I- INTRODUCTION 7
II - RAPPORT GENERAL 9
III - COMMUNICATIONS 21
- Gestion comptable administrative et financière d'une ONG 23
- Principes de gestion en vue de la pérennité des actions des ONG 37
- Initiation à l'informatique et la découverte de Vinternet 47
- Une approche nouvelle de gestion des projets dans les pays en
développement 53
- Gestion de micro-crédits 69
- Marketing dans les ONG 87
IV - RESULTATS DES T R A V A U X D E GROUPES : Synthèses des
exercices pratiques et des réflexions sur les thèmes développés 97
- Gestion comptable et financière 98
- Informatique et internet 104
- Gestion de projets 110
-Micro-crédits 115
-Marketing 118
V - LIVRES, CAHIERS ET PIECES M O D E L E S C O M P T A B L E S
ET FINANCIERES 123
1-Livres 124
1-1- Livre journal
1-2- Grand livre
1-3- Livre de banque
1 -4- Livret d'épargne individuel
1-5- Canevas du registre des membres
2-Cahiers 131
2-1- Cahiers de Recettes
2-2- Cahiers de Dépenses
VI-ANNEXES 173
1 - Allocutions 175
1-1- Ouverture
1-2- Clôture
I - INTRODUCTION
Le présent rapport est le dernier d'une série d'actions dont le top fut donné à
Ouagadougou en février 1997 à l'occasion du premier ' 'Sommet Régional sur les droits de
l'enfant ' '.
Renforcer les capacités techniques et administratives des jeunes O N G locales
d'Education de Base dans 10pays Parmi les Moins Avancés (PMA) d'Afrique et d'Asie du
Sud, après une enquête nationale de recensement des besoins de formation, constituait
l'essentiel des principaux objectifs de la première étape de cette entreprise. Une série
d'ateliers, au moins trois, devrait apporter des approches de solutions aux besoins de
formation exprimés.
Pour le Bénin trois ateliers ont pu se dérouler de janvier à mai -juin 1999.
Les pays concernés par cette démarche sont :
- En Afrique Australe : Le Mozambique, le Malawi, la Zambie et la
Tanzanie
- En Afrique Occidentale : Le Bénin, le Bourkina Faso et le Mali
- En Asie du Sud : Le Bangladesh, le Bouthan et le Népal
Le rapport ci-après fait d'abord état d'un résumé du rapport général qui décrit les
différents moments du déroulement de l'atelier dont le thème est : Formation en Gestion
des O N G d'Education de Base.
Ce rapport est suivi des différentes communications qui ont servi de base à des
travaux de réflexions en groupe dont les synthèses découlent des exercices pratiques, des
études de cas et d'échange d'idées en travaux de groupes et en plénières de sujets précis
en matière de gestion, d'élaboration de projets et de marketing.
Nous estimons que les besoins de formations exprimées par les O N G locales
d'Education de Base sur d'abord la nécessité de cerner de près le concept d'Education de
Base et de s'attarder sur le principal domaine qu 'est celui de l'Alphabétisation vue comme
le socle de développement de tout pays devraient nécessairement aborder les problèmes de
gestion administrative, financière et comptable, l'élaboration de projets et le marketing
pour que la mission que chaque O N G d'Education de Base s'assigne s'entoure de
garanties solides qui assurent la pérennité des résultats efficaces et efficients qui auront
été ainsi obtenus.
Le présent document est un véritable recueil des résultats des travaux de l'atelier
que les membres itinérants des O N G concernées s'emploieront à exploiter au cours de leur
fonction de formateurs des formateurs locaux. Ce sont donc de véritables outils
pédagogiques destinés à la trousse prévue pour chaque bénéficiaire de ce projet.
A cette étape décisive du projet il convient de féliciter toute l'équipe de pilotage
dont les membres ont fait montre d'esprit associatif fort remarquable en conduisant sans
ambages de bout en bout la série des actions deformation retenues. Nous rappelons ici la
liste des intéressés :
Sébastien AGBOTON
9
II - RAPPORT GENERAL
11
Introduction
4 - Autres travaux
5- Conclusion
12
INTRODUCTION
1- LA CEREMONIE D'OUVERTURE
L'atelier s 'est ouvert le Mardi 25 Mai 1999 à partir de 9h30 et a été marqué par
deux allocutions : celle du Coordonnateur du projet BMZ/UNESCO, et celle de Monsieur
Frédéric JONDOT, Représentant Régional de l'UNESCO pour le BENIN et le TOGO.
Dans un discours de bienvenue, le Coordonnateur National du Projet
BMZ/UNESCO et Président du CAEB (Conseil des Activités Educatives du Bénin) M.
Sébastien AGBOTONa rappelé au Représentant Régional de ¡'UNESCO pour le BENIN
et le TOGO les acquis des deux précédents ateliers. Les trente six (36) représentants de
dix-huit (18) ONG d'éducation de base venus de tous les Départements du BENIN ont
désormais une approche de définition de l'éducation de base. Ils ont ensemble défini une
démarche d'investigations communautaires dont lafinalitéest l'identification des besoins
d'éducation des populations à la base, et l'établissement de programmes de
développement notamment en alphabétisation fonctionnelle.
endragogique qui concrétisent les conclusions des ateliers précédents et qui favorisent
suivant chaque formateur, le développement d'un esprit de tolérance, du respect de la
personne humaine, de la transparence et de la bonne gouvernance à tous les niveaux de
l'organisation et de ses activités.
Pour terminer son allocution, le Coordonnateur National du Projet
BMZ/UNESCO, après avoir insisté sur la démarche suivie depuis le premier atelier, a
ajouté : « ... Nous allons à la fin de nos travaux mettre en place un réseau d'ONG
d'éducation de base pour faire en sorte que les investissements engagés jusqu'à présent
soient régulièrement suivis, coordonnés et développés afin qu'ils ne soient vains mais
porteurs de résultats efficaces pour le bien-être de chacune des populations bénéficiaires
de nos activités et pour notre contribution au développement durable de notre pays, le
Bénin. »
2- M E T H O D O L O G I E ET A M B I A N C E D E TRAVAIL
Le caractère participatif de toutes les présentations de thèmes traduit le niveau
élevé des séminaristes qui ont eu la chance avec leurs homologues, les membres de
l'équipe d'encadrement et les communicateurs de partager les éléments distinctifs de leur
culture et procédures respectives au niveau de leurs organisations. Ces méthodes ont
beaucoup aidé les différents orateurs à sortir des généralités pour mettre l'accent sur le
vécu quotidien des ONG d'éducation de base en matière de gestion.
14
3- LES T R A V A U X E N ATELIER
Axés sur six (6) communications explorant divers sujets en matière de gestion,
l'atelier a chaque jour donné l'occasion aux participants de réfléchir sur des cas auxquels
peuvent s'apparenter les situations de leur O N G . La quinzaine de productions qui en est
résulté constituera pour l'animateur itinérant un outil précieux quand il s'agira de gérer
les biens physiques et les personnes dans son organisation. Déplus, les réstdtats du travail
d'identification du niveau de chaque participant ayant révélé que plus de 70% n'avaient
aucune connaissance en informatique justifie l'enthousiasme des stagiaires lors des
séances d'entraînement sur les micro-ordinateurs.
désir de communiquer et d'avoir l'information à peu de frais. Ce qui est sûr nous sommes
allés au-delà de la démystification car les organisateurs ont prévu un micro-ordinateur
pour deux à quatre stagiaires. Des moment obligatoires d'apprentissage ont été définis
ainsi que des moments d'utilisation facultative des appareils sous la direction d'un
animateur qualifié par poste. La journée du dimanche 30 mai était entièrement aménagée
pour ces apprentissages libres. Les soirs les stagiaires les plus expérimentés entraînaient
les autres dans une ambiance de solidarité agissante.
3.1-4 — Une approche nouvelle de gestion des projets dans les pays en
développement
dans la vie des organisations aidant. Aussi, ne nous sommes-nous pas arrêtés en si bon
chemin. Nous avons vers la fin des travaux de l'atelier, participé activement à la mise au
point définitive des éléments de la trousse pédagogique en réalisant des documents de
synthèse.
4- AUTRES TRAVAUX
Nous avons toujours raisonné dans une logique de continuité des actions sans
laquelle nos efforts actuels seront vains. Nous avons dans cette optique assisté à
l'émergence d'idées de regroupement: le Groupe de Travail sur l'Education Non
Formelle (GTENF) et le Réseau des ONG d'Education de Base (RONGEB) sont les
nouveaux cadres de concertation que nous allons mettre en place.
Pour le GTENF, il s'agit de rendre plus représentative cette structures d'Education
Non Formelle. L'UNESCO distingue cette variante éducationnelle de l'Education de Base
parce que le Groupe de Travail y afférent fait partie d'un ensemble de structures qui sont
sous l'égide de VADEA (Associationpour le Développement de l'Education en Afrique).
Dans la dynamique du RONGEB-BENIN, la plupart des ONG présentes à cet
atelier se sont engagées dans une activité de contribution à l'évaluation de l'Education
Pour Tous en 2000.
19
Les cinq (5) thèmes d'étude de cas retenus répondent aux préoccupations des O N G
béninoises d'éducation de base. Il s'agit de la question du genre, de la participation
communautaire, au développement de l'établissement de liens entre l'Education Non
Formelle et le Développement, de la Politique et des Pratiques de l'Education des Adultes,
du Partenariat.
L'enthousiasme qui a animé les O N G dans le choix des thèmes annonce la force du
Réseau en gestation.
5- CONCLUSION
Au terme de ces trois (3) ateliers nous sommes frappées tous à la fois par la
multitude des informations et expériences nouvelles qui existent dans les différentes O N G
d'éducations de base réparties sur toute l'étendue du territoire national. Nous retenons de
ces ateliers que nous devons capitaliser ces expériences par le canal de cadres de
concertation réguliers afin de permettre l'éclosion des énergies dans le domaine socio-
éducatif au regard des défis aux quels tous les acteurs de développement devront faire
face dans le troisième millénaire.
Rappelons qu'au premier atelier le débat sur le concept et les domaines de
l'Education de base a été très fructueux. Beaucoup de notions ont été abordées ou
réinterprètées : c'est le cas :
- de toutes les variantes du mot Education (formelle, non formelle, de base, etc..)
- de la responsabilité et surtout de la responsabilité civile à travers l'éducation à la
vie familiale ;
- des questions de santé alimentaire et nutritionnelle ;
- des problèmes de pollution de l'air, d'érosion, de désertification, de déboisement
et de gestion des déchets par l'éducation environnementale ;
- de l'éducation des adultes qui nous enseigne en tant qu'ONG que si nous
n'unissons pas résolument nos forces dans les années qui viennent,
l'exclusion et la marginalisation, feront sentir tous leurs effets et
transformeront ¡a promesse du siècle qui s'approche en une amère
déception pour tous. En effet cette observation des participants est
pertinente parce que l'éducation des adultes si elle est valorisée peut
20
. . ™
III - COMMUNICATIONS
23
I - LA FONCTION ADMINISTRATIVE
On définit généralement l'administration comme " l'art de faire faire les choses ".
Autrement dit, l'administration est le processus par lequel un supérieur prend une décision
qu 'il fait exécuter par son subordonné. Mais prendre une décision pour en obtenir
l'exécution doit avoir comme préalable la définition de l'objectifprécis à atteindre. Cette
démarche a l'avantage d'obtenir l'adhésion de l'employé à la décision et garantit son
succès.
1 - UNITE DE COMMANDEMENT
Eviter de placer un employé sous la tutelle de deux chefs hiérarchiques. En cas de
double commandements simultanés, l'employer peut se retrouver malgré lui dans une
situation de tiraillement où il lui serait difficile de choisir à quel chef il faut obéir en
premier lieu. Enfin de compte, c 'est l'autorité des deux chefs qui se trouve affaiblie.
26
4- ORGANISER LE SECRETARIA T
Il est très important de bien gérer les courriers que vous émettez (registre de
courrier Départ) et les courriers que vous recevez (registre de courrier Arrivée). Pour
chacun de ces deux types de courriers, concevez un système de référence qui vous permette
de vous retrouver facilement en cas de besoin.
