Introduction
La voirie ou la route peut être définie comme une structure conçue et dimensionné pour garantir
l’écoulement du trafic dans de bonne conduction de visibilité de sécurité et de confort pour les
usagers et assuré une bonne fonction durant la période de service minimal du projet.
I. Historique
La route est née du passage répète des hommes et des animaux sur un même itinéraire.
Au temps de la Rome Antique les voies été réalisé en creusent des tranchés remplis :
➢ De pierres concassés
La route a connu une évolution figurante au cours du temps. De nos jours les chaussés moderne
sont dotées d’une vaste plateforme. Doté de chaussé de part et d’autre, et bordée de large
accotement.
Les chaussés modernes sont dotés de deux ou trois courants de circulation.
Elles possèdent égalent un revêtement antidérapant dépourvue d’ondulation. Elles sont
également équipées d’un embellissement par des plantation la circulation y est en grande
vitesse. Elles possèdent une grande capacité pour assurer le dégagement des grandes villes
➢ L’emprise : partie du terrain qui appartient à la collectivité et affectée à la route ainsi
qu’à ses dépendances.
➢ Chaussée : surface aménagée de la route sur laquelle circulent les véhicules. Elle est
constituée d’une ou plusieurs voies de circulation.
➢ Au transport à distance des produits : transfert des produits de consommation des zones
de production vers les zones de consommations ;
➢ Collecte et diffusion des produits : les voies rurales jouent un rôle de désenclavement
des collectes de produits et des approvisionnent des marchés ;
Les routes favorisent également la mobilité (libre circulation) des personnes, des biens et des
services. Elle relie les marchés locaux et internationaux.
III. La classification des routes
Dans la classification des voies de communication et existe plusieurs types de routes parmi lesquelles,
on peut citer :
➢ Les routes nationales : Ce sont des routes revêtues permettant de relier généralement deux
régions et qui sont constituées et entretenues au frais de l’Etat. Elles sont généralement
indiquées par des bornes kilométriques sont notées Rn ou N. Ces bornes sont généralement
de couleur rouge blanc.
➢ Les routes départements : Ce sont des routes revêtues permettant de relier généralement
deux départements et qui sont soumises au financement des départements et parfois par des
subventions de l’Etat. Elles sont généralement indiquées par des bornes kilométriques de
couleur jaune blanc sur lesquelles sont notées par la lettre D.
➢ Les routes communales : Ce sont des routes revêtues permettant de rallier les et qui sont
administrées par les mairies.
➢ Les autoroutes : Ce sont des routes généralement aménagées sur un vaste plateforme bien
dégagée. Elles sont exclusivement réservées à la circulation rapide et sont accessibles en des
points spécialement aménagés. Elles ne comportent ni passage à niveau, ni carrefour à sens
giratoire. Elles sont généralement caractérisées par des panneaux de fond bleu ou un
panonceau rouge sur lesquelles inscrite la lettre A. Les marquages au sol indiquent que la
circulation est à sens unique.
➢ La plateforme (PST)
➢ La couche de forme (éventuelle)
➢ La couche de fondation
Couche d’assise ou corps
➢ La couche de base
➢ La couche de liaison (éventuelle)
➢ La couche de roulement (bitume)
1. La plateforme
La plateforme correspond au terrain occupant les parties supérieures des terrassements (PST).
Elle doit être suffisamment rigide pour supporter les engins de terrassement. Sa portance influe
en grande part sur l’épaisseur des couches supérieures.
Une bonne portance de la plateforme permet d’éviter les déformations sous chargements lourds
et répétés entraînant ainsi une dégradation prématurée de la chaussée.
Lorsque la plateforme à une faible portance, on peut faire recours à :
3. La couche de forme
La couche de forme constitue un élément de transition mise en œuvre à partir de l’arase du
terrassement en fonction des caractéristiques du sol. Elle assure une certaine homogénéisation
afin de mieux répartir les charges sur le terrain supporté.
4. La couche de fondation
Elle est l’élément de la structure de la chaussée placée au contact de la plateforme où de la
couche de forme.
