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A B
1 Ostéoporose. Radiographie stan- 2 Ostéoporose. Radiographies standards : il s’agit de deux patients présentant
dard : aspect globalement raréfié de la des tassements vertébraux étagés de la région dorsolombaire et lombaire sur fond de
trame osseuse portant essentiellement déminéralisation osseuse diffuse et homogène. Dans l’observation A, on retrouve
sur les travées horizontales avec res- des corticales fracturées au niveau de L3. Les tassements sont par ailleurs de type
pect relatif des travées verticales. biconcave et cunéiforme.
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Radiodiagnostic AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE 31-100-D-10
6 Hyperparathyroïdie. Radiogra-
phie standard : aspect de vertèbre
« sandwich » avec ostéocondensation
en bande sous les plateaux vertébraux
séparés par une bande centrale plus
claire.
Ostéomalacie [59]
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31-100-D-10 AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE Radiodiagnostic
Hyperthyroïdie [59]
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les séquences, et peuvent même redessiner les travées épaissies vues par
d’autres méthodes d’imagerie. Tous ces éléments permettent en général
le diagnostic différentiel avec, en particulier, le lymphome, les
métastases ou encore l’infection. L’IRM n’a en général pas sa place dans
le bilan diagnostique d’une maladie de Paget. Il est intéressant d’en
connaître les différents aspects car ils peuvent se rencontrer de façon
fortuite sur un bilan rachidien fait pour une autre raison. Le seul intérêt
de l’IRM réside dans le bilan en cas de compression médullaire.
Scintigraphie Scintigraphie
Elle est hyperfixante sur les lésions pagétiques et cela peut être un Elle est peu employée dans le diagnostic en raison de nombreux faux
élément du diagnostic, d’autant plus que d’autres localisations peuvent négatifs.
se manifester.
Tomodensitométrie
Tomodensitométrie Elle est elle aussi rarement réalisée. L’indication principale est la
Elle retrouve l’aspect fibrillaire et grossier de la trame osseuse et montre découverte d’une forme pseudotumorale. Le scanner fait l’analyse
mieux que les radiographies simples l’atteinte de toute la vertèbre, y précise des lésions, le bilan d’extension aux parties molles et peut guider
compris l’arc postérieur (fig 10). Le scanner peut être utile en cas de une biopsie à visée diagnostique.
problème de diagnostic différentiel, en particulier avec un angiome ou La tomodensitométrie peut aussi être indiquée devant des rachialgies
dans les formes ostéolytiques. avec tassement vertébral ou s’il existe un doute diagnostique, à la
recherche de microlacunes, d’ostéolyse du spongieux sans atteinte
Imagerie par résonance magnétique (fig 11) corticale ou encore de masse des parties molles paravertébrales (fig 14).
La corticale épaissie est en hyposignal sur toutes les séquences. L’aspect Imagerie par résonance magnétique
en « cadre » et l’élargissement du corps vertébral sont retrouvés. La
moelle osseuse reste en hypersignal T1, mais elle est souvent réduite en Elle est devenue l’imagerie de référence de la moelle et présente un
volume par l’épaississement cortical ou par des zones d’os en grand intérêt dans le myélome, tant par sa valeur diagnostique,
transformation fibreuse qui apparaissent alors en hyposignal sur toutes pronostique mais aussi pour le suivi évolutif.
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31-100-D-10 AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE Radiodiagnostic
A B
12 Myélome. Radiographies standards du rachis lombaire et du bassin : forme déminéralisante diffuse dont l’aspect est proche de l’ostéoporose banale.
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Radiodiagnostic AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE 31-100-D-10
Radiographie standard
On peut mettre en évidence une ostéolyse géographique par destruction
étendue de l’os spongieux qui peut donner à la vertèbre ou aux pédicules
un aspect « évidé », selon le siège de l’atteinte, en raison du respect
relatif des corticales. Ces aspects seraient relativement caractéristiques
du plasmocytome et permettraient le diagnostic différentiel avec les
métastases.
Toutefois, les vertèbres peuvent être soufflées ou au contraire tassées
(fig 17), d’aspect homogène ou avec cloisonnement : dans cette forme,
16 Myélome. Imagerie par résonance magnétique en pondération T1 et T2 : les foyers d’ostéolyse sont ovalaires, ils sont séparés par des zones d’os
piqueté « poivre et sel » lié à la juxtaposition de multiples petits nodules tumoraux et
de nodules graisseux. dense. Les plateaux vertébraux sont fréquemment conservés, mais les
murs latéraux de la vertèbre sont souvent effacés. L’atteinte pédiculaire
est très fréquente. L’aspect est plus rarement condensant.
d’autant plus caractéristique qu’il est retrouvé en T2*. En effet, en T1
il peut être difficile à différencier de l’hétérogénéité normale de la Tomodensitométrie
moelle osseuse du sujet âgé (fig 16). Elle montre mieux l’aspect évidé et permet une meilleure étude de la
Le signal de la moelle osseuse peut aussi être tout à fait normal, y corticale. Elle fait par ailleurs le bilan d’extension dans les parties molles
compris dans un myélome avec atteinte osseuse à distance. et l’espace épidural.
