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Le modèle de base est fondé sur cinq blocs liés par des relations, la première
version est déterminante le premier bloc impacte le 2ème bloc et ainsi de suite :
Pas d’effet de retours et les flux vont vers une seule direction.
La 2ème version va tenir compte d’un de ses effets de retours, de rolation plus au
moin complexe des différentes blocs.
Se distingue par la mobilisation d’un certain nombre de concepts par lequel figure la
barrière à l’entrée.
celles-ci concernent de nombreux facteurs qui rendent le retrait d’un marché fort
problématique D’abord il s’agit d’actifs spécifiques ,comme des machines que l’on ne
peut pas réutiliser ou redéployer pour un autre usage (textilehabillement versus
électronique grand public par exemple). Ces actifs freinent la mobilité intersectorielle
des ressources et engendrent des coûts de sortie. Ces actifs spécifiques ont
également une dimension immatérielle (marque, réputation de la firme…). Ensuite, il
faut mentionner d’autres facteurs comme le coût associés aux licenciements
(indemnités), aux reconversions (mobilité, formation…) et aux engagements
contractuels de moyen et long terme avec les clients, les fournisseurs,
La 1 ère barrière c’est le capital physique (les machines et les équipements selon la
nature de l’industrie)
Quitter ce marché sans trop dépenser d’argent et vous pouvez le quitter sans
dépense =l’entrée et la sortie sont librement
Les marchés contestables : cette notion vise à montrer que dans quelques situations
l’entrée et la sortie d’un marché ne posent pas de sérieux problèmes, en ce sens que
d’une part l’entrée est libre et que, d’autre part, la sortie se fait sans coût , cette
notion stipule qu’il n’existe pas de barrière à l’entrée matérialisée par un
désavantage quantitatif et qualitatif aux dépens des entrants potentiels et que la
sortie s’effectue sans coût, dans ce cadre l’entreprise n’a pas à supporter des coûts
irrécupérables.
Ce concept rend compte d’une situation où une firme décide de maitriser l’essentiel
de l’enchainement d’un ensemble d’opérations qui se succèdent au sein du
processus de production, lequel se termine par la mise à la disposition du client un
bien économique.
L’auto fabrication sans le recours aux autres prestataires optés pour l’internalisation
-Stratégie
La notion du stratégie n’est pas propre à l’EI, elle figure parmi les concept clé d’une
autre discipline économique comme l’EI à travers les stratégies des firmes
multinationale dans tous le cas c’est une notion au cœur de l’EI .
(La stratégie consiste à déterminer les objectifs et les buts fondamentaux à long
terme d’une organisation (entreprise) puis à choisir les modes d’action et d’allocation
des ressources qui permettront d’atteindre ces buts et objectifs)
Troisièmement revoir les dimensions pour atteindre les objectifs d’ordre stratégique
au niveau du machine et personnel, il ne suffit pas d’avoir une vision stratégique, il
importe aussi de mettre en œuvre les moyens adéquats (dimension tactique) pour
atteindre les objectifs stratégiques
Elle peut concerner des etreprise complémentaire ou qui ont la même activité
principale
conglomérales : des entités ayant des activités totalement différentes les unes
des autres : exemple, agroalimentaire et télécommunications)
Stratégie des réduction des coûts : chiffre d’affaire important devrait baissé et
réduire les coûts .Introduire des machine ou pour augmenté la productivité et par
elimnistaion de toutes sorte de gaspillage,.
Type d’innovation :
Innovation frugale : destiné à une partie de clientèle qui ont pas les moyens
et répondre à leur besoin selon son pouvoir.