Son rôle est de résister aux efforts verticaux à la couche de base et d’assurer une bonne
répartition des charges sur les couches inférieures afin que les pressions qui en résulte au niveau
au niveau restent dans les limites admissibles.
Selon la nature du trafic (nombre de véhicules poids lourd, particulière qui entre en chaussée),
la couche de fondation est constituée de graves1 naturelles ou traitées.
Son épaisseur peut varier de 20 à 60 𝑐𝑚 en fonction de la qualité du sol d’assises et du type de
trafic.
5. La couche de base
La couche de base est l’élément d’une structure soumis directement aux efforts provenant des
couches de surface. Elle permet également le réglage des pentes de la chaussée. Selon la nature
du trafic, elle se compose de graves (naturels ou traitées), ou matériaux concassés.
6. La couche de liaison
La couche de liaison correspond à la partie inférieure des éléments de surface. Elle permet
d’éviter les orniérages2 de la chaussée. Elle doit avoir une bonne planimétrie et posséder des
caractéristiques mécaniques et géométriques voisine de la couche de roulement. Elle permet
ainsi d’avoir une bonne adhérence entre la couche de roulement et la couche de base. Elle est
réalisée en béton bitumineux.
7. La couche de roulement
La couche de roulement correspond au revêtement superficiel de la chaussée. Elle doit présenter
les caractéristiques requises pour répondre aux contraintes dues à la circulation des véhicules.
Elle possède également de bonne qualité de surface : être parfaitement unie, offrir une
adhérence satisfaisante, ne pas constituer une source de nuisance sonore.
➢ Les distances et altitudes qui sont données en mètre au centimètre près (au centième près)
Application :
Soit un tronçon dont le profil en long (PEL) doit être conçu. On effectue sur le terrain naturel des levés
topographiques qui dont sur neuf (9) profils en travers les résultats suivants :
N° de Profils 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Cotes TN (m) 74,71 72,51 70,24 68,38 65,39 67,82 69,43 71,36 73,59
Cotes Projet (m) 72,02 71,17 70,24 69,10 68,40 68,50 69,34 70,50 71,40
Distances partielles 43,33 46,51 54,13 67,31 73,49 70,24 53,44 46,19
(m)
Travail à demander :
➢ Le volume des matériaux entrant dans la construction d’un projet (projet routier par
exemple) ;
Le profil en travers est représenté en vue de face pour une personne qui se déplacerait sur l’axe du
projet de l’origine à l’extrémité.
➢ Les profils en déblai : Le projet se situe en dessous du terrain naturel. Le volume des remblais
est alors nul.
➢ Les profils mixtes : une partie du projet est remblayée et une autre déblayée. Ce type de projet
est plus économique.
2. Méthode d’exécution et représentation des représentation des
plans en travers
a. Méthode d’exécution
La réalisation d’un profil en travers se résume en trois étapes :
➢ Placer des piquets sur le terrain sur une largeur supérieure à celle du projet dans le plan
vertical ;
➢ Déterminer les distances des points du plan de travers aux piquets d’axe ainsi que les altitudes
de ces points.
b. Méthode de représentation
Lors de la représentation d’un profil en travers, on utilise une même échelle pour représenter les
distances et les altitudes. Les points du profil en travers sont représentés en abscisse par rapport à
l’axe du projet et par leurs altitudes par rapport à un plan de comparaison. Ce dernier peut changer
d’un profil en travers à l’autre. Le numéro du profil en travers ainsi que le point kilométrique (𝐏𝐤 )
doivent être notés sur le graphique.
Application :
Lors de la réalisation d’un projet routier, les relevés topographiques ont été réalisés sur le terrain
naturel devant abriter le projet.
N° de profil 2
Côtes du
terrain 71,44 73,54 75,20 3,5 68,30 66,49 63,53
naturel(m)
Solution :
III. Calcul des cubatures
Le calcul de cubatures est un calcul d’évaluation des volumes de terre à déplacer pour l’exécution d’un
projet. Il existe deux types de calcul suivant la forme générale du projet étudié :
➢ Le calcul des volumes « debouts » pour les projets étendus en surface (stade, aéroport, etc.)