Ces constatations ont un intérêt pronostique majeur ; la constatation de
lésions en IRM ayant une valeur plus péjorative. Imagerie par résonance magnétique
L’IRM permet aussi de détecter des lésions susceptibles de menacer Certains critères sémiologiques particuliers sont retrouvés. Pour des
l’axe médullaire, parfois à un stade infraradiologique. lésions nodulaires de plus de 2 cm de diamètre ou des tassements
L’IRM permet aussi d’étudier les tassements vertébraux : dans le vertébraux, un aspect homogène du signal est évocateur de lésion
myélome, certains sont de type « malin », d’autres de type « bénin », les plasmocytaire alors qu’une hétérogénéité du signal, en particulier en T2
deux pouvant être associés chez un même patient. Souvent ces et après injection, est plus en faveur d’une métastase ostéolytique. De
tassements sont d’origine mixte, ostéoporotique et tumorale. même le respect relatif des corticales osseuses malgré une destruction
importante de l’os spongieux qui réalise, comme en radiographie
Dans le suivi évolutif, l’IRM peut aussi avoir sa place ; en effet il existe standard, un aspect de vertèbre « évidée » est lui aussi assez
une bonne corrélation entre l’évolution du signal et la réponse au caractéristique des lésions plasmocytaires. Toutefois, ces signes ne sont
traitement. pas constamment retrouvés et le plus souvent les images sont non
Enfin, devant une gammapathie monoclonale où les données cliniques, spécifiques (fig 18). L’IRM, comme dans les autres pathologies
biologiques, radiologiques et cytologiques sont discordantes, l’IRM vertébrales, permet un excellent bilan de l’éventuelle extension
peut aider au diagnostic d’éventuelles transformations en myélome. épidurale et des risques de compression médullaire.
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31-100-D-10 AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE Radiodiagnostic
19 Métastase ostéo-
lytique. Radiographie
standard : tassement
asymétrique du corps
vertébral de L4 avec
lyse du pédicule droit et
du bord droit de la
vertèbre.
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Radiodiagnostic AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE 31-100-D-10
25 Métastase. Radiographie
standard : on note une condensa-
tion du corps vertébral de D9 ainsi
qu’un tassement très important et
asymétrique du corps vertébral de
L1.
Radiographie standard
Il s’agit de taches denses, arrondies ou ovalaires, à contours mal définis.
Elles peuvent confluer et se localiser sur un pédicule, ou sur le corps
vertébral en lui donnant un aspect de vertèbre « ivoire » (fig 25).
Dans le cancer de prostate on peut observer une ostéosclérose diffuse
qui, modérée, peut passer inaperçue et, plus franche, peut simuler une
myélofibrose.
Tomodensitométrie
24 Métastase. Imagerie par réso- Elle retrouve mieux ces images et on en découvre en général un nombre
nance magnétique en pondération plus grand sur les radiographies standards.
T2-TSE : on retrouve le bombement
du mur postérieur mais surtout l’ex-
tension épidurale, responsable Imagerie par résonance magnétique
d’une compression médullaire.
Ces lésions sont en hyposignal T1, et d’aspect variable en T2 après
injection de produit de contraste : l’hyposignal peut persister (fig 26),
ou plus souvent on note une prise de contraste centrale. L’association
des deux aspects en T2 et après injection est fréquente et donne un aspect
« tigré » au rachis.
Métastases condensantes
Le cancer de prostate est le plus grand pourvoyeur de métastases Métastases mixtes
condensantes, mais 15 à 20 % des métastases du cancer du sein le sont
aussi. Il s’agit surtout du cancer du sein et du poumon.
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31-100-D-10 AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE Radiodiagnostic
Lymphome non hodgkinien et maladie 29 Hémopathie. Imagerie par résonance magnétique : infiltration massive de la
de Hodgkin [2, 14, 26, 37, 49] moelle osseuse sous forme d’un hyposignal T1 et d’un hypersignal T2.
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Radiodiagnostic AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE 31-100-D-10
31 Hémangiome. Radio-
graphie standard : aspect
peigné du corps vertébral de
L3 avec travées verticales
grossières.
fait qu’au stade d’atteinte discovertébrale, d’autant plus que les signes
radiologiques sont retardés par rapport à la clinique. L’IRM a permis des
diagnostics plus précoces, parfois au stade de spondylite (fig 30).
Cliniquement, il existe en général un syndrome douloureux rachidien
associé à un syndrome infectieux plus ou moins marqué, ce qui permet
d’évoquer le diagnostic. Une grande raideur rachidienne est souvent
retrouvée, certains tableaux plus bâtards rendent le diagnostic difficile.
