux cas d un régie de responsabilité sans faute. POUR QUE LA
REPSONSBILIT2 DE L4Etat soit engagé, il suffi que les trois conditions pérévues par la loi sont
remplies :
a) que le dommage résulte du comportement, d un attroupement ou d’un rassemblement ie un
regrupement non organisé de personnes qlq soit d’ailleurs son but, autrement dit ca exclue
les actions prémedittées menées par des commandos : jp des agriculteurs qui se regroupent
en commando devant supermarché, ct organisé donc pas attroupement mais
rassemblement ; de même les actions de goupes teroristes qui savent bien ce qu ils font ; de
mêe les actions meneées par des gpements de malfaiteur hold up braquage en schat qu y a
des cas limites ex le ce a eu à se prononcer dans un arêt SECT 2000 AGF où le conseil a statué
sur le cas des dégats provoqués en banlieue par des élites urbaines, le ce a admis l
engagement de la resp de l etat en considérant que les dégats causes l ors d emeutes
urbaines ( dégradations de meulemen() étaient imputables à des attupements ou
rassembleemnt ayant dégénérés.. ( 1min ).
Il faut aussi que l’action doit avoir été commise cllctvmenet sans possibiité d isoler l action de tel
ou tel membre

b) Que les actes en cause soit qulifiés de délits ou de crimes par le droit pénal.
c) Que le dommage soit la conséuence directe et certaine du comportement du rasseblement
ou attroupement. ON pense ici aux dégats métériels mais le ce a egalement estime dans Avis
1990 kofiroute ue des pjdices commerciaux pouvaient également être indemnisés à ce titre,
s’agissant ici de l’olbligation pour une sté d autoroute d elaisser passer gratuitement les
usagers du fait d attroupements ou de rassemblements.

PAR CONTRE contrairement aux hypthèses de resp sns faute classique , ici on n exige pas que
le pjdice soit anormal ( ? 5min) et spécial. Peut ca va de soi ca l anormalité dans les
destructions et tout. Il est bien difficile d’identifier les auteurs réels des faits, la victime peut
éprouver qlq difficultés à les prouver devant le uge ju( 6min)

On a aussi ( 7min 10)

Des hopitaux du fait des infections nausocomiales. MAIS C’est un régime de resp sans faute
assez inclassable, s il faut la ranger dans les typolgies, ce serait resp pour risque car qd on
entre à l hopital on sait qu y a de s bactéries qui y circulent, mais on ne peut parler de danger
car ce serait excessif car justement il est hopsitalisé pour ne pas courri un danger, ni absence
de profit, ni garde, aucun ne peut etre remobiliser. Donc des lors qu on contracte infeciton
nausociomial à l hopital on a resp sans faute. Mais la loi pose presomtion de causalité, la loi
dit que qd on entre à l hopital noramelemnt et qu on y sort avec maladie, on dit que voilà on
a attrpé infeciton nausocomiale, présomption simple par contre e tl hptal peut prouver que
ce n est pas une infeciton nausocomiale.

On a aussi la resp du fait du décès d un détenu causé par des vilences cmmises par un autre
détenu : loi 24 11 2009 qui institue ici une resp sans faute de l’Etat qd par ses vilences un
détenu cause la mort d un aute détenu : ce mme chabba. Il faut retenir de cette loi une
conception littérale, ca ne s applique que lsq les faits gnréateurs du dommages sont des
violences commises par un détenu et que le dommage réusulte en la mort d un autre
détenu.

Section 2 : R2GIME ATTIBUANT COMP2TENCE 0 LA JURIDICTION JUDICAIRE ;


Qcq peut expliquer le fait que ce JJ peut connaitre des affaires liant la resp de l’admin.

Paragraphe 1 : La séparation des pouvoirs


Ex : LA RESP du SP de la justice judiciaire. EN effet la séparaiton de spouvoirs epeche que la
dysfoncitonnement de la justic ejudiciarie soit jugée par le juge administratif ; ON a une loi qui
organise cette responsabilité (fin deuxieme enregistrement) ct limité aux seules hypothèses de
dol du magistrat, concuscient ou déni de justice. Ajd ca s applique encore aux magistrats non
professionnels .
JSQ 0 3 30 MAIS l ass l=plen 198 mme baule veuve larche : affaire petit grégory : l ass plen de l
acour de cass va retenir de la faute lourde une déf qui s aligne sur la déf de la faute lourde
donnée par le JA. La faute lourde ainsi acquise est réellement une faute lourde donée par le JA.
LA LOI DE 72 PR2VOIT UNE AUTRE PARTICULARIT2 CST LA SUBSITUTION SSTEMEATIQUE DE LA
RESP DE L 4Etat à celle du magistrat . Autrement dit, il n’exise pas dans la loi de 72 de régime de
faute pesonnelle qui permettait à la victime d agir directement contre le magistrat auteur d une
telle faute.

