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TABLE DES MATIERES
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chapitre I Introduction générale.........................................................................................................5
chapitre II : Les transferts thermiques.............................................................................................6
I. Introduction................................................................................................................................6
II. Transfert par conduction............................................................................................................6
III. Transfert par convection........................................................................................................7
1. Echange de chaleur par convection naturelle.........................................................................7
a. Description de phénomène................................................................................................8
b. Nombre de Grashof............................................................................................................8
c. Expression du nombre de Nusselt......................................................................................9
2. Echange de chaleur par convection forcée...........................................................................10
IV. Transfert par rayonnement..................................................................................................11
Rayonnement solaire....................................................................................................................11
chapitre III : Le séchage..................................................................................................................11
I. GENERALITES............................................................................................................................12
1. Définition..............................................................................................................................12
2. Humidité absolue.................................................................................................................12
3. Humidité relative..................................................................................................................12
4. Hygroscopicité......................................................................................................................12
5. Comportement d'un solide mouillé en présence d'un gaz....................................................13
6. Degré de saturation..............................................................................................................14
7. Porosité volumique d'un produit..........................................................................................15
8. Répartition d’eau dans le matériau......................................................................................15
II. SECHAGE DES PRODUITS AGRO-ALIMENTAIRES.......................................................................16
1. Séchage par convection........................................................................................................16
2. La figue.................................................................................................................................19
chapitre IV Modélisation mathématique du sécheur rotatif...........................................................20
I. Modèle du temps de résidence:...............................................................................................21
II. Modèle pour le coefficient de transfert thermique:.................................................................22
III. Modèle non linéaire statique................................................................................................22
IV. Simulation.............................................................................................................................25
chapitre V Conclusion....................................................................................................................27
chapitre VI Références....................................................................................................................28
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Liste des figures
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I. Introduction générale
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III. Introduction
Dans les transferts thermiques on peut distinguer trois modes de transfert : la conduction, la
convection et le rayonnement, chacun de ces modes étant lui-même lié à un processus
physique bien déterminé. En effet, l'énergie thermique d'un milieu matériel correspond à
l'énergie cinétique de ses constituants ayant une certaine liberté de mouvement (molécules,
atomes).
La conduction est la transmission de la chaleur dans la matière par vibration moléculaire. Elle
concerne surtout les solides, mais aussi les liquides et les gaz pour lesquels elle est souvent
négligeable par rapport à la convection ou au rayonnement.
La loi de Fourier :
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Le transfert de chaleur par convection est complexe, car il résulte de la superposition de deux
phénomènes :
• Conduction entre les particules de fluide qui se rencontrent;
• Mélange de ces particules par suite du mouvement d'ensemble du fluide.
Si ce mouvement n'est provoqué que par les seules différences de températures, la convection
est dite libre ou naturelle. Si ce mouvement résulte d'une action mécanique (pompe,
ventilateur, etc.), la convection est dite forcée.
Le transfert par convection est réagie par la loi de Newton qui stipule que le flux de chaleur
transmis est proportionnel à l'écart entre la température T1 du corps solide qui reçoit ou
transmet de la chaleur et la température T2 du liquide ou du gaz qui transmet ou reçoit cette
chaleur. Le coefficient de proportionnalité de la loi de Fourier est appelé coefficient de
convection thermique est noté hc.
Le flux calorifique (puissance) transmis par convection s'exprime alors par l'équation
fondamentale suivant :
a. Description de phénomène
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Considérons une plaque plane verticale chaude (dont la température de paroi
est T) au contact d'un fluide (dont la température de mélange est Tm), au
voisinage de la plaque existe une zone perturbée appelée couche limite de
convection naturelle. Dans cette zone, le fluide s'élève et sa température varie
selon le profil ci-dessous.
b. Nombre de Grashof
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x : est une dimension linéaire permettant de calculer la surface d'échange (hauteur d'une
plaque verticale, diamètre d'un cylindre, coté d'un carré, etc.),
β : Le coefficient de dilatation volumique du fluide à pression constante,
ΔT = T - T : est la différence de température entre la paroi chauffante et le fluide,
g : est l'accélération de pesanteur,
ρf et μf : sont respectivement la masse volumique et la viscosité dynamique du fluide.