Innovation de pdt et service
Réduction des coûts par l’organisation
Renold Coase :la nature de la firme livre article qui date de 1937, pose cette
question : si le marché est le mode de coordination économique le plus efficace,
pourquoi existe-t-il des firmes ? Réponse : le recours au marché (régi par le système
des prix dans la tradition néo-classique) n’est pas gratuit, il engendre des coûts que
l’analyse néo-classique ignore, les coûts de transaction. Coase rejette ainsi
l’hypothèse de la transparence et soutient que l’accès à l’information n’est ni gratuit
ni librement disponible. Il faut donc engager des dépenses pour réaliser des
transactions :
Le recours aux marché n’est pas gratuite taxé à toutes les infos qui induit des coûts
de transaction liées aux prix et aux partenaires
Coase stipule que ces coûts jouent un rôle central pour départager entre « faire »
(internaliser) ou « faire faire » (externaliser), et donc s’interroge sur les « frontières »
de l’entreprise : si les coûts de transaction sont élevés, il serait préférable de recourir
à la première option, s’ils sont faibles, il vaudrait mieux recourir au marché. La
justification de l’existence de la firme réside donc dans le fait que cette dernière
réduit les coûts de transaction. Etant imparfait, le marché n’est pas l’unique mode de
coordination économique.
2 capacité de calcule
Comment sera l’éco ds deux ans ? L’incertitude sur le comportement des agents éco
celle-ci renvoie à divers aléas et autres perturbations auxquels doit faire face
l’entreprise : comportement inattendue des partenaires, manque d’informations,
retournement de la conjoncture économique, décision gouvernementale…, cela
provient en partie du fait que par nature le contrat est souvent incomplet : on ne peut
prévoir d’avance toutes les éventualités possibles.
Kuz auteur
Etude de cas sur la relation entre amateurs et ficher tiré de l’ouvrage de willimson
Fisher et sa stratégie
Quelle sont les mécanismes qui permet d’aligner l’intérêt manageriel sur l’actionnaire
?
Diversité : différence entre les firmes, s’explique par les routines lié a chaque
entreprise
Sélection : proche des concepts clé de l’EI basée sur les barrières à l’entrée
Innovation a des effets sur la concurrence sur le marché sur le mode d’allocation et
les barrières a l’entrée jouent un rôle très importante.
Conditions de base (1), Structures des marchés (2), Comportements (3), Politiques
gouvernementales (4) et Résultats (5).
Trois bloc qui nous intéresse :
Chaque pays essaye à donner des soufle et créer des filières dans plusieurs
domaines pour reconstruire l’économie.
Dans notre pays ils ont disparut le monopole naturel comme cusomar, le tabac, OCP
Des situations des oligopoles tels que l’automobile
Le mouvement continu ; durant pas mal d’année l’accès au crédit est faible ce qui
pousse d’autre entreprise a s’endetter pour réaliser une plus valus par l’achat
l’acquisition la fusion dans plusieurs secteur.
L’essor spectaculaire des TIC fait émerger de nouveaux acteurs, les GAFA, qui sont
devenus au fil du temps de véritables mastodontes jouissant d’une situation de
quasi-monopole et donc d’un pouvoir de marché se sont des entreprises multi
service et multi produite comme Amazon qui s s’attaquent de front à la grande
distribution, la santé, l’énergie, l’intelligence artificielle, la voiture autonome, la
presse…. Elles sont multiproduits et multiservices. Au départ, Amazon, par exemple,
vendait en ligne des livres, puis a intégré la vente de produits électroniques,
l’équipement de la maison, les produits frais….Cet essor donne lieu à de nouveaux
modèles d’affaires articulés autour de la dynamique des réseaux et des plates-
formes numériques.
Les résultats :
Examen Final :
On parle de situation de «monopole naturel»lorsque le coût total (social) de production d’un bien est
minimum dès lors que sa production estconfiée à une seule entreprise
Il est socialement plus efficace de confier la production du bien à une seule firme plutôt qu’à un petit
nombre (2) de firmes strictement identiques, ayant accès à la même technologie de production (donc
ayant les mêmes conditions de coût)
Un monopole naturel est un monopole dont l'existence découle d'une production dont les
rendements sont croissants. On dit que les rendements sont croissants car plus l'entreprise accroît sa
production, moins le coût unitaire est élevé. Le coût de production d'une unité étant décroissant,
l'accroissement des ventes permet de répartir les coûts fixes sur des volumes plus importants, si bien
que le coût moyen baisse quand la production augmente. Cette baisse est si importante qu'une seule
entreprise peut fournir l'ensemble du marché tout en restant plus compétitive que tout autre
concurrent. Dans ce type de production, la concurrence tend à diminuer au fur et à mesure qu'une
entreprise se développe et tire parti d'un coût moyen de production de plus en plus faible par
rapport à celui de ses concurrentes.
