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PRIX ET DISTINCTIONS
Jouer sa vie
en jouant aux échecs
Chesterton
À Christiane
Table des matières
Préface..................................................................................... XI
Introduction ........................................................................... 1
Une origine sacrificielle.................................................... 1
Quelques règles des échecs à la façon d’un maître :
Borges................................................................................ 5
La folie et la sérénité.............................................................. 13
The Queen’s Gambit............................................................ 14
Le Joueur d’échecs (Stefan Zweig)..................................... 21
La Défense Loujine (Vladimir Nabokov)........................... 24
Jouer sa vie........................................................................ 26
Marcel Duchamp............................................................... 28
L’ataraxie de Fernando Pessoa......................................... 31
L’absolu.................................................................................... 65
Ingmar Bergman............................................................... 65
Dieu et les calculs humains.............................................. 70
La partie inachevée........................................................... 72
Bibliographie et filmographie............................................... 77
Notes........................................................................................ 79
IX
Préface
XI
Jouer sa vie en jouant aux échecs
XII
Introduction
1
Jouer sa vie en jouant aux échecs
2
Introduction
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
4
Introduction
5
Jouer sa vie en jouant aux échecs
6
Introduction
7
Jouer sa vie en jouant aux échecs
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Introduction
9
Jouer sa vie en jouant aux échecs
10
Introduction
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La folie et la sérénité
13
Jouer sa vie en jouant aux échecs
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La folie et la sérénité
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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La folie et la sérénité
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La folie et la sérénité
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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La folie et la sérénité
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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La folie et la sérénité
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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La folie et la sérénité
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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La folie et la sérénité
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La folie et la sérénité
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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La folie et la sérénité
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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La folie et la sérénité
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Les mobiles du crime
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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Les mobiles du crime
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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Les mobiles du crime
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Les mobiles du crime
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Les mobiles du crime
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Les mobiles du crime
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Les mobiles du crime
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Les mobiles du crime
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Les mobiles du crime
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Les mobiles du crime
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Les mobiles du crime
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L’absolu
INGMAR BERGMAN
Ingmar Bergman a utilisé le jeu d’échecs dans cinq de ses
films, mais c’est dans Le Septième Sceau qu’il a placé le jeu au
centre du scénario. Ce film est une des plus fascinantes
réflexions sur l’être humain, confronté à la maladie et la
mort, tiraillé entre le doute et l’espérance, et livré à la peur.
Tous ces thèmes sont très bergmaniens et Le Septième Sceau
les associe à la quête du chevalier Antonius Block ainsi qu’à
sa partie d’échecs.
Au cœur du Moyen Âge, ce chevalier revient d’une
croisade. La Suède qu’il retrouve est ravagée par la peste. Le
film commence avec ce passage de l’Apocalypse où il est dit
que l’Agneau ouvrira le septième sceau.
Comme Ulysse, Antonius a passé dix ans loin de ses
terres et de son épouse, et comme Ulysse, on le découvre tel
un naufragé rejeté par la mer sur un rivage de Suède. On le
voit prier sur le rivage face à un rocher, sorte d’Ithaque
pierreuse représentant le foyer perdu et retrouvé. Puis, on
voit Antonius disposer les pièces du jeu d’échecs sur un
échiquier, peut-être pour jouer avec Jöns, son écuyer,
peut-être pour jouer avec lui-même. Mais un adversaire
inattendu se présente : la Mort.
– Tu viens pour moi ? demande Antonius.
– N’es-tu pas prêt ?
– Ma chair a peur, mais pas moi. Attendez un peu, vous
jouez aux échecs, n’est-ce pas ? Je l’ai vu sur des
fresques dans une chapelle.
– Oui, je suis un joueur plutôt habile…
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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L’absolu
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L’absolu
*
Bergman jouait peut-être aux échecs. Ou est-ce cette fresque
médiévale aperçue enfant sur les murs d’une église34 qui lui
a donné cette vision métaphysique des échecs ? Quoi qu’il en
soit, à part Le Septième Sceau, film qui nous montre d’ailleurs
la fameuse fresque, Bergman a utilisé le jeu d’échecs dans
plusieurs de ses films. Notons ici Jeux d’été, où une vieille
dame joue aux échecs avec un prêtre et devise gaiement sur
l’heure de sa mort. Le jeu d’échecs devient en quelque sorte
l’accessoire parfait pour se sentir « dans la proximité de la
mort », comme le dira le prêtre, mais c’est le pupille de la
vieille dame, le jeune Henrik, qui bientôt se tuera. Dans mon
film préféré de Bergman, Les Fraises sauvages, l’entame du
film nous montre le rêve du docteur Borg qui se voit dans
son cercueil tandis qu’à son réveil il déplace alternativement
une pièce blanche et une pièce noire sur l’échiquier de son
bureau. C’est toujours du combat entre la vie et la mort qu’il
s’agit. S’il joue contre lui-même, c’est peut-être là un signe
de sa solitude, lui qui n’a plus guère de compagnie que la
vieille domestique Agda.