Le nombre de Grashof joue le même rôle en convection naturelle que le nombre de
Reynolds en convection forcée. Sa valeur conditionne la nature laminaire ou turbulente de
l'écoulement dans la zone perturbée.
• Gr > 109: Convection turbulente.
• Gr < 109: Convection laminaire.
• Gr = 109: Valeur critique.
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2. Echange de chaleur par convection forcée
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VI. Transfert par rayonnement
Rayonnement solaire
VII. : Le séchage
I. GENERALITES
1. Définition
Le séchage a pour but d'éliminer sous l'action de la chaleur le liquide qui accompagne un
solide. Le départ de ce liquide s'effectue par évaporation, par vaporisation ou par sublimation.
Le séchage est donc une opération de transfert simultané de matière et de chaleur.
2. Humidité absolue
Si on considère P la pression totale du mélange de gaz et de vapeur, on peut écrire dans le cas
de l'air humide :
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3. Humidité relative
4. Hygroscopicité
la présence d'humidité dans un solide, se manifeste par une certaine tension de vapeur Pm qui
est fonction de la nature du liquide, de celle du solide et de la température. La valeur de cette
tension de vapeur permet de distinguer deux grandes catégories de solides.
a - Lorsque le liquide adhère à la surface externe d'un solide, il est retenu par des forces
superficielles peu intenses : la tension de vapeur Pm du liquide n'est alors fonction que de la
température et elle est égale à la tension maximale de la vapeur du liquide à température
considérée.
La rétention du liquide par adsorption à l'intérieur des pores, met en jeu des forces capillaires
d'autant plus intenses que les interstices sont plus finis. Dans le cas de gros capillaires,
l'humidité n'est retenue que faiblement. Au cours du séchage, qui s'effectue par évaporation
du liquide superficiel, ce dernier est peu à peu remplacé par du liquide provenant des
interstices du solide; il en résulte que la tension de vapeur Pm du liquide est, ici encore, égale à
la tension maximale du liquide pour la température où l'on se trouve.
Un solide se comportant de cette manière n'est pas hygroscopique.
b - Lorsque les pores présentés par le solide sont extrêmement fins, les forces capillaires sont
intenses et peuvent retenir en profondeur de notables quantités d'humidité. Dans un tel cas, la
tension de vapeur Pm du liquide est inférieure à sa tension maximale à la même température, et
le solide est dit hygroscopique (charbon actif par exemple).
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5. Comportement d'un solide mouillé en présence d'un gaz
Considérons un solide mouillé, d'humidité X, soumis à l'action d'un courant gazeux constant,
renfermant sous forme vapeur, une certaine quantité du liquide associé au solide.
Sous pression constante, et une température déterminée, le mélange gazeux est caractérisé par
son humidité relative Hr qui est le quotient de la pression partielle Pv de la vapeur dans le
mélange à la même température par la pression de saturation Ps.
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Si l'humidité relative de l'atmosphère est :
1- Hr1 < Heq il y'a désorption c'est-à-dire séchage du solide.
2- Hr2 > Heq il y'a adsorption c'est-à-dire mouillage.
La différence (X1-Xeq) représente l'humidité libre qui seule peut être évaporée.
6. Degré de saturation
Soit Ha la valeur de l'humidité d'un gaz pour une certaine température et Has la valeur de
l'humidité correspondant à l'état de saturation pour la même température; on appelle degré de
saturation d'un gaz, le rapport :
Dans le cas ou Pv et Ps sont tous deux petits devant P (cas de l'air humide sous la pression
atmosphérique et pour des températures peu élevées), on peut écrire :
Le rapport entre le volume intrinsèque du produit et le volume apparent du produit vaut donc
1- ε
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8. Répartition d’eau dans le matériau
L'eau présente dans un matériau peut se présenter sous trois états : eau libre, eau liée et vapeur
d'eau.
L'eau libre remplit la majeure partie des vides de la structure, elle est piégée sous forme
liquide par des forces d'origine capillaire; la quantité maximale d'eau libre est directement liée
à la porosité du milieu (ε).