➢ Le calcul des volumes « couchés » pour les projets linéaires (route, assainissement, etc.)
1. Calcul des volumes « couchés » :
Pour ces calculs, il faut connaître) chaque profil en travers la surface de remblai et de déblai ainsi que
les distances entre profil y compris les profils fictifs. Il existe deux méthodes de calcul des volumes
« couchés » pour un projet linéaire :
Le volume V compris entre les profils 𝐏𝟏 𝐞𝐭 𝐏𝟐 est un polyèdre limité par les facettes planes du terrain
naturel et du projet d’une part et d’autres parts par les surfaces planes verticales des profils en travers.
On peut lui appliquer ainsi la formule des trois niveaux en considérants les profils en travers 𝐏𝟏 𝐞𝐭 𝐏𝟐
parallèles.
ℎ
𝑉= (𝑆 + 𝑆𝑝 2 + 4𝑆𝑝′ )
6 𝑝1
4Sp′ est la surface du profil intermédiaire être Sp 𝑒𝑡 Sp située sur une mi-distance entre ces profils ;
1 2
Sp + Sp
1 2
Sp′ =
2
Ainsi on a :
ℎ ℎ Sp + Sp
𝑉= (𝑆𝑝 1 + 𝑆𝑝 2 + 4𝑆𝑝′ ) = (𝑆𝑝 1 + 𝑆𝑝 2 + 4( 1 2
)
6 6 2
ℎ ℎ
𝑉= (𝑆 + 𝑆𝑝 2 + 2Sp + 2Sp ) = [3 (𝑆𝑝 1 + 𝑆𝑝 2 )]
6 𝑝1 1 2 6
𝑆𝑝1 + 𝑆𝑝 2
𝑉= ×ℎ
2
Application :
Les profils ci-dessous ont été réalisés par une entreprise de la place lors de la réalisation d’un projet
routier devant relier deux villes :
Profil 1 :
Profil 2 :
Profil 3 :
Profil 4 :
Profil 5 :
Profil 6 :
Solution :
𝑆𝑑 = 35,08 𝑚2 𝑆𝑑 = 53,09 𝑚2 𝑆𝑑 = 0
𝑃𝑟𝑜𝑓𝑖𝑙 1 ∶ { 𝑃𝑟𝑜𝑓𝑖𝑙 2 ∶ { 𝑃𝑟𝑜𝑓𝑖𝑙 3 ∶ {
𝑆𝑟 = 0 𝑆𝑟 = 48,78 𝑚2 𝑆𝑟 = 71,79 𝑚2
𝑆𝑑 = 46,612 𝑚2 𝑆 =0
𝑃𝑟𝑜𝑓𝑖𝑙 4 ∶ { 𝑃𝑟𝑜𝑓𝑖𝑙 5 ∶ { 𝑑
𝑆𝑟 = 33,45𝑚2 𝑆𝑟 = 0
𝑉𝑑𝑇 = 𝑉𝑑1 + 𝑉𝑑2 + 𝑉𝑑3 + 𝑉𝑑4 = 3575,734 + 302,878 + 1266,448 + 1142,460 = 6287,520 𝑚3
𝑉𝑑𝑇 = 6287,520 𝑚3
➢ Démonstration
✓ Pour 2 profils
𝑆1 + 𝑆2 𝑆1 𝑆2 𝑆1 𝑆2
𝑉= × 𝑑1→2 = ( + ) × 𝑑1→2 = × 𝑑1→2 + × 𝑑1→2
2 2 2 2 2
𝑑1→2 𝑑1→2
𝑉 = 𝑆1 × + 𝑆2 ×
2 2
✓ Pour 3 profils
𝑆1 + 𝑆2 𝑆2 + 𝑆3 𝑆1 𝑆2 𝑆2 𝑆3
𝑉= × 𝑑1→2 + × 𝑑2→3 = × 𝑑1→2 + × 𝑑1→2 + × 𝑑2→3 + × 𝑑2→3
2 2 2 2 2 2
✓ Pour n profils
𝑛−1
𝑑1→2 𝑑𝑖−1→𝑖 + 𝑑𝑖→𝑖+1 𝑑𝑛−1→𝑛
𝑉 = 𝑆1 × + ∑ (𝑆𝑖 ( )) + 𝑆𝑛 ×
2 2 2
𝑖=2
𝑛−1
𝑑1→2 𝑑𝑖−1→𝑖 + 𝑑𝑖→𝑖+1 𝑑𝑛−1→𝑛
𝑉𝑅 = 𝑆𝑅1 × + ∑ (𝑆𝑅𝑖 ( )) + 𝑆𝑅𝑛 ×
2 2 2
𝑖=2
𝑛−1
𝑑1→2 𝑑𝑖−1→𝑖 + 𝑑𝑖→𝑖+1 𝑑𝑛−1→𝑛
𝑉𝐷 = 𝑆𝐷1 × + ∑ (𝑆𝐷𝑖 ( )) + 𝑆𝐷𝑛 ×
2 2 2
𝑖=2
Application :
En considérant les mêmes données que l’exercice précédent. Déterminer e volume total de remblai et
de déblai en utilisant la méthode des entres profits.