En plus, il est indispensable d'avoir un système de classement
(conservation physique) de tous les courriers que vous recevez ou de tous les courriers que
vous émettez (y compris les factures que vous recevez des fournisseurs ou celles que vous
délivrez à vos clients.)
Lorsqu 'une entité signe avec un de ses employés un contrat de travail (en bonne et
due forme), il reste tout à fait vrai que ce contrat de travail ne peut aborder tous les
aspects des multitudes relations inter personnelles qui auront lieu pendant la durée du
contrat de travail. Il en est de même de lafaçon de saluer son patron dès son arrivée au
27
Une description de poste est un document qui contient ce qu'un employé doit
accomplir comme tâche ou résultat en un temps donné. Elle doit situer les responsabilités
et contenir les critères sur la base desquels l'employé sera jugé.
L'existence d'une description écrite de poste est une condition préalable pour le
contrôle de ¡a gestion des ressources humaines.
Si par exemple dans ¡a description du poste du comptable (ou du contrôleur
financier ) d'une ONG, il est prévu ce qui suit : "pour un mois donné, le comptable doit
rédiger un rapportfinanciersuivant le rapport ci-annexée. Ce rapport doit être déposé à
son supérieur hiérarchique avant le 15 du mois suivant celui pour lequel le rapport est
rédigé. " Une pareille disposition dans la description du poste du comptable permet au
supérieur hiérarchique d'apprécier le 16 du mois si le comptable travaille suivant les
normes de l'ONG. Dans l'absence d'une description écrite de poste, tenir le comptable
responsable d'un pareil rapport pour être discuté.
28
Ici nous aborderons certaines règles éprouvées de gestion des ressources humaines
dans ses aspects quotidiens.
29
Faites connaître de la façon la plus précise et simple possible ce que vous attendez
d'un subordonné (la précision des objectifs.) Pour accomplir cela, vous devez chaque fois
que vous commandez un collaborateur, dire avec précision ce que vous voulez, quand vous
le voulez, et quels moyens seraient utilisés pour atteindre l'objectif
Lorsque vous donnez des ordres à vos collaborateurs, il est toujours très utile de
prévoir les critères sur la base desquels ces subordonnés seraient jugés une fois la tâche
terminée. Ceci permet au subordonné de savoir sur quoi il doit consacrer ses efforts pour
pouvoir vous donner satisfaction.
Lorsqu'un agent fait quelque chose de positif il est souhaitable de l'en féliciter
immédiatement pour renforcer le sentiment et l'acte. Ce faisant, le collaborateur est plus
porté à répéter l'acte. En outre ses collègues sont plus portés à " imiter " ledit acte.
Inculquer à vos collaborateurs de bonnes habitudes en matière de gestion de
temps (voir paragraphe suivant)
Un très célèbre américain disait : " si quelqu 'un peut ajouter une heure à ma
journée de travail, je le paierai à $500,000 par mois. ". Le temps fait partie des ressources
non renouvelables. Il ne peut être économisé. Dès lors, la seule voie qu 'il nous reste est de
bien le gérer. Ceci semble ne pas être tâche facile tant nous sommes sous l'emprise des
habitudes et des facteurs culturels.
Bien gérer son temps, c'est tout simplement le consacrer aux activités qui
contribuent le plus à l'ajout de la valeur.
30
2- Consacrer la plus grande partie de votre temps aux objectifs les plus importants
(Attention qu 'est ce qu 'un objectif important ? )
3- .Au sein des objectifs,fixerun ordre de priorité.
4- Fixer un délai pour la réalisation de chaque objectif
5- Ne cédez pas à la tentation d'attaque des tâches secondaires (ou dites Faciles)
en premier lieu
6- Plus votre objectif reste général, plus il sera difficile de fixer un temps pour
l'atteindre
7- Astuce, pas une contradiction, commencez par une tâche ou portion de tâche
que vousfinirezà temps et très bien. Cela vous donnera une confiance inouïe pour aborder
la suite
8- N'hésitez pas à programmer plusieurs activités simultanément, à condition
qu 'elles aient de rapports les unes avec les autres
9- Prenez garde à passer le clair de votre temps sur des activités sur lesquelles
vous vous sentez à l'aise
10- Ne l'oubliez pas, les travaux les plus importants ou essentiels nécessitent
souvent une grande concentration (ne vous laissez pas distraire)
11- Utilisez le téléphone pour résoudre certains problèmes : il vous permet
d'obtenir le feed-back, et c 'est rapide en plus.
12- Ne cherchez pas à tout faire : occupez-vous de l'essentiel, remettez la routine
aux subordonnés
13- Posez-vous des questions avant de vous mettre au travail : cela augmente votre
efficacité ; qu'écris-je ? cela "coéfficie" votre efficacité
G- QUELQUES"TRUCS"
/- Convoquez les réunions à une heure aussi rapprochée que possible des heures
du déjeuner ou du dîner. L'expérience a prouvé que les participants feront tout pour ne
pas faire traîner inutilement la réunion.
2- Vivez dans l'ordre : il n'y a pas plus tueur de temps que la recherche dans le
désordre de quelque chose dont vous avez besoin en urgence.
3- Veillez à ce que la surface de travail de votre bureau soit bien dégagée.
4- Le temps que vous réserviez à la réflexion sur l'avenir de votre entreprise peut
se révéler le plus fructueux
5- Utilisez autant que possible des listes aide-mémoire, ou "Check lists"
II - LA FONCTION FINANCIERE
La gestionfinancièrerevêt une grande importance pour l'organisation en ce que
de Vefficacité de la gestionfinancièredépend la pérennité de l'organisation. Elle a pour
rôle, entre autres, d'assurer le suivi de la trésorerie quotidienne de l'organisation (voir
contrôle de la caisse et de la banque) ; mais son action s'inscrit également dans le moyen
ou le long terme, c'est la fonctionfinancièrequi se charge de la recherche des sources de
financement des besoins ou des programmes d'investissement de l'organisation.
C'est là une tâche délicate. Les capitaux ayant un coût, correspondant à la
rémunération qu 'ilfaut verser pour en disposer, un double écueil est à éviter :
avoir des capitaux insuffisants, ce qui gênerait le bon fonctionnement
de l'organisation
détenir des capitaux pléthoriques, ce qui aboutirait à un gaspillage de
ressources, réduisant à terme les moyens d'action de l'organisation, car
le gaspillage conduit inéluctablement au tarissement des ressources.
Ceci pose le problème de l'indépendance financière de l'Organisation Non
Gouvernementale (ONG) vis-à-vis tant de ses membres que des généreux donateurs. S'il
est vrai que les contributions des membres de l'organisation ainsi que les dotations
budgétaires des donateurs constituent pour le moment les principales sources de
financement des activités des O N G , il est aussi prudent et pertinent que dans la
perspective d'une globalisation de l'économie avec son corollaire de mobilité plus forte
des capitaux, les O N G pensent à une diversification plus poussée des provenances de leurs
ressources. Dans ce cadre, et bien qu 'une O N G ne poursuive pas le même but qu 'une
société à savoir recherche du profil, elle se doit de repenser la politique de ses prestations
vis-à-vis des bénéficiaires, pourquoi pas en recourant tout au moins à une forfaitisation
du prix de ses prestations en direction des différents bénéficiaires, afin de dégager un
minimum de capacité d'autofinancement.
Bien d'autres sources de financement plus élargies peuvent être explorées par les
responsables d'ONG.
La tâche des servicesfinanciersconsiste donc à mettre en œuvre les capitaux c 'est-
à-dire à assurer :
la collecte des fonds auprès des autres partenaires que sont ¡es
membres eux-mêmes, les donateurs, les mécènes, les sponsors. L'Etat ou
33
ANNEXE I »
DESCRIPTION DE POSTE
DENOMINATION DE POSTE : CAISSIER
LIAISONS HIERARCHIQUES
RESPONSABILITE DE POSTE
les dépenses doivent s'effectuer sur la base de pièces justificatives régulières portant
toutes les mentions qui prouvent que la sortie de fonds estfaite dans l'intérêt du projet.
* Le caissier doit tenir les brouillards de caisse conformément aux manuels des
procédures et aux règles professionnelles de tenue de la caisse.
* Le caissier est responsable de l'exactitude de la caisse (notamment les manquants
de caisse).
* Il doit arrêter à la fin de la journée les brouillards de trésorerie et en
communiquer les soldes au responsable hiérarchique.
* Il doit accomplir toutes autres tâches de son ressort entrant dans le cadre de la
vie du projet telles que assignées
Le caissier serait apprécié sur la base des éléments suivants (Attention : la liste
n 'est pas exhaustive) :
- Bonne tenue des brouillards (ou livres de trésorerie), et d'une façon
générale, la bonne tenue ou élaboration de tous les supports liés à la fonction
- Manquant de caisse
- Excès de caisse
- Tout document ou pièce justificative de dépense ou de recette
- Promptitude dans la transmission des pièces et dans l'élaboration du
tableau de bordfinancier
- La promptitude dans la fourniture de renseignements relevant de son
domaine.
37
I- PRELIMINAIRES
la défense des intérêts des O N G membres dont elle renforce les capacités
institutionnelles ;
6- le Forum d'ONG est un rassemblement d'organisation, un cadre de
concertation pour des actions ponctuelles. Il n 'est ni une Fédération, ni un
Réseau
».
Cette définition indique clairement que l'ONG est une organisation à but non
lucratif contrairement aux entreprises commerciales. Cependant aussi bien l'entreprise
commerciale que l'ONG manipulent de l'argent, gèrent du personnel, acquièrent et
utilisent des ressources matérielles.
La notion de "gestion" constitue donc un des dénominateurs communs de ces deux
entités.
Mieux les deux aspirent à une pérennité de leurs actions ou tout au moins des
impacts ou effets de ses actions.
Si par définition, l'entreprise commerciale fait des rentrées d'argent grâce à la
vente de biens et de services, il est aisé de constater que les O N G quant à elles, accordent
très habituellement aux bénéficiaires, des prestations gratuites.
Les O N G fondent souvent leurs actions sur le principe de la gratuité et comptent
sur les fonds obtenus des bailleurs. Très peu d'ONG fonctionnent de façon autonome.
Cette tendance doit être inversée si les O N G veulent inscrire leurs actions dans une
perspective de long terme, de pérennité.
Figure 1: Exemple d ' O N G dont le financement dépend des aides financières et des
contributions
RECETTES
Projet 3
Projet 2 S ^
Projet 1
r\ i
[ \
[ C o û t s fixes
r\ Autofinancement et
Contributions
DUREE
Commentaires
RECETTES
Projet 3
financières aux programmes
Projet 2
Projet 1
DUREE
Commentaire.
CONCLUSION
// est aujourd'hui impératifpour toute O N G qui se veut durable de s'auto-évaluer,
de procéder à des réformes le cas échéant, tant sur les stratégies, le leadership et les
modes de gestion en vue de réaliser l'objectif de la viabilité. Ilfaut pour cela connaître les
dés de la viabilité.
44
NB: Ceci n 'est pas une évaluation absolument complète de votre programme ou de votre
organisation. Cet index est destiné au contraire à fournir «matière à réflexion» sur la
façon dont vous gérer actuellement votre organisation en vue d'améliorer vos pratiques et
tendre vers la durabilité.
TOTAL
45
PROFIL GENERAL
1. Autorité =
2. Gestion =
3.Finances =
47
I
L'INITIATION A L'INFORMATIQUE ET LA
DECOUVERTE DE L'INTERNET
49
L'INITIATION A L'INFORMATIQUE ET LA
DECOUVERTE DE L'INTERNET
I - L'INFORMATIQUE
A - INTRODUCTION A L'INFORMATIQUE
A-1-HISTORIQUE
Partie des premiers travaux de recherche de Biaise PASCAL, au XVIIè siècle, (la
Pascaline), Vinformatique a vu le jour aux Etats-Unis en 1956. Le mot a été inventé par
l'ingénieur français Philippe DREYFUS. C'est une science qui, à l'aide de ¡'algorithmes
traite des données pour obtenir des informations et permet à l'homme de résoudre de
nombreux problèmes sans s'encombrer des tâches répétitives.
A-2 DEFINITION
L'informatique est la science de traitement automatique et rationnel de
l'information considérée comme le support de connaissance dans un but de conservation et
de communication.
