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Première séance 

La causalité déterministe lors de surclasse

Le modèle de base est fondé sur cinq blocs liés par des relations, la première
version est déterminante le premier bloc impacte le 2ème bloc et ainsi de suite :

1er bloc : Condition de base expliqué par le coût de l’information

2ème blocs : structures des marchés

3ème blocs : comportements figurent la quantité –qualité –prix et l’acquisition fusion-


entente

4ème blocs : politiques gouvernementales

5ème blocs : résultats

Pas d’effet de retours et les flux vont vers une seule direction.
La 2ème version va tenir compte d’un de ses effets de retours, de rolation plus au
moin complexe des différentes blocs.

L’EI ne peut pas se développé sans les services et vice versa.

Les moyens de communication permettent d’offrir des services grâce à l’industrie,

Entendre l’industrie au sens large qui inclut les services.

Bien industrielle qui intègre les services,

Le domaine de l’économie industrielle c’est l’étude du comportement des firmes


c’est à dire des agents économiques qui ‘ont une grande forme à l’inverse de la
micro économie qui s’intéresse à l’étude de l’individu.

Dons l’économie industriel nous somme en d’hors des hypothèses de la concurrence


pure et parfaite.

Première partie : les concepts fondamentaux de l’EI.

Se distingue par la mobilisation d’un certain nombre de concepts par lequel figure la
barrière à l’entrée.

La notion du barrière à l’entrée :

Ce concept constitue un outil de démarcation par rapport à l’économie néo-classique


et, à ce titre, rend compte de la dynamique concurrentielle dans un secteur donné.
Par la même occasion il met en avant les conditions d’entrée sur un marché et leur
impact sur la viabilité des firmes.
 La 1er barrière c’est le montant du capital,
 La 2 ème barrière c’est l’accès à la technologie
 La 3 eme est l’eco d’échelle et d’apprentissage, réduction des coûts.
 la réglementation peut constituer une barrière de l’entrée
 la publicité et la communication

La notion de la barrière à la sortie :

celles-ci concernent de nombreux facteurs qui rendent le retrait d’un marché fort
problématique D’abord il s’agit d’actifs spécifiques ,comme des machines que l’on ne
peut pas réutiliser ou redéployer pour un autre usage (textilehabillement versus
électronique grand public par exemple). Ces actifs freinent la mobilité intersectorielle
des ressources et engendrent des coûts de sortie. Ces actifs spécifiques ont
également une dimension immatérielle (marque, réputation de la firme…). Ensuite, il
faut mentionner d’autres facteurs comme le coût associés aux licenciements
(indemnités), aux reconversions (mobilité, formation…) et aux engagements
contractuels de moyen et long terme avec les clients, les fournisseurs,

La 1 ère barrière c’est le capital physique (les machines et les équipements selon la
nature de l’industrie)

La 2 ème barrière c’est la réputation et l’image de marque.

Le personnel formé (dépenser d’argent)

Licencié (payé des indemnités)

Les fournisseurs et les sous-traitants

La sortie coûte énormément chère.

Troisième concepts : les marchés contexte 1

Quitter ce marché sans trop dépenser d’argent et vous pouvez le quitter sans
dépense =l’entrée et la sortie sont librement

Les marchés contestables : cette notion vise à montrer que dans quelques situations
l’entrée et la sortie d’un marché ne posent pas de sérieux problèmes, en ce sens que
d’une part l’entrée est libre et que, d’autre part, la sortie se fait sans coût , cette
notion stipule qu’il n’existe pas de barrière à l’entrée matérialisée par un
désavantage quantitatif et qualitatif aux dépens des entrants potentiels et que la
sortie s’effectue sans coût, dans ce cadre l’entreprise n’a pas à supporter des coûts
irrécupérables.

4 ème concepts : l’intégration verticale

Ce concept rend compte d’une situation où une firme décide de maitriser l’essentiel
de l’enchainement d’un ensemble d’opérations qui se succèdent au sein du
processus de production, lequel se termine par la mise à la disposition du client un
bien économique.

Elle privilégie donc le « faire » (internaliser) que le « faire faire » (externaliser).

L’auto fabrication sans le recours aux autres prestataires optés pour l’internalisation

L’externalisation représente la désintégration verticale

Univopole : plusieurs et/ses

Traité des économies aréna et d’autre plus de 700 pages

Désintégration verticale : une firme se débarrasse de certaines opérations et se


concentre donc sur son métier de base.

L’oligopole : Il s’agit d’une structure de marché dans laquelle au moins 3 firmes se


partagent un marché. Cette structure est sans aucun doute la plus fréquente, elle
prend trois configurations :

 oligopole homogène au sein duquel la concurrence passe par les prix,


 Oligopole différencié, dans cette optique la concurrence passe par la
différenciation, oligopole avec frange, ici l’oligopole est concentré entre les
mains de quelques entreprises avec une frange concurrentielle constituée par
des entreprises de taille plus modeste qui occupent des niches

Le monopole naturel : ce concept renvoie aux industries de réseau (électricité, gaz,


eau, chemins de fer, télécommunications, routes…) qui se distinguent par de lourdes
infrastructures ainsi que des entretiens continus. Cette notion suggère donc la
présence de coûts fixes élevés quelque soit le volume de la production, et donc
l’impératif de réaliser des économies d’échelle qu’une seule entreprise ne peut
réaliser pour entrer dans ses frais.