À partir des années 1980, dans de nombreux pays à économie de marché, les pouvoirs publics
ont lancé de véritables programmes de libéralisation de secteurs jusqu'alors considérés comme
relevant du monopole naturel : transport aérien et ferroviaire, télécommunications puis gaz et
électricité.
Ces marchés étaient (et sont encore pour une bonne part) organisés en monopole nationaux
pour deux raisons objectives :
Les transporteurs privés de courriers sur les secteurs ouverts à la concurrence (pli express
notamment) ont montré que la duplication des réseaux était viable en pratique. De même
l’interopérabilité des opérateurs téléphonique organisée par les pouvoirs publics à partir des
années 1980 a permis d’ouvrir à la concurrence ces services. Cela s’est traduit partout par une
forte baisse des prix
Le principe des trois couches est ici totalement inopérant, car on ne voit pas comment deux
exploitants ou plus pourraient utilement injecter de l'eau dans le réseau et la facturer à leurs
clients de façon indépendante… L'essentiel des coûts étant concentré dans les infrastructures,
c'est le niveau de la redevance pour l'usage (et l'entretien) des tuyaux qui constitue la seule
question qui vaille
2ème question :
Stratégie d’impartition ou de coopération : les rapports entre les entreprises au sein d’un secteur
ne sont pas uniquement frappés par le sceau de la concurrence, mais également de la coopération
et ce dans des domaines divers. Gardons à l’esprit que cette coopération laisse intacte la forme
juridique des partenaires et que chacun de ces derniers garde une autonomie au niveau de la prise
de décision et donc ne s’engage que pour une période déterminée avec des objectifs précis et des
ressources adéquates.
Quant aux domaines de ce type de stratégie, ils sont nombreux ; - Recherche&Développement, ici
on cherche à mobiliser des complémentarités, à créer des synergies entre les partenaires car la
R&D est souvent onéreuse, risquée…- production : ici 2 ou 3 firmes, sinon plus, mettent en place
des plates-formes pour produire des pièces communes, ce qui permet de réaliser des économies
d’échelle, d’exercer une pression sur les fournisseurs pour réduire les prix…, - transport et
logistique avec utilisation en commun de moyens de transport, etc. Ce type de stratégie est
également d’ordre intersectoriel, liant des entreprises qui opèrent dans des secteurs différents :
chimie, électronique, métallurgie
3ème questions :
Les barrières à la sortie : celles-ci concernent de nombreux facteurs qui rendent le retrait d’un
marché fort problématique D’abord il s’agit d’actifs spécifiques (voir plus loin), comme des
machines que l’on ne peut pas réutiliser ou redéployer pour un autre usage (textile-habillement
versus électronique grand public par exemple). Ces actifs freinent la mobilité intersectorielle des
ressources et engendrent des coûts de sortie. Ces actifs spécifiques ont également une
dimension immatérielle (marque, réputation de la firme…). Ensuite, il faut mentionner d’autres
facteurs comme le coût associés aux licenciements (indemnités), aux reconversions (mobilité,
formation…) et aux engagements contractuels de moyen et long terme avec les clients, les
fournisseurs, etc.
Une barrière à l'entrée est un obstacle qui va empêcher (ou freiner) une entreprise de s'implanter
sur un marché et qui va obliger celles souhaitant y entrer à réaliser des efforts importants.
Une barrière à la sortie est un obstacle qui va obliger une entreprise à rester en activité sur un
marché ou un segment de marché sur lequel il n'y a plus ou peu de rentabilité.
Les barrières à la sortie sont des obstacles qui rendent difficile la sortie d’un secteur donné,
obligeant une entreprise à rester sur le marché même si elle souhaite passer à un autre marché
ou fermer complètement. Ceux-ci représentent un obstacle à la mobilité qui peut limiter les
déplacements au sein d’une économie ou d’un marché. Les barrières à la sortie peuvent
également potentiellement créer une barrière à l’entrée, ce qui décourage l’entrée sur un
marché en raison des coûts élevés associés à la sortie.
