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Les « - » :
- Sur le fond : Une approche « unique » : tout le monde aurait semble-t-il les mêmes
besoins. Il est nécessaire d’appliquer notre approche naturopathique sur ces
indications pour l’ « homme moyen » dans le but de faire de la santé personnalisée.
Par ailleurs il n’est pas question ici des combinaisons alimentaires pourtant si
importantes en nutrition naturo …
- Sur la forme : Plan un peu complexe, impression qu’il y en a « dans tous les sens »,
beaucoup de chapitres, décousu…on ne s’y retrouve pas facilement, la lecture n’est
pas fluide.
Très (trop ?) détaillé, un livre dense qu’on ne lit pas de A à Z en linéaire mais en « piochant »
en fonction des questions du moment, comme un guide pratique.
L’avantage étant qu’il apporte des réponses précises et fouillées sur des sujets pointus.
D’autres passages nous sont familiers en raison de notre première approche avec le cours
de nutrition en année 1 et nos connaissances à l’issu de la 1 ère année isupnat.
Note : ++
Recommandations de lecture
1
J’invite ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances en nutrition à emprunter le livre
(je me propose de vous le prêter). Je recommande la lecture du 1 er chapitre « 2002-2012 des
progrès ininterrompus » qui est tout l’intérêt de cette dernière édition enrichie et mise à jour :
des infos fraîches sur le lien alimentation / santé et les dernières découvertes en la matière.
L’intérêt que je trouve à l’avoir acheté et de l’avoir toujours chez soi est pour son utilisation
« guide pratique » (cf. à partir du chap. 4 « comportements alimentaires à conseiller ») qui
peut largement nous aider dans notre future activité naturopathique.
2. Approche détaillée
2
ANNEXES
Intéressant à consulter pour creuser encore davantage certains points précis
(ex. : le micro-ondes, …)
En noir les infos du livre, souvent intéressantes, en vert mes remarques (compléments ou
vision naturo).
3
Il pourrait être intéressant d’intégrer à l’enseignement d’ISUPNAT une partie spécifique sur
l’alimentation biologique et les preuves de ses bienfaits. En effet, nous avons peut-être
tendance à affirmer que le bio est mieux que le conventionnel comme un fait incontestable
sans toujours avoir des arguments très précis pour le défendre.
Ainsi, à la page 104, un point fait état des résultats d’une étude scientifique très sérieuse qui
conclue après comparaison de différents produits que les aliments issus de l’agriculture
biologique sont de meilleure qualité nutritionnelle que les aliments classiques.
Cela doit absolument être diffusé dans nos discours, notamment car en ce moment on lit
largement dans la presse une étude qui dément la valeur ajoutée du bio (cf. étude
commandée par l’Agence britannique des normes alimentaires et parue fin juillet dans
l’American Journal of Clinical Nutrition qui conclue : « l’analyse des données ne révèle
aucune différence en teneur nutritionnelle entre les aliments issus de l’agriculture biologique
et ceux issus de l’agriculture conventionnelle » alors qu’en réalité il n’est pas du tout mesuré
le taux de pesticides et autres produits chimiques ni leur impact néfaste. Par ailleurs, le
Mouvement pour le droit et le respect des générations futures a mis en lumière qu’une
grande partie des résultats prônant le bio n’a pas été pris en compte dans les conclusions
finales !)
Voici un passage que je vous cite car je trouve qu’il dit les choses de manière très
compréhensible et que cela peut être une bonne formulation à réemployer en cabinet de
naturo lorsqu’on veut faire prendre conscience à un individu que veiller à son alimentation ,
c’est très directement faire de la prévention anti-maladie.
Par ailleurs, il a le mérite d’introduire la notion de « bonne digestion » et de mettre l’accent
sur cet élément essentiel dont les gens n’ont souvent pas conscience : il ne suffit pas de
manger des produits de qualité, encore faut-il pouvoir les assimiler !
« Pourquoi une mauvaise alimentation peut induire des maladies de l’immunité, du cancer
aux maladies auto-immunes ?
Une mauvaise alimentation est source de mauvaise digestion, car les aliments pèsent sur
l’estomac et les enzymes de la salive et du liquide gastrique peuvent être débordés. Au -delà
de la digestion, on va logiquement observer des troubles de l’absorption au niveau de
l’intestin.
C’est, en effet, la digestion, sous l’effet d’enzymes spécifiques, qui transforme les aliments
en nutriments, lesquels, simplifiés sous forme de fines molécules, passent la barrière
intestinale pour se diluer dans le sang qui va vers le foie, puis vers le cœur et, de là, à tous
les organes. Les plus grosses molécules (lipoprotéines) passent par les lymphatiques et
rejoignent le cœur par le système lymphatique, puis veineux.
Si la barrière intestinale est agressée par les aliments ou nutriments, des molécules
« anormales ou toxiques » peuvent passer et se porter sur tel ou tel organe de notre corps,
jouant le rôle d’antigène auquel l’organe répond localement par la formation d’anticorps.
C’est le complexe antigène-anticorps qui est à l’origine d’une inflammation locale, puis d’une
réaction immunitaire locale, puis générale. Celle-ci crée alors des anomalies organiques qui
peuvent être à l’origine d’une maladie chronique, surtout si l’intoxication persiste de manière
chronique. »
4
* Lait maternel : idéal nutritionnel pour santé Mère+bébé