Séance prochaine : concept de la stratégie la partie B =l’apport des nouvelles


théories de la firme à l’EI mais uniquement la théorie des coûts de transaction une
partie de la page 7 8 9 10

-Stratégie

La notion du stratégie n’est pas propre à l’EI, elle figure parmi les concept clé d’une
autre discipline économique comme l’EI à travers les stratégies des firmes
multinationale dans tous le cas c’est une notion au cœur de l’EI .

Pour donner une définition simple a la stratégie d’après l’économiste américain


Chandler :

(La stratégie consiste à déterminer les objectifs et les buts fondamentaux à long
terme d’une organisation (entreprise) puis à choisir les modes d’action et d’allocation
des ressources qui permettront d’atteindre ces buts et objectifs)

L’horizon temporel de la stratégie et les moyens et longs thermes, si vous lancer un


nouveau pdt sur le marché, la diffusion prend une dimension très importante que sur
des années le résultat apparait, si vous introduiser ds nouveaux stratégie ds l’ense
vous

2 ème la stratégie affecte l’ensemble l’oraganistaion de l’entreprise et ses relations


avec le marché.

Troisièmement revoir les dimensions pour atteindre les objectifs d’ordre stratégique
au niveau du machine et personnel, il ne suffit pas d’avoir une vision stratégique, il
importe aussi de mettre en œuvre les moyens adéquats (dimension tactique) pour
atteindre les objectifs stratégiques

Et enfin la stratégie est potentiellement irréversible.


Stratégie d’impartition ou coopération  :

Deux entreprises cherche la complémentarité : les rapports entre les entreprises au


sein d’un secteur ne sont pas uniquement frappés par le sceau de la concurrence,
mais également de la coopération et ce dans des domaines divers ce qui permet de
réaliser des économies d’échelle, d’exercer une pression sur les fournisseurs pour
réduire les prix, transport et logistique avec utilisation en commun de moyens de
transport,

Stratégie de croissance interne ou externe : se développer par le recours au marché,


acheter un part ou acquisition d’une partie de capital ou fusion ou participtaion croisé
au niveau du cappital , cet égard dans le premier cas la firme se développe par ses
propres moyens (achat ou location du terrain, construction du site industriel, achat et
installation des machines, embauche et formation des salariés, choix des
fournisseurs…) ; dans le second cas elle procède autrement : achat ou acquisition
d’une entreprise concurrente ou complémentaire, fusion, participations croisées

Elle peut concerner des etreprise complémentaire ou qui ont la même activité
principale

Renault achète nisan

Les stratégies de croissance externe peuvent être :


horizontales Horizontale : entre des entreprises ayant le même métier

Verticale : activités complémentaire, entre des firmes complémentaires.

conglomérales : des entités ayant des activités totalement différentes les unes
des autres : exemple, agroalimentaire et télécommunications)
Stratégie des réduction des coûts : chiffre d’affaire important devrait baissé et
réduire les coûts .Introduire des machine ou pour augmenté la productivité et par
elimnistaion de toutes sorte de gaspillage,.

Laquelle se déploie par le biais de la chasse continue aux gaspillages, de


l’élimination des redondances, de l’amélioration des modes opératoires et des
modalités de coordination intra et interentreprises…, ce qui permet d’augmenter la
productivité, et donc de baisser les coûts.

Stratégie d’innovation : il s’agit ici de chercher à avoir un avantage concurrentiel par


rapport à ses rivaux en jouant la carte de l’innovation. Plusieurs configurations sont
possibles que nous empruntons à Schumpeter :

proposer aux consommateurs un produit et ou un service nouveau, ou du


moins d’une qualité nouvelle d’un bien économique,
utilisation de nouvelles matières premières ou de nouvelles sources
énergétiques (charbon, acier, électricité….versus énergies renouvelables,
lithium, fibres de Carbonne, etc.),
recours à de nouvelles méthodes de production qui combinent organisation et
technologie (Organisation Scientifique du Travail, les méthodes de production
fordistes,.),
utilisation de nouvelles innovations commerciales comme la vente-achat par
internet…

Elle doit innover par innovation radicale majeur ou rupture

Radical : transformer les structure éco, introduire les nouvelles technologique.


Rupture : consiste à rendre accessible ce qui paraissait hors de portée. Crée
une nouvelle catégorie de produits qui n’existait pas
Innovation incrémentale : consiste à faire évoluer le produit ou service sans en
changer ses caractéristiques fondamentales. ex téléphone portable innovation
d’amélioration

Type d’innovation :

 Innovation frugale : destiné à une partie de clientèle qui ont pas les moyens
et répondre à leur besoin selon son pouvoir.
 Innovation de pdt et service
 Réduction des coûts par l’organisation

4 axes : les relations entre les entrperises,


Relation de monopole ou casimonoploe par la croissance externe et grâce aux
nouveaux échos à travers le e-Commerce.

