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Les aventures de Jo

Les Aventures
De
Bianca

Par Jo chevalier

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Les aventures de Jo

Chapitre I
Il était une fois, dans un royaume lointain, dans
une petite île méconnue, dans un petit village
reculé, vivait une jeune fille du nom de Bianca
Adélaïde, c’était une orpheline au passé
mystérieux, recueilli par le chef du village.
Elle était d’une extrême beauté avec ses yeux
bleus foncé et ses cheveux noir ébène quoi que
coupé court, elle portait toujours des vêtements
confortable et solide et mettait toujours un béret
qui cachait ses beaux yeux.
La seule chose féminine qu’elle portait était un
collier et une bague qu’elle gardait de ses parents
défunts.
Tout le monde dans le village l’appelait Adèle, elle
n’avait que 14 ans, mais elle était plus téméraire
qu’une armée réunie, elle était parfois très
impulsive, d’apparence elle avait l’air irréfléchie et
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naïve mais elle cachait une incroyable intelligence,
elle avait aussi une très grande sagesse.
Elle était très forte et connaissait plusieurs types
d’arts martiaux, le maniement de l’épée et le tir à
l’arc.
Et au vue des circonstances, du a la pauvreté de
son village et au fait de vivre dans les montagnes,
elle avait aussi appris la science des plantes
médicinale.
Adèle vivait heureuse parmi les habitants du
village et de la forêt.
Mais un jour, il se passa un événement qui changea
sa vie…
Le village était en feu, les habitants couraient, les
hommes se préparaient au combat, les plus vieux
mettaient à l’ abri les femmes et les enfants…
Mais que se passait-il ?!
L’île qui jusqu'à lors était méconnue, fût
découverte par un ministre d’un empire, avide de
pouvoir.

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Quand il découvrit cet endroit, il s’était mis en tête
d’y faire une base militaire secrète.
Mais quand il su qu’elle était habitée, il prit
quelque soldat et partit pour l’île, et commença à
bruler les maisons et attaquer les villageois.
Et c’est ici que l’aventure d’Adèle commença…
- Fuyez! Mettez-vous à l’abri ! criaient les
hommes.
En pleine agitation, Adèle s’apprêtait à prendre les
armes et à rejoindre les hommes au combat, mais
le chef du village le lui empêcha.
- Mais grand père, laisse-moi partir.
- Tu es peu être courageuse mais tu reste une fille,
va te mettre à l’abri avec les autres,
- je sais que je peux servir, je ne suis plus une
enfant.
- Je sais, mais tu ne feras que les gêner, va plutôt
protéger les femmes et les enfants, tu seras plus
utile au près d’eux.
- et toi, grand père ?? Tu n’as pas assez de force
pour combattre, que vas-tu faire ??
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- Ne t’inquiète pas, je dois prendre quelque affaires
importante et je vous rejoindrais.
- Je… bien grand père.
Et elle fila, aider le reste à se mettre à l’abri.
Elle pénétra avec le groupe dans une grotte prés du
rivage, qui se trouvait prés d’une falaise, ici se
croyant à l’abri, Adèle commença petit a petit à
reprendre son calme.
Mais quelque minute plus tard, elle entendit des
pas qui approchait, son cœur se mis à battre, elle
ordonna le silence d’un geste, tous se turent, on
n’entendait que le bruit des pas qui se rapprochait,
le cœur de D’Adèle accélérait a mesure que le bruit
de rapprochait.
Elle s’apprêta à brandir son arme quand un bruit
familier la surpris.
- Grand père !! J’ai eu peur je croyais que c’était
un soldat.
- mon enfant, je suis désole de t’avoir fait peur.
- Ce n’est rien, as-tu put voir la situation en
venant ?
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Il baissa la tête et répondit : «  cela se passe très
mal, a cause du feu certain son coincé dans les
flammes est les soldats nous dépasse en nombre ».
Adèle le regarda épouvanté.
- Mais si sa continue ils vont finir par mourir.
Les femmes dont les maris était du combat,
affichait des visages triste, certaine étaient calme
mais effrayée, d’autre pleuraient a chaude larmes,
une se mit à courir vers la sortit.
Adèle essaya de l’en empêcher, mais ce fut trop
tard, elle partit derrière elle, mais ne put sortir de la
grotte, car devant elle un soldat, agrippait la
femme, et la menaçait d’un couteau.
- Lâchez-la ! Cria Adèle, épée a la main, ou je
vous…
- Me faire quoi ? Demanda-t-il en pointant le
couteau vers le cou de la femme, lâche donc cette
épée !
Remplit de rage, Adèle lâcha l’épée.
L’ayant prit pour un jeune homme le soldat lui
dit : « Ne me regarde pas ainsi jeune homme je n’y
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peux rien, ne t’inquiète pas, nous ne somme pas si
cruel, les femmes et les enfants nous les vendrons
comme esclaves, n’es-ce pas mieux que de
mourir ? Remercie moi donc. Dit- il avec un rire
moqueur.
- Vous n’êtes qu’une pourriture…
Quelques minutes plus tard…
Cinq soldats sortaient le groupes de la grotte,
pendant qu’ils parlaient avec l’homme qui avez
pris la femme en otage, il s’emblaient être le chef
des opérations, le patriarche traina Adèle vers
l’arrière.
- Qui y’a-t-il grand père ?
- Eh bien, ils veulent nous vendre comme esclaves,
les femmes pourront le supporter, mais non les
enfants, ils en ont déjà mit en cage, il ne reste que
Alan et Vincent, heureusement se sont les plus
jeunes, et il fait bientôt nuit, je veux que tu t’enfuis
se soir, va prés de la falaise tu y trouveras ton sac
en haut du grand chêne, tu y trouveras des papiers
important et des provisions, il y’a aussi une petite
barque avec assez de place pour trois.
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- tu t’attendais donc a se que sa se finisse ainsi ?
- eh bien, je ne voulais pas y penser, mais je devais
être prêt au cas où quelque chose arriverait.
- grand-père…
Adèle baissa la tête, et partit s’assoir sur un rocher,
il est vrai qu’elle aurait voulu sauver tout le
monde, mais elle se disait qu’il serait mieux de
partir avec les deux personne, sachant que les
autres était préservé de la mort malgré l’esclavage
qui les attendait, elle pourrait toujours repartir a
leurs recherche, elle était résolu, elle partirait se
soir.
Pendant se temps, Alan vint ce mettre près d’elle,
c’était un petit enfant blond de 5 ans, quand elle le
vit sourire d’un air innocent, elle ne put
s’empêcher de le lui retourner.
Vincent les rejoignît, contrairement à Alan, c’était
un brun de 10 ans aux yeux vert, qui avait un air
calme presque inexpressif.
Il était 23h, et les ennemis devaient repartir le
lendemain pour l’empire de Rosina, le départ
d’Adèle était prévus pour minuit, pendant se temps
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elle inspectait les alentours et la position des
gardes, pour trouver une faille.
Minuit…
L’horloge du village fait en pierre contrairement
aux maisons, sonnait encore, on entendait, les
coups, dong, dong, dong …
Les douze coups de minuit sonnaient, il était
temps…

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