INFORMA TIQUE = Information + Automatisme
A-3 DOMAINESD'APPUCATION
- L'informatique est utilisée dans divers domaines tels que : le secrétariat,
la comptabilité, l'industrie, les télécommunications, la médecine, l'astronomie, etc..
50
B- L'ORDINATEUR : LE HARDWARE
// était au départ très géant et permettait un travail très centralisé. Il connaît de
jour eti jour, des transformations à son amélioration.
Il donna naissance à des micro-ordinateurs, des ' 'Personnel Computers ' ' encore
appelés PC dont la gamme est très variée : des mini-ordinateurs, des ordinateurs
portables...
D- LE LOGICIEL : LE SOFTWARE
Un logiciel est un ensemble de programmes permettant d'effectuer un traitement
bien défini : un ordinateur sans logiciel est un objet muet, "un tas de ferraille". Signalons
qu 'un programme est une suite d'instructions ordonnées et exécutables par la machine.
• les logiciels intégrés : Ce sont des logiciels qui assurent les deux (02) fonctions
précédemment décrites et celle du système de gestion de base de données. (Ex :
Frame, Works ; Works ; etc..)
E- NOTION DE FICHIER
DEFINITION
Un fichier est un ensemble d'articles ou d'enregistrements de même nature, stockés
sur un support physique.
Le nom du fichier est formé d'un radical et d'une extension qui indique la famille à
laquelle il appartient. Sous MS-DOS, il ne doit pas dépasser huit (8) caractères pour le
radical et trois (3) pour l'extension.
REMARQUES
Des caractères comme +, -, *, /, \, ; ne sont pas acceptés dans les noms de fichiers.
Avec le Windows 95 - 98, ce nom peut être toute une phrase.
Ex : Falilou. Fil
\ l
Radical Extension
I l
Nom du fichier
II - L'INTERNET
DEFINITION
L'Internet est d'abord avant tout un réseau de communication. C'est aussi l'accès
à distance à des applications multimédia : applications sonores, applications vidéo et
même application en réalité virtuelle.
La communication sur Internet peut se faire en différée entre les usagers (par
exemple avec le courrier électronique) ou en direct.
Le courrier électronique (E-mail), les listes d'envoi et les forums sont les services
les plus fréquemment utilisés pour la communication différée entre usagers.
S O M M A IRE
/- GENERALITES
IV- CONCLUSION
56
1- GENERANTES
Le processus d'élaboration des projets de développement varie en fonction de leur
nature (projets industriels, sanitaire, éducatif, etc.), des objectifs à atteindre (problèmes
que la réalisation du projet cherche à résoudre) et de leur ampleur (micro-projets, macro-
projets).
Toutefois, quel que soit le type de projet, trois phases importantes sont à
considérer :
et les problèmes des populations continuent de croître. L'étude socioculturelle est donc le
meilleur moyen d'évaluer les besoins réels ressentis par les populations, de mesurer et de
comparer le degré de réceptivité ou de tolérance des projets (impact positif et négatif sur
les comportements, les mœurs, etc.). Pour certains projets, il est souhaitable de refaire les
études socioculturelles à mi-parcours de leur réalisation afin de diminuer leurs effets
négatifs sur le milieu. Dans certains cas, ces études doivent être doublées d'une étude du
marché ou socio-économique lorsque le projet tend vers la réalisation d'un bien social
(construction de centre de santé, de salle de cinéma, d'école, etc.).
Ces quatre éléments doivent être étudiés concomitamment dans le strict objectif de
minimiser les coûts et en rapport avec les différentes enquêtes et études menées. La
question ultime qui doit guider ici est de savoir pour quel type de développement et pour
quel but on veut les concevoir.
2-8- Financement
Les diverses sources de financement doivent être déterminées de manière précise
avec les limites d'intervention des différents partenaires impliqués. Une attention
particulière doit être accordée au financement régulier des frais de fonctionnement du
projet (frais administratifs et divers, salaires du personnel d'appui) et aux éléments
imprévisibles (conjoncture économique, inflation).
3- EXECUTION DE PROJETS
3-1- Durant la phase d'exécution du projet et de l'administration du prêt y
correspondant qui se situent après la signature de l'accord de prêt, plusieurs groupes
d'activités peuvent être menées dont les principaux concernent :
-1'entrée en vigueur du prêt
- le recrutement des consultants
63
3-2- Ces groupes d'activités se réalisent dans des délais plus ou moins longs qui
rentrent dans la durée d'exécution du projet ou conditionnent cette durée. Ils
comprennent chacun plusieurs actions distinctes et peuvent faire l'objet de sous
programmation qui rentre dans la programmation globale de la réalisation du projet.
2- Le classement des tâches dans un ordre de succession1 logique sont influencés par
les contraintes physiques, de sécurité des ressources et de direction
4-CONCLUSION
Comme toute politique, toute gestion n'est pas neutre. Elle est le reflet d'un choix
de société (que ce choix soit imposé ou non) à une époque et eu égard à une situation
déterminée.
De la même manière, la conception et l'exécution d'un projet, quel qu'il soit
(éducatif, sanitaire ou industriel) dans les Pays en développement ne doit pas échapper à
ce principe. Bien au contraire au regard du retard économique énorme et de situation
sociale dégradante observée dans ces pays, la formulation des projets (micro-projets ou
macro-projets) doit être abordée avec beaucoup plus de rigueur et de précaution.
En effet, la conception actuelle des Projets demande et exige de l'évaluateur une
vision claire de ses objectifs et une connaissance approfondie de tous les facteurs internes
et externes, tangibles et intangibles, qui doivent être pris en considération au moment de
la rédaction du document de base.
Au besoin, des études préliminaires (documentaires, pré-enquêtes, etc..) de
certains facteurs-clés doivent être menés avant la mise en forme définitive du document et
annexées à ce dernier. Cette démarche peut d'ailleurs être désormais exigée de tout
promoteur, sans distinction, afin d'éclairer l'évaluateur sur l'intérêt et l'utilité du Projet et
de lui permettre de mesurer et de comparer les effets positifs et négatifs prévisibles des
actions tant pour le développement interne du Projet lui-même que pour l'ensemble de la
collectivité ou des populations bénéficiaires.
Dans tous les cas, et plus spécifiquement celui des projets socio-éducatifs, il est
démontré qu 'ils sont voués à l'échec dès lors que leur conception ne correspond pas aux
besoins, aux aspirations et au niveau de développement des pays concernés.
De ce point de vue, les expériences accumulées dans les différents domaines, même
si elles ont réussi, ne doivent pas être aveuglement transplantées, mais plutôt constamment
repensées et réinventées afin de répondre aux exigences de chaque situation.
C 'est donc à ce prix, et à ce prix seulement, que le combat pour le développement
de nos pays pourra être amorcé et gagné avec plus d'assurance et de certitude.
66
• une action qui fait appel à un ensemble de ressources pour résoudre les
problèmes d'une société.
• un ensemble de processus qui permet de quitter une situation problématique
donnée à une autre que l'on désire.
• un ensemble d'actions mises sur place pour atteindre un but.
Le processus d'élaboration des projets est variable donc dépend de :
& y
• l'ampleur.
2 - Phase de faisabilité
Il faut tenir compte :
• de la technologie appropriée
(1) hIAGNEN, André - La conception des projets éducatifs: leçons tirées de l'Afrique francophone
subsaharienne. UNESCO, Bureau de coordination des activités opéra... Paris Janvier 1990, P.iii.
GESTION DE MICRO-CREDITS
71
SOMMAIRE
1. Généralité
1.1 La compréhension
2.2 Organisation
3. Etude de cas
72
GESTION DE MICRO-CREDITS
Par Jean-Bosco M A N K O N D O B . M O V U N G , Consultant Privé
1- GENERANTES
1-1- La compréhension du sujet
* Gestion : vient du verbe gérer
Gestion c'est l'action ou la manière de gérer, d'administrer, de diriger,
d'organiser quelque chose ;
* Gérer : c'est administrer ; Assurer l'administration, l'organisation, le
traitement d'un ensemble de marchandises, d'informations, de données, etc..
* Micro : petit
* Crédit : Prêt consenti par une personne, par une banque. Le crédit est une
opération par laquelle une personne, un groupement, une caisse locale ou une banque met
à la disposition d'une autre personne ou d'un groupe de personnes, une somme d'argent
qui sera remboursée après une période convenue afin de lui permettre de satisfaire un
besoin.
Celui qui donne le crédit est un prêteur ou un créancier et celui à qui l'on prête est
un emprunteur ou le débiteur.
* Micro-crédit :fait allusion au petit crédit de proximité (voisinage immédiat).
Pour la gestion de micro-crédit, nous faisons allusion aux principes d'administration des
petits crédits de proximité.
1000
Remboursement du capital = = 500 F/an
2
73
- Remboursement de l'intérêt :
1ère année 1000x10 500x10
= 100 + 2ème année = 50 F
100 100
Soit 100 F + 50 = 150 F d'intérêt sur les deux ans = 75 F / an. On rembourse
chaque année 500 F + 75 F= 575 F.
* Différé d'amortissement : C 'est un délai accordé par la banque avant le début du
remboursement. Le différé d'amortissement est surtout consenti pour permettre à
l'emprunteur défaire travailler l'argent emprunté avant de commencer à rembourser avec
le produit du capital.
* Aval: est un engagement par lequel une personne (l'avaliseur) s'oblige à payer
une créance à la place du débiteur principal. Par extension le mot aval tend à désigner
aussi l'avaliseur.
100x12
Au bout de 3 mois, on doit rendre 1025 F.
74
Besoins Besoins
stratégiques stratégiques à
moyen et long terme
immédiat
1 2 3
I I J I I •
Tontine crédit crédit projet crédit
sans avec épargne d'appui à bancaire
épargne obligatoire l'accès des avec possibilité
crédits d'épargne
- le crédit sont sollicités à cause des Besoins pratiques immédiat qui sont les
besoins de survie quotidienne des femmes et de leur famille (nourriture , vêtement, maison,
fois de frais de santé et l'éducation, charges sociales).
- L'amélioration des conditions socio-économiques des bénéficiaires et pratiques et
besoins stratégiques.
- Dans le cadre de la gestion de micro-crédit, on prend en compte les stratégies de
travailler à la base avec la forme du point 2 à 3 c 'est à dire le crédit sans épargne
préalable et le crédit avec épargne obligatoire.
b - Les avantages
- Accès d'un plus grand nombre de femmes aux ressources
financières ;
- Lesfemmes démunies qui n 'arrivent pas à épargner, peuvent
obtenir du crédit et apprendre à épargner.
- Le rôle social et de développement de cette stratégie fait qu 'il n'y a
pas de garantie pour avoir un crédit ; la caution solidaire étant mis
en première position.
c- Les limites
- Crédit de faible montant, gestion fastidieux ;
- Risque d'impayé très élevé chez les femmes n 'ayant pas l'habitude
- d'épargner si les dispositions d'encadrement ne sont pas pris en
compte.
- Sécurité du système compromise si les non payements s'accentuent.
- L'inattention dans le suivi des dossiers peut compromettre
le système.
c- Les limites
- Peut exclure une part importante de la population le moins aisée
ne pouvant pas répondre à ce critère ;
Ne permet pas de rompre le cercle vicieux de la pauvre : « bas revenu Absence
ou faiblesse de l'épargne - impossibilité d'investir - bas revenu ».
1. Définition de la politique de crédit : Ce sont les membres qui la définissent avec l'aide
des spécialistes.
2. L'origine de l'argent du crédit c 'est :
Epargne des membres = Argent chaud, pas de « crédit sans épargne ».
L'argent froid peut être remplacé par la forme de chaleur à partir de la
solidarité d'un groupe, la caution solidaire, la proximité géographique et culturelle des
emprunteurs.
3. Les bénéficiaires du crédit sont :
Membres sociétaires, statut accordé à des conditions très précises.
4. Les objets de crédits
Utiliser le crédit pour les activités génératrices de revenus (productrices) tel que :
- Le petit commerce.
- Micro entreprise artisanale
- Investissement à court terme (moulin à arachide ...)
79
- Pêche
- Amélioration de l'habitat
- Amélioration à équipement
- Commercialisation des produits agricoles.
- Agriculture élevage.