L’apport des théorise de firme à l’EI :

Nous examinons trois approches théoriques de la firme qui sont au cœur de la


nouvelle EI, à savoir la théorie des coûts de transaction, la théorie de l’agence et la
théorie évolutionniste. On commence par la théorie des coûts de transaction

La théorie de transaction par wilamson à travers l’organisation verticale

Renold Coase :la nature de la firme livre article qui date de 1937, pose cette
question : si le marché est le mode de coordination économique le plus efficace,
pourquoi existe-t-il des firmes ? Réponse : le recours au marché (régi par le système
des prix dans la tradition néo-classique) n’est pas gratuit, il engendre des coûts que
l’analyse néo-classique ignore, les coûts de transaction. Coase rejette ainsi
l’hypothèse de la transparence et soutient que l’accès à l’information n’est ni gratuit
ni librement disponible. Il faut donc engager des dépenses pour réaliser des
transactions :

 coûts de découverte de prix d’équilibre ou adéquats,


 coûts de découverte de partenaires fiables,
 coûts de négociation, de rédaction et de suivi des contrats.

Le recours aux marché n’est pas gratuite taxé à toutes les infos qui induit des coûts
de transaction liées aux prix et aux partenaires

si les coûts de transaction sont élevé :le recours de l’entreprise à fabriquer soit


même les pdt

baisée :les coûts aux matchés ,ouverture aux


frontières

Coase stipule que ces coûts jouent un rôle central pour départager entre « faire »
(internaliser) ou « faire faire » (externaliser), et donc s’interroge sur les « frontières »
de l’entreprise : si les coûts de transaction sont élevés, il serait préférable de recourir
à la première option, s’ils sont faibles, il vaudrait mieux recourir au marché. La
justification de l’existence de la firme réside donc dans le fait que cette dernière
réduit les coûts de transaction. Etant imparfait, le marché n’est pas l’unique mode de
coordination économique.

durant les années 1970-1980, fondateurs de couts de transaction :williamson


élabore la théorie des coûts de transaction. Il insiste sur le caractère essentiel des
choix des formes organisationnelles alternatives au marché, en fonction des coûts de
transaction, il retient à cet égard les hypothèses suivantes :

1 hypothèse de rationalisation limité : l’acteur économique est doté d’une rationalité


limitée , Williamson admet que le comportement du décideur économique n’est pas
aiguillonné par une rationalité substantive qui le conduit à prendre la meilleure
décision (optimisation), et ce pour les raisons suivantes ; - il n’a pas accès à toutes
les informations, - sa capacité de réception, de stockage et de traitement de
l’information est étriquée, - il a aussi des limites au niveau cognitif, ne peut pas tout
calculer, tout anticiper, - il ne peut maîtriser parfaitement les conséquences de ses
décisions, - il ne sait pas comment vont réagir les concurrents .

2 capacité de calcule

3 viser l’optimisation des concurrents

4 problèmes d’asymétrie d’information entre les acteurs éco

Comment sera l’éco ds deux ans ? L’incertitude sur le comportement des agents éco

celle-ci renvoie à divers aléas et autres perturbations auxquels doit faire face
l’entreprise : comportement inattendue des partenaires, manque d’informations,
retournement de la conjoncture économique, décision gouvernementale…, cela
provient en partie du fait que par nature le contrat est souvent incomplet : on ne peut
prévoir d’avance toutes les éventualités possibles.

Kuz auteur

Etude de cas sur la relation entre amateurs et ficher tiré de l’ouvrage de willimson

Lires cette étude de cas éxamen 1H09


La firme intruse

Fisher et sa stratégie

Séance 3 :la théorie de l’agence

Cette approche est la version moderne de la théorie néo-classique, Pour l’essentiel


les économistes qui lui sont affiliés admettent que le marché est efficient, que l’agent
économique est parfaitement rationnel et est capable de faire des anticipations
rationnelles . . Quant à l’entreprise, elle est présentée comme un nœud de contrats
entre des agents économiques libres et rationnels. L’importance de cette théorie
vient en premier chef du fait qu’elle sert de support et de justification à la thèse sur la
gouvernance d’entreprise qui a pris de l’ampleur depuis les années 1980 et qui,
selon laquelle, il faut développer le principe de la valeur actionnariale qui fait la part
belle aux actionnaires au détriment des autres parties prenantes.

Autres étude de cas : même explication

La théorie des néolibérale

Quelle sont les mécanismes qui permet d’aligner l’intérêt manageriel sur l’actionnaire
?

Comment réduire les couts d’agence ?

