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Sommaire

Sujet : les obstacles liés à la pratique religieuse

Introduction …………………………………………………………….. Page 2

I – définition des notions ……………………………………………….. Page 2

1- L’idée de dieu……………………………………………..……… Page 2

2- La religion ………………………………………………...……… Page 2

3- La liberté en religion ………………………………………..…… Page 3

II - La religion et la pratique de la liberté humaine …………….…… Page 4

A – la religion aliénation et exploitation ………………………………. Page 4

1- Religion comme aliénation …………………………………...…. Page 4

2- Religion comme exploitions ………………………….…………. Page 4

B – les dérives de la religion ………………………………..………….. Page 5

1- Les erreurs de la religion ……………………………………..…. Page 5

2- La violence religieuse ……………………….…………………… Page 6

Conclusion ………………………………………...…………………….. Page 6

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Introduction

Toute société humaine quel que soit son degré de développement contient des
institutions religieuses comme la mosquée, les temples, les églises les édifices
religieux. Ainsi en tous temps et en tous lieux il y a des Dieux même dans les
sociétés. Dans ce cas il y a l’effervescence du fait religieux ; alors il est normal
qu’il y ait l’impact de Dieu et de la pratique religieuse sur la liberté et la vie en
communauté. Dès lors faut-il admettre que la religion favorise-t-elle la liberté
humaine ? Autrement dit la religion aliène ou libère-t-elle l’homme ?

I – Définition des notions

1- L’idée de Dieu

Dieu se veut d’abord dire l’être suprême. Du latin Dieu vient de Deus dérivé de
Deivos et signifie la lumineux selon la foi religieuse il est créateur de toutes
choses c’est d’ailleurs de cette idée de Dieu que l’homme cherche à l’éteindre.
Pour les croyons il s’inspire de Rousseau pour dire : « que l’idée de dieu est hors
de la portée humaine » dans la profession de foi du vicaire savoyard. Cela
montre la limite ou la finitude de l’homme ; seulement Rousseau ne réduit pas
Dieu à la nature comme le panthéisme de Spinoza qui admet que dieu est dans la
nature.

La raison pour laquelle vu que l’homme est fini, le fidèle cherche à adorer en
manquant ainsi la grandeur de Dieu Malebranche écrit « Dieu est le verbe pour
conjuguer lui-même » ce Dieu parait être le premier moteur de la vie pour
Descartes, Hegel et Aristote. Partant de là quel sens donné à la religion ?

2- La religion

Parlé de la religion c’est la mettre en rapport avec l’idée contraire qui consiste
pour certain à nier Dieu.

Pour la philosophie matérialiste ou tout est matière Dieu ne repose sur rien de
concret les hommes doivent donc se défaire de la crainte de Dieu et recherché le
savoir pour Epicure Dieu ne s’est même pas que les hommes existe c’est pour
pourquoi il ne s’occupe pas de leurs problèmes d’ailleurs même la bible
reconnait « Personne n’a jamais vu Dieu c’est ce caractère invisible a défaut qui
alimente les divergences au sujet de sa nature ».

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 Des conceptions divergentes au sujet de la nature de Dieu

En réalité il y a beaucoup de Dieu que l’homme. L’anthropomorphique est bien


expliqué par Xénophane « Les Ethiopien font leurs Dieu noire avec le nez
camuse ; les Grec disent que les leurs ont des yeux bleu et les cheveux rouges ».
Ici chacun présente son Dieu a son image et d’ailleurs d’une religion a une autre
des symboles diverses, cela conduit les humains à pastiller que Dieu est
finalement l’imagination humaine.

 Le problème du mal

Pour le théisme Dieu est Omniscient Omniprésent Omnipotent Bienveillant. Et


pourtant Hugo écrit « le monde est une fête ou le maître fourmille ». (Les faux
coups, la discrimination est bien d’autre). Face à ce spectacle malheureux et
triste de catastrophe de guerre, de viole d’assassinat, de séisme, de glissement
de terrain n’a y a-t-il pas lieu de douter des qualités de Dieu ? Un Dieu bon et
puissant peut-il rester indiffèrent et sourd aux appels des hommes ? Jésus, fils de
Dieu lui-même l’a appelé au secours en vain « Mon père, mon père pourquoi
m’as-tu abandonné ? » Mathieu 27 versé 46 dans les saintes écritures. Spinoza
fait aussi le constat « les biens et les maux survienne indistinctement aux
hommes pieux et aux impies » comme pour dénoncer l’absence de justice, les
méchants prospèrent et les bons souffrants.

3- La liberté en religion

Toute personne a droit à la liberté de penser, de conscience et de religion ; ce


droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la
liberté manifeste sa religion ou sa conviction individuellement ou
collectivement, en public ou en privé par le culte, l’enseignement, les pratiques.

La liberté de penser, de conscience et de religion est automatiquement renforcé


dans ces instruments relatifs au droit de l’homme, par l’interaction de toute
discrimination à caractère religieux et ce pour une raison évidente sans
indubitable incident sur l’exercice de ce droit.