𝑛−1
𝑑1→2 𝑑𝑖−1→𝑖 + 𝑑𝑖→𝑖+1 𝑑𝑛−1→𝑛
𝑉 = 𝑆1 × + ∑ (𝑆𝑖 ( )) + 𝑆𝑛 ×
2 2 2
𝑖=2
4
𝑑1→2 𝑑𝑖−1→𝑖 + 𝑑𝑖→𝑖+1 𝑑4→5
𝑉𝑅 = 𝑆𝑅1 × + ∑ (𝑆𝑅𝑖 ( )) + 𝑆𝑅5 ×
2 2 2
𝑖=2
𝑉𝑅 = 6287,520 𝑚3
𝑛−1
𝑑1→2 𝑑𝑖−1→𝑖 + 𝑑𝑖→𝑖+1 𝑑𝑛−1→𝑛
𝑉𝐷 = 𝑆𝐷1 × + ∑ (𝑆𝐷𝑖 ( )) + 𝑆𝐷𝑛 ×
2 2 2
𝑖=2
𝑉𝑅 = 6378,230 𝑚3
Chapitre 03 - Les Terrassements
Routiers ou Travaux de Voirie
Introduction
Les travaux de terrassements correspondent à tous les travaux liés à la terre. Il s’agit d’aménager
ou d’adapter un terrain pour y construire un ouvrage ou une voie de circulation. L’adaptation
d’un terrain signifie de le modifier par un déplacement de terre.
Il peut s’agir d’un apport (remblai), ou d’un retrait. L’utilisation des sols en remblais routier
nécessite au perméable des études géotechniques. Parmi lesquels on peut citer :
➢ La résistant d’un matériau au choc et à l’usure (Los Angeles (LA), Micro Deval (MDE),
fragmentation) ;
Il existe d’autre paramètre tel que les paramètres de comportement mécanique et les paramètre
d’état hydrique.
Parmi les paramètres de comportement mécanique on peut citer entre autres essais Los Angeles
(LA), essais Micro Delval humide (MDE), essais Friabilité des Sable (FS) …
L’essai Proctor et l’indice portant immédiat ou CBR font partir des paramètres d’état hydrique.
Principe de l’essai
L’essai consiste à humifier un matériau a un moins de 5 teneurs en eau et à le compacter dans
un moule selon un procéder et une énergie normaliser.
Interprétation
La courbe 𝑦𝑑 = 𝑓(𝑤) permet d’apprécier le comportement au compactage au matériau en
fonction de la teneur en eau. L’humidification constitue la phase la plus délicate de l’essai est
compris entre 15 kg et 50 kg selon le Dmax de matériau et selon la taille du moule utilisée (moule
Proctor ou moule CBR)
Remarques :
Pour l’essai Proctor normal, le remplissage est fait en 3 couches.
Pour l’essai Proctor modifié, le remplissage est fait en 5 couches.