Actionnaire exige l’audit interne et externe

Mécanise de surveillance et de contrôle

Mécanisme d’incitation : bonnuce

Achat d’actions du sociéte dirigante

Stratégie d’une croissance externe des socié cotée en bourse

Cas d’émrone :hauteur


Tecla marque de voiture 450 000 unité la cotation en bourse 10 fois par rapport a ces
concurrent qui produisent beaucoup par rapport à elle 

Séance 4 : Théorie évolutionniste de la firme

Théorie évolutionniste) qui apportent de nouveaux éclairages sur les modes


d’organisation industrielle (recours au marché ou à l’organisation, concentration,
apprentissage et innovation, etc.) Elles partagent avec la théorie des coûts de
transaction la rationalisation

Prend en considération l’évolution

3 mots clés: diversités, mutation et sélection

Diversité : différence entre les firmes, s’explique par les routines lié a chaque
entreprise

Les firmes mobilisent des connaissances codifiées, standardisées, répétitives

Elle fait appel à d’autres routines dites dynamiques ou méta-routines orientées


principalement vers l’apprentissage, la résolution de problèmes et le développement
de nouveaux produits ou services

Mutation radical comme Toyota au paravent spécialisé dans le textile

Sélection : proche des concepts clé de l’EI basée sur les barrières à l’entrée

Spécialement la barrière technologique et l’action au crédit ou ressource financière et


barrière institutionnel ou basé sur l’état .

Innovation a des effets sur la concurrence sur le marché sur le mode d’allocation et
les barrières a l’entrée jouent un rôle très importante.

Tecla entreprise dynamique qui joue des rôles d’innovation

La partie C : de l’examen avec document autorisé une heure

Presentation générale du modèle de base de L’EI , repose sur 5 piliers :

Conditions de base (1), Structures des marchés (2), Comportements (3), Politiques
gouvernementales (4) et Résultats (5).
Trois bloc qui nous intéresse :

Bloc mixte basé sur l’offre et la demande

Entreprise ne peut pas produire sn lesq matière première et sans le recours a la


technologie et à l’industrie 2rle loc qui sont les tructure du marché ,la nature de
marché monnopole ou oglipole ,les barrière à l’entrée et la structure des couts et la
desintégration verticale à une autre structure et enfuin la structure conglumirale qui
ne bouhe pas tellement

3blioc comportement ou de la straétgie des fime la politique des prix de production,


de publicité ;de recherche et d évleoppement et les moyen juridiques ou
contractuelle

4 bloc politique gouvernementale avec les politique macro éco a réglementation


régulation, l’investissement publique les incitation investissement et enfin zone
contrat programme 5ème bloc liées ai tous cequi est performance avec la éfficacité de
la production ,les allocation des ressources le progré technique .

Les structure de marché detremine impacte ou influence le comportement des


entreprises et ce dernier détermine le résultat donc c’est un shéma déterministe

La première phase historique :

1945----- 1980 Trente glorieuse

Seconde guère mondial, des pays dévasté

Le 1 er souci c’est reconstruire le pays et rebatir les infrastructures en donnat des


facilités aux entreprise dynamique ;

Chaque pays essaye à donner des soufle et créer des filières dans plusieurs
domaines pour reconstruire l’économie.

2ème points, secteur stratégique comme la défense l’aéronautique aérospatial,


l’énergie et télecomminication.

Assister à la mise en place des nouveaux monopoles naturels.

Dans notre pays ils ont disparut le monopole naturel comme cusomar, le tabac, OCP
Des situations des oligopoles tels que l’automobile 

L’etat joue un rôle important dans la recherche et le dévloppement

Ds beucoup de secteur c’est une structure oligopole institustionnelle

Politique gouvernementale : rebâtir l’infrastructure, efficacité dans la production de


masse .

Troisième bloc : les performances et les résultats à partir des années 50

L’allocation des ressources il faut faire des reservre et eloigner du gaspillage

Le progé technique vas se produire ds differnte domaine mélitaire agrucluture et les


emplois

Absence du chômage ,un progrès social

Les performances: production à grande échèle, emploi

Glorieuse pour la France canada Italie grande Bretagne

Stratégie d’impartition ou d’externalisation:

L’externalisation consiste, pour une entreprise, à confier à des partenaires extérieurs


la réalisation de ses activités non stratégiques. Elle est également appelée stratégie
d'impartition.
Il existe plusieurs formes d'externalisation :

la sous-traitance ; le donneur d'ordres définit les caractéristiques du produit,


les sous-traitants ne disposant d'aucune initiative.
la franchise ; La franchise met en relation un franchiseur qui apporte un
savoir-faire commercial et des méthodes de gestion, et un franchisé qui
bénéficie de ces avantages en contrepartie d'une redevance.
la concession ; La concession est un contrat durable par lequel une entreprise
(le concédant), s'engage à approvisionner en produits de sa marque une autre
entreprise (le concessionnaire) et à lui apporter une assistance technique
(formation, par exemple) en contrepartie d'obligations telles que le respect de
quotas de vente, le service après-vente, la participation aux actions
promotionnelles, la conformité à un cahier des charges.
les filiales communes ; Les filiales sont des sociétés dont le capital est détenu
à plus de 50 % par une autre entreprise, appelée la société mère. Les
entreprises mettent en commun certaines activités. Ainsi, deux sociétés
peuvent créer une filiale commune dont le capital sera détenu à 50 % par
chacune d'entre elles. La filiale peut prendre aussi la forme d’une entreprise
conjointe (joint-venture).
Le Groupement d'intérêt économique (GIE). Le GIE (groupement d'intérêt
économique) est un accord par lequel deux entreprises au moins décident de
rassembler des moyens dans une personne morale nouvelle, en vue de
réaliser des activités communes à toutes.