Parragraphe 2  : LA COMP2TENCE FOND2E SUR LES COMPETENCES NATURELLES DU JUGE


JUDICIIAIRE
1) PROTECTION D EL ppté privée etd ela liberté individuelle : ex le régime de responsabilité mis
en place par l’rart 136 du code de procédure pénale qui prévoit que le juge judiciarie est
compétent pour connapitre des action sen responsabilité dirigée contr l’administration lsq
elles sont fondées sur des fats constituitfs d une atteinte à la liberté individuelle au sens du
dode pénal. Pour e dre très clairement, arrestation , détention arbitraire o u=u encore d
eviolation de comicile : qd on pousuit l adminntration pour ces chefs, cst de la compétence
du juge judiciarie.
Du point de vue du fond, cst un régime de droit commun qui s’applique car l’art ;;

PARAGRAPHE 3 : La copétence fondée sur l’unification du contentieux

La resp admin n est pas constitutionnellemnt reservée au JA en vertu de la constiuttion, la loi est
parfaitement libre de donner copétence au juge judicaiire sans devoir à s’en justifier. Il n’empêhc qu
eparfis elle s en (10min 30 ).

ON a un exmeple : loi du 31 12 1957 sur ls dommages causées par les véhicules : avant 1957, le
contenteux était réparti sleon que le véhicule en cause était un véhicule privé ou un véhicule de
l’administration. La loi du 31 12 1957 a mis fin à cette division psq elle préboit que les ontentieux des
dommages causées par des véhicules est entèrement causée à la jurdiction judicaire même si ces
véhicules sont la ppté de l’administration ou sont utilisées par elle. La loi va jusqu’ à dire qu’en pareil
cas on applique le dt privé, donc copétence du juge judicairie+application du code civil. LA QUESION
PREMEIR7RE EST DE savoir ce que cst un véhicule au sens de la loi de 1957  ? Si on veut synthétiser la
jp  un véhiule au sens de la loi de 57 cst otut engin susceptible de se déplacer sur terre, sur l’eau ou
dans les airs par des moyens propres, en plus pas nécesairement motorisée( don cmotricité propore
= deuième condition), ex une charrette , une brouette est un vehicule, un attelage, une bicyclette,
lamotricité propore n es tpas seulemnt due à un moteur. Il faut encore quil ait une vocation noramle
à se déplacer cst don cla troisième condition : (il faut qu il ait pour vocation ppale de se déplacer ce
qui exclu obe=et doté de dispositif destinée à faciliter leur manitention et non leur permettre de se
déplacer sur e longue distances ainsi tondeuse à gazon n est pas véhicule, les contenurs d ordures
ménageères non plus même montée sur roulette : ca a vocation à ailiter la manitention). Eenfin une
dernière ondition : qu il soit dissociable d un ensemble fixe , ce qui exclu par ex ascenseurs et monte
harges, par contre les bacs qui traversent lacs ou fleuves osn tbien des véhicules mme si attachés ) un
cable ou circule ( 17min15)
1ère limite : la loi de 57 nempech epas la victime d agir le cas échéant su rd autres fodnements que la
loi de 57 et eventuellemnt devant le juge adminsitratif. On pense à qlq exemples :: les action sen resp
extra conctractuelle, de même la victime peut préférer agir sur le fondement de la colaboration
occasionnelle si elle est collaboratrice occasionelle au SP ; le défaut d entretien noral du sp si elle est
usager d un ouvrage pubic mal entretnei ex on fait accident mais psq la route était mal entretnee et
ca a fait quiiter le trajectoire du véhicule ;; ou bien encore déffaut d’organisation ou fonctinnement
défectueux du SP : arrêt à propos d un accident subi par un eleve alor qu il prenait le bus scolaire
( 2min) ; aussi y a l hyptèse des dommages de travaux publics lsq les véhicules n ccupent qu une part
dans la réalisation du dommage, autrement di tlsq le dommage est davatnage imputable a un
eopératon de travau publics dans son ensemble et non pas specialement ou a la seule intervention d
un véhicule TC 2001 Commune de Courdimanche. ( 3min 30)

Troisième excption : la faute personnelle du conducteur : Ce comportament du conducteur est


caractérisable comme une faute personnelle, cst lui qu ilfaudra poursuivre devant le juge judiciare.