Le fait de quitter un marché peut être coûteux ; les entreprises peuvent avoir des obligations
telles que le loyer et la masse salariale à respecter, et peuvent ne pas être en mesure de payer
les frais de clôture. En outre, une entreprise peut disposer d’un équipement et d’un personnel
très uniques qui ne peuvent pas être transférés vers un nouveau marché. Il peut être difficile
de vendre des équipements complexes sur un marché limité où la plupart des entreprises ont
déjà ce dont elles ont besoin et n’ont pas particulièrement envie d’équipements spécialisés
d’occasion d’une autre entreprise. Ces immobilisations peuvent créer un obstacle important à
la sortie.
Certaines entreprises créent leurs propres barrières à la sortie. Il peut s’agir d’une décision
stratégique pour avertir les concurrents qu’une entreprise envisage d’établir et de maintenir une
présence dans une industrie et n’a pas l’intention de partir. Lorsque les conditions du marché
changent ou qu’une entreprise souhaite changer d’orientation, les barrières qu’elle a créées peuvent
entraîner un problème ; une entreprise peut se retrouver coincée avec une installation à usage
spécial qu’elle ne peut pas vendre, par exemple.
Dans une industrie avec des barrières à la sortie, les entreprises peuvent entrer dans un état statique
dans certaines conditions de marché. Leur incapacité à quitter le marché peut interférer avec les
adaptations du marché et peut rendre plus difficile de tirer parti des changements dans le climat des
affaires. Cela peut également créer une situation dans laquelle des entreprises stagnantes pèsent sur
un marché parce qu’elles ne peuvent pas partir, tandis que les entreprises plus récentes peuvent
rencontrer des barrières à l’entrée créées par ces entreprises. L’existence d’un grand nombre
d’entreprises établies dans une industrie peut rendre difficile l’entrée par effraction.
Les approches pour faire face aux obstacles à la sortie sont variables. Dans certaines régions, les
entreprises travaillent sur des mesures telles que des usines et des équipements adaptables qui
peuvent être réutilisés pour d’autres usages. Si un constructeur automobile décide d’arrêter la
fabrication d’un modèle donné, par exemple, les machines utilisées dans sa production peuvent être
vendues ou déplacées vers une autre ligne de production. Les limites réglementaires peuvent
également être modifiées par le biais du lobbying et de nouvelles propositions législatives, afin de
faciliter la transition des entreprises entre les secteurs et les marchés.
Sur un marché, les entrées et les sorties d’entreprises ont des conséquences importantes sur la
nature du marché. Lorsqu’il y a libre entrée sur un marché, les firmes installés sont
exposées à une concurrence potentiel (des firmes qui souhaiteraient s’installer).
Les barrières à l’entrée constituent l’ensemble des éléments qui permettent aux formes
installées d’être protégé de cette pression/concurrence potentiel et donc de ne pas être
menacé par des firmes postulante.
Bain, en 1956 est le premier à traiter des barrières à l’entrée.
Toutes les caractéristiques d’un secteur d’activité qui bloc ou rendent difficiles
l’entrée de nouvelles entreprises.
- Définition de Bain : tous les avantages que possèdent les entreprises installées sur
les entrant potentiels.
- Ce qui rend non profitable l’entrée d’une nouvelle entreprise
Bloquée (les barrières à l’entrée sont élevées). Les entreprises sur le marché n’ont pas
besoin de mettre en place de stratégie.
- Accommodé (les barrières sont faibles). Les entreprises en places sont
accommodantes donc
les stratégies qui viseraient à empêcher les entreprises postulante de s’installer ne sont
pas efficiente. Les coûts entrainés par la stratégie sont supérieurs au fait de
laisser entrer les entreprises.
- Découragé : les entreprises installées peuvent mettre en place des stratégies qui
empêche les concurrent potentiel de s’installer. Cela suppose que cette stratégie soit
profitable pour les entreprises installées.
Existence et possibilité d’exploiter des économies d’échelles : elles sont des barrières
à l’entrée lorsque pour produire efficacement il faut produire à une échelle de
production élevé. Sur
certains marchés, il existe une taille minimum d’efficience.
L’entreprise postulante est obligé de rentrer sur le marché avec un niveau de
production égale au niveau d’efficience. Cependant son arrivé sur le marché fait
baisser les prix. Elle ne pourra pas rester longtemps sur ce marché.