Les stratégies de croissance externe pullulent via d’incessantes opérations de


fusion-acquisition

Le mouvement continu ; durant pas mal d’année l’accès au crédit est faible ce qui
pousse d’autre entreprise a s’endetter pour réaliser une plus valus par l’achat
l’acquisition la fusion dans plusieurs secteur.

Les firmes émergentes descendent dans l’arène et mettent la main ou « avalent »


des entreprises européennes, américaines…

Revenant aux nouvelles technologiques innovations transversale qui touchent


plusieurs secteurs économiques car il ne touche pas uniquement les entreprise mais
également l’administration et la famille,

Cette dynamique technologique et de l’information ne sont pas identique car on


trouve que dans le secteur de la recherche c’est développé.

TIC : technologie de l’information et de la communication

L’essor spectaculaire des TIC fait émerger de nouveaux acteurs, les GAFA, qui sont
devenus au fil du temps de véritables mastodontes jouissant d’une situation de
quasi-monopole et donc d’un pouvoir de marché se sont des entreprises multi
service et multi produite comme Amazon qui s s’attaquent de front à la grande
distribution, la santé, l’énergie, l’intelligence artificielle, la voiture autonome, la
presse…. Elles sont multiproduits et multiservices. Au départ, Amazon, par exemple,
vendait en ligne des livres, puis a intégré la vente de produits électroniques,
l’équipement de la maison, les produits frais….Cet essor donne lieu à de nouveaux
modèles d’affaires articulés autour de la dynamique des réseaux et des plates-
formes numériques.

Les résultats :

Le chômage est (relativement) élevé, les jobs mal rémunérés

L’impact majeur de la crise de 2008 et la crise sanitaire

Une accélération du progrès social

Deux classes moyennes elle produit et elle consomme, le problème de déclassement


social

Examen Final :

Etude de cas ou 3 questions

Deux Direct et une indirect

Faire des petites synthèses

une entreprise est en situation de monopole, lorsqu’en présence d’une


multitude d’acheteurs, elle est seule à offrir un certain type de bien. Le
marché est ainsi caractérisé par la détention de l’offre totale, du bien
considéré, par un seul producteur. Une telle situation de monopole pur
est rarement atteinte, car elle implique non seulement l’existence d’un
seul producteur pour un produit, mais aussi l’absence de substitut très
proche à ce produit, l’élasticité croisée de la demande de ce bien par
rapport aux prix des autres biens doit donc être trop faible.

Quatre causes principales expliquent l’existence de monopoles :-les


économies d’échelle de la situation de monopole naturel : on dit qu’il y a
monopole naturel sur un marché lorsque, pour tout niveau de production,
le coût des facteurs utilisés est minimal, quand la production est réalisée
par une seule entreprise, tels que dans les secteurs du transport, de la
télécommunication, ... etc.-le contrôle d’une ressource rare ou d’un
brevet.-l’État peut accorder sa protection à une entreprise particulière, on
parle alors de monopole institutionnel ou d’Etat.-les lois de la
concurrence peuvent conduire à des situations de monopole : la volonté
délibérée d’une entreprise d’éliminer ses concurrentes du marché en
menant une «guerre des prix», est qualifiée de « comportement de
prédation »

Soit un monopole composé de plusieurs établissements, tous


produisant un même bien homogène mais en utilisant des
technologies différentes, donc chacune aurait une structure de coût
spécifique.Dans cette situation, l’objectif du monopole est double :
non seulement déterminer son offre de production optimale, mais
également répartir celle-ci entre ses différents établissements. Le
critère de répartition étant que le monopole produit chaque unité
dans l’établissement où le coût est le moins élevé.Les causes d’une
telle structure de monopole sont les suivantes :-une branche
d’activité où les rendements d’échelle sont fortement décroissants.
Les établissements faisant partie du monopole entrent
successivement en activité, chaque fois où le coût moyen atteint un
niveau élevé.-les coûts de transport sont élevés par rapport à la
valeur du bien. Ceci légitime l’organisation de l’activité du monopole
sous la forme d’un réseau spatial
une branche dont l’activité n’est pas uniforme au cours du temps. Le
nombre d’établissements qui constituent le monopole est, dans ce
cas, prépondérant de l’intensité de l’activité.