5. Les conditions de crédit sont
• le taux d'intérêt : s'harmoniser avec le taux du marché ;
• Viser « petit » dans le montant et la durée du crédit ; si le remboursement se
passe bien et que l'épargne est suffisante, on peut augmenter le montant et la
durée du prêt ;
• Pas trop insister sur la garantie physique, mais remplacer là par la caution
solidaire et mutuelle
• Le calendrier de remboursement varie selon le revenu saisonnier et selon la
convention entre le prêteur et l'emprunteur.
• Prévoir une assurance, un fonds de solidarité pour subvenir aux besoins
urgents (donner un pourcentage à cette somme).
• Les décision d'accorder le crédit provient de :
• le propriétaires de l'argent
• Les épargnants
• Les différentes instances : AG, CA, comité de crédit
7. Les critères d'obtention du crédit sont :
• Crédibilité de l'emprunteur,
• Capacité de réaliser son projet
• Faisabilité technique au projet
• Rentabilité du projet
• Contexte favorable.
8. La procédure de demande de crédit est : d'écrire dans un langage simple et
accessible. Le document rédigé doit être signé par l'emprunteur qui passe du
gérant au comité de crédit Les montants disponibles et le plafond sontfixéspar
chaque emprunteur
9. les montants disponibles et le plafond sontfixéspar chaque emprunteur
Cela dépend de l'institution.
L'encours de crédit peut commencer à 30 % des épargnés pour aller jusqu'à 60%.
10. Par qui et comment se fait le suivi du crédit
80
2.2 Organisation
Le système doit s'identifier à un organisme vivant où le partage de responsabilités
et des pouvoirs sont définis par la législation en vigueur, les statuts, les règlements
intérieurs, les protocoles d'accord et de partenariat. Le système doit avoir les instances
suivantes : l'Assemblée générale, le conseil d'Administration, le Conseil de surveillance, le
Comité de crédit et la Direction executive.
1 - GENERALITES
Compréhension du thème
• Un créancier = un prêteur,
- Cotisation ^°
- Cahier de charge
- Manuel de procédure
85
AG
i
CA *— { es
i /
DE
I
CP
/ ï \
Groupe de
solidarité
ED ASS MC —Kjérant
GS
Population
T~l
" Il y a trois sortes d'entreprises : celles qui contemplent les événements ; celles
qui cherchent à les comprendre ; et celles qui les provoquent ' '
' ' tout le monde vit de la vente de quelque chose ' '
2 - LA FONDATION EN MARKETING
• LA NOTION DE MARCHE .
Un marché est constitué par l'ensemble des clients potentiels ou actuels capables et
désireux de procéder à un échange leur permettant de satisfaire un besoin ou un désir à
travers un produit.
• IL SEMBLE A UJOURD 'HUÍ QUE DANS UNE CERTAINE MESURE LE CLIENT EST ROI :
il est libre d'acheter chez vous ou chez un autre !!! (dans une certaine mesure).
• TOUTE ENTITE A UN ENVIRONNEMENT (UN MICRO ENVIRONNEMENT ET UN
MA CRO ENVIRONNEMENT)
J. Bailleurs de fonds
2- O N G du secteur
3- Les ' 'clients ' ' (tout le monde en a)
4- Les fournisseurs (tout le monde en a)
5- Les publics, à savoir tout groupe ayant un impact réel ou potentiel sur la
capacité d'une organisation à atteindre ses objectifs, tels le monde financier,
les médias, l'administration et les pouvoirs publics, les groupes d'intérêt, les
publics locaux, etc.
• LES 4 PS, à savoir : Le produit, le prix, la (mise en) Place (ou distribution),
la promotion
3- Savez-vous que vos bailleurs de fonds sont vos ' 'clients ' ' à qui
vous vendez un ou des services ? Et les populations cibles ? (où les rangez-
vous ?)
4- Qui sont ceux qui sont vos publics d'intérêt immédiat ?
Le secret qui permet d'avoir beaucoup de clients est très simple : il suffit de tout
faire pour avoir des clients satisfaits ou des clients contents de ce qu 'ils achètent de votre
organisation ou O N G . Imaginez-vous ce que fait un bailleur de fonds qui est satisfait de la
façon dont une O N G a conduit un Projet !!! Sûrement, il lui confie d'autres Projets à
exécuter. Attention, il semble établi qu 'il y a de concurrence au sein des O N G en ce
domaine.
2- Avez-vous dans votre ONG un MANUEL DE PROCEDURES DE GESTION
ADMINISTRATIVE? FINANCIERE? et COMPTABLE ? C'est un point de départ qui
pourrait dire à un bailleur avec quels types de partenaires il traite (une présomption qui
peutfaire dès fois la différence)
3- Avez-vous dans votre O N G une culture, ou du moins est - ce que vous vous
efforcez à créer une culture qui est au service de vos valeurs fondamentales ?
4- Faites-vous l'effort de vous conformer aux cahiers des charges des bailleurs de
fonds : obligation de produire des rapports (financiers et autres) périodiques, de produire
des justificatifs de dépenses et de les conserver, etc. Pour certains bailleurs de fonds
(sérieux), le non respect des délais d'envoi de certains rapports financiers pourrait suffire
pour freiner le déblocage de fonds, et à terme ? peut-être la rupture des relations (le
divorce constitué ?). Au cas où la production dans les délais d'un rapport poserait de
problèmes, n 'hésitez pas à donner des explications (du moins à communiquer).
5- O N G , il vous est tout à fait à porté de mains de donner un coup de pouce à votre
look marketing à travers la présentation de vos rapports et correspondances.
ALLEZ-VOUS TOUT FAIRE ? (spécialisez vous en choisissant votre marche cible) :
La question cruciale de compétences distinctives ou d'avantages compétitifs
(quelles sont vos armes ? Pourquoi un bailleur doit-il traiter avec vous, pas avec autres
ONG ?)
Pour toute O N G , il se pose une question très importante : à savoir si l'ONG va
TOUT faire ? Si cette question est prise à la légère, il pourrait s'ensuivre la mort de
l'ONG. Ayons le courage de nous poser ces genres de questions importantes, et d'essayer
d'y répondre. Il n 'estpas nécessaire d'avoir des réponses ' 'parfaites ' '.
94
1- Organigramme
3- Procédure de gestion
(entrée - sortie de : courriers, produits, fonds...)
4- Supports
(Bon de commande, bordeaux de livraison, facture, avoir quantité,fichede
paiement, autorisation de paiement, bon provisoire à régulariser, reçu de
caisse, Bordereau d'entrée en stock, demande d'achat, fiche d'imputable
comptable...)
95
EXERCICE N° 1
ETUDE DE CAS : ETAT DE RAPPROCHEMENT
On vous communique le livre de Banque Recettes - dépenses tenues par l'ONG
«ADK» ainsi que le relevé de compte de l'ONG à la Banque (BOA-BENIN) du 1er au 30
Avril 1999
Livre de Banque Recettes - dépenses (du 1er au 30/04/99)
Sauf erreur ou omission de notre part, voyez ci-dessus l'avoir de votre compte
dans nos livres.
99
Axes de réponses
Suite aux amendements en plénière, il a été retenu l'état de Rapprochement
bancaire qui suit :
EXERCICE N° 2
Remis à Jean 10 000 FCFA pour menues dépenses.
Porto-Novo le 10 Mai 1999
TRAVAIL A FAIRE
1) Remplir la pièce de caisse dépenses
2) Remplir le brouillard de caisse
ONG : GBENONKPO
B.P.F: 10 000
PIECE DE CAISSE DEPENSE No 45
BROUILLARD DE CAISSE
EXERCICE N° 3
ONG GBENONKPO ETATDE BILLET AGE CAISSE
Caisse : Nol Date et jour de billetage : 10/05/99
Responsable de la caisse : TCHAB1Mora Heure : llh 00
Le contrôleur : BIAOU Chantai Lieu : Porto-Novo
0 FRANCS CFA
Quatre cent quarante six mille quatre cent quatre vingt huitàTOTAL ESPECES
francs (en chiffres)
à (en lettres)
EXERCICE N° 4
Mlle ABLAWA est célibataire avec un enfant. N° matricule : 00202. Elle est à l'échelon 8
de sa catégorie.
ONG:
BULLETIN DE SALARIE DU MOIS D A VRIL 1999.
Primes
-ancienneté
- responsabilité
Indemnités
- transport
- autres
Avantage en nature
O.B.S.S.
Salaire net Imposable 91600
IPTS
Pension
Taxe radiophonique
INFORMATIQUE ET INTERNET
A- SUR ORDINATEUR
• Allumage du micro-ordinateur
• Usage du clavier
• Manipulation de la souris
2-USAGE DU CLAMER
Les touches de fonction.
• -La touche Tabulation : marquée de deux (02) flèches l'une dirigée vers la
gauche, l'autre vers la droite, elle permet de passer d'une colonne à une autre
lorsqu 'on est dans un tableau et permet de marquer les retraits de ligne dans un texte.
• La touche Caps Lock : marquée par un cadenas elle permet de bloquer le
clavier en mode majuscule de façon permanente.
• La touche Shift : marquée d'une flèche dirigée vers le haut, elle permet de
ramener le clavier en mode minuscule et lorsqu 'elle est maintenue enfoncée, bloque le
clavier en mode majuscule de façon momentanée.
• La barre d'espacement : elle est la plus longue des touches et permet de créer
un espacement entre deux (02) mots.
• La touche Entrée : marquée par uneflèchedirigée vers la gauche, elle permet
de valider une commande ou de passer à la ligne suivante dans un texte.
105
• Etc.
B-SUR INTERNET
• Présentation du matériel (cas du modem)
• Connexion à I 'OPT
• Envoi du courrier
• Réception du courrier
• Visite des sites WEB
1- Le matériel
Il est le même que celui du micro ordinateur auquel s'ajoute le modem et autres
appareils éventuellement.
2- Connexion à l'OPT
On ne peut envoyer un message électronique si l'on ne dispose pas d'une ligne
téléphonique et si l'on n 'estpas connecté à un réseau internet.
3- Pour recevoir un message :
• Aller dans le programme Internet -Mail
• Composez le message
I-QUESTIONS
1 -Qu 'est- ce que l'informatique ?
2 -Qu 'est - ce qu 'un ordinateur ? Citez ses composantes.
3 - Qu 'entendez-vous par logiciel ?
4 - Avez vous une notion defichier? Parlez-nous de la gestion des fichiers.
5 -Qu 'est - ce que l'internet ?
6 - Comment envoyer et recevoir des messages électroniques ?
II-REPONSES
1 - L'informatique est une science qui permet de traiter automatiquement et
rationnellement l'information.
Elle est partie de Biaise Pascal avec ce qu 'on appelle la Pascaline.
2 - Un ordinateur est un appareil électronique et programmable, qui sert à faire
le traitement de texte.
Les composantes d'un ordinateur sont :
- le clavier qui sert à écrire les informations ; il est comparable à la
machine à écrire mécanique
- l'unité centrale qui est le cœur-même de l'ordinateur à qui on confie les
informations à traiter
- la souris permet de se positionner très rapidement sur l'écran
- l'écran ressemble à un téléviseur et permet de visualiser les
informations qu 'on soumet à l'ordinateur et les divers messages donnés
par ce dernier.
- l'imprimante restitue en imprimé sur papier le traitement des
informations.
3 -Un logiciel est un ensemble de programmes qui permettant défaire un travail
défini avec l'ordinateur. Il est inséré dans le cœur de l'ordinateur
4 - Lefichierest un ensemble de mots ou groupe de mots de type homogènes à qui
on attribue un nom qui ne dépasse pas 08 (huit) lettres et une possibilité
d'extension de 03 (trois) lettres. Entre le nom et l'extension, il faut toujours
mettre un point.
109
GESTION DE PROJETS
EXERCICE N° 7
TRA VA UXDIRRIGES
1. Description du projet
2. Contexte national
3. Justification du projet
4. Objectifs de développement (à court, moyen et à long terme)
5. Stratégies
6. Structure de l'organisation mise en place
7. Activités
8. Financement (les différentes sources de financement et les coûts)
9. Suivi et évaluation (résultats attendus).
I - Description du projet
Le projet consiste à créer un centre permanent d'alphabétisation dans la commune
de LALO.
Il comprend :
A. Construction
Bloc administratif comprenant 2 bureaux
- Un bureau de coordonnateur
- Un bureau de l'animateur s'ouvrant sur la bibliothèque
- Une salle polyvalente
- Cinq cases d'hébergement.
