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Sthénique
I. Introduction
lorsqu’on serre un écrou, le solide tend à tourner sur lui-même; il subit un mouvement de
rotation, autour d’un axe de rotation.
Ce mouvement est de nature différente de la translation; il a pour cause une force de
nature nouvelle, le moment.
O
(D) M si la force n’est pas dirigée vers O ou (D),
F elle a pour effet de faire tourner le corps.
d (bras de levier)
La force fait tourner le corps de façon d’autant plus efficace que la distance entre la
droite d’action de la force et le point O ou l’axe D (distance appelée bras de levier)
est grande. C’est l’exemple de la porte qu’on ouvre : on pousse la porte en un point
le plus éloigné possible des gonds (axe de rotation).
R SS
F S→S :
M SS ( A)
A
f ( P)
A B
dP
P
La résultante sthénique
f
A
S S 0
Aire de « la charge »
M ( A) = AP f ( P )d xx ( − fy ) dx = − f
S 0
a
( )
a
0
xdx ( x y ) = − f
a2
2
z
Aire de « la charge »
2a fa a2
; M ( A) = − z =−f z
3 2 3
Si on a une charge répartie « simple », sous forme rectangulaire ou triangulaire, il
n’est pas nécessaire de refaire les intégrales.
m j AG = m j AP j
j =1 j =1
m GP
j =1
j j =0
m ( S ) AG = APdm
S
GPdm = 0
S
Remarque: la somme utilisée pour calculer le centre de masse G est une somme
algébrique : on peut additionner comme on peut soustraire
3 translations
3 rotations
Contact Ponctuel:
Contact Linéique
Contact Surfacique
Encastrement
trans rotation
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