Le monopole naturel est un concept de référence de l'économie de la réglementation. Il est au cœur


de la justification de l'intervention publique dans les activités industrielles majeures que sont
l'énergie, le transport, les communications et les services d'environnement. L'état de la
réglementation dans ces industries, dites de réseau, sera étudié dans le chapitre suivant. Celui-ci est
consacré aux analyses théoriques. La première partie présente la conception traditionnelle – celle de
l'économie publique – du problème de monopole naturel, et sa résolution par la tarification
administrée, c'est-à-dire par la fixation par l'État du prix de vente des produits du monopole. La
deuxième partie expose l'ensemble des solutions qui sont aujourd'hui proposées par l'économie
industrielle face au problème du monopole naturel. Elle conduit à restreindre le domaine
d'application de la tarification administrée. La troisième partie est consacrée aux modèles de la
théorie des incitations qu'applique la nouvelle économie publique de la réglementation au monopole
naturel.
Il y a monopole naturel sur un marché si le coût minimal du bien est obtenu lorsque la totalité de la
production est assurée par une seule firme [Sharkey, 1982]. Cette situation conduit l'économie
normative à une recommandation atypique : la préférence est donnée à l'organisation de la
production en monopole plutôt qu'à l'organisation atomisée du marché de concurrence parfaite.
Dans le cas général, le monopole est réprouvé car il conduit à fixer des prix supérieurs et des
quantités inférieures à ceux correspondant à l'optimum collectif, mais ici le monopole permet de
produire plus efficacement, car à moindre coût…

Argument du monopole naturel :

On parle de situation de «monopole naturel»lorsque le coût total (social) de production d’un bien est
minimum dès lors que sa production estconfiée à une seule entreprise
Il est socialement plus efficace de confier la production du bien à une seule firme plutôt qu’à un petit
nombre (2) de firmes strictement identiques, ayant accès à la même technologie de production (donc
ayant les mêmes conditions de coût)

Socialement efficace = socialement moins coûteux

Un monopole naturel est un monopole dont l'existence découle d'une production dont les
rendements sont croissants. On dit que les rendements sont croissants car plus l'entreprise accroît sa
production, moins le coût unitaire est élevé. Le coût de production d'une unité étant décroissant,
l'accroissement des ventes permet de répartir les coûts fixes sur des volumes plus importants, si bien
que le coût moyen baisse quand la production augmente. Cette baisse est si importante qu'une seule
entreprise peut fournir l'ensemble du marché tout en restant plus compétitive que tout autre
concurrent. Dans ce type de production, la concurrence tend à diminuer au fur et à mesure qu'une
entreprise se développe et tire parti d'un coût moyen de production de plus en plus faible par
rapport à celui de ses concurrentes.

Le monopole naturel permet :

 une meilleure exploitation des économies d’échelle (efficace)


o La production par une entreprise est moins coûteuse que plusieurs entreprises
 Un fort pouvoir de marché (inefficace)
o sans pression concurrentielle, le monopole augmente ses marges, en créant une
perte sèche pour la société.

À partir des années 1980, dans de nombreux pays à économie de marché, les pouvoirs publics
ont lancé de véritables programmes de libéralisation de secteurs jusqu'alors considérés comme
relevant du monopole naturel : transport aérien et ferroviaire, télécommunications puis gaz et
électricité.

Ces programmes comprenaient toujours

 une phase de déréglementation avec abolition des dispositions légales et


réglementaires qui formalisaient les monopoles existants et facilités pour les nouveaux
entrants ;
 l'identification des fonctions destinées à rester en monopole, en général les
infrastructures essentielles de réseau et obligation aux entreprises en place de séparer
ces activités de celles réputées concurrentielles ;
 une nouvelle réglementation sectorielle destinée notamment à détecter les éventuels
financements croisés entre activités monopolistiques et concurrentielles ainsi que les
éventuels abus de position dominante
Dans le secteur des télécoms, c'est principalement le problème de l’accès, qu’il soit simple ou
réciproque, qui a été au cœur des problématiques depuis les années 1990. Dans le cas de
l’accès simple, c’est le risque qu’un détenteur d’une infrastructure ou facilité essentielle
utilise sa position de monopole sur cette infrastructure pour exclure du marché ses concurrents
qui constitue le risque majeur. Dans le cas de l’accès réciproque, entre deux réseaux utilisant
chacun l’infrastructure de l’autre, ce sont principalement des enjeux de collusion et de
comportements anticoncurrentiels qui dominent.

Ces marchés étaient (et sont encore pour une bonne part) organisés en monopole nationaux
pour deux raisons objectives :

1. L’effet de réseau puisque l’utilité de ses services dépend directement du nombre de


personnes raccordées.
2. L’importance pour les autorités politiques et militaires de s’assurer du contrôle et de
l’efficacité de ses services.

Les transporteurs privés de courriers sur les secteurs ouverts à la concurrence (pli express
notamment) ont montré que la duplication des réseaux était viable en pratique. De même
l’interopérabilité des opérateurs téléphonique organisée par les pouvoirs publics à partir des
années 1980 a permis d’ouvrir à la concurrence ces services. Cela s’est traduit partout par une
forte baisse des prix

Le secteur des eaux et assainissement est l'archétype du monopole naturel. La pose de


conduite nécessite de lourds investissements, et les matières véhiculées par ces conduites ont
un coût très faible, de sorte que l'essentiel du prix payé par le consommateur provient du
réseau et que le doublement des infrastructures conduirait à un gaspillage inutile.