Paragraphe 4 : la compétene fondée sur des raisons d opportunité :


La loi peut déroger à la compétence duJA pour de sipls raisons d oppoorutnités psq le JA sera
considéré comme trop peu génréeux a l egard des victimes. Un exemple : loi du 5 avril 1937 à propos
des actions ne responsabilité dirigée contrl Etat à raison des accidents scolaires et donc compétence
du juge judiciaire et d’ailleurs codifié a art L911-4 code de l education. Cette loi toruve a s appliquer
lsq un eleve de l enseignement primaire ou secondaire, autrement dit pas supérieure ; ensigneent
=public ou privé sou socntrat d associaitons. De tels élèves placés sous la surveillance soit d un
membre du prsonnel de l enseignement ( un enseignant, soit d un surveillant agent sous ce ême
service, soit pendant la scolarité ie pednant les heures de classe ou en tout cas heure de présence
dans l’établissement evidmment la récré ca compte aussi, soit hors du temps sclaire ais a l occasion d
activvité sclaire ex activiétés sportives ou sorties scolaires , soit l eleve est victime d un dommmage
car par ex a ffait un betise soit il cause undommage après etre echappée du sruevillant, l’action sera
alors diigé contre l’Etat devant le juge judicaire. Je précise ici que comme pour les magistrats, l’Etat
est automoatiquement subsittué à l’enseignant ou au surveillant déaillant, autrement dit au stade d
el obligation a l ad ette y a pas de possibilité de mettre ne cause personnellemnt la resp de l’agent,
du sruvellant, de l’ensiegnant meme en cas de ffaute personnelle de celui-ci ; mais ca n empehe pas l
Etat codnamné de ce retoruner contre l’agent au stade de la contriuh utoon à la dette ay oyen d une
action récursoire. PAR CONTRE 0 LA DIFF2REC+NCE DU CAS DES MAGISTRATS CETTE ACTION
R2CURSOIRE EST PORT2S DEVANTLE JUGE AMDINIISTRAITF ce 2007 MIN EDUC NAT CONTRE
KRUGGER/ LE JUGE COMP2TENT N ES TPAS LE même entre action récursoire et action principale : ca
s explique pr le fait que la loi de 1937 n a pas préu la copétence du jjud contrairemnt à loi de 72 qui
préoit que aviton recursoire est portés devant juge judiciare, donc on applique lttéralement la loi.
Ceci montre bie les dangers d employer la loi, on n est jms a l abri d une malfaçon législative.

CHAPITRE 2  : Les régimes de solidaarité


La notion de solidarité relève d avantge d un elogique d assurance plutôt que d une lgique d
erpnsbailité puisqu elle conduit à désigner un débiteur ici l’ETAT qui n’est pas l auteur du dommage.
Et donc c’st l’Etat ou bien des fonds d’indemnisation qu il a institué et queul il a pu donné la
personnalité juridique qui ont le statut d etablissemnts publics. Ce qui n empevhe pas qu il soit des
lors surbogé à la victime pur agir contre le responsable réel. DES LORS QU IL S DESINT2RESES LA
IVCITM ILS SONT SURBOG2S A ELLE ET RIEN NE LES EMPECHE D ENGAGER ACTON subrgatoire contre
le responable réel.

Les arguments pour la solidarite : ce régime est avantageux pour la vicitme qui n a mm pas a
rechercher le repsnsble. Ni a prouver l exstence d une faute dans le cadre de resp pour faute : il suffit
de prouver l eistence et la cause du préjudice, sachant que parfois la causlaité est présumée. Des lors
ces trois éléemnts possibilité de soliciter indemnisation ;
- D un pov moral, ces mecanismes permettent de donner solution satisfaisantete à des
contentieux de masse ( ex contamniation de maladie) et qui interessent souvent un nb
important de personnes. On parle d’ailleurs de risques sérielles. De tels méccasnismes de
slidarité ne sont pas contraires a l esprit de la constitution, car on peut les rattacher a l al 12
prémabule« solidarité des rs devant les charges qui résultent des calamités nationales » donc
l’Etat quoi, ca peut se fare grace à l impot.
Incnvénients :
-CCa engendre n certain relativisme. AuAutrement dit une certaine indifférenciaiton sur la rectidue
des comportements, soit peu importe qu on ait bien u mal agi, on sera traité de la meme façon on
paiera. A cela s ajoute un aspect frustrant pour la vcitme qui est certes indemnisée mais ne oit pas de
responsables désignée pour son préjudice ( la aute à perosnne, prenez votre argent et voilà) .
Le mécanisme de slidarité est parfois u nprocédé bien commode poir des dommages ou on a pas les
lmoyens ou pas l’envie d identifier les auteurs.
- ENNSUITE ils osnt onéreux pour les fonds publics alors mm que l’Etat n est pas
nécessairement respoonsabel du dommage qu il répare, rn cair il pae pour atrui, ce
mecanisme méonnait le ppe sleon lequel l Etat pne doit pas payer une somme qu il ne doit
pas .