Nous voyons également une partie d’échecs, cette fois
jouée contre une machine électronique dans le film tardif De
la vie des marionnettes. Peter, qui a des problèmes de santé
mentale, a tué une prostituée et se retrouve enfermé dans
un institut psychiatrique. Peter joue un coup et le programme
annonce : « Vous avez raté le mat ». Perplexe, on s’interroge
sur la nature des calculs qui ont échoué. L’infirmière informe
sa femme que Peter ne lit pas de livres et ne regarde pas la
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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L’absolu
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Bibliographie et filmographie
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
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Notes
1 Vaillancourt préfère le titre anglais de cette série et roman, car justement le mot
Gambit fait référence au sacrifice d’un pion.
2 Le jeu d’échecs médiéval, Le Léopard d’Or, Paris, 2012, p.10.
3 L’église dans laquelle le jeune Bergman a découvert une fresque montrant des
joueurs d’échecs parmi diverses scènes bibliques datait du XIVe siècle.
4 Voir Mysterium Conjunctionis, Paris, Albin-Michel, 2000.
5 Par exemple, Michel Pastoureau ne croit pas que la mort du roi, l’échec et mat,
soit la fin prévue de la partie, du moins avant le XIIe siècle. Quelques textes
d’époque nous apprennent que lorsque le roi est coincé – nous dirions échec et
mat – la possibilité est donnée de le déplacer un peu afin de lui assurer l’immunité.
Comme dirait René Girard, la royauté apparaît dans la forme stable que nous lui
avons connue dans l’histoire lorsque les rois boucs-émissaires réussissent à
différer durablement leur sacrifice et à rester, donc, confortablement installés
sur leur trône.
6 Bien que le poème ait été excellemment traduit en français, j’utilise ici l’original
espagnol.
7 L’ananké est un thème de la mythologie comme de la philosophie de la Grèce
antique. Un peu à la manière du karma hindou, les hommes sont enchaînés à
leurs actions par une sorte de nécessité et ils payent leurs injustices en étant
jetés impitoyablement dans le Tartare. Leur démesure, leur hybris, a pour prix
une chute en proportion de la hauteur à laquelle ils avaient orgueilleusement
cru s’élever.
8 « L’homme est une corde tendue au-dessus de l’abime », le Zarathoustra de
Nietzsche.
9 Parmi les facteurs expliquant ce succès, il y a le fait que l’ascension de l’héroïne
au firmament des échecs se déroule durant les années 60, années qui sont asso-
ciées dans notre imaginaire à plusieurs formes d’émancipation, et bien avant
l’apparition des ordinateurs dans la compétition et l’assistance aux joueurs
d’échecs. Pour les téléspectateurs rivés à leurs écrans d’ordinateur à cause du
télétravail sanitaire, c’était comme une part de rêve ! Nous verrons plus loin le
distinguo à faire entre le jeu humain et le jeu de l’ordinateur.
10 Inspiré du roman éponyme de Walter Tevis, paru en 1983.
11 Ce patronyme d’origine allemande était porté par un grand nombre de juifs
d’Europe centrale et d’Ukraine. À sa mort, une cérémonie religieuse chrétienne
est tenue dans la petite ville près de l’orphelinat. Très peu de gens y participent
et manifestement aucun membre de sa famille.
12 Dans la mesure où Beth et Schaibel sont juifs, comme je le pense, l’escabeau du
concierge peut rappeler symboliquement l’échelle de Jacob. « Tout est symbole »
et dans cette série, c’est très vrai. En franc-maçonnerie, cette échelle est d’ailleurs
un escabeau.