Le principe des trois couches est ici totalement inopérant, car on ne voit pas comment deux
exploitants ou plus pourraient utilement injecter de l'eau dans le réseau et la facturer à leurs
clients de façon indépendante… L'essentiel des coûts étant concentré dans les infrastructures,
c'est le niveau de la redevance pour l'usage (et l'entretien) des tuyaux qui constitue la seule
question qui vaille

2ème question :

Stratégie d’impartition ou de coopération : les rapports entre les entreprises au sein d’un secteur
ne sont pas uniquement frappés par le sceau de la concurrence, mais également de la coopération
et ce dans des domaines divers. Gardons à l’esprit que cette coopération laisse intacte la forme
juridique des partenaires et que chacun de ces derniers garde une autonomie au niveau de la prise
de décision et donc ne s’engage que pour une période déterminée avec des objectifs précis et des
ressources adéquates.

Quant aux domaines de ce type de stratégie, ils sont nombreux ; - Recherche&Développement, ici
on cherche à mobiliser des complémentarités, à créer des synergies entre les partenaires car la
R&D est souvent onéreuse, risquée…- production : ici 2 ou 3 firmes, sinon plus, mettent en place
des plates-formes pour produire des pièces communes, ce qui permet de réaliser des économies
d’échelle, d’exercer une pression sur les fournisseurs pour réduire les prix…, - transport et
logistique avec utilisation en commun de moyens de transport, etc. Ce type de stratégie est
également d’ordre intersectoriel, liant des entreprises qui opèrent dans des secteurs différents :
chimie, électronique, métallurgie
3ème questions :

Les barrières à la sortie : celles-ci concernent de nombreux facteurs qui rendent le retrait d’un
marché fort problématique D’abord il s’agit d’actifs spécifiques (voir plus loin), comme des
machines que l’on ne peut pas réutiliser ou redéployer pour un autre usage (textile-habillement
versus électronique grand public par exemple). Ces actifs freinent la mobilité intersectorielle des
ressources et engendrent des coûts de sortie. Ces actifs spécifiques ont également une
dimension immatérielle (marque, réputation de la firme…). Ensuite, il faut mentionner d’autres
facteurs comme le coût associés aux licenciements (indemnités), aux reconversions (mobilité,
formation…) et aux engagements contractuels de moyen et long terme avec les clients, les
fournisseurs, etc.

Une barrière à l'entrée est un obstacle qui va empêcher (ou freiner) une entreprise de s'implanter
sur un marché et qui va obliger celles souhaitant y entrer à réaliser des efforts importants.

Ces barrières à l’entrée peuvent prendre la forme :


- de besoins en capitaux
- d’accès aux circuits de distribution
- d’existence de brevets
- de capacité de représailles des firmes présentes
- de subventions publiques
- de préférence nationale…

Une barrière à la sortie est un obstacle qui va obliger une entreprise à rester en activité sur un
marché ou un segment de marché sur lequel il n'y a plus ou peu de rentabilité.

Ces barrières à la sortie peuvent prendre la forme :


- d’immobilisations spécifiques à une activité
- de contrats existants avec les clients
- de craintes pour l’image de marque
- de coûts liés à la sortie
- de perte de pouvoir de négociation avec les parties
- de perte de confiance des actionnaires
- d’aspects politiques
- de raisons psychologiques et affectives

Les barrières à la sortie sont des obstacles qui rendent difficile la sortie d’un secteur donné,
obligeant une entreprise à rester sur le marché même si elle souhaite passer à un autre marché
ou fermer complètement. Ceux-ci représentent un obstacle à la mobilité qui peut limiter les
déplacements au sein d’une économie ou d’un marché. Les barrières à la sortie peuvent
également potentiellement créer une barrière à l’entrée, ce qui décourage l’entrée sur un
marché en raison des coûts élevés associés à la sortie.
Le fait de quitter un marché peut être coûteux ; les entreprises peuvent avoir des obligations
telles que le loyer et la masse salariale à respecter, et peuvent ne pas être en mesure de payer
les frais de clôture. En outre, une entreprise peut disposer d’un équipement et d’un personnel
très uniques qui ne peuvent pas être transférés vers un nouveau marché. Il peut être difficile
de vendre des équipements complexes sur un marché limité où la plupart des entreprises ont
déjà ce dont elles ont besoin et n’ont pas particulièrement envie d’équipements spécialisés
d’occasion d’une autre entreprise. Ces immobilisations peuvent créer un obstacle important à
la sortie.

Certaines entreprises créent leurs propres barrières à la sortie. Il peut s’agir d’une décision
stratégique pour avertir les concurrents qu’une entreprise envisage d’établir et de maintenir une
présence dans une industrie et n’a pas l’intention de partir. Lorsque les conditions du marché
changent ou qu’une entreprise souhaite changer d’orientation, les barrières qu’elle a créées peuvent
entraîner un problème ; une entreprise peut se retrouver coincée avec une installation à usage
spécial qu’elle ne peut pas vendre, par exemple.