32 Hémangiome. Tomodensitométrie : aspect pointillé correspondant aux travées
Radiographie standard grossières visualisées sur les radiographies standards.
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31-100-D-10 AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE Radiodiagnostic
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Radiodiagnostic AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE 31-100-D-10
35 Ostéoblastome.
Tomodensitométrie :
lésion à contours bien
limité par un liseré de
sclérose intéressant
l’hémiarc postérieur
gauche de D10 (collec-
tion du Pr P Baudain).
Radiographie standard
34 Ostéoblastome. L’aspect typique est celui de la vertebra plana. Il s’agit du tassement
Radiographies stan- antérieur d’une vertèbre déminéralisée qui déborde de l’alignement des
dards : lésions ostéoly- autres corps vertébraux. L’aspect peut se compléter par une
tiques soufflantes du
pédicule et de l’hémiarc condensation linéaire horizontale, centrale. Plus tard, le corps vertébral
postérieur gauche de se réduit à une mince bande de 2 à 3 mm de hauteur, dense, qui dépasse
D10 (collection du Pr P l’alignement antérieur des corps vertébraux. Mais le mur postérieur
Baudain). garde une certaine hauteur et dessine ainsi une image triangulaire. Dans
ces aspects typiques, il n’y pas d’atteinte de l’arc postérieur, les disques
Tomodensitométrie (fig 35) sont respectés et il n’y a pas non plus d’atteinte des parties molles.
Elle a l’avantage de mieux apprécier la matrice, les limites de la lésion, Dans les formes atypiques, le tassement est incomplet avec déformation
la réaction périostée et l’extension que ne peuvent le faire les asymétrique du corps vertébral ; si l’arc postérieur est atteint le
radiographies standards. diagnostic de granulome éosinophile doit être discuté. Des lésions
géodiques bien circonscrites à limites nettes se rencontrent assez
Imagerie par résonance magnétique (fig 36) fréquemment.
Elle montre un signal non spécifique, bas ou intermédiaire en T1 et Autres techniques
augmenté en T2. Elle permet l’exploration des parties molles et le bilan
intracanalaire. Comme dans les autres tumeurs, la tomodensitométrie et l’IRM
Le principal diagnostic différentiel est le kyste anévrysmal qui peut contribuent plus au bilan d’extension qu’au diagnostic.
présenter un aspect analogue. Les principaux diagnostics différentiels se posent avec les tassements
d’origine lymphomateuse : maladie de Hodgkin, LMNH.
Granulome éosinophile [13, 36]
Tumeur à cellules géantes [9, 35]
Il fait partie des histiocytoses X qui touchent surtout l’enfant. Un ou
plusieurs os peuvent être atteints. Il s’agit d’une tumeur rare touchant essentiellement l’épiphyse des os
L’atteinte rachidienne est retrouvée dans 15 à 30 % des localisations longs. Le rachis est rarement atteint avec une prédominance pour le
diffuses et 10 à 15 % des granulomes éosinophiles isolés. sacrum (6 à 7 %).
Le rachis dorsal est le plus fréquemment touché (54 %) puis le rachis Cliniquement, la tumeur se révèle par des douleurs radiculaires parfois
lombaire (35 %) et le rachis cervical (11 %). associées à des troubles moteurs déficitaires.
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31-100-D-10 AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE Radiodiagnostic
Ces aspects ne sont cependant pas spécifiques et peuvent faire évoquer – Parties molles normales ou petit hé- – Extension prévertébrale ou/et épidu-
un lymphome, une métastase ou même une ostéomyélite en cas de fièvre matome circonférenciel rale (fig 5)
associée. – Atteinte pédiculaire possible – Extension à l’arc postérieur
(œdème) (fig 2A)
Scintigraphie
Signal
Elle est hyperfixante, mais a surtout pour intérêt de rechercher d’autres
localisations. – Bande d’hyposignal parallèle aux pla- – Lésion nodulaire - atteinte complète
teaux vertébraux (fig 3) du corps vertébral (fig 4, 5, 6)
Tomodensitométrie – Hyposignal T1 localisé (fig 3) – Hyposignal T1 diffus (fig 4, 5)
Hypersignal T2 Hypersignal T2 (fig 5, 6)
Elle étudie mieux l’atteinte de la corticale et du spongieux. Vertèbre redessinée après injection Hétérogénéité y compris après injection
(fig 7)
Imagerie par résonance magnétique Atteinte incomplète du corps vertébral
(fig 1, 2B, C)
Elle permet de mieux explorer les parties molles et l’espace épidural, et
est utile au suivi sous chimiothérapie. – Signal normal (tassement ancien)
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Radiodiagnostic AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE 31-100-D-10
Clinique - Biologie
Radiographie standard
+/ - scintigraphie
IRM
Références ➤
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31-100-D-10 AFFECTIONS ACQUISES DE LA PATHOLOGIE VERTÉBRALE NON TRAUMATIQUE Radiodiagnostic
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