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
13 Dans le film « Jouer sa vie » de Gilles Carles, Camille Coudari, qui est à la fois
Maître international et psychologue, explique la personnalité de grands joueurs
soviétiques tels Petrossian et Kortchnoï qu’il qualifie de survivants. Petrossian
a passé plusieurs jours caché dans des chiottes publiques lors du siège de Lénin-
grad durant la guerre. Il avait douze ou treize ans. Pour Coudari, de telles expé-
riences ont suscité chez ces joueurs d’échecs l’instinct de survie, la résilience. Ils
peuvent supporter des situations très tendues. Petrossian est né en 1929 et
Kortchnoï en 1931. Borgov parait trop jeune pour les incarner à l’écran. Sa
personnalité impassible et son jeu méthodique font plus penser à Karpov. Les
deux noms ont d’ailleurs six caractères. Mais Karpov est né en 1951, bien après
la fin de la guerre. Il est donc trop jeune pour être le Borgov de cette série, qui
se déroule à la fin des années 60. En effet, Karpov n’est devenu champion du
monde qu’en 1972. Donc, de quelle survivance parle Borgov, si ce n’est pas celle
de la guerre ?
14 J’ai montré dans mon étude L’Évangile selon Bergman la signification symbolique
du miroir dans le dialogue de l’âme avec elle-même, motif qui revient dans
plusieurs de ses films, et cela des premiers aux derniers.
15 Fischer est revenu sur la scène échiquéenne en 1994 pour affronter son ancien
rival du championnat du monde, Boris Spassky. Cela se passa à Sveti Stefan
(aujourd’hui au Montenegro), durant la guerre de Yougoslavie. En pleine confé-
rence de presse, Fischer cracha sur la lettre du Département d’État américain
l’informant qu’il violait l’embargo sur la présence de citoyens américains sur ce
territoire. Puis Fischer pavoisa lors des attentats de 2001, se répandant en décla-
rations antiaméricaines et antisémites. Fischer était juif par sa mère. Il n’a pas
connu son père. Cette équation familiale a sans doute inspiré les scénaristes de
The Queen’s Gambit, car telle est la situation de Beth. Fischer s’est ensuite exposé
à des représailles, notamment la révocation de son passeport, ce qui détermina
sa condition d’exilé et de nomade. Il passa ainsi de la Hongrie au Japon, pour
finalement s’installer et mourir en Islande, pays où il avait remporté son titre
de champion du monde en 1972. « Quand les joueurs se seront retirés, quand le
temps les aura consumés, le rite ne sera pas pour autant accompli », dit Borges
dans son sonnet.
16 Secrétaire à la Défense sous le Président George W. Bush. « La vieille Europe me
fatigue », déclara Rumsfeld devant les tergiversations de certains pays à entrer
en guerre en Irak.
17 Pourquoi la guerre ? S. Freud et A. Einstein, Rivages, 2005.
18 Après avoir durement remporté son match de championnat du monde contre
Karjakin, à New York et joué au grand tournoi de Londres, le norvégien Carlsen
s’est retrouvé fin 2016 à Doha pour le championnat de parties rapides et confiait
à un journaliste : « Cela fait plus de deux mois que je ne suis pas rentré chez moi. »
Dans la série The Queen’s Gambit, on sent l’importance pour Beth d’acheter la
maison de sa mère adoptive, à Lexington Kentucky. Certes, cet endroit est loin
des grandes capitales où ont lieu les tournois (New York, Paris, Mexico et
Moscou), mais il est pour elle un havre et un ancrage la préservant d’un naufrage
imminent.
19 José Luis Capablanca, joueur cubain, champion du monde de 1921 à 1927.
20 « L’automate de Maelzel », intégré au recueil Histoires grotesques et sérieuses.
21 Athènes et Jérusalem, Aubier, Paris, 1967.
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Notes
22 Nous mettons Athènes en italique pour souligner qu’il s’agit ici plus d’une forme
symbolique que d’une histoire « neutre » de la philosophie.
23 Dieu, c’est-à-dire la nature.
24 Autrefois, les grands-maîtres étaient soviétiques, russes, de préférence. Mais
avec le règne de Viswanathand Anand, champion du monde originaire de l’Inde,
les significations culturelles et imaginaires attachées à la Russie n’ont plus le
monopole chez les écrivains…
25 Loujine, Munoz, Charousek et Marco se ressemblent par ce trait de solitude et
de marginalité.