Ill
B . Equipement
- Une moto pour le coordonnateur
- Une moto pour l'animateur
- Une machine à taper
- Equipement mobilier et fournitures de bureaux
II - Contexte nationale
La population béninoise est à plus de 76% analphabète dans les zones rurales
comme la commune de LALO. Le taux est en moyenne 85%, et 90% au niveau des
femmes.
L'état dans son programme d'éducation, encourage l'alphabétisation des
populations rurales. Aussi, depuis quelques années, des efforts d'alphabétisation sont
entrepris par des structures étatiques, O N G . . . et soutenus par de vastes campagnes de
sensibilisations des populations rurales.
IV- Objectifs
L'objectif général du projet est de réduire le taux d'analphabétisme dans la
commune.
Les objectifs spécifiques sont :
- Coordonner les activités d'alphabétisation
- Permettre à la population de se former et de se recycler en matière
d'alphabétisation sans faire de longues distances.
- Encourager la capitalisation et la diffusion des recettes en pharmacopée,
l'histoire du milieu, etc.
- Appuyer sur le plan méthodologique et pédagogique les alphabétiseurs de
la commune
V - Stratégie
Formation et sensibilisation des différents acteurs dans le projet
- Identification d'un site approprié
- Identification et implication des acteurs ou structures de développement
- Mobilisation des ressources internes
- La mise en location de la salle polyvalente, construction et mise en location
de 5 cases d'hébergement.
VII - Activités
- Identification du lieu d'implantation du centre
- Préparation des appels d'offre
- Dépouillement et sélection du dossier
- Choix de l'ingénieur, compte tenu de la technicité et du prix
- Après le choix de l'ingénieur, ce dernier procède maintenant à la
construction du bâtiment
- Après la construction du bâtiment, nous allons procéder à :
La formation des formateurs (les alphabétiseurs) et enfin on procède à la
sensibilisation de la population.
- Suivi et évaluation.
SOURCES
Word Bénéfice
ACTIVITES COÛT ONG MINISTERE Education
N°
construction d'un
1
module de deux
salles avec 3
bureaux et un 6250000 500000 2870000 1000000 2500000 880000
magasin
MICRO-CREDIT
EXERCICE N° 8
/ - AXES DE REFLEXION
Pour améliorer leurs conditions de vie, la majorité des paysans béninois ont accès
au financement de proximité à partir du réseau des caisses locales de crédits Agricoles et
Mutuelles (CLCAM) et des ONG encadrées par le C.RS ( Catholic Relief Service ) .
La première institution adopte la stratégie de crédit avec épargne obligatoire
tandis que la seconde utilise la stratégie, de crédit sans épargne.
Faites la planification de gestion de micro - crédit de chaque institution en faisant
ressortir les éléments suivants :
1. La forme de l'argent débloqué (froid ou chaud), justifiez votre réponse ;
2. Les avantages et les limites de chaque système ;
3. L'organisation de chaque système ;
4. Citez quelques éléments du règlement intérieur de chaque groupe
bénéficiaires (au moins 5 ) ;
5. Citez quelques règles d'or sur la gestion de Micro-crédit ;
6. Quel est le système qui vous semble intéressant pour les bénéficiaires ?
II-REPONSES
Directeur Exécutif D . E
C.P
Z-, 1
Gérant
\ Animateur
4 - Règlement Intérieur
6 - Une O N G sérieuse qui se veut solidaire des populations à la base ne peut choisi pour
cette épargne tel que la CLCAM.
LE MARKETING
EXERCICE N° 9
II-REPONSES
ONG : GI
1. Nos clients sont :
- les jeunesfilies et les femmes (déscolarisées, scolarisées et non scolarisées).
- Les bailleurs de fonds :
* ABNSSP ; Appui Benino-Néerlandais aux Soins de Santé Primaire
* SNV : Organisation Néerlandaise de Développement.
* MPSCF : Ministère de la Protection Sociale et de la Condition
Féminine.
1. Alphabétisation en français
2. Non
3. Oui
- On est camarade en association
- les bénéficiaires sont des partenaires
119
II- REPONSES
1- Prenons le cas d'une ONG spécifique
Quels sont les clients ?
ONG: SEL et LUMIERE
Réalisation d'infrastructures communautaires
1- Les clients sont :
- Personnes en situation difficile (Paysans, femmes)
- AGEFIB : Bailleur
2- Est-ce qu 'elle a un avantage compétitif ou encore une compétence distinctive ?
Avantages compétitifs
- Plus d'expériences en la matière (9 ans)
- Equipe technique d'établissement de devis
3- Est-ce que vous avez un manuel de procédure de gestion Administrative,
financière et comptable ?
Existence d'un manuel de procédure de gestion administrativefinancièreet comptable
- Pour la transparence dans la gestion
- La tenue de caisse
- La tenue des cahiers de gestion
- L'ordonnateur
- Une commission de dépouillement d'appel d'offres
- Procédure d'attribution des marchés
4 - Est-ce que dans votre O N G vous avez une culture ?
Décrivez les éléments distinctifs de cette culture
Eléments distinctifs de cette culture
Oui
Eléments distinctifs
- L'humilité
- Le respect
- L'égalité
I- QUESTIONSD'EXERCICEPRATIQUE
1. Qui sont vos clients ?
Définissez - les et dites leurs caractéristiques.
2. Est - ce que vous avez un avantage compétitif ?
Est - ce qu 'ily a une compétence distinctive ?
3. Est - ce que vous disposez d'un manuel de procédure de gestion administrative
financière et comptable.
Quel usage en faites - vous ?
4. Avez - vous une culture dans votre ONG ?
5. Faites-vous l'effet de vous conformer au cahier de charges des bailleurs ?
II-REPONSES
1. Nos clients sont : - les enfants handicapés sourds-muets
- leurs parents
- les bailleurs : USAID, CRS corps de la paix, MENRS, PAM
Caractéristiques des clients
- enfants handicapés sourds-muets
- parents géniteurs
- parents parrains
- bailleurs : USAID équipement logistique
PAM et CRS logistique
Corps de la paix : mobilier
MENRS : matériel didactique.
2. Avez-vous des avantages compétitifs ?
oui, en dehors de laformation professionnelle il y a le suivi et la réinsertion
3. Non
4. Avez - vous une culture dans votre ONG ?
Les animateurs sont un modèle.
Ils ont un esprit de sacrifice et de disponibilité
5. Oui
Nous établissons, des rapports d'activités etfinanciers réguliers et fiables.
122
* Les Bénéficiaires :
- les jeunesfilies et femmes (scolarisées, déscolarisées et non scolarisées)
- Les paysans (bénéficiaires d'infrastructures socio-communautaires)
- Les enfants ou handicapés et leurs parents (géniteurs ou parrains)
2. Oui, notre ONG a des avantages compétitifs ou des compétences distinctives comme :
- l'alphabétisation (dans une localité enclavée)
- la grande expérience acquise dans notre domaine après plus de 9 ans
d'activité.
- le couplage de laformation professionnelle avec laformation scolaire
classique.
- le suivi et l'installation des apprenants ayant bénéficié de notre formation,
bref des acquis ou compétences que les autres ONG ne possèdent pas encore.
4. Oui, nous avons une culture dont quelques éléments distinctifs peuvent être :
-Au sein de notre ONG, les membres sont des camarades en association
- Les bénéficiaires de nos actions sont nos partenaires
- Toi4s les membres de notre ONG font preuve d'humilité (nous recevons
courtoisement aussi bien le paysan que le bailleurs de fonds).
- Les animateurs de notre ONG sont des modèles prêts à se sacrifier et toujours
disponibles.
5. Oui, nous faisons l'effort de nous conformer au cahier de charge des bailleurs grâce à
l'établissement des rapports d'activitéfiablesenvoyés trimestriellement aux bailleurs.
123
LIVRES
125
LE LIVRE JOURNAL
REPORT
Total à reporter
126
FOLIO
ONG XXX GRAND LIVRE Compte:
Site/Projet : Compte :
PERIODE: NUMERO
Total.
Fait à. le 19.
3 - CARTE DEMEMBRE
Recto Verso
Nom
Prénoms
N o m de l'épouse
Profession
Nationalité Date d'adhésion.
Né(e) le Part sociale
A Sortie le
Fils (fille)de Président
et de Secrétaire
Résidence et adresse Titulaire
TITULAIRE MANDATAIRE
Compte N°..
Sociétaire N°
Photo
Date d'adhésion
Nom
Prénoms. Nom.
Date et lieu de naissance Prénoms.
Adresse Date et lieu de naissance
Village Commune Adresse
Sous-préfecture Village Commune
Je Sous-préfecture
Signature, Sigttature du gérant le
Cachet Signature du mandataire
•
129
5 - LIVRET DE CAISSE
6 - LIVRE DE BANQUE
SOLDE
DATE LIBELLES N°PJ DEBIT CREDIT DEBITEUR CREDITEUR
130
7- CONTRAT DE CREDIT
Crédit N° le
NOM ET PRENOMS.
DENOMINATION DE LA STRUCTURE.
OBJET DU CREDIT.
77 a été accordé à la personne ou la structure ci-dessus désignée un crédit
Les conditions suivantes
• Montant octroyé F CFA
• Taux d'intérêt. %l'an
• Montant à rembourser. F CFA
( en lettres et en chiffres)
• Dates de remboursement : lere échéance dernière échéance
• garanties offertes : * Caution Scolaire
* Caution personnelle
* Biens mis en gage
• Autres conditions : Le bénéficiaire s'engage à respecter
1. Les échéances de remboursement
2. Utiliser le crédit pour l'activité indiquée dans la demande
3
4.
CAHIERS
132
LE CAHIER DE RECETTES
REPORT
Total à reporter
133
LE CAHIER DE DEPENSES
REPORT
Total à reporter
134
ONG BPF..
B.P.F:.
PIECE DE CAISSE DEPENSE N°.
Remise à
Pour.
Cotonou, le....
Le comptable,
pour.
,1e.
Reçu
Je soussigné
pour.
,1e.
BROUILLARD DE CAISSE
CHAPITRE
OBJET:
PERIODE Du
Date
N° d'enregis Libellé Recettes Dépenses
138
FACTURE N°
Doit:
Référence :
TOTAL
Arrêté la présente facture à la s o m m e totale de :
PÁYELE.
Chèque
Espèces .,1e. IS
L_J
Mandat
139
2
3
M
M
M
CO
H
H
D
O
03
09
>
ïf
il
.