➢ Pour Proctor : 6 cycles de 4 coups et un dernier coup au centre soit au total 25 coup.
➢ Moule CBR : 7 cycles de 7 coup adjacent entre eux contre la paroi du moule et un coup
au centre. Plus un cycle de 6 coups (pas de coup au centre) soit au total 56 coup.
2. L’indices Portants
L’indice portant d’un échantillon de sol est déterminé dans un moule CBR compacter avec une énergie
Proctor normal. L’essai s’effectue sur la fraction inferieur a 20 mm
Principe
L’essai concise a poinçonné l’échantillons de matériau compacter par pénétration d’un poinçon
cylindrique a vitesse constante 1,27 mm/min. on relève les valeurs des forces correspondant à des
enfoncements de 2,5 mm et 5 mm On rapport ces valeurs à celle obtenue pour en déduire la valeur de
l’indice portant rechercher.
Indice CBR (I.CBR) est mesuré après 4 jours d’immersion dans l’eau, tandis l’indice portance immédiat
(I.P.I) est obtenue lorsque l’on effectue l’essai de poinçonnement aussitôt après la confection de
l’éprouvette
100 + 150√𝑃
𝑒𝑇 =
𝐶𝐵𝑅 × 5
Application :
Pour désenclaver une localité x, une entreprise de la place projette la réalisation d’une chaussée
devant reliée cette localité au centre urbain.
Les études géotechniques réalisées insistent et au laboratoire sur les matériaux devant constituée
la chaussée, on donnait les résultats suivants :
➢ Plate-forme : CBR = 5
➢ Couche de roulement en BB :
Les études portes sur le trafic de cette zone révèle que le poids standard par roue est de 6,5
tonnes.
Travail demander :
Solution :
Epaisseur des couches adjacentes a la plate-forme
Elle donne en lus du CBR et du poids standard par roues, l’épaisseur des couches subjacentes
en fonction du trafic annuel. Ce dernier dépend de la largeur de la chassée, du taux
d’accroissement, du nombre de voies de la chassée et de la moyenne journalière annuelle
(MJA). Elle s’exprime par
10 𝑁
100 + 150√𝑃 × √𝑁
0
𝑒𝑇 =
𝐶𝐵𝑅 + 5
Application 02 :
On désire établir une chaussée destine à recevoir des roues de poids standards (6,5 tonnes) en utilisant
une couche de roulement en béton bitumineux, une couche de base en latérique de ciment de CBR=75,
couch de fondation en latérite de CBR=70, plateforme de CBR=10.
On donne :
Taux de croissance 6 %
Travail demander
NE= N × CAM
Solution
1) Le trafic annuel en tonne
(1+𝜏)𝑛 −1
𝑁 = 𝐶1 × × 𝐶2 × 365 × 𝑀𝐽𝐴 × 𝑛 𝑠𝑒𝑛𝑠 avec 𝐶1 = 1 et 𝐶2 =1
𝜏
(1 + 0,06)15 − 1
𝑁 =1× × 1 × 365 × 250 × 2
0,06
𝑁 = 4 247 864, 504 𝑇
2) Les épaisseurs de toutes les couches par CBR
𝑒𝑇1 = 43,758 𝑐𝑚
𝑒𝑇2 = 8,752 𝑐𝑚
𝑒𝑇3 = 8,205 𝑐𝑚
➢ Couche de base
𝑒𝑝𝑐𝑏 = 𝑒𝑇2 − 𝑒𝑇3 = 8,752 − 8,205 = 0,547𝑐𝑚
𝑒𝑝𝑓𝑜𝑛 = 0,547 𝑐𝑚
➢ Couche de roulement
𝑒𝑝𝑐𝑟 = 𝑒𝑇3 = 8,205 𝑐𝑚
𝑒𝑝𝑓𝑜𝑛 = 8,205 𝑐𝑚
3) Le trafic équivalent NE
𝑁𝐸 = 𝑁 × 𝐶𝐴𝑀
𝑁𝐸 = 4 247 864, 504 × 0,875 = 3 716 881,441 𝑒𝑠𝑠𝑖𝑒𝑢𝑥