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II – La religion et la pratique de la liberté humaine

A – la religion : aliénation et exploitation

1- La religion comme aliénation

Il revient constamment de parler d’aliénation au sein de l’activité religieuse


pourquoi une t’elle thèse ? L’homme a-t-il des preuves de critiques contre la
religion ? D’ailleurs que faut-il attendre par le mot aliénation ? De manière
courante l’aliénation est définis comme privé de liberté cela revient à dire que
l’absence de liberté, cela pour dire que l’homme peut agir sous la tutelle d’une
entité entre aliéné c’est aussi être l’esclave d’une personne ou même d’un
Dieu. De prime abord la religion valorise la violence entre les hommes entre les
communautés. Et l’histoire religieuse nous enseigne que l’institution religieuse
connue et à faire la promotion de la violence ce qui consentant que la religion
n’est pas toujours une institution qui garantir la vie, a ce nouveau force est de
constater la religion faire la promotion de la guerre de la division, de la haine
entre les hommes. Cela concours ainsi à l’aliénation de l’homme on assiste
généralement aux guerres internes plus précisément au niveau du christianisme
entre les catholiques et les protestants dans la seconde moitié du XVIème dans
le royaume de France au niveau de l’islamisme nous avons une vive proposition
entre les chuites d’un côté en Iran et les sunnites en Arabie saoudite tout ceux-ci
justifie que la relation concours à la souffrance des hommes et on assiste à des
guerres extra religieuse entre les chrétiens et les musulmans qui se traduisent par
la des avantages en second lieu comme source d’aliénation anthologique c'est-à-
dire de l’être ou de ‘essence de l’homme Feuerbach ,se sont faire d’éco d’une
telle vision de la religion dans l’essence du christianisme . L’homme est aliéné
c'est-à-dire de posséder lui-même de sa propre essence.

2- La religion source d’exploitation

La religion est un instrument utilisé par la classe donnante pour maintenir le


peuple dans la situation de dominer à fin de mieux l’exploiter. Elle est donc u
moyen pour endormir la conscience du peuple et les prolétaires en vue de
prévenir l’éventuelle constations ou révolution. C’est pourquoi Karl Marx écrit
dans critique de la philosophie du droit de Hegel ceci « La religion est l’opium
du peuple ». D’ailleurs, elle a même servi de canal aux occidentaux pour
exproprier les biens africains. Ceux-ci ont fait miroiter aux nègres des délices
d’un monde paradisiaque céleste au mépris des biens terrestres. C’est ainsi qu’ils
ont demandé à ceux-ci de prier les yeux fermés et quand ils ont ouvert les blancs
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avaient leur terre et eux la bible des blancs. Comme on le voir la croyance et les
pratiques religieuses ne manquent de critique malgré » cela le sentiment
religieux est de plus en plus persistant même en cette période de triomphe de la
rationalité. La religion est une fiction à l’existence humaine en sens qu’elle
entretient en rêve primitif d’une société paradisiaque. Toutes les grandes
religions flattent l’homme de façon sournoise. C’est pourquoi Nietzsche écrit
dans Antéchrist ceci « les religions sont un monde de pire de fiction » pour dire
que Dieu est un être imaginaire, c’est pourquoi il traite les religieux de vainquis
et de lâche car ceux-ci se mentent entre eux. C’est aspect que Sart mette en
relief dans l’existentialisme est un humanisme « l’homme est né libre
responsable et sans excuse » pour lui l’homme est projet et que c’est lui-même
qui se réalise à travers des actions qu’il pose délibérément, il n’est déterminé par
aucune force extérieure.

B – Les dérives de la religion

1- Les erreurs de la religion

Une erreur c’est une assertion fausse. C’est à dire une idée ou affirmation qui
n’ont pas conforme à la réalité. Une assertion cruciale qui se pose plus que
jamais à propos de la religion c’est celle de savoir quelle raison elle peut
invoquer en faveur de ce qu’elle affirme. Pour un esprit rationnel, la croyance
semble obéir à un principale « Ethique fondamental qui énonce que la seule
raison qu’il puisse y avoir de croire une proposition est la vérité au moins
probable de ce qu’elle affirme c’est ce qu’affirment notamment des critiques de
la religion aussi différent que Nietzsche Freud et Bertrand Russel.

En effet non seulement la vérité doit constituer la seule raison capable de


justifier la croyance, mais il ne peut s’agir que d’une vérité qui même si elle peut
être établie par des moyens qui ne sont pas foncièrement diffèrent de ceux de la
science. Le part de l’erreur et celle du mensonge si on considère comme le fait
Gabriel, qu’il existe une loi qui énonce que « l’erreur ne saurait diminuer dans
une nation sans que le même y progresse tant que ses condition fondamentales
n’ont pas changées ».

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2- La violence religieuse

Y a-t-il une violence proprement religieuse ou cette violence résulte-t-elle d’une


instrumentalisation politique de la religion ? Autrement dit les textes, les
dogmes et les croyances qui serait au principe d’une violence spécifique
nommée violence religieuse ou la violence s’introduit par effraction dans la
religion pour des raisons qui lui sont étrangère. La religion devrait être capable
de faire une place aux traditions non théistes, panthéistes et polythéistes des
religions civiles comme certaines formes vicieuses de nationalisme peuvent être
dévastatrices, et des personnes comme Machiavel et Hobbes ont éloquemment
montré comment le désir de gloire , de pouvoir et de conquête mène souvent à
la violence. La religion engendre la violence. Cette demande toutefois que
l’intolérance religieuse agit rarement seule dans les conflits violents. La foi peut
mener à la lutte pour la paix et la justice aussi bien qu’au fanatisme et à la
persécution.

Conclusion

En définitif la religion comme aliénation ou comme libération tous renvoie à


l’analyse que le devoir implique toujours une soumission. Or, le devoir est le
fondement de toute religion de là, la religion se voit comme aliénation en ce que
l’homme doit toujours se soumettre e son Dieu.

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