Total à reporter
140
CO
O
M
o
e
o
i
CD
RECETTES DEPENSES
2
FICHE DE STOCK
>
21
O
O
§ /
/ 2
/
(/3 Janv Fév Mars Avril Mai Juin Juillet Août Sept Octobre Nov Dec TOTAL
I - ENCAISSEMENTS
/- Opérations courantes
- Services facturés
- Intérêts /placements
- Dotations budgétaires
- Dons
- Cotisations
- Subventions
TOTAL
II - DECAISSEMENTS
/- Opérations courantes
- Achats
- Frais de personnel
- Impôts et taxes
- Autres charges externes
CLASSE
C o m p t e s d e capitaux permanents ^ ^ ^ ^ H
1
10 CAPITAL 10 CAPITAL
100 Capital social ou personnel 101 CAPITAL S O C I A L
103 CAPITAL P E R S O N N E L
105 Fonds de dotation 102 CAPITAL P A R D O T A T I O N
109 Comptes de l'exploitant 104 C O M P T E D E LEXPLOITANT
11 RÉSERVES
110 Primes d'émission 1051 Primes d'émission
111 Réserve légale 111 RÉSERVE L É G A L E
12 REPORT À N O U V E A U 12 REPORT À N O U V E A U
CLASSE
C o m p t e s de valeurs immobilisées
2
21 IMMOBILISATIONS
210 Terrains 22 TERRAINS
2100 Terrains de construction et chantiers 223 TERRAINS BÂTIS
2104 Terrains d'exploitation 2211, 2212 Terrains d'exploitation
2105 Autres terrains 2288 Autres terrains
2108 Amortissement 282 A M O R T I S S E M E N T S D E S TERRAINS
des terrains d'exploitation
24 IMMOBILISATIONS D É T R U I T E S —
PAR FAITS D E G U E R R E
CLASSE CLASSE
Comptes de stocks Comptes de stocks
3 3
30 MARCHANDISES 31 MARCHANDISES ,
300 Marchandises A 311 MARCHANDISES A
301 Marchandises B 312 MARCHANDISES B
309 Provisions pour dépréciation 391 DÉPRÉCIATIONS DES STOCKS
des marchandises DE MARCHANDISES
35 P R O D U I T S FINIS 36 P R O D U I T S FINIS
350 ProduitsfinisA 361 PRODUITS FINIS A
351 ProduitsfinisB 362 PRODUITS FINIS B
359 Provisions pour dépréciation 396 DÉPRÉCIATIONS DES S T O C K S
des produits finis D E PRODUITS FINIS
CLASSE
4
Comptas de tiers ^^^H
40 F O U R N I S S E U R S 40 FOURNISSEURS
ET C O M P T E S RATTACHÉS
400 Fournisseurs ordinaires 401 FOURNISSEURS, DETTES EN COMPTE
407 Fournisseurs retenues de garantie 4 0 9 5 , 4096 Fournisseurs, retenues de garantie
408 Fournisseurs avances et acomptes 4 0 9 1 , 4 0 9 2 Fournisseurs, avances et acomptes
versés sur commandes d'exploitation versés
41 C L I E N T S 41 CLIENTS E T C O M P T E S R A T T A C H É S ]
410 Clients ordinaires 4111 Clients et 4 1 1 2 Clients-Groupe
411 Clients, État et collectivités publiques 4 1 1 4 Clients, État et Collectivités publiques j
4 1 2 Clients douteux 4 1 6 2 Créances douteuses
4 1 7 Clients, retenues de garantie 4195, 4196 Clients, retenues de garantie
-1 c- ChcEis. avances ei acomptes reçus 4191, 4192 Clients, avances et acomptes reçus
- ^, . - È — . ^ - ^ ^ ,.» ..-(—.^
- •T1Í 0¿ IProv-jions
V - v - - - , -.T,^- r^->i,r
pour idepreciation
j n r j - n n - , . , ñniuncieres
n i n ~i .»r.»£ •ji
-h¿l nppsp.'urr.'iw
DEPRECL-vriONï i
des comptes clients DES C O M P T E S CLIENTS 1
42 PERSONNEL 42 PERSONNEL 1
420 Avances et acomptes au personnel 421 PERSONNEL, AVANCES ET ACOMPTES 1
425 Rémunérations dues au personnel 422 PERSONNEL, RÉMUNÉRATIONS DUES I
426 Dépôts du personnel 427 PERSONNEL-DÉPÔTS
427 Oppositions 4231 Personnel, oppositions
428 Comité d'entreprise 4252 Syndicats et Comités d'entreprise,
d'établissement
44 ASSOCIÉS
440 Impôts et taxes recouvrables 4424 Impôts et taxes recouvrables £
sur les associés sur des associés K
46 D É B I T E U R S E T C R É D I T E U R S D I V E R S
460 Obligations 4712 Créditeurs divers
4423 Impôts et taxes recouvrables
sur des obligataires
461 Versements restant à effectuer 472 VERSEMENTS RESTANT À EFFECTUER
sur titres non libérés SUR TITRES N O N LIBÉRÉS
462 Caution et dépôts reçus 165 DÉPÔTS
ET C A U T I O N N E M E N T S R E Ç U S
463 Sécurité sociale 431 SÉCURITÉ SOCIALE
464 Emballage et matériels consignés 4194 Clients, dettes pour emballages
et matériels consignés
465 Emballage et matériels à rendre 4094 Fournisseurs, créances
pour emballages et matériels à rendre
466 Organismes publics internationaux 45 ORGANISMES INTERNATIONAUX
468 Divers 47 DÉBITEURS E T C R É D I T E U R S DIVERS
469 Provisions pour dépréciation financière 497 DÉPRÉCIATIONS DES C O M P T E S
des comptes débiteurs divers DÉBITEURS DIVERS
47 C O M P T E S D E RÉGULARISATION-PASSIF
470 Charges à payer 166 INTÉRÊTS C O U R U S
408 FOURNISSEURS, F A C T U R E S
N O N PARVENUES
428 P E R S O N N E L , C H A R G E S À PAYER
438 O R G A N I S M E S SOCIAUX
C H A R G E S À PAYER
448 ÉTAT, C H A R G E S À PAYER
4818 Fournisseurs d'investissement,
factures non parvenus
474 Ristournes, rabais et remises à accorder 4198 Rabais, Remises, Ristournes
et autres avoirs à accorder
475 Produits perçus 477 PRODUITS C O N S T A T É S D ' A V A N C E
ou comptabilisés d'avance
a
Des compte * \*m 1957 aux comptas du S1jf§|
CLASSE
C o m p t e s financiers ^ ^ ^ ^ H
5
54 C H È Q U E S ET C O U P O N S À ENCAISSER 51 V A L E U R S À ENCAISSER
540 Chèques 513 C H È Q U E S À ENCAISSER
545 Coupons 5186 Coupons échus à l'encaissement
56 B A N Q U E S ET C H È Q U E S POSTAUX
560 Banque centrale (BCEAP)
5600 Comptes disponibles
5606 Comptes soumis à restriction
562 Autres banques 521 BANQUES LOCALES
5620 Comptes disponibles
' 5626 Comptes soumis à restriction
57 CAISSE 57 CAISSE
570 Caisse siège social 571 CAISSE SIÈGE SOCIAL
571 Caisse succursale ou usine A 572 CAISSE S U C C U R S A L E A
59 VIREMENTS INTERNES
590 Virements de fonds 585 VIREMENTS D E F O N D S
60 ACHATS 60 A C H A T S E T VARIATIONS D E S T O C K S
600 Achats de marchandises 601 ACHATS DE MARCHANDISES
601 Achats de matières premières 602 ACHATS DE MATIÈRES PREMIÈRES
ET FOURNITURES LIÉES
6,02 Achats de matières consommables 604 ACHATS STOCKÉS DE MATIÈRES
ET FOURNITURES CONSOMMABLES
607 Achats d'emballages commerciaux 608 ACHATS D'EMBALLAGES
63 T R A V A U X , F O U R N I T U R E S
E T SERVICES EXTÉRIEURS
630 Loyers et charges locatives 622 LOCATIONS ET C H A R G E S LOCATIVES
66 FRAIS DIVERS D E G E S T I O N
660 Publicité et propagande 627 PUBLICITÉ, P U B L I C A T I O N S ,
RELATIONS PUBLIQUES
661 Missions et réceptions 6383 Réceptions et 6384 Missions
662 Fournitures de bureau 6047 Fournitures de bureau
663 Documentation générale 6265 Documentation générale
664 Frais de P.T.T. 628 Frais de télécommunications
665 Frais d'actes et de contentieux 6325 Frais d'actes et de contentieux
666 Cotisations et dons 635 COTISATIONS et 6582 D O N S
CLASSE
C o m p t e s d e produits par nature
7
:?
71 SUBVENTIONS 71 S U B V E N T I O N S D'EXPLOITATION
D'EXPLOITATION REÇUES _s
72 VENTES D E DÉCHETS
ET D'EMBALLAGES RÉCUPÉRABLES
720 Ventes de déchets 704 V E N T E S D E PRODUITS RÉSIDUELS 1
725 Ventes d'emballages récupérables 7074 Bonis sur reprises et cessions d'emballa
!
73 R É D U C T I O N S U R V E N T E S 70 VENTES \
730 Rabais, remises et ristournes hors factures Les RRR accordés sont portés directement [
au débit des comptes ventes concernés
735 Pénalités sur marchés 655 C H A R G E S RÉSULTANT D E PÉNALITÉ
E T D E DÉDITS ( 1 ) l3
'S
(1) (Création suggérée) •;,
74 R I S T O U R N E S , R A B A I S E T R E M I S E S .]
O B T E N U E S . PRIMES E T DÉDITS
SUR VENTES
740 RRR obtenus des fournisseurs Comptes 60, 61, 62, 63
Les RRR obtenus des fournisseurs sont portés
directement au crédit des comptes achats concern
745 Bonifications obtenues des clients 7078 Autres produits accessoires '!
749 Primes et dédits sur ventes 755 P R O D U I T S R É S U L T A N T D E PÉNALITl
ET D E DÉDITS ( 1 )
76 P R O D U I T S A C C E S S O I R E S j
760 Produits des services exploités 7077 Services exploités Í
dans l'intérêt du personnel dans l'intérêt du personnel •
762 Redevances pour brevets, licences, etc. 7076 Redevances pour brevets, logiciels...
767 Bonis sur reprise d'emballages consignés 7074 Bonis sur reprises d'emballages
77 P R O D U I T S FINANCIERS
770 Revenus des titres de participation 772 R E V E N U S D E PARTICIPATIONS
771 Revenus des titres de placement 774 R E V E N U S D E TITRES D E P L A C E M E N T
772 Intérêts des prêts 771 INTÉRÊTS D E PRÊTS
773 Intérêts des comptes courants débiteurs 771 INTÉRÊTS D E PRÊTS
774 Escomptes obtenus 773 ESCOMPTES OBTENUS
775 Jetons de présence, tantièmes, 7581 Jetons de présence et
rémunération d'administrateurs etc. autres rémunérations d'administrateurs
779 Autres produits financiers 77 R E V E N U S FINANCIERS
ET PRODUITS ASSIMILÉS
Comptes de résultats
87 PERTES E T PROFITS •
853 D O T A T I O N S A U X PROVISIONS
P O U R DÉPRÉCIATION H . A . O .
8755 Provisions pour pertes et charges 69 D O T A T I O N S A U X PROVISIONS
854 D O T A T I O N S A U X PROVISIONS
P O U R RISQUES E T C H A R G E S H . A . O .
876 Impôts sur les bénéfices 89 I M P Ô T S S U R LE R É S U L T A T
8760 Impôts sur les bénéfices 891 I M P Ô T S S U R LES BÉNÉFICES
de l'exercice D E LEXERCICE
8762 Impôts sur les bénéfices 892 RAPPELS D ' I M P Ô T S
des exploitations antérieures SUR RÉSULTATS A N T É R I E U R S
(rappels et dégrèvements)
8991 Dégrèvements d'impôts
sur résultats antérieurs
877 Profits résultant de subventions 865 REPRISES D E S U B V E N T I O N S
d'équipements D'INVESTISSEMENT
878 Subventions d'équilibre reçues 88 S U B V E N T I O N S D'ÉQUILIBRE
879 Pertes sur exercices antérieurs 79 REPRISES D E PROVISIONS
et pertes exceptionnelles 86 REPRISES H . A . O .
couvertes par des provisions
88 R É S U L T A T S 130 RÉSULTAT
E N INSTANCE D'AFFECTATION E N I N S T A N C E D'AFFECTATION
89 B I L A N —
890 Bilan d'ouverture
891 Bilan de clôture
"V
^
Des comptes du Plan 1957 aux comptes du SYSCOA
164
BILAN - ACTIF
Charges immobilisées
Frais d'établissement et charges à répartir 20 Frais d'établissement
Amortissement des frais d'établissement et charges 208 Amortissement des frais d'établissement
à répartir
Primes de remboursement des obligations 206 Primes de remboursement des obligation
Amortissement des primes de remboursement des 208 Amortissement des frais d'établissement
obligations
Immobilisations incorporelles
Frais de recherche et de développement —
Immobilisations corporelles
Terrains 210 Terrains
l
Amortissements des terrains 2108 Amortissements des terrains d'exploitai
Provisions pour dépréciation des terrains 2109 Provisions pour dépréciation des tenaii
Bâtiments 212 Constructions
232 Immobilisations en cours - Construct»
Amortissements des bâtiments 2128 Amortissements des constructions
Provisions pour dépréciation des bâtiments —
Immobilisations financières
Titres de participation 26 Titres de participation
Provisions pour dépréciation des titres 269 Provisions pour dépréciation financière
de participation des titres de participation
Autres immobilisations financières 25 Prêts à plus d'un an
27 Dépôts et cautionnements
51 Prêts à moins d'un an
Provisions pour dépréciation des autres 259 Provisions pour dépréciation des prêts
immobilisations financières
Actif circulant H . A . O .