26 L’auteur semble s’inspirer du jeu d’échecs dit de Charlemagne, dont la légende
affirme qu’il aurait été remis à l’empereur en l’an 800 par le calife de Bagdad,
Haroun-el-Rachid. Mais selon l’historien médiéviste Michel Pastoureau, Char-
lemagne n’a jamais joué aux échecs. Ce jeu en ivoire, qui a fait partie du trésor
de l’abbaye de Saint-Denis au XIIIe siècle, dépositaire et gardienne des objets
symboliques du pouvoir royal, aurait été fabriqué en Italie méridionale au
XIe siècle. Depuis la Révolution française, il est exposé au Cabinet des médailles
de la Bibliothèque nationale de France. Comme le dit si bien Pastoureau, ce jeu
n’a pas cessé de faire rêver, et cela depuis les chansons de geste et les romans
courtois du XIIIe siècle !
27 Abrégé de Grand-Maître.
28 Après ce meurtre surviendra la liquidation du sultan albanais Ali Pacha, ainsi
que de ses dignitaires spirituels, par des janissaires de l’empire ottoman, puis la
mort du poète Shelley, ami de Byron, et de Byron lui-même. Un dernier meurtre,
celui de Taras Petrossian, l’oligarque russe organisateur de tournoi d’échecs et
sponsor de Vartan Azov. La deuxième partie du roman, nigredo, est sous le signe
de la fuite. Kauri, Charlot et Haidée fuient ; idem Xie, Vartan et Key, devant leurs
oppresseurs ou poursuivants. La dernière partie est celle du déchiffrement de la
formule : l’échiquier est la clef, qui implique une forme de sacrifice de soi.
29 L’aveuglement des échecs, c’est-à-dire une sorte d’état second, d’éblouissement,
qui provoque une compréhension supérieure du jeu, mais conjuguée à un oubli
du monde.
30 Le roman regorge aussi d’allusions aux forces de la nature, comprises plutôt que
dominées par l’être humain, ainsi que des sagesses autochtones, notamment à
travers le personnage de Nokomis Key, une Native American, toujours évoquées
par le biais d’une notion de respect.
31 Voir Le penseur sur scène, Paris, Christian Bourgois, 1986.
32 Cette pièce se nomme l’Évêque en suédois, ainsi que dans toutes les langues
scandinaves et germaniques.
33 La fin de la partie d’échecs et la mort semblent cependant une délivrance pour
Antonius et la plupart de ceux qui l’accompagnent. Lors de la scène du confes-
sionnal, Antonius raconte qu’il joue aux échecs avec la Mort. Il regarde avec fierté
sa main droite et parle du sang qui pulse dans ses veines, heureux qu’il est d’être
en vie. Mais la partie d’échecs n’a pas donné les résultats espérés. La fin de la
partie annonce donc la fin d’une vie sans espoir.
34 Le petit Ingmar accompagnait son père pasteur dans une tournée en région. La
fresque en question montrait les joueurs d’échecs parmi d’autres scènes bibliques.
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Jouer sa vie en jouant aux échecs
35 Le présent texte a d’abord été publié dans l’analyse du Décalogue de mon essai
Jeux interdits, paru aux Presses de l’Université Laval, 2014. Il est ici un peu
modifié.
36 Pawel est représenté au début du film par l’oiseau venant picorer des miettes sur
le balcon, symbole de l’innocence, de la vie qui suit son cours, tandis que la
découverte du chien mort déchire un premier voile sur le monde, celui des vérités
amères et de l’interrogation sur le sens.
37 On traduit généralement ce terme de l’ancien grec par « démesure », « excès »,
voire « arrogance ».
38 Rappelons qu’en allemand cette pièce se nomme der Laufer ou l’Évêque. On peut
comprendre qu’un résidu de transcendance permet de supplanter le jeu méca-
nique du maître. Une autre signification serait celle du fou médiéval : sa bouf-
fonnerie vient subvertir les autorités établies. Dans le film de Bergman que nous
venons d’analyser, c’était également à l’aide de son fou que le chevalier Antonius
Block pensait vaincre la Mort…
39 « Un livre qui ne contient pas son propre contre-livre est considéré comme incom-
plet. » Tlôn, Uqbar, Orbis Tertius, in Fictions, de notre J. L. Borges.
40 Il s’agissait du match des finalistes Hübner – Kortchnoï pour désigner le candidat
affrontant le champion du monde, Karpov, en 1980. Hübner est le grand-maître
qui ne vit pas une fourchette du cavalier adverse lui prenant sa tour.
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YVES VAILLANCOURT
Essai sur la symbolique du jeu d’échecs
dans la littérature, l’art, la poésie et le cinéma
YVES VAILLANCOURT
Ce ne sont pas les poètes qui deviennent fous
Ce sont les joueurs d’échecs
JOUER SA VIE
Chesterton
www.pulaval.com
Photographie de couverture : iStockphoto
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