Dans une industrie avec des barrières à la sortie, les entreprises peuvent entrer dans un état statique
dans certaines conditions de marché. Leur incapacité à quitter le marché peut interférer avec les
adaptations du marché et peut rendre plus difficile de tirer parti des changements dans le climat des
affaires. Cela peut également créer une situation dans laquelle des entreprises stagnantes pèsent sur
un marché parce qu’elles ne peuvent pas partir, tandis que les entreprises plus récentes peuvent
rencontrer des barrières à l’entrée créées par ces entreprises. L’existence d’un grand nombre
d’entreprises établies dans une industrie peut rendre difficile l’entrée par effraction.

Les approches pour faire face aux obstacles à la sortie sont variables. Dans certaines régions, les
entreprises travaillent sur des mesures telles que des usines et des équipements adaptables qui
peuvent être réutilisés pour d’autres usages. Si un constructeur automobile décide d’arrêter la
fabrication d’un modèle donné, par exemple, les machines utilisées dans sa production peuvent être
vendues ou déplacées vers une autre ligne de production. Les limites réglementaires peuvent
également être modifiées par le biais du lobbying et de nouvelles propositions législatives, afin de
faciliter la transition des entreprises entre les secteurs et les marchés.

Sur un marché, les entrées et les sorties d’entreprises ont des conséquences importantes sur la
nature du marché. Lorsqu’il y a libre entrée sur un marché, les firmes installés sont
exposées à une concurrence potentiel (des firmes qui souhaiteraient s’installer).
Les barrières à l’entrée constituent l’ensemble des éléments qui permettent aux formes
installées d’être protégé de cette pression/concurrence potentiel et donc de ne pas être
menacé par des firmes postulante.
Bain, en 1956 est le premier à traiter des barrières à l’entrée.

Définition générale des barrières à l’entrée :

Toutes les caractéristiques d’un secteur d’activité qui bloc ou rendent difficiles
l’entrée de nouvelles entreprises.
- Définition de Bain : tous les avantages que possèdent les entreprises installées sur
les entrant potentiels.
- Ce qui rend non profitable l’entrée d’une nouvelle entreprise

Mécanisme d’entrée sur un marché : les profits attirent d’autres entreprises.


Si une entreprise est protégée des concurrents extérieurs, cela signifie qu’elles peuvent
pratiquer un prix leur permettant un profit positif durable. (Ex : monopole, avec un
profit positif durable).
Sur un marché l’entrée peut être :

Bloquée (les barrières à l’entrée sont élevées). Les entreprises sur le marché n’ont pas
besoin de mettre en place de stratégie.
- Accommodé (les barrières sont faibles). Les entreprises en places sont
accommodantes donc
les stratégies qui viseraient à empêcher les entreprises postulante de s’installer ne sont
pas efficiente. Les coûts entrainés par la stratégie sont supérieurs au fait de
laisser entrer les entreprises.
- Découragé : les entreprises installées peuvent mettre en place des stratégies qui
empêche les concurrent potentiel de s’installer. Cela suppose que cette stratégie soit
profitable pour les entreprises installées.

L’élément fondamentale de l’analyse de Bain est la différence entre firme installé et


firme postulante.
Il existe une asymétrie entre firme installé et firme postulante. Cette différence est liée
à l’existence de coût irrécouvrable (=irrécupérable). Pour les firmes installés ces couts
sont déjà mis en place. De
plus les firmes en places ont déjà tissé des relations avec clients, fournisseurs…
C’est le cas aussi lorsqu’il est couteux pour un consommateur de passer d’un vendeur
à l’autre. Ex :
changement des numéros de téléphone avec changement d’opérateur. Ici il y a un cout
de transfert qui limite la concurrence

Section 1 : analyse des barrières à l’entrée


On distingue 3 type de barrière à l’entrée : légale, naturelle/structurelle, stratégique.
I. Barrière légale, réglementaire
Ce sont les plus visible et les plus critiqué, car elles remettent en cause la libre
concurrence. Elles concernent
- L’accès à une profession (un marché du travail, ex : des médecins, des taxis…)
- Règlement technique, des normes de qualités (ex : démarche qualité obligatoire, ex :
santé publique

Barrière naturelle et structurelle


Ces barrières à l’entrée sont liées à la nature du produit et secteur concerné. La
première barrière est :
- Avantage absolue en matière de cout de production : les entreprises installées sont
capables
de produire dans des conditions plus avantages que les entrant potentiels.
Ex : technique de production, utilisation d’une technique inconnue des autres, un
approvisionnement plus faible, accès à une main d’œuvre qualifié, possibilité d’être
financé à cout plus bas…
Cela se traduit pour des couts plus faibles installés. Elles peuvent fixer un prix tel
qu’il n’est pas profitable pour une entreprise postulante de s’y installer.

Existence et possibilité d’exploiter des économies d’échelles : elles sont des barrières
à l’entrée lorsque pour produire efficacement il faut produire à une échelle de
production élevé. Sur
certains marchés, il existe une taille minimum d’efficience.
L’entreprise postulante est obligé de rentrer sur le marché avec un niveau de
production égale au niveau d’efficience. Cependant son arrivé sur le marché fait
baisser les prix. Elle ne pourra pas rester longtemps sur ce marché.

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