Dépréciations des comptes de créances H . A . O .
Stocks
Marchandises 30 Marchandises
Matières premières et autres approvisionnements 31 Matières premières
32 Matières consommables
37 Emballages commerciaux
En-cours 36 Produits ou travaux en cours
Produits fabriqués 35 Produits finis
33 Produits résiduels
34 Produits semi-ouvrés
Trésorerie Actif
Titres de placement 55 Titres de placement et bons du Trésor
Capital 10 Capital
Actionnaires, capital non appelé 441 Actionnaires, capital non appelé
Primes et Réserves
Primes d'apport, d'émission, de fusion 110 Primes d'émission
Écarts de réévaluation 118 Réserves spéciales de réévaluation
Réserves indisponibles 111 Réserve légale
112 Réserves statutaires et contractuelles
114 Réserves provenant de subventions
d'équipement
Réserves libres 115 Réserves facultatives
Report à nouveau 12 Report à nouveau
Résultat net de l'exercice (bénéfice + ou perte - ) 80 Exploitation générale
870 Résultats d'exploitation de l'exercice
88 Résultats en instance d'affectation
Autres capitaux propres
Subventions d'investissement 14 Subventions d'équipement reçues
Provisions réglementées et fonds assimilés
Trésorerie - Passif
Banques, crédits d'escompte
Banques, crédits de trésorerie 56 Banques (soldes créditeurs)
Banques, découverts 56 Banques (découverts)
ACTIVITÉ D'EXPLOITATION
Achats de marchandises 600 Achats de marchandises
740 R . R . R . obtenus des fournisseurs
Variation de stocks 30 Stock initial / 30 Stock final
Achats de matières premières et fournitures liées 601 Achats de matières premières
740 R . R . R . obtenus des fournisseurs
Variation de stocks 31 Stock initial / 31 Stock final
Autres achats 602 Achats de matières consommables
607 Achats d'emballages commerciaux
633 Petit outillage
634 Fournitures faites à l'entreprise
(électricité, eau, gaz)
662 Fournitures de bureau
740 R . R . R . obtenus des fournisseurs
Variation de stocks 32 Stock initial / 32 Stock final
37 Stock initial / 37 Stock final
Transports 64 Transports et déplacements
740 R . R . R . obtenus des fournisseurs
Services extérieurs 63 Travaux, fournitures et services extérieurs
(sauf 633 et 634)
66 Frais divers de gestion
(sauf 662, 667 et 669)
674 Frais de banque et de recouvrement
675 Frais d'achat sur titres
677 Commissions sur ouverture de crédit,
caution, aval
740 R . R . R . obtenus des fournisseurs
Impôts et taxes 62 Impôts et taxes
735 Pénalités sur marchés
8722 Impôts, rappels et dégrèvements
8747 Pénalités et amendes fiscales
8748 A m e n d e s pénales
Autres charges 615 Rémunérations des administrateurs,
gérants, associés
666 Dons
667 Frais de conseils et assemblées
669 Jetons de présence
735 Pénalités sur marchés
8740 Réalisations d'immobilisations corporelles
8745 Créances irrécouvrables
8749 Pertes diverses
8751 Dotations aux provisions pour dépréciation
Charges de personnel 61 Frais de personnel (sauf 615)
ACTIVITÉ FINANCIÈRE
Frais financiers 67 Fraisfinanciers(sauf 674, 675 et 677)
8743 Réalisations des titres de placement
8746 Lots
8751 Dotations aux provisions pour dépréciation
Pertes de change 8744 Différences de change
Dotations aux amortissements et aux provisions 681 Dotations aux amortissements
685 Dotations aux provisions
875 Dotations aux provisions hors exploitation
ou exceptionnelles
ACTIVITÉ D'EXPLOITATION
Ventes de marchandises 70 Ventes de marchandises
730 Rabais, remises et ristournes hors factures
Ventes'de produits fabriqués 70 Ventes de produits finis
730 Rabais, remises et ristournes hors factures
Travaux, services vendus 70 Travaux et prestations de services
720 Ventes de déchets
730 Rabais, remises et ristournes hors factures
766 Prestations de services
Production stockée (ou déstockage) 33 Stockfinal/ 33 Stock initial
34 Stockfinal/ 34 Stock initial
35 Stockfinal/ 35 Stock initial
36 Stockfinal/ 36 Stock initial
Production immobilisée 7801 Production d'immobilisations
par l'entreprise
Produits accessoires 725 Ventes d'emballages récupérables
74 Primes et dédits sur ventes
76 Produits accessoires
Subventions d'exploitation 71 Subventions d'exploitation reçues
Autres produits 749 Primes et dédits sur ventes
775 Jetons de présence, tantièmes,
rémunérations d'administrateurs
8720 Rentrées sur créances amorties
8721 Reprises sur provisions antérieures
8749 Profits divers
Reprises de provisions 7850 Charges couvertes par des provisions
7851 Travaux de l'entreprise couverts
par des provisions
8721 Reprises sur provisions antérieures
879 Pertes sur exercices antérieurs couverts par
des provisions
Transferts de charges 7800 Travaux de l'entreprise pour frais
d'établissement
ACTIVITÉ FINANCIÈRE
Revenus financiers 77 Produitsfinanciers(sauf 775)
8721 Reprises sur provisions antérieures
8743 Réalisations des titres de placement
8746 Lots
Gains de change 8744 Différences de change
VI-ANNEXES
175
1- ALLOCUTIONS
1-1- Ouverture
DISCOURS D'OUVERTURE DE MONSIEUR Sébastien AGBOTON
COORDONNATEUR DU PROJETBMZ/ UNESCO
Nous avons défini en gros l'éducation comme un processus que l'on met en œuvre
pour amener l'individu ou la collectivité à construire les différents aspects de son savoir.
Elle est de base lorsqu'elle s'organise toujours pour amener l'individu ou la collectivité à
apporter les premières réponses aux insuffisances ou au manque de connaissance lère en
matière de nutrition, santé, alphabétisation, hygiène, environnement, démocratie,
économie, culture, loisirs, etc.. Nous avons donc opté, en définissant les différentes
éducations en question, plus pour une démarche participative qui amène les apprenants à
construire leurs savoirs que pour celle de la transmission des savoirs.
176
Nous voici aujourd'hui à la 3eme étape non moins importante qui est celle de la
formation d'une O N G d'éducation de base. L'éducation de base et ses domaines
d'applications bien définis, il s'agit pour nous maintenant d'amener les participants à
connaître et à comprendre comment assurer la gestion administrative financière et
comptable des O N G d'éducation de base dans une approche participative, au respect des
grands principes de l'attitude éducative, pédagogique et andragogique qui concrétisent
les conclusions des ateliers précédents et qui favorisent le développement d'un esprit de
tolérance, du respect de la personne humaine, de la transparence et de la bonne
gouvernance à tous les niveaux de l'organisation et de ses activités. C'est ce qui
différencie la gestion des O N G des autres institutions que sont les établissements scolaires,
les entreprises, les sociétés, etc. puisque le rapport entre les compagnons de lutte,
volontaires et parfois bénévoles, ne sont pas les mêmes que les relations entre employeurs
et employés pour qui l'objectif principal est, non pas de mener une action humanitaire
mais plutôt la lutte pour une accumulation de pouvoirs et de biens.
Monsieur le Représentant Régional de ¡'UNESCO, nous allons à la fin de nos
travaux mettre en place un réseau d'ONG d'éducation de base pour faire en sorte que les
investissements engagés jusqu'à présent soient régulièrement suivis, coordonnés et
développés afin qu 'ils ne soient pas vains mais porteurs de résultats efficaces pour le bien
être de chacune des populations bénéficiaires de nos activités et pour notre contribution
au développement durable de notre pays, le Bénin.
Je vous présente toutes mes félicitations pour tout ce qui a été abattu comme
travail dans le cadre de ce projet pour lequel nos attentes sont grandes.
Je dois également vous présenter mes excuses pour n 'avoir pas participé
aux premiers ateliers. Cela était dû à mes occupations administratives.
Je vous conseille de rechercher les voies et moyens pour une bonne
application des différents processus qui conduiraient vers une meilleure méthode
d'alphabétisation notamment en matière de l'action d'animateur itinérant que vous
êtes auprès des adultes dont vous avez si bien défini l'andragogie.
Mettez donc bien en pratique les résolutions des différents ateliers. Leur
bonne application nous conduira à identifier parmi vous les ONG sérieuses au
moment de constituer unfichiersur les ONGfiablesdu BENIN pour les Nations-
Unies. En cas de besoin, on leur fera alors appel avec le concours du CAEB.
Vous n 'avez donc pas le droit de négliger les aspects bénéfiques de ces
ateliers car j'y ai appris moi-même beaucoup de choses après la lecture des deux
(02) premiers rapports.
Je vous remercie
179
1-2- Clôture
Mesdames, Messieurs,
Ces deux idées forces de ces deux rencontres références en matière d'éducation
s'adressaient avant tout aux différents Ministères chargés de l'éducation dans toutes les
Nations de notre planète.
Ce sont là de véritables programmes, de vastes programmes qu 'aucun Etat, si
développé soit son pays, ne peut réaliser seul. C 'est pourquoi il a été fait appel aux
sociétés civiles, aux secteurs privés et aux ONG.
Qui dit besoins éducatifs fondamentaux dit éducation de base des couches sociales
concernées.
Ainsi le Projet BMZ/UNESCO que j'eus le privilège de vous présenter à l'ouverture
du premier de la série des ateliers qui s'achèvent ce jour, a donné l'occasion au Bénin, par
l'intermédiaire du CAEB, de mettre en place un comité de pilotage chargé de sélectionner
parmi les ONG d'éducation, celles qui exécutent des programmes d'Education de Base et
d'en retenir vingt (20) de création récente pour participer aux ateliers de renforcement de
leurs capacités techniques et administratives, sous l'encadrement prioritaire des ONG les
plus avancées en la matière auxquelles s'ajoutent, selon les besoins exprimés, des
consultants indépendants et des chefs de services des structures étatiques concernées.
Au cours de l'enquête de recensement des ONG indiquées, nous avons visé
essentiellement cinq dimensions :
- L'existence physique de l'ONG
- Ses objectifs en matière d'Education de Base
- Ses réalisations en la matière
- Ses capacités techniques, administratives et matérielles
- Ses besoins deformation
Les besoins deformation exprimés, classés et capitalisés par catégories nous ont
amenés à programmer une série de trois ateliers :
- Formation en Education de Base
- Formation en alphabétisation
- Formation en gestion d'une ONG d'Education de Base
Ces trois ateliers se sont déroulés dans les locaux du CAEB, respectivement du 19
au 29 Janvier 1999, du 17 au 22 Avril 1999 et du 25 Mai au 1er Juin 1999.
181
Au cours du premier atelier il nous a fallu d'abord partir des deux concepts-clés
de notre entreprise : ' 'éducation "et " éducation de base ' '.
Les participants ont défini l'éducation comme " un processus mis en œuvre pour
faire acquérir un savoir, un savoir-faire et un savoir-être à un individu ou à un groupe
d'individus en vue de son auto-promotion et de sa participation active au développement
de sa société ' '
L'éducation de base, quant à elle, se veut être ' 'unprocessus visant l'acquisition de
connaissances initiales et fondamentales auxquelles a droit un individu ou une
communauté pour lui permettre de faire face à ses différentes responsabilités dans la
société ' '
Ce premier atelier fit découler ensuite de la seconde définition ainsi formulée les
domaines où s'exercent l'éducation de base% les cibles et les structures concernées et les
systèmes éducatifs qui pratiquent l'éducation de base.
Pour l'âge auquel l'individu ou la communauté a droit à l'éducation de base, les
participants ont été unanimes pour déclarer que l'Education de Base peut s'acquérir à
tout âge selon le domaine retenu.
Les travaux du premier atelier se sont en outre poursuivis par des communications
actives sur les différents principaux domaines de l'éducation de base et finir par des
activités pratiques en groupes, soit sur le terrain, soit en salle avec un souci constant de
mise au point d'outils pédagogiques à verser dans la trousse pédagogique des formateurs
itinérants qu 'étaient ou que deviendront les participants aux différents ateliers.