L'eau liée est adsorbée sur et dans les parois des structures grâce aux propriétés hydrophiles
de leurs constituants. Elle aussi liée à la taille des pores qui indique la proportion eau liée/eau
libre dans le matériau (un produit constitué de "petits pores " aura, à l'échelle macroscopique,
un caractère hygroscopique plus marqué que s'il était constitué de "gros pores".
La vapeur d'eau mélangée à l'air sec (mélange parfait) occupe les espaces vides non saturés
d'eau liquide.
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II. SECHAGE DES PRODUITS AGRO-ALIMENTAIRES
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Figure 7 : séchage convectif (Strumilo et Kudra 1986)
Selon ces figures, un profil de séchage peut être divisé en trois parties : le préchauffage
(période de séchage initiale), une période à taux constant et une période de chute du taux de
séchage, selon les caractéristiques des solides. La courbe A – B illustre le changement de
l'humidité dans le solide avec le temps. Pendant la période initiale de séchage les températures
du solide et de sa surface liquide sont inférieures à la température d'équilibre, et en
conséquence le taux de séchage dans la gamme A - B augmentera jusqu'à ce que la
température de surface atteigne la température correspondant à la ligne B - C. Si la
température du solide humide est plus haute que la température d'équilibre, la période de
séchage initiale suivra la ligne A '- B. La période initiale est habituellement très courte, et
dans la pratique elle est négligée. Le taux de séchage dans la période B - C est constant et égal
à la pente de la ligne B - C. Le contenu d'humidité à l'étape de transition entre le taux constant
et les périodes en chute de taux s'appelle le contenu d'humidité critique Xcr. En ce point
critique, une baisse linéaire dans le contenu d'humidité à lieu et la ligne droite devient une
courbe qui approche asymptotiquement la teneur en humidité d'équilibre du Xeq plein.
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IX. La figue
Pour la production, seules les variétés femelles sont cultivées, car elles peuvent
être bifères (donner des fruits deux fois par an) ou unifères (donner des fruits une fois par an).
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X.Modélisation mathématique du sécheur rotatif
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En général, un processus quelconque peut être décrit par un modèle, qui peut être intuitif,
verbal, causal, qualitatif ou quantitatif. Un modèle mathématique est un exemple de modèle
quantitatif. Il se compose d’équations algébriques, différentielles ou intégrales. L'avantage
principal de ce type de modèle est qu'il peut prévoir le comportement d'un processus sans
expérimentation.
Le temps de résidence moyen des solides est défini comme le rapport entre la quantité de la
matière dans le cylindre dans les conditions de fonctionnement et le débit d'entrée de la
matière, selon l'équation
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II. Modèle pour le coefficient de transfert thermique:
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L'équation d'équilibre thermique s’écrit comme suit:
.
ms : Débit de la matière (kg/s).
Cps : La chaleur spécifique de l’air.
Cpl : La chaleur spécifique de l'eau.
hfg : La chaleur latente de la vaporisation de l'eau.
q = Transfert thermique.
Où:
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L'équation de transfert de masse du mouvement de l'humidité de la matière humide vers l'air
de séchage est :
Une équation approximative pour le calcul de la pression de saturation de l'eau est la suivante:
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IV. Simulation
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Figure 15 : humidité de la matière
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V.Conclusion
Le séchage est une des opérations unitaires les plus communes dans l’industrie, tout secteur
confondu. Il apparaît sous de multiples techniques, en fonction de la diversité des produits
traités.
A cause du coût énergétique élevé du séchage, l’industriel cherche à avoir la plus basse teneur
possible en eau à l’entrée du sécheur. La tendance est à n’utiliser le séchage que lorsque les
procédés de séparation mécanique restent impuissants pour atteindre l’humidité résiduelle
souhaitée. Le séchage des liquides est toujours précédé d’une autre opération de
déshydratation moins couteuse en énergie : l’évapora-concentration.
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VI. Références
http://genie-alimentaire.com
https://www.wikipedia.org/
https://www.techniques-ingenieur.fr/
https://www.futura-sciences.com/
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