Section 2 exemples :
Paragraphe 1 : dommages dûs à ctnes infractions :
Loi 3 janv 1977 qui a crée régime special d indemnisation pour la réparatin de dommages causés par
ctnes infractions. Deux séries de dommages concenées : infraction ayant entrainé ùmort de la
victime ou interuption de travail supérieur a un mois ou attentats aux mœurs et infraciton s sexueles
- Deuxième série : vovl, escroquerie , abus de confiance lsq on n a pas pu les indemniser de
manière suffisante et effective par leur auteur et que la victime se trouve dcp dans une
situation matérielle ou psyholgique grave ;
Deuxième régime : loi de (26 min) de 9 09 1986 sur l indenisation des vicitmes d acvte de
terorisme : soit les vctimes d attentat commis en France soit les frs victmes d attentas à l’étranger.
Paragraphe2 : Les dommages médicaux
Loi dede 31 12 91 : régime spec d idemnisation pour les victimes de sida suite à une transfusion. A l
origine cette indemnis était confiée à un fonds dindemnsisation spécial. Des victiles du sida, mais
une loi du 9 8 2004 l a supprmée et a transféré ses compétences à une organisme : ONIAM.
LA LOI DE FINANCEMENT de la sécu sociale de 2001 a crée un fonds d ndemnisation des victimes de
l’amiante. Donc tous les travaileurs ( 29min

-troisième meécanisme : loi 4 3 2002 qui a prévu un régime de réparation des accidents méducaux.
Dans toutes le shypoyhèse snous dit elle où la repsnsabilité des etablissmeents de anté ne peut pas
etre engagée, soit psq le soncditions d negamgement de la resp ne sont pas remplies, soit psq le
responsable est défaillant ou inexistant, donc ne peut pas réparer . Deuxième condition pur que la
resp ne puisse etre engagée : que les dommages soient anormales par rapport à l’état de sante du
patient( donc pas tous les dommagss médicales qui sont indemnisés). Cette réparation est assurée
par l’ONIAM, dont les décisions peuvven tfaire l’objet de contentieux adminsitratives. A propos de l
oniam qu elle tend à ressmebler à un couteau suisse car diverses lois lui on tocnifé la resp de ctns
fonds d indensiation : les vaccinatiions obligatoires deuis la loi de 2002( l oniam doit indemnisé les
victimes de vaccins bligatoires depuis ette loi) ; de même l oniam indemnise les pjdices résultant de l
acontamnation par la maladie de freusletez jcb suite à l’injection d hormones de croissance loi du 30
12 2002 :; egalement indmnsiaton de la condamnistation par l esida suite à une transfusion
sanguine ; egalement indmnise la contaminatio par les hépatites b et c suite à une transffuson
snagune (loi du 7 12 2008) ; aussi les victimes de mesures sanitaires d urgence notamment les
victimes de l acontamination contre les virus grippales H1N1. DE MËME les dommages causés par
ctns médicaments le médiator (bainfluorex) o encore la dépaquine ( loi du 23 3 2016) , bref on a l
impression que la compétence de l oniam se concentre autour de tous les scandales snaitaires du
siecel). Depuis une li du 5 1 2010 l’Etat indemnsie les victimes des maladies radio induites suite aux
essais nucléaires français. Depuis 2013 cette répraiton est confiée à un comité d indemnisation des
vicitmes des sessais nucléaires bref organisme special. Mais est ce vriament solidarité ? CAR CST L
ETAT QUI A FAIT EXPLOSE CES BOMES ? MAIS LA LOI DIT SOLIDARIT2 ET NON RESPONSABILIT2. L Etat
dit que je ne suis pas respnsable mais j indemnise qd mm ; on se damnde si en l absence d une telle
loi ce ne serait pas la respsabilité de l etat qu on engagerait, bref cst le reflet de l Etat à engager sa
responsabilité.

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