Le second atelier, ' ' formation en alphabétisation ' ' s'est donné comme objectif
principal de partir, comme pour les deux ateliers, des outils pédagogiques existants pour
clarifier les différentes étapes d'élaboration d'un programme d'alphabétisation
fonctionnelle suivant la démarche d'un séminaire opérationnel. Les résultats obtenus à
l'issu de cet atelier, malgré le temps trop court pour réaliser l'ambition de l'encadrement,
permettent de reconnaître que les uns et les autres ont accordé aux travaux un intérêt
particulier et fort appréciable. Les fiches élaborées pour la trousse pédagogique le
démontrent dans les différentes étapes : présentation d'affiches réalisées au cours de
l'atelier pour des discussions socio-économiques, phases de l'étude du son du jour,
élaboration commune de textes en langues nationales, etc..
182
C 'est dans ce cadre que, par le biais du CAEB, L'UNESCO a fait identifier les
besoins en formations des ONG d'Education de Base. Suite à ce travail préliminaire, une
série de trois (3) ateliers deformation a été initiée au profit d'une vingtaine d'ONG venues
de tous les six départements du Bénin.
Je vous remercie
L'acte éducatif est un sacerdoce qui requiert beaucoup de sacrifice. Il n 'a pas de
gain matériel. Ilfaut en être conscient et agir et évoluer dans cet esprit.
Votre richesse réside dans les acquis des formations comme celle-ci et surtout dans
les résultats satisfaisants que vous pouvez tirer de l'application des idées reçues. N'hésitez
donc pas agir une fois que vous aurez bien ciblé sur le terrain les bénéficiaires de vos
actions.
Votre représentant a souhaité en votre nom l'appui du MENRS. Je me ferai votre
fidèle porte-parole auprès de lui, avec l'espoir qu 'il accordera à cette demande l'intérêt
qu 'elle mérite.
C 'est en vous souhaitant bon retour dans vos familles que je déclare clos les
travaux de l'atelier 3 sur la formation en gestion des O N G d'Education de Base.
189
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NOM ET PRENOMS ONG CONTACT
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Observations
Tel Bur Tel Dont Fax EMail Adresses
BP 1484 Coordonnateur
AGBOTON Sébastien CAEB 21 38 60 22 22 35 2127 47 cae b@le land, bj Porto-Novo du projet
<^M
BP 1324 Consultant du
caeb@leland. bj Porto-Novo projet
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Directeur de
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3128 98 32 40 11 l'atelier
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BP 1484
SAIZONOU G. Antoine CAEB 21 38 60 21 38 60 2127 47 Porto-Novo Facilitateur
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06BP733
g.
Cotonou
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36 70 00 36 70 00 Facilitateur
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D'CUCK
OKOYA Francis Informatique Facilitateur
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53 01 64 BP 166Dassa-
HOUNGNINOU Barnabe SURVIE (Message) Zoumè Secrétaire
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32 62 96
00
1- BOSSOU Chantai
2- OKPEICHA Odjouola
Casimir
3- DETCHENOU
Patrick
4- OGAN A. Hortense
5- SEGOUN B. Maxime
6- ADJANOHOUN Boris A. D
7- AFFODEGON Damienne
8- GNIMASSOUN Emmanuel
9- BANKOLE H Fidélia
10-OGOUMA Célestine
U-OGOUNDO Sabine
12-OKOUNDE Léon
J3-KPAOSSOU
GROUPE 2
1- ZOUNON Casimir
2- HOUETO Chantai
3- HOUNDJO Félicien
4- ESSE Kouassi Christophe
5- KARIM Guera Moussa
6- BESSAN Michel
7- AHOUANSOU G. Dieudonné
8- AGASSOUNON G. Thomas
9- DAGBETO S. Nathalie
10-.KOUDERIN A. Cyrille
11-EL-HADJI SARANA Houwélatou
GROUPE 3
1- DOSSAVI Ginette
2- AZANHOUE Gaston
3- ABOUMON Azaratou
4- AMAGBEGNON Jean-Benoit
5- DJIDONOU Léonard
6- AGBOYIDOU Paul
7- SEKPON Raymond
8- AKOUEDENOUDJE Rosine
9- KICHE Félix
10-BADOU S. Josiane
195
GROUPE I
1- OKOUNDE Sabine
2- HOUNDJO Félicien
3- DOSSAVIGinette
4- GNIMASSOUNDamien
GROUPE II
1- DAGBETO S. Nathalie
2- AMANGBEGNON J. Benoît
3- SEGOUN B. Hortense
4- ABOUMONAzaratou
GROUPE III
1- KARIMOU Guera Moussa
2- BESSANMichel
3- SEKPON Raymond
4- OKPEICHA Odjouola
GROUPE IV
1- KPAOSSOULéon
2- AGBOYIDOUPaul
3- KOUDERIN Cyrille
4- OGAN Patrick
GROUPE V
1- BADOUJosiane
2- ESSE Kouassi Christophe
3- DECHENOU Casimir
4- DJ1D0N0U Léonard
GROUPE VI
J- AHOUANSOU G. Dieudonné
2- BOSSOU Chantai
3- ZOUNON Casimir
4- OGOUMA Fidélia
GROUPE VII
1- HOUETO Chantai
2- AKOUEDENOUDJE Rosine
3- KICHEElie Félix
4- OGOUNDO Celestine
GROUPE VIII
1-AZANHOUE Gaston
2- EL-Hadj SARANA Houwélatou
3- AGASSOUNON Thomas
4- ADJANOHOUN Maxime
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201
SYNTHESE DE L'EVALUATION
1 2 3
Synthèse
En % de
1 et de 2
3-Hébergement
Le taux de satisfaction ici est passé de 68% à 80,6 %.
4-Ambiance de travail
94,5 % des stagiaires ont apprécié l'ambiance de travail qui a prévalu lors de cet
atelier, ce qui équivaut à une légère régression par rapport à l'atelier N° 2 où 100% des
participants s'étaient dits satisfaits de l'ambiance de travail.
C-CONTENU DE LA FORMATION
1-Pertinence des thèmes développés
A 94,5 % les participants ont trouvé que les thèmes développés au cours de cet
atelier étaient non seulement pertinents mais en adéquation avec leurs besoins
2-Contenu de la formation
Dans l'ensemble, tous les thèmes semblent avoir été très bien abordés et développés
puisque les apprenants affirment avoir été satisfaits à 100% du point de vue de la qualité
des communications. Thème par thème, les taux de satisfaction oscillent entre 91,7 % et
97,2 %. Seule la communication sur l'informatique est en deçà de 90 %, soit 83,4 %.
205
D-SUGGESTIONS
Sur les 36 participants ayant participé à l'évaluation générale, seulement 10 ont
fait des suggestions dont voici la teneur :
- Organiser d'autres ateliers deformation
- Réduire l'effectif par chambre
- Alléger les grilles
- Approfondir les thèmes
CONCLUSION
Le taux très élevé de satisfaction des participants à cet atelier s'explique sans
aucun doute par les efforts déployés par l'équipe de pilotage du Projet BMZ/UNESCO
pour tenir compte d'un atelier à l'autre des besoins en formation, des observations et
doléances des participants. On peut aussi inscrire à l'actif de ces résultats l'habitude que
les participants ont eu de façon croissante à travailler ensemble depuis le premier atelier
et, de ce fait, de mieux se connaître, de mieux se comprendre pour mieux faire avancer les
débats vers les objectifs fixés.
FICHE DE LOCALISATION DES ONG POUR LES VISITES
DE TERRAIN (*)
DEPARTEMENT:
NOM DE L'ONG :
Siège :
Tel :
Fax :
E-mail
Boite Postale :
Responsables : Président :
Directeur Exécutif :
Chargé de Programme :
Heures d'ouverture :
Sites d'application des actions
Actions envisagées en rentrant et après en rapport avec les idées reçues au cours de :
Atelier I
Atelier II
Atelier III
Porto-Novo, le...
Signature et Nom
L'an mil neuf cent quatre vingt dix neuf et le trente et un Mai s'est tenue au CAEB
à Porto-Novo à partir de 17 h, l'Assemblée Générale constitutive du Réseau des ONG
d'Education de Base du Bénin (RONGEB-Bénin).
Ont pris part à cette rencontre, les ONG opérant dans le domaine de l'éducation de
base au Bénin et ayant suivi les trois ateliers déformation des ONG d'éducation de base
organisés par le CAEB sous l'égide de l'UNESCO dans le cadre du projet BMZ/UNESCO.
Il faut en outre ajouter les ONG ASTED et GAED qui ont été représentées par leurs
présidents.
L'Assemblée Générale constitutive s'est déroulée suivant trois (3) principales
séquences :
- Ouverture des travaux ;
- Examen des statuts ;
- Election d'un bureau.
En ouvrant les travaux à 17h, le Président du CAEB et Coordonnâtes du projet
BMZ/UNESCO, Monsieur Sébastien AGBOTON, a salué la démarche suivie par les
participants depuis cinq (5) mois dans la constitution du Réseau. Leur présence à ces
assises a-t-il souligné révèle l'intérêt que les institutions représentées portent à l'éducation
de base au Bénin et constitue la marque de leur disponibilité à œuvrer ensemble pour la
promotion des activités éducatives dans notre pays.
Abordant le deuxième point inscrita l'ordre du jour les attentions ont été focalisées
sur les points de discussion identifiées après la série de séances d'amendements relatifs à
la première mouture du texte proposé au premier atelier en Janvier dernier.
Quant à la méthodologie elle a consisté en une lecture intégrale par chapitre pour
des discussions sur les passages portant amendements marqués en trame sur le document.
Au nombre des amendements les plus importants retenus il faut mentionné que la
terminologie CONSEIL D'ANIMATION ET DE GESTION a été retirée au profit du
CONSEIL D'ADMINISTRATIONpuisque le mode de réunion du CA ne lui confère pas un
fonctionnement quotidien. Ensuite le nombre de membres a été maintenu à cinq ; mais il a
210
été retenu d'ajouter que les animateurs principaux des départements sont membres de
droit de cet organe.
Des questions importantes concernant le logos et le siège ont été abordées. Les
grands traits du logos ont été proposés et la mise en forme serafinaliséepar un
spécialiste. Le siège estfixéau CAEB à Porto-Novo.
Il a été retenu de mettre en place un comité provisoire d'administration pour
entreprendre les tâches urgentes notamment en ce qui concerne l'inscription du Réseau au
MISAT et la rédaction d'un avant-projet de règlement intérieur qui sera amendé et adopté
par une autre Assemblée avant le dépôt des dossiers en vue de la reconnaissance officielle.
Après élection ledit Comité se présente comme suit :
Président CAEB
Secrétaire Général ASSODIV
Trésorier ASUNOES
Secrétaire à l'information et à laformation CARP
Secrétaire à l'organisation ACFD
Enfin le Président du CAEB a clôturé les travaux en remerciant les participants et
en insistant sur la nécessaire disponibilité des représentants que les ONG élues
désigneront.
Il a également fait mettre dans un bref délai la mouture définitive des statuts à la
disposition des ONG présentes. Ensuite le Bureau Provisoire a reçu pour mission de
préparer un avant - projet de règlement intérieur qui sera amendé et adopté à la
prochaine Assemblée Générale.
Les travaux ont prisfinà 20 h 45 mn.
3 è m e Atelier du projet B M Z / U N E S C O
Pour la promotion de Véducation
de basa
Le Conseil des Activités éduca- plément de deux autres tenus d u animateurs itinérants partici-
tives du Bénin (CAEB) sis à 19 au 29 janvier 1999 puis du 17 pants auront droit à des notions
• Porto-Novo abrite depuis mardi au 22 avril dernier. Il avaient res- en gestion des ressources
dernier un séminaire atelier sur • pectivement ' pour thème: humaines, des projets, de micro-
le thème: Formation en gestion Formation des O N G en éduca- crédits etc. Le marketing, l'infor-
des O N G d'éducation de base. tion d e base et formation des matique (initiation) et l'internet
Financé par l'Unesco, ce sémi- O N G en alphabétisation. C'est leur seront également enseignés.
naire réunit pendant 8 jours des justement sur la question de l'al- Ce qui fait la spécificité de ce
représentants d'ONG venus de
tous les départements du Bénin. phabétisation q u à mis l'accent séminaire c'est l'accent particu-
M . Frédéric Jondot, représentant lier mis sur les travaux pratiques